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15/12/2015

Le champ quantique bouleverse notre approche de la vie!

D'après le Docteur Christian Bourit, qui a publié aux éditions Quintessence l'ouvrage intitulé «Votre vie est un jeu quantique», la compréhension de la théorie quantique permet de prendre conscience que nous évoluons dans un monde de possibilités et non dans un monde de limitations. La revue Néosanté du mois de décembre 2015 - www.neosante.eu – donne la parole à ce médecin. Il explique que non seulement l'esprit peut influencer la matière, mais que cette nouvelle science a des implications en médecine, comme en psychologie. Nous devons réaliser en effet qu'à l'échelon infinitésimal les forces qui sous-tendent l'univers matériel sont électro-magnétiques. Si nos cinq sens en effet nous ont fait croire que la matière est inerte, les découvertes récentes ont montré que la matière est aussi énergie. La matière serait donc de l'énergie ralentie, invisible certes, et ce que nous croyons être du vide se révèle être un vaste champ d'énergie... La conséquence de tout cela nous conduit à réaliser que l'être humain est beaucoup plus qu'un corps physique. En outre, le monde dans lequel nous évoluons épouse les contours que nous lui donnons en le regardant. Il nous est de ce fait proposé de changer notre regard grâce à de l'attention et de la positivité. Nos actions en effet ne sont pas seules à compter! Le Dr Bourit nous fait comprendre que la Loi d'Attraction est en relation directe avec la théorie quantique. Nous sommes en effet selon lui «des émetteurs-récepteurs». Il affirme que nous déterminons notre avenir par nos choix de vie. Notre responsabilité est donc engagée: soit nos comportements négatifs attirent de la négativité, soit nous choisissons le positif et nous l'attirons à nous... Il nous démontre que ceux qui se vivent en victimes ne peuvent, à moins de changer de regard, sortir de leur sentiment d'impuissance, tandis que ceux pour qui la vie est un combat rencontrent beaucoup de négatif en retour, car nous sommes immergés dans un monde vibratoire... Il nous est proposé, en conclusion de l'article, d'établir une relation harmonieuse avec l'Energie Créatrice en demeurant aimants et positifs. Enfin, à nous de comprendre que la crise que nous traversons est un «appel à changer». Comme avec un ordinateur qui "beugue", nous sommes invités à appuyer sur la touche « reset» afin de tout remettre à zéro pour repartir sur de nouvelles bases. Le monde à reconstruire pourrait alors devenir un monde de paix et de bonheur collectif, bien loin de nos privilèges individuels et de nos désirs égoïstes apparents! Lyliane

22/04/2015

Choisir de communiquer en conscience...

 

Un travail personnel, en suivant les enseignements de Catherine Merle dans son ouvrage : « Libérer sa Vénus », m'a amenée à approfondir certaines façons d'être dans mon quotidien et à réaliser concrètement le poids des mots dans ma vie.

 

Nous savons en effet, grâce à la physique quantique et à la loi d'attraction, que tout comme nos pensées, les mots sont porteurs de vibrations. Or quelles vibrations ai je le désir de diffuser? Moi qui trouve parfois les médias bien pessimistes, suis je consciente de mes expressions courantes ?

 

J'ai été marquée par un exemple cité dans cet ouvrage : à une personne qui lui proposait de défiler contre la guerre, Mère Thérésa aurait répondu :"je défilerai volontiers pour la paix" !

 

Du coup j'ai été amenée à passer en revue mon vocabulaire, les mots que j'utilise habituellement. Je me suis aperçue que les expressions : "il faut que, je dois, tu devrais, oui, mais non..." reviennent souvent ! J'apprends peu à peu avec constance à les remplacer par " je choisis, oui et...", car depuis que cela est devenu clair à mes yeux ces injonctions, ces expressions contradictoires ne me conviennent plus.

