Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/04/2015

Mieux protéger les animaux de ferme...

 

Une association pour la protection mondiale des animaux de ferme www.pmaf.org existe, en vue de favoriser une meilleure prise en compte du bien-être des animaux, à toutes les étapes de leur vie: élevage, transport, abattage... Dans son bulletin d'information "champ libre ", cette organisme indique l'actualité des campagnes entreprises et des actions sur le terrain. Il est possible de le télécharger sur le site Internet. Nous pouvons également nous inscrire sur leur Newsletter afin d' être tenu au courant de leur actualité. Il existe des CD en direction des juniors pour les sensibiliser à la cause animale ainsi que du matériel promotionnel. Stages et emplois au sein de leur structure sont aussi répertoriés.

 

La P.M.A.F. lance périodiquement des campagnes concernant la maltraitance des animaux de ferme grâce au plan Vigiferme, afin de conseiller le grand public, les gendarmes, les maires, les magistrats, les enquêteurs d'associations de protection animale.

 

Par exemple, elle a dénoncé le transport d'animaux vivants en France ou à travers l'Europe qui impose parfois des souffrances incroyables aux animaux, confinés sur de longues distances, ballottés et sans possibilité de s'abreuver ou de manger. Un film réalisé par la PMAF en 1997 a révélé au public les brutalités, dont sont victimes des animaux sur les marchés aux bestiaux.

 

L'association a déjà enregistré des succès à propos des cages grillagées de poules élevées en batterie. Une directive européenne, depuis leur campagne de 2012, prescrit désormais pour chaque poule un espace de 750 cm2 au lieu des 550 cm2 d'autrefois et demande des perchoirs, des grattoirs et un nid. C'est vraiment un minimum, mais c'est déjà un sérieux progrès!

 

Prendre conscience que les animaux sont sensibles et souffrent lorsqu'on les maltraite me semble être un pas en avant vers notre ouverture au monde qui nous entoure, un monde vivant dont nous sommes responsables en toute bienveillance et humanité.

 

Lyliane 

29/04/2015

Un ouvrage qui vient de sortir soutenu par la fondation Nicolas Hulot...

 



Pourquoi uriner est-il un acte altruiste ? Pourquoi l’homme pollue t-il ? Faut-il repeindre les toits et les routes en blanc pour refroidir l’atmosphère ? Le progrès nous rendra t-il immortel ? Et si la crise de 2008 était en réalité un choc pétrolier ? autant de questions auxquelles vous trouverez les réponses en lisant « Révolutions invisibles », par Floran Augagneur et Dominique Rousset aux éditions Les Liens qui Libèrent. 



Si vous êtes plutôt du matin, vous avez pu suivre les 40 chroniques diffusées sur France Culture au cours de l’été 2014 en partenariat avec la Fondation Nicolas Hulot. Au fil des épisodes, la journaliste Dominique Rousset et notre conseiller scientifique Floran Augagneur analysaient les mutations en cours dans la société. Fort d’un succès d’audience, les auteurs ont transposé ces émissions en livre. Il est le premier d’une collection de la Fondation Nicolas Hulot qui, avec les éditions Les Liens qui Libèrent, proposera des analyses et des éclairages sur la transition écologique et sociale. 



Un ouvrage en 40 récits pour comprendre le monde qui change 



Parce que les solutions du XXe siècle sont devenues les maux du XXIe, « Révolutions Invisibles » pose un regard nouveau pour comprendre le monde qui vient. L’homme est porteur de menaces mais aussi de solutions et d’alternatives qui forment des révolutions invisibles. La Fondation vous invite à les découvrir à travers les 40 récits de cet ouvrage. 



Un ouvrage dédicacé sera offert aux cinq premiers à répondre à cet email. 


Bonne lecture ! 



La Fondation Nicolas Hulot 


Révolutions Invisibles est disponible dès maintenant chez votre libraire ou en vente en ligne

A propos de Monsanto, transmission d'un courrier...

 
 
 
Fantastique! Nous sommes déjà plus d'un million à avoir agi! Les responsables européens sont en ce moment-même en train de débattre de l'exclusion d'un des produits cancérigènes de Monsanto: atteignons 1,5 million et obligeons-les à faire passer notre santé avant leurs profits! Rejoignez-nous maintenant:

 

Des scientifiques réputés viennent de nous avertir que le désherbant de Monsanto est probablement cancérigène. C’est une nouvelle fracassante et les organes de réglementation européens se démènent pour répondre à cette urgence. Mais Monsanto fait tout pour que le rapport soit enterré! Seule une campagne de mobilisation massive du public peut obtenir la suspension de ce poison. Rejoignez cet appel urgent: 

SIGNEZ LA PÉTITION
 
Chères amies, chers amis partout en Europe,

Des scientifiques réputés viennent de nous mettre en garde: le désherbant le plus utilisé au monde est “probablement cancérigène”! Monsanto fait tout pour que l’Organisation mondiale de la santé retire ce rapport détonant. Pour les experts, le seul moyen d’éviter que la science ne soit bâillonnée, c’est que le public exige des actes concrets dès maintenant.

Les instances qui réglementent ce type de produit sont réputées pour leur opacité et l’influence qu’y exerce l’industrie agrochimique. Mais une opportunité unique s’offre à nous: l’Union européenne est officiellement en train de réévaluer l’autorisation du glyphosate et des processus similaires sont en cours aux États-Unis, au Canada et au Brésil. De leur côté, les Pays-Bas, le Sri Lanka et le Salvador envisagent une interdiction totale.

La menace est bien réelle: on retrouve des traces de ce poison dans notre nourriture, dans nos champs, dans les aires de jeux de nos enfants et dans nos rues. Demandons sa suspension! Rejoignez cet appel urgent et faites passer le mot à tout le monde: 

https://secure.avaaz.org/fr/monsanto_dont_silence_science...

Chez Monsanto, c’est le branle-bas de combat. Le glyphosate est l’élément de base du Roundup, la pierre angulaire de l’empire du génétiquement modifié de Monsanto; il leur rapporte 6 milliards de dollars chaque année. La multinationale a déclaré que le rapport de l’OMS ignorait des études qui considèrent le glyphosate sans danger. Mais les scientifiques qui ont rédigé ce rapport ne sont pas des amateurs: il font partie des 17 meilleurs spécialistes mondiaux du cancer! Ils ont méticuleusement passé en revue des publications indépendantes, en éliminant toutes les études commanditées par les multinationales en quête d’une validation de leur produit. 

La plupart du temps, les autorités de réglementation s’en remettent à des évaluations réalisées par les mêmes multinationales qui essaient de vendre leur poison! Les conclusions principales ne sont pas rendues publiques car elles contiendraient des “informations commerciales confidentielles”, et 58% des groupes scientifiques de l’Agence européenne de sécurité des aliments entretiennent des relations avec le secteur privé. C’est aberrant, mais c’est le système tel qu’il existe. C’est pourquoi nous allons avoir besoin de chacun de nous pour faire en sorte que ce rapport crucial ne soit pas enterré.

Certains pays ont déjà interdit le glyphosate. Maintenant que l’UE, les États-Unis, le Canada et le Brésil sont en train de réévaluer son autorisation, nous avons une opportunité unique de changer la donne au niveau mondial. 

Il y a cinquante ans, le DDT, un insecticide de Monsanto, était utilisé partout jusqu’à ce que le livre “Printemps silencieux” démontre qu’il était cancérigène. Une décennie plus tard, ce produit était interdit. Si le glyphosate est nocif, ne le tolérons pas sur nos étalages pendant encore dix ans. Demandons l’application du principe de précaution d’urgence! Rejoignez-nous et faites passer le mot tout autour de vous: 

https://secure.avaaz.org/fr/monsanto_dont_silence_science...

Nous avons déjà remporté ce genre de victoires: nous avons contribué à la mise en place d'un moratoire sur les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles en Europe et fait fermer une méga-usine de fabrication de semences transgéniques de Monsanto en Argentine. Aujourd’hui, il est temps de protéger notre santé et de nous assurer que nous ne sommes pas utilisés comme cobayes. Cela pourrait bien être un tournant dans le combat pour l’agriculture raisonnable et durable dont le monde a besoin.

Avec espoir, 

Elevage intensif ou pastoral?

 

Dans nos pays dits développés, on élève 6 races seulement de bétail selon les chiffres de la FAO produits en 2008.

 

Une sélection génétique en effet menace aujourd'hui la biodiversité des cheptels dans le monde. Nous avons pris l'habitude de ne garder que des races grandes productrices de lait ou de viande pour augmenter les profits; des vétérinaires vaccinent tant et plus et ils sont censés sélectionner les reproducteurs là où les éleveurs laissaient faire la nature; nous nourrissons les animaux au lieu de les laisser se nourrir...

 

Autrefois vivaient dans les régions les espèces les mieux adaptées au climat, aux prédateurs et aux populations locales...Dans ma région en PACA, il y avait des chèvres dites "Brigasques", en Savoie des vaches de la race "Abondance"...

 

L'élevage intensif en outre ajoute le confinement d'animaux dans des espaces réduits, des risques épidémiques du fait de la promiscuité et une étendue de plus en plus importante de cultures de soja OGM destinées à nourrir les animaux.

