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30/12/2016

Cannabis médical, c'est pour quand?

Un article de Mme M.C. Colinon dans la revue Fémina fait le point sur les avancées à propos du cannabis médical. Elle cite trois ouvrages très complets sur le sujet: Cannabis médical:"Du chanvre indien aux cannabinoïdes de synthèse"de Michka chez Mama éditions et "Cannabis médicinal, ce qu'il faut savoir" de Mr M. Backes chez Hugo Doc, ainsi que "Cannabis sur ordonnance"de Mme M. Schachtel chez A. Michel.

Plusieurs personnes sont citées, témoignant de l'effet du cannabis accompagnant une chimiothérapie ou des douleurs pendant un cancer très avancé. Il est avéré quoi qu'il en soit que les sociétés traditionnelles ont utilisé le cannabis pour soigner. Les molécules composant le cannabis ont été répertoriées plus récemment par des chercheurs: tétrahydrocannabinol ou THC, cannabidiol ou CBD et cannabigérol ou CBG. Dans le cerveau humain, dans les années 80, des récepteurs destinés à recevoir le THC ont été ensuite identifiés.On a découvert dix ans plus tard dans l'organisme des substances proches de ces molécules, qui ont été baptisées"système endocannabinoïde"et qui semblent agir favorablement contre spasmes, douleur et anxiété.

 

Selon différentes études le cannabis aurait ensuite été mis en valeur dans des traitements anti-cancer ou contre le V.I.H. Enfin, selon une étude scientifique publiée dans la revue Plos One, le cannabis ralentirait la progression du VIH dans l'organisme. Il semble également intéressant en cas de spasmes, de Parkinson, de la maladie de Crohn et de douleurs neuropathiques. On s'interroge sur son efficacité même contre les cellules cancéreuses, ainsi que sur son utilisation en patch ou en cataplasmes sur les articulations douloureuses et son huile pour les démangeaisons.

 

L'industrie pharmaceutique s'y intéresse et deux médicaments ont vu le jour: le Marinol en capsules contenant une huile de THC synthétique, autorisé en France depuis 2013 sous certaines conditions et le Sativex, un spray buccal du Laboratoire Almirall, autorisé en janvier 2014 mais pas encore sur le marché. Les freins viendraient de peurs d'une dépénalisation de la marijuana, alors que cela n'aurait rien à voir affirme la journaliste. Leur prix serait également un obstacle... Cela semble bien regrettable, car seuls les patients ayant les moyens peuvent s'approvisionner à l'étranger (Italie, Espagne, Royaume Uni, Belgique, Suisse) ou fumer de l'herbe en toute illégalité. Aux Etats-Unis, 28 Etats autorisent le cannabis à usage médical; au Canada, le Sativex est autorisé depuis 2006 pour certaines maladies. En Israël, dans des officines spécialisées, les malades pourraient s'en procurer...

Nous pouvons donc nous interroger sur les freins commerciaux à propos du Sativex existant dans notre pays, alors que des patients pourraient bénéficier d'une amélioration de leurs douleurs dans de nombreux cas...

Lyliane

29/12/2016

Une nouvelle réplique pour la grotte de Lascaux...

 

Le 12/9/1940, quatre adolescents et leur chien avaient découvert la grotte préhistorique originale de Lascaux en Dordogne. Lascaux 2, fac-similé de 90% des fresques, avait ouvert en 1983, car l'original avait été dégradé, obligeant à une fermeture du site dès 1963. Lascaux 3 est une exposition itinérante à but pédagogique reprenant l'essentiel de la grotte. Une reconstitution à l'échelle réelle de l'intégralité de la grotte originale nommée Lascaux 4 vient d'ouvrir au public en décembre 2016 sur le versant opposé de la colline où se trouve la cavité d'origine.

Ce projet de 8500 m 2, à la fois scientifique, artistique et touristique, veut faire revivre au visiteur les émotions des jeunes gens découvrant ce sanctuaire préhistorique vieux de 18 000 ans. Le bâtiment fait de béton et de verre fait 150 m de long et il est semi-enterré. Le visiteur voyage de ce fait dans une semi obscurité accompagné d'explications volontairement minimales. Un concentré, néanmoins, pour sanctuariser le site d'origine et attirer curieux, scolaires et tous les amoureux de paleo-anthropologie!

Lyliane

 

26/12/2016

Des arbres guérisseurs...

 

Un article de Mme Caroline Dor dans la revue Version Fémina, s'inspirant du Guide de poche de phytothérapie publié par Quotidien Malin et dont l'auteur est Mme C. Gayet, nous parle de quelques «arbres qui soignent».

Tout d'abord, il s'agit du bouleau, dont on utilise les feuilles toute l'année et la sève au printemps, parfois l'écorce. La sève participe au bon fonctionnement du foie, des reins et des intestins, car elle favorise l'élimination des toxines et elle est riche en minéraux, vitamines et flavonoïdes. La sève est réputée être reminéralisante et elle serait capable de lutter contre la rétention d'eau. Elle se prend en cures de 3 semaines dès le début du printemps (environ 70 ml pur ou dilué). Les feuilles et l'écorce du bouleau s'utilisent en décoction (2 minutes à bouillir dans 50 cl d'eau) ou sous forme d'extrait hydroalcoolique en cure détox de 3 semaines (30 gouttes avant les repas). Les terpènes des feuilles et de l'écorce ont des vertus antiseptiques urinaires et rénales. Toutefois l'extrait est contre-indiqué en cas de grossesse ou de foie fragile.

Le saule quant à lui, dont on utilise l'écorce, les feuilles et les chatons, aurait des propriétés antalgiques, antiinflammatoires et sédatives. En remplacement de l'aspirine contre les migraines, l'arthrose et les douleurs dentaires par exemple, faire une infusion de feuilles (2 cuillères à soupe dans 50 cl d'eau bouillante) ou d'écorce (1cuillère à soupe). Les chatons sont bien pourvus en tanins et auraient des propriétés sédatives contre l'anxiété et les troubles du sommeil. Mais là, l'infusion se borne à mettre les chatons dans une eau frémissante pendant 10 minutes sans faire bouillir pour ne pas dénaturer l'acide salicylique.

Enfin, il est question du pin maritime, dont on utilise l'écorce. Cette dernière ( 1 à 2 gélules de 100 g de pycnogénol par jour pendant le repas) est censée améliorer la circulation sanguine (jambes lourdes, varices, hémorroïdes...). Ses vertus antioxydantes seraient également efficaces contre le vieillissement cellulaire.

La phytothérapie, du grec phyto (plante) et therapeuo (soigner), est une pratique millénaire qui met la nature et ses principes actifs naturels à notre portée. En France, mis à part les herboristes qui hélas se raréfient, Mr Jean Valnet a été un des précurseurs de la phytothérapie à travers livres et préparations. Pour en savoir plus ou s'initier à cette pratique, qui demande certaines indications précises, il est possible de consuter différents ouvrages et sur Internet plusieurs sites notamment: www.e-sante.fr.

Lyliane

 

25/12/2016

La somatothérapie ou vivre à l'écoute de son corps...

Dans le journal Biocontact du mois de décembre 2016, un article de Mme Caroline Georges-Benqué, somatothérapeute à Boulogne-Billancourt (92) a attiré mon attention. Cette femme est l'auteur d'un ouvrage paru aux Editions La Bruyère dont le titre interpelle:« Le cancer m'a sauvé la vie ou l'importance de la somatothérapie».

Atteinte d'une grave maladie, en effet, Mme Georges-Benqué a alors découvert la somatothérapie. Du grec soma (qui se rapporte au corps) et therapeia (soin), la somatothérapie, inventée en 1970 aux Etats-Unis par Mr Richard Meyer, regroupe un ensemble de techniques qui permettent de vivre à l'écoute de son corps. Globalement, on peut dire qu'elle allie l'esprit et le corps et qu'elle aide à s'extraire du stress ou des empreintes du passé. Encadrée par la Fédération Française de somato-psychothérapie et somatothérapie, «cette méthode permet d'acquérir un mieux-être, une meilleure confiance en soi et une touche positive».

Une séance de somatothérapie dure environ une heure et se déroule autant par le toucher que par la parole. Le patient généralement dialogue dans un premier temps, puis il s'allonge, afin de bien respirer et de recevoir des massages sur certaines parties du corps. Car chaque zone du corps correspondrait à une pathologie précise: ventre pour les peurs, bas du dos pour la sexualité, haut du dos pour la jalousie...

Selon Mme C. Georges-Benqué, c'est un temps de lâcher-prise du mental et de prises de conscience. Selon le rythme des séances ( chaque semaine, chaque mois ou épisodiquement), cet accompagnement et cette écoute permettraient de faire remonter des émotions enfouies et de dépasser des blocages et des traumatismes plus ou moins rapidement. L'acquisition d'une nouvelle sérénité, ensuite, est susceptible d'en découler!

Pour se renseigner sur cette technique ou joindre la somatothérapeute, contacter le site: https://carolinebanque.com.

Lyliane

 

24/12/2016

Vivre dans un monde sans croissance...

 

Je lis dans le journal gratuit Biocontact un excellent article de Mr Michel J.F. Dubois, biologiste, ingénieur agro-économiste, qui a obtenu en 2006 le prix du SIAL et qui a été nominé au prix de l'ingénieur de l'année 2008. Il vient de publier un ouvrage intitulé: «Vivre dans un monde sans croissance- Quelle transition énergétique?» Son mail est: midubois@free.fr.

Mr Dubois prend comme métaphore l'exemple d'une chenille qui croît jusqu'au moment où elle arrête sa croissance pour se transformer en papillon. Par là, il nous propose de prendre une autre voie, c'est à dire d'entrer dans une phase d'innovation permanente et de transformation. Car, selon lui, même les énergies renouvelables ne seront pas suffisantes pour remplacer les énergies fossiles.

Il insiste aussi sur un point essentiel: ne pas croître n'est pas décroître! La croissance étant devenue utopique, car la qualité de vie en pâtit, Mr Dubois propose d'arrêter la croissance de nos ponctions continuelles sur l'environnement. Pour y arriver, il imagine d'optimiser la consommation et la production en limitant les inégalités planétaires les plus criantes. Car, si chez nous règne le gaspillage, dans certaines zones du monde, c'est la famine!

Ni le coût du recyclage, ni le coût réel de l'énergie ne sont évalués à leur juste valeur. Les mers sont surexploitées, les minéraux deviennent rares, le climat se modifie du fait de nos activités... Bref, l'ingénieur pense qu'il nous faudrait investir pour acquérir des connaissances et des savoir-faire nouveaux. Que ce soit pour produire des voitures moins gourmandes en énergie, pour maîtriser notre consommation en eau, mieux isoler nos logements, fabriquer des produits à durée de vie plus longue, pour recycler les ressources minérales, produire une agriculture sans intrants, l'innovation est à l'ordre du jour. Cela commence déjà doucement chez nous: partage, échange d'objets, solidarité. Et de plus en plus les consommateurs dans leurs achats privilégient la qualité, la durabilité à la quantité et au prix.

