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27/03/2021

A propos du plastique et des déchets qu'il cause...

«Le plastique, c'est fantastique», chantait le groupe Elmer Food Beat en 1991. Trois décennies plus tard, la rengaine a changé. Partout sur Terre, les dégâts provoqués par les déchets plastiques dans l'environnement sont visibles. Selon l'ONU, près de 320 millions de tonnes de plastique sont produites dans le monde chaque année et 8 millions de tonnes finissent dans les océans. Même le groupe de rock nantais a changé son fusil d'épaule en entonnant en 2019 un nouveau refrain: «Le plastique, c'est dramatique», pour soutenir la dépollution des océans.
 
Loin de la scène musicale, le monde industriel réfléchit également à un changement de modèle pour limiter la production de plastique ou mieux valoriser le recyclage de ces déchets. Mais remplacer la production de matières plastiques par d'autres matériaux, comme des éco-produits ou des contenants en verre, peut coûter plus cher voire même s'avérer une fausse piste. C'est pourquoi des spécialistes du secteur accompagnent les industriels dans leur mutation. Chez Veolia, la cellule Recyclage et valorisation des déchets est particulièrement attachée à cette mission.


Augmenter la part du plastique recyclé: De nombreuses initiatives voient le jour, comme le programme (RE)SET, avec l'alliance des principaux noms de la grande distibution en faveur de l'emballage durable, en «supprimant le plastique des packagings, identifiant des solutions mieux recyclables, valorisables ou biodégradables et changeant nos modes de consommation». «Je pense qu'il y a une prise de conscience générale dans le monde de l'industrie. J'étais récemment chez l'une de nos clientes, une productrice qui utilisait une barquette en plastique complexe. Elle nous a demandé comment faire pour avoir un emballage recyclable. On a étudié ses besoins et on lui a proposé une barquette en aluminium», raconte Jérémy Le Roy, expert valorisation chez Veolia.
Il y a cependant souvent un hic: la hausse du coût de fabrication. «La productrice a finalement refusé la barquette en aluminium que nous lui proposions pour l'instant, car le coût était trop élevé. On a beaucoup de clients dans ce cas. Le prix du plastique est en effet indexé sur le cours du pétrole et celui-ci est très bas actuellement, donc le plastique n'est pas cher», poursuit Jérémy Le Roy.
 
Sur le territoire normand, Hermann Hallot est responsable grands comptes industriels pour Veolia. Ce cadre accompagne les entreprises clientes de Veolia, qui sont désireuses de réduire leurs déchets plastiques. Il conseille par exemple une entreprise spécialisée dans la fabrication de bouteilles plastiques. «Pour eux, il n'y a rien qui peut remplacer la bouteille plastique», dit Hermann Hallot. Veolia s'est donc concentrée sur la mise en place d'un convoyeur de déchets sur place afin de faire le tri entre les différents déchets qu'elle génère et d'optimiser la logistique. «Nous avons aussi modifié une partie de leur process pour réaliser un meilleur tri entre les différents plastiques.» Autre solution pour diminuer l'empreinte carbone de cette entreprise normande: l'injection de plastique recyclé dans les bouteilles. «Aujourd'hui, on peut mettre 70% de plastique régénéré 
dans une bouteille», explique Hermann Hallot.
Une cinquantaine d'industriels ont déjà pris des engagements volontaires en annonçant une incorporation de 275.000 tonnes supplémentaires de résines recyclées dans leurs produits d'ici à 2025. Elles viendraient s'ajouter aux 300.000 tonnes déjà incorporées. C'est un engagement conséquent et encourageant, mais il y a encore beaucoup à faire au regard des 3,6 millions de tonnes de plastique mises sur le marché chaque année en France. L'annonce faite de «tendre vers 100% de plastiques recyclés en 2025» par l'État demeure donc un objectif très ambitieux. Le pourcentage de plastiques recyclés était de 22% en France en 2017, loin derrière la moyenne européenne de 41%, selon les chiffres de Plastics Europe.
Le retour de la consigne de tri?

Mais pourquoi ne pas remplacer le plastique de ces bouteilles par du verre? En 1947, 100% des sodas vendus aux États-Unis l'étaient dans des bouteilles en verre réutilisables. Le consommateur payait quelques centimes de plus pour la bouteille en verre lors de l'achat du soda et récupérait cette somme en rapportant le contenant. Ce système de consigne est ensuite tombé en désuétude au fil des ans face à l'avènement du plastique, avant de renaître de ses cendres à petite échelle depuis quelques années. On peut citer «Bout' à Bout'» dans les Pays de la Loire ou «Jean Bouteille» dans le nord de la France. Mais à une échelle industrielle, le passage du tout-plastique au 100% verre se bute à deux arguments: un argument économique qui fait que personne ne prend le risque de relancer au niveau national un projet pilote ­d'envergure, selon l'un des pionniers du ­secteur, Gérard Bellet, dans une interview donnée au journal Le Monde; et un argument écologique: le cycle de vie d'une bouteille en verre, en fonction des usages, n'a pas toujours un moindre impact carbone.
 
Plutôt que le verre, il existe un autre matériau qu'affectionnent de plus en plus les industriels: les éco-produits. Ce sont par exemple des sacs réutilisables et conçus avec des matières écologiques que l'on peut trouver dans certaines épiceries ou supermarchés. «Nous travaillons actuellement sur un projet avec la grande distribution pour réfléchir à l'emballage écoconception de demain. C'est un appel à candidatures et nous sommes clairement dans la création d'un écosystème vertueux», dit Sophie Petibon, directrice commerciale à Veolia au sein du pôle Recyclage et valorisation des déchets. Là aussi, l'analyse complète du cycle de vie doit être menée avec minutie.
«Le gros problème du plastique, c'est le transport»
 
Les industriels réfléchissent également davantage au coût écologique global d'un produit. Le coût écologique du plastique n'est pas constitué que du déchet à trier, recycler ou incinérer. Il faut également prendre en compte le transport des produits plastiques puis des déchets plastiques, de leur conception à leur destruction. «Le gros problème du plastique, c'est le transport. C'est ce qui représente la plus grosse part de l'empreinte carbone. C'est pour cela que nous réfléchissons à diverses solutions pour réduire les transports. Nous proposons par exemple à nos clients de mettre en place des broyeurs de déchets plastiques sur leur site, plutôt que de transporter les déchets plastiques jusqu'à un exutoire réalisant la prestation broyage», explique Hermann Hallot. L'entreprise pharmaceutique qu'il conseille en Normandie produit 300 tonnes de plastique par an: cela représente ainsi 120 transports par camion en moins.
L'avenir ressemble peut-être à un cercle. «Nous sommes en train d'étudier la création d'une boucle circulaire avec l'un de nos clients. Notre ambition serait de recycler leurs déchets puis de les réintroduire dans la boucle comme produits régénérés. C'est une étude qui porte sur la globalité de la chaîne, pour mieux la maîtriser et rester au plus près de la production», analyse Hermann Hallot. Un cercle vertueux bon pour la planète mais aussi pour l'économie, ces nouveautés étant pourvoyeuses d'emploi et d'activité dans le futur.

Selon Slate.fr - Slate - lundi 8 mars 2021


 

03/12/2020

Faut-il revenir à la consigne du verre ?

 

En 2019, en France, chaque citoyen produit en moyenne 571 kg de déchets par an1,2

Cela veut dire que chaque homme français produit 7 fois son poids en déchets3 et que chaque femme française produit 9 fois son poids !

Sur cette demi-tonne de déchets par personne, entre 30 et 50% seraient des emballages4 !

Cela veut dire que chaque année, chaque Français jette plus de 200 kg d’emballages dans sa poubelle

Entre 1950 et 2010, la quantité de déchets produite en France a été multipliée par 2,55.

Elle s’est stabilisée depuis les années 2000. 

Mais, la pollution causée par ces déchets reste un problème majeur. Car le recyclage n’a absolument pas réglé le problème. 

L’ère du jetable

L'explosion du nombre de déchets dans les années 60 est liée :

 
  •  à l’arrivée du plastique qui a révolutionné l’industrie des emballages. Soudain, il a été possible d’avoir des emballages faciles à produire, peu coûteux et modulables à l’envie. 
Cette apparition a tué la consigne6. Jusque-là les aliments étaient transportés, pour l’essentiel, grâce aux bouteilles en verre consignées. Tous les magasins ou presque disposaient d’un système de consigne. Mais les emballages en plastique léger et jetable ont rendu ces mécanismes caducs. Ils ont disparu. 
  • aux stratégies d’obsolescence programmée des produits, notamment dans le domaine de l’électroménager et de l’électronique mais pas uniquement. Les vêtements par exemple ont perdu en qualité7.
  • l’avènement de l’économie du “jetable”. 


