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13/11/2014

Du plastique à partir de gaz à effet de serre?

INFO SUR SPARKNEWS

 

POURRAIT ON PRODUIRE DU PLASTIQUE A PARTIR DE GAZ A EFFET DE SERRE ?

 

J’apprends sous la plume du journaliste Nate Berg de Sparknews que le plastique, accusé de polluer aussi bien les terres que les mers, pourrait redevenir une denrée appréciée en solutionnant nos problèmes d’environnement. En effet jusqu’ici les matières plastiques étaient fabriquées à partir du pétrole, une ressource en voie d’épuisement avec un impact dans la nature jugé négatif dans la mesure où on les retrouve absolument partout dans le monde. Aussi dans nos pays dits développés beaucoup de personnes envisageaient sa disparition à plus ou moins brève échéance.

 

Or, depuis 2003, deux inventeurs se sont investis pour mettre au point une technique de fabrication qui se passe totalement de pétrole. Mieux, ils ont réussi à capter les gaz à effet de serre pour les transformer en petites granules de plastique. Ce produit, appelé Aircarbon, est actuellement disponible en petites quantités à un prix abordable. La société Newlight crée pour développer ce produit a pour co-fondateur Mark Herrema. Son  idée a été de s’associer à des fermes laitières, à des décharges etc… pour capter les émissions de méthane. Ce méthane est ensuite liquéfié dans un réacteur. Puis le carbone est isolé et il est transformé en polymères, chimiquement équivalents aux plastiques actuels.

 

Déjà de grands groupes comme Dell ou Sprint ont passé commande pour des emballages. Il reste aujourd’hui à Newlight d’augmenter sa capacité à produire ce plastique. La société a néanmoins bon espoir d’en produire 20 millions de kilos annuels dans les mois à venir.

 

Ne serait-ce pas fantastique de pouvoir un jour juguler les émissions de gaz à effet de serre, dangereuses pour notre environnement, en utilisant le carbone rejeté pour fabriquer, à un prix abordable, des matières plastiques absolument pas polluantes ?

 

Lyliane (13/11/2014)

                              

09/11/2014

Filtre à eau polluée

SUR LE JOURNAL LE MONDE DU 23 SEPTEMBRE 2014

 

FILTRER DE L'EAU POLLUÉE

POUR LA TRANSFORMER EN EAU POTABLE A PEU DE FRAIS...

 

En ouvrant le supplément du journal Le Monde en date du 23/9/2014, publié à l’occasion de «  L’Impact Journalism Day », j’ai été interpellée par le titre de cette proposition. Il  était en effet écrit que « boire un livre peut sauver la vie ». Sous la signature de Mélanie D.G. Kaplan, cet article émanant de Sparknews en page 4, m’a à la fois fort étonnée, dans la mesure où aucun média ne semble s’en faire l’écho, et aussi beaucoup intéressée car je n’ignore pas que dans le monde près de 800 millions de personnes n’ont pas accès à de l’eau potable.

 

Pour les européens que nous sommes ces simples phrases ont  une étrange résonance! Chez nous, en effet, beaucoup de personnes lavent leurs légumes, arrosent leurs jardins, lavent leurs voitures avec de l’eau potable sans aucun état d’âme. Il suffit d’ouvrir un robinet et d’avoir réglé sa facture pour pouvoir laisser couler des litres d’eau, afin de pouvoir prendre des bains ou des douches. Par souci de leur santé, certains ne boivent pas l’eau du robinet et achètent de l’eau minérale pour eux même et leurs familles.

 

Pendant ce temps, dans quelques pays du globe(au Ghana, au Kenya, en Haïti, en Inde…), de nos jours, des enfants et des adultes boivent de l’eau non filtrée, s’exposant ainsi à de graves pathologies comme le choléra, la dysenterie, l’hépatite A et la typhoïde. Et les étrangers voyageant dans ces pays font attention à ne boire que de l’eau minérale et à ne manger aucun

fruit ou légume cru, risquant d’avoir été arrosé par de l’eau saumâtre.