Cela implique de changer notre comportement et de faire d'autres choix de vie individuellement et collectivement. Une sorte d'austérité volontaire ou d'auto-limitation serait à accepter au bénéfice d'un mieux- être collectif et individuel. On doit en effet pouvoir vivre mieux en ayant moins besoin de consommer, en privilégiant le relationnel, le culturel, le développement personnel, la créativité, la recherche... Certes, au plan planétaire, des accords multilatéraux seront nécessaires, mais nous pouvons d'ores et déjà enclencher le processus...

Mr Dubois en quelque sorte prône l'émergence d'une nouvelle civilisation. En ralentissant la course à la consommation et le gaspillage matériel et humain, nous sommes censés lâcher certains avantages dans nos pays dits développés. Ne serait-ce pas néanmoins pour aller vers un autre équilibre, une plus grande justice planétaire et des activités collectives mûrement réfléchies? Un apprentissage quoi qu'il en soit proposé par Mr Dubois à notre génération et aux générations futures...

Lyliane

 

 

 

 

 

22/12/2016

Une ONG d'aide chirurgicale au Bangladesh...

Au cours de l'émission «Allo, docteurs» sur la 5ème chaîne le mercredi 14/12/2016, nous a été montré un reportage fait sur un bateau-hôpital au Bangladesh. Dans ce pays pauvre de 160 millions d'habitants, la plupart des malades ne peuvent se soigner. L'Association Humani Terra est présente dans ce pays depuis 2005. Sur le Gange, le Brahmapoutre et dans le Golfe du Bengale, trois bateaux-hôpital en partenariat avec l'association Friendship circulent pour venir en aide aux populations isolées.

Dans un bloc opératoire équipé de matériel moderne, les chirurgiens français, après avoir examiné les patients, les opèrent et assurent un suivi post opératoire. Les orthopédistes filmés dans le reportage opéraient des pieds bots, des tendons d'Achille, des adolescents handicapés suite à des maladies infectieuses ou neurologiques... D'autres spécialistes prennent le relais à d'autres époques: pédiatres, ophtalmologistes, gynécologues...

En moyenne, Humanis Terra organise dans ce pays de 12 à 18 missions par an. Les médecins de l'ONG française forment également les membres locaux de Frienship au dépistage. Quand on sait que cette organisation est présente également au Cambodge, en Afghanistan, en Haïti, en Tunisie et même en Jordanie depuis 2013 auprès de réfugiés syriens, on ne peut que se réjouir de cette aide bénévole de certaines de nos équipes médicales aux pays en voie de développement. La solidarité et la compassion guident très certainement ces personnes. Cela fait chaud au cœur en cette période de repli sur soi et de manque d'ouverture à ceux qui souffrent!

Pour en savoir plus ou pour soutenir l'ONG Humanis Terra, consulter: www.humani-terra.org .

Lyliane

 

21/12/2016

Un label européen pour les cosmétiques bio...

 

En 2002, Cosmebio a été l'une des premières organisations à encadrer la cosmétique bio pour lutter contre le «marketing vert», écrit un journaliste dans le Journal Biocontact de décembre 2016. Jusque là, aucune réglementation spécifique émanant de l'Etat ne s'appliquait à ce type de cosmétiques. Cinq membres fondateurs (Cosmebio, BDIH, Ecocert, ICEA, Soil Association) ont crée le référentiel européen Cosmos, à portée internationale, obligatoire au 1/1/2017 pour tout nouveau cosmétique bio.

Cela signifie que désormais les cosmétiques bio seront certifiés selon le label européen Cosmos. Le but est une harmonisation des différents référentiels, ce qui devrait simplifier les choses pour le consommateur.

Le logo sera le même, toutefois, au dessous, il y aura la mention Cosmos Organic. Pour en savoir plus, consulter le blog de Cosmebio: www.cosmebio.org .

Pour obtenir ce label européen, les cosmétiques devront comme autrefois contenir de 95 à 100% d'ingrédients naturels, de 95 à 100% d'ingrédients bio végétaux et 5% maximum d'ingrédients approuvés figurant sur une liste positive, mais deux nouveaux critères plus exigeants s'y ajoutent. En effet, la teneur en ingrédients bio sur le total passe de 10 à 20% (en tenant compte du pourcentage d'eau) et seuls les ingrédients biodégradables seront acceptés.

C'est une garantie d'avoir des produits cosmétiques respectueux de l'homme et de l'environnement. Réjouissons nous de cette avancée!

Lyliane

 

20/12/2016

Se protéger du démarchage abusif...

 

Tout le monde, mais particulièrement les seniors du fait de leur vulnérabilité, peuvent être des victimes potentielles de vendeurs peu scrupuleux cherchant à leur forcer la main pour leur faire acheter des biens ou des services dont ils n'ont nul besoin. Que ce soit par téléphone ou par du porte à porte, ils ont parfois tendance à insister lourdement et à s'incruster, ce que l'on nomme alors du démarchage abusif. Il faut savoir que celui-ci est puni par la loi.

Généralement, ces vendeurs ont été formés à des techniques de persuasion particulières. Parfois même, certains n'hésitent pas à mentir en prétendant que certains services sont devenus obligatoires (ramonage, traitement des charpentes, isolation des combles...). Par téléphone, certains d'entre nous ont été harcelés, aux heures des repas ou le soir, pour nous faire changer de prestataire (électricité, téléphone...). Bref, c'est devenu un problème de société nécessitant d'être bien informé pour échapper à ce démarchage intempestif.

Tout d'abord, personne n'est obligé d'ouvrir sa porte à quelqu'un qui n'a pas pris RV au préalable. Quand la personne est entrée, ne pas oublier de contrôler ses coordonnées et celles de la société qui l'envoie. Pour le cas où une vente est envisagée, ne rien précipiter. Par exemple, exiger un devis avec la somme précise à débourser et se donner le temps de la réflexion et du conseil. Si le vendeur insiste, soyez sur vos gardes, même s'il vous promet des cadeaux pour vous appâter.

De toute façon, toute vente à domicile doit donner lieu à un contrat décrivant précisément les biens ou services souscrits, le prix total, les modalités de paiement, les délais de livraison et il doit être signé par les deux parties. Ce contrat, dont le consommateur doit garder un exemplaire, doit comporter un bordereau de rétractation. En effet, l'acheteur dispose d'un délai de 7 jours, pendant lequel aucune somme et aucun Rib n'est exigible. Il peut en effet annuler la vente dans l'intervalle.

Si le vendeur a fait du démarchage abusif, le consommateur doit contacter immédiatement «Allo, service public» au 3939 (prix d'un appel local). Si nécessaire, le consommateur mécontent sera mis en relation avec la DGCCRF (service de la répression des fraudes).

Pour en savoir davantage en tant que particulier, consulter le site Internet: www.dgccrf.bercy.gouv.fr .

Lyliane

 

19/12/2016

Mission de sauvetage en faveur des plantes médicinales par Mr JM. Dupuis


 

 

Chère lectrice, cher lecteur,

Ce message est sans doute le plus important que je ne vous ai jamais envoyé.
Attention, on va me reprocher de vouloir choquer.

Hé bien oui, c’est exactement ça. Je cherche à choquer fortement.

Car la situation le justifie :

Vous le savez, la médecine par les plantes, l’herboristerie, la nature en général, sont passées ces cinquante dernières années au rouleau compresseur de la modernité.

Le gouvernement de Vichy a supprimé le diplôme d’herboristerie en 1941 ;

Les politiques agro-industrielles modernes ont anéanti des siècles de savoir-faire ancestral dans nos campagnes ;

une crise sans précédent se profile avec l’érosion des sols, la pollution des cours d’eau, le changement climatique, la plus rapide disparition jamais observée dans l’histoire de la biodiversité ;

une perte de contact bientôt totale de notre civilisation avec la nature, l’univers des végétaux, des plantes que ce soit celles qui se mangent ou celles qui guérissent ;

les nouvelles générations de pharmaciens et de médecins ont perdu pratiquement toute connaissance en botanique, herboristerie et plantes médicinales… 

Nous avons désormais la certitude d'aller droit dans le mur. 

Et pourtant, dans ce tableau d’ensemble qui paraît désespéré, une grande lumière d’espérance a paru.

Depuis trois ans, Plantes & Bien-Être a fédéré plus de cinquante mille foyers en France pour maintenir et faire renaître la connaissance et la pratique des plantes médicinales.

Un élan historique, pour la résurrection de la médecine naturelle, est en train d’embraser notre pays… silencieusement.

Vous n’en entendrez pas parler à la télévision, ni dans les journaux.

Mais un travail de fourmi, discret mais colossal, est en train d’avoir lieu pour sauvegarder la médecine par les plantes. Ces pratiques reviennent en force et nous avons désormais l’espoir d’une transmission aux jeunes générations et d’une véritable renaissance.

C’est pourquoi, après des mois d’intenses questionnements et de travail, l’équipe de Plantes & Bien-Être a pris la décision audacieuse de lancer :

La toute dernière mission de sauvetage pour les plantes médicinales

Et je vous propose de participer à ce projet fou mais ô combien urgent et indispensable.

DES GÉNÉRATIONS DE GUÉRISSEURS ET D’HERBORISTES ONT DÉJÀ DISPARU – et leur savoir avec eux !!! Je pense par exemple à Ludo Chardenon, Jacky Rouvier : le dernier herboriste diplômé a disparu en 2000 à 95 ans. [1]

Mais l’histoire n’est pas tout à fait terminée.

Cueilleurs, herboristes, médecins, pharmaciens, phytothérapeutes, il reste encore quelques-uns de ces « derniers des Mohicans », derniers réceptacles de cette culture inestimable et qui serait, sans cela, menacée de disparition tel le continent englouti de l’Atlantide.

Ce sont les irréductibles.

Ils sont dans certaines vallées reculées des Pyrénées ; au fin fond de l’Auvergne ; cachés dans des villages perdus du Berry, de Provence ou des Vosges. Mais il y en a aussi dans les grandes villes ! Au détour d’une ruelle, dans un coin secret de Paris…

Méprisés de tous, abandonnés par la modernité qui continue sa trajectoire à 100 à l’heure vers la catastrophe, oubliés et souvent persécutés des autorités, qui les ont toujours considérés comme des gêneurs inopportuns…

Ils sont l’équivalent, pour notre pays, des derniers shamans de Sibérie, des tribus bientôt détruites d’Amazonie.

Leurs grands-parents, leurs parents, leurs oncles et tantes, ne sont plus là pour nous parler.

Mais ils sont encore là : ils sont les vestiges inestimables d’une culture précieuse, contre laquelle la modernité s’acharne mais qui résistent.

Ils continuent à soigner envers et contre tout.

Ils ont gardé de vieux cahiers, des recettes transmises d’âge en âge, des gestes qui soignent.

Certains sont encore jeunes : ce sont des caractères exceptionnels et très rares, qui ont pris conscience de l’importance de leur mission.