Pendant des siècles, les populations rurales, dont les ressources étaient limitées, avaient développé des stratégies de réutilisation des matériaux. 

La question des déchets se posait peu parce que l’on ne jetait pas. Les matériaux étaient naturels, simples et réutilisables. 

L’arrivée du plastique, des alliages, de la production et de la consommation de masse a changé la donne. 
 

Bouteilles en verre : POUR le retour de la consigne

88% des Français plébiscitent les emballages réemployables.

Réutiliser les emballages permettrait d’économiser 75% d’énergie et 33% d’eau par rapport au recyclage et de réduire de 65 à 85 % son impact environnemental global.

Signez pour que des mesures concrètes soient inscrites dans la loi « anti-gaspillage ».

Je signe la pétition

 

L’illusion du recyclage 

 

Mais les nouveaux emballages et l’avènement de la société de consommation ont très vite posé des problèmes aux pouvoirs publics. 

Le coût de la gestion des déchets par les communes a considérablement augmenté au point de mettre en péril leurs fragiles équilibres budgétaires. 

En France, aujourd’hui l'économie du déchet représente 20 milliards d’euros dont 14 sont à la charge des communes7

On a décuplé le nombre de déchetteries et de centres d’incinération et surtout on a inventé le recyclage. 

Les déchets devenaient une ressource et un marché

Cette révolution s’est faite via deux grandes lois de 1975 et 1992 qui ont posé le principe du pollueur-payeur.

L’idée n’était pas mauvaise. Mais cela a été un échec.  

Les industriels ont versé une cotisation annuelle en faveur d’un organisme de gestion des déchets et un nouveau système s’est développé. 

Dans le fond, les industriels ont acheté leur droit de polluer. Cela leur a donné la maîtrise du sujet. 

Le problème c’est que le plastique se recycle beaucoup moins bien que le verre, qui peut être réutilisé 50 fois

Pour le plastique, c’est plus compliqué :

  • certains plastiques ne se recyclent pas ;
  • certains plastiques ne peuvent pas être recyclés en France car il n’existe pas de filière spécialisée pour les traiter ;
  • la plupart des plastiques ne se recyclent que plusieurs fois et à chaque fois, il faut réutiliser la matière neuve. Un plastique “recyclé”, c’est en réalité un mélange entre plastique vieux et plastique neuf7… 


On n’est très loin d’un système circulaire dans lequel l’usage et le recyclage des matériaux seraient infinis. 

Retour à la consigne 

 

En France, la consigne a disparu partout sauf :

  • En Alsace, où il existe encore un réseau moderne et efficace soutenu par des entreprises de brasserie, des associations et les citoyens8 ;
  • Dans certains restaurants ayant gardé cette habitude.

    Ailleurs, cette pratique a été abandonnée. 

    Pourtant, il s’agit sans doute d’un des seuls systèmes qui puissent à court terme nous permettre de faire baisser notre niveau de déchets et de limiter la pollution causée par ces derniers. 

    Mais cela suppose une volonté politique forte

    Pour que la consigne revienne et qu’elle soit efficace, il faudrait commencer par :

    • interdire les emballages en plastique non recyclables ;
    • harmoniser, au niveau européen, les emballages en verre : cela suppose de standardiser les pots de yaourts, de confitures ou encore les bouteilles d’huile, etc. 
    • mettre en place une consigne incitative : en rendant les bouteilles achetées vous recevriez de l’argent ou des bons d’achat. 

    Ainsi l’initiative de l’action liée aux déchets changerait.

    Elle ne serait plus du côté des industriels qui peuvent se contenter de payer pour polluer mais du côté des consommateurs qui se mobiliseraient afin de faire des économies...

    Le nombre de déchets baisserait, ainsi que le coût du ramassage…

    Les communes ne diraient pas non !

    Solidairement,

    Julien 


    P.S. : Vous avez déjà signé cette pétition ? Faites passer le message à votre entourage : transférez tout simplement cet email à vos contacts ou partagez cet article sur Facebook en cliquant ici.

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    Consigne verre

    Bouteilles en verre : POUR le retour de la consigne

    88% des Français plébiscitent les emballages réemployables.

    Réutiliser les emballages permettrait d’économiser 75% d’énergie et 33% d’eau par rapport au recyclage et de réduire de 65 à 85% son impact environnemental global.

    Signez pour que des mesures concrètes soient inscrites dans la loi « anti-gaspillage ».

        Je signe la pétition    

    Références :

26/07/2020

Les 10 engagements en faveur d'une solidarité internationale pour l'accès à l'eau potable ...

 

Les 10 engagements d’urgence en faveur de Demandons l’accès à l’eau et à l’assainissement pour tous

1. Sauvons des vies grâce à l’accès à l’eau potable et à l’assainissement


2. Arrêtons de bafouer le droit humain à l’eau


3. Exigeons des États et des Nations Unies de respecter enfin leurs engagements


4. Mettons enfin les moyens financiers nécessaires à l’atteinte de l’ODD 6


5. Appelons à une meilleure coordination des Objectifs du Développement Durable


6. Appelons les grandes institutions de développement à gagner en rapidité, en souplesse, en partenariat et en impact


7. Préservons l’eau, préservons la paix !


8. Appelons les Nations Unies à mettre en place un comité intergouvernemental de l’eau


9. Appelons la France à augmenter son Aide Publique au Développement, ainsi que la part dédiée à l’aide humanitaire


10. Donnons l’exemple


En signant notre manifeste, vous participerez aussi gratuitement au Tirage au Sort pour gagner une rencontre avec les volontaires de l'association au siège de Solidarités International

7.344 signatures
 
 
 

25/07/2020

Creusons des puits et non des tombes par Solidarités internationale!

 

 
 
 

10/06/2020

Faudrait-il fermer le réacteur obsolète du Tricastin?

 

 
 
 
 

27/04/2020

Appel du Secrétaire Général de l'ONU en faveur de la défense des femmes dans le monde...

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a lancé dimanche un appel mondial à protéger les femmes et jeunes filles "à la maison", alors que le confinement provoqué par la pandémie de Covid-19 exacerbe les violences conjugales et dans les familles.
"La violence ne se cantonne pas aux champs de bataille", a-t-il souligné dans un communiqué et une vidéo en anglais sous-titrée en français, arabe, espagnol, chinois ou russe, en rappelant son appel récent à un cessez-le-feu sur tous les théâtres de guerre pour mieux lutter contre la maladie.
"Malheureusement, de nombreuses femmes et jeunes filles se retrouvent particulièrement exposées à la violence précisément là où elles devraient en être protégées. Dans leurs propres foyers. C'est la raison pour laquelle je lance aujourd'hui un nouvel appel pour la paix à la maison, dans les foyers, à travers le monde entier"."Ces dernières semaines, tandis que s'aggravaient les pressions économiques et sociales et que la peur s'installait, le monde a connu une horrible flambée de violence domestique", a déploré le chef de l'ONU.
"J'engage tous les gouvernements à prendre des mesures de prévention de la violence contre les femmes et à prévoir des recours pour les victimes dans le cadre de leur plan d'action national face au Covid-19", a-t-il ajouté.
En réclamant que la justice continue de poursuivre les coupables, Antonio Guterres a notamment demandé la mise en place de "systèmes d'alerte d'urgence dans les pharmacies et les magasins d'alimentation", seules enseignes à rester ouvertes dans de nombreux pays.
Il faut "faire en sorte que les femmes puissent demander de l'aide de manière sûre, sans que ceux qui les maltraitent s'en rendent compte", a-t-il insisté.
Selon l'ONU, qui dit ne pas être en mesure à ce stade de quantifier le nombre de femmes ou jeunes filles subissant dans le monde des violences familiales en raison du confinement, une femme sur trois expérimente la violence durant sa vie.
- France, Turquie, Inde... -
Aujourd'hui, avec la pandémie, de nombreuses femmes sont prises au piège dans leur maison avec leur agresseur et le phénomène peut concerner tous les pays, constatent les Nations unies.
Ainsi, aux Etats-Unis, plusieurs villes ont rapporté un nombre croissant de cas de violences familiales et d'appels à ce sujet. En Inde, le nombre de dossiers a doublé au cours de la première semaine de restriction de mouvements, selon la Commission nationale pour les femmes.
Des militantes turques ont de leur côté appelé à une meilleure protection des femmes en raison d'un accroissement des meurtres les visant depuis la recommandation du confinement faite par le gouvernement le 11 mars.
La première semaine de restrictions en Afrique du Sud s'est traduite par près de 90.000 plaintes de violence, tandis qu'en France, la violence domestique a cru d'un tiers en une semaine.
Le gouvernement australien a rapporté pour sa part avoir constaté une augmentation de 75% des recherches sur internet pour un soutien face à des violences dans les foyers.
Les exemples ci-dessus ont été rapportés par des organisations ou des pays ayant des systèmes établis pour la protection des femmes. Alors que le virus se répand, les Nations unies disent s'attendre à avoir moins d'informations de pays disposant d'institutions faibles, avec des chiffres ne reflétant que le sommet de l'iceberg et les pires cas.
"Ensemble, nous pouvons et devons empêcher la violence partout, dans les zones de guerre comme dans les foyers, tandis que nous nous efforçons de vaincre le Covid-19", a plaidé Antonio Guterres.
L'ONU juge enfin que les violences faites aux femmes risquent de prendre des tournures plus complexes: l'exposition au coronavirus utilisé comme une menace, femmes expulsées de leur domicile sans endroit où aller, police et justice submergées et faisant des priorités...
A ce sujet, l'ONU pousse les gouvernements à continuer à prévoir des abris pour les femmes abusées et de garder ce dossier dans leur définition des services essentiels.
(prh/ybl). Selon AFP - AFP - lundi 6 avril 2020