Tout a commencé, il y a 5 ans, par la rencontre d’une chimiste de laboratoire canadienne et d’un graphiste américain travaillant pour une campagne de l’association « Water is life ». Au Canada, en 2009 en effet, une chercheuse à l’Université de Montréal nommée Theresa  Dankovich a crée un filtre à eau à partir d’un papier revêtu d’une couche de nanoparticules d’argent, oligoélément hautement bactéricide. Elle a démontré que ce filtre éliminait 99,9% des microbes d’une eau polluée. Proposant sa découverte par une vidéo de 4 minutes sur You tube, elle eut la chance d’intéresser Brian Gartside qui lui proposa une association.

 

Là où cette découverte devient particulièrement intéressante est le fait que ce filtre ne coûte que quelques centimes et reste efficace environ 30 jours. L’idée de mettre ces filtres sous la forme des 24 pages d’un livre, mêlant l’anglais et des langues locales et mettant en garde contre les maladies dues à l’eau polluée, est tout simplement géniale !  Chaque feuille divisée en deux est à découper selon une perforation. En fait, un seul livre permet de filtrer l’eau pendant 4 ans ! D’où l’expression « un livre buvable » ! Les pages de ce livre, blanches  au départ, deviennent orange au contact de l’eau sous l’effet des nanoparticules d’argent. Il est à noter aussi que le papier utilisé, qui fait penser à un carton très fin, est très robuste.

 

Peu à peu, les deux associés ont affiné leur collaboration, décidant de mettre des dessins pour les populations illettrées, vérifiant sur le terrain l’innocuité de l’encre utilisée et les réactions des populations. Il fallut entre temps également assurer le financement et la production du fameux livre. A partir de 2015, l’association américaine Water is Life, présente dans 33 pays en développement, pense qu’elle pourra distribuer ce livre dans le monde à des milliers de personnes  privées d’eau potable. Ce type de livre pourrait même rendre service à des randonneurs de nos pays européens ou à des explorateurs visitant des contrées difficilement accessibles, où ils ne peuvent transporter leurs ressources en eau potable…

 

Ce projet pousse la chercheuse canadienne, qui réalisait jusque là ses essais dans la cuisine d’une église à Pittsburgh, à chercher le moyen de produire le papier à plus grande échelle.

 

Gageons que l’enthousiasme des deux associés saura percer l’indifférence des dirigeants de nos sociétés développées et que cette  belle découverte, mêlant pédagogie et altruisme, pourra rapidement sauver des vies humaines et entraîner d’autres personnes dans cette direction !

 

Cela confirme qu’est déjà en marche un mouvement s’appuyant  sur des acteurs du changement, dont on parle encore très peu, mais qui agissent sur le terrain. Comme le dit Christian de Boisredon, fondateur de Sparknews, dans son édito prenons conscience que nous sommes déjà 100 millions de personnes touchées par ce genre de nouvelles et « devenons des passeurs d’espoir  en partageant cette histoire avec nos enfants, nos collègues, nos amis », de façon à inspirer d’autres gestes porteurs des mêmes valeurs !  

 

Lyliane (9/11/2014)

08/07/2014

DONNA SOIE, une recyclerie textile sur MONTELIMAR

NOUVEAUTE à MONTELIMAR,

DONNA SOIE

Une recyclerie textile vient d'ouvrir ses portes tout près de la Gare SNCF.

Projet associatif mené par des femmes, l'objectif est de créer des emplois et de réduire les déchets en vendant dans leur boutique, des vêtements que les clients leur donnent plutôt que de les jeter. 

L'idée est de susciter les travaux de couture en valorisant le textile récupéré, lui donnant un nouveau look, plus actuel, une seconde vie, mais aussi de créer un espace couture pour mettre des machines à coudre et des conseils en couture à la disposition du public.

Vous pouvez les retrouver à la boutique 11 rue André Ducatez (anciennement Les P'tits Loups) et apprécier leur accueil simple et chaleureux. 

Ouvert le mercredi et le vendredi après midi de 14h30 à 18 heures, le samedi matin de 10 à 12 heures et de 14h30 à 18 heures.

Des vêtements à portée de toutes les bourses !

Visitez leur blog http://donnasoie.hautetfort.com

Pour les contacter: donnasoie@laposte.net

Tél.:  06 68 42 18 19   ou 06 61 85 20 98

Entrée libre à la boutique. Cette nouvelle activité ne fonctionne pour l'instant qu'avec des bénévoles. Si vous avez du temps libre, vous pouvez adhérer à l'association pour les aider dans le tri et la couture.

