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27/07/2018

Quelques pistes pour des traitements innovants contre le cancer...

Un article de Mr Pierre Bienvault dans le Journal La Croix du 26/6/2018 fait le point sur les dernières avancées dans le traitement des cancers. Jusque là, la chimiothérapie était avec la radiothérapie une des seules voies envisagées dans les traitements d'oncologie conventionnelle. Mais des effets secondaires (vomissements, perte des cheveux…) ne manquaient pas de toucher les personnes, même si de nombreux progrès avaient été enregistrés depuis les années 1950. De plus, le but de la chimiothérapie était de détruire les cellules cancéreuses, au risque de toucher aussi les cellules saines. Des opérations consistant à ôter les ganglions sentinelles et des chimiothérapies adjuvantes avaient été ajoutées aux protocoles pour éviter les risques de récidive. Puis, des tests de signature génomique avaient tenté d'évaluer ces risques éventuels... 

Toutefois, le principal espoir repose aujourd'hui sur des traitements innovants. En effet, après les thérapies dites "ciblées", le traitement le plus en vogue est "l'immunothérapie". Celle-ci ne s'attaque pas directement à la tumeur, mais stimule le système immunitaire pour le rendre plus efficace. C'est sur le mélanome que les résultats de l'immunothérapie sont les plus importants. Chez 30% environ des patients, elle permet de faire régresser la tumeur, même si certains résultats sont parfois transitoires. Dans le cancer du poumon, on obtient pour 20% des cas des taux de survie inédits. Mais ces traitements ne fonctionnent que sur un nombre limité de personnes. Ce sont les caractéristiques de la tumeur qui commandent en effet le traitement le plus approprié.

Selon le professeur Chouald, responsable du service de pneumologie de l'hôpital de Créteil, il est aujourd'hui question de combiner chimiothérapie et immunothérapie en privilégiant des traitements personnalisés. De plus en plus, les traitements du cancer se prennent par voie orale avec de simples comprimés. A l'horizon 2020, on estime que la moitié des traitements seront proposés sous une forme orale. C'est plus confortable pour les patients, qui restent au sein de leurs familles, mais il convient d'être assurés que les traitements sont bien respectés. Car l'accompagnement par des professionnels reste en tous points fondamental.

Sans vouloir donner de faux espoirs, il me semble important de tenir les patients informés des nouveautés thérapeutiques. Les essais en cours en oncologie vont mettre un peu de temps avant de devenir des médicaments disponibles sur le terrain. Néanmoins, en attendant, garder un bon moral et avoir confiance dans son oncologue reste la règle. Cela n'exclue pas de faire appel à des médecines parallèles comme l'homéopathie, la phytothérapie, les massages, l'acupuncture ou l'auriculothérapie. Et, en tout état de cause, mener une vie active et saine(marche chaque jour) en protégeant son foie (par exemple avec du Desmodium) et ses reins  (intérêt des baies de cranberries)des produits relativement agressifs.

Pour approfondir le sujet, joindre par exemple l'association "patients en réseau" crée en 2014  sur https://www.patientsenreseau.fr.

Lyliane

  

03/05/2016

Le fléau des sucres cachés...

 

C'est sous ce titre que la revue gratuite «Mon pharmacien et moi» publie un dossier en s'appuyant sur une étude de l'OMS (organisation mondiale de la santé) selon laquelle 80% des aliments vendus en supermarché contiennent des sucres cachés, c'est à dire des sucres que personne ne soupçonne.

 

Le diabète de type 2 concerne aujourd'hui 10% de la population de notre pays, alors qu'il était quasi inexistant avant l'introduction de l'alimentation industrielle. Il a été reconnu également que l'élévation constante du taux d'insuline provoquée par la consommation de sucre est de nature à favoriser l'apparition du cancer. Il convient donc de réduire sa consommation en sucre en privilégiant les produits naturels non transformés.

 

L'OMS nous invite de son côté à limiter notre consommation de sucre à 5% de nos apports journaliers. Cela représente 25 grammes de sucre soit seulement 5 morceaux ou 100 calories pour un adulte et 75 pour un enfant. Quand on pense sucre, on imagine tout de suite chocolat, biscuits, sodas ou gâteaux. Or, les soupes toutes prêtes, les sauces et les condiments ( ketchup, vinaigre balsamique...), les céréales du petit déjeuner, les smothies et les yaourts aromatisés peuvent contenir l'équivalent de 4 ou 5 cuillerées de sucre.

 

Apprenons donc à traquer les sucres cachés, à regarder les étiquettes et à estimer les sucres dissimulés dans les aliments que nous ingérons ou donnons à nos enfants et petits enfants. Pour nous aider, Mme Magali Walkowicz a publié en avril 2015 un ouvrage dont le titre est: Le compteur de glucides dans 1500 aliments, livre qui a été publié aux éditions T. Souccar.