D’autres sont plus âgés.

Mais grâce au patient et minutieux travail de reconstitution qu’elle réalise depuis des années pour le journal Plantes & Bien-Être, Alessandra Moro Buronzo, la rédactrice en chef de cet excellent mensuel, a identifié les plus grands connaisseurs parmi eux. Elle a poussé leur porte. Elle les connaît.

Personne d’autre ne peut tous les connaître.

Ils ne sont pas signalés comme tels dans l’annuaire. Il n’existe pas de liste à leur sujet sur Internet.

Il est presque impossible de les identifier, et plus encore de les rencontrer et les consulter – surtout qu’ils sont disséminés parfois à des centaines de kilomètres les uns des autres !!

Le but de cette « mission de sauvetage » pour les plantes est de permettre une renaissance qui leur ouvrira la connaissance de ces secrets de médecine et de santé.

Demain, c’est peut-être grâce à quelques personnes courageuses que les futures générations et le monde entier auront accès à ces trésors perdus.

Pourquoi est-ce que je vous parle de cette Mission ? Pourquoi êtes-vous concerné(e) ??

Vous n’êtes PAS concerné(e).

VOUS ÊTES INDISPENSABLE !!

Alessandra Moro Buronzo n’entreprendra pas cette mission de sauvetage seule, sans compagnons de route, sans réseau de solidarité pour la soutenir et relayer son travail.

Elle peut le faire, elle va le faire, mais il est indispensable qu'elle soit épaulée dans cette quête de la dernière chance. Cela doit être un travail collectif, sans quoi tout ce travail se perdra, sera à son tour oublié.

Elle a BESOIN DE VOUS !!

Il s’agit de suivre Alessandra Moro Buronzo (par vidéo, depuis chez vous) tandis qu’elle va à la rencontre de ces personnages experts dans leur domaine et qu’ils lui expliquent leurs secrets de santé et l’usage des plantes médicinales ;

Il s’agit de garder la mémoire de ces derniers trésors vivants du monde bientôt menacé des plantes médicinales (en gardant trace chez vous de leurs témoignages, des secrets qu’ils ont reçus de leurs ancêtres) ;

Il s’agit de conserver et de transmettre (chez vous, puis un jour à votre entourage) les précieux films, documents, enregistrements, fiches pratiques, qu’elle vous enverra sur les plantes, les remèdes anciens et bientôt oubliés, au fur et à mesure qu’elle les recueille ;

Il s’agit de soutenir ce projet qui permettra de fixer, avant qu’il ne soit trop tard, ces gestes, préparations, connaissances concrètes d’une médecine ancestrale, qui peut guérir les maladies, douleurs, problèmes, déséquilibres qui affligent l’humanité et contre lesquels la médecine moderne ne peut rien.

Cette « Mission de sauvetage » pour les plantes est sans doute la dernière occasion de découvrir les secrets des plantes médicinales qui sans cela pourraient se perdre à jamais.

« Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante »

Au début de mon message, je vous ai parlé des remèdes contre les maladies les plus graves.

Très peu de gens oseront vous parler de cancer soigné avec des plantes. C’est un des sujets les plus dangereux, les plus explosifs, ceux qui risquent d’attirer le plus d’ennuis avec la police, la justice, l’Ordre des Médecins…

Et pourtant :

Saviez-vous qu’Anne-Françoise Lof vient de publier (novembre 2016) un livre intitulé « Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante : l’Aloe arborescens » ?

Je suppose que non, le black-out absolu est maintenu sur ce livre dans les médias.

Pourtant, cette psychologue française de 48 ans qui était atteinte d’un cancer du sein témoigne dans ce livre de son chemin thérapeutique avec le mélange d’Aloe arborescens (une plante médicinale) selon la recette transmise par le franciscain brésilien Romano Zago.

C’est un témoignage introuvable, inestimable, qui montre comment, « par d’autres cheminements, on peut aussi guérir du cancer ».

C’est le but de la Mission que de recueillir de tels témoignages et de vous les apporter. Sans cet effort, ils tomberont à coup sûr dans l’oubli.

Démangeaisons et infections : un remède dans votre poubelle

99 % des gens les jettent directement à la poubelle : ce sont les barbes de maïs, ces « cheveux » qui sont entre l’épi et les feuilles.

Pourtant, les Mayas, les Incas et autres peuples natifs d’Amérique utilisaient les vertus médicinales des barbes de maïs depuis 9000 ans, quand les Occidentaux les ont découverts.

Les herboristes européens ont vite appris à s’en servir : séchées, elles servent à faire un bain de pied qui soigne les cors et les durillons. En tisane, elles expulsent les toxines et déchets en excès dans l’organisme, et permettent de nettoyer les voies urinaires, y compris en cas d’infection de la vessie.

Si vous souffrez de démangeaisons ou d’infections, c’est la tisane à prendre en priorité. Elle vous nettoiera « de l’intérieur », réduira les œdèmes, bleus, bosses, et démangeaisons.

Nos grand-mères connaissaient pratiquement toutes ce remède. Voyez à quelle vitesse il a été oublié !

Poches sous les yeux : les 4 mousquetaires végétaux

Les poches sous les yeux ne sont pas vues comme un problème par la médecine, qui les considère comme une évolution « normale », liée à l’âge.

En fait, les poches sous les yeux sont dues à une rétention d’eau et parfois de graisse, renforcées par les toxines, l’alcool, le tabac et les médicaments.

Le maquillage permet de les cacher, pas de les traiter.

Les magazines féminins recommandent le concombre, les rondelles de pomme de terre : ça ne marche pas. Quant à la glace, efficace en urgence, elle abîme la peau très fragile du dessous de l’œil.

La médecine par les plantes connaît depuis des temps immémoriaux les « 4 mousquetaires » végétaux qui résorbent les poches sous les yeux.

Tout le monde l’a oublié, aujourd’hui.

Tout le monde… ou presque.

Parce que les rares véritables spécialistes des plantes vous expliqueront qu’il faut quatre hydrolats particuliers (les hydrolats sont des extraits de plantes obtenus par distillation à la vapeur) :
  • L’hydrolat de cèdre de l’Atlas

  • L’hydrolat d’hélichryse

  • L’hydrolat de cyprès

  • Et l’hydrolat de camomille.

En mélange à 50 % chacune, les deux premières sont à appliquer le matin sur le visage. Elles assurent la décongestion veineuse et stimulent la circulation sanguine.

Les deux autres sont à mélanger à 50 % chacune également, puis à appliquer sur des rondelles de coton. Les appliquer sur les deux yeux quelques minutes pour faciliter la migration de l’eau stagnante et adoucir l’épiderme fragilisé.

Truc supplémentaire contre les cernes : pour améliorer la régénération des muqueuses, ajouter dans sa crème du jour deux gouttes d’huile essentielle de ciste et deux gouttes d’huile essentielle de carotte sauvage.

C’est un trésor parmi les milliers et les milliers qui seront récoltés, documentés, archivés, au cours de cette grande Mission.

Il y en aura des milliers d’autres qui concerneront les maladies du cœur, l’arthrose, l’ostéoporose, la maladie de Parkinson, Alzheimer, la dépression, les insomnies, les acouphènes, les maux de tête, le côlon irritable, les irritations, les démangeaisons, les mycoses, la thyroïde, l’asthme et les allergies…

Les plus grands personnages vivants du monde des plantes médicinales

Au cours de cette Mission, Alessandra Moro Buronzo a déjà prévu d’aller rencontrer, chez eux, et de recueillir les précieux témoignages de grands personnages encore vivants de la médecine par les plantes comme :
  • Pierre Franchomme, pharmacien, qui fut l'un des pionniers de l'aromathérapie. On lui doit l'existence de certaines huiles essentielles très communes comme le tea tree et le ravintsara ;

  • Alain Robert, docteur en pharmacie, est l'un des rares pharmaciens en France qui possède le savoir-faire pour réaliser des complexes à base de plantes. Expert et passionné des plantes, il est conseiller de la nouvelle herboristerie Naturathera à Paris.

  • Michel Pierre, herboriste, dans la boutique mythique qu’il tient depuis 50 ans, l’herboristerie du Palais-Royal ;

  • Christophe de Hody, herbaliste, qui l’emmènera dans la campagne à la reconnaissance des plantes. Tout sera filmé, vous pourrez suivre l’aventure, voir de vos propres yeux la cueillette, l’usage sur place, ou après une préparation, des plantes médicinales ;

  • Ainsi que des dizaines d’autres experts, guérisseurs, naturopathes, médecins, appartenant au réseau des contributeurs de Plantes & Bien-Être comme le Dr Franck Gigon, le Dr Bérangère Arnal, le Dr en pharmacie Danièle Roux, Nicolas Wirth, Christophe Bernard et bien d’autres, qui tous vous ouvriront leur cabinet, leurs grimoires, leurs connaissances ancestrales, et, plus important encore leur cœur et les messages d’une valeur inestimables qu’ils ont à léguer à la civilisation.

Alessandra vous ouvrira sa bibliothèque secrète et vous enverra de précieuses informations sous forme de dossiers ou d’enregistrements, selon les cas (selon ce qui est le plus pratique pour le sujet).

Vous voyagerez dans le temps, également, car Alessandra vous fera découvrir le monde extraordinaire de :
  • Carl von Linné (1707-1778), naturaliste suédois, père du système moderne de nomenclature binominale en botanique et zoologie ;

  • Anna Atkins (1799-1871), botaniste britannique est pionnière dans l’utilisation des images photographiques pour illustrer les herbiers ;

  • Jean-Marie Pelt (1933-2015), biologiste et botaniste engagé dans la défense de l’environnement. 

Jean-Marie Pelt est aujourd’hui décédé mais Alessandra Muro Buronzo a eu la chance inouïe de recueillir encore ses confidences en 2014.

Vous serez introduit auprès de l’équipe des experts de Plantes et Bien-être - médecins, pharmaciens, naturopathes - en participant à des ateliers de questions-réponsessous forme de « webinaires » ou conférences en ligne.

Vous serez invité(e) à envoyer vos questions à ces spécialistes des plantes. Alessandra les posera pour vous lors de ses rencontres. Vous recevrez chez vous les films enregistrés.

Des détours inattendus sont à prévoir. Sur le chemin des secrets de santé de la Nature, Alessandra Moro Buronzo a d’ores et déjà prévu de recueillir aussi les confidences de sommités de la santé naturelle que vous connaissez forcément, comme le Dr Michel de Lorgeril, le psychanalyste Guy Corneau ou le Dr Eric Ménat (que vous connaissez probablement).

En plus, vous recevrez, tous les six mois, un volume encyclopédique regroupant toutes les informations précieuses, introuvables, qui auront été rassemblées pendant la Mission.

Bref, vous l’avez compris, il s’agit bien du plus ambitieux et important projet dont je ne vous ai jamais parlé jusqu’à présent.

Personne ne sait aujourd’hui où cette Mission va aboutir. Combien de temps elle durera.