15/03/2020

Changement climatique: pétition en faveur de l'avenir de nos enfants et petits-enfants...

A l'attention des préfets de région, chargés de la protection des populations face aux risques du changement climatique; En tant que parents responsables et inquiets pour la vie de nos enfants, nous soutenons  cette pétition :...

 

Afin d’assurer un avenir à nos enfants, et devant le constat que les politiques de croissance verte sont trop lentes (- 13% d'énergies renouvelables en moins dans la part de l'énergie en 2016) nous vous assurons de notre soutien si vous décidez de mettre en place des mesures radicales d’urgence de protection des populations. Nous sommes prêts à accepter les conséquences économiques et la baisse de notre confort d'un État d'urgence climatique. Mais nous sommes des citoyens informés, et nous ne nous faisons plus bernés par les mots et les discours : nous savons qu'un plan Marshall environnemental digne de ce nom doit obligatoirement contenir dans son programme :


  • Une réduction des productions non essentielles (gadgets hi-tech, emballages plastiques, produits de luxe...), dont la perte en emplois sera compensée par des programmes de reconversion des salariés dans les métiers de la réparation et du recyclage.
  • Une reconversion aux énergies renouvelables des industries fonctionnant encore aux énergies fossiles.
  • Une généralisation du fret de marchandises sur voies ferrées et fluviales et des transports en commun pour les personnes (transports : +11% des GES en 2017 en France). 
  • Arrêt des subventions à l’agriculture conventionnelle au profit de l'agriculture de conservation; limitation des élevages industriels (18% des émissions de GES et gaspillage des eaux potables) et des céréales destinées à ces élevages.
  • Limitation des grands projets immobiliers (bâtiment : +23% des GES en 2017 en France), notamment sur des terres agricoles : l’équivalent d’un terrain de foot de terre agricole disparaît en France toute les 5 minutes ! Protégeons la souveraineté alimentaire de nos enfants !

Aucun programme de transition qui ne reprenne ces points essentiels ne peut être sérieusement reconnu comme tel. Si la vie de nos enfants continue d’être mise en danger pour maintenir une politique économique idéologique fondée sur la croissance au péril de la vie, sans que les préfets n’interviennent, il est à prévoir que certains d'entre nous, par amour pour leurs enfants, prendront eux-mêmes des mesures de protection, et vous ne pourrez alors leur en tenir rigueur, puisqu'ils auront paré à vos manquements...


Avec tout le respect que nous gardons pour l’instant pour la noblesse de vos missions ;


Des parents inquiets pour la vie de leurs enfants.

 

49.237 signatures

Pétition soutenue par un Super contributeur

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16/12/2019

A Grenoble, Mr Eric Piolle, candidat vert, est en bonne posture pour les Municipales...

Elu maire de Grenoble en 2014 « à la surprise générale », comme il le rappelle dans un livre qui vient de paraître*, Eric Piolle est, cinq ans plus tard, donné favori par les sondages pour les municipales de mars 2020. A l’heure où, partout en France, les listes sont en train d’être constituées, on s’active au siège d’Europe Ecologie-Les Verts pour dupliquer l’expérience grenobloise – un attelage hétéroclite d’hommes et de femmes emmené par un écologiste. Avec succès.
Lire aussi:EELV : Eva Sas ou le pari de la ligne Jadot
Portées par la vague verte des européennes, les équipes composées de citoyens d’horizons divers sont désormais tirées par une tête de liste du parti. Dans au moins 37 des 40 villes de plus de 100 000 habitants, les écolos ont leur candidat. En 2014, ce n’était le cas que dans 17 d’entre elles. Ainsi, à Nice, pour la première fois, un prétendant à la mairie portera les couleurs d’EELV. Idem à Besançon, où Génération.s, PC et PS sont sous la bannière verte. Un inversement des rôles : longtemps les écolos se sont présentés sur des listes socialistes. Un changement d’échelle aussi pour le parti, qui, au premier tour en 2014, avait cumulé seulement 254 828 voix, soit 1,16 % des bulletins. Aujourd’hui, partout où des écologistes se présentent, ils sont presque assurés de franchir la barre des 5 % nécessaires au remboursement des frais de campagne.

Les écologistes espèrent garder Grenoble et en remporter au moins une autre de plus de 100 000 habitants
« On veut confirmer nos résultats des européennes, multiplier le nombre de nos élus et de nos maires, assure Bruno Bernard, secrétaire national en charge des élections et candidat à la métropole de Lyon. Les sondages, sauf à Paris, nous donnent au-dessus de nos scores aux européennes. » Et s’il concède que, « dans les grandes villes, ce n’est pas si fréquent que le maire change », les écologistes espèrent garder Grenoble et en remporter au moins une autre de plus de 100 000 habitants. Yannick Jadot a affiché des ambitions pour Paris, Toulouse, Nantes et Rennes. Des chances sont réelles à Besançon, Rouen, Strasbourg ou Montpellier. Le siège a mis à disposition de ses candidats une charte graphique, des outils pour faciliter les prêts de sympathisants et un site Internet au service des listes. Pour la première fois de leur histoire, les écologistes sont en mesure d’avoir des candidats dans presque toutes les villes. Et, qui sait, d’y créer la surprise.
* « Grandir ensemble », d’Eric Piolle, éd. Les liens qui libèrent.

Selon Caroline Fontaine - Paris Match - vendredi 8 novembre 2019

22/07/2019

A propos du déremboursement de l'homéopathie...

Ces parlementaires LR, UDI et indépendants, PS, Libertés et territoires, LREM et MoDem demandent « au gouvernement de maintenir le niveau de remboursement à 30% de cette méthode thérapeutique »

Quarante-cinq députés de tous bords, y compris de la majorité, disent « non au déremboursement de l'homéopathie » dans une tribune publiée par Le Journal du Dimanche, après la décision du gouvernement d'un déremboursement total.
« L’homéopathie répond à un réel besoin médical. Elle contribue indéniablement à diminuer la consommation médicamenteuse et ainsi à combattre l’antibiorésistance, reconnue comme un problème majeur en termes de santé humaine et animale au niveau international », affirment ces parlementaires LR, UDI et indépendants, PS, Libertés et territoires, LREM ainsi que MoDem.
L’homéopathie, « fake médecine » ?
« Il est difficile d’accepter l’idée selon laquelle cette pratique, qui a longtemps été reconnue par les autorités et la communauté médicale, exercée pendant plus de deux cents ans par des médecins formés, et inscrite à la pharmacopée française en 1965, puisse soudainement être reléguée au rang de "fake médecine" », soulignent ces élus, dont cinq « marcheurs », parmi lesquels Jean-François Cesarini et Blandine Brocard qui s’était élevée contre l’extension des vaccins obligatoires au début du quinquennat.
Ces députés jugent que « face aux prises de positions virulentes qui ont émergé ces dernières semaines dans le débat public, alors que des millions de Français affirment constater des bienfaits, il est intéressant de se demander pourquoi l’homéopathie dérange ».
« Un fort pourcentage de report vers la médecine traditionnelle » à craindre
« Le déremboursement total de l’homéopathie entraînera inévitablement un fort pourcentage de report vers la médecine traditionnelle, plus coûteuse et présentant également davantage de risques d’effets indésirables et secondaires », jugent-ils, demandant donc « au gouvernement de maintenir le niveau de remboursement à 30 % de cette méthode thérapeutique ».
L’homéopathie ne sera plus remboursée par la sécurité sociale d’ici à un an et demi, a tranché début juillet le gouvernement, se rangeant ainsi à l’avis de la Haute autorité de santé (HAS) qui avait conclu à l'absence d'efficacité avérée de ces produits pharmaceutiques.

