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01/06/2015

Appel à dons de Nicolas Hulot transmis sur le blog...

Ensemble, nous pouvons limiter le réchauffement climatique !

Si je vous écris aujourd’hui, c’est que nous sommes à un moment clef pour la planète et donc pour l’humanité tout entière. La science a parlé : le réchauffement climatique est indéniable. Ses conséquences font chaque année des centaines de milliers de victimes dans le monde. Face à cette tragédie silencieuse, nous avons encore une chance de faire le bon choix et préserver ainsi l’avenir de nos enfants.

C’est pourquoi je lance aujourd’hui notre grande campagne 
d’appel à dons : ÉCOPACTEUR 2015.

En faisant un don dès maintenant, vous devenez véritablement acteur
de la COP 21 qui se tiendra à Paris en décembre 2015.

Nous devons impérativement faire pression dès maintenant pour obtenir un accord si nous voulons éviter des changements climatiques irréversibles et leurs conséquences dramatiques pour toute l’humanité.

Pour obtenir cet accord international pour le climat, j’ai besoin de vos dons. 

Il ne nous reste que peu de temps pour agir. Je compte sur vous Lyliane !

 
  JE DEVIENS ÉCOPACTEUR  
 
 

En faisant un don à la Fondation Nicolas Hulot,
vous agissez concrètement pour notre avenir

 

 

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3 fois plus de réfugiés climatiques que de réfugiés de guerre

 

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66% du montant de votre don est déductible de vos impôts

 

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#ECOPACTEUR

   

 
 
 

Véchangées à des tiers.

   

30/05/2015

Economie circulaire: utopie ou réalité?

Le système linéaire dans l'économie de marché de nos sociétés de consommation a atteint ses limites. Beaucoup de voix s'élèvent en effet pour dénoncer le gaspillage des ressources et de l'énergie, la pollution engendrée par ce type d'économie. Il faut savoir par exemple qu'à l'heure actuelle chaque français produit 350 kg de déchets par an, qu'il faut collecter et incinérer. Depuis la seconde guerre mondiale s'est installé un système qui consiste à extraire, fabriquer, consommer et jeter pour pouvoir recommencer à produire et à vendre.

Un autre concept économique existe désormais: celui de l'économie circulaire, qui s'inscrit dans le cadre du développement durable et dont l'objectif est de produire des biens et des services en limitant la consommation et le gaspillage des matières premières, de l'eau et des sources d'énergie. Il s'agit selon le Ministère de l'Ecologie de « refermer le cycle de vie des produits, des déchets et de l'eau ». L'Institut de l'Economie Circulaire (www.institut-economie-circulaire.fr) a même popularisé un slogan repris ça et là : « les déchets des uns devront devenir les ressources des autres ! »

Toutefois, la France reste en retard sur ses voisins allemands et italiens... Mme Ségolène Royal, Ministre de l'Ecologie, a lancé des initiatives, mais celles-ci mettent du temps à se concrétiser. Un Programme National de Prévention Déchets 2014/2020 a été lancé en juillet 2014, ainsi qu'un Appel à Projets suscité pour arriver à des « territoires zéro gaspillage zéro déchet ». Les Deuxièmes Assises de l'Economie Circulaire auront lieu du 16 au 17/6/2015 à Paris à la Maison de la Chimie. Espérons qu'il en sortira des initiatives concrètes et que les médias en parleront!

En attendant, les citoyens que nous sommes, les entreprises Françaises vont devoir s'impliquer de plus en plus. Citons déjà le Projet Recybeton qui démontre la faisabilité du recyclage du béton ; l'Atelier Del Sol qui a un espace de travail fonctionnant entièrement à l'énergie solaire ; les Jardins Partagés qui naissent à la périphérie des villes... A Nantes par exemple une initiative de l'Association Les Idelles a permis à la fois d'aménager un Jardin Partagé au milieu des tours du quartier défavorisé Malakoff et de fabriquer un composteur collectif en y intéressant une Agence de Design industriel devenue Les Ekovores. En région PACA: Evaléco qui apprend aux gens à entretenir leur ordinateur et à réparer leur vélo, l'Association A2D3 qui enseigne la valorisation des objets au lieu de les jeter, la Manufabrik qui construit du mobilier urbain à partir de palettes recyclées...

Un peu partout en France des initiatives citoyennes naissent, des Festivals sont organisés, des films sur la Transition Energétique sont projetés, preuve que cette économie circulaire est en plein bouillonnement créatif!  Alors, là où c'est possible, apportons notre pierre à l'élan nouveau qui construit un système différent, privilégions dans nos vies le réparable, le recyclable, les produits durables et enseignons à nos enfants comment préserver l'air, l'eau et toutes les ressources de notre planète!

Lyliane (30/5/2015)

29/05/2015

L'accès aux soins des personnes démunies...

Selon Mme Aline Archimbaud, Sénatrice de Seine St Denis et le docteur Jeanine Rochefort, Déléguée Régionale de Médecins du Monde pour l'Ile de France, les facteurs financiers ne sont pas les seuls à rentrer en ligne de compte pour expliquer l'éloignement des soins des personnes socialement les plus fragiles dans notre pays.

 

Normalement, en dessous de 720 euros de revenu mensuel, toute personne en France devrait bénéficier automatiquement de la CMU-C, qui donne droit à la prise en charge gratuite de la part complémentaire des dépenses de santé, hospitalisation comprise. Or, l'extrême complexité administrative d'un dossier de CMU-C est pointée par Mme Archimbaud, car il comporte 16 pages à remplir et au moins 60 pièces et attestations à fournir. De plus, des guichets de proximité de la CPAM (Caisse primaire d'Assurance Maladie) ont été supprimés ce qui ne facilite pas le dépôt des dossiers. Aussi, beaucoup de personnes en situation de précarité renoncent à cette aide médicale, malgré l'investissement sur le terrain d'assistantes sociales et d'associations comme Médecins du Monde, la Croix rouge, l'Ordre de Malte etc...

 

Selon l'INSEE, 15 à 20% des bénéficiaires du R.S.A. (revenu de solidarité active) n'arrivent pas à obtenir la CMU-C, alors que ce pourrait être automatique ou au moins fortement simplifié dans ce cas. Toutefois, ne l'oublions pas, 9 millions de personnes, dont 1 enfant sur 5, vivent en dessous du seuil de pauvreté dans notre pays. Comme elles ne peuvent plus guère se soigner (les dents, les yeux, les oreilles et de la santé en général) ou alors très mal, la gale et la tuberculose ont réapparu et sont même en recrudescence en France.

 

Des médecins auraient remarqué que, même dans la classe dite moyenne de notre pays, à partir du 20 du mois, leur clientèle diminue de 5% car elle est en difficulté financière. Les personnes citées plus haut font remarquer qu'au lieu de faire rembourser les dépassements d'honoraires par les mutuelles pour les actes chirurgicaux et médicaux, il vaudrait mieux mettre une limite à ces sommes qui deviennent prohibitives. Selon le docteur Rochefort, l'importance donnée aux mutuelles et assurances complémentaires payantes éloignerait notre système social français ( à l'instar du modèle américain pourtant peu enviable sur ce point) du modèle solidaire né en octobre 1945 avec la Sécurité Sociale.

 

Mme Archimbaud propose que les élus et notamment les Sénateurs examinent enfin les 40 propositions qu'elle a déposées en septembre 2013, afin d'effectuer « un choc de solidarité ». Au moment où notre ministre de la santé et nos élus votent une réforme du système de santé en France, système contre lequel se mobilisent beaucoup de médecins et d'infirmiers, soucieux de ne pas alourdir leur emploi du temps et de ne pas perdre leurs avantages, n'oublions pas les millions de personnes démunies qui souffrent en silence de notre indifférence à leurs problèmes cruciaux.

 

Il y aurait, me semble-t-il, des mesures simples à mettre en place, par exemple des visites médicales gratuites dans des centres de santé ou des dispensaires, des cliniques mobiles comme en Afrique et partout un peu plus de chaleur humaine pour combler le fossé qui se creuse entre les citoyens. Réalisons bien que, contrairement à certaines allégations dans le grand public, ce ne sont pas les démunis qui sont responsables du « trou de la Sécu », mais peut-être certains abus du fait de congés de maladie abusifs, de quelques prescriptions de confort, de privilèges consentis à quelques professions libérales et laboratoires, qui surtaxent des actes ou le prix des médicaments...

 

Un changement dans nos mentalités me paraît souhaitable, ainsi qu'une réorganisation de nos priorités, afin que tous bénéficient d'un minimum d'accès aux soins et que notre Sécurité Sociale demeure le bien précieux et solidaire qu'elle aurait du rester.

Lyliane (29/5/2015)

27/05/2015

Pétition du Professeur Henri Joyeux sur internet à propos d'un vaccin...

 
 

Vaccin DT-Polio : avez-vous lu ce message ?

Chers amis, 

Vous le savez sans doute, le vaccin DT-Polio obligatoire est introuvable en pharmacie dans toute la France. 

Et actuellement, le seul vaccin qu'on vous propose à la place coûte... 7 fois plus cher !! 

C'est l'Infanrix Hexa, des laboratoires GlaxoSmithKline. Il coûte 40 euros au lieu de 6,34 euros pour le traditionnel DT-Polio ! 

« Nous sommes ni plus ni moins dans un schéma de vente forcée et de désinformation du consommateur, a déclaré lors d'une conférence de presse la député européenne Michèle Rivasi, le 24 mars 2015. « À qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques bien évidemment. » 

Mais il y a plus grave encore : l'Infanrix Hexa contient aussi le vaccin controversé contre l'hépatite B, soupçonné de favoriser la sclérose en plaque, plus d'autres vaccins non-obligatoires, et de dangereux adjuvants (aluminium, formaldéhyde). 

Si vous êtes parents, vous n'avez pas le choix :

  • Soit vous donnez à votre enfant l'Infanrix Hexa, avec tous les risques que cela comporte ;

  • Soit vous vous mettez hors-la-loi. Car si vous ne vaccinez pas votre enfant contre le DT-polio, vous vous exposez à 3750 euros d'amende et 6 mois de prison, plus l'exclusion potentielle de votre enfant de la crèche, de l'école, et de toute collectivité.

Mais vous n'êtes pas obligé de vous laisser faire.

Pour faire cesser ce scandale, cliquez ici et signez notre grande pétition. Pour demander aux autorités et aux labos le retour, dans les plus bref délais, du classique vaccin DT-Polio sans aluminium

Signez notre grande pétition

Les vaccins multiples qui sont les seuls disponibles sont beaucoup trop risqués.

Pratiqués sur des petits de quelques semaines seulement, ils fonctionnent en déclenchant une tempête du système immunitaire dont il est tout à fait normal de redouter les conséquences, aussi bien sur le long terme avec les maladies auto-immunes que sur le court terme avec un choc anaphylactique.

D'autre part, les travaux du Pr Gherardi (Inserm) et du Pr Authier (Mondor) ainsi que ceux d'autres chercheurs étrangers ont montré que ces vaccins contenant de l'aluminium restent dans les muscles sur le long terme où ils peuvent provoquer une très grave maladie, la myofasciite à macrophages.

