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22/12/2016

Une ONG d'aide chirurgicale au Bangladesh...

Au cours de l'émission «Allo, docteurs» sur la 5ème chaîne le mercredi 14/12/2016, nous a été montré un reportage fait sur un bateau-hôpital au Bangladesh. Dans ce pays pauvre de 160 millions d'habitants, la plupart des malades ne peuvent se soigner. L'Association Humani Terra est présente dans ce pays depuis 2005. Sur le Gange, le Brahmapoutre et dans le Golfe du Bengale, trois bateaux-hôpital en partenariat avec l'association Friendship circulent pour venir en aide aux populations isolées.

Dans un bloc opératoire équipé de matériel moderne, les chirurgiens français, après avoir examiné les patients, les opèrent et assurent un suivi post opératoire. Les orthopédistes filmés dans le reportage opéraient des pieds bots, des tendons d'Achille, des adolescents handicapés suite à des maladies infectieuses ou neurologiques... D'autres spécialistes prennent le relais à d'autres époques: pédiatres, ophtalmologistes, gynécologues...

En moyenne, Humanis Terra organise dans ce pays de 12 à 18 missions par an. Les médecins de l'ONG française forment également les membres locaux de Frienship au dépistage. Quand on sait que cette organisation est présente également au Cambodge, en Afghanistan, en Haïti, en Tunisie et même en Jordanie depuis 2013 auprès de réfugiés syriens, on ne peut que se réjouir de cette aide bénévole de certaines de nos équipes médicales aux pays en voie de développement. La solidarité et la compassion guident très certainement ces personnes. Cela fait chaud au cœur en cette période de repli sur soi et de manque d'ouverture à ceux qui souffrent!

Pour en savoir plus ou pour soutenir l'ONG Humanis Terra, consulter: www.humani-terra.org .

Lyliane

 

21/12/2016

Un label européen pour les cosmétiques bio...

 

En 2002, Cosmebio a été l'une des premières organisations à encadrer la cosmétique bio pour lutter contre le «marketing vert», écrit un journaliste dans le Journal Biocontact de décembre 2016. Jusque là, aucune réglementation spécifique émanant de l'Etat ne s'appliquait à ce type de cosmétiques. Cinq membres fondateurs (Cosmebio, BDIH, Ecocert, ICEA, Soil Association) ont crée le référentiel européen Cosmos, à portée internationale, obligatoire au 1/1/2017 pour tout nouveau cosmétique bio.

Cela signifie que désormais les cosmétiques bio seront certifiés selon le label européen Cosmos. Le but est une harmonisation des différents référentiels, ce qui devrait simplifier les choses pour le consommateur.

Le logo sera le même, toutefois, au dessous, il y aura la mention Cosmos Organic. Pour en savoir plus, consulter le blog de Cosmebio: www.cosmebio.org .

Pour obtenir ce label européen, les cosmétiques devront comme autrefois contenir de 95 à 100% d'ingrédients naturels, de 95 à 100% d'ingrédients bio végétaux et 5% maximum d'ingrédients approuvés figurant sur une liste positive, mais deux nouveaux critères plus exigeants s'y ajoutent. En effet, la teneur en ingrédients bio sur le total passe de 10 à 20% (en tenant compte du pourcentage d'eau) et seuls les ingrédients biodégradables seront acceptés.

C'est une garantie d'avoir des produits cosmétiques respectueux de l'homme et de l'environnement. Réjouissons nous de cette avancée!

Lyliane

 

16/12/2016

Pouvons-nous nous passer des super-marchés?

 

L'émission «Tout Compte Fait» sur la deuxième chaîne le 10 décembre 2016 posait cette question. Un reportage effectué aux Etats-Unis montrait que 40 % de la nourriture finit dans les poubelles des super-marchés. Des millions de dollars sont gaspillés de la sorte. Les produits, la plupart du temps encore emballés, sont jetés car ils auraient de minuscules défauts.

Certes, les poubelles des super-marchés sont propriété privée dans ce pays et des vigiles peuvent donner des amendes à ceux qui auraient des vélleités de fouiller dans leurs poubelles. Pour Rob, le héros du reportage, ce n'est pas un obstacle: il fait régulièrement le tour des super-marché de sa ville et il revient le plus souvent le coffre plein de nourriture (250 kg pour un équivalent de 1000 euros environ). Le reportage le montrait ensuite sur le campus de l'Université de Raleigh, à 200 km de chez lui, où il distribuait gratuitement aux étudiants les marchandises récoltées. Il appelle ces tournées: le grand fiasco du gaspillage!

Il aurait déjà 15 opérations choc à son actif, ce qui l'a rendu célèbre dans tout le pays. A 30 ans, avec sa compagne Chéryl, ils sont devenus des vedettes de l'écologie, cherchant à faire faire des prises de conscience à leurs concitoyens. Ils leur proposent de changer leurs habitudes, pour sauver la planète, par exemple en économisant l'eau potable, en roulant en transports collectifs ou à vélo... L'émission les montrait ensuite achetant leur nourriture en vrac dans une boutique où l'on peut remplir bocaux et flacons soi-même, ce qui coûte 30% moins cher qu'en super-marché. Ils militent en effet pour que les américains achètent le moins possible de plats préparés et de nourriture industrielle.

Depuis peu, Rob et Chéryl ont franchi un pas de plus: ils parcourent le pays à pied sac au dos, dorment à la belle étoile ou bien sous tente, car ils ont vendu leurs logements. Un ordinateur fonctionnant à l'énergie solaire, quelques vêtements, des allumettes et un briquet ainsi que du matériel de toilette sont leur seul bagage. Ils vivent de petits boulots et payent tout en cash. A Atlanta, dans un quartier pauvre, ils ont avec quelques bénévoles construit, grâce à des matériaux de récupération, des mini jardins pour les habitants. Ils leur apprennent à semer et à récolter à plusieurs dans ces bacs de la nourriture gratuite, au lieu d'aller à la supérette du coin. Là, il n'y a que des sodas, des chips et des plats industriels, nourriture chère qui à la longue nuit à leur santé.

En agissant localement et en donnant l'exemple d'une vie sans déchets, ils montrent qu'il est possible et même souhaitable de nous passer des produits de la grande distribution. Dans notre pays, il y aurait sans doute des enseignements à retirer de ce mode de vie. Les petits commerçants auraient déjà une carte à jouer en proposant des produits de qualité et en étant sensibilisés au non gaspillage. Les éleveurs commencent à éviter les intermédiaires et à vendre en circuits courts leur lait et leur bétail. Quant aux citoyens que nous sommes, nous serions bien inspirés de veiller à nos transports, à l'eau que nous utilisons, à nos déchets et à notre nourriture, que nous pouvons produire nous-même. En ville, le système AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) permet par exemple de passer contrat avec des agriculteurs, pour pérenniser leurs exploitations et pour se nourrir de produits poussés sans engrais chimiques... Bref, les pistes de changement sont chez nous également nombreuses! Lutter contre la pollution, la malbouffe, le gaspillage à tous les niveaux, par quoi allons nous commencer?

Lyliane

 

15/12/2016

Un nouveau métier: biographe hospitalière...

 

 

Depuis 2007, Mme Valéria Milewski propose à des patients cancéreux d'écrire leur biographie. Elle est devenue salariée de l'Hôpital de Chartres et elle prépare un doctorat de linguistique à Nanterre. A ce jour, elle a formé une autre personne pour la seconder, Mme Christine Cormona.

A Rennes, Mme Céline Feillel, écrivain public, se déplace au chevet des malades à l'hôpital ou à leur domicile pour recueillir leur histoire. Dans un service de soins palliatifs, puis de soins pédiatriques, Mme christelle Cuinet, bénévole de l'Association JALMALV de Besançon, a entrepris de raconter la vie personnelle d'adultes et d'enfants gravement malades...

Le Journal Que Choisir Santé de Décembre 2016, dans un article signé par Mme Sandrine Letellier, nous rapporte ces quelques initiatives généreuses, qui ont transformé la vie des bonnes volontés comme des patients. Le Président de l'association Traces de Vie, le Dr E. Plouvier, que la Ligue contre le Cancer soutient financièrement à Montbéliard, essaye d'étendre cette démarche à d'autres établissements.

En effet, écrire avec l'aide d'une autre personne permet de moins penser à sa maladie, d'avoir d'autres perspectives. C'est un espace de liberté et de créativité, qui peut changer le moral des malades. Et quelle fierté d'avoir réussi à composer un ouvrage que l'on peut offrir à ses proches!

Pour en savoir davantage, contacter sur Internet le site: www.tracesdevies.fr ou par téléphone le 06 08 06 72 15.

Lyliane

 

14/12/2016

Transmis de L'Association de la santé naturelle: Vaccins obligatoires, renforcement inexplicable!

France : bientôt 11 vaccins obligatoires !

Chère amie, cher ami,

Depuis l’année 2008, le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) n’est plus disponible dans les pharmacies en France.

Ce vaccin était le seul obligatoire. Il était important. Il avait été utilisé depuis des décennies avec succès. Ces maladies avaient été pratiquement éradiquées.

Il s’agissait d’un vaccin sûr. Il ne contenait pas d’aluminium. Qui plus est, c’était un vaccin bon marché (6,54€).

Mais depuis 2008, les laboratoires pharmaceutiques ont retiré le DTP du marché. Ils l’ont remplacé par un super-vaccin contenant des vaccins contre trois maladies non-obligatoires.

Ce vaccin, appelé Infanrix-hexa :
  • contient trois vaccins qui ne sont pas obligatoires ;

  • contient de l’aluminium et d’autres adjuvants ;

  • contient le très controversé vaccin contre l’hépatite B (parfaitement inutile pour la plupart des nourrissons)

  • et il coûte 7 fois plus cher !!

Mais les parents sont obligés de l’acheter et de l’injecter pour se conformer à leur obligation vaccinale !!!

Cette situation est anormale. Elle est injustifiée. Depuis longtemps les autorités auraient du réagir. Elles ne l’ont pas fait.