Où elle nous mènera, ultimement.

De longs mois, peut-être des années

Alessandra Moro Buronzo s’apprête à partir sur les routes de France pour cette « Mission » qui durera de longs mois, et peut-être des années.

Vous pouvez vous engager à soutenir cette grande œuvre en prenant une place de « compagnon de route ».

Cela implique que vous recevrez toute sa correspondance (messages électroniques, vidéos, films, dossiers, fiches, enregistrements) directement chez vous. Pour participer et soutenir cette Mission, vous n’avez donc pas besoin de sortir de chez vous.

En revanche, seuls les compagnons de route officiellement enregistrés comme tels sont éligibles à recevoir les précieux secrets qu’Alessandra collectera au long de sa quête.

Et il y a des conditions restrictives :
  • Seuls les actuels lecteurs de Santé Nature Innovation sont éligibles au quota de place de la Mission ;

  • Ce quota est limité dans un premier temps à 300 compagnons de route ;

  • Vous devez vous déclarer avant le 31 décembre 2016 pour vous élancer dans l’aventure dès le 1er janvier 2017.

Ensuite, ce sera à vous de décider jusqu’où vous vous sentirez la force de poursuivre l’aventure.

A tout moment, vous pourrez quitter la Mission. Votre place sera alors automatiquement attribuée à la personne suivante sur la liste d’attente.

Dès votre inscription validée, votre premier « Rendez-vous » vous sera fixé par Alessandra, qui vous indiquera ce que vous allez recevoir chez vous, à quelle date.

Vous aurez ainsi chaque semaine un « Rendez-vous de Plantes & Bien-Être » correspondant aux progrès de la « Mission de sauvetage pour les plantes médicinales ».

Une première semaine de préparation à la Mission (parcours de bienvenue) est à prévoir, qui vous assure les connaissances de base fondamentales à avoir sur les plantes.

18/12/2016

Du champagne en biodynamie...

 

 

Un article de Mr Vincent Rémy, dans le journal Télérama du début décembre 2016, fait le point sur un sujet relativement sensible en cette période de fêtes de fin d'année: le champagne. D'après le journaliste, les grandes marques de la région d'Epernay nous ont habitués, avec leurs 200 millions de bouteilles expédiées dans le monde entier, à «un champagne fabriqué gavé de levures et de sucre de betteraves». Selon les nouveaux viticulteurs interviewés, «leur créativité vient surtout du marketing et du packaging»!

Or, à la tête de la Maison Leclerc Briant, fondée par un écologiste, qui dès les années 1960 produisait des vins 100% naturels, Mrs Frédéric Zermatt et Hervé Jestin, respectivement Directeur Général et œnologue, pratiquent la biodynamie pour leur champagne. La biodynamie, en résumé succinct, est un système de production agricole, inspiré par le penseur Mr Rudolf Steiner au siècle dernier, qui exclut toute chimie et prend notamment en considération les rythmes lunaires et planétaires.

Pour ces deux hommes la biodynamie qu'ils mettent en œuvre ne s'arrête pas à la culture de la vigne (sans traitements chimiques), mais elle continue à la cave. Le raisin pressé est gardé couché dans des fûts de qualité différente, afin de pouvoir expérimenter le résultat. Il y a des fûts de bois, de terre cuite et même un tonneau métallique recouvert à l'intérieur d'une mince feuille d'or. Ils ont en effet le désir d'élever le niveau vibratoire du moût et de produire un vin vivant, qui se garde sans oxydation, alors qu'il est dépourvu de sucre et de sulfite. Une fois vieilli dans leurs caves de craie le temps nécessaire, le vin produit est d'une grande pureté. Les bouteilles sont remuées chaque jour d'un huitième de tour, une technique manuelle remplacées partout ailleurs par des machines.

Selon Mrs Zermatt et Jestin, les jeunes générations en Champagne cherchent à se passer d'herbicides et de pesticides dans leurs vignes. Beaucoup se sont convertis au bio. C'est le cas notamment de Mr Jérôme Bourgeois dans l'Aisne. Un Salon nommé Bulles Bio, qui se tient chaque année à Reims attire désormais des américains, des scandinaves, des japonais et des coréens. Ainsi, la preuve est faite que, sans forcer la nature, sur une petite parcelle de 10 ha plantée en Chardonnay un champagne de qualité, vibrant de vie, peut être produit et apprécié à sa juste valeur.

Achetons sans hésiter du champagne de la Maison Leclerc Briant et faisons le savoir autour de nous! Le changement que nous espérons passera donc aussi par le vin que nous consommerons entre amis!

Pour en savoir davantage ou pour commander, consulter le site Internet: www.leclercbriant.fr

Lyliane

 

17/12/2016

Le septième continent...

 

Dans nos mers et nos océans, des déchets plastiques désagrégés, qui ont dérivé au gré des courants marins, se rassemblent en amas. On appelle ces amas: le septième continent. Le premier fut découvert par un navigateur en solitaire, Mr Patrick Deixonne, traversant l'Atlantique à la rame entre le Sénégal et la Guyane. Il décidera alors d'explorer cette plaque de déchets dans l'Atlantique Nord, couvrant une superficie équivalente à 6 fois la France et de communiquer à ce sujet. Dans cette zone, les scientifiques ont mesuré que pour 1l de plancton, il y a 5l d'une soupe de matières plastiques. Depuis, on s'est aperçu que l'Océan Pacifique, l'Océan Indien et la Mer Méditerranée ont également leurs amas de micro-particules de ce plastique venu des terres habitées, qui met très longtemps à se désagréger. On l'estime à environ 3 millions de Km2.

Ces énormes tourbillons de déchets plastiques ou gyres posent des questions cruciales à tous les habitants de la planète, car ils modifient l'équilibre écologique des mers et des océans, menaçant la biodiversité. Oiseaux de mer, tortues sont les premiers touchés par cette pollution. On retrouve même des bribes de ces déchets dans le ventre des poissons que nous mangeons. Des missions ont été organisées depuis 2012 et 2013, afin d'alerter le public et les hommes politiques sur la gravité de la situation.

Mr Deixonne a crée une association, reconnue d'utilité publique, «le 7ème continent» et il lance de nombreuses actions pédagogiques. Par exemple, il a imaginé une BD «Le monstre de Plastique», afin d'expliquer aux jeunes les dangers pour toute la chaîne alimentaire. Un film illustrant ses expéditions est également disponible depuis peu (You Tube). Pour le moment, peu de solutions ont été trouvées pour vraiment endiguer le phénomène. Des scientifiques y travaillent pourtant. Un organisme, le CRIIT, travaille de son côté au recyclage des polymères. Et les gouvernements des pays industrialisés interdisent les uns après les autres les sacs plastiques... Mais il faudra faire plus!

Pour en savoir davantage, contacter par Internet: www.7econtinent.com et www.criit-polymere.fr .

Lyliane

 

16/12/2016

Pouvons-nous nous passer des super-marchés?

 

L'émission «Tout Compte Fait» sur la deuxième chaîne le 10 décembre 2016 posait cette question. Un reportage effectué aux Etats-Unis montrait que 40 % de la nourriture finit dans les poubelles des super-marchés. Des millions de dollars sont gaspillés de la sorte. Les produits, la plupart du temps encore emballés, sont jetés car ils auraient de minuscules défauts.

Certes, les poubelles des super-marchés sont propriété privée dans ce pays et des vigiles peuvent donner des amendes à ceux qui auraient des vélleités de fouiller dans leurs poubelles. Pour Rob, le héros du reportage, ce n'est pas un obstacle: il fait régulièrement le tour des super-marché de sa ville et il revient le plus souvent le coffre plein de nourriture (250 kg pour un équivalent de 1000 euros environ). Le reportage le montrait ensuite sur le campus de l'Université de Raleigh, à 200 km de chez lui, où il distribuait gratuitement aux étudiants les marchandises récoltées. Il appelle ces tournées: le grand fiasco du gaspillage!

Il aurait déjà 15 opérations choc à son actif, ce qui l'a rendu célèbre dans tout le pays. A 30 ans, avec sa compagne Chéryl, ils sont devenus des vedettes de l'écologie, cherchant à faire faire des prises de conscience à leurs concitoyens. Ils leur proposent de changer leurs habitudes, pour sauver la planète, par exemple en économisant l'eau potable, en roulant en transports collectifs ou à vélo... L'émission les montrait ensuite achetant leur nourriture en vrac dans une boutique où l'on peut remplir bocaux et flacons soi-même, ce qui coûte 30% moins cher qu'en super-marché. Ils militent en effet pour que les américains achètent le moins possible de plats préparés et de nourriture industrielle.

Depuis peu, Rob et Chéryl ont franchi un pas de plus: ils parcourent le pays à pied sac au dos, dorment à la belle étoile ou bien sous tente, car ils ont vendu leurs logements. Un ordinateur fonctionnant à l'énergie solaire, quelques vêtements, des allumettes et un briquet ainsi que du matériel de toilette sont leur seul bagage. Ils vivent de petits boulots et payent tout en cash. A Atlanta, dans un quartier pauvre, ils ont avec quelques bénévoles construit, grâce à des matériaux de récupération, des mini jardins pour les habitants. Ils leur apprennent à semer et à récolter à plusieurs dans ces bacs de la nourriture gratuite, au lieu d'aller à la supérette du coin. Là, il n'y a que des sodas, des chips et des plats industriels, nourriture chère qui à la longue nuit à leur santé.

En agissant localement et en donnant l'exemple d'une vie sans déchets, ils montrent qu'il est possible et même souhaitable de nous passer des produits de la grande distribution. Dans notre pays, il y aurait sans doute des enseignements à retirer de ce mode de vie. Les petits commerçants auraient déjà une carte à jouer en proposant des produits de qualité et en étant sensibilisés au non gaspillage. Les éleveurs commencent à éviter les intermédiaires et à vendre en circuits courts leur lait et leur bétail. Quant aux citoyens que nous sommes, nous serions bien inspirés de veiller à nos transports, à l'eau que nous utilisons, à nos déchets et à notre nourriture, que nous pouvons produire nous-même. En ville, le système AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) permet par exemple de passer contrat avec des agriculteurs, pour pérenniser leurs exploitations et pour se nourrir de produits poussés sans engrais chimiques... Bref, les pistes de changement sont chez nous également nombreuses! Lutter contre la pollution, la malbouffe, le gaspillage à tous les niveaux, par quoi allons nous commencer?

Lyliane

 

15/12/2016

Un nouveau métier: biographe hospitalière...

 

 

Depuis 2007, Mme Valéria Milewski propose à des patients cancéreux d'écrire leur biographie. Elle est devenue salariée de l'Hôpital de Chartres et elle prépare un doctorat de linguistique à Nanterre. A ce jour, elle a formé une autre personne pour la seconder, Mme Christine Cormona.

