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28/12/2020

Campagne "sémetazone" en faveur des pollinisateurs...

 

 
Une action concrète pour la biodiversité.
 
 
Voir la version en ligne
 
 
 
Chères amies, chers amis,
 
Alors que le gouvernement vient de réautoriser les insecticides "tueurs d'abeilles", nous ne devons pas rester sans réagir. Car depuis une trentaine d'années, nous assistons à un véritable écocide ! Près des 3/4 des insectes volants ont disparu, subissant les effets de l'agriculture chimique, de la monoculture, de l'arrachage des haies et de l'artificialisation des terres agricoles.
 
Nous avons le pouvoir d'agir individuellement et collectivement. Nous vous proposons aujourd'hui de soutenir le projet SEME TA ZONE en semant des arbres et arbustes pollinifères adaptés aux abeilles et aux insectes pollinisateurs.
 
En contribuant, vous nous aidez également à financer des actions de mobilisation citoyenne, des actions juridiques, la production de rapports approfondis dans le cadre de la lutte contre les pesticides. Et le lancement à venir d'une vaste campagne pour débitumer et végétaliser un maximum d'établisements scolaires.
 
 
Nous avons sélectionné quatre essences d'arbres et d'arbustes différentes, remarquables pour leurs qualités mellifères, que vous pouvez semer ou offrir.
 
 
 
En soutenant ce projet, vous recevrez des semences d'arbres et d'arbustes adaptées aux insectes pollinisateurs et vous nous donnerez les moyens d'agir.
 
Grâce à votre soutien :
  • nous lancerons une procédure contentieuse devant le Conseil d'Etat visant à empêcher la réautorisation des pesticides néonicotinoïdes.
  • nous mettrons également sous pression l'industrie agro-alimentaire afin qu'elle s'engage à ne pas utiliser de sucre issu de betteraves traitées aux néonicotinoïdes.
  • enfin, grâce à votre appui, nous lancerons dans les tous prochains mois une nouvelle campagne visant à encourager la végétalisation des cours d'écoles, de collèges et de lycées. A chaque fois que nous collectons 150 € supplémentaires dans le cadre de ce financement participatif, nous nous engageons à envoyer un arbre dans une nouvelle école.
 
Face à l'effondrement des écosystèmes, nous ne nous résignons pas à subir les évènements !
 
 
 
"Sème ta Zone"
mode d'emploi
 
 
Etape 1 : Je choisis ma contrepartie sur la page Ulule du projet SEME TA ZONE.

Etape 2 : Si j'ai commandé avant le 5 décembre, je reçois mon pack avant Noël, sinon les contreparties seront envoyées au fil de l'eau jusqu'à la fin de la collecte, le 31 Janvier 2021.

Etape 3 : Je reçois mon pack, je suis les indications de la fiche pratique correspondant à mon essence d'arbre et j'aide mes plantations à grandir, jour après jour !

Que vous ayez ou pas un espace dédié, vous avez la possibilité d’agir :
  • soit en profitant de la période de fête de fin d’année pour offrir un cadeau beau et utile à vos proches ;
  • soit en semant des graines d’arbres et d'arbustes mellifères dans un pot puis en pleine terre.
 
Quels que soient votre situation et le montant de votre contribution, vous nous permettez d’offrir un arbre à une école à chaque fois que nous collectons 150 euros.
Quatre essences d'arbres et d'arbustes mellifères
 
Févier d'Amérique
Arbre à feuillage fin doré, jaunissant à l'automne et fleurissant entre mai et juin en blanc crème. Il fructifie ensuite en gousses étonnantes de 30 cm, couleur acajou.
 
Acacia Mimosa
Arbuste à croissance rapide au feuillage très fin, persistant, et à la floraison parfumée de décembre à mars. Très résistant à la sécheresse il se portera mieux dans la moitié Sud de la France.
 
Arbre de Judée
Petit arbre à port étalé, ses fleurs rose pourpre éclosent à même le bois dès mi-avril. Elles persistent une partie de l'hiver, très appréciées des oiseaux.
 
Arbre aux Abeilles
Arbuste pionnier, à croissance rapide. Ses fleurs, très parfumées donnent un nectar particulièrement riche, très apprécié des abeilles entre juillet et août. 
 
 
★ Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c'est toujours comme cela que ça s'est passé.★
- Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.

Stéphen, Martin, Benjamin, Magali, Mathias, Michèle, Céline, Manon, Aurore, Alejandra, Benoît et toute l'équipe d'Agir pour l'Environnement.

15/10/2016

Pétition car encore un pesticide nuisible aux abeilles...

Le pesticide fipronil de BASF menace la reproduction des abeilles. Selon les chercheurs de l'INRA, il agirait comme un contraceptif involontaire, provoquant le déclin des colonies de ces pollinisateurs indispensables à notre écosystème.