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a lancé avec le Pr Henri Joyeux, en mai 2015, une grande pétition pour le retour du classique DTP sans aluminium. Cette action a déclenché une immense prise de conscience. Plus d’un million de citoyens ont participé. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a réagi en lançant une consultation nationale sur les vaccins.

Cette consultation devait être démocratique.

Elle devait être ouverte.

Elle devait répondre aux légitimes inquiétudes des parents, des grands-parents, de la population.

Elle devait tenir compte de l’intérêt et de la santé des enfants, des risques associés au vaccin, du problème de l’incertitude, des dangers, et des accidents, parfois graves, qui ont eu lieu avec la vaccination.

Mais le Comité pour la Vaccination a rendu son rapport public le 30 novembre 2016. [1]

Et c’est un véritable scandale.

Plutôt que de rappeler à l’ordre les laboratoires pharmaceutiques, et d’exiger à nouveau le simple DTP, le Comité demande exactement le contraire :

  • Il recommande de rendre obligatoire tous les vaccins présents dans le super-vaccin ;

  • Il recommande d’ajouter cinq autres vaccins obligatoires ;

  • Il parle même de rendre obligatoire le tristement célèbre Gardasil, contre le cancer du col de l’utérus (vaccin anti-papillomavirus), et éventuellement d’étendre l’obligation à tous les petits garçons !!!

  • Il recommande de priver les enfants d’accès aux crèches, écoles et toute autre collectivité si les parents refusent une seule de ces vaccinations ;

  • Il conseille d’engager des poursuites judiciaires contre les parentsrécalcitrants [2]

  • Il veut mettre à la charge de la collectivité (c’est-à-dire vous et moi)les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu’à celle de l’industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;

  • Enfin, il recommande « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble des recommandations ».

Jamais une offensive aussi directe n’avait été menée dans la santé.

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Signez, c’est urgent, SIGNEZ LA PETITION CI-DESSOUS POUR BLOQUER CE PROJET avant qu’il ne soit TROP TARD !!

http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php

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Nous devons être des millions à dire NON. La France entière qui doit se lever.
« C’EST A N’Y RIEN COMPRENDRE », commentait le journal Le Figaro, au sujet de cette préconisation. [3]

« Une position déroutante », déplorait Libération. [4]
Cela ressemble en effet à la politique du pire ! Et à une provocation lancée à la figure de toute la population. Certains ont parlé du « Dernier coup de poignard de Marisol Touraine » !!!

Il s’agit en somme de rendre 11 vaccins obligatoires : hépatite B, coqueluche, haemophilus influenzae b, pneumocoque, méningocoque C, rougeole, oreillons, rubéole, plus les rappels.

Pire encore, leur projet est de mettre tous les risques et les coûts à notre charge :

  • Page 32 du rapport [1], il est expliqué que la « prise en charge intégrale de l’achat des vaccins par les régimes obligatoires de l’assurance maladie doit être assurée. Le coût d’une telle mesure est estimé entre 110 et 120 millions €/an. » C’est donc les assurés sociaux, autrement dit vous et moi et toute la population, qui sommes mis à contribution ; et notre argent ira à l’industrie pharmaceutique ;

  • Page 32 également [1], il est recommandé, pour les accidents qui se produiront inévitablement, « d’imposer un régime d’indemnisation des effets indésirables par la solidarité nationale », c’est-à-dire encore une fois nous faire payer vous et moi, via nos impôts.

Sont-ils devenus fous ??

D’où un tel mépris leur vient-il ?? Se croient-ils dans une dictature ??

Apparemment oui ! Et à ce stade, c’est au peuple de se défendre !!

Il n’y a pas une ligne dans le rapport qui défende l’opinion majoritaire dans la population.

Tout semble avoir été écrit par les labos pharmaceutiques.

Ce Comité Vaccination qu’on nous avait présenté comme « représentatif » est une supercherie.
« L’élaboration de cette parole citoyenne s’est faite en l’absence de toute publicité », a d’ailleurs souligné le journal Libération. [5]
Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu’un haut fonctionnaire avait claqué la porte du Ministère de la Santé.
Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, Secrétaire Général de la Conférence Nationale de Santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé ».

Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l’Institut pour la Démocratie en Santé.
« Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l’ensemble des moyens d’expression de la démocratie en santé ».
Seuls les acharnés de la vaccination et les industriels avaient été invités !!

Le Président du Comité de Vaccination, Alain Fischer a reçu en 2013 le prix Sanofi Pasteur, une distinction propre à ce laboratoire pharmaceutique qui est l’un des plus grands fabricants de vaccins du monde !

Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre sur les réseaux sociaux :
« Comment peut-on "rétablir la confiance" par une dictature médicale ?», déplorait un lecteur sur le site du quotidien Libération. [6]

« On vous oblige à vous injecter des vaccins et, en prévision de la prise en charge des soins d'une grave complication, pour ne pas faire payer les laboratoires pharmaceutiques, on vous colle une nouvelle taxe sur les médicaments ! » s’insurge un internaute en réaction à l’annonce.

« Comment peut-on nous prendre à ce point pour des idiots ???!!!! Je suis tellement attristé et en colère. Quel pays !!!... » réagissait jeudi 1er décembre au matin un auditeur de RMC, qui venait de recevoir la nouvelle sur la tête.

« Clairement c'est du totalitarisme », réagissait-on sur le site du journal 20 Minutes. [7]

« Comment se fait-il qu’en Allemagne ou en Espagne, où les vaccins ne sont pas obligatoires, il n’y ait pas plus d’épidémie que chez nous ?! » [8]
Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée.

Personne ne doit pouvoir dire, ou affirmer, que ces réactions sont isolées.

Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum, pour opposer un véritable barrage démocratique à cette initiative.

Nous savons que des millions de signatures sont nécessaires.

Et nous pouvons les rassembler : plus de 40 % des Français ont compris qu’il y avait du flou derrière le discours du gouvernement sur la vaccination. [9]

Il est important d’agir au plus vite car la Ministre de la Santé cherchera très probablement à agir avant l’ouverture de la campagne électorale de 2017 (dans cinq semaines, après les primaires du parti socialiste).

C’est pourquoi nous sommes dans l’urgence absolue. C’est une question de jours, ou peut-être même d’heures.

Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous.

C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles si nous ne leur imposons pas leur onze vaccins obligatoires !!

Derrière, ce sont des milliers, ou au minimum des centaines d’effets indésirables graves qui se produiront. Mathématiquement, c’est une certitude. Cela pourra être chez vous, dans votre entourage, ou dans le mien.

Ne nous laissons pas faire !!! MOBILISONS TOUT NOTRE ENTOURAGE.

TRANSFÉREZ CET APPEL PARTOUT AUTOUR DE VOUS.

C’EST NOTRE DERNIÈRE CHANCE !!!

Un grand merci,

Augustin de Livois

13/12/2016

L'argent colloïdal, un remède en or...

 

C'est le titre qu'a donné Mme Jeanne Perros à son ouvrage paru en 2012 aux éditions Trédaniel. Cette femme ingénieur, passionnée par les médecines douces, la nutrition et la botanique, présente l'argent colloïdal comme un anti-infectieux à large spectre et une alternative possible aux antibiotiques.

Ce produit naturel, capable de s'attaquer à la plupart des bactéries, virus et parasites, est tombé dans l'oubli dans notre pays après la découverte des antibiotiques de synthèse vers les années 1940. Toutefois, ses propriétés étaient connues depuis des millénaires. En France, de nombreux médecins l'utilisaient encore dans la première moitié du 20 ème siècle. Aujourd'hui, les antibiotiques de synthèse ayant montré leurs limites (antibiorésistance, dégradation de la flore intestinale), l'argent refait surface et démontre son efficacité.

L'argent colloïdal consiste en de minuscules particules d'argent, chargées électriquement et en suspension dans de l'eau déminéralisée. La solution peut être à dominante métallique ou ionique. Des études de 2007, 2008 et 2009 en Corée, en République Tchèque et aux Etats-Unis ont montré que l'argent est un antiviral de premier ordre pour lutter contre les infections et même en cas de pandémies (grippe aviaire, grippe H1N1...). Il est dénué d'effets secondaires à dose recommandée. Toutefois, ce qui freine sa diffusion, est que l'argent colloïdal présente un intérêt médiocre pour les laboratoires pharmaceutiques...

Les témoignages abondent sur Internet, que ce soit pour vanter l'efficacité des pansements imprégnés à l'argent, pour purifier l'eau, pour désinfecter les surfaces, soigner les mycoses, les plantes et même pour protéger les mamelons des femmes allaitantes. Toutefois, un usage interne en mode sublingual en dehors des repas est également recommandé dans des épisodes infectieux pulmonaires ou autre.

En France, de nos jours, le moyen le plus simple pour acheter de l'argent colloïdal est de le commander sur Internet. Les marques américaines comme Sovereign Silver ou American Biotech Labs sont les plus connues. En France, la marque Argent Vital commercialise depuis peu de l'argent colloïdal à un prix raisonnable en magasin diététique ou en para pharmacie.

Les maladies nosocomiales se développant actuellement dans les hôpitaux, l'argent semble susciter un intérêt croissant de la part des médecins. Des espoirs nouveaux en outre sont nés de son potentiel dans la lutte contre la mucoviscidose, certains cancers ou des maladies coronariennes.

J'ai personnellement testé des ampoules de granions d'argent pour une infection urinaire et un gros rhume: en 3 jours, à raison de 2 ampoules par jour loin des repas, tout était terminé sans aucun effet secondaire.

Lyliane

 

 

 

 

 

12/12/2016

Appel à propos de Monsanto et des perturbateurs endocriniens...

 

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ces substances dangereuses.

Ces polémiques interviennent à quelques semaines de l'adoption finale des textes réglementaires. C'est le moment d'accentuer la pression pour faire respecter le principe de précaution.

Pouvez-vous partager la pétition sur Facebook et par email, afin de nous débarrasser une bonne fois pour toutes des perturbateurs endocriniens?