A Rennes, Mme Céline Feillel, écrivain public, se déplace au chevet des malades à l'hôpital ou à leur domicile pour recueillir leur histoire. Dans un service de soins palliatifs, puis de soins pédiatriques, Mme christelle Cuinet, bénévole de l'Association JALMALV de Besançon, a entrepris de raconter la vie personnelle d'adultes et d'enfants gravement malades...

Le Journal Que Choisir Santé de Décembre 2016, dans un article signé par Mme Sandrine Letellier, nous rapporte ces quelques initiatives généreuses, qui ont transformé la vie des bonnes volontés comme des patients. Le Président de l'association Traces de Vie, le Dr E. Plouvier, que la Ligue contre le Cancer soutient financièrement à Montbéliard, essaye d'étendre cette démarche à d'autres établissements.

En effet, écrire avec l'aide d'une autre personne permet de moins penser à sa maladie, d'avoir d'autres perspectives. C'est un espace de liberté et de créativité, qui peut changer le moral des malades. Et quelle fierté d'avoir réussi à composer un ouvrage que l'on peut offrir à ses proches!

Pour en savoir davantage, contacter sur Internet le site: www.tracesdevies.fr ou par téléphone le 06 08 06 72 15.

Lyliane

 

14/12/2016

Transmis de L'Association de la santé naturelle: Vaccins obligatoires, renforcement inexplicable!

France : bientôt 11 vaccins obligatoires !

Chère amie, cher ami,

Depuis l’année 2008, le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) n’est plus disponible dans les pharmacies en France.

Ce vaccin était le seul obligatoire. Il était important. Il avait été utilisé depuis des décennies avec succès. Ces maladies avaient été pratiquement éradiquées.

Il s’agissait d’un vaccin sûr. Il ne contenait pas d’aluminium. Qui plus est, c’était un vaccin bon marché (6,54€).

Mais depuis 2008, les laboratoires pharmaceutiques ont retiré le DTP du marché. Ils l’ont remplacé par un super-vaccin contenant des vaccins contre trois maladies non-obligatoires.

Ce vaccin, appelé Infanrix-hexa :
  • contient trois vaccins qui ne sont pas obligatoires ;

  • contient de l’aluminium et d’autres adjuvants ;

  • contient le très controversé vaccin contre l’hépatite B (parfaitement inutile pour la plupart des nourrissons)

  • et il coûte 7 fois plus cher !!

Mais les parents sont obligés de l’acheter et de l’injecter pour se conformer à leur obligation vaccinale !!!

Cette situation est anormale. Elle est injustifiée. Depuis longtemps les autorités auraient du réagir. Elles ne l’ont pas fait.

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a lancé avec le Pr Henri Joyeux, en mai 2015, une grande pétition pour le retour du classique DTP sans aluminium. Cette action a déclenché une immense prise de conscience. Plus d’un million de citoyens ont participé. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a réagi en lançant une consultation nationale sur les vaccins.

Cette consultation devait être démocratique.

Elle devait être ouverte.

Elle devait répondre aux légitimes inquiétudes des parents, des grands-parents, de la population.

Elle devait tenir compte de l’intérêt et de la santé des enfants, des risques associés au vaccin, du problème de l’incertitude, des dangers, et des accidents, parfois graves, qui ont eu lieu avec la vaccination.

Mais le Comité pour la Vaccination a rendu son rapport public le 30 novembre 2016. [1]

Et c’est un véritable scandale.

Plutôt que de rappeler à l’ordre les laboratoires pharmaceutiques, et d’exiger à nouveau le simple DTP, le Comité demande exactement le contraire :

  • Il recommande de rendre obligatoire tous les vaccins présents dans le super-vaccin ;

  • Il recommande d’ajouter cinq autres vaccins obligatoires ;

  • Il parle même de rendre obligatoire le tristement célèbre Gardasil, contre le cancer du col de l’utérus (vaccin anti-papillomavirus), et éventuellement d’étendre l’obligation à tous les petits garçons !!!

  • Il recommande de priver les enfants d’accès aux crèches, écoles et toute autre collectivité si les parents refusent une seule de ces vaccinations ;

  • Il conseille d’engager des poursuites judiciaires contre les parentsrécalcitrants [2]

  • Il veut mettre à la charge de la collectivité (c’est-à-dire vous et moi)les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu’à celle de l’industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;

  • Enfin, il recommande « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble des recommandations ».

Jamais une offensive aussi directe n’avait été menée dans la santé.

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Signez, c’est urgent, SIGNEZ LA PETITION CI-DESSOUS POUR BLOQUER CE PROJET avant qu’il ne soit TROP TARD !!

http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php

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Nous devons être des millions à dire NON. La France entière qui doit se lever.
« C’EST A N’Y RIEN COMPRENDRE », commentait le journal Le Figaro, au sujet de cette préconisation. [3]

« Une position déroutante », déplorait Libération. [4]
Cela ressemble en effet à la politique du pire ! Et à une provocation lancée à la figure de toute la population. Certains ont parlé du « Dernier coup de poignard de Marisol Touraine » !!!

Il s’agit en somme de rendre 11 vaccins obligatoires : hépatite B, coqueluche, haemophilus influenzae b, pneumocoque, méningocoque C, rougeole, oreillons, rubéole, plus les rappels.

Pire encore, leur projet est de mettre tous les risques et les coûts à notre charge :

  • Page 32 du rapport [1], il est expliqué que la « prise en charge intégrale de l’achat des vaccins par les régimes obligatoires de l’assurance maladie doit être assurée. Le coût d’une telle mesure est estimé entre 110 et 120 millions €/an. » C’est donc les assurés sociaux, autrement dit vous et moi et toute la population, qui sommes mis à contribution ; et notre argent ira à l’industrie pharmaceutique ;

  • Page 32 également [1], il est recommandé, pour les accidents qui se produiront inévitablement, « d’imposer un régime d’indemnisation des effets indésirables par la solidarité nationale », c’est-à-dire encore une fois nous faire payer vous et moi, via nos impôts.

Sont-ils devenus fous ??

D’où un tel mépris leur vient-il ?? Se croient-ils dans une dictature ??

Apparemment oui ! Et à ce stade, c’est au peuple de se défendre !!

Il n’y a pas une ligne dans le rapport qui défende l’opinion majoritaire dans la population.

Tout semble avoir été écrit par les labos pharmaceutiques.

Ce Comité Vaccination qu’on nous avait présenté comme « représentatif » est une supercherie.
« L’élaboration de cette parole citoyenne s’est faite en l’absence de toute publicité », a d’ailleurs souligné le journal Libération. [5]
Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu’un haut fonctionnaire avait claqué la porte du Ministère de la Santé.
Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, Secrétaire Général de la Conférence Nationale de Santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé ».

Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l’Institut pour la Démocratie en Santé.
« Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l’ensemble des moyens d’expression de la démocratie en santé ».
Seuls les acharnés de la vaccination et les industriels avaient été invités !!

Le Président du Comité de Vaccination, Alain Fischer a reçu en 2013 le prix Sanofi Pasteur, une distinction propre à ce laboratoire pharmaceutique qui est l’un des plus grands fabricants de vaccins du monde !

Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre sur les réseaux sociaux :
« Comment peut-on "rétablir la confiance" par une dictature médicale ?», déplorait un lecteur sur le site du quotidien Libération. [6]

« On vous oblige à vous injecter des vaccins et, en prévision de la prise en charge des soins d'une grave complication, pour ne pas faire payer les laboratoires pharmaceutiques, on vous colle une nouvelle taxe sur les médicaments ! » s’insurge un internaute en réaction à l’annonce.

« Comment peut-on nous prendre à ce point pour des idiots ???!!!! Je suis tellement attristé et en colère. Quel pays !!!... » réagissait jeudi 1er décembre au matin un auditeur de RMC, qui venait de recevoir la nouvelle sur la tête.

« Clairement c'est du totalitarisme », réagissait-on sur le site du journal 20 Minutes. [7]

« Comment se fait-il qu’en Allemagne ou en Espagne, où les vaccins ne sont pas obligatoires, il n’y ait pas plus d’épidémie que chez nous ?! » [8]
Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée.

Personne ne doit pouvoir dire, ou affirmer, que ces réactions sont isolées.

Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum, pour opposer un véritable barrage démocratique à cette initiative.

Nous savons que des millions de signatures sont nécessaires.

Et nous pouvons les rassembler : plus de 40 % des Français ont compris qu’il y avait du flou derrière le discours du gouvernement sur la vaccination. [9]

Il est important d’agir au plus vite car la Ministre de la Santé cherchera très probablement à agir avant l’ouverture de la campagne électorale de 2017 (dans cinq semaines, après les primaires du parti socialiste).

C’est pourquoi nous sommes dans l’urgence absolue. C’est une question de jours, ou peut-être même d’heures.

Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous.

C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles si nous ne leur imposons pas leur onze vaccins obligatoires !!

Derrière, ce sont des milliers, ou au minimum des centaines d’effets indésirables graves qui se produiront. Mathématiquement, c’est une certitude. Cela pourra être chez vous, dans votre entourage, ou dans le mien.

Ne nous laissons pas faire !!! MOBILISONS TOUT NOTRE ENTOURAGE.

TRANSFÉREZ CET APPEL PARTOUT AUTOUR DE VOUS.

C’EST NOTRE DERNIÈRE CHANCE !!!

Un grand merci,

Augustin de Livois

13/12/2016

L'argent colloïdal, un remède en or...

 

C'est le titre qu'a donné Mme Jeanne Perros à son ouvrage paru en 2012 aux éditions Trédaniel. Cette femme ingénieur, passionnée par les médecines douces, la nutrition et la botanique, présente l'argent colloïdal comme un anti-infectieux à large spectre et une alternative possible aux antibiotiques.

Ce produit naturel, capable de s'attaquer à la plupart des bactéries, virus et parasites, est tombé dans l'oubli dans notre pays après la découverte des antibiotiques de synthèse vers les années 1940. Toutefois, ses propriétés étaient connues depuis des millénaires. En France, de nombreux médecins l'utilisaient encore dans la première moitié du 20 ème siècle. Aujourd'hui, les antibiotiques de synthèse ayant montré leurs limites (antibiorésistance, dégradation de la flore intestinale), l'argent refait surface et démontre son efficacité.

L'argent colloïdal consiste en de minuscules particules d'argent, chargées électriquement et en suspension dans de l'eau déminéralisée. La solution peut être à dominante métallique ou ionique. Des études de 2007, 2008 et 2009 en Corée, en République Tchèque et aux Etats-Unis ont montré que l'argent est un antiviral de premier ordre pour lutter contre les infections et même en cas de pandémies (grippe aviaire, grippe H1N1...). Il est dénué d'effets secondaires à dose recommandée. Toutefois, ce qui freine sa diffusion, est que l'argent colloïdal présente un intérêt médiocre pour les laboratoires pharmaceutiques...

Les témoignages abondent sur Internet, que ce soit pour vanter l'efficacité des pansements imprégnés à l'argent, pour purifier l'eau, pour désinfecter les surfaces, soigner les mycoses, les plantes et même pour protéger les mamelons des femmes allaitantes. Toutefois, un usage interne en mode sublingual en dehors des repas est également recommandé dans des épisodes infectieux pulmonaires ou autre.