 

Or, 70% des populations rurales de la planète dépendent de l'élevage pour leur subsistance si l'on en croit l'association « agronomes sans frontières ». ou AVSF. C'est donc à considérer !

 

Cette association de solidarité internationale favorise au contraire un élevage pastoral avec le respect du vivant, des éleveurs qui connaissent leur cheptel et recommande des exploitations de taille raisonnable. Par exemple, elle cherche partout à maintenir des races rustiques même si elles sont moins productives. Au Togo, AVSF soutient l'élevage de races de chèvres naturellement tolérantes aux maladies apportées par la mouche tsé OGMtsé. En Mongolie d'autre part, des chèvres de race locale donnent une laine cachemire de meilleure qualité...

 

L'élevage intensif entraîne le plus souvent une surexploitation des ressources en eau et en pâturages. Aussi, que ce soit dans nos pays, où peu à peu la sélection des races fait disparaître des animaux résistants et adaptés au climat, ou ailleurs dans le monde, ayons à l'esprit ce que les générations précédentes savaient: à vouloir contrôler sur tous les plans notre élevage, à faire des fermes gigantesques, où tout est mécanique, aseptisé, déshumanisé, nous sommes en train de l'affaiblir, de lui faire perdre sa spécificité locale. Pour plus d'informations, aller sur le site Internet d'AVSF :

http://www.avsf.org

 

Lyliane 

28/04/2015

Histoire de semences bio...

 

Cette histoire commence comme un conte de fées. Il était une fois, dans les années 1960 une jeune femme, Sylvia Schmid, d'origine suisse, venue comme stagiaire dans une ferme du Lot...

 

Là, elle se laisse toucher par les paysages et elle achète une ferme, dans laquelle elle s'installe avec des amis. Dans les années 1970, sa rencontre avec un semencier allemand oriente le cours de sa vie.

 

Elle commence à s'intéresser à une variété de blé rouge dit de Bordeaux, qui menace de disparaître. Elle lui consacre une parcelle. Puis, elle expérimente sur ses terres la levée de graines de melons prélevées et séchées l'année précédente.

 

Avec un groupe d'agriculteurs du Lot et Garonne (près d'Agen), constitué en G.I.E.(groupement d'intérêt économique), elle décide de multiplier et de vendre au public des graines de variétés traditionnelles. Tous ensemble ils réalisent alors des semences de légumes, de fleurs, d'aromatiques et d'engrais verts. Leur premier catalogue est publié en 1982 dans la revue : "Les 4 saisons du jardinage". Ce fut tout de suite un succès !

 

Aujourd'hui le Biau Germe, puisqu'il se nomme ainsi, a 30 ans. Il a été pionnier dans la diffusion de graines biologiques. Son catalogue de vente comporte 180 articles que l'on peut commander en ligne sur le site Internet :

www.biaugerme.com

Sur 10 fermes différentes dans un rayon de 20 km autour de Montpezat des semences sont récoltées et proposées aux jardiniers et maraîchers de France et même d'ailleurs. Les membres du G.I.E. préfèrent les variétés qui ont fait leurs preuves et écartent les plantes hybrides développées par l'agriculture productiviste.

 

Cette histoire montre qu'en mettant en commun nos moyens, nos expériences et nos idées, tout est possible ! C'est un bon stimulant pour tous ceux qui croient en des jours meilleurs et qui sont prêts à s'engager dans le Nouveau …

 

Lyliane 

27/04/2015

Courrier à faire propos d'énergies renouvelables si vous êtes d'accord...

 
       
 
Par courrier électronique : mnbattistel@assemblee-nationale.fr
actions@cyberacteurs.org

Pour trouver les adresses de vos parlementaires 

Vous ferez connaître votre point de vue à Marie Noelle Battistel rapporteure du projet de loi relatif à la transition énergétique, à votre député à vos sénateurs  et à Cyber @cteurs pour nous permettre de mesurer l'impact de cette action.

* * * * * * * * *
Prénom, Nom
Adresse
Code postal, commune

Madame la Rapporteure
Madame, Monsieur,

L’Ademe démontre chiffres à l’appui, que l’idée d’un système électrique totalement renouvelable à l’horizon 2050 est non seulement techniquement, mais aussi économiquement crédible : C’est donc maintenant aux services du ministère, soit d’apporter la preuve que le scénario de l’Ademe ne tient pas la route, soit de montrer les avantages d’une poursuite de la politique actuelle.

D'autant que j'apprends par l'Observatoire du Nucléaire que les graves défauts mis en avant par l'ASN étaient connus d'EDF, Areva et de l'ASN au moins depuis août 2011
http://observ.nucleaire.free.fr/Defauts-cuve-EPR-Flamanvi...

et par le Crilan citant les Chinois que les pièces de cuve ont été fabriquées avant même que le décret sur l'EPR de Flamanville soit signé. Vive la démocratie !

Nous n’avons pas le loisir de perdre cinq ans de plus avant de prendre les mesures qu’imposeraient l'abandon de l'EPR et la sortie du nucléaire, en particulier en termes d’infrastructures de transport et d’économie d’électricité.

C’est donc sans attendre qu’il faut lancer et arbitrer ce débat soigneusement escamoté jusqu’ici par les pouvoirs publics avec la complicité active du lobby nucléaire.

Dans cette attente, veuillez croire, Madame, Monsieur, en ma vigilance sur vos décisions.
* * * * * * * * *
Plus d'infos
29 ans après Tchernobyl, Youri Bandajevski alerte la seconde génération

sur le flop du réacteur EPR :


Voir le communiqué de presse de l’ASN du 07/04/15 :


NégaWatt vient de publier une première analyse comparative entre le scénario négaWatt 2011 et trois des variantes proposées par l’ADEME dans son étude 100 % EnR. Cette note d’analyse est téléchargeable sur le site de négaWatt 

Le graphique résume trois des principaux enseignements de cette analyse comparative :

1) La cohérence des niveaux de productions estimés par nW dans son scénario dès 2011 est confirmée sur toutes les filières EnR.

2) Le mix Ademe répondant selon son étude à une meilleure acceptabilité que le mix de référence est bien plus proche du scénario négaWatt

3) Les niveaux de production éolien et PV du mix 40 % EnR (soit 55 % de nucléaire en 2050) sont très peu ambitieux, quasi-inchangés depuis 2025-2030 ...

Habitat participatif: ça bouge!

Nous sommes contents de vous informer de l'existence de la plateforme:  http://relie-toits.org, nouvel outil de mise en lien et de partage des dynamiques participatives d'habitat. Son objectif est de faciliter l'articulation et la dynamisation des initiatives habitantes et des réseaux, dans le respect des spécificités de chacun. Un outil pour la mutualisation de ressources et de bons plans, libre et évolutif.

 

Nous proposons du 4 mai au 26 juin une formation à distance, gratuite et ouverte à tous les intéressés à se familiariser avec l'outil, voir à prendre part à son fonctionnement. Vous pouvez  la suivre à votre rythme... Nous vous demandons simplement de nous prévenir de votre participation, via le formulaire d'inscription présent sur la page du site avec toutes les informations utiles: http://relie-toits.org/wakka.php?wiki=InformationFormation

et  www.facebook.com/events/1403403196648

 

Plus d'informations sur l'espace "à propos", ou sont expliqués les valeurs, objectifs et conditions générales de l'outil Relie-toits.org : 

http://relie-toits.org/wakka.php?wiki=AproposDe

Colorier des mandalas...

Dans un numéro gratuit de la revue Pluriel Nature, j'ai découvert un article concernant les mandalas. Je connaissais déjà ces jolies figures rondes, que j'avais moi même coloriées au cours de stages d'évolution personnelle. Toutefois, je ne pensais pas que des art-thérapeutes, des psychiatres s'y intéressent vraiment.

 

De par leur origine, les mandalas tirent leur nom du sanskrit qui signifie : cercle, totalité. C'est en fait un art sacré des traditions indiennes et tibétaines. Au Musée des Arts Asiatiques à Nice, j'ai vu il y a plusieurs années des moines Shaolin en constituer un à l'aide de poudres colorées. Ils mirent des heures à plusieurs pour le constituer et, à peine terminé, ils l'ont entièrement déconstruit. Je crois que pour eux ce diagramme circulaire représente l'Univers dans sa beauté et son impermanence des formes...

 

C.G. Jung a mis en lumière au 20ème siècle ce genre d'activité qui fait appel à notre cerveau gauche dynamisant imaginaire, intuition, créativité... Il prétendait même que c'était une image du Soi, c'est à dire de l'ensemble de notre conscient et de notre inconscient.

 

Pour l'art-thérapie, colorier des mandalas est une activité au même titre que se servir du chant, du modelage, de la musique, du dessin, de la peinture ou du théâtre... Ces activités créatrices en effet sont censées non seulement nous relaxer, mais surtout nous aider à libérer nos émotions. L'analyse des dessins choisis par les patients parmi un nombre important de supports proposés permet au thérapeute le plus souvent de comprendre la personnalité de son sujet d'analyse, les obstacles freinant sa dynamique.