11/12/2016

Des doutes, une inquiétude, vite, un auto-test!

 

Mme Lise Bouilly s'est intéressée, dans le Journal gratuit Fémina, à ces dispositifs nommés auto-test qui sont depuis peu sur le marché et qui peuvent nous être très utiles. Toutefois, elle a souhaité tout d'abord interroger une pharmacienne, Mme Brigitte Bouzige, au sujet de la différence entre ces auto-tests que l'on peut désormais réaliser chez soi et les T.R.O.D. (tests rapides d'orientation diagnostique). Ces derniers, mis en place par l'arrêté du 11 juin 2013, doivent être pratiqués en pharmacie pour détecter par exemple une grippe, une angine à streptocoque ou un diabète... Ils sont peu onéreux: environ 6 euros. Ils peuvent accélérer une prise en charge et un traitement, selon le résultat obtenu. Les pharmaciens en effet, depuis la Loi Hôpital, patients, santé et territoire de 2009, ont de nouvelles missions de dépistage et de prévention.

Les auto-tests, disponibles sans ordonnance et donc non remboursables par l'assurance-maladie, coûtent entre 15 et 30 euros pour le plus cher comme celui du V.I.H. Tous fonctionnent sur le même principe: en suivant une notice, le patient prélève une goutte de sang au bout du doigt grâce à un auto-piqueur et il voit le résultat négatif ou positif au bout de 10 à 15 minutes dans une fenêtre de lecture. La fiabilité de ces tests serait de 90 à 99% selon le dispositif. C'est, évidemment, un pré-diagnostic à confirmer ensuite par des examens de laboratoire.

Pour le taux de fer, acheter en pharmacie Fer Home Test, Alère de Medisur. Il évalue le taux de ferritine, la protéine du stockage du fer, indicateur des réserves de l'organisme.

Pour la maladie de Lyme, se procurer Lyme Home Test, Alère de Medisur. Le diagnostic précoce peut en effet garantir une évolution favorable de la maladie. Non soignée, elle peut notamment causer des atteintes neurologiques et des douleurs articulaires.

Pour connaître sa couverture antitétanique, il existe l'auto-test Tétanos Home Test, Alère, chez Medisur. Il permet de détecter les anticorps antitoxine antitétanique présents ou pas dans l'organisme. L'absence d'anticorps implique de consulter son médecin pour se faire vacciner.

Pour la bactérie Helicobacter Pylori, acheter en officine H-Pylori Home Test, Alère, de Medisur. Cette bactérie, qui peut se développer dans l'estomac et évoluer en ulcère ou cancer, peut ainsi être détectée par la présence d'anticorps anti-H- pylori.

Pour l'intolérance au gluten, en cas de suspicion, se procurer en pharmacie l'Autotest Gluten Biocard Céliac de AAZ Productions. On peut également suivre l'impact de l'éviction du gluten au bout de 6 mois.

Enfin, le plus connu, l'Autotest VIH de Mylan, en vente dans les pharmacies depuis septembre 2015, élargit le dépistage par la mise en évidence des anticorps anti-VIH de façon discrète.

Lyliane

 

 

 

 

10/12/2016

Vous avez dit vitiligo?

 

 

J'ai vu récemment un témoignage sur la deuxième chaîne de télévision de Mademoiselle Nadia Bouchikhi, interviewée par Mme Sophie Davant à propos du vitiligo. Cette maladie rare touche environ un million de personnes dans notre pays. C'est une maladie inflammatoire évolutive qui touche particulièrement les zones de frottement et le visage par une dépigmentation de la peau. Il n'y aurait à ce jour aucun traitement connu. Selon un spécialiste, seules certaines crèmes pourraient aider à une forme de repigmentation de la peau. L'exposition modérée à la lumière ou photothérapie serait également susceptible de stimuler les mélanocytes...

Nadia Bouchikhi a choisi de témoigner à visage découvert, afin d'affirmer sa différence dans un monde où l'apparence, pour les femmes notamment, joue un très grand rôle. Elle tient à faire passer un message positif, car beaucoup de personnes touchées, des adolescentes notamment, cachent leur vitiligo ou bien, si elles se montrent, vivent une forme de rejet. Ayant rencontré un photographe de mode au regard amoureux et donc bienveillant, cette jeune femme a pu accepter sa maladie et renoncer à se cacher. Au contraire, elle fait aujourd'hui des photos en tant que mannequin comme on ferait une thérapie.

Dans le monde d'aujourd'hui, beaucoup de personnes malades ou handicapées, doivent se cacher dans la mesure où le regard d'autrui est rarement bienveillant à leur égard. C'est notamment le cas de personnes qui ont perdu leurs cheveux après une chimiothérapie; de femmes et d'enfants albinos, atteints par cette maladie génétique très répandue en Afrique. Là bas, c'est le cas d'une personne sur 4000, alors qu'en Europe la maladie touche une personne sur 20 000 environ. La stigmatisation de tous ces malades mériterait d'être mise au jour et combattue, car elle est profondément injuste.

Lyliane

 

05/12/2016

La nouvelle convention médicale...

 

Selon la revue Valeurs Mutualistes de novembre 2016, la nouvelle convention médicale, réglant les rapports entre les médecins libéraux et l'assurance maladie, a été ratifiée fin août. Cette convention est censée s'appliquer aux cinq années à venir (2016/2021).

Tout d'abord, elle revalorise les actes et la rémunération des médecins. Le prix de la consultation des généralistes va passer de 23 à 25 euros au 1 er mai 2017. Celui de la consultation coordonnée des spécialistes de secteur 1 ou ayant signé un contrat avec la CNAMTS sera de 30 euros dès le 1er juillet 2017. Ce montant vaudra pour tous les médecins à compter du 1/7/2017. En principe, cette hausse du ticket modérateur sera prise en charge par les assurances. Quant aux dépassements d'honoraires, cela dépendra des garanties souscrites.

Une nouveauté cependant: l'extension de la notion de médecin traitant aux jeunes de moins de 16 ans. Ceux-ci pourront donc être suivis individuellement. Seront mises en place également dès le 1er avril 2017 une consultation spécifique et une incitation financière de 15 euros pour permettre la prise en charge des patients sans délai (dans les 48 h). L'encouragement de la télémédecine pourrait favoriser l'échange entre l'ancien et le nouveau médecin, en cas d'entrée en maison de retraite. Un dispositif de télé-expertise sera mis en place dans les EHPAD ainsi que des téléconsultations (en cas de plaies chroniques et d'insuffisance cardiaque)

Dans les zones insuffisamment pourvues en professionnels de santé, au 1er juillet 2017 une aide de 50 000 euros sera versée en deux fois aux médecins qui décideront de s'y installer. Enfin, les médecins seront davantage incités financièrement à pratiquer des actions de prévention (tabac, cancer colorectal...) et à suivre des pathologies chroniques (risques cardiovasculaires).

Des avancées certes, mais il me semble regrettable que rien ne soit entrepris pour plafonner les dépassements d'honoraires de certains spécialistes, pour revoir le conditionnement des médicaments incitant au gaspillage ou pour encadrer davantage le prix des spécialités (hépatite, cancer, sida...) en pesant sur les laboratoires médicaux. Dans les hôpitaux ou les cliniques, la qualité de la nourriture devrait être améliorée, car elle contribue grandement à la santé des patients.

Les médecines douces ou dites parallèles (homéopathie, naturopathie, ostéopathie...) mériteraient elles aussi une meilleure reconnaissance, car elles font économiser beaucoup d'argent à l'assurance maladie, tout en traitant convenablement les patients.

Lyliane

 

04/12/2016

Stress au travail: le mal du siècle!

Mme Christine Dellocque a témoigné le 30/11/2016, à visage découvert, au cours de l'émission de Mr F. Lopez Mille et une vies, à propos du "burn out" qu'elle a vécu au sein de la grande banque française, à laquelle elle appartenait. En effet, ses conditions de travail se sont faites de plus en plus difficiles... Expatriée au Cambodge avec sa famille, elle a été vite confrontée à une forme de harcèlement et à des exigences démesurées de sa supérieure hiérarchique. Démotivée, mal considérée, elle a été obligée de rentrer en France, en proie à une forme de dépression d'épuisement. Séparée de son conjoint, son salut viendra finalement d'une reconstruction personnelle au cours de laquelle elle découvrira d'autres valeurs grâce notamment au yoga.

Invité à l'émission, un médecin auteur d'un livre sur le sujet intitulé "Le stress au travail", a essayé de cerner la personnalité des personnes les plus vulnérables à ces pressions au travail. Selon lui, ces personnes sont le plus souvent perfectionnistes et donc elles se donnent à fond en espérant une certaine reconnaissance, qu'elles n'obtiennent pas. En surinvestissement professionnel, elles finissent pourtant par croire ne rien valoir et par vivre des relations déshumanisées.

Il y aurait 100 000 personnes en France, victimes de burn out. Dans notre pays, en effet, on accorde beaucoup d'importance au travail, beaucoup plus que dans les pays voisins. Peu à peu, certaines sociétés françaises en viennent à oublier le facteur humain et à considérer leurs employés comme des pions. Certes, tout ne vient pas d'un coup et n'est pas uniquement du fait des entreprises: on considère en effet que 35% vient de la personne elle même, qui finit par ne vivre que pour son travail, par un fort besoin de considération ou la peur du chômage si elle ne faisait pas l'affaire.

Toutefois, pour l'entourage et pour la personne elle-même, des signes avant-coureurs peuvent être observés. Une souffrance physique tout d'abord (maux de tête, palpitations cardiaques, insomnies...), puis des changements dans sa vie émotive ou même professionnelle: mal à se concentrer, irritabilité. Parfois même cela conduit à des addictions: boulimie, alcoolisme...