En France, de nos jours, le moyen le plus simple pour acheter de l'argent colloïdal est de le commander sur Internet. Les marques américaines comme Sovereign Silver ou American Biotech Labs sont les plus connues. En France, la marque Argent Vital commercialise depuis peu de l'argent colloïdal à un prix raisonnable en magasin diététique ou en para pharmacie.

Les maladies nosocomiales se développant actuellement dans les hôpitaux, l'argent semble susciter un intérêt croissant de la part des médecins. Des espoirs nouveaux en outre sont nés de son potentiel dans la lutte contre la mucoviscidose, certains cancers ou des maladies coronariennes.

J'ai personnellement testé des ampoules de granions d'argent pour une infection urinaire et un gros rhume: en 3 jours, à raison de 2 ampoules par jour loin des repas, tout était terminé sans aucun effet secondaire.

Lyliane

 

 

 

 

 

12/12/2016

Intérêt des produits fermentés...

 

 

De nos jours ce type de produits fermentés paraît exotique. Toutefois, la fermentation est une technique de conservation très ancienne, utilisée dans pratiquement tous les pays du monde. Sans le savoir, nous consommons de nombreux produits fermentés, à commencer par les cornichons, les yaourts, les fromages, la bière, le vin, la choucroute... Ils ont en effet subi un procédé physico-chimique de transformation entièrement naturel.

On a laissé des micro-organismes (bactéries, moisissures, levures et enzymes) modifier l'aliment. Il existe trois types de procédés: alcoolique(vin, bière), acétique ( vinaigre, cornichons) et lactique (viande, poisson, légumes, produits laitiers, fruits). Pour le procédé lactique, il suffit par exemple de laisser tremper la denrée lavée crue (entière ou en morceaux) dans la saumure (sel: 2 cuillère à soupe au moins pour 1l d'eau bouillie) plusieurs jours, plusieurs semaines ou plusieurs mois dans un bocal en verre ébouillanté et bien fermé, le temps pour les bonnes bactéries de se développer à l'ombre et au frais. On peut faire fermenter n'importe quel légume, sauf les pommes de terre.

Des chefs étoilés, comme Mr Yannick Alléno, militent pour un retour à la fermentation, qui serait plus sûre que l'appertisation (conserves stérilisées), qui chauffe les produits, ce qui appauvrirait leurs saveurs. La fermentation en milieu anaérobie est censée au contraire bonifier la texture et le goût des aliments. De plus, elle empêche les moisissures. Sur le plan de la santé, les produits fermentés sont réputés aider le travail digestif. Ils apportent même des vitamines A, B, C et K.

Pour en savoir plus, consulter sur Internet le site: www.cuisine-saine.fr .

Lyliane

 

10/12/2016

Vous avez dit vitiligo?

 

 

J'ai vu récemment un témoignage sur la deuxième chaîne de télévision de Mademoiselle Nadia Bouchikhi, interviewée par Mme Sophie Davant à propos du vitiligo. Cette maladie rare touche environ un million de personnes dans notre pays. C'est une maladie inflammatoire évolutive qui touche particulièrement les zones de frottement et le visage par une dépigmentation de la peau. Il n'y aurait à ce jour aucun traitement connu. Selon un spécialiste, seules certaines crèmes pourraient aider à une forme de repigmentation de la peau. L'exposition modérée à la lumière ou photothérapie serait également susceptible de stimuler les mélanocytes...

Nadia Bouchikhi a choisi de témoigner à visage découvert, afin d'affirmer sa différence dans un monde où l'apparence, pour les femmes notamment, joue un très grand rôle. Elle tient à faire passer un message positif, car beaucoup de personnes touchées, des adolescentes notamment, cachent leur vitiligo ou bien, si elles se montrent, vivent une forme de rejet. Ayant rencontré un photographe de mode au regard amoureux et donc bienveillant, cette jeune femme a pu accepter sa maladie et renoncer à se cacher. Au contraire, elle fait aujourd'hui des photos en tant que mannequin comme on ferait une thérapie.

Dans le monde d'aujourd'hui, beaucoup de personnes malades ou handicapées, doivent se cacher dans la mesure où le regard d'autrui est rarement bienveillant à leur égard. C'est notamment le cas de personnes qui ont perdu leurs cheveux après une chimiothérapie; de femmes et d'enfants albinos, atteints par cette maladie génétique très répandue en Afrique. Là bas, c'est le cas d'une personne sur 4000, alors qu'en Europe la maladie touche une personne sur 20 000 environ. La stigmatisation de tous ces malades mériterait d'être mise au jour et combattue, car elle est profondément injuste.

Lyliane

 

08/12/2016

Un prêtre au Bois de Boulogne...

 

Le 5/12/2016, lors de l'émission Mille et une Vies (2ème chaîne) avec Mr Frédéric Lopez, nous avons fait connaissance avec un homme hors du commun: le frère Jean-Philippe Chauveau. Celui-ci a courageusement fait part de son enfance difficile, au cours de laquelle il a souffert de maltraitance et d'abandon. Né en 1950, devenu très jeune orphelin, il a en effet connu la maison de correction pour des vols et des fugues nombreuses de la pension dans laquelle il avait été placé. Il a même été violé par un voisin. Donc, une jeunesse pleine de souffrances et de rejet, qu'il n'oubliera pas, mais dont il fera, avec le temps, une belle occasion de résilience...

Alors qu'il avait commencé à travailler en usine, c'est un collègue qui lui parla pour la première fois de religion. Des rencontres s'en suivirent avec un prêtre notamment et avec Mr Jean Vanier, fondateur de l'Arche, l'incitant à changer de vie et à reprendre des études. Il décida alors de placer son être sous le regard bienveillant de la Vierge Marie. En 1975, il partagea la vie communautaire des moines de Lérins, devenue ensuite Communauté de St Jean. En 1982, il fut ordonné prêtre et devint vicaire de l'Eglise Sainte Cécile de Boulogne (92). La paroisse de cette Eglise, qui fait partie du diocèse de Nanterre, comprend à la fois des beaux quartiers et le Bois de Boulogne. Là vivent des toxicomanes, des SDF, des prostitués. Ces deux mondes jusque là ne se rencontraient jamais, malgré les appels récents du Pape François...

En 2008, ému par le sort des personnes rejetées socialement vivant dans le Bois de Boulogne, par la vie marginalisée de prisonniers, de SDF et de nombreux réfugiés, il crée l'Association Magdalena 92. Au sein de cette association, il oeuvre avec des bénévoles, afin d'ouvrir le cœur des paroissiens à la misère morale et physique qu'ils côtoyaient jusque là sans la voir. Pour lui, en effet, «la révolution de l'amour commence par un sourire!» Chaque année, un pèlerinage à Lourdes permet aux prostitués qui le souhaitent de s'y rendre. Du jamais vu! Puis, ayant obtenu de ses supérieurs la disposition d'un bâtiment, il en fait une maison d'accueil et de réinsertion. Là, des ateliers de jardinage, de confection de cierges ouvrent à une autre vie, où la prière a toute sa place.

Sensibilisé au monde des déshérités depuis son jeune âge, touché par l'investissement de quelques paroissiens, qui changent leur regard et s'engagent à sa suite, le frère J.P. Chauveau démontre que le manque d'amour et de tendresse peut conduire à des erreurs et à des impasses. Il tend la main, écoute et transmet des valeurs humaines sans attendre de retour de tous ceux qu'il côtoie... En 2012, avec Mr Luc Adrian, il a publié un ouvrage (collection Société chez l'Oeuvre) intitulé: "Que celui qui n'a jamais pêché"...

Quel bel exemple d'ouverture du cœur: au lieu de juger, sourire, tendre la main et prier!

Lyliane

 

04/12/2016

Stress au travail: le mal du siècle!

Mme Christine Dellocque a témoigné le 30/11/2016, à visage découvert, au cours de l'émission de Mr F. Lopez Mille et une vies, à propos du "burn out" qu'elle a vécu au sein de la grande banque française, à laquelle elle appartenait. En effet, ses conditions de travail se sont faites de plus en plus difficiles... Expatriée au Cambodge avec sa famille, elle a été vite confrontée à une forme de harcèlement et à des exigences démesurées de sa supérieure hiérarchique. Démotivée, mal considérée, elle a été obligée de rentrer en France, en proie à une forme de dépression d'épuisement. Séparée de son conjoint, son salut viendra finalement d'une reconstruction personnelle au cours de laquelle elle découvrira d'autres valeurs grâce notamment au yoga.

Invité à l'émission, un médecin auteur d'un livre sur le sujet intitulé "Le stress au travail", a essayé de cerner la personnalité des personnes les plus vulnérables à ces pressions au travail. Selon lui, ces personnes sont le plus souvent perfectionnistes et donc elles se donnent à fond en espérant une certaine reconnaissance, qu'elles n'obtiennent pas. En surinvestissement professionnel, elles finissent pourtant par croire ne rien valoir et par vivre des relations déshumanisées.

Il y aurait 100 000 personnes en France, victimes de burn out. Dans notre pays, en effet, on accorde beaucoup d'importance au travail, beaucoup plus que dans les pays voisins. Peu à peu, certaines sociétés françaises en viennent à oublier le facteur humain et à considérer leurs employés comme des pions. Certes, tout ne vient pas d'un coup et n'est pas uniquement du fait des entreprises: on considère en effet que 35% vient de la personne elle même, qui finit par ne vivre que pour son travail, par un fort besoin de considération ou la peur du chômage si elle ne faisait pas l'affaire.

Toutefois, pour l'entourage et pour la personne elle-même, des signes avant-coureurs peuvent être observés. Une souffrance physique tout d'abord (maux de tête, palpitations cardiaques, insomnies...), puis des changements dans sa vie émotive ou même professionnelle: mal à se concentrer, irritabilité. Parfois même cela conduit à des addictions: boulimie, alcoolisme...

Il est recommandé si on est conscient de la dépendance au travail qui s'installe, de diversifier ses émotions, ses centres d'intérêts, ses loisirs et surtout d'en parler avec des proches et un médecin. Si un état pathologique est installé, le psychiatre quant à lui conseille un long arrêt de travail, un antidépresseur sur plusieurs mois en soutien et une psychothérapie de reconstruction émotionnelle. Et, surtout, un changement d'environnement avec d'autres centres d'intérêt pour effectuer une rupture totale.

Bref, ce fléau des temps modernes qu'est le burn out pointe une fois de plus le besoin pour notre société de remettre le travail à la place qu'il mérite, sans perdre de vue que la famille, les amis, les loisirs, la vie intérieure, enfin tout ce qui alimente notre joie de vivre, vaut au moins autant sinon davantage. Et sur ce point là, d'autres cultures, apparemment moins avancées que la nôtre en Occident, pourraient nous donner des leçons de sagesse!