Demandez à la Commission européenne de bannir définitivement le fipronil et de sauver les abeilles.

25/05/2016

Pétition urgente en faveur des abeilles de change.org...


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

     

Annoncé par M. François Hollande à l'issue de la Conférence environnementale de 2012, le projet de loi sur la biodiversité a été déposé en mars 2014 par le ministre de l'écologie M. Philippe Martin. Selon la ministre de l'environnement Mme Ségolène Royal, son objectif est de « doter la France d’une loi unique et exemplaire pour la protection de la biodiversité ».

Quatre ans après l'annonce de cette loi, celle-ci est enfin entrée dans sa phase finale à l'Assemblée. Le 13 mai 2016, le Sénat a voté le projet de loi en deuxième lecture, après l'avoir amputé cependant d'un certain nombre de mesures fondamentales.
Voici une liste non exhaustive des reculs subis par le projet de loi lors de son second passage au Sénat : suppression de l'interdiction des insecticides néonicotinoïdes, suppression de la taxe sur l'huile de palme, restriction du cadre d'application des procédures en justice pour la défense de la nature, suppression de l'inscription du principe de non-régression de l'environnement dans la loi, suppression des espaces de continuités écologiques, suppression des zones prioritaires pour la biodiversité, suppression de l'interdiction de dragage des fonds marins dans les zones coralliennes.

Pour ne revenir que là-dessus, la suppression de l'interdiction des néonicotinoïdes, dont l'effet délétère sur les insectes pollinisateurs a pourtant été démontré, traduit une fois de plus notre propension à privilégier des avantages à court terme par rapport à une vision de long terme qui doit sous-tendre un tel projet de loi ; il n'y a pas de contradiction entre la protection de la biodiversité et la production alimentaire, la première étant essentielle à la seconde. Plus généralement, il faut arrêter de considérer l'environnementalisme comme une entrave au développement économique, mais plutôt le voir comme une condition sine qua non pour un avenir vivable.
Une commission mixte paritaire doit se réunir le 25 mai pour définir un compromis entre les deux chambres du Parlement. Signons cette pétition pour signifier clairement à cette commission et à l'Assemblée Nationale que les citoyens soutiennent une loi sur la biodiversité ambitieuse et effectivement exemplaire !

 

19/03/2016

Une victoire en faveur des abeilles mais restons mobilisés!

C’est une victoire historique ! Ceux d’entre-nous qui ont veillé l’ont appris jeudi soir, les autres vendredi matin : les pesticides néonicotinoïdes tueurs d’abeilles ont été interdits par l’Assemblée nationale et c’est une première mondiale !

C’est à la suite de plus de deux heures et demi de débats intenses dans l’Hémicycle que l’amendement à la loi Biodiversité proposant une interdiction des néonicotinoïdes à été adopté de justesse à 30 voix pour et 28 voix contre.

Nous ne sommes pas passé loin de la catastrophe et cette victoire c’est la notre!

Près de 200.000 membres SumOfUs se sont mobilisés en quelques jours pour appeler Ségolène Royal et Bruno Le Roux à se positionner publiquement en faveur de cette interdiction. Notre mobilisation a porté ses fruits avant même que le vote ait eu lieu, lorsqu’à quelques heures de la reprise des débats parlementaires, la ministre de l’écologie annonçait à l’antenne de BFMTV que les néonicotinoïdes étaient «non seulement nuisibles pour les pollinisateurs (...) mais aussi sur les cerveaux des êtres humains» ajoutant par la suite qu’elle espérait également une interdiction pour l’agriculture car les agriculteurs, leurs familles et leurs enfants «sont les premières victimes» des pesticides. La ministre de l’écologie a d’ailleurs salué la décision prise à l’Assemblée nationale jeudi soir.

Ce positionnement courageux de Ségolène Royal est en totale opposition avec l’avis exprimé par Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, qui semblait agir en porte-voix des lobbies comme Bayer notamment.

Essayons maintenant de faire interdire les néonicotinoïdes en Europe et restons mobilisés!

Notre investissement par pétitions et courriers a donné des fruits... Réjouissons nous!

Lyliane

 

16/03/2016

Pétition urgente en faveur des abeilles...

A l'aube d'un vote crucial à l'Assemblée nationale, nous n'avons plus que quelques heures pour sauver les abeilles !

Dites à Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, de faire passer nos écosystèmes avant les lobbies en défendant l’interdiction totale des néonicotinoïdes dans la loi biodiversité. Ces pesticides sont responsables de la décimation des abeilles, oiseaux et papillons !

29/10/2015

Message transmis de Pollinis à propos des abeilles...

Cher sympathisant de POLLINIS,

Voulez-vous bien faire partie du réseau de lanceurs d'alerte que POLLINIS est en train de mettre sur pied ?

Nous cherchons à créer au plus vite un réseau Internet de sympathisants avec lesquels nous pourrons partager, échanger et relayer les informations et les alertes plus facilement et plus rapidement que par e-mails.

