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06/02/2017

Le chanvre et ses multiples qualités...

Selon un article publié dans la revue Biocontact de février 2017 signé par Mr A. Céalis, chanvrier en circuits courts, le chanvre, qui avait connu un déclin dans les années 1930, connaît dans notre pays une reprise de la production dès 1960. Au regard des enjeux environnementaux actuels en effet, ses nombreux atouts sont réévalués et le chanvre retrouve une place stratégique dans l'économie des pays producteurs. La France avec 48 00 tonnes environ est le premier producteur actuel de chanvre suivi de la Chine, du Chili et de l'Ukraine.

Cette plante annuelle de la famille des Cannabaceae, cousine du houblon, peut atteindre 4 m de haut. Variété dioïque à l'origine, les variétés cultivées depuis les années 1960 sont des hybrides monoïques c'est à dire que fleurs mâles et femelles sont sur le même pied. L'avantage du chanvre réside dans sa rusticité et sa résistance aux attaques fongiques. Il pousse en outre très vite: planté en mai, il est récolté fin août/début septembre en général.

Sa fibre cellulosique (chéneviotte) est contenue dans la partie superficielle de la tige. Une fois séparée et cardée, elle constitue une laine pouvant être tissée pour faire des tissus, appliquée et utilisée en isolants ou broyée pour fabriquer du papier, des matériaux composites ou de combustion. Par exemple, le béton de chanvre lié à de la chaux ou de la terre est de plus en plus utilisé dans la construction écologique. La feuille du chanvre séchée est très utile dans l'élevage et l'agriculture pour faire des litières et des paillis.

Ses graines (chènevis) contiennent des protéines et des acides gras essentiels. On peut les donner à manger aux animaux, mais surtout les consommer sous forme de farine ou d'huile. La fleur quant à elle a des effets psychotropes. On en tire du cannabidiol, substance active aux effets thérapeutiques intéressants: effets secondaires des chimiothérapies, traitement de certaines épilepsies. Mais, hélas, dans notre pays son utilisation en médecine n'est pas encore très développée et est assez controversée, alors que le cannabis pourrait aider beaucoup de malades...

Pour s'informer, consulter sur Internet le site www.anandaetcie.org, émanant de l'association savoyarde pour la promotion du chanvre. On peut également lire l'ouvrage de Mme M. Dorrel paru aux éditions Trédaniel: Medicannabis.

Lyliane

 

05/02/2017

Un test sanguin pour dépister les cellules cancéreuses...

 

A l'émission La Grande Librairie de jeudi 25/1/2017, puis lors de l'émission Thé ou Café de Mme Catherine Ceylac le 5/2/2017, nous a été présenté le Professeur Patrizia Paterlini-Bréchot, oncologue et femme-chercheur à la Faculté de Médecine Necker-Enfants Malades (Université Paris Descartes) à l'occasion de la parution chez Stock en janvier 2017 de son livre intitulé «Tuer le cancer».

Cette femme d'origine italienne, qui a épousé Mr Bréchot, Directeur du Laboratoire de Biologie Moléculaire à Paris, traque depuis des années le développement des cellules tumorales dans le sang. Son but depuis le début est de détecter avec son équipe, bien avant leur propagation dans le corps humain, ces cellules qui causent des métastases dans certains organes après un cancer primitif. Aujourd'hui ce test diagnostic est au point. Un brevet a été déposé après publication de ses recherches dans 52 publications indépendantes.

Ce test sanguin précoce n'est actuellement pas remboursé par l'assurance maladie et il coûte à ce jour 486 euros. Pour le faire effectuer dans un laboratoire agrée, il est nécessaire d'avoir une prescription médicale signée par le médecin, complété par une décharge du patient. Mme Marisol Touraine, Ministre de la Santé en France, paraît très favorable à cette découverte. De bons résultats ont été notamment obtenus au C.H.U de Nice par des médecins ayant testé ce procédé ISET (Isolation by Size of Tumor Cells) sur de gros fumeurs risquant un cancer du poumon...

Dans le sang analysé de patients en rémission par exemple, dans 10 ml de sang parmi 5 milliards de globules rouges et 100 millions de globules blancs, les cellules tumorales se distinguent par leur taille plus importante que les cellules sanguines. Actuellement, les recherches continuent pour compléter cette détection précoce par la mise en lumière de protéines retrouvées dans les cellules cancéreuses indiquant l'origine de l'organe touché par les métastases. Un gain de temps inestimable permettant un état des lieux, afin de mettre en œuvre sans tarder une thérapie ciblée...

 Pour se renseigner sur ce procédé, sur l'adresse des laboratoires pratiquant actuellement le test sanguin ISET (Nice et Paris ), consulter la Conférence vidéo sur You Tube de Mme Paterlini-Bréchot, son livre et le site Internet www.isetbyrarecells.com.

Lyliane

 

La bio bientôt dans toutes les cantines, tous les hôpitaux et restaurants d'entreprise?

Un article paru dans le N° 276 de la revue Biocontact de février 2017 salue l'adoption par nos députés français de l'inscription définitive de 40% de produits locaux et de saison dont au moins 20% de produits bio ou en conversion en restauration collective d'ici à 2020. Cette décision entre dans le cadre du Projet de Loi Egalité et Citoyenneté à la suite d'une proposition d'amendement déposée par la député EELV (Ecologistes et les Verts) de Dordogne Mme Brigitte Allain. Dans la nouvelle Loi, deux amendements reprennent les 2 dispositions phares de la proposition de loi de la député.

Il est vrai que, depuis quelques années, des communes pionnières ont déjà introduit des produits bio et locaux dans leurs cantines. Sur place, tout le monde ou presque s'en félicite! Cela constitue un bon levier de développement de l'agriculture biologique sur tout le territoire national...

Mr F. Veillerette, porte-parole de l'Association Générations Futures, se félicite de cette avancée significative en France dans le journal Biocontact. Selon moi, il serait temps néanmoins qu'une alimentation durable, ancrée territorialement, commence à s'étendre partout dans notre pays notamment dans les restaurants universitaires, les hôpitaux, les cantines d'entreprises.  

Pour en savoir plus sur le sujet, consulter notamment sur Internet: www.generations-futures.fr.

Lyliane

04/02/2017

Les bienfaits du maïtaké, un champignon japonais...

Le maïtaké   

Champignon de la santé et de la jeunesse et utilisé dans la médecine chinoise traditionnelle et au Japon depuis des siècles, le maïtaké tire son nom d'un mot japonais qui veut dire "champignon dansant".

Peut-être est-ce une référence à la joie des paysans qui le découvraient dans le Japon ancien et qui pouvaient ensuite l'échanger contre leur poids en argent ?

C'est un petit champignon brun à lamelles qui se développe en grappes amalgamées sur les souches et les racines. Originaire du nord-est du Japon, il s'est répandu en Asie, en Amérique du Nord et en Europe.

Jusqu'à la mise au point des techniques de culture en 1980, le maïtaké était ramassé à l'état sauvage. Il en a été produit 8000 tonnes au Japon en 1990.

Les chercheurs japonais et américains ont récemment observé que lorsqu'il était administré par voie orale, il était deux fois plus efficace que le Shiitaké pour stimuler le système défense de l'organisme. Il contient un bêta 1,6 glucan particulier, extrêmement immunostimulant grâce auquel il surpasse tout autre champignon connu. De récentes recherches indiquent que parmi les produits naturels, le maïtaké est le plus puissant des immunostimulants. Si certaines plantes possèdent des propriétés immunostimulantes, aucune  ne rivalise avec le maïtaké. Les champignons sont les seuls aliments à posséder des vertus immunostimulantes démontrées.

Propriétés

Anticancéreux, antiviral, hypocholestérolémiant, immunostimulant.

Action

Traditionnellement utilisé en Asie pour préserver la jeunesse, pour assurer une bonne santé et prolonger la longévité, il a été soumis à de nombreuses études préliminaires in vitro ayant fait apparaître ses diverses propriétés.

Il pourrait présenter une aide thérapeutique pour les traitements des cancers, des symptômes liés au SIDA, en particulier le sarcome de Kaposi, de l'hypertension et dans une moindre mesure du diabète et du cholestérol.

Le maïtaké lutte, contre les infections, l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie et préserve de l'athérome, en stimulant le système immunitaire du corps.

La lutte contre les facteurs de risques cardiovasculaires réduit la fréquence des démences. Lesystème immunitaire peut très précocement choisir entre deux voies TH1 dévolue à la lutte anti-infectieuse classique et la voie TH2 de l'allergie.

Qu'est-ce que le bêta 1,3 et 1,6 glucan de Maïtaké ?

Le bêta 1,3 et 1,6 glucan est un composé actif de molécules extraites par l'eau chaude de champignon Maïtaké. Il est une forme de polysaccharides et on trouve plusieurs types de glucans dans les champignons (Lentinan de Shiitaké, PSK de Kawarataké). Par contre le bêta glucan de Maïtaké est reconnu pour stimuler le système immunitaire par voie orale. On pourrait même dire qu'aucune autre molécule naturelle connue jusqu'à aujourd'hui, n'a un effet aussi puissant pour stimuler notre système immunitaire par voie orale.

Comment agit le bêta 1,3 et 1,6 glucan de Maïtaké

Le bêta 1,3 et 1,6 glucan de Maïtaké a la capacité unique et assez extraordinaire de stimuler, d'activer les macrophages en se raccordant à ses récepteurs. C'est un peu comme la clé pour démarrer notre voiture. Le bêta 1,3 et 1,6 glucan multiplie donc l'activité des macrophages dans notre organisme et permet ainsi au système immunitaire d'atteindre son plein potentiel. Il réveille et prépare le système immunitaire à combattre l'invasion des micro-organismes pathogènes.

Pourquoi le bêta 1,3 et 1,6 glucan de Maïtaké est-il si important pour la santé ?

Le bêta 1,3 et 1,6 glucan de Maïtaké est reconnu scientifiquement pour augmenter la capacité de réponse du système immunitaire contre les invasions virales, fongiques, parasitaires bactérienneset néoplasiques.

Le bêta 1,3 et 1,6 glucan a une action positive sur

* les rhumes et états grippaux

* le syndrome de la fatigue chronique

* les allergies

* la malnutrition

* le diabète

* l'identification et l'élimination des cellules des tumeurs.

De plus, le bêta 1,3 et 1,6 glucan apporte également ses bienfaits à ceux qui prennent de l'âge, qui subissent des stress physiques ou émotionnels, qui sont soumis aux radiations des champs magnétiques, UV ou autres.

Le bêta 1,3 et 1,6 glucan présente-t-il des effets secondaires ?

Non. Le bêta 1,3 et 1,6 glucan de Maïtaké n'est pas toxique et on ne lui connaît pas d'effets secondaires.

Bêta glucan et défenses naturelles

Le système immunitaire remplit une grande fonction physiologique chez l'homme.

D'abord, nous devons dire qu'une grande partie du système immunitaire est prédéterminé par nos gênes. Certaines personnes ont naturellement un bon système immunitaire, d'autres en ont un moins résistant.
Ensuite, l'environnement et la nourriture ont une grande influence sur le système immunitaire.
Qu'on le veuille ou non, l'organisme subit des agressions répétées qui sont plus ou moins importantes selon notre façon de manger et l'endroit où l'on vit.
Nous mettons continuellement à l'épreuve le système immunitaire.
Ces agressions constantes que nous subissons diminuent et ralentissent l'action du système immunitaire.

De plus, l'utilisation fréquente des antibiotiques, des vaccins et la résistance toujours renouvelée des germes et des bactéries, font en sorte que le système immunitaire a rarement la possibilité de travailler à son maximum, à sa pleine capacité.
L'immunité naturelle peut-être améliorée en apprenant à doser ses énergies, à ne pas se laisser envahir par la fatigue.
Egalement, les émotions fortes et le stress peuvent provoquer la maladie ou encore réveiller des germes qui dormaient dans l'organisme.
Mais on ne saurait passer sous silence l'apport d'une bonne supplémentation alimentaire.

Le bêta glucan améliore la résistance et augmente la production d'anticorps. Un système immunitaire en bonne santé détruit et élimine les corps étrangers de l'organisme. Le bêta glucan stimule et active notre système de défense et permet de combattre notre système de défense et permet de combattre les invasions virales, bactériennes, fongiques et parasitaires.

Récemment, ce champignon s'est révélé utile dans le réduction de l'obésité. Il contient le 1,3 bêta glucan, puissant anticancéreux. Il est également apprécié comme hypocholestérolémiant (notamment pour ce qui concerne le métabolisme des sucres). Il y a lieu de se reporter aux travaux du Dr Harry Preuss, Georgetown Univ, Washington DC. Sur le bêta d-glucan, les travaux japonais datent de 1990. Pour ce qui concerne le maïtaké et le cancer, travaux chinois : Dr M. Ghoneum, Drew Univ. of Med. and Science, Los Angelès.

 

 

 

03/02/2017

Réussir son premier cataplasme selon la Santé Naturelle...

 
 

Réussir son premier cataplasme

Chère lectrice, cher lecteur,

Le cataplasme est l’un des trésors les plus précieux de la médecine naturelle.

Il s’agit d’une préparation pâteuse à base de plantes, de fruits, d’algues ou de légumes, qui peut être chaude, froide, cuite ou diluée, qu’on applique sur la peau et qui apaise et soigne les hommes depuis des millénaires.

Il fut une époque où préparer un cataplasme, même sophistiqué, ne faisait peur à personne. Hélas, ce remède a laissé peu à peu sa place aux solutions toutes faites comme les baumes, les pommades ou les médicaments.

Quel dommage !

Car le cataplasme est efficace pour calmer une douleur, assainir une plaie, soulager une entorse, consolider une fracture, désencombrer les bronches, stopper un saignement

La rédaction du journal Plantes & Bien-Être connaît sur le bout des doigts tous les conseils pratiques pour réussir à faire un cataplasme.

La rédactrice-en-chef du journal m’a autorisé à vous révéler quelques techniques pour réaliser les grands classiques (cataplasme de lin contre la toux, cataplasme de choux pour neutraliser les infections, d’oignons pour apaiser les douleurs etc.), mais également des préparations plus originales pour soulager des pathologies plus lourdes, comme les douleurs articulaires, la névralgie, l’eczéma etc.

Si vous n’avez jamais fait de cataplasme, ces informations vont vous permettre de réussir votre première préparation mais aussi d’entrer dans un monde de soin absolument fascinant…


Aux origines de l’homme


Vous allez renouer avec une idée qui remonte probablement aux origines de l’homme, celle d’apposer sur la peau une plante écrasée ou un peu de terre argileuse, et qui s’est affinée avec les siècles, comme un outil perfectionné par l’expérience des générations.