Lyliane

 

 

Lithothérapie: les pierres peuvent-elles soigner?

C'est la question que pose Mme M. Vedrines dans le Journal Alternatif Bien-Etre de janvier 2017. A travers une interview de Mr D. Briez et de son associée, tous deux experts en lithothérapie, la journaliste essaie d'approcher cette technique pratiquée un peu partout dans le monde. Les minéraux, pierres, cristaux présents dans la matière ont en effet été utilisés par les humains de tout temps. La lithothérapie s'appuie le plus souvent sur des pierres semi-précieuses ou précieuses. Ces pierres, qui semblent inertes, émettent cependant des vibrations que nous pouvons ressentir, selon les besoins de notre métabolisme.

Mr Briez explique que le corps humain comporte différents acides, qui vont capter les ions métalliques des pierres. Cette réaction peut se produire lorsqu'on prend un minéral ou un cristal dans la main. Notre peau en effet peut recevoir et absorber de multiples éléments selon la composition chimique de la pierre. Il semblerait que plus celle-ci a de poids, pllus elle émet de l'énergie.

Aucune preuve scientifique des soins éventuels que les pierres peuvent apporter directement n'a été faite à ce jour. Néanmoins, chacun est invité à expérimenter le contact avec les pierres. Pour les uns, la tourmaline noire est réputée protéger des ondes électromagnétiques. Pour d'autres, l'énergie de l'apatite liée au soufre natif soulagerait les douleurs articulaires. Le grenat rouge est censé stimuler la vitalité. La cornaline quant à elle est liée à la féminité et au rapport avec la mère. Le lapis lazuli soignerait les troubles de la vue et les problèmes de peau. Cette pierre bleue aurait aussi tendance à faire baisser la tension... Que l'on porte ces pierres en bijoux, qu'on les tienne dans la main ou qu'on les glisse dans sa poche ou sous l'oreiller, il convient de sentir et d'écouter nos propres réactions à leur contact.

Mr Briez pense que le minéral pourrait redevenir une ressource naturelle de la pharmacopée au même titre que les plantes ou les animaux. Pour cela des expérimentations scientifiques pourraient être entreprises, afin de montrer que les pierres sont des compagnons millénaires ayant leur place dans notre quotidien. Pour en savoir davantage sur le sujet, lire l'ouvrage de Mr P. Permutt «Ces pierres qui guérissent» paru au Courrier du Livre ou le «Guide pratique de lithothérapie énergéticienne» de Mr Raynald G. Boschiero chez Ambre Eds. Sur Internet, consulter par exemple: www.pierres-lithotherapie.com ou www.cristaux-sante.com .

Lyliane

 

Il y a une vie après la maladie...

 

 

Au cours de l'émission Mille et une Vies du 28/11/2016 sur la deuxième chaîne, j'ai appris que l'association L'envol, crée en 1997, permet à des enfants et des adolescents, atteints de pathologies assez graves, de prendre de la distance avec l'hôpital. Les bénévoles de cette association en effet leur proposent des activités gratuites à l'extérieur (murs d'escalade, sorties en ville, contes...), afin de leur faire vivre ensemble autre chose.

Cette «thérapie récréative», comme ils l'appelent, bénéficie de financements privés et publics. C'est un plus, qui complète l'investissement du personnel soignant et des familles. Les jeunes malades, notamment à travers des activités sportives, réalisent ainsi qu'ils sont capables de dépasser leurs limites. Au lieu de rester isolés dans leurs chambres, ils se retrouvent entre eux et peuvent ainsi établir des liens solides. On considère que 7000 enfants sont déjà passés par cette association, reconnue d'utilité publique.

 

Pour en savoir plus au sujet de cette association, consulter sur Internet le site: www.lenvol.org .

Lyliane

 

03/12/2016

Lithothérapie: les pierres peuvent-elles soigner?

 

C'est la question que pose Mme M. Vedrines dans le Journal Alternatif Bien-Etre de janvier 2017. A travers une interview avec Mr D. Briez et de son amie, tous deux experts en lithothérapie, la journaliste essaie d'approcher cette technique pratiquée un peu partout dans le monde. Les minéraux, pierres, cristaux présents dans la matière ont en effet été utilisés par les humains de tout temps. La lithothérapie s'appuie le plus souvent sur des pierres semi-précieuses ou précieuses. Ces pierres, qui semblent inertes, émettent cependant des vibrations que nous pouvons ressentir, selon les besoins de notre métabolisme.

Mr Briez explique que le corps humain comporte différents acides, qui vont capter les ions métalliques des pierres. Cette réaction peut se produire lorsqu'on prend un minéral ou un cristal dans la main. Notre peau en effet peut recevoir et absorber de multiples éléments selon la composition chimique de la pierre. Il semblerait que plus celle-ci a de poids, plus elle émet de l'énergie.

Aucune preuve scientifique des soins éventuels que les pierres peuvent apporter directement n'a été faite à ce jour. Néanmoins, chacun est invité à expérimenter le contact avec les pierres. Pour les uns, la tourmaline noire est réputée protéger des ondes électromagnétiques. Pour d'autres, l'énergie de l'apatite liée au soufre natif soulagerait les douleurs articulaires. Le grenat rouge est censé stimuler la vitalité. La cornaline quant à elle est liée à la féminité et au rapport avec la mère. Le lapis lazuli soignerait les troubles de la vue et les problèmes de peau. Cette pierre bleue aurait aussi tendance à faire baisser la tension... Que l'on porte ces pierres en bijoux, qu'on les tienne dans la main ou qu'on les glisse dans sa poche ou sous l'oreiller, il convient de sentir et d'écouter nos propres réactions à leur contact.

Mr Briez pense que le minéral pourrait redevenir une ressource naturelle de la pharmacopée au même titre que les plantes ou les animaux. Pour cela des expérimentations scientifiques pourraient être entreprises, afin de montrer que les pierres sont des compagnons millénaires ayant leur place dans notre quotidien. Pour en savoir davantage sur le sujet, lire l'ouvrage de Mr P. Permutt «Ces pierres qui guérissent» paru au Courrier du Livre ou le «Guide pratique de lithothérapie énergéticienne» de Mr Raynald G. Boschiero chez Ambre Eds. Sur Internet, consulter par exemple: www.pierres-lithotherapie.com ou www.cristaux-sante.com .

Lyliane

 

Les bienfaits avérés de l'homéopathie...

Près d'un Français  sur 2 de nos jours a recours à l'homéopathie, qui correspond bien à la règle médicale ancienne "primum non nocere" (tout d'abord ne pas nuire). Si certains sceptiques ne croient pas à l'homéopathie, écrit le journaliste de la revue Famille et Santé, ce sont souvent des scientifiques, dérangés par le fait que "ce qui ne s'explique pas ne peut exister". Ils n'ont au cours de leurs études pas été préparés à cette approche. L'homéopathie, en effet, utilise des produits tellement dilués qu'ils ne peuvent généralement pas nuire. De plus, partout dans le monde les recherches menées sur l'homéopathie marquent des points.

Peut-on néanmoins prétendre tout soigner par l'homéopathie? Certes non, car la chirurgie peut réaliser des miracles et l'allopathie rend bien des services. Mais l'homéopathie peut beaucoup et même, selon certains, soigner et guérir là où l'allopathie a échoué. Elle agit aussi sur les animaux, de telle sorte que de nombreux vétérinaires l'ont adopté. Malgré cela, quelques scientifiques continuent encore de prétendre que l'homéopathie a uniquement un effet placebo (guérison par la pensée).

On attribue au docteur allemand Samuel Hahnemann au 18 ème siécle la découverte de l'homéopathie. Il a utilisé notamment le principe de similitude. Cela signifie que non dilué, le remède provoque les mêmes symptômes que ceux du malade. Après dilution par contre, cela s'inverse. Pour comprendre les initiales DH et CH, il faut savoir qu'elles signifient respectivement décimale hahnemannienne et centésimale. Ces unités permettent de mesurer le degré de dilution de la teinture-mère contenue dans un remède homéopathique. Les dilutions varient selon l'effet recherché: 4 ou 5 CH pour une action rapide, 9 CH pour un problème chronique et au delà de 12CH pour une action profonde et prolongée. 

The Lancet, journal médical international, a par exemple démontré que Pollens, un traitement homéopathique, atténue les symptômes du rhume des foins et a un effet bénéfique à long terme. Des centaines d'expérimentations sont en cours dans le monde. L'Angleterre, l'Allemagne, l'Inde, la Russie reconnaissent les avantages de l'homéopathie. En France, l'homéopathie est enseignée en Faculté de Médecine depuis 1965. Quant aux Laboratoires Boiron, ils commercialisent chaque hiver contre les états grippaux beaucoup de doses d'Oscillococcinum! D'autres laboratoires homéopathiques existent comme Weleda ou LG Homéo, qui ont leurs propres terrains, en France et à l'étranger, où ils font pousser leurs plantes.

Il y a plusieurs écoles d'homéopathie: les homéopathes unicistes ne donnent généralement qu'un médicament en dose ou en granules, tandis que les autres associent au moins un remède d'origine végétale et un métal, parfois même un oligoélément. Les homéopathes continuent à prescrire des remèdes personnalisés en fonction des symptômes décrits par leurs consultants. De ce fait les visites durent en moyenne entre 30 et 40 minutes. Toutefois, des pratiques innovantes se font jour avec des complexes homéopathiques contenant 3 plantes associées, ce qui tend à favoriser l'auto-médication des patients.

Comment fonctionne l'homéopathie? C'est une médecine naturelle, qui n'agresse pas l'organisme. Au contraire, elle déclenche nos défenses immunitaires et soigne le terrain. Elle est en vente libre sans ordonnance, bon marché et sans effets secondaires. On considère en effet qu'en France l'homéopathie représente 1% de nos dépenses de santé. Certains médecins l'associent à un traitement allopatique ou par exemple prescrivent des granules après une opération pour évacuer les effets de l'anesthésie (opium en 15 ch).

Pour ma part, après avoir pendant des années cerné mon terrain, je sais plus ou moins les médicaments classiques qu'il me faut avoir sous la main. Par exemple, après un choc ou un coup: arnica en 5 ch, pour une piqûre d'insecte: apis en 5 ch... Si j'apprends une mauvaise nouvelle ou si j'ai peur en avion, je me tourne vers gelsémium en 9 ou en 12 ch. Mais, trois à quatre fois par an, je vais consulter à titre préventif mon homéopathe. En octobre, généralement, elle me prescrit l'équivalent d'un vaccin antigrippe homéopathique sans effet secondaire, à prendre sur 3 ou 4 mois, à base d'influenzinum et de sérum de yersin en 9 CH.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter "l'Encyclopédie familiale d'homéopathie" des Laboratoires Marcel Violet à Croix cédex (59963) ou différents ouvrages sur le sujet comme celui de Mrs. A.C. Quemoun et Rubinstein:" L'Homéopathie pertinente".

Lyliane

01/12/2016

Les algues marines comestibles...