 

Interpréter un mandala pour un accompagnateur en art-thérapie est donc susceptible de révéler le cœur des problèmes entravant son patient. Tout est significatif pour lui, aussi bien les couleurs qui dominent que les formes majeures qui reviennent ou le nombre de figures. C'est donc apparemment pour lui un langage symbolique!

 

De nos jours, quelques particuliers et éditeurs publient des supports vierges à colorier selon des thèmes et cette fois cela ne s'adresse pas à des patients ou même à des enfants. Ces carnets de coloriages paraissent correspondre à un besoin de nos contemporains de plus en plus touchés par le stress et l'éparpillement. C'est donc en quelque sorte un bon moyen de se recentrer! Pour s'en convaincre, aller sur le site:www.coloriages-adultes.com.

Je me demande si dessiner ou colorier des mandalas aux formes variées ne pourrait pas également nous aider à découvrir notre potentiel, à éveiller en nous talents et intuition... Et même une fois terminé, constituer un excellent support de méditation! Pourquoi ne pas essayer ?

 

Lyliane 

26/04/2015

Mobilisation citoyenne en faveur d'un autre climat...

 

Le constat d'une incapacité des dirigeants du monde à relever le défi climatique a conduit la société civile et les mouvements sociaux à se retirer de le Conférence des Parties lors de la COP19 de Varsovie et à impulser un mouvement citoyen et populaire.

 

Depuis, la société civile a le désir de peser sur les décisions des gouvernements en matière de lutte contre le changement climatique. Cela suppose apparemment de changer en profondeur nos modes de production et de consommation. Aucune anticipation ne semble avoir eu lieu jusqu'ici dans la période de transition vécue pour contrebalancer les conséquences sur l'emploi ou pour programmer des investissements durables. Ce sont notamment les salariés qui doivent être accompagnés et conseillés car certains emplois vont se transformer, voire disparaître.

 

Pendant que la France accueillera en décembre 2015 la COP 21 au Bourget, une Coalition Climat 21 rassemblera en parallèle plus d'une centaine d'organisations de la société civile. Ces personnes demanderont en effet une politique juste et solidaire.

 

Une mobilisation va se mettre sur pied afin de mutualiser les initiatives venant des sociétés civiles du monde entier. Un premier week - end de mobilisation aura lieu les 30 et 31 mai 2015. il est notamment projeté d'impulser 1000 initiatives pour le climat, afin d'ancrer la mobilisation dans les différents territoires.

 

Alors essayons d'imaginer des solutions durables et sentons nous concernés par cette mobilisation citoyenne de grande ampleur, destinée à construire et à expérimenter des alternatives...

 

Lyliane 

25/04/2015

Petite victoire législative contre les pesticides!

 

Le 23 janvier 2015, l'Assemblée Nationale a adopté une proposition de loi du sénateur Joël Labbé « visant à mieux encadrer l'utilisation des produits phytosanitaires sur le territoire français ». Dans ses grandes lignes, cette loi interdit l'usage des pesticides pour les personnes publiques dans les zones non agricoles comme l'entretien des espaces verts, des forêts, des secteurs de promenades. Elle met également en place l'interdiction de la vente, de la détention et de l'utilisation des pesticides pour les particuliers.

 

On est donc en droit de se féliciter de ce résultat. Toutefois, les délais d'application de cette loi semblent beaucoup trop longs, puisqu' elle ne devrait s'appliquer qu'en 2020 pour les espaces verts et en 2022 pour les particuliers !

 

Pourtant, en janvier dernier, 1200 médecins, dont un grand nombre de praticiens de la Martinique et de la Guadeloupe touchés par le scandale du "chlodécone", ont publié un appel dans les médias mettant en garde contre les risques sanitaires des pesticides, autant pour les utilisateurs professionnels que pour les consommateurs, les riverains et les personnes vulnérables (femmes enceintes et enfants). Un lien a en effet été établi entre la maladie de Parkinson, le cancer de la prostate et des troubles de la fertilité avec l'usage de ces produits toxiques.

 

Dans ces conditions, on se demande pourquoi attendre si longtemps pour la mise en place de cette loi. Heureusement de nombreuses municipalités se sont déjà engagées en faveur de la réduction de l'utilisation des pesticides, certaines sont même passées à 0 pesticide dans les espaces publics. Il faut saluer l'initiative de la jardinerie Botanic qui a déjà supprimé de la vente tout produit à base de pesticide.

 

En privilégiant cette enseigne, nous pouvons montrer notre engagement! N'achetons donc plus aucun produit toxique et demandons à toutes les grandes surfaces, aux autres jardineries de faire de même en les informant de notre choix. Dans le même ordre d'idée, n'hésitons pas à saisir l'Etat via nos représentants au Parlement et au Sénat, la Ministre de L'Environnement des dérogations qui continuent à être données pour des épandages aériens...

 

Ces quelques démarches visant à anticiper la mise en œuvre de la loi et de promouvoir les alternatives existantes, afin de remplacer dès aujourd'hui les produits toxiques. Même s'il paraît rester encore du chemin à faire pour protéger la nature et tous les êtres humains, soyons persuadés que nous représentons une force active par notre engagement.

 

Lyliane

24/04/2015

A propos des perturbateurs endocriniens...

 

Il était convenu, qu'avant la fin de l'année 2013, l'Union Européenne publie une définition précise et légifère à propos des perturbateurs endocriniens. Or, il n'en 'a toujours pas été question à ce jour, les décisions étant continuellement repoussées à plus tard.

 

En France, le SNPE ou groupe de Stratégie Nationale sur les Perturbateurs Endocriniens, qui devait pareillement publier ses conclusions avant la fin 2013, n'en a rien fait. Il semble donc évident que cette question de santé publique n'est pas prioritaire aux yeux des dirigeants politiques!

 

Pourtant, en tant que citoyens et consommateurs, nous attendons la mise en place de règlements concrets concernant par exemple l'interdiction claire du bisphénol A, des phtalates...C'est pour nous tous à la fois prioritaire pour notre santé et notre environnement.

 

On peut se demander pourquoi l'Union Européenne et la France sont en panne sur ce sujet... Selon certains hommes politiques bien informés, les négociations en cours sur le Traité de libre échange transatlantique ou TAFTA entre l'Union Européenne et les Etats Unis absorberaient toutes les énergies...

 

Ce n'est pas fait pour nous rassurer car de nombreux industriels et lobbies attendent la signature de ce fameux traité pour introduire chez nous et dans toute l'Europe des produits toxiques et pour réaliser des forages, afin de chercher du gaz de schiste...Nous connaissons pourtant les désastres écologiques et la fréquence accrue des séismes induits aux Etats - Unis par ces groupes motivés apparemment par leur seul profit.

 

Aussi l'association "Agir pour l'environnement" www.agirpourlenvironnement.org lance un appel pour remettre ce sujet à l'ordre du jour. Pourquoi ne pas demander à nos hommes politiques et à nos députés européens de clarifier la situation et de garder à l'esprit qu'ils sont nos représentants.

 

Même s'ils sont soumis à des pressions, ils doivent veiller à ce que nous soyons protégés ainsi que tout notre environnement !

 

Lyliane 

23/04/2015

Agir sur le terrain au lieu de faire de beaux discours...

 

A travers un article paru dans le numéro 3439 de la revue Paris Match, j'ai appris que l'écrivain Alexandre Jardin avait publié, le 9 avril 2015, un ouvrage engagé intitulé : « Laissez nous faire » aux éditions Robert Laffont.

 

Avec le mouvement citoyen « bleu, blanc, zèbre »(BBZ) qu'il a crée, cet homme engagé propose à tous les citoyens de France « de passer aux actes ». Il constate en effet qu'ils sont des « faizeux » face aux femmes et hommes politiques français, qui ne sont selon lui que des « dizeux ». A chaque alternance de parti au pouvoir, les BBZ ont remarqué que le pays ne fait que changer d'énarques et que le marché des belles promesses est désormais « carbonisé ».

 

Son mouvement constitué en association rassemble plus de 100 personnes, opérateurs de la société civile tels qu'associations, fondations, acteurs de services publics, mairies, mutuelles ou entreprises, qui tous ont du crédit moral et dont l'action est visible. Ils luttent contre la fatalité et considèrent que nous avons besoin d'une société civile éveillée et agissante.

 

Au sein de BBZ, ces personnes sont regroupées dans des « bouquets de solutions thématiques» et elles prônent un mode collaboratif car selon leur perception : « le génie vient d'en bas ». Aussi ils ne boudent pas une collaboration avec les élus ou personnels actifs sur le terrain.

 

Par exemple, en Ile de France, la Confédération générale des petites et moyennes entreprises ou CGPME a un programme pour faire connaître les dispositifs favorisant l'emploi.

 

Aux élections présidentielles de 2017, le mouvement envisage de présenter aux partis républicains une démarche différente de celle de N. Hulot en 2007, qui consistait à faire signer un pacte engageant les candidats à faire quelque chose en faveur de l'environnement. Bleu blanc zèbre propose une alliance à ceux qui seront capables de témoigner de leur action concrète. A tous ils demanderont : « qu'avez vous fait personnellement pour les autres ? Avez vous crée des emplois ? Avez vous sorti des chômeurs de la précarité ? Avez vous essayé d'alphabétiser des personnes ? »

 

Je trouve cette démarche tout à fait intéressante pour sortir le pays de sa profonde désespérance.