 

J'ai réalisé que notre cerveau est comme un grand ordinateur que nous alimentons en permanence avec nos pensées, nos croyances et qui garde en mémoire ce qui revient souvent. De plus, j'ai appris que dans son système il n'entend pas la négation... Cela m'incite à m'exprimer de façon claire, positive et bienveillante!

 

Pour cela, je choisis de m'accepter telle que je suis et d'accepter l'autre avec son propre ordinateur de bord. Cela rend à la fois plus attentif et plus humble ! Car même si j'ai à tout moment le choix de mes paroles, je m'aperçois que je suis pétrie de programmations inconscientes, de jugements erronés, de projections de mes peurs sur le monde.

 

Ceci réalisé, j'essaye de me responsabiliser sur ce plan de la communication, d'accepter de mettre en place une autre philosophie de vie. Cela commence dès le réveil : dans mon lit, je regarde ma journée et j'apprends à l'orienter de façon positive. Je me parle avec douceur et j'impulse des intentions bienveillantes envers mon environnement. Je trouve que cela m'amène davantage de fluidité, de légèreté ensuite.

 

J'ai besoin de silence pour me mettre en route, afin d' écouter les besoins de mon corps. Aussi je mets la télévision, la radio bien après m'être ressourcée intérieurement... J'ai découvert qu'en développant au préalable une vision positive de ma vie, je me laisse moins toucher par les événements qui nous sont relatés par les médias. Cela m'aide à faire grandir ma confiance dans les jeunes générations du monde, à ouvrir mon cœur à ce qui se passe. Mon mental est généralement moins présent après ce temps d'écoute intérieure...

 

Cela me demande, certes, de la vigilance, une forme de discipline car les habitudes sont là, les conditionnements de mon cerveau-ordinateur, de son « disque dur » ont tendance à se reproposer... Ma ressource actuelle, en cas de doute ou de faiblesse, est ma confiance dans l'Univers. En effet, n'alimentant plus aussi souvent en pensées et en paroles une vision négative du monde, j'ai conscience d'apporter ma contribution à l'émergence du Nouveau. Je me sens en quelque sorte co-créatrice d'un univers de joie, de beauté, de bienveillance et de paix auquel j'aspire.

 

Lyliane

17/02/2015

Rééquilibrer nos états d'âme grâce aux élixirs floraux.

 

A force d’observations et d’expérimentations, le Docteur Edward Bach, médecin homéopathe anglais né en 1886 et mort en 1936, féru de phytothérapie, mit au point une sorte de compromis entre ces deux médecines, qu’il exposa dans un ouvrage paru au Courrier du livre sous le titre : « La guérison par les fleurs ».

 

Le docteur Bach avait  en effet remarqué l’incidence des humeurs négatives sur l’état de santé de ses patients : peur, jalousie, doute, agitation, découragement, phobie... C’est ainsi qu’il définit 38 états d’âme négatifs susceptibles d’engendrer certains dysfonctionnements physiques à la longue. Il s’intéressa à l’analogie entre les fleurs, les bourgeons d’arbres et la psychologie de l’être humain. Par exemple le mélèze (Larch) avec ses branches souples qui pendent vers le sol, qui pousse en altitude, lui fit penser au découragement, au sentiment hésitant et passif, à l’isolement que ressentent certaines personnes qui admirent les autres et ne trouvent nulle lumière en eux.

 

Il commença donc à ramasser à la main des fleurs, des bourgeons de plantes et d’arbres de sa région, à les déposer dans un récipient empli d’eau de source et à les exposer plusieurs heures au soleil. Cela donna en quelque sorte une « infusion solaire de fleurs ». Cet élixir sera conservé avec un peu d’alcool et plus tard avec du vinaigre de cidre dans des flacons opaques à l’abri de la lumière. De cette teinture mère ensuite des dilutions pouvaient être effectuées. De nos jours, des complexes associant plusieurs élixirs existent tout prêts. Il y a quelques années, des laboratoires comme celui de Deva ont agrandi la gamme en travaillant sur le support le l’intuition. (www.deva-lesemotions.com). En ramassant des fleurs en France, ils ont fabriqué par exemple de l’élixir de gueule de loup, de souci, de chèvrefeuille...