En créant cette communauté de lanceurs d'alertes sur les réseaux sociaux, nous aimerions que vous nous aidiez à faire circuler des informations cruciales pour mobiliser le plus de citoyens possible autour de notre combat pour pour accélérer la transition en Europe vers une agriculture durable, respectueuse de l'environnement et des pollinisateurs et augmenter la pression que nous exerçons sur les représentants politiques...

Ensemble, nous pourrons faire connaître autour de nous les actions, les études et les informations qui font le quotidien des gens qui se battent pour sauver les abeilles et instaurer un modèle agricole respectueux des pollinisateurs et de l'environnement que nous voulons laisser à nos enfants...

Nous pourrons faire connaître les stratégies et les manoeuvres menées par les lobbies de l'agrochimie à Bruxelles pour imposer leur loi – et leurs produits ! - aux institutions, au mépris de la volonté des citoyens, de leur santé, et de la Nature.

Il n'est pas toujours facile de vous écrire pour vous tenir au courant des dernières avancées du réseau scientifique qui se bat pour faire reconnaître la toxicité exceptionnelle des néonicotinoïdes et des derniers pesticides tueurs d'abeilles...

Ou de vous écrire pour vous raconter tout ce que nous mettons en oeuvre au quotidien pour négocier, peser sur les décisions, influencer, défendre le point de vue et les intérêts des citoyens européens au Sénat, au Parlement ou à la Commission européenne, et ne rien lâcher !

C'est pour ça qu'ici, à POLLINIS, nous avons mis en place avec les réseaux sociaux des outils de communication rapide, pour permettre à nos membres et à toutes les personnes qui s'intéressent aux abeilles, aux dangers des pesticides, aux alternatives agricoles, à la protection de l'environnement, et s'inquiètent de l'emprise de l'industrie agrochimique sur leur santé et leur alimentation, d'avoir accès à de l'information de première main, au jour le jour.

Si vous possédez un compte Facebook, je vous invite à rejoindre la communauté des lanceurs d'alerte de Pollinis en cliquant ici, puis en cliquant sur "J'aime".

Si vous êtes inscrit sur Twitter, vous pouvez suivre nos informations .

25/10/2015

A propos des abeilles et du miel...

 

En France comme aux Etats-Unis et dans tous les pays industrialisés, les apiculteurs essuient des pertes record au sein de leurs colonies d'abeilles. De ce fait, la pollinisation des arbres et des plantes commence à ne plus être assurée et les stocks de miel sont en baisse.

 

Ce constat alarmant a été analysé par Mr Dennis van Engelsdorp, entomologiste. Il en conclue que deux facteurs majeurs sont à incriminer: le haut niveau de concentration de certains pesticides et le nombre élevé de produits de synthèse différents utilisés dans l'agriculture intensive. Leur combinaison est pointée du doigt car elle fait des ravages. Les abeilles en effet perdent leur immunité et nous ne connaissons pas encore très précisément les risques sanitaires encourus par les paysans et les consommateurs de ces produits poussés à grand renfort de chimie.

 

Un photographe nommé Eric Tourneret a publié aux éditions Hozhoni un très bel ouvrage en association avec Sylla de St Pierre pour les textes intitulé «Sur les routes du miel». Il éclaire ses clichés de documents scientifiques et il montre comment partout dans le monde le miel est un aliment recherché.

 

Enfin, les bienfaits thérapeutiques du miel, tout comme ceux de la propolis issue de la ruche, ne sont pas suffisamment mis en valeur, si l'on en croit Mme A. Henrion-Caude, directrice de recherche à l'Inserm. Pour elle en effet c'est une véritable pharmacie ambulante qu'une ruche et ses abeilles! Que ce soit dans le domaine de l'alimentation, de la prévention des maladies, du diagnostic et même des traitements, miel et propolis sont infiniment précieux. A Nice par exemple dans certains hôpitaux le miel de thym est utilisé pour aider à nettoyer des plaies et à les faire cicatriser naturellement...

 

Dans ces conditions, nous pouvons nous demander pourquoi les Etats tardent à faire totalement interdire les poisons que sont les pesticides... Des lobbies de la pétrochimie présents à tous les échelons décisionnels et fort influents dans certains rouages politiques expliquent sans doute cette mansuétude... Néanmoins, en changeant rapidement de modèle agricole, la disparition des abeilles pourrait encore être enrayée... A nous de saisir nos instances politiques et agricoles pour faire connaître notre volonté de sauver les abeilles sans plus tarder!

Lyliane

19/10/2015

Pétition contre les Néonicotinoïdes...

Les insecticides, nous rappelle l'Association Humanité et Biodiversité, sont très néfastes pour la pollution de l'eau et des sols. Des études ont mis en évidence le caractère toxique des Néonicotinoïdes sur le système nerveux des insectes pollinisateurs. Nous ne connaissons pas bien l'impact possible sur la santé humaine.