Dans l’Antiquité, on recourait déjà à des préparations plus élaborées, les emplâtres. De consistance pâteuse, ils mêlaient des poudres de plantes, des résines et des gommes, de la cire ou de la graisse. Leur composition s’est complexifiée au fil des époques. Par exemple, on comptait plus d’une vingtaine d’ingrédients dans une célèbre préparation de Paracelse nommée « emplâtre d’opodeldoch ».

Mais avant de vous lancer dans une telle mixture, voici d’abord une question : pourquoi ça marche ?

Deux raisons évidentes expliquent l’action des cataplasmes :

  • L’action thermique : la chaleur provoque une vasodilatation locale (dilate les vaisseaux) et une meilleure circulation sanguine. Elle apaise, réconforte, soulage les spasmes et les tensions. Le froid entraine au contraire une vasoconstriction (resserre les vaisseaux) et dissipe bien les congestions ou contusions. Il est utile en cas de blessure ou de traumatisme. Il calme les douleurs aiguës de l’arthrite ou celles dues à l’inflammation d’un nerf. Le tiède est souvent employé pour les douleurs chroniques non inflammatoires.f

  • L’effet des actifs naturels : la peau est perméable et absorbe facilement les actifs naturels. Les vertus antiseptiques, astringentes, apaisantes, reminéralisantes ou anti-inflammatoires des plantes sont mises à profit pour cibler le mal. On recourt parfois à des plantes révulsives (moutarde, piment, gingembre) pour irriter la peau. En réaction, notre organisme provoque un afflux sanguin et lymphatique vers la zone concernée pour apporter plus rapidement des molécules anti-inflammatoires, des anticorps ou d’autres substances du système immunitaire. La zone malade ciblée par le cataplasme s’en trouve plus vite traitée, apaisée et drainée.

Le cataplasme soulage soit directement la peau, en cas de brûlure ou de démangeaison par exemple, soit les tissus profonds en cas de douleur articulaire ou musculaire, d’œdème ou d’encombrement respiratoire.

Mais encore faut-il pour cela bien faire son cataplasme.

D’abord, un petit point sur le matériel dont vous allez avoir besoin :

  • Des bandes de gaze ou tissus en coton ou en lin. L’essuie-tout peut servir en dépannage.

  • Du film étirable, idéal pour éviter que le cataplasme ne sèche trop vite.

  • Une bande de contention élastique (ou bande de crêpe), qui permet de maintenir fermement un emplâtre, même volumineux.

  • En fonction du type de cataplasme : casserole, bol en pyrex, cuillère en bois, hachoir…


Le chaud, ça brûle !



Petite précaution et contre-indications des cataplasmes chauds : comme leur nom l’indique, ils présentent toujours un risque de brûlure.

On considère généralement que les cataplasmes chauds sont à proscrire en cas de fièvre, d’inflammations, de douleurs de ventre ou de maladie cardiovasculaire. Ils sont aussi à éviter chez les personnes âgées et les enfants de moins de 7 ans, qui se contenteront de cataplasmes tièdes (moins de 38°). 

La règle d’or est très facile à retenir : l’application d’un cataplasme chaud doit toujours procurer une sensation agréable.

Je vous propose maintenant de découvrir comment préparer un « blockbuster » du cataplasme, le classique des classiques : le cataplasme de lin contre la toux, puis, lorsque vous aurez pris le tour de main, de vous attaquer à une préparation un peu plus audacieuse à base de plantes.

 

Cataplasme de lin contre la toux



Indications : toux grasse ou spasmodique, bronchite, rhume ou douleurs apaisées par le chaud comme les torticolis ou les tensions musculaires.

Intérêt : réchauffant, stimulant de la circulation sanguine, fluidifiant, émollient (relâche les tissus). Sous forme de farine, le lin est utile mélangé avec des plantes pour améliorer la texture du cataplasme et conserver plus longtemps la chaleur.

Préparation :

  • Mélanger 4 à 5 cuillerées à soupe de farine de lin avec un peu d’eau bouillante.

  • Mélanger pour obtenir une pâte de bonne consistance.

  • Poser la pâte chaude sur un tissu propre, une bande de gaze, ou deux feuilles d’essuie-tout.

  • Appliquer bien chaud après avoir contrôlé la température pour ne pas vous brûler. Pour un enfant, soyez doux et prévenant en mettant votre main entre le cataplasme et la peau pour le rassurer. Pour prolonger l’effet de la chaleur, on peut placer une bouillotte par dessus.

  • Laisser en place tant que la sensation est agréable et renouveler 2 à 3 fois par jour, plusieurs jours si besoin. Le lin ne doit être utilisé qu’une seule fois.

Où trouver de la farine de lin : en pharmacie, sous forme déshuilée. On peut aussi moudre des graines ou employer les graines entières. Celles-ci garderont la chaleur plus longtemps grâce à l’huile qu’elles contiennent mais on perdra la qualité de texture que procure la farine.


Cataplasme de plantes fraîches

Cueillir ses plantes au jardin ou en pleine nature est idéal. Dans ce cas, soyez sûr de ce que vous cueillez. Pour profiter des vertus des plantes fraîches, il faut libérer leurs actifs soit en les pilant au mortier, soit en les mâchant directement sans en avaler le jus.

Ensuite, déposez la plante ainsi préparée sur une gaze et appliquez directement à l’endroit désiré. On maintient le tout avec du film étirable, une bande de contention élastique ou un tissu.

On peut également recourir à un liant comme de la farine de lin, de fenugrec, d’orge, de seigle ou du son de blé ou d’avoine avec en proportion ¼ de plante pour ¾ de farine. Idéal pour couvrir les zones étendues ou pour maintenir un peu de chaleur. L’application d’une bouillotte par dessus le cataplasme est aussi une solution utile pour conserver la chaleur.


Cataplasme de plantes sèches



Elles sont souvent plus faciles d’accès car en vente en pharmacie ou en herboristerie. Coupez la plante en petits morceaux puis imbibez-la avec un peu d’eau bouillante. Remuez pour obtenir une pâte.

Appliquer de la même manière que pour la plante fraîche ou en mélange avec un liant.

Quelques plantes utiles :


 Plante
 Partie utilisée  Indications
Achillée millefeuille
(Achillea millefolium)
 Feuilles Plaies ou petites coupures, pour diminuer ou stopper les saignements (propriétés hémostatiques) et accélérer la cicatrisation. On l’appelait l’herbe des charpentiers car ils s’en servaient en cas de blessure importante, souvent causée par un coup de hache !
Armoise
(Artemisia vulgaris)
 Parties aériennes Douleurs de règles : appliquer sur le bas-ventre la plante seule avec une bouillote par dessus ou en mélange avec de la farine de lin.
Bardane
(Arctium lappa)
 Feuilles Peau grasse, eczéma, ulcères, plaies purulentes.
Camomille romaine
(Chamaemelum nobile)
 Fleurs Eczéma, plaie, herpes, démangeaisons.
Carotte
(Daucus carota)
 Pulpe Brûlures légères, coupure peu profonde, inflammation cutanée, eczéma.
Consoude
(Symphytum officinale)
 Feuille ou racine Enflure, fracture, contusions, pour accélérer la cicatrisation des coupures.
Gingembre (Zingiber officinale)  Racine (fraiche) Douleurs articulaires et musculaires, toux grasse, rhumatisme chronique.
Lavande (Lavandula officinalis)  Fleur Brûlures, accélère la cicatrisation et assainit les plaies.
Lierre grimpant (Hedera helix)  Feuille Névralgies, sciatique, cellulite, douleurs musculaires, bronchite.
Mauve (Malvia sylvestris) Fleurs Tout type de démangeaison cutanée.
Plantain (Plantago major) Feuille Cicatrisation des plaies, encombrement respiratoire, piqure d’insecte, conjonctivite.
Souci (Calendula officinalis) Capitule Eczéma, brûlures, égratignures.


Les cataplasmes sont un univers immense et fascinant, et l’on ne peut que regretter que la médecine « officielle » les regarde souvent avec froideur.

Il y a c’est vrai en la matière une longue tradition de mépris. Voyez ce que les rédacteurs de L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert pensaient de l’emplâtre :

« On peut voir, au mot EMPLÂTRE, combien est frivole l'espoir de l'inventeur, qui a prétendu faire de cet emplâtre un remède souverainement résolutif, dessicatif, vulnéraire, cicatrisant, etc. et combien surtout le suc des plantes en est un ingrédient puéril. L'emplâtre opodeldoch n'est donc qu'une composition qui, comme la plupart des autres emplâtres très composés, doit son origine à la charlatanerie et à l'ignorance » [1].

Mais quelle erreur, lorsqu’on observe avec sincérité leurs effets spectaculaires. Les cataplasmes argile/miel/cire d’abeille peuvent soigner des ulcères variqueux avancés et profonds, pratiquement incurables par la médecine traditionnelle, tout comme les cataplasmes de chou, incroyablement efficaces (ils étaient déjà connus des Grecs et des Romains).

Avant de se précipiter sur des crèmes bourrées de toxiques ou des médicaments aux effets secondaires indésirables, il ne coûte rien de vérifier sur Internet s’il n’existe pas un cataplasme adapté à votre problème de santé.

Vous trouverez de nombreuses autres informations dans le dossier spécial Phytothérapie (la médecine par les plantes) publié par Plantes & Bien-Être, qui est offert pour tout nouvel abonnement en cliquant ici.


Santé !

Gabriel Combris










 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
  
 
 
 
 

02/02/2017

C'est la saison des courges...

 

Dans la revue Fémina, j'ai particulièrement apprécié un article de Mme I. Haberfeld s'appuyant elle-même sur les dires de Mme Alina Moyon, docteure en pharmacie et experte en nutrition à Paris. Tout d'abord, je dirais que par souci de non gaspillage et parce que les graines de courge ont des vertus (vitamines et minéraux), il est recommandé de ne pas les jeter. L'idéal est de les rincer et de les blanchir 5 minutes dans de l'eau bouillante, puis de les faire griller rapidement au four ou à la poêle. L'OMS reconnaît l'efficacité des graines de courge sur le bon fonctionnement de la prostate. On peut les manger à l'apéritif ou les ajouter à une salade.

Le potimarron est réputé stimuler l'énergie grâce à la vitamine C , au magnésium, au phosphore et au fer qu'il contient. Il renferme également des substances susceptibles de calmer la nervosité et la déprime. En hiver, qui est avec l'automne sa saison favorite, il active les défenses immunitaires. Il a un goût rappelant la châtaigne. Lui ajouter de la noix muscade ou du cumin pour relever sa saveur. On peut même le consommer en tarte ou avec une salade d'agrumes.

Le pâtisson est moins connu, alors qu'il a un goût subtil d'artichaut. Il renferme de la vitamine A, favorable à la cicatrisation des plaies et à la vision (DMLA). On le cuisine généralement salé avec un peu de matière grasse, du bœuf, du poulet, du saumon ou avec des légumineuses. Quant à la courge Butternut, elle est l'amie des intestins paresseux par ses fibres qui gonflent dans l'estomac. Cuite, on la mange en soupes, en gratin ou en purée. Y ajouter de l'ail ou des herbes de Provence, même si on veut l'accompagner d'agneau ou de bœuf.

Enfin, le potiron, que l'on creuse à l'époque d'Halloween, a un goût sucré et est très léger. Ses vitamines sont particulièrement précieuses pendant la grossesse. A cause du potassium qu'il contient, il est censé réguler la tension artérielle. On le cuisine en crème, en soupe ou en soufflé, marié à du lait de coco ou accompagnant le gibier. Certains cuisiniers en font des muffins ou des crumble.

Bref, dans la famille des courges, nous avons le choix en cette saison de cuisiner des plats succulents à peu de frais! Ne nous en privons pas!

Lyliane

 

30/01/2017

La maladie invisible qui touche 50 % des plus de 70 ans...

            
                                          Chère lectrice, cher lecteur,


C’est l’un des mystères les plus fascinants de la médecine moderne.

La diverticulose est une maladie de l’intestin qui n’existait pas au début du 20e siècle.

J’exagère un peu : elle avait été observée, mais les cas étaient tellement rares qu’on la considérait comme une curiosité médicale, un peu comme les bébés à deux têtes.

Aujourd’hui, 50 % des plus de 70 ans sont touchés, et 30 % des plus de 60 ans !

C’est plus qu’une épidémie. C’est pratiquement une pandémie (une maladie qui touche tout le monde).

En cause, une nouvelle fois, les changements alimentaires et de mode de vie apportés par la vie moderne.

Qu’est-ce que la diverticulose ?

La diverticulose est l’apparition de poches dans l’intestin (hernies), de la taille d’une bille, qui peuvent s’infecter et provoquer des douleurs et des hémorragies (diverticulites). La diverticulite est donc le stade infecté de la diverticulose.

La diverticulose ne se remarque pas. Les médecins disent qu’elle est asymptomatique, c’est-à-dire qu’elle ne déclenche pas de symptômes (comme, par exemple, des douleurs, de l’inflammation, des saignements).

(la suite ci-dessous)

Message spécial de Jean-Marc Dupuis

 

Je ne vais plus à la pharmacie et je me porte bien

Je réalise moi-même et à la maison :

  • mes cataplasmes contre les chocs et les coupures,
  • mes décoctions pour le foie,
  • mes tisanes bien-être, détox et digestion

Et je vais même plus loin : je n’ai plus besoin de me rendre dans les rayons beauté et hygiène des supermarchés. Je me protège des « compositions-poison » en tout genre grâce à des recettes 100 % naturelles à base de plantes que j’ai appris à réaliser ici (lisez cette présentation passionnante, vous apprendrez déjà beaucoup de choses).

Suite de la lettre de ce jour :

En revanche, la diverticulite fait très mal !

Diverticulose et diverticulite sont provoquées par les efforts excessifs que les intestins sont obligés de faire pour évacuer le « bol fécal » chez les personnes qui :

  • passent trop de temps assises ;
  • ne mangent pas assez de fibres ;
  • sont trop stressées ;
  • ne mastiquent pas assez.

Et cela concerne du monde. Cela concerne pratiquement tout le monde actuellement (alors que cela ne concernait personne il y a un siècle…).

Ce qui a changé

Autrefois, il était impossible de ne pas bouger.

Vous pouviez être roi, président de la République, vous étiez obligé malgré tout de monter à cheval, de gravir des escaliers (il n’y avait pas d’ascenseur), de faire un minimum d’effort tous les jours.

Les voyageurs avaient bien des diligences, des carrioles, des carrosses pour les plus riches d’entre eux.

Mais ceux-ci s’embourbaient, se cassaient. Dans les montées, les chevaux peinaient et on descendait pour les soulager. D’autant plus qu’on était tellement ballotté à l’intérieur qu’il était souvent plus confortable d’aller à pied. Il fallait donc toujours, à un moment ou un autre, se bouger.