Leurs travaux ont été publiés dans la grande revue scientifique Brain il y a déjà 15 ans.

L'aluminium pénètre dans le cerveau et peut provoquer de graves maladies nerveuses, comme l'Alzheimer et la maladie de Parkinson. C'est la raison pour laquelle il est fortement déconseillé d'utiliser des déodorants et produits de beauté à l'aluminium.

Le formaldéhyde quant à lui est une substance qui a été classée comme « cancérogène certain » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui dépend de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) [2].

Plusieurs études ont montré que cette substance provoque des avortements spontanés, des malformations congénitales, une chute du poids à la naissance, l'infertilité [3]. 

Pourquoi vacciner si tôt contre une maladie qui ne concerne pas les enfants ?

Enfin, il est absurde et dangereux de vouloir vacciner des nourrissons de 2 mois contre l'hépatite B sauf si les parents (ils le savent) sont porteurs du virus.

L'hépatite B est une maladie sexuellement transmissible qui ne concerne pas les bébés. En outre, le vaccin contre l'hépatite B est fortement soupçonné de provoquer la sclérose en plaques (SEP).

À partir de deux sources de données, celles du système national d'Assurance-maladie (CNAM) et du système de pharmacovigilance de l'ANSM (Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé), le Dr Dominique Le Houézec a identifié une augmentation de 65 % des cas de scléroses en plaques (SEP) dans les années 1995-1996, soit deux ans après la campagne de vaccination de masse contre l'hépatite B qui a eu lieu en 1994.

Le vaccin contre l'hépatite B n'a donc rien à faire dans un vaccin DT-Polio destiné à des tout-petits ! 

Une histoire de gros sous

Tout cela n'est qu'une histoire de gros sous, avec des manœuvres sournoises pour exploiter les craintes légitimes des patients mal informés.

Ce sont des méthodes indignes d'une démocratie. Défendez-vous. Défendez vos enfants. Signez la pétition ci-dessous. 

Une pénurie qui s'installe !

TF1, France 2, France 3 ont parlé de ce scandale [4]. Le 25 mars dernier, la presse annonçait que « la pénurie pourrait durer toute l'année[5].» 

Mais la réalité, c'est qu'aucune date n'a été annoncée ni même suggérée pour le retour du vaccin classique DT-Polio sans aluminium.

Les parents et les infirmières scolaires disent leur inquiétude sur Internet : 

« Je suis catastrophée, je dois vacciner ma fille avant son entrée à l'école en septembre et je me sens prise au piège. Il est intolérable de devoir jouer à la roulette russe avec nos enfants !!! La date approche et l'étau se resserre. »

« Je suis infirmière scolaire et partage votre désarroi ! »

« Le problème est d'une gravité extrême. C'est une désolation inqualifiable. Que fait donc le gouvernement ????? Ceci est un problème à porter au public à l'assemblée au Sénat !!! » [6] 

L'étrange silence des autorités

Justement, les autorités sanitaires restent étrangement silencieuses. 

Pour l'instant, elles se contentent de répéter – contre toute évidence – que le vaccin hexavalent est parfaitement sûr et qu'il n'y a rien à craindre. 

C'est complètement absurde : 

Comme tous les médicaments, les vaccins comportent un risque

Le Code de la santé publique lui-même prévoit des indemnités aux victimes des vaccins obligatoires, ou à leurs ayants-droits en cas de décès de la personne vaccinée. [7] 

Le risque est d'autant plus grand que le vaccin possède une charge virale élevée, et de multiples souches. 

Vacciner n'est jamais anodin, même avec le simple DT-Polio.

Pourquoi obliger les gens à prendre des risques inutiles ? Pourquoi leur raconter que « tout va bien Madame la Marquise », alors que chacun peut constater que c'est faux ??

Ne vous laissez pas faireDéfendez vos droits fondamentaux

Signez et faites signer cette pétition autour de vous.  

Votre signature peut nous donner une légitimité démocratique !

De mon côté, je réunis des médecins, des professionnels de santé, et j'active tous mes réseaux avec l'IPSN pour faire réussir cette opération. Je suis en contact avec les autorités et avec la presse pour porter ce message. Mais j'ai besoin de la preuve concrète que des centaines de milliers de citoyens soutiennent cette importante démarche.

Vous seul pouvez donner à notre requête une légitimité démocratique.

C'est pourquoi il est capital que vous appuyiez le mouvement en signant cette pétition et en la transmettant à tout votre carnet d'adresses. Cela ne prendra que quelques secondes de votre temps.

Il s'agit de notre santé et de celle de nos enfants, notre bien le plus précieux.

Si vous ne faites rien, cette situation ne peut que perdurer. Elle arrange trop de monde.

Seule une mobilisation intense des citoyens peut faire revenir le simple vaccin DT-Polio sans aluminium, qui permet de vacciner les enfants en limitant les risques au maximum.

Je sais déjà que le Conseil national de l'Ordre des médecins va réagir contre cette action pour protéger les laboratoires en invoquant la santé de vos enfants. Ce n'est pas ma conception de la médecine et de la santé.

Mais pour faire contrepoids, il faut absolument un très grand nombre de signatures.

Je compte sur vous pour être très nombreux à signer cette pétition qui sera envoyée au président de la République et à la Ministre de la Santé Marisol Touraine.


 
Bien à vous tous.

Professeur Henri Joyeux 

26/05/2015

Bien vieillir à domicile...

Il y a actuellement en France plus de 16 millions de personnes âgées. La plupart du temps, leur 10 ou 15 dernières années de vie s'accompagnent d'une perte progressive d'autonomie et d'un relatif isolement, car leurs familles sont éloignées ou peu disponibles.

Il nous revient, me semble-t-il, d'anticiper ce vieillissement inéluctable et de réfléchir à la manière dont nous souhaitons le vivre du mieux possible. En ce qui me concerne, et c'est je crois le souhait de la plupart, rester chez soi est le souhait le plus cher, car nous y avons nos repères, quelques fleurs ou un jardin et notre voisinage. Grâce à de nouvelles technologies et à des aides que l'on peut prendre bien avant le grand âge sous forme d'une assurance dépendance, notre logement est susceptible d'être adapté ou mieux aménagé. La solution de la maison de retraite, du foyer logement ou de l'EHPAD vient généralement bien plus tard, si l'état de santé se dégrade. De toute façon elle se révèle assez onéreuse et beaucoup de personnes se plaignent de soins trop rapides, impersonnels et d'une ambiance générale assez déprimante...

Quand le logement personnel comporte des escaliers, des tapis ou un parquet, faire poser une rampe, des revêtements de sol antidérapants et des éclairages suffisants paraît un minimum. Les sanitaires demandent généralement à être adaptés (douche, rehausseur de WC, pose d' appuis...) et dans la cuisine le remplacement du gaz par l'électricité semble de règle. Bref, avec un téléphone à grosses touches, une sonnette réglée plus fort, une canne Tango, des écouteurs pour mieux entendre la télévision sans gêner quiconque, un tensiomètre à disposition et une alarme personnelle, quelques années d'autonomie peuvent généralement être gagnées. L'A.N.A.H (aide nationale à l'habitat) peut parfois être sollicitée pour prendre en charge quelques aménagements du domicile.

Il existe de nos jours des possibilités de commandes par téléphone ou par internet et de livraisons de produits alimentaires ou ménagers à domicile en globalisant ses besoins, afin de ne pas payer de supplément. Des aides à domicile pour du ménage ou des courses, voire des soins de toilette ou des livraisons de repas chez soi peuvent être attribuées sur dossier par certains C.C.A.S (centre communal d'action sociale) ou Conseils Généraux. A partir de 60 ans, l'A.P.A (allocation personnalisée d'autonomie) peut être versée selon les ressources de la personne dépendante qui vit chez elle.

A la campagne, où l'isolement est habituellement plus grand, un service de proximité de la Poste nommé COHESIO met à contribution 90 000 facteurs pour aller rendre visite aux personnes âgées vivant seules. Dans certaines communes, il existe des centres de gérontologie, où l'on peut rencontrer d'autres personnes de son âge, des clubs seniors. Des taxis collectifs que l'on commande à l'avance aident à se déplacer. Parfois des maisons départementales d'autonomie ont été crées. On peut s'y rendre et y trouver des animatrices qui proposent des activités (club mémoire, danse, chant, scrabble...), sont à même de conseiller et rassurer. Car garder du lien social, quelques activités bénévoles (soutien scolaire, trafic devant les écoles, club de lecture...), des relations amicales ou de voisinage permet de se sentir inséré dans la société et toujours utile.

Si la commune où vous vivez ne semble pas encore se soucier suffisamment des personnes âgées, pourquoi ne pas saisir le Conseil Municipal et Mr le Maire à ce sujet? Car les impôts locaux servent normalement à toute la collectivité! Des initiatives citoyennes sont toujours possibles et nous connaissons tous des échanges de services avec de jeunes ménages (baby sitting) ou avec des étudiants lorsqu'on dispose d'une chambre à donner. Voir le site Internet: www.untoit2generations.fr. Car sentir la présence de quelqu'un de bienveillant le soir peut rassurer la personne âgée!

Il y a sans doute place pour bien des idées généreuses, des initiatives comme la maison des Babayagas à Paris ou d'autres en province. Car ne l'oublions pas: un jour nous serons tous plus ou moins confrontés à cette question du vieillissement.

Lyliane (26/5/2015)

23/05/2015

Victoire du mouvement citoyen contre le gaspillage alimentaire: article pris sur internet.

POLITIQUE - Durant les mois de décembre et janvier, avec des amis et bénévoles de ma commune, Courbevoie, nous avons récupéré trois soirs par semaine les invendus du supermarché "Carrefour Market Charras" de Courbevoie, pour les distribuer aux personnes nécessiteuses, notamment la classe moyennes et les SDF.

Fort de cette expérience et avec mon ami Mathieu Kassovitz, sensible à cette question, nous avons décidé de lancer une pétition sur Change.org pour obtenir une loi imposant à tous les supermarchés de distribuer leurs invendus.

Aujourd'hui, plus de 210.000 personnes ont signé ! Il s'agit du texte à thématique "écologique / agriculture" ayant reçu le plus grand nombre de signatures sur un site de pétition en ligne en France.

Pourquoi une loi ?

En France, aujourd'hui, nous avons :

  • D'un côté, une classe moyenne qui a de plus en plus de problèmes économiques. En effet, dès le 10 de chaque mois, des millions de Français sont sous l'eau après avoir payé leur loyer et leurs charges. En outre, il y a de plus en plus de SDF dans nos rues.
  • De l'autre côté, chaque supermarché gâche chaque jour plus de 40 kg de nourriture. C'est impensable avec la crise économique actuelle !


Notre proposition a donc été simple et efficace : voter une loi imposant, ou incitant aux supermarchés de donner, soir après soir, tous leurs invendus à l'association de leur choix.