 

 

05/11/2010

Les Recycleries Ressourceries

Une Recyclerie dans le pays de Dieulefit !

Le Tri-Porteur !

http://letriporteur.blogspot.com/

C’est le nom porteur de l'association qui soutient la Recyclerie/Ressourcerie du Pays de Dieulefit.

Un projet environnemental dynamisé par la communauté de communes du Pays de Dieulefit. Il permettra de limiter la destruction des déchets des communes avoisinantes.

Qu’est ce qu’une Recyclerie ?

C’est un espace de gestion des déchets qui peuvent être recyclés directement et localement grâce à l’aide et aux talents de bénévoles. De bénévoles, oui nécessairement, mais cette activité peut à terme permettre la création de quelques emplois.

Une Recyclerie se trouve idéalement installée à la sortie d’une déchetterie. Des personnes vont y sélectionner les déchets à leur arrivée et les réorienter vers des brocanteurs, bricoleurs et artistes qui répareront ou détourneront ces objets pour le bonheur et le bénéfice de la communauté locale.

Contact/Infos/Adhésions: letriporteur26@gmail.com

10/06/2010

Dispensaire de soins naturels

Une idée généreuse !

Rassemblés en association, quelques thérapeutes spécialisées en médecine naturelle, soucieux de permettre l'accès à ce type de soins à toutes les couches sociales, consacrent quelques demi journées régulièrement au dispensaire de soins naturels. Homéopathie, ostéopathie, médecine traditionnelle chinoise, psychologie, naturopathie...

Pas de rendez vous, une permanence organisée, on attend son tour.

Les tarifs appliqués en fonction des revenus, entre 5 et 30 € en gros.

Pour avoir plus d'infos sur cette initiative locale, voir leur site internet:

http://dispensairevaldedrome.org/

Une idée qui mérite d'être connue et de servir d'exemple à s'inspirer...

06/06/2010

Recycler les ordinateurs

Recyclage et revente de micro-ordinateurs

Association SHIVA

LA SECONDE VIE DES ORDINATEURS

 

Depuis quelques années, Christian et ses collaborateurs se sont constitués en association pour récupérer vos anciens micros et les recycler, les remettre dans le circuit.

Discrète et peu soutenue, cette initiative généreuse est un exemple à suivre. Une initiative d'avant garde où il faut croire et persévérer longtemps avant que son urgence soit reconnue. Ils ont tenu bon.

"Avec trois vieux PC on en fait un ! Certains sont vraiment morts, mais on récupère tout ce qui fonctionnne et on réassemble. On reformate le disque dur, on installe Linux qui prend moins de place que windows et ça permet au vieux PC d'aller sur internet. "

Revendus à un prix modique, ces ordinateurs permettent aux associations qui ont peu de moyens et aux particuliers désargentés ou novices en informatique de démarrer sans risque et à peu de frais sur du matériel d'occasion.

Pour mieux connaitre cette association, nous mettrons bientôt à votre disposition un entretien avec Christian Giraud.

En attendant pour les contacter:

http://shiva.asso.free.fr

http://shiva.asso.free.fr/Contact.html

Tel: 04 75 53 89 83

 

04/03/2010

Autopartage en projet sur Avignon

Sur Avignon, on met en place l'expérience de l'autopartage, une excellente idée bien adaptée dans les milieux urbains. Pour voir leur projet et son développement, pour prendre modèle sur leur expérience, voyez le lien suivant:

http://avignonap.canalblog.com/

 

Rien ne vous empêche d'initier la même chose dans votre région...

Il ne manque que les volontaires...