20 Minutes avec AFP - 20 Minutes - dimanche 21 juillet 2019

 

Par ailleurs, à propos de l'Homéopathie déremboursée : Boiron annonce "faire un recours au conseil d'État" sur RTL. A suivre! Une pétition circule à nouveau.

Lyliane

30/04/2019

Paris voit rouge...

Mme Weronika Zarachowicz dans le journal Télérama rappelle que plus de 600 000 Français ont signé une pétition pour l'interdiction de tous les pesticides dans notre pays intitulée:" Nous voulons des coquelicots". Cette pétition avait été lancée en septembre 2018 par Mr F. Veillerette de l'ONG Générations futures et le journaliste Mr F. Nicolino.

Aujourd'hui, selon Télérama, l'appel a une allié de poids:Paris. En effet, à partit=r du 19/4/2019, la Mairie de Paris organisera des semis "participatifs" de pavots et autres fleurs des champs, en invitantest parmi les plus pauvres les Parisiens à colorier de rouge le terre-plein du Trocadéro, le Parvis de l'Hôtel de Ville et une dizaine de parcelles à travers la capitale.

Si Paris est "une ville déja acquise au "sans pesticides", elle est parmi les plus pauvres   en Europe en mètres carrés d'espaces verts par habitant". Et l'article souligne que la France reste la première utilisatrice de pesticides de l'Union Européenne. Alors, parisiens, surveillez la floraison en juillet de toutes ces graines! Et veillons tous ensemble à retrouver la beauté naturelle des fleurs sauvages,le pépiement des oiseaux et le bourdonnement des abeilles!

Pour en savoir plus, se reporter au site: https://nousvoulonsdescoquelicots.org.

Lyliane

26/04/2019

Pétition contre le déremboursement de l'homéopathie...

 

3 Français sur 4 sont opposés
au déremboursement de
l’homéopathie.

Dérembourser l’homéopathie ? Nous ne sommes pas d’accord !

Pourquoi est-il indispensable de se mobiliser ?

Parce que des millions de Français se soignent avec l’homéopathie, et ce depuis des générations.

Aujourd’hui, nous sommes 3 Français sur 4 à avoir déjà pris de l’homéopathie1.

Parce que nous avons le droit de choisir de nous soigner par une thérapeutique sûre, prescrite et conseillée par des professionnels de santé.

Cette liberté de choix est affirmée par la Charte européenne des droits des patients2.

Parce qu’en cas de déremboursement, il y aurait un transfert vers des médicaments plus coûteux pour la collectivité.

Le prix moyen des médicaments homéopathiques remboursables est de 2,70€ alors que le prix moyen des autres médicaments remboursables est de 9,90€3.

Parce que le remboursement favorise un usage encadré des médicaments homéopathiques par des professionnels de santé.

1 médecin généraliste sur 44 et 78% des sages-femmes libérales5 prescrivent régulièrement de l’homéopathie à leurs patients ; Plus de 21 000 officines y ont recours quotidiennement.

Parce que l’homéopathie en complément permet à certains patients de mieux supporter leurs traitements lourds.

Par exemple, 20% des patients atteints de cancer ont recours aux médicaments homéopathiques pour réduire les effets secondaires des traitements anti-cancéreux6.

Parce que l’homéopathie permet de limiter le recours à des traitements présentant des effets secondaires.

Les patients suivis par un médecin homéopathe prennent en moyenne 2 fois moins d’antibiotiques7 et d’anti-inflammatoires non stéroïdiens8, et 3 fois moins de psychotropes9 pour un résultat clinique équivalent.

Si vous voulez faire entendre votre voix pour une décision juste de santé publique : mobilisez-vous pour le maintien du remboursement de l’homéopathie.

Mon Homéo, Mon Choix !

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13/04/2019

Mobilisation climatique pour l'Affaire du Siècle...

Le journal La Bannière de Greenpeace nous parle de "justice climatique" au moment où, des rues au tribunal, des marches se multiplient et plus de deux millions de personnes soutiennent le recours juridique de l'Affaire du Siècle. Ce recours en justice contre l'Etat français pour "inaction climatique", à l'initiative de Greenpeace France, Notre Affaire à tous, la Fondation pour la nature et l'Homme et Oxfam France, a eu un retentissement inattendu en ligne.

L'Affaire du Siècle s'inscrit dans un mouvement mondial pour la justice climatique en cours pour "contraindre entreprises et gouvernements à tenir compte de l'urgence climatique". Des personnalités (Cyril Dion, Marion Cotillard...) ont mis leur notoriété au service de cette préoccupation d'un large public. Il s'agit, à travers un recours administratif de faire constater la carence fautive de l'administration publique, notamment l'autorisation des forages pétroliers au large de la Guyane. Le gouvernement français a réagi par la voix de son Ministre de la Transition écologique et critiqué la méthode utilisée.

Signe encourageant: de plus en plus de jeunes, du lycée à l'Université, se mobilisent pour le climat, à l'image de Melle Greta Thunberg, une jeune suédoise, qui a lancé une grève de l'école tous les vendredi pour le climat. Pour en savoir plus et soutenir le recours, consulter: www.greenpeace.fr/laffaire-du-siecle.

Lyliane

 

12/04/2019

Pétition nationale contre le déploiement des antennes 5G.

GRANDE PÉTITION

Oui, je signe la Pétition Nationale

contre le déploiement des antennes 5G !

À Monsieur le Président de la République, Emmanuel Macron,

L’Arcep a ouvert, en début 2018, le guichet « pilotes 5G », qui permet de délivrer des autorisations d’utilisation de fréquences dans les bandes pressenties pour la 5G.

La France prévoit l’installation de réseaux 5G d’ici 2020 (dans moins de 12 mois).

Des fréquences allant de 3,5 à 26 GHz ont déjà été attribuées, sans qu’aucune étude scientifique confirmant l’absence d’impacts négatifs sur la santé par ces ondes n’ait été effectuée avant la prise d’une telle décision.

Nous sommes dans l’expérimentation à grande échelle.

Vous avez ignoré les 230 scientifiques de plus de 40 pays qui ont déjà donné l’alerte sur les dangers de la 5G, en créant le 5G Appeal [1].

Or, les preuves sont accablantes :

À cause des champs électromagnétiques actuels, 8% de la population est déjà atteinte du Syndrome d’électrosensibilité [8]. Leur vie est un cauchemar : maux de tête, acouphènes, insomnie, vertiges, maux de dents et de gencives, troubles du rythme cardiaque, douleurs articulaires, irritabilité, dépression, fatigue permanente, difficulté à se concentrer [9].

Des études ont déjà démontré que la 5G (tout comme la 3G et la 4G) peut réduire la fertilité masculine [4]. Souvenez-vous que la fertilité masculine a déjà diminué de moitié ces 40 dernières années.

D’autres études montrent les ondes 5G peuvent augmenter les risques de fausses couches [5].

Les études ont aussi montré que les ondes 5G sont cancérigènes. Elles augmentent particulièrement le risque de tumeur au cerveau [6]Les sujets les plus à risques sont les enfants et les adolescents, qui sont plus sensibles à ces rayonnements que les adultes [7].

Devant une menace potentielle qui relève d’une telle ampleur, nous devons appliquer le principe de précaution qui dit que :

« En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l’absence de certitude absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l’adoption de mesures effectives, visant à prévenir la dégradation de l’environnement ».