Concrètement, nous souhaitons proposer un droit opposable. Ainsi, avec un encadrement légal, il y aurait trois conséquences :

1. Chaque citoyen peut créer une association et déposer les statuts (validés au préalable à la préfecture évidemment) à sa mairie. Celui-ci pourra ensuite s'adresser à l'enseigne de son choix dans sa commune, afin que celle-ci lui remette les invendus pour une distribution le soir même (à l'instar de notre initiative à Courbevoie).

Il y aura donc deux sortes d'associations pour la distribution de nourriture : les associations agréées qui peuvent stocker (les Restos du cœur, Secours catholique, Secours populaire, Samu social, Croix rouge...) ; et les associations agréées qui ne peuvent pas stocker en raison d'absence de locaux permettant le respect à la chambre froide. Dans ce cas, ça serait une distribution immédiate le soir même (à l'instar de mon association "Courbevoie 3.0").

Si aucune association ne vient interpeller une enseigne, l'obligation ou la contrainte ne fonctionne donc pas. Ceci pour rassurer les enseignes et les commerçants.

2. Chaque commune pourra informer les citoyens qu'il y aura cette initiative. Cela permettra de mobiliser de nombreux bénévoles. Exactement comme j'ai fait à Courbevoie (tribune dans le "Courbevoie magazine", communication via Facebook, Twitter).

3. Le surplus de nourriture sera cédé automatiquement aux associations agréés qui peuvent stocker la nourriture. Je rappelle, comme vous le savez, que les Restos du coeur (comme toutes les autres) font des collectes de nourriture en ce moment.

Un système quasi-similaire a été appliqué en Belgique, par le député socialiste Frédéric Daerden à Herstal. Ça marche très bien comme vous pouvez l'imaginer.

Cette proposition, que nous avons donc testée sur le terrain à Courbevoie peut aider à éradiquer une partie de la faim dans notre pays.

De nombreux parlementaires et élus, de droite comme de gauche, soutiennent notre démarche comme Thierry Solère, Pouria Amirshahi, Alexis Bachelay, Frédéric Lefebvre, Nathalie Goulet, Xavier Bertrand ou encore Jean-Christophe Lagarde. Il y a une réelle union nationale autour de notre demande.

De plus, de nombreuses personnalités tel que Johnny et Laeticia Hallyday, Bruno Gaccio, Anthony Kavanagh, Nikos Aliagas, Omar et Helene Sy, Valerie Damido, Youri Djorkaeff ou encore Antoine et Emma de Caunes.

Nous avons également reçu le précieux soutien de l'association ONE France. Cette ONG a été fondée par Bono, le chanteur du groupe U2. En effet, notre combat est international et aura vocation à se décliner sur d'autres continents.

Nous avons été auditionné, les 28 janvier et 17 février, à l'Assemblée nationale pour présenter cette initiative. Et le 5 mai, nous avons été reçus à l'Élysée. J'ai reçu le soutien du Président de la République pour notre pétition.

Notre pétition a été votée à l'unanimité le vendredi 10 avril dernier au Sénat dans la loi dite Macron. La sénatrice UDI Nathalie Goulet a saisi l'opportunité de cette loi pour y insérer un amendement. Le Senat l'a voté à l'unanimité avec deux précisions : cela concerne les enseignes de plus de 1000m2 et elles auront la possibilité de faire un partenariat avec l'association de leur choix. C'est donc la reconnaissance d'un réel droit opposable et la création d'un encadrement légal pour la distribution directe des invendus consommables.
La loi Macron sera votée fin juin. A ce propos, le député-maire de notre ville, Jacques Kossowski m'a apporté son soutien. Je tiens à le remercier chaleureusement.

Par ailleurs, le député socialiste Guillaume Garot a repris intégralement notre pétition dans son rapport. Ce n'était pas chose facile car il était opposé à notre proposition de droit opposable. Mais nous l'avons persuadé grâce à nos arguments. Et surtout, grâce à la pression de l'opinion publique. 

Mais en parallèle de cette Loi Macron, la loi dite "transition énergétique" se présente en dernière lecture à l'assemblée Nationale.
Et le député UMP Frédéric Lefebvre, avec d'autres députés (dont le député UDI Maurice Leroy), ont décidé de saisir l'opportunité pour y insérer différents amendements, dont celui inséré à l'identique dans la Loi Macron. 

Par ce biais, toutes les enseignes auront l'obligation de donner leurs invendus consommables à l'association de leur choix.

L'objectif est de faire passer le dispositif le plus rapidement possible. Et la loi "transition énergétique" est votée en ce moment même. C'est donc une victoire car tous les groupes sont d'accord pour la voter.

L'objectif sera ensuite d'expliquer l'applicabilité de la loi à tous les français. J'ai été à Saint-Maur il y a quelques jours. Et je serai au Festival "nourrir sa santé" à Brides les Bains (Savoie en région Rhône-Alpes) du 5 au 7 juin. Cette initiative qui vient de ma ville, Courbevoie, pourra ainsi s'appliquer dans toute la France.

Cette loi, pour laquelle je me suis battu depuis de longs mois, permettra à toute la classe moyenne et aux démunis de pouvoir manger et boire sans la crainte du pouvoir d'achat. Et de voir enfin disparaître les scandaleuses images de l'eau de javel sur de la nourriture consommable.

La Fraternité a encore du sens dans notre pays.

Le 16e Festival nourrir sa santé de Brides-les-Bains donne concrètement l'occasion, du 4 au 7 juin, d'apprendre à cuisiner sans gaspiller ! Mieux, il propose de conjuguer équilibre nutritionnel des repas et gourmandises en limitant ses déchets. 
Tour à tour, des chefs et des diététiciennes de Brides-les-Bains montrent la voie. Ateliers des chefs, concours de cuisine amateurs « vite fait bien fait et sans déchets », école des petites toques, tables-rondes se succèdent pendant trois jours intenses qui mettent en pratique une cuisine bien-être au quotidien.

 
 

Lire aussi :

• Contre le gaspillage, l'affaire est dans le sac!

• Non, ce n'est pas un oxymore, ce robinet économise de l'eau

• Développement durable de la société du "Prêt à Jeter"

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Quel rôle jouent la plupart des associations françaises sur le terrain?

A travers la Lettre de l'Association Solidarité Laïque (www.solidarite-laique.org), que je reçois chaque trimestre, je réalise vraiment le rôle d'innovation que jouent beaucoup d'associations dans notre pays.

 

Un article de Mme Nadia Bellaoui, Présidente du Mouvement Associatif qui fédère plus de 600 000 associations, m'a fait prendre conscience que la raison d'être des associations n'est pas seulement de pallier les manques de l'Etat. J'ai en effet pris la mesure du rôle d'innovation sociale qu'elles jouent un peu partout en France. Par exemple, une association alsacienne « crée des solutions pour des personnes handicapées après un accident ». Une autre « Action Basket citoyen » a décidé une stratégie de pérennisation de ses emplois aidés en ne proposant que des temps pleins à ses salariés. Enfin j'ai appris que certaines associations accueillent plus de 80% de jeunes en service civique, que d'autres favorisent l'entraide généreuse entre employés d'une même structure...

 

Bref, que ce soit dans le domaine caritatif, économique ou social ( colocation, partage de véhicules, lutte contre le gâchis alimentaire...), dans le domaine culturel ou sportif ou même dans des modèles de gouvernance (associations collégiales), des associations sont en pointe de l'innovation et forgent de nouveaux modèles de comportement citoyen. Ainsi, tout ce qui va dans le sens de l'intérêt général, du collectif, de la citoyenneté contribue peu à peu à renouveler les valeurs sociétales et républicaines dans notre pays.

 

Car en France, pays que l'on prétend souvent gagné par une forme de « sinistrose », une dynamique positive commence à s'enclencher. Cette mobilisation sur le terrain n'est - elle pas à même de redonner de l'espoir aux plus vulnérables, aux chômeurs, aux démunis, à tous ceux qui se laissent gagner par la peur, qui n'arrivent pas encore à voir des avancées significatives autour d'eux?

 

Certes, dans le monde politique, économique et financier, il existe souvent un sérieux décalage entre le « dire » et le « faire ». Toutefois, dans les régions françaises de nombreuses personnes, courageusement engagées dans des associations, incarnent le changement qu'elles désirent voir naître autour d'elles. Elles seront peut-être comme le levain dans la pâte...

Espérons que ce mouvement existe également ailleurs dans le monde et que nous en verrons bientôt les effets concrets et complémentaires!

Lyliane (23/5/2015)

22/05/2015

A propos des abeilles , des nouvelles encourageantes de Pollinis!

 
 Information du site Pollinis...
 

Chers membres et sympathisants de Pollinis,

 

Nous n'avons jamais été aussi près d'une interdiction totale des pesticides néonicotinoïdes :

 

- De nouvelles études scientifiques incriminent ces substances, qui prouvent que non seulement elles désorientent les abeilles et les rendent incapables de rentrer à la ruche, mais qu'en plus ces dernières deviennent "accros" à ces poisons qui leur sont mortels !

 

- Aux États-Unis, les dernières statistiques sur les pertes de cheptels par les apiculteurs (42% des populations perdues en 1 an !) sont une pression supplémentaire sur l'EPA, qui avait déjà annoncé un quasi-moratoire avant toute nouvelle mise sur le marché de néonicotinoïdes.

 

- La Commission européenne collecte actuellement les données scientifiques sur les effets de ces substances sur les abeilles, et se donne jusqu'en décembre pour les analyser et prendre une décision. Pendant ce temps, nous occupons le terrain, à Bruxelles, en multipliant les rendez-vous avec les décideurs européens, pour ne pas laisser le champ libre aux lobbies de l'industrie agrochimique pour orienter la décision de la Commission !

 

- En France, d'ici un mois le Sénat se prononcera sur l'amendement StopNéonics. Nous ne lâchons pas les parlementaires d'une semelle : si cette interdiction est actée en France, alors le précédent européen qu'elle créera obligera la Commission européenne à s'aligner. Ce sera une victoire des citoyens, pas seulement en France, mais dans toute l'Europe !

 

Il est probable que de nouvelles mobilisations citoyennes soient nécessaires dans les prochains mois pour enfoncer le clou et obtenir l'interdiction définitive de ces pesticides dangereux pour les abeilles et l'environnement – tenez-vous prêts !

 

A très bientôt

 

Nicolas Laarman

Délégué Général de Pollinis

 
 
 
A Bruxelles, l’équipe de Pollinis se démène au quotidien pour rencontrer et alerter un maximum de députés européens sur les dangers des néonicotinoïdes, et faire contrepoids face au lobbying intensif mené par... Lire la suite.
 
 
Voir l’intervention du Docteur Jean-Marc Bonmatin, chercheur au CNRS, vice-Président de la Taskforce sur les pesticides systémiques et spécialiste des neurotoxiques, qui dénonce les effets désastreux... Lire la suite.
 
 
Quelques ouvrages indispensables sur l'apiculture, l’agriculture, la protection des cultures et l'agroécologie. Lire la suite.
 
 

 

Transmission pour information: Comment les cubains ont converti leur île au bio...