 

Au lieu de se tourner vers des partis extrémistes, qui cherchent à profiter du découragement des citoyens en leur faisant de belles promesses, BBZ appelle les citoyens français à se « retrousser les manches » et à agir là où ils se trouvent. Pour se renseigner, s'engager ou soutenir ce mouvement aller sur le site Internet: www.bleublanczebre.fr 

 

Lyliane 

22/04/2015

Choisir de communiquer en conscience...

 

Un travail personnel, en suivant les enseignements de Catherine Merle dans son ouvrage : « Libérer sa Vénus », m'a amenée à approfondir certaines façons d'être dans mon quotidien et à réaliser concrètement le poids des mots dans ma vie.

 

Nous savons en effet, grâce à la physique quantique et à la loi d'attraction, que tout comme nos pensées, les mots sont porteurs de vibrations. Or quelles vibrations ai je le désir de diffuser? Moi qui trouve parfois les médias bien pessimistes, suis je consciente de mes expressions courantes ?

 

J'ai été marquée par un exemple cité dans cet ouvrage : à une personne qui lui proposait de défiler contre la guerre, Mère Thérésa aurait répondu :"je défilerai volontiers pour la paix" !

 

Du coup j'ai été amenée à passer en revue mon vocabulaire, les mots que j'utilise habituellement. Je me suis aperçue que les expressions : "il faut que, je dois, tu devrais, oui, mais non..." reviennent souvent ! J'apprends peu à peu avec constance à les remplacer par " je choisis, oui et...", car depuis que cela est devenu clair à mes yeux ces injonctions, ces expressions contradictoires ne me conviennent plus.

 

J'ai réalisé que notre cerveau est comme un grand ordinateur que nous alimentons en permanence avec nos pensées, nos croyances et qui garde en mémoire ce qui revient souvent. De plus, j'ai appris que dans son système il n'entend pas la négation... Cela m'incite à m'exprimer de façon claire, positive et bienveillante!

 

Pour cela, je choisis de m'accepter telle que je suis et d'accepter l'autre avec son propre ordinateur de bord. Cela rend à la fois plus attentif et plus humble ! Car même si j'ai à tout moment le choix de mes paroles, je m'aperçois que je suis pétrie de programmations inconscientes, de jugements erronés, de projections de mes peurs sur le monde.

 

Ceci réalisé, j'essaye de me responsabiliser sur ce plan de la communication, d'accepter de mettre en place une autre philosophie de vie. Cela commence dès le réveil : dans mon lit, je regarde ma journée et j'apprends à l'orienter de façon positive. Je me parle avec douceur et j'impulse des intentions bienveillantes envers mon environnement. Je trouve que cela m'amène davantage de fluidité, de légèreté ensuite.

 

J'ai besoin de silence pour me mettre en route, afin d' écouter les besoins de mon corps. Aussi je mets la télévision, la radio bien après m'être ressourcée intérieurement... J'ai découvert qu'en développant au préalable une vision positive de ma vie, je me laisse moins toucher par les événements qui nous sont relatés par les médias. Cela m'aide à faire grandir ma confiance dans les jeunes générations du monde, à ouvrir mon cœur à ce qui se passe. Mon mental est généralement moins présent après ce temps d'écoute intérieure...

 

Cela me demande, certes, de la vigilance, une forme de discipline car les habitudes sont là, les conditionnements de mon cerveau-ordinateur, de son « disque dur » ont tendance à se reproposer... Ma ressource actuelle, en cas de doute ou de faiblesse, est ma confiance dans l'Univers. En effet, n'alimentant plus aussi souvent en pensées et en paroles une vision négative du monde, j'ai conscience d'apporter ma contribution à l'émergence du Nouveau. Je me sens en quelque sorte co-créatrice d'un univers de joie, de beauté, de bienveillance et de paix auquel j'aspire.

 

Lyliane

21/04/2015

Un ouvrage sur Vénus...

 

Inspirée par le titre de l'ouvrage, je me suis offert le livre de Catherine Merle, paru aux éditions Dangles en février 2015 sous le titre : « Libérer sa Vénus ». Je sentais en effet que j'avais besoin de libérer mon cœur de mes croyances dépassées, de mes conditionnements ancestraux, de mes pensées erronées, de mes émotions de peur bloquant mes sentiments, ma spontanéité.

 

Cela m'avait semblé le bon moment car, astrologiquement parlant, je savais que la planète Uranus, qui a la maîtrise du signe du Verseau, passait justement sur Vénus dans mon thème natal. J'ai donc bien fait de suivre mon intuition et je ne le regrette pas ! C'était en effet vraiment le livre qu'il me fallait pour avancer vers l'unité, pour réconcilier en quelque sorte mon masculin et mon féminin.

 

Sous la forme d'exercices pratiques, de méditations, de visualisations, de travail sur les rêves, il est proposé de se mettre en douceur « au service de l'amour ».

 

Personnellement, je conseille ce livre à toute personne en recherche d'évolution, à tout groupe désireux de se faire accompagner sur le chemin d'une meilleure expression de soi. Le site de Mme Merle est le : http://www.coramenta.com

 

Pour les femmes notamment, je pense que cet ouvrage pratique est à même de les aider à guérir des blessures anciennes et de les relier avec amour et respect au centre de leur être.

 

Car si décider de s'aimer, de trouver une paix intérieure, de se reconnecter à l'amour demande parfois du courage, selon notre vécu passé, cette démarche propose également de développer confiance en soi et en l'Univers.

 

Alors, pourquoi ne pas aller grâce à cet ouvrage à la rencontre de Vénus, afin de nous engager joyeusement à faire naître en nous et autour de nous le monde de demain ?

 

Lyliane

20/04/2015

Sauver les abeilles...

 Un sondage du site:

Sauvons la Forêt <info@sauvonslaforet.org

URGENT :

les abeilles ont besoin de notre aide

 
 

 


 
 
 
 
 
 
 
   
     

 

Chers ami(e)s de la forêt tropicale,

Les pesticides mettent en péril la survie des abeilles. Les néonicotinoïdes en particulier sont associés à leur disparition massive. Mais les fabricants de ces substances hautement toxiques comme les multinationales de la chimie Bayer, BASF et Syngenta s’opposent aux restrictions et interdictions.

 

Ce jeudi, nous remettrons notre pétition pour la protection des abeilles au ministère de l’agriculture allemand à Berlin. Nous avons collecté 141 939 signatures à ce jour. Nous vous invitons à signer vous aussi pour les abeilles :

PÉTITION  

En vous remerciant de votre attention,

Sylvain Harmat  
Sauvon

Fin de vie...

 

Dans notre pays, si on meurt le plus souvent de vieillesse, meurt-on forcément bien ? Selon une enquête de l'INED publiée en 2014, 7 personnes sur 10 décèdent à l'hôpital de nos jours. Et notre société semble encore effrayée par l'idée de mort, qui reste le plus souvent un sujet tabou. C'est en effet un domaine délicat à aborder que celui de la fin de vie...Il nous remue et nous questionne.

 

Ce n'est qu'aux alentours de 1985 que les soins palliatifs ont commencé à être réclamés en France. Des cas d'acharnement thérapeutique et la légalisation de l'euthanasie dans certains pays d'Europe (Pays Bas...) avaient conduit à faire évoluer les mentalités dans notre pays.

 

Il y a 10 ans, le 22 avril 2005, la loi Léonetti, du nom d'un député UMP des Alpes Maritimes, avait été promulguée afin de légiférer sur cette question. Elle proposait d'arrêter les soins médicaux lorsque le malade le demandait. C'était une avancée importante car la qualité de vie du patient devait être préservée et un accompagnement à la douleur mis en place.

 

En 2012, le candidat à la Présidentielle : François Hollande, avait promis un nouveau texte de loi sur les droits relatifs à la fin de vie dans l'engagement n° 21.

 

Le 17 mars 2015, une nouvelle loi a été adoptée par l'Assemblée Nationale. Elle ne semble pas avoir profondément modifié l'approche de ce sujet. Elle a été nommée: deuxième loi Léonetti et elle émane également d'un député PS : Alain Claeye. Elle apporte néanmoins deux dispositions nouvelles concernant les directives anticipées du patient quant à sa fin de vie et l'acceptation par le corps médical d'une sédation profonde et continue. La mort toutefois ne peut pas être provoquée par un acte médical délibéré. Cette loi doit encore être examinée par le Sénat et elle est susceptible d'être amendée avant son adoption définitive.

 

On peut se demander si notre société nous prépare suffisamment à nous préoccuper de notre fin de vie et si la plupart des personnes, des familles est bien informée des droits du malade. Au cas où le sujet vous semblerait à approfondir, je peux conseiller le livre de C. Bauchart aux editions Michalon : « Ma mort m'appartient ».

 

Lyliane 

19/04/2015

Comment vivre au fil des jours selon la philosophie bouddhiste?

 

C'est lors d'une émission du dimanche matin à la télévision française que j'ai entendu parler pour la première fois d'Olivier Raurich, conférencier et enseignant en mathématiques dans des classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques. Il a publié en janvier 2014 chez A. Michel l'ouvrage : « La voie du bouddhisme au fil des jours:être, aimer, comprendre ».