En l’occurrence, il en va de notre environnement (santé des plantes et des animaux), de notre santé et de celle de nos enfants et petits-enfants.

Nous tous, parents, grands-parents, citoyens, médecins, scientifiques, nous nous tournons vers vous, Monsieur le Président de la République, pour vous demander d’arrêter le déploiement du réseau 5G et de vous engager à réduire l’exposition de la population française aux champs électromagnétiques, conformément à la Résolution 1815 du Conseil de l’Europe (27 mai 2011) [3].

Notre santé et celle de nos enfants ne peut pas être sacrifiée sur l’autel d’un profit que se partageront une poignée d’industriels des télécoms peu scrupuleux.

Veuillez agréer Monsieur le Président de la République, l’expression de mes salutations respectueuses.

26/03/2019

Conditions inhumaines, torture et harcèlement sexuel...


 
 
 
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Conditions inhumaines, torture et harcèlement sexuel...

 
 
 
 

 


 
   
 
 
 
 
Chère amie, cher ami,

A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Reporters sans frontières (RSF) rappelle que 27 journalistes femmes sont actuellement détenues à travers le monde.Certaines d’entre elles sont emprisonnées dans des conditions inhumaines, victimes de torture et de harcèlement sexuel.

C'est le cas notamment en Arabie Saoudite d'Eman al Nafjan, la fondatrice du blog Saudiwoman et de la blogueuse Nouf Abdulaziz Al Jerawi, qui contribuait notamment au site The Arab Noon. Elles font partie, selon l’organisation saoudienne Al-Qst, des militantes féministes qui ont été torturées après leur arrestation au printemps 2018. L’ONG précise que certaines militantes ont été aussi harcelées sexuellement, déshabillées, photographiées nues et forcées à embrasser d’autres prisonnières.

Aidez-nous à obtenir leur libération immédiate et sans conditions.

Soutenez nos actions en faisant un don à Reporters sans frontières sur donate.rsf.org

Merci,
--
L’équipe de Reporters sans frontières
 
 
 

Reporters sans frontières communication@rsf.org via mailchimpapp.net 

Reporters sans frontières

24/03/2019

Avec Care, vous aussi, faites entendre votre message pour l’égalité !

 

 

 
 
 
 
       
 
 
 
 
 
 
1 femme sur 3 est victime de violence au cours de sa vie
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Bonjour


Vous avez testé vos connaissances sur les préjugés envers les femmes grâce à notre quiz. Certains chiffres vous ont sans doute alarmé. 

En effet, la situation est dramatique. Dans de nombreux pays, des lois sexistes continuent de régir la vie de milliers de femmes. Elles subissent des discriminations en matière d’accès à la santé, à l’éducation, et leurs droits sont bafoués. 

De plus en plus, les femmes dénoncent les violences et les inégalités qu’elles subissent, mais il y a encore tant de choses à dire. Vous aussi, vous pouvez jouer un rôle dans ce combat.  

En savoir plus

 

Est-ce que vos proches sont conscients de la situation ? Savent-ils réellement ce que vivent les femmes dans le monde ?  

Ces chiffres accablants doivent être connus de toutes et tous. En partageant ce quiz auprès de votre entourage, vous participez à la prise de conscience globale. 

Merci d’avance d’être avec nous dans ce combat et de partager ce quiz.
 

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17/03/2019

Plastiques, que faire pour mieux les recycler et arriver à les réduire?

L'Association Agir pour l'environnement lance une campagne jusqu'au 31 /12/2019, en interpellant Mr le ministre de la transition écologique et solidaire, afin d'interdire les plastiques à usage unique et d'informer au sujet de la production polluante et dangereuse des matières plastiques et du gaspillage d'une ressource non renouvelable. Depuis les années 50, en effet, l'industrie chimique mondiale a produit 8,3 milliards de tonnes de plastique. Or, seuls 9% de ces plastiques ont fait l'objet d'un recyclage, 12% ont été incinérés et 79% ont terminé en décharge ou ont contaminé l'environnement.Il nous faut réagir vite, sinon ce seront 12 milliards de tonnes supplémentaires qui connaîtront le même sort d'ici 2050...

Il faut savoir que 582 molécules sont autorisées comme additifs ou auxiliaires de production de polymères. Outre cela, une multitude d'autres polymères (fibres textiles synthétiques, caoutchouc synthétique, sacs, bouteilles, emballages, filets de pêche...) produisent les 2/3 des rejets directs de débris de micro-plastiques dans nos océans. On estime en effet à 8 millions de tonnes les plastiques finissant à la mer. C'est notamment ce fameux septième continent au coeur de l'Océan Pacifique. Plastique contre plancton, c'est une véritable "bombe à retardement"!

Trop de substances dangereuses sont encore présentes dans nos produits de consommation pour autoriser leur recyclage en toute sécurité pour la santé ou l'environnement. Des lobbies essayent pourtant de faire croire aux pouvoirs publics  que cette contamination est mineure. Or il n'en n'est rien! L'Association Agir pour l'environnement demande à travers cette campagne:

- d'interdire les plastiques à usage unique (bouteilles, cotons-tige,verres et assiettes jetables...), les suremballages, les films plastiques...

- de déclarer la composition complète des plastiques et de leurs additifs, pour mettre en place un système de traçabilité.

- de faire adopter par la commande publique d'ici fin 2020 un plan de sortie  des plastiques à usage unique, l'amorce d'une ample"déplastification des lieux publics" comme maternités, hôpitaux...

Bref, il s'agit de montrer que la sécurité sanitaire et environnementale vis à vis des plastiques est pour le moment une faillite complète dans notre pays. Ce constat devrait enfin mettre en mouvement les agences chargées de veiller à notre santé comme par exemple l'ANSES, l'Agence de l'eau et l'Ademe. A nous de peser sur la législation et de demander que les choix politiques et économiques du pays soient réorientés pour minimiser la menace qui nous vise tout comme nos descendants.

Pour en savoir davantage, joindre sur Internet: www.agirpourlenvironnement.fr

Lyliane

 

16/03/2019

PÉTITION - L'état doit payer ses dettes aux agriculteurs bio !

 

 
 
 
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A L'AIDE : L'état
 
 
// PETITION - Trois de retard dans le versement des aides aux paysans bio... ça suffit ! Interpellons massivement le ministre de l'Agriculture !
 
 
Malgré ses engagements, l’Etat n’a toujours pas versé la totalité des aides promises depuis 2016, mettant ainsi en difficulté des milliers d’agriculteurs bio. Certains agriculteurs ont jusque 30 000 euros de retard de paiement leur causant un grave préjudice financier.
 
Depuis plusieurs années, nous constatons que les politiques publiques négligent voire entravent le développement de l’agriculture biologique.
 
 
Alors même que toutes les études agronomiques et écologiques plébiscitent l’agriculture bio en tant que solution d’avenir face aux crises du climat et de la biodiversité, alors que les consommateurs et de plus en plus d’agriculteurs souhaitent se tourner vers la bio, jamais le soutien des pouvoirs publics n’aura été aussi faible.
Agir pour l'environnement

15/03/2019

Climat : les jeunes se mobilisent et vous ?

MesOpinions.com : le site de pétition et sondage en ligne
Strike global for future 
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Notre lycée, Léonard de Vinci, qui se situe aux Haute Loire à décidé d’agir.
Voir notre planète mourir, sans rien faire n’est pas concevable pour nous.

Un petit groupe d’élèves dont je fais partie à décider de suivre le mouvement de manifestation.
Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
Nous souhaitons faire bouger les choses à notre échelle.

Nous aimerions énormément que notre département se montre présent.
On veut que l’état, le gouvernement nous écoute et qu'ensemble on trouve des solutions.Notre manifestation doit être entendue mais sans réelle personne influente cela reste impossible.
Nous voulons que les médias se bougent et parlent de notre mouvement pour que d’autre lycée de notre département fasse aussi des manifestations.

Notre région doit agir, elle doit montrer sa colère. Nous sommes l’avenir mais sans notre source de vie, la Terre nous n’y arriverons pas..

Signez la pétition.

Grâce à elle nous pourrons peut-être avoir un impact un peu plus médiatisée en contactant un journal.

Merci d’avoir pris le temps de lire

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Voir notre planète mourir, sans rien faire n’est pas concevable pour nous.