 
 
 
 
 
 
Les écologistes du monde en entier en rêvent, les Cubains l’ont réalisé. Depuis plus de vingt ans, l’île s’est convertie à l’agriculture biologique. Nécessité, possibilité et volonté ont été les clés de cette success story !

1989. Chute du Mur de Berlin. Deux ans plus tard, effondrement du bloc soviétique. Cuba perd alors son principal fournisseur de pétrole, de matériel agricole, d’engrais chimiques et autres pesticides. Avec la disparition de l’URSS et des anciens pays de l’Est, qui achetaient ses produits à prix constants, l’île perd aussi des marchés juteux, notamment celui du sucre, dont elle exportait 85% de sa production. Tous les ingrédients sont réunis pour que le pays plonge dans le chaos. D’autant que le blocus américain se resserre. Pour Cuba, c’est le début d’une nouvelle ère, de cette « période spéciale en temps de paix » annoncée en 1992 par Fidel Castro et qui durera cinq ans, autrement dit une période de grave crise économique : le produit intérieur brut (PIB) chute de 35 %, le commerce extérieur de 75%, le pouvoir d’achat de 50% et la population souffre de malnutrition.

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait » (Marc Twain)

Nécessité fait loi. Afin de satisfaire ses besoins alimentaires, la population se lance dans la culture de fruits et légumes. « Les Cubains avaient faim, explique Nils Aguilar, réalisateur du film Cultures en transition. Ce sont eux qui ont fait les premiers  pas en occupant les terres dans un mouvement spontané ». Des milliers de jardins, « organoponicos », fleurissent sur des petits lopins de terre, sur les terrasses, entre les maisons, sur d’anciennes décharges, au milieu des terrains vagues, bref dans le moindre interstice laissé vacant. Outre la culture, on y pratique souvent l’élevage de petits animaux : poules, lapins, canards, cochons. « Les principaux acteurs du mouvement agro-écologique, ce sont les paysans eux-mêmes, affirme Dorian Felix, agronome, spécialisé dans l’agroécologie tropicale, en mission à Cuba pour l’association Terre et Humanisme. Ils ont expérimenté ces pratiques, les ont validées et diffusées. Leur mobilisation et celle de la société civile tout entière a été, et reste, très importante. »
Le boom de l’agriculture urbaine
Dans la foulée, le gouvernement entame une transition forcée. Produire de la nourriture devient une question de sécurité nationale. A partir des années 1990, l’accent est mis sur la production locale, à partir de ressources locales, pour la consommation locale. L’Etat distribue des terrains à qui veut les cultiver et développe une agriculture vivrière et biologique de proximité : sans pétrole pour faire fonctionner les tracteurs, on recourt à la traction animale ; sans engrais chimiques ni pesticides, on redécouvre le compost, les insecticides naturels et la lutte biologique.

« C’est une véritable révolution verte, confirme Nils Aguilar. Dans ce pays, tout le monde est impliqué, j’ai eu la surprise d’entendre un chauffeur de taxi me vanter les prouesses de l’agroécologie ! Cuba développe une agriculture post-industrielle et prouve que ces techniques peuvent nourrir les populations ». Aujourd’hui, la main-d’œuvre agricole a été multipliée par dix. D’anciens militaires, fonctionnaires et employés se sont convertis ou reconvertis à l’agriculture, car nombre d’entre eux avaient été paysans auparavant. Chaque école cultive son potager, les administrations ont leur propre jardin, fournissant les légumes aux cantines des employés.
Lire la suite sur http://www.kaizen-magazine.com/comment-les-cubains-ont-co...
 

11/05/2015

Connaissez-vous la Griffe du Diable ou Harpagophytum procumbens?

 

Cette plante herbacée est originaire d'Afrique du Sud. C'est une pédaliacée, diraient les botanistes. Ce sont les peuples indigènes de Namibie et du Botswana qui l'utilisent le plus, afin de soulager une foule de maux, dont les douleurs rhumatismales et les troubles digestifs.

 

Cette plante au goût amer contient en effet des composants qui agissent en synergie sur différentes voies du processus inflammatoire et de la douleur. L'Harpagophytum est connu dans nos pays européens comme un anti-inflammatoire de premier ordre, utile en cas d'arthrite et d'arthrose, car il diminue la douleur et la raideur articulaire en cas de lumbago, de sciatique, de tendinite, de capsulite, de synovite et d'entorse. Ce complément alimentaire est réputé de manière générale pour son action bénéfique sur les articulations. Il améliore en effet même sans trouble particulier la mobilité et la souplesse articulaire.

 

Le traitement classique s'effectue avec des gélules (2 gélules 2 fois par jour) ou bien avec la racine séchée de la plante que l'on peut laisser macérer dans un demi litre d'eau froide, ce qui est plus long et plus difficile à mettre en place. C'est quoi qu'il en soit un protocole sans aucun effet secondaire, ce qui est fort appréciable!

 

Hélas, en raison de son succès dans nos pays occidentaux la plante d''Harpagophytum sauvage souffre d'un arrachage massif qui met en péril sa survie sur le sol africain. Une cueillette raisonnable contribuerait pourtant à la pérennité de la ressource...

 

Aussi, si vous devez en acheter, il est recommandé de préférer des plantes issues de cultures biologiques, respectant un cahier des charges d'échanges solidaires et responsables. Car la filière bio de la plante s'intéresse au côté durable de sa consommation, ce qui n'est pas le cas pour toutes les autres! Par exemple, on peut s'adresser aux laboratoires Yves Ponroy: www.ponroy.com

Lyliane 

30/04/2015

Mieux protéger les animaux de ferme...

 

Une association pour la protection mondiale des animaux de ferme www.pmaf.org existe, en vue de favoriser une meilleure prise en compte du bien-être des animaux, à toutes les étapes de leur vie: élevage, transport, abattage... Dans son bulletin d'information "champ libre ", cette organisme indique l'actualité des campagnes entreprises et des actions sur le terrain. Il est possible de le télécharger sur le site Internet. Nous pouvons également nous inscrire sur leur Newsletter afin d' être tenu au courant de leur actualité. Il existe des CD en direction des juniors pour les sensibiliser à la cause animale ainsi que du matériel promotionnel. Stages et emplois au sein de leur structure sont aussi répertoriés.

 

La P.M.A.F. lance périodiquement des campagnes concernant la maltraitance des animaux de ferme grâce au plan Vigiferme, afin de conseiller le grand public, les gendarmes, les maires, les magistrats, les enquêteurs d'associations de protection animale.

 

Par exemple, elle a dénoncé le transport d'animaux vivants en France ou à travers l'Europe qui impose parfois des souffrances incroyables aux animaux, confinés sur de longues distances, ballottés et sans possibilité de s'abreuver ou de manger. Un film réalisé par la PMAF en 1997 a révélé au public les brutalités, dont sont victimes des animaux sur les marchés aux bestiaux.

 

L'association a déjà enregistré des succès à propos des cages grillagées de poules élevées en batterie. Une directive européenne, depuis leur campagne de 2012, prescrit désormais pour chaque poule un espace de 750 cm2 au lieu des 550 cm2 d'autrefois et demande des perchoirs, des grattoirs et un nid. C'est vraiment un minimum, mais c'est déjà un sérieux progrès!

 

Prendre conscience que les animaux sont sensibles et souffrent lorsqu'on les maltraite me semble être un pas en avant vers notre ouverture au monde qui nous entoure, un monde vivant dont nous sommes responsables en toute bienveillance et humanité.

 

Lyliane 

28/04/2015

Histoire de semences bio...

 

Cette histoire commence comme un conte de fées. Il était une fois, dans les années 1960 une jeune femme, Sylvia Schmid, d'origine suisse, venue comme stagiaire dans une ferme du Lot...

 

Là, elle se laisse toucher par les paysages et elle achète une ferme, dans laquelle elle s'installe avec des amis. Dans les années 1970, sa rencontre avec un semencier allemand oriente le cours de sa vie.

 

Elle commence à s'intéresser à une variété de blé rouge dit de Bordeaux, qui menace de disparaître. Elle lui consacre une parcelle. Puis, elle expérimente sur ses terres la levée de graines de melons prélevées et séchées l'année précédente.

 

Avec un groupe d'agriculteurs du Lot et Garonne (près d'Agen), constitué en G.I.E.(groupement d'intérêt économique), elle décide de multiplier et de vendre au public des graines de variétés traditionnelles. Tous ensemble ils réalisent alors des semences de légumes, de fleurs, d'aromatiques et d'engrais verts. Leur premier catalogue est publié en 1982 dans la revue : "Les 4 saisons du jardinage". Ce fut tout de suite un succès !

 

Aujourd'hui le Biau Germe, puisqu'il se nomme ainsi, a 30 ans. Il a été pionnier dans la diffusion de graines biologiques. Son catalogue de vente comporte 180 articles que l'on peut commander en ligne sur le site Internet :

www.biaugerme.com

Sur 10 fermes différentes dans un rayon de 20 km autour de Montpezat des semences sont récoltées et proposées aux jardiniers et maraîchers de France et même d'ailleurs. Les membres du G.I.E. préfèrent les variétés qui ont fait leurs preuves et écartent les plantes hybrides développées par l'agriculture productiviste.

 

Cette histoire montre qu'en mettant en commun nos moyens, nos expériences et nos idées, tout est possible ! C'est un bon stimulant pour tous ceux qui croient en des jours meilleurs et qui sont prêts à s'engager dans le Nouveau …

 

Lyliane 

27/04/2015

Courrier à faire propos d'énergies renouvelables si vous êtes d'accord...

 
       
 
Par courrier électronique : mnbattistel@assemblee-nationale.fr
actions@cyberacteurs.org

Pour trouver les adresses de vos parlementaires 

Vous ferez connaître votre point de vue à Marie Noelle Battistel rapporteure du projet de loi relatif à la transition énergétique, à votre député à vos sénateurs  et à Cyber @cteurs pour nous permettre de mesurer l'impact de cette action.

* * * * * * * * *
Prénom, Nom
Adresse
Code postal, commune

Madame la Rapporteure
Madame, Monsieur,

L’Ademe démontre chiffres à l’appui, que l’idée d’un système électrique totalement renouvelable à l’horizon 2050 est non seulement techniquement, mais aussi économiquement crédible : C’est donc maintenant aux services du ministère, soit d’apporter la preuve que le scénario de l’Ademe ne tient pas la route, soit de montrer les avantages d’une poursuite de la politique actuelle.

D'autant que j'apprends par l'Observatoire du Nucléaire que les graves défauts mis en avant par l'ASN étaient connus d'EDF, Areva et de l'ASN au moins depuis août 2011
http://observ.nucleaire.free.fr/Defauts-cuve-EPR-Flamanvi...

et par le Crilan citant les Chinois que les pièces de cuve ont été fabriquées avant même que le décret sur l'EPR de Flamanville soit signé. Vive la démocratie !

Nous n’avons pas le loisir de perdre cinq ans de plus avant de prendre les mesures qu’imposeraient l'abandon de l'EPR et la sortie du nucléaire, en particulier en termes d’infrastructures de transport et d’économie d’électricité.