 

22/10/2009

Habitat partagé avec des étudiants

 

Pour ceux qui ne le connaissent pas, le réseau "COSI" met en relation des personnes âgées qui ont un logement permettant d'accueillir des jeunes étudiants, par exemple, en échange d'un peu de présence et de quelques services. Une solution qui soutient le mixité générationnelle, tout en apportant une solution aux problèmes de logement des étudiants et jeunes travailleurs.
Voici l'adresse, faites la suivre:

http://www.reseau-cosi.com

   

Les coopératives d'habitants

Voici une adresse qui aborde la coopérative d'habitants et qui propose des objectifs concrets.
Ce sont de nouveaux concepts auxquels nous devons tous réfléchir, mais plus encore, vers lesquels il nous faut engager de l'expérience pour avoir des réponses.
Voici leur esprit:

CAMPAGNE DE MOBILISATION EN FAVEUR D'UN CADRE LEGAL POUR LES COOPERATIVE D'HABITANTS
CARACTERISTIQUES D'UNE COOPERATIVE D'HABITANTS

Les objectifs de la coopérative d'habitants :
- proposer un nouveau type de rapport au patrimoine : les coopérateurs sont à la fois locataires et propriétaires de parts sociales, la fonction d'habitat prime sur l'investissement immobilier,
- impliquer les habitants dans la conception et la gestion de leur habitat,
- encourager une réelle mixité sociale, culturelle et intergénérationnelle et favoriser la convivialité,
- permettre l'accès à des habitats sains, économes en énergie, respectueux de l'environnement et dotés de normes de confort adéquates.

Les valeurs gravées au coeur même de la forme coopérative :
Se placer dans le cadre de la loi de 1947 sur la coopération garantit les principes suivants :
- une personne = une voix, quel que soit le nombre de parts sociales détenu.
- double qualité du coopérateur : propriétaire de parts sociales et locataire de son appartement
- propriété collective du bien immobilier
- le coopérateur ne paie pas au-delà du coût du projet
- déconnexion entre la valeur du bien et la valeur des parts

Une forme d'habitat groupé :
- solidarités de voisinage
- mutualisation d'espaces et de services
- implication des habitants

Principes du fonctionnement:

Le bâtiment demeure la propriété de la société coopérative, dont tous les habitants sont collectivement propriétaires. A ce titre, ils achètent des parts sociales à leur entrée dans la coopérative, et continuent à en acquérir régulièrement. A leur départ, ces parts leur sont remboursées. Le nouveau coopérateur, agréé par la coopérative, achète lui aussi les parts sociales au fur et à mesure, son effort est identique.
Par ailleurs les habitants sont locataires de leur logement et versent un loyer.
La contribution des habitants n'excède pas les besoins réels de la coopérative : une fois que le coopérateur a fini de participer au remboursement de l'emprunt de la coopérative, sa contribution diminue donc fortement.

Si vous voulez lire la suite, allez donc voir à cette adres

http://www.habicoop.fr

http://www.habicoop.fr/spip.php?article187

02/09/2009

Jardins Partagés

Les jardins partagés

 

Une idée  à creuser, à cultiver et qui doit germer …

Le but ?

Le jardin est un lieu privilégié : avec une graine ou un plan, de l’eau, du soleil, des soins, la terre va fournir des fleurs, des fruits, des légumes.

Le jardinier voit en quelques mois ses efforts récompensés. Le stress disparaît. Le moment devient  propice à une rencontre humaine et potagère ou les différences sociales s’effacent.

La démarche ?

Elle est simple : mettre en relation deux personnes

· L’une possède un jardin mais ne peut plus le cultiver pour diverses raisons, dont la fatigue, la maladie, le manque de temps…

· L’autre qui rêve de jardiner mais ne possède pas de terrain

· Les deux aiment la rencontre, le partage, la curiosité.

· Ensemble, ils définissent les conditions de leur coopération : agenda, horaires possibles, local d’outillage, utilisation de l’eau,…

Ensemble, elles en retireront des fleurs, des légumes, des fruits et échangeront des connaissances.

Les conditions ?

Le ou la propriétaire du jardin s’engage à fournir la terre, l’eau, les graines, les produits nécessaires, les outils.

Le (ou la) compagnon (compagne) de jardin apportera ses bras, son énergie, son savoir faire…

Une simple charte de bon compagnonnage à signer.

Les deux se partagent les produits du jardin à la récolte.

Et au final :

  • L’un gardera son jardin en production et entretenu
  • L’autre réalisera son rêve en pratiquant son activité favorite.
  • Les deux auront créé une nouvelle relation « amicoopérative ».
  • On peut aussi parler de « potager »

Ceci est une initiative de l'OPDL (Observatoire des pratiques de développement local) à Vals les Bains O4 75 37 58 97

 

Comment définir les jardins ?