Il est recommandé si on est conscient de la dépendance au travail qui s'installe, de diversifier ses émotions, ses centres d'intérêts, ses loisirs et surtout d'en parler avec des proches et un médecin. Si un état pathologique est installé, le psychiatre quant à lui conseille un long arrêt de travail, un antidépresseur sur plusieurs mois en soutien et une psychothérapie de reconstruction émotionnelle. Et, surtout, un changement d'environnement avec d'autres centres d'intérêt pour effectuer une rupture totale.

Bref, ce fléau des temps modernes qu'est le burn out pointe une fois de plus le besoin pour notre société de remettre le travail à la place qu'il mérite, sans perdre de vue que la famille, les amis, les loisirs, la vie intérieure, enfin tout ce qui alimente notre joie de vivre, vaut au moins autant sinon davantage. Et sur ce point là, d'autres cultures, apparemment moins avancées que la nôtre en Occident, pourraient nous donner des leçons de sagesse!

Lyliane

 

 

Lithothérapie: les pierres peuvent-elles soigner?

C'est la question que pose Mme M. Vedrines dans le Journal Alternatif Bien-Etre de janvier 2017. A travers une interview de Mr D. Briez et de son associée, tous deux experts en lithothérapie, la journaliste essaie d'approcher cette technique pratiquée un peu partout dans le monde. Les minéraux, pierres, cristaux présents dans la matière ont en effet été utilisés par les humains de tout temps. La lithothérapie s'appuie le plus souvent sur des pierres semi-précieuses ou précieuses. Ces pierres, qui semblent inertes, émettent cependant des vibrations que nous pouvons ressentir, selon les besoins de notre métabolisme.

Mr Briez explique que le corps humain comporte différents acides, qui vont capter les ions métalliques des pierres. Cette réaction peut se produire lorsqu'on prend un minéral ou un cristal dans la main. Notre peau en effet peut recevoir et absorber de multiples éléments selon la composition chimique de la pierre. Il semblerait que plus celle-ci a de poids, pllus elle émet de l'énergie.

Aucune preuve scientifique des soins éventuels que les pierres peuvent apporter directement n'a été faite à ce jour. Néanmoins, chacun est invité à expérimenter le contact avec les pierres. Pour les uns, la tourmaline noire est réputée protéger des ondes électromagnétiques. Pour d'autres, l'énergie de l'apatite liée au soufre natif soulagerait les douleurs articulaires. Le grenat rouge est censé stimuler la vitalité. La cornaline quant à elle est liée à la féminité et au rapport avec la mère. Le lapis lazuli soignerait les troubles de la vue et les problèmes de peau. Cette pierre bleue aurait aussi tendance à faire baisser la tension... Que l'on porte ces pierres en bijoux, qu'on les tienne dans la main ou qu'on les glisse dans sa poche ou sous l'oreiller, il convient de sentir et d'écouter nos propres réactions à leur contact.

Mr Briez pense que le minéral pourrait redevenir une ressource naturelle de la pharmacopée au même titre que les plantes ou les animaux. Pour cela des expérimentations scientifiques pourraient être entreprises, afin de montrer que les pierres sont des compagnons millénaires ayant leur place dans notre quotidien. Pour en savoir davantage sur le sujet, lire l'ouvrage de Mr P. Permutt «Ces pierres qui guérissent» paru au Courrier du Livre ou le «Guide pratique de lithothérapie énergéticienne» de Mr Raynald G. Boschiero chez Ambre Eds. Sur Internet, consulter par exemple: www.pierres-lithotherapie.com ou www.cristaux-sante.com .

Lyliane

 

Il y a une vie après la maladie...

 

 

Au cours de l'émission Mille et une Vies du 28/11/2016 sur la deuxième chaîne, j'ai appris que l'association L'envol, crée en 1997, permet à des enfants et des adolescents, atteints de pathologies assez graves, de prendre de la distance avec l'hôpital. Les bénévoles de cette association en effet leur proposent des activités gratuites à l'extérieur (murs d'escalade, sorties en ville, contes...), afin de leur faire vivre ensemble autre chose.

Cette «thérapie récréative», comme ils l'appelent, bénéficie de financements privés et publics. C'est un plus, qui complète l'investissement du personnel soignant et des familles. Les jeunes malades, notamment à travers des activités sportives, réalisent ainsi qu'ils sont capables de dépasser leurs limites. Au lieu de rester isolés dans leurs chambres, ils se retrouvent entre eux et peuvent ainsi établir des liens solides. On considère que 7000 enfants sont déjà passés par cette association, reconnue d'utilité publique.

 

Pour en savoir plus au sujet de cette association, consulter sur Internet le site: www.lenvol.org .

Lyliane

 

03/12/2016

Lithothérapie: les pierres peuvent-elles soigner?

 

C'est la question que pose Mme M. Vedrines dans le Journal Alternatif Bien-Etre de janvier 2017. A travers une interview avec Mr D. Briez et de son amie, tous deux experts en lithothérapie, la journaliste essaie d'approcher cette technique pratiquée un peu partout dans le monde. Les minéraux, pierres, cristaux présents dans la matière ont en effet été utilisés par les humains de tout temps. La lithothérapie s'appuie le plus souvent sur des pierres semi-précieuses ou précieuses. Ces pierres, qui semblent inertes, émettent cependant des vibrations que nous pouvons ressentir, selon les besoins de notre métabolisme.

Mr Briez explique que le corps humain comporte différents acides, qui vont capter les ions métalliques des pierres. Cette réaction peut se produire lorsqu'on prend un minéral ou un cristal dans la main. Notre peau en effet peut recevoir et absorber de multiples éléments selon la composition chimique de la pierre. Il semblerait que plus celle-ci a de poids, plus elle émet de l'énergie.

Aucune preuve scientifique des soins éventuels que les pierres peuvent apporter directement n'a été faite à ce jour. Néanmoins, chacun est invité à expérimenter le contact avec les pierres. Pour les uns, la tourmaline noire est réputée protéger des ondes électromagnétiques. Pour d'autres, l'énergie de l'apatite liée au soufre natif soulagerait les douleurs articulaires. Le grenat rouge est censé stimuler la vitalité. La cornaline quant à elle est liée à la féminité et au rapport avec la mère. Le lapis lazuli soignerait les troubles de la vue et les problèmes de peau. Cette pierre bleue aurait aussi tendance à faire baisser la tension... Que l'on porte ces pierres en bijoux, qu'on les tienne dans la main ou qu'on les glisse dans sa poche ou sous l'oreiller, il convient de sentir et d'écouter nos propres réactions à leur contact.

Mr Briez pense que le minéral pourrait redevenir une ressource naturelle de la pharmacopée au même titre que les plantes ou les animaux. Pour cela des expérimentations scientifiques pourraient être entreprises, afin de montrer que les pierres sont des compagnons millénaires ayant leur place dans notre quotidien. Pour en savoir davantage sur le sujet, lire l'ouvrage de Mr P. Permutt «Ces pierres qui guérissent» paru au Courrier du Livre ou le «Guide pratique de lithothérapie énergéticienne» de Mr Raynald G. Boschiero chez Ambre Eds. Sur Internet, consulter par exemple: www.pierres-lithotherapie.com ou www.cristaux-sante.com .

Lyliane

 

Les bienfaits avérés de l'homéopathie...

Près d'un Français  sur 2 de nos jours a recours à l'homéopathie, qui correspond bien à la règle médicale ancienne "primum non nocere" (tout d'abord ne pas nuire). Si certains sceptiques ne croient pas à l'homéopathie, écrit le journaliste de la revue Famille et Santé, ce sont souvent des scientifiques, dérangés par le fait que "ce qui ne s'explique pas ne peut exister". Ils n'ont au cours de leurs études pas été préparés à cette approche. L'homéopathie, en effet, utilise des produits tellement dilués qu'ils ne peuvent généralement pas nuire. De plus, partout dans le monde les recherches menées sur l'homéopathie marquent des points.

Peut-on néanmoins prétendre tout soigner par l'homéopathie? Certes non, car la chirurgie peut réaliser des miracles et l'allopathie rend bien des services. Mais l'homéopathie peut beaucoup et même, selon certains, soigner et guérir là où l'allopathie a échoué. Elle agit aussi sur les animaux, de telle sorte que de nombreux vétérinaires l'ont adopté. Malgré cela, quelques scientifiques continuent encore de prétendre que l'homéopathie a uniquement un effet placebo (guérison par la pensée).

On attribue au docteur allemand Samuel Hahnemann au 18 ème siécle la découverte de l'homéopathie. Il a utilisé notamment le principe de similitude. Cela signifie que non dilué, le remède provoque les mêmes symptômes que ceux du malade. Après dilution par contre, cela s'inverse. Pour comprendre les initiales DH et CH, il faut savoir qu'elles signifient respectivement décimale hahnemannienne et centésimale. Ces unités permettent de mesurer le degré de dilution de la teinture-mère contenue dans un remède homéopathique. Les dilutions varient selon l'effet recherché: 4 ou 5 CH pour une action rapide, 9 CH pour un problème chronique et au delà de 12CH pour une action profonde et prolongée. 

The Lancet, journal médical international, a par exemple démontré que Pollens, un traitement homéopathique, atténue les symptômes du rhume des foins et a un effet bénéfique à long terme. Des centaines d'expérimentations sont en cours dans le monde. L'Angleterre, l'Allemagne, l'Inde, la Russie reconnaissent les avantages de l'homéopathie. En France, l'homéopathie est enseignée en Faculté de Médecine depuis 1965. Quant aux Laboratoires Boiron, ils commercialisent chaque hiver contre les états grippaux beaucoup de doses d'Oscillococcinum! D'autres laboratoires homéopathiques existent comme Weleda ou LG Homéo, qui ont leurs propres terrains, en France et à l'étranger, où ils font pousser leurs plantes.

Il y a plusieurs écoles d'homéopathie: les homéopathes unicistes ne donnent généralement qu'un médicament en dose ou en granules, tandis que les autres associent au moins un remède d'origine végétale et un métal, parfois même un oligoélément. Les homéopathes continuent à prescrire des remèdes personnalisés en fonction des symptômes décrits par leurs consultants. De ce fait les visites durent en moyenne entre 30 et 40 minutes. Toutefois, des pratiques innovantes se font jour avec des complexes homéopathiques contenant 3 plantes associées, ce qui tend à favoriser l'auto-médication des patients.