Un petit groupe d’élèves dont je fais partie à décider de suivre le mouvement de manifestation.
Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
Nous souhaitons faire bouger les choses à notre échelle.

Nous aimerions énormément que notre département se montre présent.
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Notre région doit agir, elle doit montrer sa colère. Nous sommes l’avenir mais sans notre source de vie, la Terre nous n’y arriverons pas..

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Voir notre planète mourir, sans rien faire n’est pas concevable pour nous.

Un petit groupe d’élèves dont je fais partie à décider de suivre le mouvement de manifestation.
Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
Nous souhaitons faire bouger les choses à notre échelle.

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20/02/2019

Votre voix compte pour la forêt!

Madame/Monsieur,

La forêt accueille une diversité d’activités de type récréatives et économiques. Leur bonne cohabitation est essentielle !

Pour ce faire, l'association Forêt Modèle de Provence réalise actuellement une enquête afin de comprendre le point du grand public et particulièrement des personnes engagées dans le secteur de l’environnement sur la gestion forestière.


C'est pourquoi votre avis, quel qu'il soit, est précieux !

Ainsi, nous comptons sur vous pour répondre au questionnaire (2-3 min.) qui vous correspond le plus parmi les deux suivants :

  1. destiné aux environnementalistes/écologistes (si vous vous considérez particulièrement sensible à la protection de l'environnement) :https://app.evalandgo.com/s/?id=JTk2byU5N2glOTYlQjE=&a=JTk1ciU5OWslOUUlQUU=&cqid=JTk1biU5OWklOTklQjBncg==
  2. destiné au grand public (dans le cas contraire) : https://app.evalandgo.com/s/?id=JTk2byU5N2slOUYlQTk=&a=JTk1ciU5OWslOUUlQUU=

Nous vous remercions par avance pour votre intérêt et contribution,

Forestières salutations.

Forêt Modèle de Provence

09/12/2018

Comment secourir les défenseurs des Droits Humains dans le monde?

Une ONG s'est particulièrement engagée dans la défense des Droits Humains partout dans le monde: c'est Amnesty International. Face à la montée des populismes et des politiques de "diabolisation", la mobilisation et la solidarité au niveau mondial sont très importants pour quelqu'un qui se trouve en prison. Que ce soit en Afrique du Sud pour Mme Nonhle Mbuthuma qui défend sa communauté, au Maroc en faveur de Mme Nawal Benaissa qui milite pour plus de justice sociale ou en Ukraine où Mme Vitalina Koval défend les droits des LGBTI, nous devons demander d'arrêter les harcèlements encourus par ces femmes courageuses dont la vie même est menacée.

Justice doit être rendue et libération décidée pour des femmes autochtones comme Mme Pavitri Manjhi en Inde et le peuple sengwer au Kenya. Partout des femmes font face à des persécutions dans leur pays. Elles sont harcelées sexuellement, retenues en prison voire assassinée, simplement parce qu'elles ont osé demander le respect de la dignité et de la liberté pour tous. En Iran par exemple, Mme Alena Daemi ainsi qu'un groupe de 9 femmes sont retenues en prison pour avoir dénoncé la peine de mort dans leur pays. Demandons leur libération inconditionnelle, car elles sont détenues dans des conditions matérielles indignes.

L'opération "10 jours pour signer" d'Amnesty International, dans le numéro spécial de sa Lettre, est destinée à protéger ces femmes de façon urgente en se mobilisant en leur faveur. Du 1er et au 10 décembre 2018, apportons vite notre soutien à ces courageuses femmes qui sont en danger de mort pour avoir osé exprimer leurs opinions."Grâce à nos courriers aux autorités, leurs vies pourrait s'améliorer ou être sauvées" comme l'exprime Mme Cécile Coudriou, Présidente d'Amnesty International.

Pour agir, envoyer des dons ou des courriers, contacter le Service Donateur d'Amnesty International à Paris Cédex 19 au 76, Boulevard de la Villette ou sur Facebook: facebook.com/amnestyfr.

Lyliane

 

26/11/2018

Appel pour un pacte Finance Climat Européen...

25 nov. 2018 — 

Nicolas Hulot, dans "L’Émission Politique" du 22 novembre 2018 sur France 2, a évoqué à la 48ème minute une priorité relative à un financement massif européen de la transition écologique.

Il s'agit de l' "Appel pour un Pacte Finance Climat Européen" que les signataires de la pétition qui ont rejoint Loomio soutiennent et vous invitent à signer, soutenir et relayer à votre tour.

Il manque encore une cinquantaine de député-es (que vous pourrez solliciter grâce au site) pour que ce Pacte soit sur la table de travail tandis que la COP24 démarre dans une semaine.

Valérie, pour un Climat de Changement*

*Petit teaser, on vous prépare pas mal de nouveautés prochainement :)


Continuez à vous battre pour le pouvoir citoyen

17/11/2018

Une pétition en faveur du bien-être animal avec Elevages sans frontières...

Depuis une cinquantaine d’années, le secteur de l’élevage s’est considérablement transformé, suivant une logique productiviste entraînant des effets néfastes sur les personnes, les animaux et l'environnement.


Les « Fermes-usines » qui se développent en Occident produisent aujourd’hui des milliers de tonnes de viande, d’œufs et de lait à des prix abordables. Pourtant, derrière cette apparente avancée dans l’accès aux produits carnés se cachent une réalité économique et des pratiques souvent ravageuses : isolement des éleveurs paysans, mal-être animal, gaspillage de ressources naturelles pourtant limitées, pollutions à l’azote, aux nitrates et aux antibiotiques, baisse de la biodiversité et destruction des paysages naturels.


Il est urgent de dire Stop à ces pratiques dévastatrices !


Afin de construire un modèle d’élevage respectueux et durable, nous interpellons le successeur de Mr Stéphane Travert, Ministre de l’agriculture et de l’alimentation, afin de :


- limiter la taille des exploitations bovines à 1 are de pâturage par jour


- interdire le « Zéro-pâturage » destructeur et promouvoir à la place l’élevage en prairie


- restreindre les subventions accordées aux géants de l’agroalimentaire


- investir massivement dans les initiatives de ventes en circuits courts et en bio.


Nous sommes convaincus qu’un autre modèle agricole est possible, que nous avons le pouvoir de changer la donne.


Nous sommes déterminés à agir et rassembler toutes les énergies pour y arriver.
Et vous ?


Qui sommes-nous ?


Depuis 15 ans, Elevages sans frontières accompagne des éleveurs de pays plus pauvres dans le développement d’élevages à tailles humaines, respectueux des êtres vivants et de l’environnement. L’association de solidarité internationale se positionne comme défenseuse d'une agriculture responsable, source d'une alimentation saine, d'emplois et de diversité.


Elevages sans frontières oppose à l'expansion de ces pratiques intensives la promotion d'un élevage familial, bénéfique pour des milliers de familles vivant de l'agriculture et disposant de ressources naturelles de plus en plus limitées.

Signez la pétition !

15/11/2018

Pétition contre le contournement ouest de Strasbourg (suite)

15 nov. 2018 — 

Le combat pour la planète et la vie se joue chaque jour sur le terrain. Soutenons ceux qui luttent contre un projet d’infrastructure d’un autre temps : le Grand Contournement Ouest de Strasbourg ! Signez leur pétition ici : http://bit.ly/petitionGCO et faites circuler le message !

Le projet de Grand Contournement Ouest (GCO) de Strasbourg, c’est 24 km d'autoroute à péage qui passeront à travers les terres parmi les plus fertiles d'Alsace et des biotopes abritant des espèces protégées.

Le motif du projet est le désengorgement de l'accès à Strasbourg. Mais ce projet d'infrastructure aura très certainement l'effet inverse, en facilitant le fret routier et en créant un appel d'air pour des dizaines de milliers de camions. Au-delà des zones dévastées localement, à l'heure où nous savons qu'il est urgent de réduire drastiquement le transport routier, ce projet est une absurdité climatique.

Au péril de leurs vies, six personnes poursuivent une grève de la faim depuis désormais plus de trois semaines, sans résultat : les travaux se poursuivent, et les gendarmes sont mobilisés pour s’assurer que les militants présents sur place ne gênent pas leur avancée.

En solidarité avec ceux qui luttent pour notre avenir à tous, contre l’absurdité d’une société aveugle et destructrice, faites passer le message !