C’est donc sans attendre qu’il faut lancer et arbitrer ce débat soigneusement escamoté jusqu’ici par les pouvoirs publics avec la complicité active du lobby nucléaire.

Dans cette attente, veuillez croire, Madame, Monsieur, en ma vigilance sur vos décisions.
* * * * * * * * *
Plus d'infos
29 ans après Tchernobyl, Youri Bandajevski alerte la seconde génération

sur le flop du réacteur EPR :


Voir le communiqué de presse de l’ASN du 07/04/15 :


NégaWatt vient de publier une première analyse comparative entre le scénario négaWatt 2011 et trois des variantes proposées par l’ADEME dans son étude 100 % EnR. Cette note d’analyse est téléchargeable sur le site de négaWatt 

Le graphique résume trois des principaux enseignements de cette analyse comparative :

1) La cohérence des niveaux de productions estimés par nW dans son scénario dès 2011 est confirmée sur toutes les filières EnR.

2) Le mix Ademe répondant selon son étude à une meilleure acceptabilité que le mix de référence est bien plus proche du scénario négaWatt

3) Les niveaux de production éolien et PV du mix 40 % EnR (soit 55 % de nucléaire en 2050) sont très peu ambitieux, quasi-inchangés depuis 2025-2030 ...

17/04/2015

Petite victoire législative dans la lutte contre les pesticides...

 

Le 23 janvier 2015, l'Assemblée Nationale a adopté une proposition de loi du sénateur Joël Labbé « visant à mieux encadrer l'utilisation des produits phytosanitaires sur le territoire français ». Dans ses grandes lignes, cette loi interdit l'usage des pesticides pour les personnes publiques dans les zones non agricoles comme l'entretien des espaces verts, des forêts, des secteurs de promenades. Elle met également en place l'interdiction de la vente, de la détention et de l'utilisation des pesticides pour les particuliers.

 

On est donc en droit de se féliciter de ce résultat. Toutefois, les délais d'application de cette loi semblent beaucoup trop longs, puisqu' elle ne devrait s'appliquer qu'en 2020 pour les espaces verts et en 2022 pour les particuliers !

 

Pourtant, en janvier dernier, 1200 médecins, dont un grand nombre de praticiens de la Martinique et de la Guadeloupe touchés par le scandale du « chlodécone », ont publié un appel dans les médias mettant en garde contre les risques sanitaires des pesticides, autant pour les utilisateurs professionnels que pour les consommateurs, les riverains et les personnes vulnérables (femmes enceintes et enfants). Un lien a en effet été établi entre la maladie de Parkinson, le cancer de la prostate et des troubles de la fertilité avec l'usage de ces produits toxiques.

 

Dans ces conditions, on se demande pourquoi attendre si longtemps pour la mise en place de cette loi. Heureusement de nombreuses municipalités se sont déjà engagées en faveur de la réduction de l'utilisation des pesticides, certaines sont même passées à 0 pesticide dans les espaces publics. Il faut saluer l'initiative de la jardinerie Botanic qui a déjà supprimé de la vente tout produit à base de pesticide.

 

En privilégiant cette enseigne, nous pouvons montrer notre engagement! N'achetons donc plus aucun produit toxique et demandons à toutes les grandes surfaces, aux autres jardineries de faire de même en les informant de notre choix. Dans le même ordre d'idée, n'hésitons pas à saisir l'Etat via nos représentants au Parlement et au Sénat, la Ministre de L'Environnement des dérogations qui continuent à être données pour des épandages aériens...

 

Ces quelques démarches visant à anticiper la mise en œuvre de la loi et de promouvoir les alternatives existantes, afin de remplacer dès aujourd'hui les produits toxiques. Même s'il paraît rester encore du chemin à faire pour protéger la nature et tous les êtres humains, soyons persuadés que nous représentons une force active par notre engagement.

 

Lyliane 

10/04/2015

Se mobiliser en faveur du climat...

 

De nos jours, 97% des scientifiques de la planète s'accordent à dire qu'il y a un véritable changement climatique avec notamment un réchauffement général et que ce phénomène est d'origine humaine.

 

Crée en 1988, le Groupe d'Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat (GIEC) a publié un dernier rapport malheureusement très clair : si aucune mesure n'était prise, la température moyenne à la surface du globe s'élèverait de plus de 4°C à la fin du siècle avec des conséquences graves pour toute l'humanité (fonte des glaciers et de la banquise, montée du niveau des mers, vents d'altitude, cyclones...)

 

Le GIEC demande de limiter le réchauffement moyen à 2° maximum, ce qui suppose de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40 à 70% d'ici 2050 et ensuite de ne plus en produire du tout. C'est un sacré défi !

 

Les deux pays les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre, la Chine et les États-Unis, ne prévoient jusqu'ici de les réduire qu'à partir de 2030 pour le premier et de 2025 pour le second. C'est bien loin des préconisations scientifiques...

 

Ne soyons pas naïfs : les grandes puissances mondiales,- qui à la dernière Conférence sur le Climat de Lima n'ont rien décidé du tout -, ne feront un pas de plus à Paris en décembre prochain que si tous les citoyens du monde s'en mêlent et font pression sur eux directement ou indirectement.

 

Aussi les 30 et 31 mai prochain, un grand weekend end de mobilisation est prévu avec des manifestations partout en France et dans le monde. Ne craignons pas de nous y associer, d'y inviter parents et amis ! Les 196 états présents à la conférence ont besoin de sentir notre engagement citoyen, notre motivation ferme accompagnée de propositions réalistes.

 

La France, qui accueillera du 30/11 au 11/12/2015 au Bourget les membres du COP 21 et présidera la 2ème Conférence des parties de la Convention-Cadre des Nations Unies sur le changement climatique, aura un rôle de premier ordre dans la recherche d'un consensus mondial.

 

Ne laissons pas les intérêts particuliers de quelques multinationales, lobbies financiers ou industriels manipulant les représentants de quelques états prendre le pas sur l'avenir de nos enfants et petits-enfants ! Tout est encore possible! Ne suffirait il pas de montrer notre conviction?

 

Lyliane 

05/04/2015

Des sticks bio pour éviter les traitements chimiques de nos arbres...

Ce sont des pièges utilisables en agriculture biologique contre la mouche de l'olivier et contre celle des fruits que l'on accroche aux branches au Sud Ouest de l'arbre de préférence. Ces sticks sont commercialisés sous la marque Adolive (www.adolives.com) et consistent en un tube prêt à l'emploi contenant un attractif alimentaire (phosphate d'ammonium) destiné à attirer les mouches, pour les oliviers celle de l'olive ou diptère. Ces sticks sont recouverts de glu mise à chaud, qui ne s'altère ni au vent, ni au soleil, ni à la pluie et qui durent au moins deux mois.

En les plaçant tôt en début de saison, par exemple en juin pour les oliviers et avant que les fruits ne changent de couleur pour les fruitiers, ces pièges sont efficaces contre les mouches qui pondent au moment du mûrissement des fruits (pommes, poires, figues, kakis,agrumes, pêches, abricots...).

Cela évite de vaporiser des traitements toxiques dès que les fruits sont là, si on les utilise à bon escient c'est à dire en mettant un stick pour 3 arbres par exemple au milieu d'un champ et un pour 2 arbres en lisière de parcelle. Cela dépend également de l'importance des attaques locales.

Les sticks pour les oliviers se nomment « Dacus sticks » et ceux pour les fruitiers « Med fly sticks ». Pour les oliviers, l'INRA a expérimenté aussi avec succès l'argile projetée sur troncs et feuilles... Bref, des alternatives aux traitements chimiques existent, beaucoup moins coûteuses et bien meilleures pour l'environnement.

De ce fait, on peut se demander pourquoi des arboriculteurs continuent à s'empoisonner et à nous empoisonner avec des traitements dangereux . En tant que consommateurs de fruits et d'olives, nous avons notre mot à dire à ce sujet. Ne nous en privons pas et diffusons autour de nous ces procédés français très simples et anodins pour notre santé.

Lyliane (5/4/2015)

02/04/2015

Une étape de plus dans la défense de la planète!

J'apprends par le magazine Télérama du 1 avril 2015 qu'à 9 mois de la COP21, - la Conférence sur le climat prévue à Paris en décembre 2015 - le journal britannique The Guardian se lance dans la bataille contre le réchauffement climatique. En effet, en s'alliant à 350.org, une ONG américaine, le quotidien organise une campagne intitulée « keep it in the ground » (laissez le sous la terre ).

Il demande notamment aux 2 plus importantes fondations du monde : le Welcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates d'arrêter d'investir dans les 200 principaux groupes mondiaux d'énergies fossiles d'ici à 5 ans.

Selon Télérama, en effet, le Guardian décide de politiser le combat en faveur de l'environnement en s'attaquant aux intérêts financiers des plus grands pollueurs de la planète. Les Etats jusqu'ici se sont montrés assez frileux et bien en retrait de la mobilisation citoyenne, qui a lancé « les villes en transition », la création de collectifs, soutenu des films et des livres engagés, des ONG participant à toutes les rencontres. Ils ont signé des pétitions, manifesté dans les rues...alors que la situation ne fait que s'aggraver.

Cette nouvelle forme d'action, plus concrète et plus radicale, pourrait faire enfin reculer ceux qui ne craignent pas d'asseoir leurs profits sur des ravages planétaires. Les exemples ne manquent pas en ce moment d'un engagement plus direct, comme si la patience de tous était épuisée et le temps venu de franchir une étape...

J'en veux pour preuve le cas de la ville d'Oslo, qui est devenue la première capitale du monde à retirer ses investissements du secteur charbonnier. Paris pourrait suivre cet exemple en accueillant 33 maires de grandes villes européennes et en leur proposant d'unir leurs forces, afin de faire baisser le prix de l'énergie verte (bus électriques etc...) Cette initiative potentielle pourrait être relayée en France par les citoyens que nous sommes auprès de Mme Ségolène Royal.

Bref, le Guardian semble avoir ouvert la porte à un climat de rébellion ! Toutefois la situation me paraît suffisamment grave (cyclones, particules fines, pollution des mers...) pour justifier cette démarche ! Alerter les médias, nommer les responsables jusqu'ici n'a guère donné de résultats... Ne s'agirait-il pas désormais de mettre toutes nos forces dans la balance, afin d'obtenir un réveil des consciences et surtout de « toucher les gros pollueurs au porte monnaie  »?

Lyliane (2/4/2015)

01/04/2015

Protégeons les enfants de la maltraitance!

L'Association « Enfance et Partage », crée en 1977, s'est donné pour tâche de protéger les enfants des mauvais traitements, qu'ils soient physiques, psychologiques ou sexuels du fait de la famille ou d'autres personnes.

Cette association, reconnue d'utilité publique, a répertorié 100 000 enfants en danger actuellement dans notre pays. En effet, des sévices corporels, des viols, des homicides même ont lieu de nos jours et une centaine d'enfants en meurent chaque année en France.