Comment fonctionne l'homéopathie? C'est une médecine naturelle, qui n'agresse pas l'organisme. Au contraire, elle déclenche nos défenses immunitaires et soigne le terrain. Elle est en vente libre sans ordonnance, bon marché et sans effets secondaires. On considère en effet qu'en France l'homéopathie représente 1% de nos dépenses de santé. Certains médecins l'associent à un traitement allopatique ou par exemple prescrivent des granules après une opération pour évacuer les effets de l'anesthésie (opium en 15 ch).

Pour ma part, après avoir pendant des années cerné mon terrain, je sais plus ou moins les médicaments classiques qu'il me faut avoir sous la main. Par exemple, après un choc ou un coup: arnica en 5 ch, pour une piqûre d'insecte: apis en 5 ch... Si j'apprends une mauvaise nouvelle ou si j'ai peur en avion, je me tourne vers gelsémium en 9 ou en 12 ch. Mais, trois à quatre fois par an, je vais consulter à titre préventif mon homéopathe. En octobre, généralement, elle me prescrit l'équivalent d'un vaccin antigrippe homéopathique sans effet secondaire, à prendre sur 3 ou 4 mois, à base d'influenzinum et de sérum de yersin en 9 CH.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter "l'Encyclopédie familiale d'homéopathie" des Laboratoires Marcel Violet à Croix cédex (59963) ou différents ouvrages sur le sujet comme celui de Mrs. A.C. Quemoun et Rubinstein:" L'Homéopathie pertinente".

Lyliane

02/12/2016

Reconnaître et traiter la maladie de Lyme...

En écoutant sur la deuxième chaîne le témoignage de Mr Yannick Schraen au cours de l'émission Mille et une vies avec Mr Frédéric Lopez, j'ai eu envie de relayer sur ce blog l'information. En effet, compte tenu de ce qui s'est passé pour son fils de 12 ans en 2012, il y a fort à penser que d'autres cas existent encore en France. En Europe, on estime à 1 million le nombre de cas répertoriés. En France, à part à l'hôpital de Garches où la maladie de Lyme est bien connue (Professeur Burrascano), ailleurs on méconnaît totalement cette pathologie, qui ne se voit pas. J'en veux pour preuve les dix huit mois de souffrance profonde à errer d'un hôpital à un autre vécues par le fils le Mr Schraen, incapable de mouvoir ses membres inférieurs. Quant à l'arrogance de certains médecins, elle est incompréhensible! Ils sont allés jusqu'à faire enfermer le jeune malade traité par antidépresseurs dans une sorte d'asile pour enfants souffrant de problèmes psychologiques et à tenter de le couper de sa famille. Heureusement, la mère de ce jeune adolescent a fini par chercher sur internet, par poser elle-même un diagnostic et par joindre l'Association Lyme sans frontières, afin que son fils soit enfin convenablement soigné.                                                                                                                                        

Pourtant, même si cette maladie est peu étudiée encore dans notre pays, beaucoup de détails auraient pu alarmer les médecins: tout d'abord, le fait que la famille habite en campagne, près d'une forêt où les tiques sont nombreuses. Puis, tout au début des troubles, l'apparition d'une tache sur la peau et d'enflures des ganglions. Cette maladie infectieuse peut toucher la peau, les articulations et le système nerveux. Enfin, au lieu d'abrutir de morphine le jeune homme sans aucun résultat, s'il l'avaient tenté, les réactions spectaculaires à un traitement de 8 jours par antibiotiques en intraveineuse auraient pu mettre les médecins sur la voie d'une infection par borréliose. Au bout de 3 mois de soins à Garches, quoi qu'il en soit, le jeune malade avait totalement récupéré l'usage de ses jambes! Et dans son cas, l'appui de ses deux parents avait été salvateur...

Faut-il pour autant remettre en question toute la médecine française? Il me semble que lorsqu'on ne trouve pas la cause d'un trouble, il faudrait avoir l'humilité de consulter des confrères et de se remettre en question. Heureusement certains le font. Ne pas hésiter, si ce n'est pas le cas, d'aller demander d'autres avis. En Allemagne, on prescrit notamment du tic tox 2... Pour se renseigner, consulter notamment le site Internet: www.maladie-lyme.info . Il existe aujourd'hui de nombreux ouvrages décrivant la maladie de Lyme et quelques associations informant le public. 

Lyliane

01/12/2016

Les algues marines comestibles...

 

Pendant des siècles, sur les côtes normandes et bretonnes de notre pays, on a récolté le goémon, mélange de fucus et de laminaires. Séché, il amendait la terre. Brûlé dans des fours spéciaux, il donnait de la soude naturelle. Cette soude servait alors à la fabrication du verre et elle était très recherchée. A partir du 19 ème siècle, on en a extrait de l'iode, seule molécule qui, dissoute dans l'alcool, permettait à l'époque de désinfecter les plaies. Enfin, dessalé, le goémon était également utilisé pour l'alimentation animale.

Pendant ce temps, en Chine et au Japon, les algues de mer étaient dégustées par la population. On découvre chez nous peu à peu leur richesse en protéines, en fibres, en vitamines, en minéraux et en oligoéléments. En effet, on déguste de nos jours dans de nombreux restaurants l'algue Nori, enrubannant les makis, la salade de Wakamé au sésame, l'algue Kombu qui agrémente la soupe miso... Cela incite les industriels français à cultiver aussi les algues pour la consommation humaine. Les végétariens cependant connaissent depuis longtemps une algue rouge, l'Agar agar, remplaçant la gélatine animale.

Les algues se développent par la photosynthèse en bénéficiant à faible profondeur des rayons du soleil. Il faut savoir en effet que le phytoplancton marin a un intérêt écologique important. Comme l'explique Mr N. Vanier dans son ouvrage «Les pieds sur terre», plus de la moitié de la fixation totale du CO2 sur notre planète se fait grâce au phytoplancton, devant les forêts.

Récoltées fraîches, les algues marines sont sans danger. Par contre, à l'état décomposé ou polluées par les nitrates, les algues peuvent rejeter de l'hydrogène sulfuré, un gaz mortel. Quelques accidents de ce type ont eu lieu en Bretagne. La recherche quant à elle s'intéresse aux algues marines pour l'industrie médicale (compléments alimentaires), cosmétique et agricole. Il y a même avec les algocarburants une recherche prometteuse d'alternative aux énergies fossiles. Pour en savoir davantage au sujet des algues comestibles, contactez par Internet les sites: www.ocealg.com et www.bord-a-bord.fr.

Lyliane

 

30/11/2016

Pour ne plus souffrir de constipation...

La constipation est l'émission anormalement rare de selles. Mais le rythme de défécation est différent d'une personne à l'autre: de deux fois par jour à trois fois par semaine en moyenne. Le verbe "constiper" vient du latin "constipare" qui signifie serrer, entasser, entourer de façon compacte. Ce qui veut dire que la guérison de ce dysfonctionnement passera par un relâchement psychologique général, nous explique Mr Bernard Tihon dans la revue Neosanté d'octobre 2016. Aussi, les mots guérisseurs pour un constipé sont: lâcher, accepter, laisser aller, abandonner.

Le péristaltisme de l'intestin est un phénomène complexe, qui nécessite un effet de piston, grâce auquel un groupe de fibres se contracte et un autre plus loin se relâche, ce qui permet la progression des selles. Toutefois, pour que les matières fécales puissent glisser dans le côlon, il est indispensable d'avoir également une lubrification et une hydratation du bol fécal. La lubrification est assurée par la bile provenant de la filtration de 2400 l de sang au travers du foie. En cas d'insuffisance hépatique, le transit a tendance à être ralenti. Quant à l'hydratation, elle doit être régulière (1 l à 1,5 l par jour) à base d'infusions ou d'eau peu minéralisée.

Parmi les causes de la constipation, on trouve également une nourriture manquant de fibres végétales, l'anxiété, le stress, un manque de mastication et d'exercices physiques. Afin de stimuler le réflexe d'aller à la selle tous les matins à heure fixe, certaines personnes ont pris l'habitude de boire un verre d'eau tiède ouu légèrement citronnée à jeun ou elles mangent des pruneaux trempés dans un verre d'eau la veille au soir. Mais avant tout, pour guérir de ce dysfonctionnement, éviter d'en faire une obsession!

Car, dans la constipation, le côlon garde les selles au niveau de l'ampoule rectale, où elles s'accumulent et se durcissent, ce qui rend difficile leur évacuation. Le facteur psychologique est prépondérant, car la défécation doit être associée à un sentiment de plaisir et de bien-être. Il importe surtout de prendre le temps et d'écouter son corps en attendant le bon moment. Une rééducation est possible en travaillant sur la difficulté à éliminer les choses du passé en n'en gardant que la quintessence. La peur de perdre (l'amour de la mère, d'un pays, d'une personne aimée, d'un animal...) peut en effet s'incarner jusque là. Mettre de la lumière sur ce phénomène suffit parfois...

Lyliane

27/11/2016

Antibiorésistance: l'espoir des huiles essentielles...

 

Selon le Docteur en Pharmacie Mme Fabienne Millet, qui publie un article dans la revue Santé Corps Esprit, l'abus d'antibiotiques dans les ordonnances médicales et dans certains produits de consommation courante (viandes, poulets, poissons, eau du robinet...) a fait que les germes deviennent de plus en plus résistants aux antibiotiques. La situation est tellement inquiétante que l'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) a lancé un cri d'alarme en 2015.

Un espoir est là toutefois avec l'alternative que constituent les huiles essentielles. Elles présentent en effet une action anti-infectieuse sur un large spectre de germes sensibles ou résistants. Les aromatogrammes sont l'équivalent des antibiogrammes. Ils mesurent la force destructrice des huiles essentielles face à un germe spécifique. En France, quelques laboratoires effectuent ce type d'analyse.