 

O. Raurich se sert d'une image pour décrire la vie courante de l'homme d'aujourd'hui : il serait comme un pauvre homme vivant sur un terrain dans lequel un trésor est enfoui. Ce trésor serait d'après lui ce que nous sommes déjà sans le savoir : des êtres spirituels plongés dans une expérience humaine.

 

Malheureusement, nous ne savons pas nous arrêter, afin d'apprécier pleinement l'instant présent, ni voir la beauté des choses et des êtres qui nous entourent. Nous semblons pour la plupart chercher l'amour à l'extérieur avec son cortège de possessivité et de jalousie, au lieu de découvrir en nous un amour inconditionnel, qui nous aide à trouver l'amour de soi. Comment s'accueillir pleinement, apporter de la joie autour de nous et ouvrir notre cœur à la compassion, demande O. Raurich, si nous ne commençons pas par là ?

 

Il prône la méditation comme chemin permettant de ne plus être éparpillé, uniquement dans notre pôle mental. Selon lui, pour certaines personnes seule une grande souffrance (deuil, maladie, séparation...) est capable de casser la coquille de leur ego. Cela est susceptible de les ouvrir « au cœur souffrant du monde ».

 

Je l'ai entendu dire que la mort serait comme un miroir pour rendre notre vie plus intense. Il pose en effet la question suivante : qui savoure chaque instant, chaque jour comme un moment infiniment précieux ? Pour nous préparer à la mort, il est, selon lui, important que nous ne gardions aucun ressentiment, que nous purifions notre cœur...

 

Ses deux conseils essentiels pour vivre avec un cœur ouvert: chaque jour avoir une pensée de bienveillance et de joie et remettre en cause un préjugé. Car souhaiter du bonheur à l'autre, constater que notre bonheur est relié à celui de nos semblables, c'est découvrir le pouvoir thérapeutique de la compassion...

 

Afin de mieux connaître ce disciple et interprète de S. Rinpoché, il est utile de consulter son site Internet: www.olivierraurich.com.

 

Lyliane

18/04/2015

Pétition en faveur des abeilles...

       
 

 

Un nouveau rapport montre que les pesticides néonicotinoïdes, déjà responsable de la disparition de millions d'abeilles, ont aussi un impact catastrophique sur l'environnement et la biodiversité, et compromettent l'avenir de l'agriculture et la sécurité alimentaire de toute la population.

Devant ce constat alarmant, la Commission européenne fait la sourde oreille. Faites pression pour l'obliger à prendre la seule décision qui s'impose : l'interdiction nette et immédiate de ces substances ! 

 

Cher ami, chère amie,

Un nouveau rapport scientifique vient d'être remis à la Commission européenne, qui dresse un constat alarmant sur les pesticides néonicotinoïdes tueurs d'abeilles (1).

Pour les scientifiques et les citoyens, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase : les conclusions de ce rapport jusfient largement une interdiction ferme et immédiate de ces substances.

Pourtant, la Commission européenne fait la sourde oreille. Et en face, des centaines de lobbyistes de l'agro-industrie sont en train de se démener pour obtenir la réhabilitation de leurs poisons - à coup de procès contre le moratoire devant la Cour européenne de justice, de chantage à l'emploi et à la délocalisation... 

...et à coup d'études «confidentielles» que personne n'a le droit de lire en dehors des institutions européennes - assurant que leurs produits 10 000 fois plus toxiques que le DDT ne sont dangereux ni pour les abeilles, ni pour la santé ou l'environnement...

La pression est énorme et nous avons plus que jamais besoin de vous.

A force de sonner le tocsin et de mobiliser les troupes, scientifiques et associations citoyennes ont gagné du terrain face aux pressions gigantesques de l'industrie agrochimiques sur les institutions.

Les pétitions de Pollinis pour faire interdire les pesticides néonicotinoïdes ont réuni plus d'un million de signatures, et aujourd'hui nous faisons appel à vous pour enfoncer le clou, et nous aider à doubler ce chiffre pour obliger la Commission à faire le seul choix qui s'impose face aux évidences fournies par la science : interdire – totalement et définitivement - les néonicotinoïdes et autres pesticides tueurs-d'abeilles. !

Déjà :

- En France, l'Assemblée nationale vient de voter un amendement interdisant les pesticides néonicotinoïdes à partir du 1er janvier 2016 (2). Et la bataille se poursuit au Sénat où l'amendement doit encore être adopté. Cela aurait été tout simplement impossible il y a quelques mois - preuve que les politiques ont bien entendu notre signal d'alarme !

- Aux Etats-Unis, l'Agence de protection de l'environnement (EPA), souvent accusée de complaisance vis-à-vis de l'industrie chimique, vient d'annoncer qu'elle suspendait purement et simplement toute nouvelle autorisation de néonicotinoïdes tant que les entreprises agrochimiques n'auront pas apporté la preuve de leur innocuité 

 Et en Europe, le dernier rapport de l'EASAC - l'association réunissant les Académies scientifiques de tous les pays européens – est sans appel : les néonicotinoïdes ne sont pas seulement dangereux pour les abeilles, les bourdons et autres pollinisateurs indispensables à la diversité du monde végétal... ils représentent désormais une menace sérieuse pour la protection des cultures et l'avenir même de nos productions - et risquent de compromettre à terme la sécurité alimentaire de toute la population !

Face à ce constat alarmant, et aux initiatives prises en France et aux Etats-Unis, la Commission européenne doit tirer les leçons qui sautent aux yeux et interdire totalement les pesticides néonicotinoïdes.

Malheureusement, l'institution paraît faire la sourde oreille aux demandes des scientifiques et des citoyens.

Pire : lors de la présentation du dernier rapport de l'EASAC cette semaine, qui donne des informations saisissantes sur l'impact des néonicotinoïdes sur l'environnement et la biodiversité, le seul représentant de la Commission présent, le chef de l'Unité Pesticides à la Commission, a botté en touche.

Il a déclaré que cette étude n'apportait rien de nouveau, qu'elle n'avait pas de "valeur ajoutée" – et a écarté les conclusions pourtant frappantes des scientifiques d'un revers de la main.

Je vais vous détailler dans quelques instants les conclusions de cette étude, et vous jugerez par vous-même si les risques qu'elle décrit méritent d'être passés sous silence...

Mais avant ça, je veux m'assurer que vous compreniez bien l'enjeu, et que je peux compter sur vous pour signer dès maintenant votre pétition à la Commission européenne, et nous aider à récolter les millions de signatures dont nous avons besoin en diffusant ce message au maximum autour de vous.

Si les lobbies agrochimiques gagnent la bataille et qu'ils arrivent à convaincre la Commission de remettre les néonicotinoïdes sur le marché, c'est une catastrophe sanitaire et alimentaire sans précédent qui nous attend.

Je n'exagère pas.

Etude après étude, en laboratoire et sur le terrain, les scientifiques qui se sont penchés sur ces substances ont constaté des effets sur l'environnement et la biodiversité qui dépassent tout ce qu'on avait pu imaginer jusque-là.

Leurs conclusions sont accablantes, et chacune d'elle justifierait à elle seule une interdiction immédiate de l'utilisation de ces pesticides :

 

– Mode d'administration par enrobage : des graines mortelles pour les oiseaux et rongeurs des champs

Les néonicotinoïdes sont appliqués directement par enrobage autour de la graine, et 20 % de la substance se développe avec la plante, circulant dans sa sève, et suintant par ses feuilles pour décimer les insectes qui s'en approchent (ennemis ou amis...).

L'un des problèmes posés par ce mode d'administration (vous verrez qu'il y en a bien d'autres…), c'est que des graines hautement toxiques risquent de rester à la surface du champ et attirer les rongeurs et oiseaux qui s'en nourrissent habituellement.

Les effets à long terme sont dévastateurs sur les oiseaux : aux Pays-Bas, des espèces aussi communes autrefois que l'alouette des champs ont vu leur population diminuer de 96 % depuis 1990 (début de l'utilisation des néonicotinoïdes) - tandis que le bruant de maïs et la perdrix grise auront bientôt complètement disparu (3).

L'autopsie d'oiseaux sauvages (canards, pigeons…) montre la présence de néonicotinoïdes dans leur organismes. Il aura suffi parfois qu'ils ingurgitent une seule graine pour que la substance leur soit fatale : des études ont montré que la dose léthale pour une perdrix est de 6 graines, et de 1 graine et demi pour un moineau – des quantités qu'il est très facile de trouver aujourd'hui dans la nature et les champs (4).

 

– Pollution permanente des sols :

Comme dit précédemment, moins de 20 % seulement des néonicotinoïdes qui servent à enrober les semences sont absorbées par les plantes : les 80 % restants partent dans les sols (5), à des concentrations très fortes qui déciment les populations de vers de terre et autre laboureurs naturels de la terre.

Une fois dans les sols, les néonicotinoïdes peuvent y rester jusqu'à 3 ou 4 ans - assez pour anéantir toutes les aides naturelles à l'entretien et la régénération de la terre (6).