Merci à tous.

Pour en savoir plus, je vous invite à explorer le site GCO Non Merci : http://bit.ly/GCONonMerci

Une autre pétition circule à ce sujet sur Change.org : http://bit.ly/petitionGCO-2


    En soutien solidaire
    Lyliane

 

 

08/11/2018

Et si on arrêtait de boire à la paille en plastique?

Une initiative parmi d'autres pour dire stop à ces petits objets plastiques que sont les pailles, qu'il est pratiquement impossible de recycler, est mise en avant par Mme Aurore Harrouis, journaliste à Nice-Matin. Il y aurait chaque jour 1 milliard de pailles qui seraient jetées dans la nature selon l'e rapport international Coastal Cleanup  qui recense des données à ce sujet dans 112 pays. Il existe en outre des alternatives aux pailles en plastique: des pailles en bambou ou en inox.

Pour se convaincre du danger que représentent ces pailles en plastique, il suffit de regarder la vidéo sur You Tube qui a montré dès 2015 une tortue de mer près du Costa Rica, obligée de se faire extraire une paille coincée dans une de ses narines. Cet objet apparemment innocent est pourtant "un fléau dans la lutte contre les déchets" si l'on en croit Mme Sarah Burdairon, qui fait partie d'une association engagée dans l'interdiction des pailles en plastique à Nice. Car 450 ans après, on retrouve encore ces pailles dans nos océans!

Des grandes enseignes au Royaume-Uni et même en France (Franprix, Mc Donald's ou Hilton) ont commencé à s'en préoccuper. A Monaco, depuis juin 2018, l'Hôtel Métropole a acheté des modèles en amidon de maïs. Comment sensibiliser un maximum de  professionnels et d'établissements servant des boissons dans notre pays? Nous pourrions par exemple inciter les cafetiers à investir dans des pailles en inox qui se lavent à 90° et sont réutilisables. Les particuliers pourraient faire de même. Commander alors ces pailles durables sur le site Internet: www.gaspajoe.fr.

Le collectif "Bas les pailles" a lancé une pétition déjà signée par 175 000 personnes. Pour ajouter sa signature, contacter le site suivant:

 
 
 
 
 
https://www.change.org/p/interdisons-les-pailles-en-plastique-en-france-baslespailles
 
 
Lyliane
 
 

07/11/2018

Liberté et relaxe pour les 7 arrêtés de Briançon...

 

 
 
 

 


Mise à jour sur la pétition

Liberté et relaxe pour les 7 de Briançon

Accueil RÉFUGIÉS
France

4 nov. 2018 — 

Les citoyens et les organisations solidaires des Alpes-Maritimes qui œuvrent ensemble pour le respect des droits fondamentaux des personnes, en particulier des plus vulnérables, les personnes migrant.e.s, affirment leur total soutien aux 4 + 3 citoyens de Briançon poursuivis à Gap, le 8 novembre, et s’associent pleinement à leur devoir de résistance. D’une frontière l’autre dans l’arc alpin, dans les Hautes-Alpes comme dans les Alpes-Maritimes, et ailleurs en France, le gouvernement français ne saurait faire oublier que les pouvoirs publics bafouent ces droits tous les jours, ainsi que le soulignent les multiples rapports d’organismes officiels et d’associations nationales et internationales, suite à des veilles et des enquêtes (cf. les liens ci-dessous *). Nous continuerons toutes et tous de lutter contre ce scandale permanent. La solidarité n'a pas de frontière. A l’heure où les activistes d’extrême droite qui encouragent la haine et le rejet ne sont pas poursuivis, et sont donc implicitement protégés, nous appelons à une présence forte et ferme le 8 novembre à 8 H à GAP

COVOITURAGE, départs de la ROYA, de NICE, et de CANNES: somico06.contact@gmail.com

20/10/2018

Pétition pour le retour du métier d'herboriste...

Pétition pour le retour du métier d’herboriste

 

Madame la Ministre,

Le certificat d’herboriste a été supprimé le 11 septembre 1941 par le Gouvernement de Vichy. C’est une des seules lois de Vichy qui n’ait pas été abolie à la Libération.

Aujourd’hui, nous en mesurons les conséquences dramatiques par :

  • La quasi-disparition des herboristeries en France (il n’en reste que 15 qui tentent de survivre malgré un cadre législatif trop flou)
  • Le saccage de la filière française cultivateurs et cueilleurs de plantes médicinales, qui ne compte plus que 89 membres répertoriés ;
  • L’inquiétant recul de la connaissance et de l’utilisation des plantes médicinales à la fois par le milieu médical et la population, malgré l’immense potentiel révélé par la recherche en botanique ;
  • La disparition programmée d’un savoir-faire ancestral multi-millénaire, les plantes ayant toujours été essentielles à l’humanité (mais aussi aux animaux) pour se soigner.

Suite à la mission d’information au Sénat portée par le sénateur Joël Labbé, nous vous demandons d’agir au plus vite pour rétablir un diplôme permettant la pratique du métier d’herboriste en toute légalité et pour la sécurité des consommateurs.

Aujourd’hui, l’Etat français ne reconnaît aucun diplôme officiel et ne propose aucun cadre législatif satisfaisant pour permettre à la population d’accéder plus facilement et en toute sécurité aux plantes médicinales.

La revalorisation du métier d’herboriste est une question centrale pour la prévention et le bien-être des populations. Mais c’est aussi un enjeu d’écologie, de développement du monde rural et d’emploi. C’est un enjeu de civilisation.

L’attente de nos concitoyens est considérable. Il est temps de redonner aux Français les mêmes droits que leurs voisins européens.

Au Royaume-Uni, en Suisse, en Allemagne et en Italie, les herboristes sont libres d’exercer et de faire le commerce des plantes médicinales. La Belgique offre même des formations diplômantes en herboristerie.

Le rétablissement du métier d’herboriste en France permettrait de :

  • Améliorer la protection des consommateurs et faciliter leur accès à ces remèdes naturels
  • Favoriser la qualité, la transparence et le respect des ressources
  • Rendre plus dynamique la filière agricole des plantes
  • Conserver notre patrimoine culturel commun que sont les plantes
  • Créer une nouvelle profession et de nouveaux emplois

Nous soutenons la démarche des instances représentatives des herboristes et nous demandons à ce que la mission d’information au Sénat aboutisse sur des mesures concrètes pour faire enfin renaître la profession d’herboriste.

Pour cela, nous demandons :

  • Le rétablissement d’un diplôme d’Etat d’herboriste et la reconnaissance de la profession
  • La possibilité pour les herboristes reconnus d’élargir la vente à l’ensemble des plantes de la pharmacopée, au-delà des 148 plantes actuellement autorisées.
  • Le droit pour les herboristes de donner des indications thérapeutiques lors de la vente de plantes médicinales.

En vous remerciant de votre attention, nous vous prions de croire, Madame la Ministre, en ma très haute considération.

Marie Gauthier pour Plantes & Bien-Être

 


Si ce n’est pas encore fait, rendez-vous vite ici. Mais surtout, faites circuler la pétition parmi tout votre entourage, c’est très urgent.

 

02/10/2018

Aider l'Aquarius en le faisant voguer sous pavillon français...

Depuis deux ans, l'Aquarius et son équipage ont sauvé la vie de 29 000 personnes au large de nos côtes.

Aujourd'hui privé de pavillon national, le bateau est menacé de ne plus pouvoir venir en aide aux milliers de naufragés.

Pierre demande à la France d'agir en accordant la nationalité française au bateau. Aidez-le à être entendu.

 
 
 
Adressée à Emmanuel Macron
L'Aquarius doit battre pavillon français !
 

Pétition de Pierre LUCOT
Paris, France

7 999
Signataires

 
 


Privé de pavillon par Gibraltar puis le 22 septembre par le Panama, l’Aquarius est aujourd’hui « hors la loi » au regard du droit maritime international.

Face à cette situation, SOS Mediterrannée et Médecins sans frontières "demandent aux gouvernements européens et notamment à la France autoriser l’Aquarius à poursuivre sa mission, en intercédant auprès des autorités panaméennes et en réaffirmant que les menaces de rétorsion formulées à leur égard par les autorités italiennes sont infondées, ou en lui délivrant immédiatement un nouveau pavillon sous lequel naviguer".

 
 
 
 
 
 
 
 

 

 
 
 
 
  
   
 
 
 

26/09/2018

Soyons tous unis contre le projet de Grand Contournement Ouest de Strasbourg !