Or, bien sûr, la marche à pied, les efforts physiques, activent les muscles du ventre, secouent les intestins. Ils contribuent ainsi à faciliter le transit. L’intestin n’est pas tout seul à travailler, à se contracter comme un fou et, à force, à s’abîmer.

Pas de malbouffe au début du 20e siècle

D’autre part, il était impossible de se nourrir de bonbons, de chips, de cochonneries : l’industrie agroalimentaire n’avait pas encore été inventée !

Personne ne passait des heures écroulé dans un canapé à regarder la télé ou des vidéos, à se "nourrir" (le mot n’est pas bien adapté) de sodas sucrés et de malbouffe. Cela n’était pas possible.

Enfin, il était impossible de ne pas mâcher : on mangeait les bas morceaux de viande coriace terriblement durs à mastiquer, des légumes fibreux qui résistaient sous la dent. La nourriture ne ressemblait pas encore à du chewing-gum ou à de la purée.

Les conditions n’étaient donc pas réunies pour attraper une diverticulose.

Des fibres, des noix et des popcorns

La consommation de fibres alimentaires fait baisser le risque de diverticulose. Les fibres, présentes dans les légumes et les fruits (et les végétaux, en général), se gonflent d’eau et rendent la matière digérée plus molle, plus glissante.

Vous trouvez des fibres dans les haricots, les lentilles, les épinards, le son, les amandes, les artichauts, les pruneaux et de nombreux autres aliments sur le site donné en référence [1].

Signalons, par ailleurs, une drôle d’étude publiée dans le très sérieux Journal of the American Medical Association (JAMA) en 2008, qui a montré que consommer des noix et des pop-corns était efficace pour prévenir la diverticulose [2] !

Cependant, une fois que la diverticulite se déclare, il faut, au contraire, diminuer l’apport en fibres pendant trois semaines, le temps que l’inflammation se calme.

On a ainsi le schéma suivant :

diverticulite et diverticulose

Schéma de SOS Cuisine [3]

Que faire en cas de diverticulose

Tout cela est bien beau, me direz-vous, mais que faire si c’est trop tard ? Que faire si l’on a déjà derrière soi des décennies de vie de bureau où l’on est trop resté assis, où on a trop mal mangé, et que les diverticules sont là ?

D’abord, il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Vous pouvez faire de l’exercice et manger plus de fibres. Attention : il ne faut pas augmenter trop rapidement son apport en fibres. L’apport recommandé est de 21 à 38 g pour les adultes. La plupart des gens en consomment bien moins (de 10 à 15 g) et il ne faut pas ajouter plus de 5 g de fibres supplémentaires quotidiennes par semaine.

Pour ajouter 5 g de fibres à votre régime quotidien, choisissez une des options suivantes :

  • un fruit frais et 60 g de légumes ;
  • une portion de céréales à teneur élevée en fibres (le tableau de valeur nutritionnelle devrait indiquer 5 g ou 6 g de fibres par portion) ;
  • 30 g de son d’avoine cru (faire cuire ou ajouter tel quel dans un yogourt, une compote ou autre) ;
  • 2 cuillerées à soupe de son de blé ;
  • 2 cuillerées à soupe de graines de lin moulues ;
  • 50 g de pruneaux séchés ;
  • 2 tranches de pain complet (s’il n’y en a pas déjà à votre menu)
  • 150 g de légumineuses cuites ;
  • 50 g de noix, amandes, noisettes ou autres fruits à coque ;
  • une portion de quinoa cuite.

Il faut, en outre, suivre les conseils habituels pour une alimentation saine : moins de céréales raffinées et aliments industriels, plus de fruits, surtout des petits fruits rouges, des fruits secs, des choux, des légumineuses, des aliments complets.

Enfin, veiller à passer aux toilettes quand c’est nécessaire, sans trop attendre ni se retenir. Mettre un tabouret sous ses pieds pour adopter une position plus proche de la position accroupie, qui facilite l’évacuation des selles et économise les forces des intestins.

Les probiotiques en cas de crise

En cas de crise de diverticulite, réduisez vos apports en fibres pendant trois semaines, puis réintroduisez-les progressivement pendant trois semaines également. Prenez un bon complexe de probiotiques. J’en ai parlé plusieurs fois dans des lettres récentes, en indiquant les marques et les prix des produits que je recommande.

Une étude scientifique a montré l’intérêt des probiotiques suite à une crise de diverticulite [4].

Cela permet de prévenir les récidives.

Attention : les diverticulites peuvent parfois évoluer vers des hémorragies et une péritonite (infection mortelle). Dans ce cas, l’hospitalisation et l’intervention chirurgicale d’urgence constituent le seul traitement.

Cela signifie que l’intestin est gravement touché. La consommation de fibres est alors contre-indiquée pendant au moins deux mois après l’opération. Le médecin qui vous suivra vous dira quand vous pourrez en reprendre.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis "


Sources :

[1] Régime spécial diverticulose et diverticulite

[2] Strate LL, Liu YL, Syngal S, Aldoori WH, Giovannucci EL, « Nut, corn, and popcorn consumption and the incidence of diverticular disease » [archive] JAMA, 2008, 300 : 907-914.

[3] Notre régime pour la maladie diverticulaire (diverticulite et diverticulose) est composé de trois phases

[4] Dughera L, Serra AM, Battaglia E, Tibaudi D, Navino M, Emanuelli G, « Acute recurrent diverticulitis is prevented by oral administration of a polybacterial lysate suspension » [archive, Minerva Gastroenterol. Dietol., 2004, 50 : 149-153.

 
 

27/01/2017

La lèpre existe toujours dans le monde...

 

 

Les 27, 28 et 29 janvier 2017 aura lieu la 64 ème journée mondiale des lépreux. Dans ce cadre, un cycle de conférences sera proposé dans notre pays pour faire le point sur cette maladie, notamment à Paris, Lyon, Pau, Rennes, Nantes et Monaco. Cette maladie tropicale chronique, d'origine bactérienne, n'a hélas pas encore disparu, puisqu'on compte environ 2,8 millions de lépreux dans le monde, dont 20% d'enfants.

C'est une maladie encore répandue dans 14 pays d'Afrique (Bénin, Mali, Congo, Mozambique, Tanzanie, Madagascar...), en Asie (Inde, Népal...) et en Amérique du Sud (Brésil notamment). Mais la lèpre n'est pas une fatalité. Des traitements existent à base de sulfamides, assez onéreux toutefois. Sur place, il faut également lutter sur 3 plans pour éradiquer la lèpre: transmission, invalidité et exclusion. La chirurgie, beaucoup pratiquée autrefois, laisse en effet des traces visibles sur le corps. Actuellement, on la précède souvent de polychimiothérapies. Les médecins de brousse donnent du PCT généralement pour éviter la contagion.

Des Fondations (Raoul Follereau), des Instituts (Pasteur), des Associations (Ordre de Malte) et des Missions religieuses (Soeurs salésiennes...) travaillent efficacement dans ces différents pays grâce aux dons de personnes généreuses de nos pays occidentaux. A Madagascar par exemple, sous l'impulsion de la Fondation R. Follereau, des villages de réinsertion sociale ont été crées pour accueillir d'anciens malades de la lèpre. De même, une ferme à Befoza rassemble une quarantaine d'orphelins, tout en permettant à des familles de travailler sur place et d'alimenter la cantine scollaire.

 

N'oublions donc pas ces nombreux malades de la lèpre et profitons de ces journées internationales pour soutenir l'effort de tous ces mouvements impliqués dans différentes parties du monde.

Pour en savoir plus, contactons sur Internet: www.raoul-follereau.org, www.pasteur.fr et www.ordredemaltefrance.org .

Lyliane

 

25/01/2017

La Commission Européenne et les perturbateurs endocriniens...

Vous êtes l'un-e des 265 891 membres SumOfUs à avoir exigé que nos gouvernements européens rejettent la proposition scandaleuse de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens. Pétition qui a d’ailleurs été citée par plusieurs grands médias, comme Le Monde et Libération, permettant ainsi de maintenir le sujet au cœur de l’actualité.

Et il y a quelques jours, face à l'opposition de quelques gouvernements européens clés, la Commission européenne renonçait à soumettre au vote sa proposition de réglementation. Malgré tous les stratagèmes déployés, elle n’a pas réussi à obtenir de majorité et a donc préféré repousser le vote.

Ce renoncement, c’est le fruit de votre mobilisation !

Un nouveau vote doit avoir lieu dans quelques semaines. Passez donc à la vitesse supérieure en partageant la pétition sur Facebook et par email.

Chaque nouvelle personne que vous mobilisez constitue un énorme pas vers la victoire. Chaque nouveau soutien est une autre voix qui mobilisera à son tour, convaincra ses ami(e)s de signer, et rapprochera ainsi la campagne vers son but ultime : obtenir une interdiction totale et définitive des perturbateurs endocriniens.

EmailTransférez cet email à au moins 5 de vos contacts.

FacebookCliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Partagez la pétition sur Facebook

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ce

 

Milano, 

Vous êtes l'un-e des 265 891 membres SumOfUs à avoir exigé que nos gouvernements européens rejettent la proposition scandaleuse de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens. Pétition qui a d’ailleurs été citée par plusieurs grands médias, comme Le Monde et Libération, permettant ainsi de maintenir le sujet au cœur de l’actualité.

Et il y a quelques jours, face à l'opposition de quelques gouvernements européens clés, la Commission européenne renonçait à soumettre au vote sa proposition de réglementation. Malgré tous les stratagèmes déployés, elle n’a pas réussi à obtenir de majorité et a donc préféré repousser le vote.

Ce renoncement, c’est le fruit de votre mobilisation !

Un nouveau vote doit avoir lieu dans quelques semaines. Passez donc à la vitesse supérieure en partageant la pétition sur Facebook et par email.

Chaque nouvelle personne que vous mobilisez constitue un énorme pas vers la victoire. Chaque nouveau soutien est une autre voix qui mobilisera à son tour, convaincra ses ami(e)s de signer, et rapprochera ainsi la campagne vers son but ultime : obtenir une interdiction totale et définitive des perturbateurs endocriniens.

EmailTransférez cet email à au moins 5 de vos contacts.

FacebookCliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Partagez la pétition sur Facebook

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ces substances dangereuses.

Ces polémiques interviennent à quelques semaines de l'adoption finale des textes réglementaires. C'est le moment d'accentuer la pression pour faire respecter le principe de précaution.

Pouvez-vous partager la pétition sur Facebook et par email afin de nous débarrasser une bonne fois pour toutes des perturbateurs endocriniens?

Cliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Merci pour tout ce que vous faites !
Nabil, Fatah et l'équipe SumOfUs.


Nous avons besoin de tous pour l'atteindre. Chaque voix compte !

https://actions.sumofus.org/a/non-a-la-proposition-scandaleuse-de-la-commission-europeenne-sur-les-perturbateurs-endocriniens/

Merci !



 

 
 
 
 
 

24/01/2017

Faire méditer les enfants...

 

 

Dans le supplément gratuit du quotidien Nice Matin, Version Fémina, un article de Mme N.Coll nous fait savoir que la méditation a désormais la cote chez les enfants et leurs parents. A l'école, dans les centres de loisirs ou à la maison, des enfants du primaire ont été sensibilisés à des méthodes de relaxation et de méditation. Certains d'entre eux prennent par exemple un quart d'heure au moins chaque jour pour écouter un CD de méditation. Des enseignants, des animateurs adaptent dans leurs propositions d'activités des pratiques de méditation de pleine conscience autrefois réservées à des adultes. Cela permet aux enfants de diriger leur attention vers leurs sensations (respiration, bien-être, douleurs éventuelles...), de mieux prendre conscience de leur corps et de leurs pensées, sans objectif de performance.

Depuis la parution en 2012 du best-seller de la thérapeute néerlandaise Eline Snel aux éditions Les Arènes «Calme et attentif comme une grenouille», des méthodes de méditation fleurissent un peu partout en France. On peut commencer la méditation vers 4-5 ans sans rien attendre d'autre qu'un mieux-être global. Certains parents néanmoins ont remarqué que ces séances aident l'enfant à se concentrer en classe. En effet, la réussite scolaire peut être un des bénéfices de ces méthodes: meilleures compétences cognitives, accroissement de la mémoire, capacité d'abstraction plus développée). Beaucoup de jeunes en outre décrocheraient davantage de leurs écrans...

Des chercheurs américains de Harvard au Massachusetts General Hospital ont affirmé que la méditation reconstruisait littéralement la matière grise du cerveau en 8 semaines. Mr Laurent Dupeyrat, auteur avec Mme J. Bernard de l'ouvrage «J'ai RV avec le vent, le soleil et la lune» paru aux éditions de la Martinière, voit aussi beaucoup de parents arriver à la pratique de la méditation par l'intermédiaire de leurs enfants. Ces adultes découvrent peu à peu que cela désamorce le stress.

Dans son ouvrage «Philosopher et méditer avec les enfants», paru aux éditions Albin Michel, Mr Frédéric Lenoir réconcilie en quelque sorte les deux pratiques. Pour le philosophe, en effet, c'est le meilleur moyen de faire appel à l'esprit de tolérance, de développer une vraie qualité d'écoute en donnant aux enfants les outils pour apprendre à réfléchir par eux-mêmes.

Pour en savoir plus sur la méditation avec les enfants, consulter sur Internet: www.enfance-et-attention.org. Pour la technique proposée par Mr Lenoir sous l'égide de la Fondation de France, voir sur Internet le site: www.fondationseve.org.

Lyliane

 

23/01/2017

Suite de l'intervention de IPSN à propos des vaccins obligatoires...

     
  Institut pour la Protection de la Sante Naturelle  
 

Vaccin DTP : le rapporteur soutient l’IPSN !


Chère amie, cher ami,

Lundi 16 janvier 2017 a eu lieu une audience publique historique sur l’affaire DTP au Conseil d’Etat.

L’affaire en bref

Cette séance avait pour but de permettre au rapporteur nommé sur le dossier, de présenter ses conclusions.

Il faut essentiellement retenir qu’il nous a donné raison en recommandant :

  1. Que la décision de la Ministre refusant notre requête soit annulée ;

  2. Que le Conseil d’Etat enjoigne à l’Etat de demander aux laboratoires pharmaceutiques de produire des vaccins qui correspondent à l’obligation vaccinale.

Si la décision du Conseil d’Etat confirmait les recommandations du rapporteur, l’Etat disposerait alors de quatre mois pour demander aux laboratoires de produire une solution adaptée à l’obligation vaccinale.

Mais la décision revient au Président de l’audience publique. C’est à lui de trancher. Sa décision doit intervenir dans les 15 jours. 