 

– Contamination des eaux, et extermination des espèces aquatiques :

Une grande partie de ces substances ne reste pas dans le sol, mais est lessivée par les pluies jusqu'aux aux cours d'eaux et aux nappes phréatiques.

Une étude menée en Californie a trouvé des néonicotinoïdes dans 89 % des cours d’eaux étudiés(7).

Les néonicotinoïdes sont très toxiques pour les invertébrés aquatiques, et les populations de poissons qui s'en nourrissent. Les populations aquatiques rendent naturellement des services de "nettoyage" des eaux qui ne sont pas remplaçables technologiquement à grande échelle. Leur disparition serait une catastrophe écologique sans précédent.

Or, une étude relève déjà une baisse désastreuse de la biodiversité des cours d'eaux en Allemagne, en France et en Australie – jusqu'à 42% de micro-organismes en moins aux endroits où l'on constate par ailleurs un taux de contamination élevé aux néonicotinoïdes (8). L'impact sur les poissons qui se nourrissent de ces organismes est encore difficile à mesurer…

 

– Menaces pour l'avenir de l'agriculture et la sécurité alimentaire

Le pire, c'est que les pesticides néonicotinoïdes ne permettent pas d'envisager une protection stable et pérenne des cultures face aux ravageurs qu'elles sont censés détruire.

Au contraire, il reste peu de temps avant que l'intégralité de ces ravageurs ne se soit accoutumé complètement à la substance, et y devienne insensible.

Les études menées sur le doryphore, le scarabée ravageur de la pomme de terre, montrent unerésistance déjà 100 fois supérieure en dix années seulement (6).

Même chose pour la punaise du pêcher, l'un des ravageurs les plus tenaces en France : des études montrent que ce bio-agresseur a déjà procédé à une évolution génétique lui permettant de résister aux néonicotinoïdes (9).

Des études menées dans les champs montrent une insensibilité croissante des populations de punaises du pêcher à ces produits (10).

Des résistances sont en train de se développer chez les ravageurs du colza (11) et du blé (12) cultures traitées quasi-exclusivement avec des néonicotinoïdes par enrobage.

En clair, si rien n'est fait pour enrayer la spirale du tout-pesticides, d'ici quelques années les néonicotinoïdes ne seront même plus capables de protéger les grandes cultures contre les attaques des ravageurs.

Ils auront détruit durablement l'environnement, et nous laisseront avec des cultures sans protection, à la merci de ravageurs rendus surpuissants, et que plus rien ne pourra arrêter.

Même les ennemis naturels des parasites ne pourront plus rien pour nous aider, car leurs populations, sensibles aux néonicotinoïdes, sont déjà en voie d'extinction !

Personne, aujourd'hui, n'a de solution à proposer après ça. Même pas l'industrie agrochimique, qui pourtant continue de faire pression sur la Commission européenne pour remettre ses produits sur le marché – et s'assurer quelques années de profit supplémentaires avant le déluge...

Il est temps d'arrêter l'hécatombe, avant qu'il soit trop tard.

Il est évident que si on en arrive à de tels extrêmes, c'est la sécurité alimentaire de la population toute entière qui n'est plus assurée.

L'enjeu est dramatique, et dépasse largement les quelques milliards de profits que se font les industries agrochimiques en commercialisant ces produits.

Nous n'allons pas les laisser sacrifier notre santé, notre alimentation et celle des futures générations, tout ça pour satisfaire leurs profits immédiats !

La décision de la Commission, va être décisive pour notre avenir à tous : soit elle cède à la pression des lobbies agrochimiques, autorise les néonicotinoïdes et nous condamne tous à une catastrophe sans précédent...

... soit elle entend la mobilisation des citoyens et les appels de détresse des scientifiques, prend conscience du danger, et nous permet d'échapper au pire en interdisant pour de bon les pesticides néonicotinoïdes.

Il est clair que si les citoyens ne se regroupent pas rapidement pour constituer une force de frappe massive et organisée, et qu'on laisse le champ libre aux lobbies agrochimiques pour séduire la Commission, c'est la première option qui sera retenue...

C'est pourquoi nous faisons appel à vous, de toute urgence, pour nous aider à organiser une mobilisation massive dans toute l'Europe !

Pétition après pétition, nous avons déjà réussi à réunir les signatures de plus d'un million de citoyens à travers l'Europe, pour demander l'interdiction pure et simple des néonicotinoïdes.

Nouvelles évidences scientifiques en main, nous allons redoubler d'efforts pour mettre une pression déterminante sur la Commission et obtenir la victoire des citoyens et du bien commun sur les intérêts à court terme des agrochimiques !

Je compte sur vous pour signer dès maintenant votre pétition à la Commission européenne en cliquant ici, et pour partager cet email avec vos amis, votre famille, vos collègues, et tous vos contacts.

C'est très important : plus nous serons nombreux, et plus notre force de frappe sera déterminante pour peser face aux pressions des lobbies.

Alors, n'oubliez pas, après avoir signé votre pétition, de transférer ce mail le plus largement possible autour de vous.

Personne ne doit ignorer ce qui nous attend tous si ces pesticides sont remis sur le marché. Et, je crois que vous serez d'accord avec moi, personne ne peut accepter qu'on mette ainsi en danger l'avenir alimentaire de nos enfants, pour satisfaire aux intérêts de quelques grosses firmes bien placées !

Un grand merci par avance pour votre action, pour préserver l'environnement et la biodiversité, et assurer la pérennité de l'agriculture.

 

 

La transition énergétique peut-elle devenir un gisement d'emplois?

 

La Commission Européenne estime que la mise en œuvre de nouvelles politiques pour atteindre l'objectif de 20% d'énergies renouvelables d'ici 2020 permettra de créer 2,8 millions d'emplois.

 

En Allemagne par exemple le secteur de l'énergie verte aurait déjà crée 400 000 emplois. En Angleterre un projet prévoit la création d' un million d'emplois climatiques.

 

En France, plusieurs études ont essayé de faire des projections économiques liées à la transition énergétique. Le Centre International de Recherche sur l'Environnement et le Développement(CIRED) du CNRS a notamment analysé le scénario négaWatt qui prévoit une suppression de l'énergie nucléaire et de la quasi totalité des énergies fossiles à l'horizon 2050.

 

Selon le CIRED, la transition proposée créerait environ 300 000 emplois nets en France d'ici 2050.

 

L'Office Français des Conjonctures Economiques (OFCE) évalue à 800 000 le nombre d'emplois nets qui seraient susceptibles d'apparaître. Dans le champ des énergies renouvelables, ce sont de nouvelles filières qui s'ouvrent (biomasse, bois, biocarburants, énergies marines, éolien, géothermie, hydroélectricité, pompes à chaleur, solaire). Elles supposent de nouvelles compétences et de nouveaux métiers: génie électrique, efficacité énergétique, électroménager, informatique, chaîne du froid, transports, réparation, recyclage, biotechnologies,.. Le bâtiment ainsi que le domaine des énergies renouvelables pourraient devenir le secteur le plus créateur d'emplois.

 

Ces « climate jobs » restent à imaginer et à créer en France. En Angleterre le mouvement citoyen « Compaign Against Climate Change », qui rassemble des associations écologistes, des mouvements altermondialistes et des syndicats, propose des solutions vertes créatrices de croissance et d'emploi. Pour en savoir plus, aller sur le site : « www.climate-jobs.org ».

 

Lyliane

17/04/2015

Petite victoire législative dans la lutte contre les pesticides...

 

Le 23 janvier 2015, l'Assemblée Nationale a adopté une proposition de loi du sénateur Joël Labbé « visant à mieux encadrer l'utilisation des produits phytosanitaires sur le territoire français ». Dans ses grandes lignes, cette loi interdit l'usage des pesticides pour les personnes publiques dans les zones non agricoles comme l'entretien des espaces verts, des forêts, des secteurs de promenades. Elle met également en place l'interdiction de la vente, de la détention et de l'utilisation des pesticides pour les particuliers.

 

On est donc en droit de se féliciter de ce résultat. Toutefois, les délais d'application de cette loi semblent beaucoup trop longs, puisqu' elle ne devrait s'appliquer qu'en 2020 pour les espaces verts et en 2022 pour les particuliers !

 

Pourtant, en janvier dernier, 1200 médecins, dont un grand nombre de praticiens de la Martinique et de la Guadeloupe touchés par le scandale du « chlodécone », ont publié un appel dans les médias mettant en garde contre les risques sanitaires des pesticides, autant pour les utilisateurs professionnels que pour les consommateurs, les riverains et les personnes vulnérables (femmes enceintes et enfants). Un lien a en effet été établi entre la maladie de Parkinson, le cancer de la prostate et des troubles de la fertilité avec l'usage de ces produits toxiques.

 

Dans ces conditions, on se demande pourquoi attendre si longtemps pour la mise en place de cette loi. Heureusement de nombreuses municipalités se sont déjà engagées en faveur de la réduction de l'utilisation des pesticides, certaines sont même passées à 0 pesticide dans les espaces publics. Il faut saluer l'initiative de la jardinerie Botanic qui a déjà supprimé de la vente tout produit à base de pesticide.