Avec la Fondation Nicolas Hulot et Générations Futures, Humanisme et Biodiversité a lancé une pétition pour demander en urgence un moratoire sur ce type de pesticides. Vous pouvez la retrouver sur http://www.humanite-biodiversite.fr/article-asso/signez-la-petition-pour-un-moratoire-sur-les-pesticides-neonicotinoides

Signez la svp afin que cette cause sanitaire et environnementale à l'échelle européenne soit portée à la connaissance de tous et conduise à des publications contre ces substances qui détruisent nos abeilles!

Lyliane

29/09/2015

Mobilisons nous en faveur d'un avenir sans pesticides...

 

L'Association loi de 1901 Générations Futures - www.generations-futures.fr_- se présente comme «le principal contre-pouvoir au lobby agrochimique depuis 1996». Fondée par un enseignant, F. Veillerette et un ingénieur agronome, G. Toutain, elle est agrée par le Ministère de l'Environnement. Cette association est à l'origine de la Semaine pour les Alternatives aux Pesticides qui se déroule chaque année du 20 au 30 mars en France et à l'étranger. Générations futures s'est donné pour missions de défendre l'environnement et la santé publique en alertant et en informant sur les dangers des pesticides, des engrais chimiques, des OGM, de l'irradiation des aliments, des toxiques... Elle demande de réduire l'utilisation intensive des pesticides en France et elle aide les professionnels et les particuliers victimes des pesticides. En mars 2011 s'est crée l'Association Phyto-Victimes à Ruffec, à l'initiative de l'épouse d'un agriculteur décédé d'un cancer. Cette association - www. phyto -victimes.fr - compte aujourd'hui 180 membres.

 

Car, selon la revue Terraéco d'octobre 2015, depuis la publication en 1962 de l'ouvrage de Rachel Carson intitulé «Printemps silencieux», l'alerte sur la toxicité des pesticides, notamment pour les oiseaux, est lancée. Quelques résultats encourageants ont été obtenus depuis cette date: en 1971, interdiction en France du DDT, en 2008 avec le premier plan Ecophyto: 30 substances à base de pesticides ont été retirées du marché et en juin dernier, Mme Ségolène Royal a annoncé sa volonté d'interdire la vente en libre service aux particuliers du Round up, un redoutable désherbant. A nous de veiller à ce que ce soit partout bien le cas!

 

Néanmoins, la pollution des rivières continue et les abeilles sont décimées par l'emploi d'herbicides et de pesticides sur le sol français. Actuellement, c'est l'emploi du glyphosphate qui pose question.

Quant aux êtres humains, après la reconnaissance en 2006 de la leucémie de l'agriculteur Dominique Marchal comme maladie professionnelle, malgré le film de M.M. Robin:«Le monde selon Monsanto» en 2009, les victimes sont encore nombreuses. C'est le cas notamment du père de Mme Valérie Murat, un vigneron bordelais. Sa fille voudrait prouver la responsabilité des pesticides (arsenite de sodium) dans la mort de son père en 2012. Tout dernièrement, le 10/9/ 2015, le Tribunal de Grande Instance de Lyon a reconnu la multinationale Monsanto responsable de l'intoxication du céréalier Paul François par des vapeurs d'herbicides (dont le lasso) et même si la société a fait appel, c'est une belle victoire. Monsanto, Syngenta, Bayer, BASF sont en effet les grands noms des firmes commercialisant les pesticides chez nous et un peu partout dans le monde. Elles se défendent en alléguant que le risque zéro n'existe pas et que grâce aux pesticides la production est partout plus abondante...

 

Même si des maladies graves comme cancer, maladie de parkinson, leucémie ne touchent pas directement toute la population, sur le plan de la santé ( par l' air et l'eau …) et par l'alimentation notamment, il est reconnu que les pesticides induisent des risques sérieux d'infertilité pour les femmes en âge de procréer et multiplient par 2 les leucémies chez les enfants, qui y ont été exposés. Aussi, je pense que nous devrions nous mobiliser, afin que tous les fruits et les légumes soient cultivés sans pesticides. Car, selon Mr Marc Dufumier, agronome à Paris Tech, il faudra 10 ans environ en France comme aux Etats-Unis, pour que les abeilles puissent revenir polliniser les arbres et au moins 30 ans pour retrouver un humus de qualité dans les sols. Le plus tôt sera donc le mieux!

Lyliane

11/06/2015

Les abeilles, sentinelles de l'environnement...

 

L'année 2014 a été la pire année de récolte de miel qu'ait connue l'Italie, la Grèce et la région PACA. Il y a eu en effet un taux moyen de 30% de mortalité dans les ruches! Or c'est toute notre alimentation qui est en jeu, car en pollinisant les fleurs, les abeilles génèrent 35% de nos ressources alimentaires.