Nous ne sommes donc pas encore au bout. Avoir réussi à convaincre le rapporteur est une étape essentielle, voire historique, dans cette affaire mais cela ne suffit pas.

Pour autant, la clarté de son exposé et la fermeté de ses propositions est déjà un motif de satisfaction et de soulagement.

Le Conseil d’Etat a pris au sérieux notre demande et il existe bien une faille juridique dans la mise en œuvre de l’obligation vaccinale aujourd’hui.

Afin de marquer votre soutien au rapporteur et de montrer aux autorités votre détermination dans ce qui reste, malgré les bonnes dispositions du rapporteur, unscandale d’Etat, n’hésitez pas à continuer à signer notre dernière pétition sur le sujet et à la faire circuler.

Pour vous permettre de saisir parfaitement les enjeux et les étapes de cette affaire,je vous propose ci-après un compte-rendu plus détaillé de ce qui s’est passé au Conseil d’Etat.


Bonne lecture,

Augustin de Livois

PS : Pour ceux qui seront des nôtres ce soir, nous pourrons aborder le sujet à l'issue de notre conférence. Vous trouverez également le programme complet des prochaines conférences ici. A tout à l'heure !

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Séance publique au Conseil d’Etat

Lundi 16 janvier 2017


Les étapes jusqu’à l’audience

En résumé, il y a eu trois étapes jusqu’à présent :

1. A la suite de notre pétition avec le Pr Henri Joyeux, l’IPSN a proposé aux personnes qui le souhaitaient de lancer une requête auprès de la Ministre de la Santé. 2300 citoyens ont répondu à l’appel et mandaté Maître Bergel-Hatchuel pour mener cette action. C’était le 13 novembre 2015.

2. La Ministre n’a pas répondu à notre requête dans le délai qui lui était imparti. Cela équivaut à une décision de refus. La date retenue pour ce refus est le 12 février 2016, date d’expiration du délai dont elle disposait pour répondre.

3. Nous avons saisi le Conseil d’Etat qui a ouvert le dossier, nommé un rapporteur et organisé une audience publique (le 16 janvier 2017). Dans le cadre de cette procédure, nous avons envoyé un mémoire de réplique à la Ministre que vous retrouverez ici (ainsi que le détail du travail de notre avocate ici).

Les arguments des requérants

Maître Bergel-Hatchuel, dans sa requête avait mis en avant trois arguments juridiques :

1. Le principe de précaution Souvent invoqué dans les questions environnementales, ce principe aurait dû être appliqué. En effet, l’Etat a laissé se mettre en place une situation où les parents, pour vacciner leurs nourrissons et se conformer à leur obligation vaccinale, n’ont d’autre choix que de recourir à un « super vaccin » qui contient de l’aluminium mais aussi le vaccin hépatite B, très controversé. Sur l’aluminium, les scientifiques ne sont pas d’accord. Le Pr Romain Gerardhi par exemple, a démontré que l’aluminium dans les vaccins pouvait présenter des risques pour la santé [1].

2. La vente liée En obligeant de fait les patients à avoir recours à un « supervaccin », l’Etat valide une « vente liée » des laboratoires, ce qui interdit en France. Ces derniers vendent trois vaccins de plus que ceux préconisés dans le cadre de l’obligation vaccinale. Au passage, ce glissement de trois à six vaccins au fil des années a permis une augmentationsensible du prix (x5).

3. La non-assistance à personne en danger Dans la mesure où la Cour de Cassation a jugé, par deux fois, qu’il pouvait exister un lien entre administration du vaccin hépatite B et apparition de la sclérose en plaques, Le danger potentiel de ce vaccin est acté officiellement.

Dès lors, laisser les citoyens s’exposer en utilisant un « hexavalent » à un risque grave potentiel s’apparente à de la non-assistance à personne en danger.

La réponse du rapporteur

En substance le rapporteur n’a pas repris tous nos arguments. Il n’en n’a même retenu qu’un seul.

Il a estimé que le principe de précaution ne pouvait s’appliquer qu’aux questions de santé liés aux problèmes environnementaux dans lequel n’entre pas la vaccination.

Il a écarté la question de la non assistance à personne en danger.

Enfin, il n’a pas préconisé de prendre en compte la question de l’aluminium dont, il a rappelé que « en l’état des connaissances actuelles » on ne pouvait pas dire qu’il présentait un danger pour les personnes vaccinées.

Cet « état » laisse une porte ouverte pour l’avenir et pour d’autres actions. En effet, la science évolue sur ce sujet ainsi qu’en attestent les travaux du Pr Romain Gerardhi ou du Dr Christopher Exley au Royaume-Uni.

Le fait que le rapporteur n’ait pas retenu tous les points que nous avions soulevés n’est pas fondamental.

Ce qui compte est que le rapporteur a recommandé que soit annulée la décision de refus de la Ministre et donc validé le principe de notre requête.

Voici ses arguments :

1. Il existe une discordance entre l’obligation vaccinale et l’impossibilité de la mettre en œuvre qui conduit à « une situation d’illégalité ».

2. La Ministre avait tous les moyens directs ou indirects, via les administrations sous la tutelle du Ministère de la Santé, de demander aux laboratoires pharmaceutiques de produire des vaccins correspondant à la vaccination obligatoire.

3. Il existe une différence entre vaccins obligatoires et recommandés.

L’obligation pour des parents de faire vacciner leurs enfants avant 18 mois est assortie d’une peine d’emprisonnement (6 mois). C’est une obligation lourde.

Juridiquement, les deux situations sont donc très différentes.

Et ainsi, obliger (sous peine de prison) des personnes à opter pour des vaccins recommandés ne permet pas de respecter le libre consentement du patient, garanti par la loi et nos libertés fondamentales.

Cette dernière déclaration est essentielle.

C’est évidemment sur ce terrain qu’il faut continuer à entreprendre des actions dans le domaine de la santé que ce soit par rapport aux vaccins ou d’autres traitements imposés.

Aucun Etat n’a le droit de s’arroger la possibilité de choisir comment ses citoyens doivent être soignés sans que ces derniers ne donnent leur consentement collectif et individuel.

S’il est possible d’envisager des exceptions à ce principe : épidémies, catastrophes sanitaires etc., il paraît nécessaire que ces exceptions soient très rigoureusement encadrées.

Bien au-delà de la question médicale et scientifique s’est donc posée la question du respect des libertés fondamentales des citoyens.

Dans un pays démocratique, le rôle des juges est de rendre la justice mais aussi de veiller aux libertés des citoyens (notamment face aux éventuels abus du pouvoir exécutif). En ce sens le rapporteur a parfaitement joué ce rôle. Espérons que son Institution ira dans le même sens que lui.

Nous attendons avec impatience la réponse définitive dans 15 jours et vous tiendrons informés, bien entendu.

21/01/2017

A quoi ressemble le petit-déjeuner idéal selon des nutritionnistes?

 


À l'Université de Kansas pour la diététique et la science de la nutrition, des chercheurs ont publié une étude en février 2010 démontrant qu'un petit-déjeuner doit être 
riche en protéines

Moins de glucides et plus de protéines augmentent l'énergie, diminuent la sensation de faim au cours de la journée, sans pour autant augmenter le nombre de calories absorbées pendant la journée. En effet, les calories supplémentaires consommées lors d'un riche petit-déjeuner sont compensées par une baisse égale des calories aux autres repas, sans même que vous vous en aperceviez. Vous n'avez donc à faire aucun effort. 

De plus, remplacer les glucides par de 
bonnes graisses réduit encore la hausse de la glycémie (taux de sucre dans le sang) et accroît la sensation de satiété, réduisant les fringales et donc le grignotage pendant la journée. 

Un bon petit-déjeuner doit donc contenir un apport conséquent de protéines et de bonnes graisses. Il est hautement recommandé d'y incorporer des aliments comme des œufs, omelette, avocat, tranche de saumon, de jambon, olives, fromage de brebis, noix, amandes et autres fruits à coque, ou encore des crudités avec de la vinaigrette. 

Santé ! 

Gabriel Combris

 

20/01/2017

L'attitude de certains médecins dénoncée par un confrère...

Dans son dernier ouvrage «Les Brutes en blanc», paru aux éditions Flammarion, le Dr Martin Winckler, exilé au Canada, remet en question une certaine médecine française... Le Journal Nice-Matin du 25/12/2016 publie l'interview de ce généraliste par Mme S. Douet.

Mr Winckler a bien conscience du titre provocateur de ce livre. Le texte l'est tout autant, puisqu'il présente certains médecins comme «intrusifs, autoritaires, racistes, sexistes et homophobes». Cet ouvrage s'appuie sur des témoignages vécus par certains patients. Ils reprochent notamment à leurs praticiens de les faire attendre sans même s'en excuser et du peu d'écoute qu'ils leur accordent. Ne réalisent-ils pas, demande Mr Winckler, que lorsqu'on consulte, on est inquiet pour sa santé et on se sent vulnérable?

Selon l'auteur du livre, l'attitude de certains médecins paraît liée à leur formation médicale longue et coûteuse qui leur donnerait l'impression d'être supérieurs aux autres. Préjugé de classe sociale, savoir qu'ils ne souhaitent pas partager, les questions sont posées... Leur manque de respect s'apparenterait parfois même à de la «maltraitance médicale»...

Selon Mr Winckler, proposer à de futurs médecins de payer leurs études en échange de leur engagement de s'installer à la campagne résoudrait en bonne partie la question des déserts médicaux. Concernant la suppression éventuelle de l'AME, il pense que cela ne ferait que renforcer les inégalités en matière de santé et laisser proliférer des maladies dangereuses pour tous. La Loi Léonetti sur l'euthanasie est jugée «paternaliste», car le plus souvent les décisions médicales l'emportent sur les décisions individuelles. Enfin, il rappelle que des salles de shoot existent au Canada, ce qui lui semble un bon moyen d'accompagner les toxicomanes, déjà fort marginalisés. La France n'en possède qu'une à Paris.

Bref, le constat est sans doute sévère et il ne s'applique qu'à certains praticiens, mais se remettre en question ne peut pas faire de mal... Pour une fois que les patients peuvent livrer leurs états d'âme, saluons ce livre provenant de l'intérieur de la profession!

Lyliane

 

17/01/2017

Des nouvelles et des RV pour les adeptes de la Santé naturelle...


1. Audience au Conseil d’Etat sur le “vaccin DTP”, Paris
Ce sera à 14 heures en audience publique, les chambres 1 et 6 du Conseil d’Etat se réunissent pour délibérer sur la requête que nous avions formulée avec 2500 mandataires auprès de la Ministre de la Santé. Il est possible que la décision rendue soit historique.J’attends en tout cas ce moment avec beaucoup d’émotion. Espoir et crainte sont mêlés. L’impatience est à son comble ! J’y serai naturellement… Et vous ferai un compte rendu détaillé de ce qui s’est passé.
Vous pouvez encore signer notre grande pétition sur le sujet ici.



2. Conférence sur la bonne humeur, Professeur Michel Lejoyeux
C’est jeudi 19 janvier à 19h30 à la Maison des Associations (10 rue des terres au curé, 75013 sur le thème “Les 4 saisons de la bonne humeur”
Informations et inscriptions ici.



3. Conférence sur l'eau, Thibault Geluyckens 
Le 26 janvier prochain a lieu une conférence sur l’eau à Paris (104, rue de Vaugirard, 75006) avec Thibault Geluyckens, spécialiste du sujet.
Informations et inscriptions ici.



4. Les Journées du Microbiote, Louvain-la-Neuve
N’oubliez pas de vous inscrire aux Journées du Microbiote à Louvain-la-Neuve (Belgique) qui commencent le 11 février prochain.
Informations et inscriptions ici.



5. Les Académies de Santé Naturelle, Aix les Bains
A Aix les Bains, du 10 au 12 mars 2017, auront lieu les Académies de Santé Naturelle. L’IPSN est partenaire de cet événement de qualité auquel je me rends tous les ans. A “l’affiche” cette année, le Docteur Michel de Lorgeril parlera des maladies cardiovasculaires et comment les éviter.
Informations et inscriptions ici.



6. Congrès de Psychologie, Lyon
Enfin, se tiendra à Lyon, un intéressant congrès de psychologie les 18 et 19 mars prochains, auquel j’assisterai et dont l’IPSN est partenaire.
Informations et inscriptions ici.



Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

15/01/2017

L'argile, un bienfait pour la peau et les cheveux...

 

 

Tout le monde connaît l'utilisation de l'argile appliquée en cataplasme sur la peau en cas de plaie, de tendinite ou de brûlure. Elle s'emploie alors en poudre ou sur une bande imprégnée d'argile. Certains la boivent même après une nuit passée à se déposer dans l'eau d'un verre, afin de détoxiquer l'organisme.

L'argile est en effet une substance minérale, sans aucun produit chimique, qui forme une pâte au contact de l'eau ou qui peut s'utiliser pure. On connaît ses propriétés depuis des temps immémoriaux. Les animaux sauvages eux-mêmes savent se rouler dans la terre au bord des étangs ou des lacs pour soigner leur peau ou panser leurs blessures.

Les argiles les plus répandues sont le kaolin, le rassoul (argile volcanique du Maroc), la boue de la Mer Morte (contenant du magnésium) et l'argile verte. Utilisée en cosmétique (masque sur la peau ou la chevelure), l'argile absorbe l'excès de sébum, purifie la peau en profondeur et se révèle adoucissante. Le charbon activé par contre est plutôt un simple nettoyant cosmétique ou médical.

La poudre est bon marché. Elle peut se mélanger à de l'eau ou à des gouttes d'huiles essentielles. Les argiles blanches sont décongestionnantes, les vertes absorbent bien le sébum, alors que l'argile rose ou jaune est très douce. Le kaolin convient aux peaux grasses; le rassoul va avec tous les types de peaux et de cheveux.

On applique l'argile une à deux fois par semaine en masque que l'on laisse 10 à 15 minutes. La peau bien rincée, appliquer ensuite une crème ou un sérum. Pour les cheveux gras, choisir de poser des masques sur le cuir chevelu principalement. De nombreuses marques proposent des masques à l'argile, depuis l'Oréal et Vichy à Cattier, Argiletz ou Fleurance.

Bref, purifiante et reminéralisante, l'argile cosmétique pure ou associée à d'autres composants (l'alantoïne, le zinc ou l'huile de noyaux d'abricot, de raisin ou d'avocat) est abordable, naturelle et convient à tous. Pour en savoir plus, consulter les nombreux ouvrages consacrés à l'argile ou par exemple sur Internet le site www.sos-detresse.fr .

Lyliane

 

14/01/2017

Eliminons les métaux lourds...