 

En privilégiant cette enseigne, nous pouvons montrer notre engagement! N'achetons donc plus aucun produit toxique et demandons à toutes les grandes surfaces, aux autres jardineries de faire de même en les informant de notre choix. Dans le même ordre d'idée, n'hésitons pas à saisir l'Etat via nos représentants au Parlement et au Sénat, la Ministre de L'Environnement des dérogations qui continuent à être données pour des épandages aériens...

 

Ces quelques démarches visant à anticiper la mise en œuvre de la loi et de promouvoir les alternatives existantes, afin de remplacer dès aujourd'hui les produits toxiques. Même s'il paraît rester encore du chemin à faire pour protéger la nature et tous les êtres humains, soyons persuadés que nous représentons une force active par notre engagement.

 

Lyliane 

Transmis du CCFD!

Voici une pétition, cosignée par de nombreux mouvements d'église et qui rejoint le travail effectué sur place par le CERN, à signer au plus vite en ligne .

 

NON aux "Minerais du sang" : dans de nombreuses zones du monde, des milliers de personnes subissent des violences intolérables de la part d'acteurs armés, financés par l'exploitation des richesses de leurs propres terres.

A quelques heures du vote du règlement sur ces minerais du conflit, le CCFD-Terre Solidaire vous encourage à interpeller vos eurodéputés pour mettre un terme à cette violence !
 http://bit.ly/STOPMineraisDuSang

 
Cette information est  à faire circuler très rapidement !
Merci
 


Isabelle Desruelle

16/04/2015

Vitamine E naturelle: est elle indispensable et où la trouver?

 

La vitamine E est une vitamine liposoluble, non produite par l'organisme, formée de 8 molécules : 4 alpha-tocophérols et 4 tocotriénols.

 

Sur les sites Internet www.lanutrition.fr et www.aroma-zone.com, des spécialistes de cette vitamine nous mettent en garde contre les apports insuffisants notamment chez les enfants, les personnes âgées et les femmes enceintes.

 

En effet, cette vitamine que l'on trouve dans les noix, noisettes, amandes, l'huile végétale, les légumes verts (épinards, choux...), le thon à l'huile notamment n'est pas très consommée dans un régime alimentaire courant. La quantité recommandée est de 12 à 15 mg par jour pour les adultes et peut-être davantage pour la femme enceinte. Elle aide en effet au développement du fœtus ; toutefois il est recommandé d'en parler à son médecin si l'on veut en prendre sous forme de complément alimentaire

 

Une quantité insuffisante de vitamine E est souvent associée à un risque accru d'infections, d'anémie et de retard de croissance, car on considère qu'elle est essentielle pour le développement du cerveau et du système nerveux.

 

La vitamine E exerce une activité antioxydante pour les membranes des cellules et elle nous protège des radicaux libres. Elle a aussi un intérêt pour notre peau, nos ongles et nos cheveux. On dit parfois qu'elle soulage les douleurs des règles et protège les vaisseaux par une action anticoagulante.

 

Toute personne qui souhaite prendre de la vitamine E en complément alimentaire devrait effectuer de petites cures d'un mois maximum et en informer son médecin traitant. Car l'excès de vitamine E - tout comme l'excès de sélénium- pourrait donner lieu à certains troubles de santé...

 

En toute chose le sens de la mesure est nécessaire !

 

Lyliane 

 

15/04/2015

Mobilisation citoyenne contre le gâchis alimentaire...

 

Les Sénateurs français ont voté à l'unanimité le 10 avril dernier un amendement dans la Loi Macron contre le gâchis alimentaire, suite notamment à une pétition lancée sur le site : www.change.org. que vous pouvez encore signer-

 

Il nous reste à nous mobiliser pour que les restaurateurs français, les cantines municipales fassent un effort pour ne plus jeter leurs surplus de nourriture, alors que de nombreux sans abris ont faim.

 

Une incitations à donner ou à transformer pourrait être faite au plan national...

 

Et, avant l'été, il nous reste à saisir nos députés pour qu'ils votent à leur tour l'amendement dit « amendement Goulet » que nos sénateurs ont adopté. Grâce à cette loi n'importe quelle association pourra récupérer des invendus consommables auprès d'une grande surface et les distribuer rapidement à des personnes démunies.

 

Aussi n'hésitez pas à signer la pétition, à en parler autour de vous et à contacter votre député pour lui demander de s'engager à voter cette loi « anti gaspi ». Le texte voté par les Sénateurs peut être trouvé sur le site : http://www.senat.fr/enseance/2014-2015/371/Amdt_379.html

 

Quand on sait que dans le monde beaucoup de personnes souffrent de malnutrition, que des enfants meurent de faim, le gâchis alimentaire de nos pays occidentaux paraît encore plus scandaleux... Pour s'en rendre compte et réaliser le contraste, il suffit d'aller sur le site Internet : www.actioncontrelafaim.org !

 

Lyliane

14/04/2015

Maladie d'Alzheimer:un outil pratique pour les aidants familiaux.

 

Les familles, qui sont confrontées à cette maladie ou à une forme apparentée, se sentent la plupart du temps démunies et ont de la difficulté à comprendre et à accompagner leur proche. Le personnel des maisons de retraite et les aidants familiaux ne sont pas toujours suffisamment formés au « savoir prendre soin » des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

 

Aussi, je pense que nous devons saluer la sortie récente d'une nouvelle version gratuite du « Guide pour les aidants familiaux » mise en ligne sur : http://guide.francealzheimer.org. Dans ce guide sont développés trois axes principaux : connaître la maladie, comprendre les symptômes et les accompagner au quotidien.

 

De nombreux contenus interactifs permettent de poser des questions et même d'entrer en contact avec d'autres aidants pour échanger. En outre, une maison en 3D accompagnée de vidéos met en scène différentes situations auxquelles les malades et leurs proches peuvent être confrontés. Une séquence propose des réponses à ces difficultés.

 

Grâce à cette association, j'ai appris également que toute personne concernée par le sujet peut faire entendre ses propositions ou remarques avant le 15 juin 2015 en remplissant un questionnaire disponible en ligne sur le site: www.sondagefrancealz.com.

 

Il existe certes plus de 500 lieux d'accueil en France proposés par les associations départementales.

 

Néanmoins, l'association estime que le grand public n'est pas encore suffisamment sensibilisé et informé, malgré ses efforts sur le terrain. Selon les recherches actuelles en effet détecter les personnes à risque avant l'apparition des premiers symptômes visibles serait un progrès de taille en attendant qu'un traitement approprié soit trouvé...

 

Enfin, la maladie d'Alzheimer touchant principalement le cerveau et provoquant des errances de la mémoire, une expérience a été menée sur Toulouse pour réaliser la biographie de personnes au tout début de leur maladie. Cela permet de laisser une trace de leur vie à leurs enfants et petits enfants.

 

Bref, on peut dire que l'association France Alzheimer, après 30 ans de mobilisation active dans notre pays, est encore capable d'innover et de mettre en place des initiatives susceptibles de soutenir tous ceux qui sont touchés par cette maladie.

 

Lyliane 

13/04/2015

Pousses et graines germées...

 

Ce sont de modestes herbes et graines, qui se développent à l'intérieur de nos maisons ou sur le rebord de nos fenêtres, et qui servent d'aliment, de source de vitalité. C'est en effet une nourriture vivante, dans laquelle on trouve généralement des enzymes, des protéines, des sels minéraux, des oligo-éléments et des vitamines naturelles.

 

Ce sont des aliments économiques, faciles à préparer chez soi. Comme pousses et graines germées sont fraîches, elles sont croquantes à souhait. Leurs fibres sont les amies de nos intestins.

 

Qu'on les achète prêtes à l'emploi ou qu'on les prépare à la maison, on peut commencer à s'habituer aux différentes variétés en testant luzerne, alfalfa, radis, haricots mungo... De plus, des mélanges sont possibles.

 

Il est possible de les consommer natures, sur du pain, en salade, revenues à l'huile d'olives afin de fourrer des crêpes, des omelettes...

 

Pour faire germer soi-même des pousses ou des graines,il suffit d'un récipient à trous nommé germoir, de semences, de lumière, d'air et d'eau. Néanmoins, afin d'éviter les moisissures, il est recommandé de garder le germoir humide mais pas trop, de veiller à la chaleur(entre 18° et 22°) et à l'aération.

 

Il faut au moins deux ou trois jours pour que les graines commencent à germer, parfois beaucoup plus selon la variété. Un pré-trempage de plusieurs heures accélère le processus.

 

On récolte les pousses ou les germes jour après jour en renouvelant l'eau. Juste avant de les consommer, rincer les graines dans une passoire. Eviter de toucher pousses ou graines avec les mains.

 

Sur le site www.avogel.fr par exemple, on peut obtenir des informations complémentaires.

 

Lyliane 

12/04/2015

Prendre sa vie en mains...

 

Lors de l'émission « Les quatre vérités » sur la deuxième chaîne de notre télévision française, j'ai entendu le Docteur Frédéric Saldmann faire la promotion de son ouvrage : « Prenez votre santé en mains ».