Les constituants principaux des huiles essentielles contre les bactéries sont: le carvacrol, l'eugénol, le thymol, le cinnamaldéhyde, le linalol et le géraniol. Mme F. Millet propose d'associer huiles essentielles et antibiotiques. Cela pourrait notamment permettre de réduire les doses d' antibiotiques.

Par exemple, le staphylocoque doré serait stoppé par l'huile essentielle d'Arbre à thé (melaleuca alternifolia). De son côté, le thymol (thym) et le carvacrol (origan) diminuerait la résistance de Salmonella typhimurium à différents antibiotiques. Enfin, l'huile essentielle de Ravintsara, diffusée dans l'atmosphère en milieu hospitalier, permettrait d'éviter la transmission des germes (maladies nosocomiales) et les surinfections respiratoires.

Le dosage de ces huiles essentielles est d'environ 20 gouttes au millilitre. Sur la peau, une petite noisette 3 à 6 fois par jour pendant une semaine est suffisant. Il faut néanmoins savoir que les huiles essentielles sont contre-indiquées en cas de convulsions, d'allergies et pour les femmes enceintes ou allaitantes. Dans ce cas, essayer la phagothérapie.

Lyliane

 

26/11/2016

Intérêt de consulter un dentiste énergéticien...

 

 

Un dentiste énergéticien se distingue avant tout par le fait qu'il se préoccupe non seulement des questions bucco-dentaires de son patient, mais aussi parce qu'il prend en compte la globalité de la personne. Généralement, ce type de dentiste n'utilise pas de matériau toxique dans la bouche (mercure, métaux lourds...). En effet, aujourd'hui nous sommes de plus en plus confrontés à une accumulation de métaux lourds dans notre organisme. Ceux-ci s'accumulent le plus souvent dans le foie.

Dans la revue Santé Corps Esprit, le Dr Arnold Herschtal interprète les problèmes bucco-dentaires en faisant des liens avec notre état intérieur, notre passé, nos relations. Ce dentiste s'appuie sur les correspondances de la médecine traditionnelle chinoise entre les organes et les dents, afin de décoder les dysfonctionnements. Par exemple, il faut savoir qu'une carence en vitamines A, C et E peut causer des problèmes de gencives à la longue.

Quant aux maladies parodontales, c'est généralement l'addition de plusieurs facteurs favorisant la maladie qui va entraîner leur apparition. En premier lieu, il convient de s'occuper de la plaque dentaire, qui peut être éliminée par un brossage régulier des dents matin et soir. Toutefois, il est recommandé de faire procéder une fois par an à un détartrage général. Le fait de mastiquer longuement et de croquer dans des fruits et des légumes permet déjà un auto-nettoyage intéressant.

Le Dr Herschtal recommande d'utiliser une brosse à dents médium et un dentifrice biologique. En entretien, il conseille un mélange de bicarbonate de soude et d'eau oxygénée en bains de bouche trois fois par semaine. Pour plus de renseignements, consulter sur Internet: www.odenth.com et www. naturebiodental.com.

Lyliane

 

23/11/2016

Stop à l'utilisation abusive des antibiotiques dans l'élevage!

 
En France, environ 85% des antibiotiques utilisés en élevage sont donnés en traitement de masse via l’alimentation ou l’eau. Appelez le gouvernement français à mettre fin à cet usage irresponsable des antibiotiques. Il favorise le développement de super-bactéries résistantes aux antibiotiques qui mettent en danger notre santé, et permet à des systèmes d’élevage inacceptables de perdurer artificiellement.
De bonnes conditions d’élevage, avec une bonne prise en compte du bien-être animal, permettent d’améliorer la santé animale et réduire le recours aux traitements médicamenteux.
Le gouvernement français doit prendre des mesures fortes pour :
Ne plus permettre l’utilisation d’antibiotiques pour les animaux en bonne santé.
Ne pas permettre d’utiliser les antibiotiques dits « critiques », les plus essentiels pour les hommes.
Améliorer la santé et le bien-être des animaux.
Demandez aux Ministres de la Santé et de l’Agriculture de prendre des mesures pour SAUVER NOS ANTIBIOTIQUES.
Je signe la pétition
Merci de votre soutien pour sauver nos antibiotiques et préserver l'avenir de notre santé.

20/11/2016

La facture immorale des nouveaux médicaments anti-cancer

Je suis particulièrement touchée par la prise en otage des patients atteints de cancer dans ma région. En effet, à la Clinique St Jean de Cagnes sur mer(06), des patients ne peuvent plus être soignés par un médicament: le Nivolumab (immunothérapie) produit par les laboratoires BMS, qui n'hésitent pas à facturer des sommes énormes aux hôpitaux et pharmacies (6000 euros par mois). Il faut défendre notre système de santé en pesant sur le Ministère de la santé et le laboratoire BMS avant qu'il ne soit trop tard!
 
En période préelectorale, n'est ce pas le bon moment d'interpeller l'Etat et nos élus?
Allons nous tomber dans le système américain, où seulement les riches peuvent se soigner? C'est à mes yeux un scandale sanitaire à dénoncer!
Des solutions existeraient en permettant aux intéressés d'avoir les traitements en avance de trésorerie par exemple...Si rien ne bouge, qui va faire les frais de ce bras de fer, sinon toujours les patients?
 
Après le scandale du Médiator et tous les autres, les laboratoires peuvent ils encore faire la loi dans notre pays?
 
Une pétition existe sur www.mesopinions.com/petition/sante/aidez-gu-rir/26017.
Diffusons la et signons la pour faire pression sur les laboratoires qui se comportent comme si notre santé avait un prix et devait pouvoir les enrichir! Où est l'humain là dedans?
 
Ci dessous une information prise sur Internet.
 
 

 

Chimiothérapie à Nice en 2012. REUTERS/Eric Gaillard

Chimiothérapie à Nice en 2012. REUTERS/Eric Gaillard

Chargé par François Hollande de l’élaboration du prochain Plan Cancer, le Pr Jean-Paul Vernant dénonce le scandale que constitue selon lui l’envolée des prix des anticancéreux.

Le monde médical hospitalo-universitaire français n’accuse jamais Big Pharma à visage découvert. Exception notable dans le quotidien La Croix daté du 5 novembre: spécialiste réputé des cancers du sang, le Pr Jean-Paul Vernant déclare que certaines molécules anticancéreuses ont aujourd’hui «atteint un niveau de prix scandaleusement élevé» :

«Il arrivera un jour où même des pays riches comme le nôtre n’arriveront plus à délivrer ces médicaments. Le prix de certaines molécules a atteint des proportions que de plus en plus de médecins, dont je fais partie, jugent presque immorales. En une décennie, le prix des nouveaux médicaments anticancéreux a pratiquement doublé, passant d’un coût moyen de 3.700 à 7.400 € par mois. Cette tendance risque de s’aggraver avec le développement de cette médecine dite “ciblée”, qui va favoriser l’émergence de médicaments de “niche”

Le Pr Vernant s’exprime à la veille de l’ouverture, à Lyon,  des «6e Rencontres de la cancérologie française». A la demande du président de la République, il a remis il y a peu à Marisol Touraine, ministre de la Santé, un rapport «contenant des recommandations pour le troisième Plan Cancer». L’annonce de ce Plan (2014-2018) avait été faite en décembre 2012 par François Hollande et devrait être sera «axé sur la lutte contre les inégalités face à la maladie» et préparer la France «aux nouveaux enjeux liés aux progrès médicaux».

«Il y a aujourd’hui, dans certains pays, un débat éthique sur le coût très élevé de molécules qui, dans certains cas, permettent de prolonger la vie seulement de deux ou trois mois, explique encore le Pr Vernant. Mais un autre médicament, le Glivec, pose un problème différent: au début des années 2000, on a découvert que ce produit était extraordinairement efficace dans le traitement des leucémies myéloïdes chroniques, dont on enregistre environ 1.000 nouveaux cas par an en France. Ce médicament du laboratoire Novartis a été une révolution thérapeutique, puisqu’il a radicalement changé le pronostic de près de 80% des patients. Mais ces personnes doivent prendre, à vie, ce médicament qui, en France, coûte environ 30.000 euros pour une année».

 

Novartis a tenu à préciser à La Croix que le coût véritable de son médicament est de 27.720 euros par an.

 «Notre pays est un de ceux qui, dans le monde, permet un accès le plus large aux nouveaux médicaments du cancer, rappelle le Pr Vernant Tous ces produits sont remboursés à 100 %, ce qui permet de les délivrer à tous les patients qui en ont besoin. Mais il arrivera bien un moment où la collectivité ne pourra plus payer. En Angleterre, pour la leucémie myéloïde chronique, les autorités ont décidé de rembourser uniquement le Glivec, mais pas les médicaments de deuxième ou troisième génération, qui doivent être prescrits en cas de résistance au Glivec. Résultat, seuls les patients qui ont les moyens de débourser plus de 70.000 euros par an peuvent assurer leur survie.»

Il faut selon lui  «mettre en place un nouveau système de régulation des prix qui devraient pouvoir être révisés de manière régulière dans le temps»: définir pour chaque nouveau produit la durée nécessaire pour que le laboratoire puisse amortir son investissement de départ et, ensuite, déterminer «ce qui pourrait être un bénéfice raisonnable et moralement acceptable pour la firme». Cette proposition aurait notamment pour effet de briser le système, actuellement en vigueur en France, de fixation des prix des médicaments – un système totalement opaque qui résiste à la politique, officiellement prônée, de transparence dans ce secteur. 

En avril dernier  une centaine d’onco-hématologues, américains pour la plupart, avaient dénoncé l’évolution des prix des médicaments dans la revue Blood, journal de l' American Society of Hematology. Ils déploraient que sur les douze  traitements contre le cancer approuvés en 2012 par l'agence américaine des médicaments (FDA), onze coûtaient plus de 100.000 dollars par an. Selon ces spécialistes du cancer du sang, de tels coûts ne sont pas «moralement justifié», les médicaments dont dépendent des malades pour rester en vie ne devant pas selon eux être soumis à la loi du marché.