 

Sous ce titre, le docteur J.P. Willem publie un article dans la revue gratuite Biocontact de janvier 2017. Il exprime tout d'abord le fait que le terme de «métaux toxiques» serait plus approprié. Il cite notamment l'aluminium(Al), le plomb (Pb), le mercure (Hg), l'arsenic (As), le cadmium (Cd), le nickel (Ni), le zinc (Zn), le manganèse (Mn)  et le brome (Br) qui sont les plus connus. Nous empoisonnons en effet notre organisme depuis des générations sans même nous en douter...

L'aluminium est utilisé industriellement et nous en ingérons de 20 à 160 mg par jour. L'eau du robinet, les produits alimentaires non bio, certains légumes comme les champignons, les produits laitiers, les saucisses, les coquillages, les farines, le cacao etc... en contiennent souvent. On le retrouve sous forme d'additifs, de colorants, d'anticoagulants, dans le sel raffiné, les viennoiseries et le fromages industriels... Boîtes de conserves, canettes de bière, cosmétiques, dentifrices, produits emballés dans du papier alu, médicaments, vaccins comportent des doses 50 à 80 fois supérieures aux normes européennes admises (15 microgrammes par litre). L'aluminium est toxique pour le cerveau.

Le cadmium se trouve souvent dans les rejets de la métallurgie, certaines peintures, les pesticides, les fumées de cigarettes... Les fruits de mer et le poisson peuvent en contenir. L'emphysème, la bronchite chronique, certains cancers, les maladies cardiovasculaires, l'ostéoporose peuvent en résulter. Quant au mercure, il est partout: dans l'eau, dans l'air et dans les sols. Les centrales électriques, les chaudières à charbon, les incinérateurs, les poissons et surtout les amalgames dentaires intoxiquent la population française. Insomnies, maux de tête, mycoses, irritabilité, vertiges, troubles neurologiques comme la sclérose en plaques notamment peuvent en résulter. Le plomb en ce qui le concerne est un ennemi du système nerveux et donne une maladie nommée saturnisme. Gaz d'échappement, conduites d'eau anciennes...sont souvent à l'origine de cette pollution.

Pour éliminer les métaux lourds, des produits naturels sont à notre disposition: la chlorelle (une algue verte aussi nommée chlorella), l'ail des ours par son sélénium, la coriandre pour une détox par la peau et les poumons et le charbon végétal (draineur général) notamment. Persil, chlorure de magnésium et argile verte peuvent aussi agir pour nous détoxiquer. Les dentistes sont aujourd'hui habitués à ôter les amalgames dentaires toxiques. Pour en savoir davantage sur le sujet, lire l'ouvrage du DR J.P. Willem: Les dégâts des métaux lourds, publié en 2014 chez G. Trédaniel. Le site du Dr Willem est: www.docteurwillem.fr.

Lyliane

 

13/01/2017

A propos de la dégénérescence maculaire liée à l'âge ou DMLA...

 

 

La DMLA est une maladie dégénérative de la rétine d'évolution chronique, qui débute généralement après 50 ans. Elle vient d'un vieillissement trop rapide de la macula. Il faut savoir en effet que cette maladie touche sélectivement la région maculaire, c'est à dire la région centrale de la rétine, entraînant progressivement la perte de la vision centrale, en laissant intacte la plupart du temps la vision périphérique ou latérale. Au début souvent seul un œil est atteint. Il y a 1 million de français qui souffrent de DMLA et 25 millions de personnes touchées par la maladie dans le monde.

La rétine tapisse la partie postérieure de l'oeil et transforme les images reçues en signaux nerveux qu'elle transmet au cerveau via le nerf optique. La macula occupe une petite surface de la rétine (diamètre d'environ 2 mm). Elle est riche en cellules visuelles responsables de l'acuité et de la vision des couleurs. Il existe deux formes évolutives de DMLA, la forme atrophique (sèche), la plus fréquente, et la forme exsudative (humide) où il se forme de nouveaux vaisseaux sur la rétine, gênant la vision. C'est une maladie considérée comme non héréditaire qui touche actuellement chez nous une personne sur 3 de plus de 75 ans.

Dans tous les cas, un diagnostic précoce permet une meilleure prise en charge de la maladie. Une Association de patients nommée Rétina France mène une campagne de prévention depuis 2015. Elle propose notamment un test sous forme de grille (l'Amsler) pour détecter un début de DMLA. Des spécialistes en ophtalmologie peuvent ralentir, voire stopper, l'évolution d'une DMLA en intervenant rapidement. Ils proposent souvent à leurs patients, dans des Centres de la Rétine installés dans des grandes villes, des injections sous anesthésie locale dans l'oeil affecté de DMLA. Ce traitement est rapide et il n'est pas douloureux. Ces piqûres se font en principe au rythme d'une fois par mois pendant trois mois. Une surveillance ultérieure est ensuite proposée aux patients.

La recherche médicale s'active pour trouver de nouveaux traitements. Au Royaume-Uni des interventions avec un implant rétinien nommé Argus ont été tentées chez des patients atteints de DMLA sèche. Au Japon, on attend beaucoup de cellules souches embryonnaires ou IPS. En médecine naturelle, il est conseillé d'utiliser des Oméga 3 avec de la DHA...

Pour en savoir davantage, consulter le site Internet: www.dmlainfo.fr .

Lyliane

 

Pétition de la santé Naturelle à propos des 11 vaccins désormais obligatoires...


 

Vacciner ou instruire, il faut choisir !

 

 Chère amie, cher ami,

A la suite de notre grande pétition de 2016 demandant le retour du vaccin DTP, Marisol Touraine avait décidé de proposer au public de participer à une « concertation citoyenne ».

La concertation a eu lieu.

Le comité de vaccination qui la présidait a rendu son rapport le 30 novembre. Il est édifiant !

Il préconise de rendre obligatoires 11 vaccins pour les nourrissons et propose, pour ceux qui s’y refusent, de ne plus les laisser accéder aux services publics collectifs !

En clair, pas de vaccin, pas d’école !

Si personne ne réagit, ce chantage des autorités, suffisamment grave en soi pour être souligné et susciter la colère, n’est rien à côté du plan d’action que pourraient mettre en œuvre les autorités afin de vous imposer ces vaccins (dont certains sont largement controversés).

Pour ma part, je tiens à rappeler que la position de l’IPSN est très claire : nous ne remettons pas en cause la vaccination en tant que telle, mais le fait qu’elle s’impose à tous obligatoirement. Le contrevenant s’expose à des peines de prison !

Si ces vaccins étaient absolument sûrs, cela ne serait peut-être pas un problème. Mais ce n’est pas le cas. Le rapport le dit lui-même. Et c’est, du reste, la principale raison pour laquelle il existe une défiance du public.

Une réponse à la défiance du public

La première chose rappelée est que toute cette activité du gouvernement a été mise en place pour répondre à la méfiance grandissante des Français vis-à-vis des vaccins. En effet, la première phrase du rapport précise :

« Il existe en France une relative défiance à l’égard de la vaccination, qui se traduit par une couverture insuffisante pour certains vaccins, susceptible de conséquences infectieuses graves »

Les autorités ont peur que vous ne soyez pas vaccinés.

Et, afin de vous rassurer, le rapport précité veut que l’Etat ne lésine pas sur les moyens. Il préconise d’emblée un plan d’action en faveur des vaccins englobant une série de mesures « toutes indispensables pour rétablir la confiance ».

En regardant de près ce qui est proposé, on s’aperçoit que ces mesures risquent de provoquer l’exact contraire de ce pourquoi elles seraient mises en place.

Surtout, en lisant entre les lignes, on peut voir une volonté très nette de la part des concepteurs de ce plan de reprendre complètement en main le dossier « vaccin » en exerçant un contrôle absolu sur les populations.

Le simple fait d’avoir mis en balance l’accès à l’école et la vaccination des enfants paraît invraisemblable. Et le fait que cette proposition émane d’un rapport commandé par l’Etat est inadmissible !

J’ai repris ci-après les mesures proposées par le rapport (en vert) que je vous ai commenté (en noir). Vous allez voir que le plan proposé est à la fois très cohérent et terrifiant.

On peut classer les propositions en trois catégories :

  • les vœux pieux pour rassurer les citoyens,

  • le contrôle absolu de l’information,

  • le contrôle resserré de l’application des mesures préconisées.

Il est à noter avant tout que toutes ces mesures existent déjà. Les propositions ne visent en réalité qu’à les renforcer.

Les voeux pieux

  • Ecoute des populations et des professionnels

Cela ne mange pas de pain.

En attendant, il est très rare que des médecins reconnaissent le lien entre un vaccin et un effet secondaire constaté par les rapports.

Il est tout aussi rare qu’un médecin interroge son ARS sur les réactions aux vaccins qu’il constate au sein de son cabinet. Il sait qu’il risque d’être dénoncé à l’Ordre ou à la sécurité sociale. Cette proposition est un vœu pieux.

Les médecins, rappelons-le, sont rémunérés pour certains actes vaccinaux (par exemple, le vaccin contre la grippe). Par ailleurs, chez les nourrissons, les vaccins représentent un tiers du revenu des pédiatres. L’information vient d’un rapport de la Cour des Comptes de 2012.

C’est assez dissuasif, non ?

Imaginez une épicerie. Si un tiers des revenus vient d’un seul produit, pensez-vous que le commerçant souhaitera remettre en cause la vente de ce produit ? La comparaison peut paraître triviale. Mais le soignant, autant que le commerçant, a besoin de vivre. Ce type de considération peut jouer sur le dialogue et l’écoute.

  • Transparence de l’information et des experts

Il serait temps. Mais est-ce crédible ?

Le Président du Comité de Vaccination qui a rédigé un rapport [1], le Pr André Fisher, a lui-même été récompensé pour son travail scientifique par les laboratoires. Cela n’est indiqué nulle part dans le rapport, ni sur le site de la consultation citoyenne.

Par ailleurs, les données des études menées dans le cadre de la vaccination restent entre les mains des grands laboratoires pharmaceutiques.

Enfin, les formules-même des vaccins et les étapes de leur fabrication – qui relèvent du secret industriel – ne sont pas accessibles au grand public. Vouloir la transparence, quand on sait qu’elle est impossible, est-ce de l’hypocrisie, de l’escroquerie ?

Le contrôle absolu de l’information

  • Diffusion à partir d’un site unique et connu de tous d’informations validées par un collectif d’experts indépendants

C’est parfait : une seule source d’information validée par quelques-uns...pour tous ! Et comment va-t-on appeler ce nouveau média « indépendant » ? Je propose la “pravdadesvaccins.com

La seule manière d’assurer une information complète sur un sujet est de favoriser la multiplicité des sources et des avis. C’est comme en démocratie : avoir un parti unique met tout le monde d’accord, mais n’est pas nécessairement représentatif de la réalité des intentions de vote !

  • Formation des professionnels de santé

En effet, dès lors que l’on contrôle l’information, il est bon également de contrôler la formation de ceux qui doivent l’appliquer. C’est cohérent.

Les professionnels de santé seront-ils également formés à corriger les effets secondaires des vaccins ? Car il faut savoir que c’est possible en homéopathie, à travers une série de médicaments que l’on appelle des isothérapiques (qui ne servent pas que pour les vaccins).

  • Sensibilisation des médias

Qu’ils se rassurent, les médias sont déjà unanimes. Aucun grand média national ne propose une réflexion sur la question de la vaccination obligatoire.

Cela dit, nul ne saurait maîtriser la communication sur un sujet sans s’être d’abord assuré du soutien des médias.

Restent les réseaux sociaux et les médias indépendants !

Le contrôle de l’exécution

  • Implication de l’école

Evidemment. Si on ne peut plus passer par les parents, passons par les professeurs et les infirmières d’écoles ! Mais quel directeur d’établissement serait assez fou pour accepter de prendre le risque de faire des campagnes de vaccination au sein de son propre établissement ? Il sait qu’il serait automatiquement responsable de tout effet secondaire qui pourrait survenir dans ses locaux. C’est la loi. Cela a été rappelé de manière très argumentée par l’association UNACS, dans une lettre adressée aux chefs d’établissements.

Sans compter qu’il y a peut-être d’autres priorités pour les écoles que d’être des centres de vaccination !

  • Facilitation de la pratique de la vaccination

Derrière cette idée, il y a surtout une question financière. La vaccination doit être gratuite pour tous et rémunératrice pour ceux qui la pratiquent.

C’est en effet un moyen efficace de convaincre les gens : c’est gratuit !

Mais si un produit est bon, faut-il vraiment mettre en œuvre des budgets publics – on parle de vos impôts, rappelez-vous – pour qu’il se diffuse?

Personne, dans le fond, n’a envie « d’attraper » la poliomyélite, la diphtérie ou le tétanos !

Ainsi la majorité des gens sont favorables à la vaccination, surtout contre de telles maladies. Mais lorsqu’elle est proposée avec un revolver sur la tempe, les patients ont du mal à se dire qu’on ne leur veut que du bien. Faut-il leur en vouloir?

  • Suivi par le carnet de santé électronique

Il n’y avait pas de raison de ne pas chercher à impliquer les nouvelles technologies dans le débat. Le suivi électronique est très pratique. Il est aussi très sûr pour la personne qui surveille !

  • Programme de recherche sur la vaccination

C’est la dernière pierre à l’édifice : en contrôlant la recherche, on est certain de garder la main sur l’argument central martelé par tous les médias : “les chercheurs l’ont dit, les vaccins sont sûrs. Acceptez donc qu’ils soient obligatoires, c’est pour votre bien et celui de vos enfants !”

Si ce plan venait à s’appliquer, nous n’aurons plus beaucoup d’espaces où dire nos doutes, nos inquiétudes par rapport à un acte médical qui, comme tous les autres, n’est jamais totalement anodin.

Pas de vaccin, pas d’école !

Je reconnais avoir été particulièrement choqué par ce que le rapport nomme “clause d’exemption” pour l’école et les crèches.

Les citoyens ne souhaitant pas voir leur enfant soumis à 11 vaccins obligatoires devront signer un papier actant leur renoncement à accéder à la crèche et à l’école.

C’est le principe même de l’ostracisme !

Chez les grecs de l’Antiquité, à Athènes notamment, l’ostracisme était une sanction prononcée à l’encontre d’un citoyen qui était banni de la ville pendant 10 ans.

Comme cela a déjà été fait par le passé, on crée d’un coup des citoyens de seconde catégorie :

  • comme les huguenots sous Louis XIV, qui dûrent s’exiler lorsque l’édit de Nantes fut révoqué. Etre protestant dans le royaume était devenu interdit ;

  • comme les juifs, sous l’occupation allemande, à qui l’Etat français imposa le port de l’étoile jaune.

Nous sommes en 2017. Comment peut-on encore en arriver à de telles propositions ?

Il ne faut pas sous-estimer la gravité des attaques contenues dans ce rapport.