 

L’action de ces élixirs de Bach, que l’on trouve aujourd’hui en pharmacies ou en magasins diététiques, est douce et progressive. Ces remèdes sont réputés convenir aussi bien aux adultes qu’aux enfants ou aux animaux. Il est recommandé de poursuivre le traitement pendant au moins deux mois. Ces élixirs sont compatibles avec d’autres traitements médicaux car leur action est surtout psychique. De plus, ils sont économiques car on ne prend que quelques gouttes à la fois sous la langue.

 

En remède d’urgence, face à un traumatisme violent ou imprévu, il existe par exemple le « rescue remedy » qui associe 5 fleurs.  Beaucoup de personnes le gardent dans leur sac à main - tout comme les granules d’arnica - pour faire face à des difficultés ou des chocs imprévus.

 

Personnellement, j’ai eu recours pendant de longs mois aux élixirs de Bach à la suite d’une séparation douloureuse. J’ai même essayé d’en fabriquer moi-même avec des fleurs de mon jardin. Ce sont vraiment des expériences étonnantes ! Je trouve que cela nous oblige à faire plus attention à la nature et à nous même, à nos états d’âme notamment. De nombreux sites Internet peuvent être consultés: www.conseilfleursdebach.fr, www.biolike.com ou www.bachcentre.com par exemple.

 

Actuellement, en France où la plupart des gens ont tendance à dramatiser, à voir tout en noir, à oublier tout ce qui va bien, un complexe associant aspen (peuplier tremble), elm (orme champêtre) gentian, willow (saule blanc) et sweet chestnut (châtaignier) par exemple - ou au moins un ou deux élixirs de cette série - pourrait les aider à retrouver confiance en la vie et positivité. Car ces élixirs ont une force vibratoire et magnétique hors du commun. Cela vaut peut-être la peine d’essayer !

 

Lyliane 

21/01/2015

Cultiver la joie de vivre ... sans être un "imbécile heureux".

 

La joie de vivre me semble être un mélange harmonieux de plaisir, de gaieté et de réalisme. Elle nous permet au fil des jours de savourer ce qui est à notre portée, d'affronter les hauts et les bas de notre vie, en bref ce qui se présente à nous au quotidien.

 

Ne serait-ce que la satisfaction d'être en bonne santé, d'avoir un compagnon ou une compagne, une famille aimante, certes, mais aussi de pouvoir admirer une fleur épanouie, de sourire à un passant, de s'allonger au soleil, de caresser notre animal favori, de recevoir une jolie carte d'amis partis en vacances, d'entendre une belle chanson, de rire à un bon mot, de manger un mets délicieux...

 

Cela entraîne un état d'esprit qui nous permet de tout regarder sous un angle positif, car c'est un moteur constructif, une sorte de revanche sur la morosité ambiante. Autour de nous en effet, il ne manque pas de grincheux, de personnes pessimistes, qui voient tout en noir, qui se plaignent de la pluie ou du vent, des mauvais conducteurs, de la hausse des prix, qui ruminent leurs malheurs et se répandent en récriminations. On peut les entendre, les comprendre, mais faut-il pour autant se laisser contaminer ?

 

Nous ne pouvons pas changer les événements, mais je pense que nous pouvons changer notre regard à leur sujet. Cela modifie à mon sens notre perception des choses. Notre monde est loin d'être idéal et nous même nous ne sommes pas parfaits. Aussi, pourquoi ne pas choisir de regarder le bon côté des choses, car il y en a autour de nous, même en temps de « crise »: des gestes d'amitié spontanée, une solidarité entre voisins, des solutions alternatives, des nouvelles réconfortantes glanées ça et là mais que les médias ne diffusent pas car elles ne font pas sensation...