Un numéro vert national ,nommé « allo parents bébé » existe depuis 2008 (0800 00 34 56). Il permet à des femmes enceintes, de jeunes parents en grande détresse d'appeler gratuitement et de façon anonyme depuis un téléphone fixe. Il est utile pour des enfants jusqu'à 3 ans.

Un autre numéro, plus général, a été mis en service : c'est le 0800 05 1234. Plus d'un million de personnes y ont eu recours depuis le début. Cela a permis d'ouvrir des dossiers de signalement, de suivre des cas difficiles et d'empêcher des maltraitances.

Un accompagnement juridique est possible grâce à un réseau d'avocats sympathisants, de même qu'un soutien psychologique et moral, effectué par des psychologues, auprès des jeunes victimes.

Néanmoins, l'objectif premier d'Enfance et Partage est la prévention. Pour cela, elle a choisi d'intervenir dans les établissements scolaires en lien avec les assistantes sociales et les infirmières.

Je trouve toutes ces initiatives essentielles pour veiller à l'équilibre de nos enfants et petits enfants.

Jusque là, j'avais surtout été sensibilisée à la maltraitance des personnes âgées en maisons de retraite, par des tuteurs ou des proches...Dans nos pays dits civilisés, que de misères cachées !

Si vous souhaitez aider cette association par des dons ou vous engager aux côtés de ses bénévoles, afin de protéger les enfants maltraités, il vous suffit d'aller sur le site Internet: www.enfance-et-partage.org ou de téléphoner au 01 55 25 65 65.

Lyliane (1 /4 /2015)

30/03/2015

C'est ensemble que nous sauverons le climat!

 L'organisation bien connue mondialement Greenpeace (www.greenpeace.org) m'a interpellée par courrier avec ce slogan. Je me suis sentie immédiatement concernée par une telle proposition. En effet, le dérèglement du climat s'amplifie et ses effets se font de plus en plus sentir : cyclones, inondations, températures en hausse qui font fondre les icebergs...

Certes, à son niveau, chacun fait sans doute quelque chose : tri sélectif, voitures propres, température moindre pour son chauffage, mais Greenpeace cherche à fédérer nos efforts, afin qu'ils soient plus efficaces. Des avancées législatives ont eu lieu en 2014 dans notre pays : loi sur la transition énergétique, interdiction de la mise en culture du maïs transgénique... Toutefois, il reste beaucoup de sujets préoccupants entre l'agriculture industrielle, l'élevage intensif qui pollue les sols, la pêche au thon destructrice des écosystèmes, la déforestation, les déchets dans tous les océans du globe, les émissions en hausse de gazs à effet de serre...

Après la Conférence sur le climat de Copenhague en 2009, il y eut beaucoup d'espoirs déçus ! En effet, malgré une forte mobilisation de la société civile, la présence des médias et la participation vigilante de nombreuses ONG, les Chefs d'Etat n'ont pas réussi à s'entendre sur un accord contraignant pour les plus gros pollueurs de la planète. Des lobbies en tous genres ont tout fait pour conserver «  leur droit de piller la planète ».

Depuis, en 5 ans, des catastrophes liées au climat ont fait plus de 112 000 morts et coûté 500 milliards de dollars. Qu'avons nous enclenché individuellement et collectivement pour y porter remède ? Des climatiseurs continuent à se vendre de plus belle, les conducteurs d'autos qu'elles soient diesel ou à essence circulent presque à vide, les avions sillonnent le ciel, nos pots d'échappement de nos voitures, nos cheminées rendent l'air des villes irrespirable, les transports en commun n'ont toujours pas la cote ! Nous savons pourtant que les 2/3 des émissions de gaz à effet de serre sont issus du pétrole, du gaz et du charbon. Quant au tout nucléaire, des catastrophes sans précédent nous ont montré ses dangers.

A l'approche du Sommet pour le Climat à Paris en décembre 2015, Greenpeace nous incite à ne pas baisser les bras, car les enjeux sont vitaux. Selon les experts du GIEC, si nous continuons à ce rythme d'émissions de gaz à effet de serre, les températures augmenteraient de 4° C d'ici la fin du siècle. Cela provoquerait notamment une hausse du niveau des mers d'environ 60 cm.

S'il semble urgent d'agir, il n'est pas pour autant question de nous décourager, car un changement de cap est encore possible pour enrayer cette augmentation de température et son cortège d'effets néfastes. A nous de jouer les contre pouvoirs, de donner l'exemple et de faire pression sur nos élus, nos gouvernements, nos chefs d'état, en leur faisant connaître notre inquiétude et notre mobilisation. Ils ont en effet un besoin urgent de réaliser notre motivation pour voir enfin un vrai changement.

Le continent arctique est devenu le symbole de l'urgence d'intervenir face aux appétits de certains (forages pétroliers escomptés) et en raison de la fonte rapide des glaces ! Une forte mobilisation mondiale a permis de donner un coup d'arrêt aux intérêts de certaines sociétés et de proposer de faire de ce continent un patrimoine mondial.

Pour la date du 21 septembre 2015, Greenpeace lance un appel aux citoyens du monde entier, afin d'organiser des défilés partout et notamment en France. Saisissons cette opportunité, faisons la connaître autour de nous, afin qu'au COP 21 de décembre 2015 à Paris, des décisions urgentes puissent être enfin prises. Grâce à notre engagement, les décideurs de toute la planète devront faire face « au plus gros lobby du monde », comme le dit Yann Arthus Bertrand, c'est à dire nous, les citoyens, les consommateurs de toute la terre!

Si nous ne voyons pas tout de suite les effets des décisions qui seront prises, au moins les générations futures en bénéficieront !

Lyliane (29/3/2015)

27/03/2015

Un dispositif favorisant le lien social auprès de nos aînés...

 

Beaucoup de personnes âgées de nos jours souffrent d'isolement. Elles manquent en effet de contact social, du fait des familles dispersées ou préoccupées par leurs problèmes personnels. En privilégiant la proximité, les affinités et la réciprocité des échanges, un dispositif, initié en 2006, a été mis en place dans le 17ème arrondissement de Paris. Ce dispositif, nommé "Voisin-Age" prend de l'ampleur un peu partout en France (Nantes, Grenoble, Toulon, Nice). Il s'en crée régulièrement grâce à des volontaires et à des sympathisants de l'association reconnue d'utilité publique "Les petits frères des Pauvres" -

http://www.petitsfreres.asso.fr

Ce dispositif permet en effet à des personnes âgées - appelées "voisinés" - et à certains de leurs voisins volontaires – nommés "voisineurs" – de partager des moments de convivialité. Sorties, repas, courses peuvent être organisés ; des notions de confiance et d'aide arrivent à se créer...

 

Pour prendre part à ce dispositif, il suffit de prendre contact avec « voisin-age » téléphoniquement au 01 49 23 13 55 ou d'envoyer un SMS avec la mention « voisinage » au 06 09 69 14 11, quels que soient l'âge ou la situation personnelle de l'aîné(e) à soutenir. Un responsable prendra contact avec chaque candidat pour mieux connaître ses besoins. Il créera ensuite une page Internet pour chaque personne âgée "voisinée", sa page n'étant accessible que par les "voisineurs" qu'il aura au préalable vus et acceptés.

 

Voisin-Age recrée ainsi progressivement un véritable esprit de solidarité et de convivialité dans les différents quartiers de nos villes. Pour plus d'informations se rendre sur le site :

https://www.voisin-age.fr/

 

Je trouve cette initiative excellente et je pense qu'elle doit être diffusée pour s'étendre partout où c'est possible. Merci à l'association « Les petits frères des pauvres » de s'être impliquée concrètement dans ce dispositif !

 

Lyliane 

26/03/2015

A propos des combinaisons alimentaires...

 

Selon Désiré Mérien, biologiste et naturiste français, les aliments sont classés en 6 groupes en fonction de leur composition : les proteines maigres, les protéines grasses, les lipides, les amidons, les fruits et les légumes.

 

Il estime par exemple que les fruits mi acides et doux peuvent être consommés avec des yaourts ou des fromages maigres, tandis les légumes verts sont censés favoriser la digestion des protéines. Le mariage légumes verts et lipides,- de même qu'avec les amidons- est conseillé d'autant plus que les légumes facilitent la dispersion des graisses .

 

Par contre, l'association de fruits et légumes n'est pas favorable à ses yeux en raison de leurs temps différents de digestion. Des fermentations en outre sont susceptibles de se produire. D. Mérien suggère de privilégier l'ingestion de sucres naturels et de réduire la consommation de sel, qui est un excitant alimentaire. A l'inverse, les plantes aromatiques sont recommandées en tant qu'antiseptiques puissants, permettant une digestion plus rapide et donnant du goût aux aliments.

 

Quant au pain, le blutage des céréales a pour conséquence la suppression des vitamines B et E, précieuses pour l'entretien de l'organisme. Aussi il est recommandé de privilégier les farines complètes.

 

Comme l'eau, les fibres alimentaires jouent un rôle de ballast et luttent efficacement contre la constipation. Poissons, fromages et œufs, selon D. Mérien, encrassent moins l'organisme que la viande. Aussi, il n'hésite pas à recommander un régime frugal, afin d'éliminer toxines et déchets, ainsi qu'une alimentation équilibrée à base d'aliments non raffinés.

 

Sans se tourner vers une nourriture dépourvue d'attrait, il est, semble-t-il, meilleur pour la santé de choisir des produits authentiques en observant le rythme des saisons. Cela ne paraît donc pas idéal de manger tomates, melons ou aubergines poussés sous serre en plein hiver, alors que brocolis, poireaux et navets se révèlent bon marché et sont les légumes de la saison !

 

Enfin, n'oublions pas que les oligoéléments, les sels minéraux, les enzymes et les vitamines sont irremplaçables, ce qui implique de manger des crudités et salades chaque jour, de consommer la peau des fruits et des légumes non traités, cueillis à maturité et de cuire les aliments à une chaleur douce ou à l'étouffée.

 

Lyliane

21/03/2015

Pourquoi acheter un objet, quand votre voisin peut vous le prêter?

 

Sur le site Internet http://www.lesbrinsdherbes.org ou http://www.pretoo.com en ligne depuis avril 2013, j'ai appris que ce réseau social et solidaire met en relation de façon simple des voisins, afin qu'ils puissent se prêter gratuitement des objets du quotidien.

 

Ce site est le plus ancien site de prêt gratuit encore en activité. Il se dit à la croisée de l'économie sociale et solidaire, de la consommation durable, de l'environnement et des nouvelles technologies. Il fait partie de l'économie de partage.

 

Il est possible de s'inscrire sur le site. Grâce à des étiquettes à coller sur sa boîte à lettres, chacun peut faire savoir à ses voisins ce qu'il peut leur prêter : outils de jardin, de bricolage, appareils ménagers...

 

Il existe également un autre système de mise en contact pour faciliter les prêts sur :

http://www.Franceregion.fr/lepret-d-objets-entre-voisins-...

 

Bref ce sont des initiatives novatrices et solidaires qui favorisent une économie d'échange et de contact entre voisins. Il suffisait d'y penser et d'oser le mettre en place !