Rappelez-vous que les pires atrocités ont souvent été commises après avoir été annoncées. On savait ce qu’il y avait dans le programme d’Hitler, lorsqu’il a été élu. On sait aujourd’hui ce que veulent nous imposer les autorités à travers ce rapport.

Vous me direz ce n’est pas la même chose, ce n’est pas un état armé, etc., etc.

Mais mettre en balance l’accès à l’école en échange de la vaccination obligatoire est en réalité très violent. Vouloir utiliser tous les moyens actuels dont dispose l’Etat pour imposer une politique de santé à l’ensemble de la population (propagande, fonctionnaires, sécurité sociale, répression…) est aussi violent. 

C’est la raison pour laquelle, j’ai lancé un appel à signer une nouvelle pétition à destination des autorités pour faire opposition à ce rapport et aux propositions scandaleuses qu’il contient.

Et croyez-bien que l’étendue de votre mobilisation sera déterminante pour faire reculer les autorités.



N’hésitez pas ! Signez et faites signer notre grande pétition !

Nous sommes déjà plus de 300 000 citoyens à nous indigner contre ces mesures totalitaires !

La pétition est disponible ici :

http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php



Vous pouvez retrouver notre argumentaire complet sur notre site :

http://www.ipsn.eu/actualites/petition-france-bientot-11-vaccins-obligatoires/

 

Je compte sur vous !

Un immense merci d’avance !

 

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois





  




 

Sources : 

[1] Rapport de la concertation citoyenne sur la vaccination


Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
Association loi 1901 sans but lucratif
21 rue de Clichy
75009 PARIS
www.ipsn.eu


 
 
 

11/01/2017

Personnes stressées, les médecines douces peuvent vous aider!

 

 

Le stress est une réaction d'adaptation de l'organisme face à un événement perturbateur. Il peut stimuler nos ressources ou nous laisser être dépassés par la situation. Pour traiter le stress, un allopathe prescrit généralement des médicaments tels des anxiolitiques. Un homéopathe, nous dit le Dr A.C. Quemoun, docteur en pharmacie, interviewé dans la revue Fémina par Mme Lise Bouilly, observe le comportement de la personne pour savoir si elle est plutôt inhibée ou hyperactive. Les granules prescrites (2 ou 3 à chaque prise) seront à prendre sous la langue 3 fois par jour jusqu'à amélioration des symptômes. Les doses se prennent en une seule fois sous la langue aussi.

En cas d'émotion forte ou de mauvaise nouvelle vécue comme un choc psychique, on prend généralement une dose d'Arnica en 15 CH, associée ou pas à Gelsémium en 9 CH. Si la personne est très agitée, lui donner des granules d'Argentum Nitricum en 9 CH; mais si elle se replie sur elle-même choisir plutôt Sépia en 9 CH. Lorsqu'on vit une colère rentrée et que des maux de ventre se déclenchent, opter pour Staphysagria en 15 CH. En cas de spasmes intestinaux et de constipation, prendre des granules de Magnesia Muriatica en 9 CH associées ou pas à Colocynthis en 9 CH.

Certaines personnes grignotent lorsqu'elles sont stressées ou sont sevrées de tabac. Elles peuvent prendre Anacardium Orientalis en 9 CH et Antimonium Crudum en 9 CH, si le stress décuple leur appétit. Ignatia en 9 CH sera plus indiqué si la personne a comme une boule dans la gorge ou au plexus. Des trous de mémoire peuvent être combattus par des granules de Kalium Phosphoricum en 9 CH ou de Phosphoricum Acidum en 9 CH si cela s'aggrave avec l'âge. Une teinture-mére de Gingko Biloba (20 gouttes 3 fois par jour) ou de gélules du même produit sont susceptibles de favoriser l'oxygénation du cerveau.

Si le stress est plus marqué la nuit, Arnica en 9 CH peut aider à s'apaiser. Lorsque des soucis contrarient l'endormissement, Luesinum en 9 CH peut être testé. Des plantes comme la Valériane ou la Passiflore en infusions sont également sédatives. Les traumatismes musculaires relèvent plus d'Ignatia en 9 CH, de Gelsémium en 9 CH ou d'Arnica en 9 CH et d'Eupatorium perfoliatum en 5 CH... En cas de trac avec transpiration importante, des granules de Crataegus Oxyacanta en 9 CH sont indiquées.

 

Pour en savoir plus, lire l'ouvrage du Dr Quemoun aux éditions Leduc S.

intitulé "Guérir le stress et l'anxiété avec l'homéopathie".

Lyliane

 

10/01/2017

Vacciner ou instruire, il faut choisir !


 

 
 
 
 
 
 
   
 
 
 
 
 
 

     
  Institut pour la Protection de la Sante Naturelle  
 

Vacciner ou instruire, il faut choisir !

Chère amie, cher ami,

A la suite de notre grande pétition de 2016 demandant le retour du vaccin DTP, Marisol Touraine avait décidé de proposer au public de participer à une « concertation citoyenne ».

La concertation a eu lieu.

Le comité de vaccination qui la présidait a rendu son rapport le 30 novembre. Il est édifiant !

Il préconise de rendre obligatoires 11 vaccins pour les nourrissons et propose, pour ceux qui s’y refusent, de ne plus les laisser accéder aux services publics collectifs !

En clair, pas de vaccin, pas d’école !

Si personne ne réagit, ce chantage des autorités, suffisamment grave en soi pour être souligné et susciter la colère, n’est rien à côté du plan d’action que pourraient mettre en œuvre les autorités afin de vous imposer ces vaccins (dont certains sont largement controversés).

Pour ma part, je tiens à rappeler que la position de l’IPSN est très claire : nous ne remettons pas en cause la vaccination en tant que telle, mais le fait qu’elle s’impose à tous obligatoirement. Le contrevenant s’expose à des peines de prison !

Si ces vaccins étaient absolument sûrs, cela ne serait peut-être pas un problème. Mais ce n’est pas le cas. Le rapport le dit lui-même. Et c’est, du reste, la principale raison pour laquelle il existe une défiance du public.

Une réponse à la défiance du public

La première chose rappelée est que toute cette activité du gouvernement a été mise en place pour répondre à la méfiance grandissante des Français vis-à-vis des vaccins. En effet, la première phrase du rapport précise :

« Il existe en France une relative défiance à l’égard de la vaccination, qui se traduit par une couverture insuffisante pour certains vaccins, susceptible de conséquences infectieuses graves »

Les autorités ont peur que vous ne soyez pas vaccinés.

Et, afin de vous rassurer, le rapport précité veut que l’Etat ne lésine pas sur les moyens. Il préconise d’emblée un plan d’action en faveur des vaccins englobant une série de mesures « toutes indispensables pour rétablir la confiance ».

En regardant de près ce qui est proposé, on s’aperçoit que ces mesures risquent de provoquer l’exact contraire de ce pourquoi elles seraient mises en place.

Surtout, en lisant entre les lignes, on peut voir une volonté très nette de la part des concepteurs de ce plan de reprendre complètement en main le dossier « vaccin » en exerçant un contrôle absolu sur les populations.

Le simple fait d’avoir mis en balance l’accès à l’école et la vaccination des enfants paraît invraisemblable. Et le fait que cette proposition émane d’un rapport commandé par l’Etat est inadmissible !

J’ai repris ci-après les mesures proposées par le rapport (en vert) que je vous ai commenté (en noir). Vous allez voir que le plan proposé est à la fois très cohérent et terrifiant.

On peut classer les propositions en trois catégories :

  • les vœux pieux pour rassurer les citoyens,

  • le contrôle absolu de l’information,

  • le contrôle resserré de l’application des mesures préconisées.

Il est à noter avant tout que toutes ces mesures existent déjà. Les propositions ne visent en réalité qu’à les renforcer.

Les voeux pieux

  • Ecoute des populations et des professionnels

Cela ne mange pas de pain.

En attendant, il est très rare que des médecins reconnaissent le lien entre un vaccin et un effet secondaire constaté par les rapports.

Il est tout aussi rare qu’un médecin interroge son ARS sur les réactions aux vaccins qu’il constate au sein de son cabinet. Il sait qu’il risque d’être dénoncé à l’Ordre ou à la sécurité sociale. Cette proposition est un vœu pieux.

Les médecins, rappelons-le, sont rémunérés pour certains actes vaccinaux (par exemple, le vaccin contre la grippe). Par ailleurs, chez les nourrissons, les vaccins représentent un tiers du revenu des pédiatres. L’information vient d’un rapport de la Cour des Comptes de 2012.

C’est assez dissuasif, non ?

Imaginez une épicerie. Si un tiers des revenus vient d’un seul produit, pensez-vous que le commerçant souhaitera remettre en cause la vente de ce produit ? La comparaison peut paraître triviale. Mais le soignant, autant que le commerçant, a besoin de vivre. Ce type de considération peut jouer sur le dialogue et l’écoute.

  • Transparence de l’information et des experts

Il serait temps. Mais est-ce crédible ?

Le Président du Comité de Vaccination qui a rédigé un rapport [1], le Pr André Fisher, a lui-même été récompensé pour son travail scientifique par les laboratoires. Cela n’est indiqué nulle part dans le rapport, ni sur le site de la consultation citoyenne.

Par ailleurs, les données des études menées dans le cadre de la vaccination restent entre les mains des grands laboratoires pharmaceutiques.

Enfin, les formules-même des vaccins et les étapes de leur fabrication – qui relèvent du secret industriel – ne sont pas accessibles au grand public. Vouloir la transparence, quand on sait qu’elle est impossible, est-ce de l’hypocrisie, de l’escroquerie ?

Le contrôle absolu de l’information

  • Diffusion à partir d’un site unique et connu de tous d’informations validées par un collectif d’experts indépendants

C’est parfait : une seule source d’information validée par quelques-uns...pour tous ! Et comment va-t-on appeler ce nouveau média « indépendant » ? Je propose la “pravdadesvaccins.com

La seule manière d’assurer une information complète sur un sujet est de favoriser la multiplicité des sources et des avis. C’est comme en démocratie : avoir un parti unique met tout le monde d’accord, mais n’est pas nécessairement représentatif de la réalité des intentions de vote !

  • Formation des professionnels de santé

En effet, dès lors que l’on contrôle l’information, il est bon également de contrôler la formation de ceux qui doivent l’appliquer. C’est cohérent.

Les professionnels de santé seront-ils également formés à corriger les effets secondaires des vaccins ? Car il faut savoir que c’est possible en homéopathie, à travers une série de médicaments que l’on appelle des isothérapiques (qui ne servent pas que pour les vaccins).

  • Sensibilisation des médias

Qu’ils se rassurent, les médias sont déjà unanimes. Aucun grand média national ne propose une réflexion sur la question de la vaccination obligatoire.

Cela dit, nul ne saurait maîtriser la communication sur un sujet sans s’être d’abord assuré du soutien des médias.

Restent les réseaux sociaux et les médias indépendants !

Le contrôle de l’exécution

  • Implication de l’école

Evidemment. Si on ne peut plus passer par les parents, passons par les professeurs et les infirmières d’écoles ! Mais quel directeur d’établissement serait assez fou pour accepter de prendre le risque de faire des campagnes de vaccination au sein de son propre établissement ? Il sait qu’il serait automatiquement responsable de tout effet secondaire qui pourrait survenir dans ses locaux. C’est la loi. Cela a été rappelé de manière très argumentée par l’association UNACS, dans une lettre adressée aux chefs d’établissements.

Sans compter qu’il y a peut-être d’autres priorités pour les écoles que d’être des centres de vaccination !

  • Facilitation de la pratique de la vaccination

Derrière cette idée, il y a surtout une question financière. La vaccination doit être gratuite pour tous et rémunératrice pour ceux qui la pratiquent.

C’est en effet un moyen efficace de convaincre les gens : c’est gratuit !

Mais si un produit est bon, faut-il vraiment mettre en œuvre des budgets publics – on parle de vos impôts, rappelez-vous – pour qu’il se diffuse?

Personne, dans le fond, n’a envie « d’attraper » la poliomyélite, la diphtérie ou le tétanos !

Ainsi la majorité des gens sont favorables à la vaccination, surtout contre de telles maladies. Mais lorsqu’elle est proposée avec un revolver sur la tempe, les patients ont du mal à se dire qu’on ne leur veut que du bien. Faut-il leur en vouloir?

  • Suivi par le carnet de santé électronique

Il n’y avait pas de raison de ne pas chercher à impliquer les nouvelles technologies dans le débat. Le suivi électronique est très pratique. Il est aussi très sûr pour la personne qui surveille !

  • Programme de recherche sur la vaccination

C’est la dernière pierre à l’édifice : en contrôlant la recherche, on est certain de garder la main sur l’argument central martelé par tous les médias : “les chercheurs l’ont dit, les vaccins sont sûrs. Acceptez donc qu’ils soient obligatoires, c’est pour votre bien et celui de vos enfants !”

Si ce plan venait à s’appliquer, nous n’aurons plus beaucoup d’espaces où dire nos doutes, nos inquiétudes par rapport à un acte médical qui, comme tous les autres, n’est jamais totalement anodin.

Pas de vaccin, pas d’école !

Je reconnais avoir été particulièrement choqué par ce que le rapport nomme “clause d’exemption” pour l’école et les crèches.

Les citoyens ne souhaitant pas voir leur enfant soumis à 11 vaccins obligatoires devront signer un papier actant leur renoncement à accéder à la crèche et à l’école.

C’est le principe même de l’ostracisme !

Chez les grecs de l’Antiquité, à Athènes notamment, l’ostracisme était une sanction prononcée à l’encontre d’un citoyen qui était banni de la ville pendant 10 ans.

Comme cela a déjà été fait par le passé, on crée d’un coup des citoyens de seconde catégorie :

  • comme les huguenots sous Louis XIV, qui dûrent s’exiler lorsque l’édit de Nantes fut révoqué. Etre protestant dans le royaume était devenu interdit ;

  • comme les juifs, sous l’occupation allemande, à qui l’Etat français imposa le port de l’étoile jaune.

Nous sommes en 2017. Comment peut-on encore en arriver à de telles propositions ?

Il ne faut pas sous-estimer la gravité des attaques contenues dans ce rapport.

Rappelez-vous que les pires atrocités ont souvent été commises après avoir été annoncées. On savait ce qu’il y avait dans le programme d’Hitler, lorsqu’il a été élu. On sait aujourd’hui ce que veulent nous imposer les autorités à travers ce rapport.

Vous me direz ce n’est pas la même chose, ce n’est pas un état armé, etc., etc.

Mais mettre en balance l’accès à l’école en échange de la vaccination obligatoire est en réalité très violent. Vouloir utiliser tous les moyens actuels dont dispose l’Etat pour imposer une politique de santé à l’ensemble de la population (propagande, fonctionnaires, sécurité sociale, répression…) est aussi violent. 