 

Sur le site Internet: www.abeillesentinelles.net, les citoyens que nous sommes peuvent s'informer au sujet du programme "Abeilles sentinelles de l'environnement" lancé par l'Union Nationale de l'Apiculture Française. Il s'agit tout simplement d'accueillir sur le toit de son immeuble ou dans son jardin 6 à 8 ruches et de s'engager à médiatiser cette démarche (panneau, article...) La collecte de miel sera par contre prise en charge par la Fédération des Apiculteurs.

 

J'ai appris que la région PACA faisait partie de ce programme novateur et qu'elle avait installé au printemps 2015 des ruches sur les toits de ses bâtiments. On compte déjà plus de 60 partenaires ayant rejoint ce programme. Ces ruches sont appelées des ruches-écoles, puisqu'elles visent à sensibiliser le grand public à l'apiculture.

 

Alors, pourquoi ne pas tenter à notre tour l'expérience, comme le souhaite H. Clément, porte parole de L'Union nationale de l'Apiculture Française? Nous savons que non seulement les abeilles sont les gardiennes du maintien de la biodiversité, mais surtout qu'elles fabriquent un produit sain, utile à notre santé. Grâce à ce programme, il nous sera possible de nous sentir impliqués directement dans la préservation de leur espèce.

 

Lyliane 

22/05/2015

A propos des abeilles , des nouvelles encourageantes de Pollinis!

 
 Information du site Pollinis...
 

Chers membres et sympathisants de Pollinis,

 

Nous n'avons jamais été aussi près d'une interdiction totale des pesticides néonicotinoïdes :

 

- De nouvelles études scientifiques incriminent ces substances, qui prouvent que non seulement elles désorientent les abeilles et les rendent incapables de rentrer à la ruche, mais qu'en plus ces dernières deviennent "accros" à ces poisons qui leur sont mortels !

 

- Aux États-Unis, les dernières statistiques sur les pertes de cheptels par les apiculteurs (42% des populations perdues en 1 an !) sont une pression supplémentaire sur l'EPA, qui avait déjà annoncé un quasi-moratoire avant toute nouvelle mise sur le marché de néonicotinoïdes.

 

- La Commission européenne collecte actuellement les données scientifiques sur les effets de ces substances sur les abeilles, et se donne jusqu'en décembre pour les analyser et prendre une décision. Pendant ce temps, nous occupons le terrain, à Bruxelles, en multipliant les rendez-vous avec les décideurs européens, pour ne pas laisser le champ libre aux lobbies de l'industrie agrochimique pour orienter la décision de la Commission !

 

- En France, d'ici un mois le Sénat se prononcera sur l'amendement StopNéonics. Nous ne lâchons pas les parlementaires d'une semelle : si cette interdiction est actée en France, alors le précédent européen qu'elle créera obligera la Commission européenne à s'aligner. Ce sera une victoire des citoyens, pas seulement en France, mais dans toute l'Europe !

 

Il est probable que de nouvelles mobilisations citoyennes soient nécessaires dans les prochains mois pour enfoncer le clou et obtenir l'interdiction définitive de ces pesticides dangereux pour les abeilles et l'environnement – tenez-vous prêts !

 

A très bientôt

 

Nicolas Laarman

Délégué Général de Pollinis

 
 
 
A Bruxelles, l’équipe de Pollinis se démène au quotidien pour rencontrer et alerter un maximum de députés européens sur les dangers des néonicotinoïdes, et faire contrepoids face au lobbying intensif mené par... Lire la suite.
 
 
Voir l’intervention du Docteur Jean-Marc Bonmatin, chercheur au CNRS, vice-Président de la Taskforce sur les pesticides systémiques et spécialiste des neurotoxiques, qui dénonce les effets désastreux... Lire la suite.
 
 
Quelques ouvrages indispensables sur l'apiculture, l’agriculture, la protection des cultures et l'agroécologie. Lire la suite.
 
 

 

18/04/2015

Pétition en faveur des abeilles...

       
 

 

Un nouveau rapport montre que les pesticides néonicotinoïdes, déjà responsable de la disparition de millions d'abeilles, ont aussi un impact catastrophique sur l'environnement et la biodiversité, et compromettent l'avenir de l'agriculture et la sécurité alimentaire de toute la population.

Devant ce constat alarmant, la Commission européenne fait la sourde oreille. Faites pression pour l'obliger à prendre la seule décision qui s'impose : l'interdiction nette et immédiate de ces substances ! 

 

Cher ami, chère amie,

Un nouveau rapport scientifique vient d'être remis à la Commission européenne, qui dresse un constat alarmant sur les pesticides néonicotinoïdes tueurs d'abeilles (1).

Pour les scientifiques et les citoyens, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase : les conclusions de ce rapport jusfient largement une interdiction ferme et immédiate de ces substances.