 

Au fond la crise, malgré sa rigueur, est susceptible de nous aider à changer nos habitudes, à échapper à la société de consommation, à nous faire imaginer d'autres rapports humains.

 

Lyliane 

19/03/2015

Une entreprise de matériaux récompensée pour son action en faveur de la biodiversité.

 

Très souvent les médias passent sous silence les initiatives positives d'acteurs économiques , alors qu'elle mériteraient une large diffusion.

 

C'est notamment le cas de celle de la Société STB matériaux, installée sur une sablière de la commune de Hamel (Nord), dont je découvre aujourd'hui seulement, dans un petit journal gratuit distribué dans les magasins diététiques, qu'elle a reçu le premier prix 2013 du développement durable. Sur son site Internet : www.stb-materiaux.fr, on peut découvrir les contours de cette entreprise.

 

Sensibilisés par des écologues à la présence de milliers d'abeilles sauvages dans un coin de la sablière qu'ils occupaient et avec l'accord de la municipalité, ses dirigeants ont décidé de sauvegarder ce patrimoine naturel vivant et encore mieux même de le favoriser.

 

En effet, non seulement ils n'exploitent plus les zones colonisées par les abeilles, une variété qui niche à même le sol, mais ils ont laissé pousser fleurs et bosquets de saules sur le site pour la ressource alimentaire de ces pollinisatrices. Ensuite, afin de créer des bancs de sable susceptibles d'accueillir les nids, ils ont déversé en couches meubles des matériaux stériles.

 

Tout ceci n'était absolument pas prévu initialement et a coûté de l'argent à l'entreprise. Cette démarche volontariste de renoncement d'exploiter un stock de sable pour préserver une colonie d'abeilles sauvages et cette politique d'ensemencement de fleurs nectarifères a touché l'U.N.I.C.E.M (union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) et l'U.N.P.G (union nationale des producteurs de granulats). Considérant les efforts en faveur de l'environnement entrepris par la STB sur le site de Hamel, ils lui ont attribué, le 31 mai 2013, le prix du développement durable. Ce prix n'est décerné que tous les 3 ans.

 

Cet exemple témoigne du fait que cette société est dirigée par des êtres humains sensibles aux questions écologiques. Il me semble que cette initiative pionnière aurait besoin d'être diffusée alentour. Bien que les militants et partis « verts » ne soient, selon moi, pas toujours appréciés à leur juste valeur en France,- à la différence de l'Allemagne-, nous sommes tous informés que les abeilles disparaissent peu à peu de tous nos pays (pollution, frelons asiatiques, pesticides...). Or, nous en avons besoin pour polliniser nos arbres !

 

Aussi, remercions cette entreprise de démontrer que le profit n'est pas la seule valeur qu'elle reconnaît et n'hésitons pas à la citer en exemple. En effet, économie et écologie peuvent coexister grâce à des solutions nouvelles ! Il suffit peut-être de chercher à les mettre en œuvre...

 

Lyliane

 

18/03/2015

Le printemps arrive! Mais gare aux allergies saisonnières!

 

Combattre les allergies respiratoires durablement est assez difficile en médecine allopathique. Pourtant une autre voie existe: celle du renforcement du terrain de la personne par des méthodes douces et quelques extraits de plantes, qui donnent de bons résultats.

 

Comme dans un jardin, où la préparation du terrain conditionne la pousse de nos futures plantes, notre état de santé nécessite de veiller à ne pas laisser des déséquilibres s'installer. Il convient en effet de veiller à l'équilibre

  • intestinal tout d'abord en réalisant que notre intestin est le siège important de notre immunité. En effet, une foule de bactéries s'y trouve. Les légumes avec leurs fibres et les légumes lacto fermentés notamment aident à nourrir nos bonnes bactéries. Au besoin, il est possible de prendre en complément alimentaire des ferments lactiques.

  • émotionnel ensuite car nous vivons tous des stress journaliers, ce qui épuise les surrénales. Ces glandes aident à juguler les inflammations. Des plantes, comme la Rhodiola par exemple, aident à les vivre mieux.

  • respiratoire aussi quand les muqueuses sont touchées par les pollens...Des huiles de noix ou de poissons riches en oméga 3, quelques gouttes d'huile essentielle de pin maritime, du curcuma, d'autres antioxydants présents dans les aliments colorés sont susceptibles d'aider à éviter ou juguler les crises.

  • alimentaire enfin en évitant le lait de vache, les aliments contenant du gluten, la viande rouge, des aliments allergènes comme les fraises, les crustacés, le vin blanc...

Grâce à tout cela, les allergies de printemps sont susceptibles de laisser en repos les personnes allergiques, de leur permettre de s'oxygéner par des sorties bénéfiques à leur santé dans la nature.

 Lyliane

16/03/2015

Do it yourself ou comment fabriquer ses cosmétiques naturels...

 

La cosmétique industrielle, fabriquée en laboratoires, occupe de vastes linéaires dans les supermarchés français. Néanmoins, de plus en plus d'hommes et de femmes regardent de près les étiquettes de ces produits et s'aperçoivent que flacons et crèmes renferment des agents détergents relativement agressifs, des colorants et des parfums artificiels, des conservateurs... Tous n'ont pas la même toxicité reconnue par les experts. Toutefois certains ont des effets perturbateurs endocriniens (silicones, parabens, composés éthylés...). Ce sont des facteurs de risques reconnus dans des cancers...

 

Le choix des consommateurs de privilégier la cosmétique naturelle découle de cette information et du besoin de prendre soin de sa peau. Jusque là il était affirmé par les laboratoires que pour conserver leurs produits les parabens par exemple étaient obligatoires. Nous savons néanmoins qu'il est possible de mettre au point ou de fabriquer soi même ses produits en y ajoutant de l'extrait de pépins de pamplemousse et de les garder un mois au frais.

 

Pour initier consommateurs et consommatrices des stages, des séminaires, des ateliers fleurissent depuis quelques années. Plusieurs sites répertorient ces différentes et possibles formations:www.jefabriquemescosmetiques.fr, www.lesateliersenherbe.com, www.macosmetiquenaturelle.com, www.aroma-zone.com, atelier23blog.blogspot.com.

 

Si vous souhaitez fabriquer fard à joues,gloss, masque, dentifrice...vous pouvez consulter des recettes sur:www.aromalin.com, www.commentfaiton.com, www.potions-et-chaudron.com.

 

A la base de nombreux produits naturels, on retrouve l'huile essentielle de clou de girofle qui non seulement parfume, mais se révèle être aussi un antiseptique et un antibactérien puissant.

 

Comble de tout, ces cosmétiques naturels, qui utilisent de l'eau, de la cire, des pigments, des huiles végétales..., sont particulièrement économiques ! Alors, en prenant les précautions sanitaires d'usage, pourquoi ne pas réfléchir à la question d'une consommation plus responsable et se lancer dans le « do it yourself », afin de reprendre en mains notre beauté et notre santé ?

 

Lyliane

15/03/2015

Des arbres virtuels à Paris pour lutter contre la déforestation!

 

Dans le dernier numéro de Télérama, j'ai repéré l'initiative originale d'une artiste belgo-tunisienne Naziha Mestaoui : faire pousser un arbre lumineux sur un monument parisien.

 

En effet, en versant quelques 4 euros, le donateur verra le sosie de la sève et de l'écorce de l'arbre réel planté là où sévit la déforestation sur son smartphone. Il pourra pendant 3 ans surveiller son arbre filleul à distance.

 

Cette pionnière de l'art digital veut en effet illuminer en vert la capitale française pendant toute la durée de la Conférence sur le Climat (novembre/décembre 2015)

 

Son œuvre nommée "One heart, One tree" est censée durer jusqu'à pouvoir créer une forêt de scintillements à Paris. Tenter de faire reverdir l'Amazonie, l'Asie ou l'Afrique, grâce à des forêts virtuelles, pourquoi pas ?

 

Je trouve cette initiative moderne et fort sympathique, ce qui nous change des articles habituels sur le sujet. Un rappel coloré sur l'Arc de triomphe ou la tour Eiffel pour attirer l'attention de tous sur les dangers pour la planète de couper les arbres sans discernement (érosion des sols, régénération de l'air etc...).

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur cette initiative, consultez le site de cette artiste ou bien : www.electronishadow.org.

 

Lyliane

14/03/2015

Message électronique de Nicolas Hulot.

Voici le message que reçoivent ceux qui sont inscrits à la Newsletter de Nicolas Hulot:

 

"Bonjour, 

J’ai aujourd’hui le plaisir de partager avec vous, notre nouvelle campagne de mobilisation « My Positive Impact».

Nous le savons, les solutions existent. 

Tous les jours, des associations, des entreprises, des collectivités inventent, créent, lancent des initiatives efficaces et réplicables pour lutter contre le dérèglement climatique. Habitat, alimentation, transport, santé, citoyenneté… tous les secteurs sont concernés. Malheureusement ces projets restent trop souvent expérimentaux ou isolés, confrontés à un mur de conformisme ou de scepticisme. Il suffirait pourtant de presque rien pour faire de ces bonnes idées isolées, la chance de tous. 

Choisissez les solutions les plus pertinentes, nous les rendrons visibles 

Connectez-vous sur le site www.mypositiveimpact.org et découvrez les solutions que ma Fondation a choisies. Votez pour celles qui vous paraissent les plus pertinentes et avec nos partenaires médias, nous transformerons vos votes en visibilité. C’est vous qui déciderez celles qui bénéficieront d’une campagne de médiatisation massive et qui serez en mesure de leur apporter la crédibilité et la notoriété nécessaire pour attirer investisseurs, compétences, partenaires, débouchés…

 

En participant à « My Positive Impact », vous allez non seulement permettre aux solutions d’être vues, partagées, déployées à très large échelle, mais aussi contribuer à créer les conditions pour faire émerger un nouveau modèle de société. 

La société civile a un grand rôle à jouer pour favoriser l’émergence d’un autre état d’esprit où le fatalisme cède la place à l’action. Je compte sur vous pour rejoindre la mobilisation « My Positive Impact » et en parler autour de vous grâce à nos outils de communication accessibles sur le site

Ensemble, donnons le pouvoir aux solutions ! 

Nicolas Hulot"

10/03/2015

Communiqué d'AVAAZ pris sur internet pour que 2015 soit une année historique!


 
 
 
2015: construisons ensemble une année historique
   
 
 
   
 
 
 

Comme chaque année, nous établissons ensemble les priorités de notre mouvement en sondant nos 41 millions de membres. Décidons ensemble de nos victoires pour 2015! 

RÉPONDEZ AU SONDAGE





Chère communauté des membres d’Avaaz,

2014 a été fantastique. Nous avons fait descendre 700 000 personnes dans la rue lors de la plus grande manifestation pour le climat de l’histoire. 4000 membres d’Avaaz se sont portés volontaires, prêts à tout laisser tomber et à mettre leur vie en péril afin de lutter contre le virus Ebola. Nous avons remporté d’importantes victoires pour la protection des océans et des éléphants. Nous avons freiné Monsanto, sauvé Internet et ce n'est qu'une infime partie de tout ce que nous avons accompli!