C’est la raison pour laquelle, j’ai lancé un appel à signer une nouvelle pétition à destination des autorités pour faire opposition à ce rapport et aux propositions scandaleuses qu’il contient.

Et croyez-bien que l’étendue de votre mobilisation sera déterminante pour faire reculer les autorités.



N’hésitez pas ! Signez et faites signer notre grande pétition !

Nous sommes déjà plus de 300 000 citoyens à nous indigner contre ces mesures totalitaires !

La pétition est disponible ici :

http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php
 

L'arthrose vaincue selon la Médecine Naturelle...


  
 


L'arthrose n'est pas comme le rhume ou la jambe cassée. Ce n'est pas un problème temporaire.

L’arthrose, ce sont des douleurs qui touchent la hanche, le coude, le poignet, les doigts, la colonne vertébrale, etc. Des douleurs qui s’installent et s’accentuent jusqu’à empêcher de marcher, de jardiner, de tenir son chien en laisse ou de serrer ses petits-enfants dans ses bras.

Le point crucial n'est pas de vous soulager quelques jours ni quelques semaines.
L'important est que dans 6 mois, dans 2 ans, dans 10 ans, vous ne finissiez pas en chaise roulante ou immobilisé sur un lit d’hôpital.

Et c’est pourquoi vous devez absolument éviter les médicaments anti-arthrose.

Catastrophe dans notre corps


De très nombreuses études montrent en effet que les antidouleurs contre l'arthrose aggravent la situation.

Ils accélèrent la dégradation du cartilage.

Le phénomène est d'autant plus vicieux que, dans un premier temps, le patient est convaincu d'aller mieux.

Il ne se doute de rien parce que le médicament a provisoirement masqué sa douleur.

Mais c'est une dangereuse illusion qui cache la catastrophe qui se déroule sans qu’il la voie.

Et au bout du compte, 76 % des arthrosiques traités par des médicaments jugent leurs douleurs handicapantes !

Au Portugal, le Dr Antonio Lopez Vaz, de l'hôpital d'Oporto, a étudié un groupe de 48 patients souffrant d'arthrose du genou. Il a divisé le groupe en deux, donnant chaque jour, pendant 8 semaines, 1,5 g de glucosamine (un produit naturel) au premier groupe, et 1,2 g d'ibuprofène (un AINS, anti-inflammatoire non stéroïdien) à l'autre groupe. 

Au départ, les personnes qui prenaient de l'ibuprofène ont vu leurs douleurs diminuer plus vite que les autres.

L'impression a persisté durant les deux premières semaines.

Mais au bout de huit semaines, non seulement leurs douleurs avaient recommencé à s'aggraver, mais elles étaient maintenant « significativement plus fortes » que celles du groupe « glucosamine » (le produit naturel) !!
Et il y a plus grave encore.

L'ibuprofène, comme les autres AINS, peut être extrêmement dangereux administré sur le long terme : ces substances provoquent des saignements dûs à des trous dans la paroi de l'estomac et de l'intestin.

C'est une conséquence fréquente. Plus de 20 000 personnes chaque année sont touchées, rien qu'en France, par ces graves effets indésirables.

Solutions efficaces et sans effets secondaires


Heureusement, il existe des traitements naturels et sans effets indésirables contre l'arthrose.

Pas plus que les médicaments, ce ne sont des remèdes miracle.

Mais contrairement aux médicaments chimiques, ils permettent : 

  • De réduire significativement le risque de douleurs causées par l'arthrose 

  • De diminuer significativement le risque de séquelles liées à l'arthrose 

  • Et ils peuvent même contribuer à faire repousser votre cartilage, un effet qu'aucun médicament chimique ne peut vous laisser espérer.

C’est pour vous les faire découvrir que mon équipe a réalisé un Dossier Spécial entièrement consacré aux stratégies naturelles contre l’arthrose. Il vous est offert en cadeau pour tout abonnement à la revue Révélations Santé & Bien-Être.

À ma connaissance, ce dossier est le meilleur guide pour toute personne souhaitant prévenir ou soigner une arthrose efficacement et pour longtemps. Vous y découvrirez notamment :

  • Vingt-cinq antidouleurs naturels pour soulager les crises d’arthrose : sachez déjà que 2 g de curcuma sont aussi efficaces que 800 g d’ibuprofène pour soulager les douleurs de l’arthrose, et sans les effets secondaires !
    Mais vous verrez aussi les résultats obtenus avec la teinture-mère de cassis (Ribes nigrum), à raison de 100 gouttes deux fois par jour dans un peu d’eau avant les repas (en respectant bien nos conseils d’utilisation) ; et il y a aussi la reine des prés, le peuplier, l’ortie, le saule blanc, la vergerette du Canada (les détails précis et la posologie sont bien sûr dans le dossier).

  • La façon efficace de prédire si votre arthrose va s’aggraver (surtout pour la hanche et le genou)

  • La façon de combattre les phénomènes de glycation (quand votre corps se caramélise de l’intérieur) et de stress oxydatif… naturellement

  • Les compléments, les oligoéléments, les exercices (certains assez étonnants) à privilégier pour stopper la progression de l'arthrose

  • Quatre substances pour reconstruire le cartilage afin d’inverser les dégâts de l'arthrose

  • Les aliments anti-inflammatoires et ceux à bannir IMMÉDIATEMENT

  • Etc.

Mais ce n’est pas tout.

Oserez-vous ce traitement stupéfiant contre l’arthrose ?


Ne vous attendez pas à lire un dossier « classique » sur l’arthrose.

Vous allez trouver bien plus que cela.

TOUS les traitements qui offrent un espoir d’amélioration pour les personnes qui souffrent y sont abordés, même les plus étonnants.

Force de la pensée, symbolique de la maladie (vous-êtes vous demandé pourquoi certains souffrent de la hanche quand d’autres ressentent une douleur au genou ou au pied ?), automassages (Vessie 62, Triple réchauffeur, etc.), visualisation

Vous allez voir qu’à condition d’ouvrir son esprit, les résultats de l’approche énergétique contre l’arthrose peuvent être STUPÉFIANTS.

Et littéralement changer la vie de la personne qui souffre.

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Vous recevrez votre dossier spécial anti-arthrose dans les 24 heures après votre inscription.


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Santé !

Gabriel Combris




07/01/2017

Ordonnance végétale contre les maux de l'hiver...

Mme Nathalie Giraud reprend dans le Journal gratuit Fémina les conseils d'un médecin nutritionniste et botaniste, le Dr Laurent Chevallier, pour mieux passer l'hiver. Tout d'abord, ce médecin préconise de boire jusqu'à 3 fois par jour en cas de fièvre ou de fatigue une infusion de thym (1g de plante séchée par tasse). Il conseille également de faire une cure d'échinaccée contre les infections respiratoires (en gélules).

 

En cas de rhinite, de sinusite et de rhinopharyngite, penser à se laver le nez avec du sérum physiologique 2 à 3 fois par jour. Une tisane de thym (40g) et d'aigremoine (40g) peut être prise en dehors des repas à raison de 2 bols par jour. Enfin, deux millilitres de chaque huile essentielle (eucalyptus globulus, pin sylvestre, romarin à camphre et lavande aspic) en inhalation dans un bol d'eau chaude ou un inhalateur peuvent dégager les voies respiratoires.

 

Contre la bronchite, d'origine virale le plus souvent, préparer une tisane antiseptique en mélangeant 40g de thym, 40g d'aigremoine, 30g d'achillée millefeuille et 30g de marrube blanc (éventuellement y ajouter 25g de verveine pour le goût). Boire chaque jour en dehors des repas 2 bols du mélange infusé 10 minutes dans 250ml d'eau. Des inhalations avec 40 gouttes d'huile essentielle de grindélia, de thym à thymol et de romarin à camphre sont recommandées chaque jour. En cas de fièvre élevée, consulter un médecin.

 

L'angine virale se soigne bien par les plantes si elle est bénigne. Préparer une infusion (10 minutes) dans ce cas de 40g de sureau noir, 40g d'aigremoine et 40g de thym et en boire 2 bols en dehors des repas. Il est possible de se gargariser avec du jus de citron auquel on peut ajouter 2 gouttes d'huile essentielle de lavande et 2 gouttes d'HE d'origan. Si l'angine paraît à streptocoque (fièvre élevée), consulter sans tarder, car des antibiotiques seront peut-être nécessaires.

 

Bref, associer infusions et huiles essentielles est tout à fait possible. Les personnes allergiques devront cependant vérifier que les huiles essentielles ne leur sont pas contre-indiquées. Ces traitements végétaux, à l'exception de ce cas éventuel, ne présentent pas d'effets secondaires indésirables. Alors, pas de panique: essayons ces ordonnances végétales de prime abord, car elles suffisent généralement à enrayer les principales affections hivernales.

 

Lyliane

 

05/01/2017

Parfumer ses plats avec des épices bienfaisantes...

Mme Lise Bouilly, dans la rubrique diététique du journal Fémina, s'attache à citer les épices bienfaisantes en hiver. Pour cela elle s'appuie sur les avis d'un médecin nutritionniste comme le Dr Guy Avril, auteur d'un ouvrage intitulé:"22 épices pour préserver la santé"et d'une vétérinaire diplômée de toxicologie le Dr S. Hampikian. Tout d'abord, ils citent la coriandre, un activateur d'immunité contre les virus incontournable dans la cuisine méditerranéenne et latino-américaine. Les cuisinières en mettent avec la viande blanche, les potages, les purées, les crudités, les salades et même les fruits, car la coriandre soulage les ballonnements et décongestionne le foie. Des tisanes avec les graines et quelques feuilles sont également bénéfiques au rythme de trois fois par jour après les repas.

Puis, l'article cite le curcuma, dont le rhizome,  cultivé en Inde, est un anti-inflammatoire et un antioxydant réputé soulager les douleurs articulaires et prévenir les rhumes. On l'apprécie frais en petits morceaux ou émincé dans les potages, les légumes, les céréales, les viandes, les poissons ou les yaourts qu'il colore en jaune/rouge. En poudre, à raison d'une cuillère à café par jour, associé à du poivre noir dans du lait bouillant par exemple, c'est un bon anti-rhume. Quant à la cannelle de Ceylan, ses tanins sont antiseptiques et combattent parasites intestinaux et diarrhées. En bâton ou en poudre, elle se marie à de nombreuses préparations de la tarte aux pommes à des fruits cuits, d'un rôti de porc à un boeuf bourguignon. En cas de rhume ou de mal de gorge, mélanger une cuill-ère à café de cannelle en poudre à une cuillère à café de miel et ajouter quelques gouttes de citron.

La cardamome, considérée en Inde comme la reine des épices,  se marie aussi bien avec des plats salés ( poisson, viande blanche, carottes râpées) que sucrés (entremets). Ses gousses sont digestives et carminatives, mais aussi expectorantes et antitussives. Pour calmer la toux, faire en effet bouillir des gousses fendues dans de l'eau comme pour une décoction. Deux graines dans le café noir seraient aussi réputées avoir un effet tonique. Le clou de girofle, originaire d'Indonésie, a des propriétés antiseptiques, antalgiques et anti-inflammatoires. En ORL et en dentisterie, il est très efficace. Ils se piquent volontiers dans un pot au feu, une choucroute, un vin chaud et même un dessert au chocolat. En infusion, dans un bol d'eau bouillante placer un clou de girofle et laissez macérer 15 minutes.

Le gingembre est un des piliers de la médecine ayurvédique. Son rhizome originaire d'Asie a des propriétés digestives et circulatoires. Ce serait un réducteur de cholestérol et un  anti-nauséeux. L'utiliser frais ou écrasé dans un ragoût, un pot au feu, un bouillon, un poisson, une compote, une salade de fruits ou même du riz. Confit à la fin du repas c'est une gourmandise appréciée. La noix de muscade est un anti-inflammatoire et un analgésique. Elle combattrait la diarrhée dans la gastro-entérite. Toutefois ne pas dépasser une demi cuillère à café par jour et par personne à cause des substances stupéfiantes contenues dans la noix. Se borner de ce fait à râper son enveloppe. Elle se marie fort bien au potiron et à toutes les purées de légumes.

Dans la cuisine de nos pays occidentaux, ne pas oublier l'ail, cultivé partout dans le monde,  qui a de nombreuses propriétés: vermifuge, antibiotique, assainissant, fluidifiant du sang... Une gousse quotidienne est recommandée en toute saison. On l'utilise dans des sauces, des salades, des potages, avec des brochettes, des rôtis. Et les stigmates du safran, de plus en plus cultivé dans les régions méditerranéennes, sont réputés réguler le système nerveux. Il ne faut toutefois ne pas dépasser 10 g par jour. Vu son prix et ses nombreuses contrefaçons, il est important de bien vérifier la provenance des stigmates. On l'ajoute à la fin de cuisson d'un poisson, d'un risotto, d'une paella et même d'une crème anglaise. Il colore les préparations d'une belle couleur jaune.

Pour en savoir davantage, lire l'ouvrage du Dr Avril cité plus haut aux éditions Terre Vivante ou le livre "les épices qui guérissent" de Mme Murielle Toussaint. Sur Internet, consulter par exemple: www.maxhavelaarfrance.org et www.e-sante.fr.

Lyliane

Transmis de programme vegan...

Nous prenons presque tous de bonnes résolutions en 2017. Certaines seront bonnes pour vous. Il y en a qui sont bonnes pour vous et pour les autres.

Essayez une alimentation végane pendant 30 jours, et peut-être toute votre vie, et vous sauverez des animaux d'une vie misérable dans des élevages et d'une mort atroce dans des abattoirs ou des filets de pêche.

Inscrivez-vous à notre programme pour 30 jours végans afin de bien commencer l'année. Votre conscience mais aussi votre santé vous diront merci car le risque d'être atteint de certaines cancers, d'obésité ou de maladies cardio-vasculaires est moindre chez les végans. Pendant 30 jours, nous vous apporterons des informations pour vous guider à découvrir une nouvelle alimentation.

En 2017, j'essaie l'alimentation végane.

Merci de ce que vous faites pour les animaux.

Bien à vous,
Cyril Ernst

04/01/2017

Litothérapie: les pierres peuvent-elles soigner?

 

C'est la question que pose Mme M. Vedrines dans le Journal Alternatif Bien-Etre de janvier 2017. A travers une interview de Mr D. Briez et de son associée, tous deux experts en litothérapie, la journaliste essaie d'approcher cette technique pratiquée un peu partout dans le monde. Les minéraux, pierres, cristaux présents dans la matière ont en effet été utilisés par les humains de tout temps. La litothérapie s'appuie le plus souvent sur des pierres semi-précieuses ou précieuses. Ces pierres, qui semblent inertes, émettent cependant des vibrations que nous pouvons ressentir, selon les besoins de notre métabolisme.