«Quand un produit affecte la vie ou la santé des personnes, le juste prix devrait prévaloir en raison des implications morales», écrivaient ces médecins. Ils citaient en exemple le prix du pain pendant une famine, le vaccin de la poliomyélite ou les traitements de certaines chroniques. L’exemple du sida montre depuis une bonne décennie qu’un solide rapport de force international peut conduire les multinationales pharmaceutiques à aménager les dispositions habituelles du marché et du retour immédiat et massif sur ses investissements en recherche et développement.

En avril 2012, la revue Prescrire, indépendante de l’industrie pharmaceutique avait fait une synthèse des quelques critiques montantes exprimées sur ce thème dans la presse médicales spécialisée anglo-saxonne (The Lancet oncology et The New England Journal of Medicine). Elle rappelait que quelques rares cancérologues estiment que l’argent qui est dépensé dans des chimiothérapies hors de prix peut exclure certains malades «de soins palliatifs qui amélioreraient la qualité de leur vie, et pourraient même l’allonger». «Préoccupés par l’envolée des dépenses déconnectées des progrès pour les patients, des cancérologues de plus en plus nombreux appellent à mieux utiliser les moyens disponibles, sans céder au “toujours plus”, ni refuser la mort de manière déraisonnable»,résumait Prescrire.

Les responsables britannique chargé de l’évaluation coût-efficacité des médicaments (National Institute for Health and Clinical Excellence, NICE) émettent, pragmatiques, une autre mise en garde: «Si des sommes de plus en importantes d’un système de santé aux ressources limitées sont consacrées à des soins anticancéreux non coût-efficaces, cela se fera au détriment d’autres patients atteints d’autres maladies, moins défendus par les firmes et des associations de patients ». La persistance de la crise économique associée à l’envolée (nullement maîtrisée par les pouvoirs publics) des prix des nouveaux médicaments font que cette prophétie n’est pas loin de commencer à se réaliser. 

Jean-Yves Nau

18/11/2016

Résister aux tocs et en rire enfin!

Au cours de l'émission Mille et une Vies de Mr Frédéric Lopez sur la 2ème chaîne en début d'après midi du 16/11/2016, j'ai entendu le témoignage saisissant de Mr Joël Fauré au sujet des tocs, dont il a souffert une bonne partie de sa vie. Comme l'indique le titre, il a réussi à sortir de ses rituels compulsifs, de ses pensées magiques qui entravaient son quotidien. Cela, certes, ne s'est pas fait en un jour! Il a suivi une thérapie comportementale et cognitive pendant plusieurs années et il s'est confronté à d'autres patients dans le même cas lors de groupes de parole.

Un thérapeute présent dans la seconde partie de l'émission a expliqué que les souffrances psychiques en France sont encore mal vécues et relèvent d'un tabou. L'entourage juge le plus souvent, stigmatise ou se moque de la personne... Notre regard sur ces questions invalidantes mériterait réellement de changer. Car ces angoisses d'ordre, d'hygiène, de symétrie sont bien réelles. Mr Fauré a peu à peu réussi à dominer ses peurs, ses alertes permanentes et ses croyances erronées en travaillant sur ses pensées étape par étape. Ecrire, écouter de la musique, monter sur scène au lieu de cacher son handicap a été salutaire dans son cas.

Une information sur ce type de souffrance psychique fort perturbante quotidiennement peut faire prendre conscience qu'on arrive à en sortir et qu'on n'est pas tout seul. De l'entraide, et de la compréhension ainsi que des séances de thérapie individuelle comme celles que Mr Fauré a suivies à  l'hôpital Mondor à Paris arrivent en effet petit à petit à détourner l'attention et à faire reprendre en main les situations compulsives.

Ces tocs selon Mr Fauré sont "de véritables cancers de la pensée"! Pouvoir les surmonter et en rire après coup, quelle bel exemple à donner et quelle victoire à partager! 

Lyliane

 

 

16/11/2016

Utiliser des déodorants naturels...

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Nous avons appris, il y a quelques années, que certains déodorants seraient susceptibles de favoriser le cancer du sein par les composants qu'ils comportent. Aussi, Mme Danièle Gerkens, dans le dernier numéro de Elle, s'efforce de nous conseiller des déodorants naturels à acheter dans le commerce ou à fabriquer nous-mêmes.

La journaliste précise tout d'abord que le principe d'un déodorant n'est pas d'empêcher la sueur de couler en bouchant les pores de la peau, mais d'agir sur les bactéries qui produisent des odeurs désagréables. Elle nous conseille également des règles d'hygiène simples: se laver le corps au savon et préférer des vêtements en matières naturelles plutôt qu'en fibres synthétiques. Cela nous conduit donc à éliminer le plus possible de notre garde-robe: polyester, acrylique, viscose et polyamide au profit de vêtements en coton, laine, soie, lin ou chanvre.

Ensuite, Mme Gerkens évoque la question du tabac qui pourrait favoriser le développement des bactéries, de même qu'une nourriture où manqueraient légumes et fruits. Les huiles essentielles comme palmarosa, tea tree, sauge sclarée, laurier, menthe poivrée sont réputées avoir une action antibactérienne. Toutefois, mettre une goutte d'entre elles dans de l'huile d'amande douce ou de l'huile de coco, sauf si on est enceinte ou si l'on a une plaie aux aisselles. De même, le gel d'aloe vera peut être appliqué sous les bras, tout comme l'eau d'hamamélis et l'eau de fleur d'oranger.

On peut également acheter sur Internet ou dans des magasins biologiques un déodorant solide au Palmarosa, un roll on au Cédrat de Corse de chez Nuxe, un spray déodorant bio Aloès Verveine de chez Lagona ou une crème déodorante bio de chez Schmidt's. Enfin, si l'on tient à confectionner soi-même son déodorant, il est conseillé d'acheter de la cire (végétale ou d'abeille) et de l'huile de coco. Par exemple, faire fondre 6g de cire et 40g d'huile de coco. Hors du feu, ajouter ensuite 25g de bicarbonate de soude et 25g de fécule de maïs ou d'arrow-root. Parfumer éventuellement avec 20g d'huile essentielle de lavande ou de palmarosa. La pierre d'alun serait également un bon recours par grosses chaleurs.

Lyliane

 

07/11/2016

Comment faire diminuer la pollution de l'air dans notre pays?

Chaque année, nous dit la fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l'homme, 7 millions de personnes, soit 1 personne sur 10 dans le monde,sont tuées par la pollution de l'air. Et dans notre pays, 34 000 décès pourraient être évités. Le coût de la pollution atmosphérique en outre correspond en France à plus de 100 milliards d'euros. En effet, bronchite chronique, asthme, cancer du poumon prolifèrent dans notre société, alors que des solutions alternatives existent et pourraient être mises en œuvre par les pouvoirs publics dans différents domaines: transport, recyclage des déchets, énergies renouvelables...

Je me bornerai aujourd'hui à rappeler quelques astuces anti pollution à notre portée en tant que citoyens responsables. Tout d'abord le plus possible préférer les transports en commun et le covoiturage à la voiture individuelle. Ensuite, privilégier l'achat de produits locaux et biologiques pour réduire les taux de pesticides que nous respirons ou ingérons. Si l'on a un terrain, éviter de brûler n'importe quoi au lieu de porter branchages et déchets en déchetterie. Les arbres partout sont à maintenir coûte que coûte car ils contribuent à produire de l'oxygène tout en absorbant le gaz carbonique.

Dans nos maisons et appartements, aérer chaque jour au moins 20 minutes en toute saison. Lorsque nous faisons nos achats, choisir des produits d'entretien écolabellisés ou des peintures et appareils étiquetés A+. En guise de tablettes anti moustiques ou de vaporisateurs d'ambiance pleins de produits chimiques irritant pour nos bronches, utiliser des diffuseurs d'huiles essentielles. Dépoussiérer la maison à l'aide d'un aspirateur...

Actuellement, la Fondation de Mr Nicolas Hulot a lancé une pétition adressée à notre Ministre de la Santé, Mme Marisol Touraine, afin de rendre obligatoire partout en France un label Ecolo Crèches. Celui-ci permettrait en effet d'interdire les produits les plus nocifs dans les crèches et de rendre plus lisibles les étiquettes des produits d'entretien. Car ce sont 360 000 enfants qui pourraient en bénéficier dans notre pays. Pour en savoir davantage sur le sujet, consulter le site : www.fnh.org.

Lyliane

 

01/11/2016

Mangez des fruits et légumes de saison!

 

Mme Nathalie Giraud dans la revue Fémina a écrit un article pour inciter les consommateurs à privilégier les aliments qui poussent en France en automne et en hiver. Elle s'appuie sur les indications du Docteur L. Chevallier, médecin nutritionniste. Bien entendu, les fruits et légumes de saison sont moins chers, mais surtout ils sont meilleurs pour l'organisme en raison de leur grand apport nutritif.

Du côté des légumes, on trouve toutes les variétés de courges, contenant une forte teneur en bétacarotène, un antioxydant qui prévient le vieillissement cellulaire. Les choux ( brocoli, frisé, kale, vert ou rouge) sont peu caloriques et ils apportent des minéraux, de la vitamine C ainsi que des fibres. Les betteraves crues ou cuites sont de bonnes protectrices de notre système immunitaire. Quant aux poireaux d'hiver, ils rééquilibrent le transit. Cuites avec carottes, navets et pommes de terre, ils donnent des soupes nourrissantes. Le radis noir de son côté est réputé être un bon aliment pour détoxiner le foie.

Les légumineuses (lentilles, fèves) apportent fer, magnésium et potassium. Reste cependant à voir s'ils seront bien tolérés par les intestins délicats. Quant aux féculents (pâtes, riz, pommes de terre), ils aident à lutter contre le froid et sont une source importante de protéines. Il est recommandé de choisir des céréales demi complètes ou complètes, moins acidifiantes.