 

J'essaie pour ma part de lâcher prise, d'évacuer les tensions, de changer mes habitudes, de regarder autour de moi, de faire silence, de marcher, lorsque je perçois de la colère ou du mécontentement pour des petits riens. Je ne vis pas non plus collée à mon poste de télévision ou à internet, où les faits sont grossis ; j'essaie le plus possible de voir et de sentir par moi-même.

 

Le passé est derrière nous ; pourquoi le transporter encore et lui donner le pouvoir d'obscurcir notre présent ? J'ai la sensation que, sans rien oublier, nous pouvons nous tourner vers ce qui peut contribuer à notre joie de vivre du moment, ne serait-ce que d'être mobile, d'avoir l'esprit clair, d'être bien vivant.

 

Et pour nos proches, nos enfants, nos petits enfants, rire avec eux, valoriser leurs gestes, positiver les événements, féliciter au lieu de critiquer, ne serait-ce pas un bon moyen de partager confiance et espérance ?

 

Vivre avec réalisme, en lieu et place du pessimisme qui règne actuellement, c'est le choix de vie que j'espère éveiller et que je souhaite partager avec vous aujourd'hui...

 

Lyliane

 

 

22/12/2014

Etre positif, à quoi est-ce bien utile?

 

 

SOYONS POSITIFS POUR FAIRE FACE A LA CRISE ...

               PAS SEULEMENT, CAR C’EST BON POUR LA SANTE EGALEMENT! 

   Prendre la vie du bon côté, être positif nous incite non seulement à voir « la vie en rose », mais surtout à donner du sens à ce que nous vivons, à nous faire du bien physiquement et moralement et à porter un regard ouvert sur le monde.

 Certes, l’écoute des médias, la lecture des journaux ne nous amène pas à ignorer les faits divers plus  ou moins sanglants, les mauvais côtés de la vie en société. Leur miroir déformant grossit en effet tous les évènements  marquants, qu’il s’agisse de la hausse du chômage, de la chute des cours boursiers, de la fermeture d'usines, de prises d’otages, de tsunamis ou de guerres en tous genres…

 Les scènes l’entraide, les actes d’altruisme ne sont que rarement mis en valeur, alors qu’ils pourraient contrebalancer toutes les nouvelles inquiétantes. Il y a en effet sur notre terre des personnes de bonne volonté, positives, qui font avancer l’humanité vers plus de conscience. A nous de leur accorder la place qu’elles méritent, même si nous savons que le bien ne fait que rarement du bruit !

  Mais, individuellement au moins, faire face aux coups durs, croire en l’humain, garder confiance en sa capacité à dénouer les épreuves ne peut que nous aider. Il est prouvé en effet par des études scientifiques que, sur le plan médical, le système immunitaire des individus ayant une psychologie positive est plus développé que celui de ceux qui cultivent consciemment ou pas stress et émotions négatives.

  De même, des travaux menés depuis 1950 environ en psychologie montrent pourquoi il est préférable de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Dans les hôpitaux, les bienfaits de la présence de clowns auprès des enfants malades n’ont plus besoin d’être démontrés. Exaucer les souhaits des enfants en fin de vie, comme le réalise l'association "Les petits princes", leur permet parfois des rémissions spectaculaires. Tout cela est connu, est devenu une réalité.

  Personnellement, en attendant plusieurs jours durant, alitée avant une grave opération des ovaires, j’ai apprécié de rire à gorge déployée aux blagues de Coluche, dont je m’étais procuré un ouvrage désopilant. Depuis, il a servi à d'autres personnes à des moments clés!

  Alors, qu’attendons nous pour libérer des endorphines en faisant de l’humour, en riant de ce qui nous arrive, quand bien même ce serait de nos erreurs? Sortons du sérieux, des habitudes chaque fois que c’est possible car rire active les neurotransmetteurs du bien-être. Laissons rayonner autour de nous la joie d’être bien vivants!  Et qui sait : la planète entière pourrait peut-être aussi en bénéficier, puisque nous sommes tous reliés ! 

Lyliane (22/12/2014)