Voici quelques définitions pour différencier les expériences:

JARDINS OUVRIERS: Ils ont été crées par l'abbé LEMIRE en 1896 sous la forme d'une association (ligue du coin de terre et du foyer) Leur but: mettre à disposition des ouvriers et de leurs familles des jardins en friches pour remédier à la misère de certaines populations et leur procurer un loisir sain. On les appelait "champs des pauvres" ce qui les mettaient dans une position dévalorisée. Ils existent encore (cf. Jardins d'Ivry)
Pendant les guerres, ils seront bien utilisés et récupérés par l'idéologie pétainiste. Après guerre, ils perdront de leur importance.

JARDINS SOLIDAIRES:
Ce sont des jardins associatifs qui regroupent des jardins à cultiver en différents réseaux et qui existent depuis plus de 10 ans. Il y en aurait quelques 100 à ce jour en France.
Ce sont des espaces de partage de savoir-faire qui recouvrent diverses expériences autour de valeurs telles que le respect de la personne et de l'environnement, la solidarité et le partage.
Ces jardins se révèlent aussi être des espaces de sensibilisation des associations en direction des pouvoirs publics pour favoriser des actions politiques dans ce sens.

JARDINS COLLECTIFS:
Nés au 20 ème siècle, ce sont des mouvements citoyens dans des quartiers pour accompagner des personnes en situation de précarité, favoriser le dialogue entre générations et animer des espaces publics inoccupés.

JARDINS DE COCAGNE: Mouvement crée au 20 ème siècle pour réinsérer dans la vie sociale par une activité de maraîchage biologique des personnes sans emploi. Ce sont des lieux de vie et de mixité sociale, qui cultivent la solidarité et la convivialité.
cf. le potager de Marcoussis. On a pu dire que c'était en quelque sorte les ancêtres des AMAPS.

FRICHES INDUSTRIELLES:
Lieux de réhabilitation et de décontamination éventuelle d'usines d'entreprises ou de mines qui ne fonctionnent plus. Il est possible alors à des associations ou des municipalités de se réapproprier ces vastes espaces vides à un coût intéressant. Du fait des matières ayant pu migrer dans les sols, la culture en bio y paraît très aléatoire.

JARDINS PARTAGES:
Ce concept est récent et permet de rapprocher des personnes âgées le plus souvent n'arrivant plus à cultiver leurs terrains et des citadins épris de verdure. Des innovations ont eu lieu depuis une dizaine d'année avec plus ou moins de réussite car tous repose sur les personnes elles-mêmes et le contrat moral qu'ils ont pu passer… Leurs points forts:permettre à des citadins de retrouver leurs racines rurales, de faire de l'exercice en plein air, de renouer un lien avec la Terre et ses saisons et de vivre des expériences créatives et conviviales. Pour certains plus critiques cela demeurerait un laboratoire d'utopies assez marginal!

14/06/2009

Recyclerie textile: SAM SAP

SAM SAP

UNE RECYCLERIE TEXTILE EXEMPLAIRE EN ARDECHE

Voici une initiative locale éthique originale.

Associative, cette expérience initiée par une couturière sans emploi est unique. On y retaille des nouveaux vêtements et des costumes avec des vêtements recyclés, on y trouve des robes de mariées uniques pour un prix défiant toute concurrence, la modestie du prix est sans pareil ...et ça marche ! Sam ' Sap existe depuis plus de dix ans !

L'esprit est exceptionnellement ouvert, on y réfléchit en termes d'écologie, on pose des questions : "comment tout recycler ?".

On y fait des propositions : pour un coût modique, celui ou celle qui a un projet de couture peut venir dans l'atelier et se servir du matériel, il est aussi accompagné. Magasin de vêtements d'occasion: articles à prix unique. Défilés des créations chaque année, créations à la demande où reproduction suivants les matériaux disponibles, on y fabrique des costumes de fêtes, des costumes d'époque...

Cette entreprise est une rare à  baisser les prix lorsque les bénéfices augmentent. Ici, lorsque les affaires marchent bien, les clients en profitent aussi !

On est dans le domaine de tous les possibles !