Du côté des fruits, après le raisin commence la saison des pommes et des poires, gorgées de vitamines surtout si on les choisit bio et on les mange avec la peau. Bientôt, ce sera l'arrivée des agrumes de Corse ou de la Côte d'Azur (pomelo, clémentines, oranges, citrons). Peu caloriques, les agrumes s'avèrent intéressants contre les maux hivernaux et ils sont connus pour leurs vitamines C.

Si l'on consomme du fromage, les bleus et le roquefort sont à point et bien affinés en hiver. Privilégier en tout état de cause les produits vendus au détail et non préemballés. C'est une garantie de fraîcheur! La provenance des fruits et légumes doit figurer sur les étals. Cela permet d'éviter les aliments venus de loin, dont on ne peut pas spécialement contrôler la qualité.

La journaliste conclue: «se nourrir en harmonie avec les saisons, c'est faire le choix d'une alimentation plus respectueuse de l'environnement, plus écologique et qui met les bonnes vitamines au service de notre santé». Alors, pensons-y en faisant nos courses!

Lyliane

 

28/10/2016

Le sport pour tous, est-ce devenu une réalité?

 

 

Selon le journal Maïf Social Club, deux français sur trois pratiquent au moins une activité physique hebdomadaire. Environ 30 millions de nos compatriotes pratiquent en effet des sports de nature (randonnée pédestre, VTT, vélo...) et 65% des Français de plus de 15 ans s'adonnent au moins une fois par semaine à une activité physique. L'omniprésence du sport nous semble donc naturelle aujourd'hui que l'on soit jeune ou moins jeune, homme ou femme.

Cela n'a pourtant pas toujours été le cas dans notre pays. Au 19 ème siècle par exemple, le sport était un privilège aristocratique, partagé peu à peu par la bourgeoisie montante. Le peuple se contentait de la gymnastique scolaire, obligatoire seulement depuis la Loi Falloux de 1850. Toutefois, la vraie démocratisation débutera dans les années 1960, où le profil du sportif était généralement un homme diplômé, jeune cadre citadin. Le jogging a commencé à se répandre à partir de 1980 et les piscines couvertes à être construites à cette époque. Depuis, des parcours de santé fleurissent un peu partout comme des stades dans notre pays.

De nos jours, la médecine enseigne que les bienfaits du sport ne se limitent pas à des effets mécaniques (renforcement musculaire, entretien cardiovasculaire), mais qu'ils peuvent également provoquer des modifications biochimiques sur le cerveau. De ce fait, nous sommes susceptibles de ressentir après une activité physique un grand bien-être. Sur le plan relationnel, il est prouvé aussi que la pratique sportive enseigne l'humilité et le respect. Et, au delà des bénéfices individuels, on considère que les effets positifs du sport rejaillissent sur l'ensemble de la société, où l'on apprend le "vivre ensemble".

Pour nos jeunes notamment, c'est un excellent moyen d'apprendre des règles du jeu, le fameux «fair play», de se changer les idées, de rencontrer des personnes nouvelles, de s'oxygéner au lieu de rester devant un écran d'ordinateur et de mieux connaître ses propres limites.

Certes le sport médiatique accorde une grande place à la compétition et aux résultats, mais dans la vie quotidienne tous les éducateurs s'accordent à dire «que le sport est le meilleur levier pour former des citoyens garçons et filles à égalité, bien dans leur tête et dans leur corps». Sans oublier les handicapés, pour qui le sport réalise souvent des miracles et qui bousculent nos préjugés.

Aussi, alors que certains se plaignent que nos jeunes manquent de repères, ne s'intéressent à rien dans notre société, voyons également que le sport crée du lien social, abolit certains jugements raciaux et permet de valoriser des jeunes moins doués dans leur scolarité que d'autres. Que dire aussi des moments de communion dans une passion commune, souvent patriotique, à l'occasion des J.O. ou de grands matchs de foot?! Pour approfondir la question de la place du sport, consulter: www.lequipe.fr.

Lyliane

 

21/10/2016

Thérapie assistée par un animal de compagnie...

 

Dans le journal de la Fondation des Hôpitaux de Paris, un article sur l'EHPAD de Sully sur Loire (45) m'a semblé mérité d'être repris sur notre blog, car il peut donner des idées à d'autres maisons de retraite. Nous apprenons, en effet, que cet établissement expérimente avec succès la présence d'un chien éduqué pour le plus grand bien-être de ses résidents.

Le labrador noir fait, en effet, la joie des résidents qui l'attendent chaque matin et lui confient leurs secrets à l'oreille. Il égaye leur quotidien et apporte un soutien psychologique aux personnes les plus fragiles. Qu'elles soient en fauteuil, qu'elles puissent parler, qu'elles soient désorientées, alitées ou souffrent de maladies graves ou pas, l'animal ne juge pas et il se laisse caresser de la même façon. En tout état de cause, il participe à toutes les sorties et promenades journalières.

Il a été prouvé que la présence d'un animal aux côtés de personnes âgées est source de nombreux bienfaits sur leur santé physique et mentale. Le chien de l'EHPAD est suivi régulièrement par un vétérinaire. Pendant ses temps de repos, des animateurs ou animatrices s'en occupent.

Tout cela a un coût (4700 euros environ), mais faut-il hésiter à investir quand il s'agit du bonheur de dizaines de nos aînés? Cela vaut bien les dividendes perçus par les actionnaires de certaines maisons de retraite privées! Il me semble qu'une telle expérience serait à développer dans la plupart des maisons de retraite, car une fin de vie heureuse est un cadeau à offrir généreusement à tous... Pour en savoir davantage sur cette expérience, consultez le site Internet: www.fondationhopitaux.fr

Lyliane

 

20/10/2016

La nutrithérapie, une discipline médicale nouvelle...

 

 

La nutrithérapie était sans doute pratiquée depuis longtemps, au Japon par exemple avec le fameux régime Okinawa. Sur cet archipel en effet vivent beaucoup de centenaires en excellente santé. C'est le docteur Jean Paul Curtay qui a introduit en France cette technique qu'il enseigne dans le monde entier et diffuse grâce aux 14 ouvrages qu'il a écrit. Lui-même s'était initié à cette pratique en Californie dès les années 1980. Il est membre de l'Académie des Sciences de New York et Président du mouvement Greenhealth.

La nutrithérapie est la découverte de l'importance de l'alimentation, des vitamines, des minéraux, des acides gras, des acides aminés et des phytonutriments. C'est un mouvement pour la santé globale. Le Dr Curtay a constaté en effet qu'une supplémentation active en micronutriments peut réduire de moitié la fréquence de certaines malformations chez l'enfant, des infections, des pathologies cardio-vasculaires et des cancers chez l'adulte. Il a même été observé que la nutrithérapie pouvait retarder de façon importante l'apparition de troubles cognitifs, de l'ostéoporose et de la cataracte chez la personne âgée.

Une consultation en nutrithérapie permet de repérer les fonctions déficientes et de traiter les pathologies, les déficits nutritionnels en incitant les patients à changer leur comportement alimentaire tout en introduisant les compléments alimentaires nécessaires. Pour en savoir plus sur la nutrithérapie, consulter sur internet: www.lanutritherapie.fr.

Lyliane

 

18/10/2016

Crufiture : une alternative à la confiture, meilleure pour la santé

Crufiture : une alternative à la confiture meilleure pour la santé Du sucre, des fruits frais, une cuisson maîtrisée et la confiture est prête ! Mais, connaissez-vous la crufiture ? Cette étonnante conserve de fruits tartinable qui préserve tous les nutriments et la saveur des fruits crus. Une cuillère de confiture dans un yaourt ou une bonne tartine grillée recouverte de confiture trempée dans une boisson chaude, hmmm quel régal ! À Climont en Alsace, Fabrice Krencker est artisan-confiturier et élabore depuis 30 ans des confitures artisanales réputées dans toute la région et au-delà. Il reçoit d’ailleurs le titre de Meilleur confiturier de France en 2010. Avec son épouse, cet alsacien mitonne chaque jour des recettes dans des chaudrons qu’il a améliorées au fils des années. L’an dernier, il fait breveter une tout nouvelle recette: une crufiture, une préparation de fruits et de sucre sans cuisson. Un concept qui va ravir les adeptes de la raw-food (cuisine crue). Une confiture saine et nutritive Tartiner des fruits, c’est le concept qu’a pu mettre en oeuvre Fabrice Krencker en mettant au point une nouvelle génération de confitures sans cuisson, sans gélifiant et sans conservateur. Elle peut même se conserver plusieurs mois à température ambiante, comme le miel. L’atout de cette préparation réside dans son absence de cuisson. Les fruits étant crus, ils conservent leur saveur et tous leurs nutriments. C’est après trois ans de recherches, en partenariat avec des étudiants du pôle agro-alimentaire de l'Université de Haute Alsace, l'association régionale Alsace Innovation, la Banque publique d'investissement (BPI France) et les laboratoires de l'Aérial (Strasbourg) et du Cétam (centre d'étude apicole de Moselle) que la crufiture voit le jour et se voit brevetée. Une crufiture écolo Ce maître-artisan étale ses fruits et son sucre dans de grands plateaux en cuivre en extérieur, à l’abri des insectes. Contrairement à la confiture, la crufiture n’a besoin ni de gaz, ni d’électricité ou autres énergies, c'est le vent et le soleil qui se chargent de l’évaporation qui se fait naturellement. “Grâce à ce procédé maîtrisé par des formulations informatisées, les qualités organoleptiques et nutritionnelles sont mieux conservées que dans une confiture classique”, explique Fabrice Krencker. Pour contribuer à la réduction des déchets, la vente se fait en vrac. Tributaire des aléas météorologiques, la production de la crufiture est encore limitée et repose sur un savant dosage de sucre et de fruits. Mais, cet alchimiste de la confiture y voit un gain de temps et de saveur. On peut retrouver ses 35 autres sortes de confitures sur son site: www.lesconfituresdeclimont.fr.