Mais qu’est-ce que le GCO ? Le Grand Contournement Ouest de Strasbourg (GCO), ou A355, ou COS, est un projet d’autoroute à péage de 2x2 voies et de 24 km de long, qui relierait Vendenheim au nord, à Duttlenheim au sud, en passant à toute proximité d’une grosse vingtaine de communes de la périphérie de Strasbourg. Sa réalisation a été confiée à ARCOS, une filiale du groupe de BTP Vinci. Selon la conclusion du rapport de la commission d'enquête publique de 2007, « le désengorgement de Strasbourg n’est ni l’enjeu ni l’objectif du GCO ». Il ne ferait qu’accroître jour et nuit un trafic poids lourds entre le nord et le sud de l’Europe, traversant l’Alsace de part en part sans s’arrêter, à des conditions tarifaires bradées au regard de l’Allemagne .

Cette autoroute de 24 km serait inutile pour les usagers qui se rendent à Strasbourg ou trop coûteuse pour les particuliers qui en auraient l’usage (environ 220 Euros mensuels). Elle serait par contre une aubaine pour les poids lourds nord-sud européens qui réaliseraient une économie représentant jusqu'à 80 % pour les plus polluants par rapport à la Lkw Maut allemande.

La seule étude sur la qualité de l’air disponible réalisée par l’ASPA pour évaluer l’impact polluant de cet ouvrage, atteste que l’ensemble de la région souffrira du dépassement des valeurs guides de l’OMS pour les particules fines et plus encore pour les ultra fines à l’origine d’une mort prématurée sur 6 dans le monde et de l’accroissement spectaculaire des AVC en Alsace, région de France la plus touchée par ce fléau. Comment ce couloir à poids lourds n’accroîtrait-il pas la pollution de manière considérable ?

Par ailleurs, tout en bénéficiant d’un financement via un prêt de la Banque Européenne d’Investissement à hauteur de 280 millions d’Euros, les recettes  à percevoir de ce projet tomberaient pendant 54 ans à 100% dans l’escarcelle de Vinci. » C'est dans ce contexte délétère que l’Eurométropole accepte aux côtés de l’Etat de bétonner 300 ha de terres agricoles exceptionnelles en saccageant la beauté de paysages que les commanditaires du GCO tiennent pour rien, en proposant de pseudo compensations environnementales. Il est indispensable que vous preniez conscience du caractère fallacieux des informations officielles du même ordre que les fables rassurantes après la catastrophe de Tchernobyl. Les procédures réglementaires à caractère formel n’ont d’autre but que de mener ce projet à terme au profit de la multinationale VINCI quelles qu’en soient les conséquences.

Compte tenu de l’état préoccupant du monde, stopper ce projet dévastateur constitue une obligation vitale pour nous et les générations à venir. Repenser les transports au niveau européen, créer un RER départemental et une écotaxe dissuasive pour les poids lourds, réhabiliter le fret ferroviaire, améliorer les transports collectifs, promouvoir le covoiturage, développer le dernier kilomètre propre, rebasculer les crédits GCO sur des solutions pérennes et relocaliser la production agricole, conduiront plus utilement à réduire les nuisances pour tous et réduire les bouchons pour tous sans sacrifier le Kochersberg !signez cette pétition !

20/09/2018

Rendez-nous nos herboristes !

Rendez-nous nos herboristes !

 

Imaginez un instant que :

  • Pour soulager vos douleurs articulaires, on vous recommande de l’arnica alors que vous pensiez que seuls les anti-inflammatoires étaient efficaces.
  • Pour soigner votre dépression, on vous donne des extraits de millepertuis au lieu d’une ordonnance d’anti-dépresseurs.
  • Pour lutter contre votre insomnie, vous sachiez remplacer les somnifères par une tisane de passiflore et valériane.
  • Pour stopper une toux rebelle, on vous conseille du sirop naturel à base de radis noir à la place des sirops anti-tussifs habituels.

Pour calmer vos douleurs et lutter contre les maladies, vous seriez aiguillé spontanément vers des remèdes naturels au lieu de l’arsenal chimique de l’industrie pharmaceutique.

Voilà qui permettrait de reprendre confiance dans notre système de santé.

Malheureusement, en France, c’est loin d’être une réalité.

On continue de nous bourrer de médicaments chimiques au lieu de nous orienter sur des solutions naturelles et sans danger.

Et pourtant, il suffit de regarder de l’autre côté de la frontière pour voir qu’il est possible de faire autrement.

Les Belges, les Allemands, les Suisses peuvent se procurer librement des plantes médicinales dans leurs herboristeries. Là, on prend le temps de leur expliquer les effets thérapeutiques des plantes. On leur recommande les meilleures préparations. On leur indique les précautions d’usage.

Car, dans ces pays, il existe un diplôme officiel d’herboriste. On assiste même à un vrai renouveau de la profession : de nombreux emplois sont créés et c’est tout le monde qui en profite.

En France, on nous prive des bienfaits des médecines naturelles

Pendant ce temps, en France, on continue de nous priver des bienfaits des plantes médicinales :

  • Seules 148 plantes sont en vente libre en dehors des pharmacies.
  • Aucun conseil ne peut vous être donné si vous achetez vos plantes ailleurs que dans une officine.
  • La France ne compte plus que 15 herboristeries contre 23'000 pharmacies.
  • Le diplôme d’herboriste a été supprimé par le régime de Vichy il y a 77 ans !

Mais une mission au Sénat travaille en ce moment-même sur un possible retour du diplôme d’herboriste en France.

Cela signifierait un retour de l’âge d’or des plantes médicinales dans notre pays.

La France est un des pays les plus riches du monde pour sa flore, grâce à la diversité de ses terroirs et de ses climats. Nous sommes aussi le pays de l’herboristerie, avec une connaissance des vertus des plantes qui remonte aux druides celtiques, aux Romains, en passant par les monastères du Moyen-Âge et toutes les traditions locales de guérisseurs.

Ce patrimoine gigantesque et irremplaçable, transmis à travers des centaines de générations, semblait perdu depuis les années 60 où nous sommes entrés dans le consumérisme et le monopole de la médecine dite « scientifique » mais qui est surtout « chimique » !!!!

Mais nous avons un grand espoir, qu’il faut saisir maintenant :

La mission sénatoriale, dont le rapporteur est Joël Labbé, a auditionné plus de 60 personnes depuis le 24 mai dernier : producteurs, industriels, distributeurs, formateurs, pharmaciens, médecins.

La mission doit rendre son rapport fin septembre.

C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition pour faire renaître la profession d’herboriste en France.

JE SIGNE LA PÉTITION

 

 

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Marie Gauthier pour Plantes & Bien-Être

 

 

 
 
 
 
       
   
 
 
 
 
 
   
 
 
 

17/09/2018

Devenez "semeurs d'espoir" avec l'association Elevages sans frontières...

Et si vous optiez pour un soutien régulier à des actions concrètes en faisant un don de 10 euros par mois au bénéfice de familles paysannes africaines soutenues par l'Association Elevages sans frontières? Avec cette somme mensuelle par exemple, un élevage familial au Bénin pourrait démarrer sur le support d'une brebis ou bien la construction d'un poulailler de 10 volailles au Burkina Faso ou même le développement d'une coopérative laitière en Haïti. Les familles sur place pourraient ainsi bénéficier d'une alimentation enrichie en vitamines et protéines. De plus, les paysans auraient une source de revenus réguliers et une meilleure intégration dans l'économie du pays.

Il est également possible de s'engager sur 2 années à raison de 20 euros par mois sur le programme "Les 1000 perles du Togo", qui a été lancé par l'association en 2017. Ce projet vise à améliorer les pratiques traditionnelles de l'élevage de pintades pour en faire une activité durable pour 720 familles. Cette sorte de parrainage simple, souple et relativement modique permettrait d'étaler votre soutien sur une ou deux années. Un suivi des actions et un reçu fiscal annuel pourraient alors vous être adressés en vue d'une déduction fiscale l'année suivante.

Depuis 2001, grâce à Elevages sans frontières, 15 000 familles ont pu démarrer un élevage dans leur pays. Devenir "semeur d'espoir, ne serait-ce pas une magnifique démarche?

Pour toute information, contacter: www.elevagessansfrontieres.org.

Lyliane