Lyliane

 

29/04/2015

A propos de Monsanto, transmission d'un courrier...

 
 
 
Fantastique! Nous sommes déjà plus d'un million à avoir agi! Les responsables européens sont en ce moment-même en train de débattre de l'exclusion d'un des produits cancérigènes de Monsanto: atteignons 1,5 million et obligeons-les à faire passer notre santé avant leurs profits! Rejoignez-nous maintenant:

 

Des scientifiques réputés viennent de nous avertir que le désherbant de Monsanto est probablement cancérigène. C’est une nouvelle fracassante et les organes de réglementation européens se démènent pour répondre à cette urgence. Mais Monsanto fait tout pour que le rapport soit enterré! Seule une campagne de mobilisation massive du public peut obtenir la suspension de ce poison. Rejoignez cet appel urgent: 

SIGNEZ LA PÉTITION
 
Chères amies, chers amis partout en Europe,

Des scientifiques réputés viennent de nous mettre en garde: le désherbant le plus utilisé au monde est “probablement cancérigène”! Monsanto fait tout pour que l’Organisation mondiale de la santé retire ce rapport détonant. Pour les experts, le seul moyen d’éviter que la science ne soit bâillonnée, c’est que le public exige des actes concrets dès maintenant.

Les instances qui réglementent ce type de produit sont réputées pour leur opacité et l’influence qu’y exerce l’industrie agrochimique. Mais une opportunité unique s’offre à nous: l’Union européenne est officiellement en train de réévaluer l’autorisation du glyphosate et des processus similaires sont en cours aux États-Unis, au Canada et au Brésil. De leur côté, les Pays-Bas, le Sri Lanka et le Salvador envisagent une interdiction totale.

La menace est bien réelle: on retrouve des traces de ce poison dans notre nourriture, dans nos champs, dans les aires de jeux de nos enfants et dans nos rues. Demandons sa suspension! Rejoignez cet appel urgent et faites passer le mot à tout le monde: 

https://secure.avaaz.org/fr/monsanto_dont_silence_science...

Chez Monsanto, c’est le branle-bas de combat. Le glyphosate est l’élément de base du Roundup, la pierre angulaire de l’empire du génétiquement modifié de Monsanto; il leur rapporte 6 milliards de dollars chaque année. La multinationale a déclaré que le rapport de l’OMS ignorait des études qui considèrent le glyphosate sans danger. Mais les scientifiques qui ont rédigé ce rapport ne sont pas des amateurs: il font partie des 17 meilleurs spécialistes mondiaux du cancer! Ils ont méticuleusement passé en revue des publications indépendantes, en éliminant toutes les études commanditées par les multinationales en quête d’une validation de leur produit. 

La plupart du temps, les autorités de réglementation s’en remettent à des évaluations réalisées par les mêmes multinationales qui essaient de vendre leur poison! Les conclusions principales ne sont pas rendues publiques car elles contiendraient des “informations commerciales confidentielles”, et 58% des groupes scientifiques de l’Agence européenne de sécurité des aliments entretiennent des relations avec le secteur privé. C’est aberrant, mais c’est le système tel qu’il existe. C’est pourquoi nous allons avoir besoin de chacun de nous pour faire en sorte que ce rapport crucial ne soit pas enterré.

Certains pays ont déjà interdit le glyphosate. Maintenant que l’UE, les États-Unis, le Canada et le Brésil sont en train de réévaluer son autorisation, nous avons une opportunité unique de changer la donne au niveau mondial. 

Il y a cinquante ans, le DDT, un insecticide de Monsanto, était utilisé partout jusqu’à ce que le livre “Printemps silencieux” démontre qu’il était cancérigène. Une décennie plus tard, ce produit était interdit. Si le glyphosate est nocif, ne le tolérons pas sur nos étalages pendant encore dix ans. Demandons l’application du principe de précaution d’urgence! Rejoignez-nous et faites passer le mot tout autour de vous: 

https://secure.avaaz.org/fr/monsanto_dont_silence_science...

Nous avons déjà remporté ce genre de victoires: nous avons contribué à la mise en place d'un moratoire sur les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles en Europe et fait fermer une méga-usine de fabrication de semences transgéniques de Monsanto en Argentine. Aujourd’hui, il est temps de protéger notre santé et de nous assurer que nous ne sommes pas utilisés comme cobayes. Cela pourrait bien être un tournant dans le combat pour l’agriculture raisonnable et durable dont le monde a besoin.

Avec espoir,