Pourtant, la Commission européenne fait la sourde oreille. Et en face, des centaines de lobbyistes de l'agro-industrie sont en train de se démener pour obtenir la réhabilitation de leurs poisons - à coup de procès contre le moratoire devant la Cour européenne de justice, de chantage à l'emploi et à la délocalisation... 

...et à coup d'études «confidentielles» que personne n'a le droit de lire en dehors des institutions européennes - assurant que leurs produits 10 000 fois plus toxiques que le DDT ne sont dangereux ni pour les abeilles, ni pour la santé ou l'environnement...

La pression est énorme et nous avons plus que jamais besoin de vous.

A force de sonner le tocsin et de mobiliser les troupes, scientifiques et associations citoyennes ont gagné du terrain face aux pressions gigantesques de l'industrie agrochimiques sur les institutions.

Les pétitions de Pollinis pour faire interdire les pesticides néonicotinoïdes ont réuni plus d'un million de signatures, et aujourd'hui nous faisons appel à vous pour enfoncer le clou, et nous aider à doubler ce chiffre pour obliger la Commission à faire le seul choix qui s'impose face aux évidences fournies par la science : interdire – totalement et définitivement - les néonicotinoïdes et autres pesticides tueurs-d'abeilles. !

Déjà :

- En France, l'Assemblée nationale vient de voter un amendement interdisant les pesticides néonicotinoïdes à partir du 1er janvier 2016 (2). Et la bataille se poursuit au Sénat où l'amendement doit encore être adopté. Cela aurait été tout simplement impossible il y a quelques mois - preuve que les politiques ont bien entendu notre signal d'alarme !

- Aux Etats-Unis, l'Agence de protection de l'environnement (EPA), souvent accusée de complaisance vis-à-vis de l'industrie chimique, vient d'annoncer qu'elle suspendait purement et simplement toute nouvelle autorisation de néonicotinoïdes tant que les entreprises agrochimiques n'auront pas apporté la preuve de leur innocuité 

 Et en Europe, le dernier rapport de l'EASAC - l'association réunissant les Académies scientifiques de tous les pays européens – est sans appel : les néonicotinoïdes ne sont pas seulement dangereux pour les abeilles, les bourdons et autres pollinisateurs indispensables à la diversité du monde végétal... ils représentent désormais une menace sérieuse pour la protection des cultures et l'avenir même de nos productions - et risquent de compromettre à terme la sécurité alimentaire de toute la population !

Face à ce constat alarmant, et aux initiatives prises en France et aux Etats-Unis, la Commission européenne doit tirer les leçons qui sautent aux yeux et interdire totalement les pesticides néonicotinoïdes.

Malheureusement, l'institution paraît faire la sourde oreille aux demandes des scientifiques et des citoyens.

Pire : lors de la présentation du dernier rapport de l'EASAC cette semaine, qui donne des informations saisissantes sur l'impact des néonicotinoïdes sur l'environnement et la biodiversité, le seul représentant de la Commission présent, le chef de l'Unité Pesticides à la Commission, a botté en touche.

Il a déclaré que cette étude n'apportait rien de nouveau, qu'elle n'avait pas de "valeur ajoutée" – et a écarté les conclusions pourtant frappantes des scientifiques d'un revers de la main.

Je vais vous détailler dans quelques instants les conclusions de cette étude, et vous jugerez par vous-même si les risques qu'elle décrit méritent d'être passés sous silence...

Mais avant ça, je veux m'assurer que vous compreniez bien l'enjeu, et que je peux compter sur vous pour signer dès maintenant votre pétition à la Commission européenne, et nous aider à récolter les millions de signatures dont nous avons besoin en diffusant ce message au maximum autour de vous.

Si les lobbies agrochimiques gagnent la bataille et qu'ils arrivent à convaincre la Commission de remettre les néonicotinoïdes sur le marché, c'est une catastrophe sanitaire et alimentaire sans précédent qui nous attend.

Je n'exagère pas.

Etude après étude, en laboratoire et sur le terrain, les scientifiques qui se sont penchés sur ces substances ont constaté des effets sur l'environnement et la biodiversité qui dépassent tout ce qu'on avait pu imaginer jusque-là.

Leurs conclusions sont accablantes, et chacune d'elle justifierait à elle seule une interdiction immédiate de l'utilisation de ces pesticides :

 

– Mode d'administration par enrobage : des graines mortelles pour les oiseaux et rongeurs des champs

Les néonicotinoïdes sont appliqués directement par enrobage autour de la graine, et 20 % de la substance se développe avec la plante, circulant dans sa sève, et suintant par ses feuilles pour décimer les insectes qui s'en approchent (ennemis ou amis...).

L'un des problèmes posés par ce mode d'administration (vous verrez qu'il y en a bien d'autres…), c'est que des graines hautement toxiques risquent de rester à la surface du champ et attirer les rongeurs et oiseaux qui s'en nourrissent habituellement.