 

Ce que beaucoup d'entre nous savaient déjà : 30 minutes d'activité physique par jour et un moral optimiste sont des gages de bonne santé. En effet, alors que pendant des décennies « l'effet  placebo » avait été décrié du côté de la médecine officielle, le docteur Saldmann reconnaît que plus de 30% des patients y sont sensibles. Il démontre dans son livre que la force de la croyance donne une sorte de signal à l'organisme pour le soulager et le soigner. Notre espérance de vie augmenterait ainsi de 20%.

 

Évidemment, ajouter des années suppose des années en relative bonne forme !

 

Ce médecin va même jusqu'à prétendre qu'être positif, avoir des buts dans la vie incite l'organisme à se créer un bouclier naturel contre les maladies. Il lie a contrario un moral dépressif, une alimentation désorganisée et des troubles de santé à plus ou moins brève échéance...

 

Autre sujet important abordé : la nécessité de ne pas être en surpoids car, selon ce médecin, 30% de calories en moins permettraient d'ajouter 20% de vie en plus . Il parle notamment du nerf vague qui serait à stimuler en cas d'obésité et d'aliments comme les sardines ou les poivrons, à digestion lente, qui couperaient l'appétit pour quelques heures. N'ayant pas encore lu l'ouvrage, j'imagine qu'il développe davantage le sujet et propose d'autres pistes alimentaires...

 

A côté de cela, ce livre rassemble des conseils d'hygiène au quotidien. Par exemple, il préconise de se gargariser tous les matins après le brossage des dents,comme le font les japonais. Ce serait très utile pour éviter les infections ORL. Quant au renouvellement de la brosse à dents, que les français ne seraient pas très enclins à faire souvent, le docteur Saldmann recommande de la garder au sec et de la changer tous les mois, afin d'éviter la prolifération de germes.

 

Jusque là nous n'étions pas habitués à entendre de tels propos de la part de médecins allopathes...

 

Comme quoi certains médecins reviennent à des conseils de bon sens. Décidément, tout évolue dans le monde d'aujourd'hui...

 

Lyliane

 

11/04/2015

Le don de moelle osseuse: un don pour la vie.

 

L'Agence de Biomédecine organise une semaine nationale de mobilisation en faveur du don de moelle osseuse. 18 000 nouveaux donneurs en effet sont espérés, afin de sauver la vie de personnes atteintes de graves maladies du sang en attente de greffe.

 

Avant de pouvoir être inscrit sur un registre, appelé « France greffe de moelle », il faut au préalable effectuer une prise de sang et faire vérifier par un médecin son état de santé. Des contre - indications existent comme les affections cardiaques, l'hypertension artérielle, les antécédents de cancer, les affections nerveuses ou métaboliques...

 

Ce registre est consulté quand le malade n'a pas de donneur compatible au sein de sa famille. Être inscrit avec son profil génétique demande au donneur potentiel de se rendre disponible pour effectuer un don de moelle osseuse à n'importe quel patient en France comme à l'étranger.

 

La moelle osseuse n'a rien à voir avec la moelle épinière : c'est la moelle qui se trouve au centre des os. Un prélèvement de moelle osseuse n'est pas douloureux et il est gratuit. Il s'effectue en milieu hospitalier et dure entre 3 et 4h. La semaine précédant le don, un traitement est administré au donneur pour faciliter le passage des cellules dans le sang.

 

Il est possible de s'inscrire en ligne ou de télécharger un formulaire à remplir sur le site : www.dondemoelleosseuse.fr.

 

Personnellement je suis trop âgée pour être donneuse, mais il me semble que toute personne jeune et en bonne santé devrait se poser la question d'un don de moelle osseuse éventuel. Il s'agit en effet d'une forme d'entraide humaine, qui peut sauver la vie d'enfants ou d'adultes...

 

Lyliane 

10/04/2015

Se mobiliser en faveur du climat...

 

De nos jours, 97% des scientifiques de la planète s'accordent à dire qu'il y a un véritable changement climatique avec notamment un réchauffement général et que ce phénomène est d'origine humaine.

 

Crée en 1988, le Groupe d'Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat (GIEC) a publié un dernier rapport malheureusement très clair : si aucune mesure n'était prise, la température moyenne à la surface du globe s'élèverait de plus de 4°C à la fin du siècle avec des conséquences graves pour toute l'humanité (fonte des glaciers et de la banquise, montée du niveau des mers, vents d'altitude, cyclones...)

 

Le GIEC demande de limiter le réchauffement moyen à 2° maximum, ce qui suppose de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40 à 70% d'ici 2050 et ensuite de ne plus en produire du tout. C'est un sacré défi !

 

Les deux pays les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre, la Chine et les États-Unis, ne prévoient jusqu'ici de les réduire qu'à partir de 2030 pour le premier et de 2025 pour le second. C'est bien loin des préconisations scientifiques...

 

Ne soyons pas naïfs : les grandes puissances mondiales,- qui à la dernière Conférence sur le Climat de Lima n'ont rien décidé du tout -, ne feront un pas de plus à Paris en décembre prochain que si tous les citoyens du monde s'en mêlent et font pression sur eux directement ou indirectement.

 

Aussi les 30 et 31 mai prochain, un grand weekend end de mobilisation est prévu avec des manifestations partout en France et dans le monde. Ne craignons pas de nous y associer, d'y inviter parents et amis ! Les 196 états présents à la conférence ont besoin de sentir notre engagement citoyen, notre motivation ferme accompagnée de propositions réalistes.

 

La France, qui accueillera du 30/11 au 11/12/2015 au Bourget les membres du COP 21 et présidera la 2ème Conférence des parties de la Convention-Cadre des Nations Unies sur le changement climatique, aura un rôle de premier ordre dans la recherche d'un consensus mondial.

 

Ne laissons pas les intérêts particuliers de quelques multinationales, lobbies financiers ou industriels manipulant les représentants de quelques états prendre le pas sur l'avenir de nos enfants et petits-enfants ! Tout est encore possible! Ne suffirait il pas de montrer notre conviction?

 

Lyliane 

09/04/2015

Connaissez vous l'hypnose Ericksonienne?

 

L'Hypnose Ericksonienne doit son nom à Mr Milton H. Erickson, psychiatre américain, fondateur de la Société d'Hypnose Clinique. Dyslexique, daltonien et handicapé, cet homme découvrit l'hypnose au cours de ses études de médecine. Il a été considéré comme le fondateur des thérapies brèves. La P.N.L. (programmation neurolinguistique) s'est notamment inspirée de sa vision.

 

Différente de l'hypnose traditionnelle, qui repose sur l'injonction, l'hypnose Ericksonienne induit un état de rêverie, permet un voyage intérieur sans stress. Elle suscite chez la personne un état de conscience modifié. Ce n'est nullement un endormissement pour guérir des patients. Ce type de thérapie cherche au contraire à réveiller le potentiel des gens, afin qu'ils prennent leur vie en main, quitte à changer quelques-unes de leurs croyances.

 

On peut dire que l'hypnose Ericksonienne permet une forme de communication entre l'esprit conscient de la personne et son inconscient, ce qui est susceptible de faciliter un retour à l'équilibre.

 

Le langage hypnotique agit en profondeur comme un stimulus, afin notamment de court-circuiter le mental. C'est le patient qui effectue tout le travail en fait.

 

Les applications de l'hypnose Ericksonienne sont nombreuses. Elles vont de la gestion de la douleur à du développement personnel, de l'hypnose médicale à la gestion des émotions...

 

Il existe en France de nombreux ouvrages traitant de l'hypnose Ericksonienne de la part de praticiens diplômés, par exemple le livre de Mr V. S. Martin paru chez A. Colin sous le titre : « Manuel de pratique d'hypnose ». Des sites consultables en ligne proposent des formations diplômantes ou informent de façon plus détaillée sur ce sujet. www.psychologies.com

 

Lyliane 

08/04/2015

Des bombes de graines...

4 sur 9 670
 
 
 
 
 
 
 
 

Fabriquer et lancer des bombes de graines

 
 
 
 
 
 
 

 

   
 
Depuis quelques années, la guérilla jardinière s'empare de nos villes : des habitants frustrés de fleurs et de nature confectionnent des bombes de graines et vont discrètement les lancer dans des endroits déshérités, où les graines germeront tranquillement à l'insu de tous pour produire deux mois après des fleurs éclatantes!

 

Le concept de guérilla jardinière ou guerilla gardening a vu le jour à New-York en 1973, lancé par des habitants soucieux de réintroduire nature et beauté au sein des espaces déshérités de la ville. Petit à petit, une technique de fabrication des « bombes de graines » (seed bombs en anglais) s’est imposée : cette technique est largement inspirée par la pratique de l’enrobage des graines de riz dans de l’argile, créée par le Japonais Masanobu Fukuoka, père de la permaculture, dans un tout autre but que la guérilla jardinière.

 

Des ateliers de fabrication de bombes de graines s’ouvrent un peu partout en France lors de manifestations diverses et des guérilleros d’un nouveau genre bombardent à cœur joie les espaces déshérités en espérant les transformer en coins de nature fleuris.

Cette fiche pratique vous explique comment fabriquer et lancer des bombes de graines et vous transformer à votre tour en guérillero d'un nouveau genre.


http://jardinage.comprendrechoisir.com/fiche/voir/282016/...