Une quête de réponse est néanmoins lancée. Un espace de stockage énorme est mobilisé par des sacs poubelle de 100 litres contenant des textiles de toutes sortes, prétriés. Afin d'éviter la destruction en masse de toute cette matière, comment recycler localement tout ce qui n'est pas utilisé après le tri (et après avoir récupéré le maximum) ? Merci de faire suivre cet appel à solution locale !

Un film documentaire  a été réalisé sur cette expérience et sera accessible à partir de ce blog dès qu'il sera formaté.

Fiche descriptive de l'initiative locale SAM 'SAP

 

1 – En quelques lignes pourriez vous définir votre situation antérieure et la motivation qui a donné lieu à la création de votre activité ?

Ce fut la volonté d’une personne en 1999 d’éviter le chômage et de créer une activité à la fois économique et sociale

 

2 – Pouvez vous définir, en quelques mots, l’objet de votre activité et préciser pourquoi elle est éthique ?

(Sur le plan social, environnemental, écologique, ou autre ?)

Activités : friperie, atelier confection –retouches - location de costumes de fêtes " (pratique de la couture ouverte à tous)

Objectifs : services accessibles à tous, lutte contre le gaspillage, création d’emplois stables, mixité sociale, convivialité

 

Précisez la localité de votre activité :

Région Rhône Alpes

Commune Aubenas

Nom de l’entreprise : SAM’SAP                 

Nombre d’employés: 4

 

Statut de l’activité (sarl, assoc., artisan…)

Association

 

Nom du responsable :

Géraldine CHENEVEAU

  

3 - Avez-vous agi seul, sinon comment avez-vous été soutenu pour mettre en place le projet de votre activité ?

Constitution dès le départ d’une équipe

 

4 – Avez-vous dû faire appel à des administrations ou à des organismes pour mettre en place votre projet, si oui lesquels ?

Point de départ : rédaction d’un projet par une équipe. Ensuite appel aux administrations compétentes (Direction du Travail, DDASS, Impôts, Préfecture

 

5 – Si votre projet a été financé, pouvez vous nous dire comment ?

Subventions diverses (publiques et  privées). Elles représentent à peu près le tiers des ressources

 

6 – Quelles sont les ressources locales humaines où environnementales que vous utilisez pour assurer votre activité ?

Nombreux bénévoles qui interviennent en appui aux salariés

Beaucoup de dons de vêtements.

 

 

7 – Avez-vous rencontré des obstacles, si oui lesquels ?

Une gestion du personnel salarié pas toujours facile.

Nécessité d’acquérir du « professionnalisme » dans tous les domaines

 

8 – Pourriez vous formuler les clés de votre réussite ?

Compétence de personnel

Rigueur dans la gestion

Transparence financière

Climat de convivialité

 

9 - Seriez vous prêt à participer à la création d’un mode d’emploi pour monter une activité comme la vôtre et le mettre à disposition ?

                 OUI                     

 

10 - Où et comment vous contacter ?

Association SAM’SAP 8 quai de l’Ardèche – Le Pont  07200 AUBENAS

Tél. : 04 75 35 23 77

Courriel : sam-sap@wanadoo.fr

Ouverture du mardi au samedi

de 10 à 12 h et de 13 à 19 h

04/05/2009

Présentation de SELIMAR

SELIMAR

SYSTEME D'ECHANGE LOCAL DE MONTELIMAR

 

 

Fruit des rencontres PRELE qui ont eu lieu dans le courant du premier semestre 2009, le sel de montélimar a pris corps  en juin 2009.

Son nom, "SELIMAR, le Sel de Montélimar et ses environs" !


Pour vous familiariser avec le Sel de Montélimar, allez voir son blog: http://seldemontelimar.hautetfort.com

ou son site internet : www.selimar.org

Faites passer l'info et contactez nous au 04 26 51 08 03 (Michèle).

A bientot en SEL!

selimar.contact@laposte.net pour nous contacter

 

25/04/2009

Petite PRELE deviendra grande !

 PRELE PROVENCE

 

Une PRELE locale est en cours de formation, commes les oies... dans la Drôme. Elle s'appelle PRELE Provence et elle a maintenant son blog perso pour rassembler ses petits http://preleprovence.hautetfort.com
Vous pouvez le visiter, il fait partie de la famille maintenant !
Vous y trouverez les actions locales, les rendez vous et de bonnes adresses...

Pour la contacter  prele.provence@laposte.net