Qu’est-ce que 2015 nous réserve? Il est temps pour nous de le décider. Chaque année, nous établissons ensemble nos priorités à travers un sondage s’adressant à toute notre communauté - répondez à ces quelques questions maintenant et contribuez à construire notre vision commune: 

RÉPONDEZ AU SONDAGE 
CONSULTEZ LES RÉSULTATS

Notre communauté s’agrandit tous les jours. Nous avons désormais atteint 41 millions de membres -- 41 millions de citoyennes et de citoyens partageant les mêmes valeurs, les mêmes convictions, dont celle de faire partie d’une même famille humaine, plus forte que les différences qui sont si souvent mises en avant pour nous diviser. 41 millions de personnes décidées à réduire l'écart entre le monde que nous avons et celui dont nous rêvons toutes et tous.

Vers quels combats et quelles victoires nous mèneront ces convictions et ces valeurs cette année? Aidez-nous à le décider -- répondez à ce sondage maintenant (cela ne prend que quelques minutes, et les résultats des sondages précédents montrent que vos réponses contribuent à changer le monde!). Si vous n’avez pas le temps, jetez juste un coup d’oeil à la page de résultats pour voir se dessiner notre stratégie et découvrir en détail comment nous allons grandir, et gagner. 

On nous demande souvent: Avaaz, qu’est-ce que c’est? Fondamentalement, Avaaz, c’est chacun d’entre nous, ainsi que les espoirs, les rêves et la détermination que nous partageons pour changer le monde. Lorsque nous nous rassemblons, nous créons quelque chose que nous avons en commun, quelque chose qui va plus loin que la somme des parties: un objectif, et le mouvement pour y parvenir. Rassemblons-nous maintenant afin de mettre sur pied la stratégie et le mouvement dont le monde a besoin en 2015. 

Avec beaucoup de gratitude pour chacun des membres de cette communauté,

Ricken, Nataliya, Danny et toute l’équipe d’Avaaz

07/03/2015

Expédition MED: bilan trouvé sur Internet

Le bilan de cinq ans de traque aux déchets plastiques en Méditerranée, 
 
Expédition MED initie la pétition d’Initiative Citoyenne Européenne (ICE) *, après cinq années de campagnes avec son laboratoire citoyen.
 
Après cinq expéditions, 13000 km de navigation et des centaines d’échantillons collectés, les données recueillies ont contribué à plusieurs rapports et publications scientifiques mettant en évidence la présence et l’impact de la pollution par les déchets plastiques et notamment les microplastiques en mer Méditerranée.
Suite à ces premiers résultats une prise de conscience des politiques, des scientifiques relayée par les médias à permis l’émergence de nombreux programmes de recherche et suscite l’intérêt des populations sur cette pollution. 
 
Expédition MED est une association qui souhaite rapprocher le monde de la science, les préoccupations citoyennes et les besoins de connaissance pour les gestionnaires et les décideurs. Dans le cadre de ce programme, nous mobilisons une équipe de chercheurs issus de plusieurs laboratoires universitaires européens, sous la direction scientifique de Gabriel Gorsky et Maria Louisa Pedrotti de l’Observatoire Océanologique de Villefranche sur mer. le laboratoire citoyen pour la protection de l'environnement marin.
 
Leur devise: "Permettre à la science de bénéficier du plus grand nombre et au plus grand nombre de participer à la science."
 
Avec son laboratoire Citoyen, Expédition MED, développe les sciences participatives en milieu marin qui est un moyen pour la population de retrouver et de conserver le contact avec notre environnement. Cette initiative contribue aux avancées en matière de connaissance et d'inventaires de l’environnement et de la biodiversité, tout en initiant une gouvernance plus collaborative et citoyenne de notre bien commun que constituent nos ressources naturelles.
 
L’Expédition MED développe un programme solidaire avec les pays des rives sud de la Méditerranée.
 
La directive cadre Européenne sur le bon état écologique des eaux marines à l’horizon 2020 est une bonne orientation, mais en Méditerranée, du fait des courants marins et de la dispersion des déchets sur l’ensemble du bassin, l’effet de cette directive sera limité, si nous n’associons pas les pays riverains à cette problématique. L’objectif de ce programme solidaire est la construction et l’animation d’un réseau de scientifiques et d’associations des pays méditerranéens, afin de les former aux protocoles de prélèvement et de les équiper en matériel.
 
L’intérêt est de pouvoir fournir des données régulières et exploitables afin d’obtenir un état des lieux global et proposer des solutions communes. Les premiers échanges qui ont débuté en 2013 se sont poursuivis durant la campagne 2014, par des embarquements des scientifiques et des associations du Maroc, de l’Algérie et de la Tunisie.
 
Un bilan qui confirme une situation alarmante, avec des zones de fortes concentrations de microplastiques.
 Les résultats de 2014* révèlent des fortes concentrations sur les stations prises au large de Nice 
et de Cannes, les villes françaises les plus touchées en 2013 avec 185 000 microplastiques au 
km2.
La station au large d’Albenga en Italie étant la plus importante avec 330 000 microplastiques au km2. Ces particules peuvent entrer dans notre chaîne alimentaire et les conséquences sont encore mal 
connues.
Les résultats* confirment que ces microplastiques sont colonisés par des bactéries et forment des biofilms sur leurs surfaces où elles se concentrent. Il faut maintenant étudier leur impact et 
leur toxicité, car certaines sont pathogènes pour l’homme.
* Ces analyses ont été réalisées sous la direction scientifique de Maria 
Louisa Pedrotti et Gabriel Gorsky de l'Observatoire Océanologique de 
Villefranche sur mer
 Des milliards de fibres plastiques textiles échappent aux systèmes de traitement des 
eaux usées.
Degrémont Services a initié en 2014 le programme Ecoseastem en partenariat avec la Métropole Nice Côte d’Azur, le laboratoire Océanographique de Villefranche sur Mer et Expédition MED sur le largage en mer de fibres synthétiques en provenance des eaux de machine à laver et des STEP.
Les premiers résultats révèlent que chaque jour, ce sont des milliards de fibres plastiques qui passent à travers le système de traitement des eaux usées et sont relarguées en mer.
 Le bilan de 5 ans d’expédition en Méditerranée en quelques chiffres
Cinq expéditions et 13000 km de navigation,
Le laboratoire citoyen à embarqué 20 scientifiques et 82 eco-volontaires.

Les données recueillies ont contribué à mettre en évidence la présence et l’impact des fibres 
plastiques, les macros et micros déchets plastiques en mer Méditerranée.
 
La collection de centaines d’échantillons d'Expédition MED est à la disposition de tous les chercheurs. Elle est consultable à l'Observatoire Océanologique de Villefranche sur Mer
 
7 rapports et publications scientifiques 
 
14 contributions législatives Françaises et 3 contributions Européennes
 
qui ont permis une prise de conscience politique et l’émergence de projets de lois.
 
Plus de 200 articles de médias Nationaux et Internationaux 
 
20 reportages de télévision et interview de radios en France et à l'étranger.
 
 Un bilan avec de nombreuses contributions :
 
Ces diverses contributions ont permis l’émergence de nombreux programmes de recherche
 
et suscitées l’intérêt des populations sur cette pollution. *suivre les liens pour plus d'informations
 
Des contributions scientifiques sur le constat de la pollution plastique en Méditerranée:
 
1 / CIESM - Marine litter in the Mediterranean and Black Seas: Plastic fragments on the surface 
 
of Mediterranean water. Présentation Maria Louisa Pedrotti (LOV)* Observatoire de Villefranche 
 
sur Mer - Stéphane Bruzaud,* Limat B UBS Lorient- Expédition MED. Tirana - Albania, 2014.
 
2 / Programme ECOSEASTEM - initiative Degrémont : En cours, une étude sur le rejet de fibres 
 
en provenance des eaux de lavages et passage en STEP avant largage en mer. Présentée par 
 
Stéphanie Petit (LOV)* Nice - 2014/2015. 
 
3 / 2nd INTERNATIONAL OCEAN RESEARCH CONFERENCE : Abondance et distribution 
 
spatial du microplastique neustonique. Présentation par Maria Louisa Pedrotti (LOV)*- Stéphane 
 
Bruzaud - Expédition MED - Barcelone 2014. 
 
4 / Sailing Seas of Plastic « How much plastic is floating in our oceans : Publication provenant de 
 
24 expéditions dans les océans et les mers du monde dont Expédition MED qui estime la présence 
 
d’un minimum de 5,25 trillions de particules de plastiques correspondant à une masse 268 940 
 
tonnes. Galgani - Expédition MED - 2014. 
 
5 / Océan sciences meeting : Estimation et évaluation des débris plastiques flottant en mer de 
 
Ligure, zone au Nord-Ouest de la Méditerranée. Présentation par Gabriel Gorsky (LOV)*-
 
Stéphane Bruzau*- Expedition MED - 2014.
 
6 / Micro2014 : Analyses thermique et spectroscopique du microplastique flottant en mer de 
 
Ligure dans le cadre des sciences citoyennes, LOV*et LimatB UBS Lorient - Expédition MED -
 
2014. 
 
7 / Neustonic microplastic and zooplankton in the North Western Mediterranean Sea: 
 
Publication
 
(A Colignon) - Université de Liège, Stareso, Ifremer – Expédition MED. 2011.
 
Cet article est cité dans 43 autres publications scientifiques, (au 28/02/2015) par Google Scholar,
 
 

Pétition pour sauver la Méditerrannée

1 MILLION DE SIGNATAIRES
 
pour sauver la Méditerranée
 
L'Expédition MED 2010 / 2013 est une grande campagne scientifique et 
 
environnementale en Méditerranée, qui mobilise une équipe de chercheurs issus 
 
d'une dizaine de laboratoires universitaires européens. Inédit en France et en 
 
Europe, ce programme de recherche met en lumière un phénomène alarmant, la 
 
présence d'une pollution quasi invisible, susceptible de rentrer dans notre chaine 
 
alimentaire : les microfragments de plastiques. 
 
La première série d'analyses des échantillons réalisée par l'IFREMER et l'université 
 
de Liège, estiment qu'environ 250 MILLIARDS de microfragments de plastiques 
 
contaminent la Méditerranée en surface. 
 
La mer Méditerranée est-elle en train de devenir une "soupe de plastique" 
 
ingérée par les poissons et même le plancton, base de toute la chaîne 
 
alimentaire ? 
 
SIGNEZ LA PETITION ici:
 
http://www.expeditionmed.eu/petition/index.php
 
Et FAITES UN LIEN SUR VOTRE SITE
 
Aidez-les à propager cette pétition en mettant le visuel « 1 MILLIONS DE CLICS 
 
POUR SAUVER LA MÉDITERRANÉE » sur votre site. Choisissez un format, 
 
sélectionnez votre langue, copiez le code et collez le sur votre site. 
 
BANNIÈRE 468 x 60 px
 
copier le code 
 
CARRÉ 250 x 250 px
 
copier le code 
 
http://www.expeditionmed.eu/petition/index.php