Mr Briez explique que le corps humain comporte différents acides, qui vont capter les ions métalliques des pierres. Cette réaction peut se produire lorsqu'on prend un minéral ou un cristal dans la main. Notre peau en effet peut recevoir et absorber de multiples éléments selon la composition chimique de la pierre. Il semblerait que plus celle-ci a de poids, plus elle émet de l'énergie.

Aucune preuve scientifique des soins éventuels que les pierres peuvent apporter directement n'a été faite à ce jour. Néanmoins, chacun est invité à expérimenter le contact avec les pierres. Pour les uns, la tourmaline noire est réputée protéger des ondes électromagnétiques. Pour d'autres, l'énergie de l'apatite liée au soufre natif soulagerait les douleurs articulaires. Le grenat rouge est censé stimuler la vitalité. La cornaline quant à elle est liée à la féminité et au rapport avec la mère. Le lapis lazuli soignerait les troubles de la vue et les problèmes de peau. Cette pierre bleue aurait aussi tendance à faire baisser la tension... Que l'on porte ces pierres en bijoux, qu'on les tienne dans la main ou qu'on les glisse dans sa poche ou sous l'oreiller, il convient de sentir et d'écouter nos propres réactions à leur contact.

Mr Briez pense que le minéral pourrait redevenir une ressource naturelle de la pharmacopée au même titre que les plantes ou les animaux. Pour cela des expérimentations scientifiques pourraient être entreprises, afin de montrer que les pierres sont des compagnons millénaires ayant leur place dans notre quotidien. Pour en savoir davantage sur le sujet, lire l'ouvrage de Mr P. Permutt «Ces pierres qui guérissent» paru au Courrier du Livre ou le «Guide pratique de litothérapie énergéticienne» de Mr Raynald G. Boschiero chez Ambre Eds. Sur Internet, consulter par exemple: www.pierres-lithotherapie.com ou www.cristaux-sante.com .

Lyliane

 

31/12/2016

Des chiens qui dépistent le cancer...

On connaissait déjà les chiens spécialisés dans la recherche de disparus après une avalanche, un séisme ou un naufrage. Des chiens ont même été dressés pour détecter la présence de drogues ou d'explosifs dans les valises à l'aéroport. Grâce à leur odorat surpuissant, nous dit le Journal Alternatif Bien-être de janvier 2017 dans un article de Mme G.Piton, des chiens ont été reconnus capables de dépister le cancer depuis les années 1990 environ.

Ce fut par exemple le cas de Mme C. Guest, médecin britannique, qui en août 2009 a été alertée sur une tumeur qu'elle portait au sein grâce à sa chienne qui lui grattait la poitrine avec insistance. Celle-ci fonda l'Association Medical Detection Dogs dans son pays, afin de mettre en lumière cette capacité qu'ont les chiens. Depuis avec l'aide de maîtres-chiens cette organisation entraîne chaque jour des chiens au dépistage du cancer au Royaume-Uni. Un autre cas de cancer du sein détecté par une chienne en août 2016 fut médiatisé, car il touchait une actrice américaine Mme S. Doherty.

Plusieurs études ont conduit à suggérer que les cancers pouvaient dégager une odeur particulière, du fait du métabolisme déviant des tissus normaux. N'oublions pas que les chiens ont une muqueuse olfactive de 15 à 20 fois plus importante que la nôtre. Le Professeur de médecine O. Cussenot, urologue à l'hôpital Tenon, a reconnu en 2011 que la performance des chiens était 5 fois supérieure à celle des marqueurs biologiques utilisés actuellement (dosage du PSA dans le sang par exemple). Aussi, la recherche des marqueurs volatiles est devenue une voie  d'étude pertinente en cancérologie.

Cela s'est vérifié à plusieurs reprises pour d'autres types de cancer: aux USA pour le cancer de la thyroïde, en Autriche pour le cancer du poumon et en France pour le cancer de la prostate. Dans notre pays, à l'Institut Curie notamment, des tests sont réalisés et, avec le projet KDOG financé grâce à une campagne de financement participatif, ils pourraient déboucher sur une technique de dépistage reproductible.

Cette méthode de dépistage non invasif, mobile et peu coûteux pourrait devenir une solution idéale à plus ou moins brefs délais. Des chercheurs étudient même la possibilité de reproduire scientifiquement l'odorat du chien (projet Na-Nose) grâce à une sorte de "nez électronique". Espérons que tout cela conduira l'être humain à considérer de plus en plus l'animal comme un être vivant doté d'émotions et d'affects, ainsi que d'un potentiel inestimable et méconnu, dont nous avons pourtant un grand besoin.

Lyliane

30/12/2016

Cannabis médical, c'est pour quand?

Un article de Mme M.C. Colinon dans la revue Fémina fait le point sur les avancées à propos du cannabis médical. Elle cite trois ouvrages très complets sur le sujet: Cannabis médical:"Du chanvre indien aux cannabinoïdes de synthèse"de Michka chez Mama éditions et "Cannabis médicinal, ce qu'il faut savoir" de Mr M. Backes chez Hugo Doc, ainsi que "Cannabis sur ordonnance"de Mme M. Schachtel chez A. Michel.

Plusieurs personnes sont citées, témoignant de l'effet du cannabis accompagnant une chimiothérapie ou des douleurs pendant un cancer très avancé. Il est avéré quoi qu'il en soit que les sociétés traditionnelles ont utilisé le cannabis pour soigner. Les molécules composant le cannabis ont été répertoriées plus récemment par des chercheurs: tétrahydrocannabinol ou THC, cannabidiol ou CBD et cannabigérol ou CBG. Dans le cerveau humain, dans les années 80, des récepteurs destinés à recevoir le THC ont été ensuite identifiés.On a découvert dix ans plus tard dans l'organisme des substances proches de ces molécules, qui ont été baptisées"système endocannabinoïde"et qui semblent agir favorablement contre spasmes, douleur et anxiété.

 

Selon différentes études le cannabis aurait ensuite été mis en valeur dans des traitements anti-cancer ou contre le V.I.H. Enfin, selon une étude scientifique publiée dans la revue Plos One, le cannabis ralentirait la progression du VIH dans l'organisme. Il semble également intéressant en cas de spasmes, de Parkinson, de la maladie de Crohn et de douleurs neuropathiques. On s'interroge sur son efficacité même contre les cellules cancéreuses, ainsi que sur son utilisation en patch ou en cataplasmes sur les articulations douloureuses et son huile pour les démangeaisons.

 

L'industrie pharmaceutique s'y intéresse et deux médicaments ont vu le jour: le Marinol en capsules contenant une huile de THC synthétique, autorisé en France depuis 2013 sous certaines conditions et le Sativex, un spray buccal du Laboratoire Almirall, autorisé en janvier 2014 mais pas encore sur le marché. Les freins viendraient de peurs d'une dépénalisation de la marijuana, alors que cela n'aurait rien à voir affirme la journaliste. Leur prix serait également un obstacle... Cela semble bien regrettable, car seuls les patients ayant les moyens peuvent s'approvisionner à l'étranger (Italie, Espagne, Royaume Uni, Belgique, Suisse) ou fumer de l'herbe en toute illégalité. Aux Etats-Unis, 28 Etats autorisent le cannabis à usage médical; au Canada, le Sativex est autorisé depuis 2006 pour certaines maladies. En Israël, dans des officines spécialisées, les malades pourraient s'en procurer...

Nous pouvons donc nous interroger sur les freins commerciaux à propos du Sativex existant dans notre pays, alors que des patients pourraient bénéficier d'une amélioration de leurs douleurs dans de nombreux cas...

Lyliane

27/12/2016

La médecine du futur se fera-t-elle avec des robots?

 

Mme Julie Luong dans le journal Giphar Magazine écrit un long article au sujet des robots humanoïdes, en signalant que c'est un vieux rêve de nos sociétés. Jusque là, ils faisaient partie de la science-fiction; ils commencent à devenir réalité! Ils coûtent, certes, encore cher: 15 000 euros en moyenne, ce qui explique que pour le moment seuls 300 spécimens sont déjà placés en maisons de retraite dans toute l'Europe et à l'étranger. Le journal pense que, très bientôt, ils seront 800, car ils se développent rapidement.

En France, l'EHPAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) Lasserre à Issy-les-Moulineaux a été le premier à introduire un robot auprès de ses résidents. Le robot ne remplace pas le personnel, mais il le libère de certaines tâches répétitives: donner le menu du jour, lire le journal, jouer à des jeux qui permettent de faire travailler la mémoire, montrer des exercices de gymnastique...

Chaque robot est unique et a une apparence pseudo-humaine ou animale. Les personnes âgées réagissent souvent face à ces robots (60 cm de haut en moyenne) comme face à des enfants. Le monde médical s'intéresse de près aux robots humanoïdes pour leur rôle de médiateurs dans les troubles du comportement et de la mémoire.

Voici quelques exemples: Nao, le robot crée par la société française Aldebaran Robotics, s'adresse plutôt à des autistes. Paro en revanche est un robot émotionnel qui ressemble à un petit phoque se laissant caresser comme un animal de compagnie. A l'EHPAD Villa du Tertre dans l'Aube, Paro a été acquis dès 2014 pour des malades atteints de la maladie d'Alzheimer. Cosmobot est utilisé aux Etats-Unis pour aider des enfants atteints d'infirmité motrice cérébrale. On cite aussi Robear, qui pèse 140 kg et ressemble à un ours blanc. Développé par le laboratoire japonais Riken, il est capable de soulever des patients invalides et de soulager de ce fait le personnel soignant.

L'avenir médical et même domestique est susceptible de passer d'ici quelques années par des robots humanoïdes programmables. Les Japonais notamment font beaucoup de recherche dans ce domaine. Ils existent déjà en jouets et dans le domaine matériel, où ils rendent de grands services. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'ils n'auront sans doute jamais le sens des valeurs morales, pas plus que le sens de la justice. Ils sont essentiellement conçus pour nous aider, pas pour nous remplacer totalement! Afin de s'informer, consulter sur Internet: https://humanoides.fr/

Lyliane

 

26/12/2016

Des arbres guérisseurs...

 

Un article de Mme Caroline Dor dans la revue Version Fémina, s'inspirant du Guide de poche de phytothérapie publié par Quotidien Malin et dont l'auteur est Mme C. Gayet, nous parle de quelques «arbres qui soignent».

Tout d'abord, il s'agit du bouleau, dont on utilise les feuilles toute l'année et la sève au printemps, parfois l'écorce. La sève participe au bon fonctionnement du foie, des reins et des intestins, car elle favorise l'élimination des toxines et elle est riche en minéraux, vitamines et flavonoïdes. La sève est réputée être reminéralisante et elle serait capable de lutter contre la rétention d'eau. Elle se prend en cures de 3 semaines dès le début du printemps (environ 70 ml pur ou dilué). Les feuilles et l'écorce du bouleau s'utilisent en décoction (2 minutes à bouillir dans 50 cl d'eau) ou sous forme d'extrait hydroalcoolique en cure détox de 3 semaines (30 gouttes avant les repas). Les terpènes des feuilles et de l'écorce ont des vertus antiseptiques urinaires et rénales. Toutefois l'extrait est contre-indiqué en cas de grossesse ou de foie fragile.

Le saule quant à lui, dont on utilise l'écorce, les feuilles et les chatons, aurait des propriétés antalgiques, antiinflammatoires et sédatives. En remplacement de l'aspirine contre les migraines, l'arthrose et les douleurs dentaires par exemple, faire une infusion de feuilles (2 cuillères à soupe dans 50 cl d'eau bouillante) ou d'écorce (1cuillère à soupe). Les chatons sont bien pourvus en tanins et auraient des propriétés sédatives contre l'anxiété et les troubles du sommeil. Mais là, l'infusion se borne à mettre les chatons dans une eau frémissante pendant 10 minutes sans faire bouillir pour ne pas dénaturer l'acide salicylique.

Enfin, il est question du pin maritime, dont on utilise l'écorce. Cette dernière ( 1 à 2 gélules de 100 g de pycnogénol par jour pendant le repas) est censée améliorer la circulation sanguine (jambes lourdes, varices, hémorroïdes...). Ses vertus antioxydantes seraient également efficaces contre le vieillissement cellulaire.

La phytothérapie, du grec phyto (plante) et therapeuo (soigner), est une pratique millénaire qui met la nature et ses principes actifs naturels à notre portée. En France, mis à part les herboristes qui hélas se raréfient, Mr Jean Valnet a été un des précurseurs de la phytothérapie à travers livres et préparations. Pour en savoir plus ou s'initier à cette pratique, qui demande certaines indications précises, il est possible de consuter différents ouvrages et sur Internet plusieurs sites notamment: www.e-sante.fr.

Lyliane

 

25/12/2016

La somatothérapie ou vivre à l'écoute de son corps...

Dans le journal Biocontact du mois de décembre 2016, un article de Mme Caroline Georges-Benqué, somatothérapeute à Boulogne-Billancourt (92) a attiré mon attention. Cette femme est l'auteur d'un ouvrage paru aux Editions La Bruyère dont le titre interpelle:« Le cancer m'a sauvé la vie ou l'importance de la somatothérapie».

Atteinte d'une grave maladie, en effet, Mme Georges-Benqué a alors découvert la somatothérapie. Du grec soma (qui se rapporte au corps) et therapeia (soin), la somatothérapie, inventée en 1970 aux Etats-Unis par Mr Richard Meyer, regroupe un ensemble de techniques qui permettent de vivre à l'écoute de son corps. Globalement, on peut dire qu'elle allie l'esprit et le corps et qu'elle aide à s'extraire du stress ou des empreintes du passé. Encadrée par la Fédération Française de somato-psychothérapie et somatothérapie, «cette méthode permet d'acquérir un mieux-être, une meilleure confiance en soi et une touche positive».

Une séance de somatothérapie dure environ une heure et se déroule autant par le toucher que par la parole. Le patient généralement dialogue dans un premier temps, puis il s'allonge, afin de bien respirer et de recevoir des massages sur certaines parties du corps. Car chaque zone du corps correspondrait à une pathologie précise: ventre pour les peurs, bas du dos pour la sexualité, haut du dos pour la jalousie...

Selon Mme C. Georges-Benqué, c'est un temps de lâcher-prise du mental et de prises de conscience. Selon le rythme des séances ( chaque semaine, chaque mois ou épisodiquement), cet accompagnement et cette écoute permettraient de faire remonter des émotions enfouies et de dépasser des blocages et des traumatismes plus ou moins rapidement. L'acquisition d'une nouvelle sérénité, ensuite, est susceptible d'en découler!

Pour se renseigner sur cette technique ou joindre la somatothérapeute, contacter le site: https://carolinebanque.com.

Lyliane