Les effets à long terme sont dévastateurs sur les oiseaux : aux Pays-Bas, des espèces aussi communes autrefois que l'alouette des champs ont vu leur population diminuer de 96 % depuis 1990 (début de l'utilisation des néonicotinoïdes) - tandis que le bruant de maïs et la perdrix grise auront bientôt complètement disparu (3).

L'autopsie d'oiseaux sauvages (canards, pigeons…) montre la présence de néonicotinoïdes dans leur organismes. Il aura suffi parfois qu'ils ingurgitent une seule graine pour que la substance leur soit fatale : des études ont montré que la dose léthale pour une perdrix est de 6 graines, et de 1 graine et demi pour un moineau – des quantités qu'il est très facile de trouver aujourd'hui dans la nature et les champs (4).

 

– Pollution permanente des sols :

Comme dit précédemment, moins de 20 % seulement des néonicotinoïdes qui servent à enrober les semences sont absorbées par les plantes : les 80 % restants partent dans les sols (5), à des concentrations très fortes qui déciment les populations de vers de terre et autre laboureurs naturels de la terre.

Une fois dans les sols, les néonicotinoïdes peuvent y rester jusqu'à 3 ou 4 ans - assez pour anéantir toutes les aides naturelles à l'entretien et la régénération de la terre (6).

 

– Contamination des eaux, et extermination des espèces aquatiques :

Une grande partie de ces substances ne reste pas dans le sol, mais est lessivée par les pluies jusqu'aux aux cours d'eaux et aux nappes phréatiques.

Une étude menée en Californie a trouvé des néonicotinoïdes dans 89 % des cours d’eaux étudiés(7).

Les néonicotinoïdes sont très toxiques pour les invertébrés aquatiques, et les populations de poissons qui s'en nourrissent. Les populations aquatiques rendent naturellement des services de "nettoyage" des eaux qui ne sont pas remplaçables technologiquement à grande échelle. Leur disparition serait une catastrophe écologique sans précédent.

Or, une étude relève déjà une baisse désastreuse de la biodiversité des cours d'eaux en Allemagne, en France et en Australie – jusqu'à 42% de micro-organismes en moins aux endroits où l'on constate par ailleurs un taux de contamination élevé aux néonicotinoïdes (8). L'impact sur les poissons qui se nourrissent de ces organismes est encore difficile à mesurer…

 

– Menaces pour l'avenir de l'agriculture et la sécurité alimentaire

Le pire, c'est que les pesticides néonicotinoïdes ne permettent pas d'envisager une protection stable et pérenne des cultures face aux ravageurs qu'elles sont censés détruire.

Au contraire, il reste peu de temps avant que l'intégralité de ces ravageurs ne se soit accoutumé complètement à la substance, et y devienne insensible.

Les études menées sur le doryphore, le scarabée ravageur de la pomme de terre, montrent unerésistance déjà 100 fois supérieure en dix années seulement (6).

Même chose pour la punaise du pêcher, l'un des ravageurs les plus tenaces en France : des études montrent que ce bio-agresseur a déjà procédé à une évolution génétique lui permettant de résister aux néonicotinoïdes (9).

Des études menées dans les champs montrent une insensibilité croissante des populations de punaises du pêcher à ces produits (10).

Des résistances sont en train de se développer chez les ravageurs du colza (11) et du blé (12) cultures traitées quasi-exclusivement avec des néonicotinoïdes par enrobage.

En clair, si rien n'est fait pour enrayer la spirale du tout-pesticides, d'ici quelques années les néonicotinoïdes ne seront même plus capables de protéger les grandes cultures contre les attaques des ravageurs.

Ils auront détruit durablement l'environnement, et nous laisseront avec des cultures sans protection, à la merci de ravageurs rendus surpuissants, et que plus rien ne pourra arrêter.

Même les ennemis naturels des parasites ne pourront plus rien pour nous aider, car leurs populations, sensibles aux néonicotinoïdes, sont déjà en voie d'extinction !

Personne, aujourd'hui, n'a de solution à proposer après ça. Même pas l'industrie agrochimique, qui pourtant continue de faire pression sur la Commission européenne pour remettre ses produits sur le marché – et s'assurer quelques années de profit supplémentaires avant le déluge...

Il est temps d'arrêter l'hécatombe, avant qu'il soit trop tard.

Il est évident que si on en arrive à de tels extrêmes, c'est la sécurité alimentaire de la population toute entière qui n'est plus assurée.

L'enjeu est dramatique, et dépasse largement les quelques milliards de profits que se font les industries agrochimiques en commercialisant ces produits.

Nous n'allons pas les laisser sacrifier notre santé, notre alimentation et celle des futures générations, tout ça pour satisfaire leurs profits immédiats !

La décision de la Commission, va être décisive pour notre avenir à tous : soit elle cède à la pression des lobbies agrochimiques, autorise les néonicotinoïdes et nous condamne tous à une catastrophe sans précédent...

... soit elle entend la mobilisation des citoyens et les appels de détresse des scientifiques, prend conscience du danger, et nous permet d'échapper au pire en interdisant pour de bon les pesticides néonicotinoïdes.

Il est clair que si les citoyens ne se regroupent pas rapidement pour constituer une force de frappe massive et organisée, et qu'on laisse le champ libre aux lobbies agrochimiques pour séduire la Commission, c'est la première option qui sera retenue...

C'est pourquoi nous faisons appel à vous, de toute urgence, pour nous aider à organiser une mobilisation massive dans toute l'Europe !

Pétition après pétition, nous avons déjà réussi à réunir les signatures de plus d'un million de citoyens à travers l'Europe, pour demander l'interdiction pure et simple des néonicotinoïdes.

Nouvelles évidences scientifiques en main, nous allons redoubler d'efforts pour mettre une pression déterminante sur la Commission et obtenir la victoire des citoyens et du bien commun sur les intérêts à court terme des agrochimiques !

Je compte sur vous pour signer dès maintenant votre pétition à la Commission européenne en cliquant ici, et pour partager cet email avec vos amis, votre famille, vos collègues, et tous vos contacts.

C'est très important : plus nous serons nombreux, et plus notre force de frappe sera déterminante pour peser face aux pressions des lobbies.

Alors, n'oubliez pas, après avoir signé votre pétition, de transférer ce mail le plus largement possible autour de vous.

Personne ne doit ignorer ce qui nous attend tous si ces pesticides sont remis sur le marché. Et, je crois que vous serez d'accord avec moi, personne ne peut accepter qu'on mette ainsi en danger l'avenir alimentaire de nos enfants, pour satisfaire aux intérêts de quelques grosses firmes bien placées !

Un grand merci par avance pour votre action, pour préserver l'environnement et la biodiversité, et assurer la pérennité de l'agriculture.

 

 

29/12/2014

Comment aider à la pollinisation?

           

Comment pourrions-nous favoriser la pollinisation ?

 

Nous entendons souvent dire qu’actuellement les frelons asiatiques mettent à mal les colonies d’abeilles qu’elles soient en essaims sauvages ou regroupées dans des ruches. Certes, cela n’arrange pas la situation déjà fragile de ces espèces irremplaçables dans notre agriculture ! En effet, sans elles pas de pollinisation des fleurs et sans pollinisation, pas de fruits, ni de légumes.

 

En Chine, déjà, beaucoup d’arbres sont pollinisés entièrement par l’homme dans des zones où la pollution a fait disparaître ces infatigables butineuses. Mais les résultats ne sont absolument pas comparables…En France, où nous avions la chance de compter près de 1000 variétés d’abeilles, des municipalités, des citoyens commencent à s’en préoccuper, à favoriser ou à demander des zones naturelles protégées,  l’aménagement d’espaces verts où aucun traitement chimique n’est admis.

 

Car il faut bien réaliser que, depuis 2006 environ, les abeilles sont décimées par centaines de milliers… En sont responsables : des parasites, l’usage des pesticides, la destruction de leur habitat et la perte de la biodiversité.

 

Que pourrions nous faire d’autre que regretter un passé où les abeilles étaient encore très nombreuses, peuplaient prairies et jardins ou que nous lamenter sur les méfaits d’une agriculture ou d’un élevage à visée productiviste?

 

Je crois pour ma part que chacun de nous peut apporter sa pierre et aider à juguler le déclin de ces espèces menacées. Tout d’abord en s’interdisant d’acheter tout insecticide et désherbant en jardinerie, en privilégiant à la place des purins, des éléments naturels comme du savon noir, de la glu, des oligoéléments… Et cela est valable pour les légumes comme pour les arbres, les fleurs et les plantes vertes.

 

Il est également possible de semer dans nos jardinières ou de planter dans notre jardin des aromatiques ou des plantes d’agrément, riches en nectar susceptible de nourrir ces insectes. Par exemple en choisissant de la sauge, du thym, de l’aneth, de la coriandre ou des giroflées, des lavandes, des capucines, des soucis, des marguerites, de la corbeille d’argent et du chèvrefeuille…

 

Bourdons, abeilles, papillons même, vont venir butiner pour notre plus grand plaisir. Nous rendrons par la même occasion un grand service à la biodiversité ! Nos descendants méritent en effet de connaître une nature généreuse, bruissante de couleurs et d’odeurs grâce à ce petit monde d’oiseaux et d’insectes qui la peuplent naturellement.

 

Lyliane 

 

Pour défendre les abeilles il existe un site d'action qui s'appelle: www.pollinis.org
 et il y a un lettre d'information à laquelle on peut s'abonner.