 

Pendant des siècles, sur les côtes normandes et bretonnes de notre pays, on a récolté le goémon, mélange de fucus et de laminaires. Séché, il amendait la terre. Brûlé dans des fours spéciaux, il donnait de la soude naturelle. Cette soude servait alors à la fabrication du verre et elle était très recherchée. A partir du 19 ème siècle, on en a extrait de l'iode, seule molécule qui, dissoute dans l'alcool, permettait à l'époque de désinfecter les plaies. Enfin, dessalé, le goémon était également utilisé pour l'alimentation animale.

Pendant ce temps, en Chine et au Japon, les algues de mer étaient dégustées par la population. On découvre chez nous peu à peu leur richesse en protéines, en fibres, en vitamines, en minéraux et en oligoéléments. En effet, on déguste de nos jours dans de nombreux restaurants l'algue Nori, enrubannant les makis, la salade de Wakamé au sésame, l'algue Kombu qui agrémente la soupe miso... Cela incite les industriels français à cultiver aussi les algues pour la consommation humaine. Les végétariens cependant connaissent depuis longtemps une algue rouge, l'Agar agar, remplaçant la gélatine animale.

Les algues se développent par la photosynthèse en bénéficiant à faible profondeur des rayons du soleil. Il faut savoir en effet que le phytoplancton marin a un intérêt écologique important. Comme l'explique Mr N. Vanier dans son ouvrage «Les pieds sur terre», plus de la moitié de la fixation totale du CO2 sur notre planète se fait grâce au phytoplancton, devant les forêts.

Récoltées fraîches, les algues marines sont sans danger. Par contre, à l'état décomposé ou polluées par les nitrates, les algues peuvent rejeter de l'hydrogène sulfuré, un gaz mortel. Quelques accidents de ce type ont eu lieu en Bretagne. La recherche quant à elle s'intéresse aux algues marines pour l'industrie médicale (compléments alimentaires), cosmétique et agricole. Il y a même avec les algocarburants une recherche prometteuse d'alternative aux énergies fossiles. Pour en savoir davantage au sujet des algues comestibles, contactez par Internet les sites: www.ocealg.com et www.bord-a-bord.fr.

Lyliane

 

30/11/2016

Pour ne plus souffrir de constipation...

La constipation est l'émission anormalement rare de selles. Mais le rythme de défécation est différent d'une personne à l'autre: de deux fois par jour à trois fois par semaine en moyenne. Le verbe "constiper" vient du latin "constipare" qui signifie serrer, entasser, entourer de façon compacte. Ce qui veut dire que la guérison de ce dysfonctionnement passera par un relâchement psychologique général, nous explique Mr Bernard Tihon dans la revue Neosanté d'octobre 2016. Aussi, les mots guérisseurs pour un constipé sont: lâcher, accepter, laisser aller, abandonner.

Le péristaltisme de l'intestin est un phénomène complexe, qui nécessite un effet de piston, grâce auquel un groupe de fibres se contracte et un autre plus loin se relâche, ce qui permet la progression des selles. Toutefois, pour que les matières fécales puissent glisser dans le côlon, il est indispensable d'avoir également une lubrification et une hydratation du bol fécal. La lubrification est assurée par la bile provenant de la filtration de 2400 l de sang au travers du foie. En cas d'insuffisance hépatique, le transit a tendance à être ralenti. Quant à l'hydratation, elle doit être régulière (1 l à 1,5 l par jour) à base d'infusions ou d'eau peu minéralisée.

Parmi les causes de la constipation, on trouve également une nourriture manquant de fibres végétales, l'anxiété, le stress, un manque de mastication et d'exercices physiques. Afin de stimuler le réflexe d'aller à la selle tous les matins à heure fixe, certaines personnes ont pris l'habitude de boire un verre d'eau tiède ouu légèrement citronnée à jeun ou elles mangent des pruneaux trempés dans un verre d'eau la veille au soir. Mais avant tout, pour guérir de ce dysfonctionnement, éviter d'en faire une obsession!

Car, dans la constipation, le côlon garde les selles au niveau de l'ampoule rectale, où elles s'accumulent et se durcissent, ce qui rend difficile leur évacuation. Le facteur psychologique est prépondérant, car la défécation doit être associée à un sentiment de plaisir et de bien-être. Il importe surtout de prendre le temps et d'écouter son corps en attendant le bon moment. Une rééducation est possible en travaillant sur la difficulté à éliminer les choses du passé en n'en gardant que la quintessence. La peur de perdre (l'amour de la mère, d'un pays, d'une personne aimée, d'un animal...) peut en effet s'incarner jusque là. Mettre de la lumière sur ce phénomène suffit parfois...

Lyliane

26/11/2016

Intérêt de consulter un dentiste énergéticien...

 

 

Un dentiste énergéticien se distingue avant tout par le fait qu'il se préoccupe non seulement des questions bucco-dentaires de son patient, mais aussi parce qu'il prend en compte la globalité de la personne. Généralement, ce type de dentiste n'utilise pas de matériau toxique dans la bouche (mercure, métaux lourds...). En effet, aujourd'hui nous sommes de plus en plus confrontés à une accumulation de métaux lourds dans notre organisme. Ceux-ci s'accumulent le plus souvent dans le foie.

Dans la revue Santé Corps Esprit, le Dr Arnold Herschtal interprète les problèmes bucco-dentaires en faisant des liens avec notre état intérieur, notre passé, nos relations. Ce dentiste s'appuie sur les correspondances de la médecine traditionnelle chinoise entre les organes et les dents, afin de décoder les dysfonctionnements. Par exemple, il faut savoir qu'une carence en vitamines A, C et E peut causer des problèmes de gencives à la longue.

Quant aux maladies parodontales, c'est généralement l'addition de plusieurs facteurs favorisant la maladie qui va entraîner leur apparition. En premier lieu, il convient de s'occuper de la plaque dentaire, qui peut être éliminée par un brossage régulier des dents matin et soir. Toutefois, il est recommandé de faire procéder une fois par an à un détartrage général. Le fait de mastiquer longuement et de croquer dans des fruits et des légumes permet déjà un auto-nettoyage intéressant.

Le Dr Herschtal recommande d'utiliser une brosse à dents médium et un dentifrice biologique. En entretien, il conseille un mélange de bicarbonate de soude et d'eau oxygénée en bains de bouche trois fois par semaine. Pour plus de renseignements, consulter sur Internet: www.odenth.com et www. naturebiodental.com.

Lyliane

 

24/11/2016

Croire en ses rêves...

 

A travers le témoignage de Mr Serge Money, au cours de l'émission de Frédéric Lopez «Mille et une vies» le mercredi 23/11/2016, j'ai compris que dans la vie il est important de devenir celui qu'on a envie d'être. Et je pense que le message reçu peut être particulièrement inspirant pour d'autres jeunes... On sait que dans nos banlieues, beaucoup de jeunes de nos jours se plaignent d'être laissés pour compte et abandonnent leurs rêves, vraisemblablement faute de soutien, de bonnes fréquentations, de volonté et de courage. L'exemple de Mr Serge Money pourrait peut-être les aider à reconsidérer les chose!

En effet, né en Côte d'Ivoire dans une famille modeste en 1975 et installé à 6 ans avec sa famille à Ivry sur Seine, Mr Money n'a cessé de rêver devenir un jour avocat. Pourtant, en butte à du racisme ordinaire à l'école et à une éducation sévère de la part de son père à la maison, cela ne paraissait pas du tout évident de prime abord! Tout comme d'autres jeunes, il connut des épreuves (divorce de ses parents, mort de son frère aîné), mais fasciné par le rôle de justicier de personnages de séries télévisées, travailleur acharné et confiant dans ses capacités d'élocution, il réussit à faire de sa différence un facteur d'intégration. Non seulement il trouva sur sa route des personnes croyant en lui, mais il continua à se faire confiance!

Tout d'abord, il réussit avec d'autres jeunes de son âge à monter un groupe de rap. Ses textes percutants notamment lui ont conféré de beaux succès dans la musique. Mais à 30 ans, cette aventure s'achevait. C'est alors que, dynamisé par une amie de lycée, il commença des études de droit à Paris. Malheureusement, malgré son application, il échoua pour un demi point à la licence. Au lieu d'abandonner, toujours poussé par cette même amie, il recommença et décrocha enfin son diplôme. Porter la robe d'avocat et inviter ses parents au moment où il prêta serment, quelle belle revanche sur sa condition!

Toutefois, Mr Money ne s'arrêta pas là. Choisissant le droit pénal, il s'investit dans la défense des personnes menacées de prison. Bien que des avocats noirs ne soient pas nombreux dans la profession, il réussit tout d'abord à être pris comme stagiaire dans un gros cabinet parisien. A ce jour, il est même devenu Secrétaire de la Conférence des Avocats, grâce à son don de la parole. Bref, ce parcours hors du commun, qui lui donne la possibilité de se faire entendre, remplit ses proches d'une grande fierté.

Personnage atypique mais fort attachant, cet homme nous montre qu'à la condition de se sentir soutenu, on peut réaliser de grandes choses en restant soi-même! Aussi, à tous ceux qui seraient tentés de stigmatiser nos gamins des banlieues, affirmons qu'il serait mieux de croire en eux et de leur donner leur chance. Même ceux qui ont pu dévier un temps sont susceptibles de se relever et de montrer où sont leurs rêves. La condition sociale en effet ne fait pas tout! L'énergie que l'on porte en soi est souvent capable de «soulever des montagnes». Il suffit peut-être d'y croire et d'agir en ce sens!

Lyliane

 

23/11/2016

Sur le terrain, il n'y a plus que des sportifs...

C'est l'histoire d'une petite ville de 1000 habitants dans l'Allier, qui a accueilli 20 demandeurs d'asile. Des familles d'Afghanistan, du Soudan, pays ruinés par les guerres, qui ont trouvé un toit et une école pour leurs enfants. Une équipe de football existait dans cette petite ville, mais avec des effectifs maigres et fluctuants.

L'entraîneur a eu l'idée de proposer à des hommes inoccupés, puisqu'en attente de papiers, de bien vouloir venir s'entraîner avec les joueurs locaux. Depuis, cette ville a une équipe renforcée et performante et les familles étrangères commencent à s'intégrer. Les a priori ont fondu et comme le dit si bien Mr le Maire «Sur le terrain, il n'y a plus de différences, il n'y a que des sportifs!» Bravo l'ouverture du cœur et des esprits!

Lyliane

 

22/11/2016

Les alternatives à la voiture individuelle...

Si l'homme continuait d'ici la fin du 21 éme siècle à consommer toutes les réserves connues d'énergies fossiles de la planète(pétrole, gaz et charbon), nous atteindrions +9°d'augmentation de la température sur terre. Un chiffre effrayantà éviter à tout prix!

Au niveau européen, le secteur des transports représente20% des émissions carbone et même davantage pour la France dont le transport est responsable de 25% des gaz à effet de serre (GES). s'ils contribuent majoritairement au réchauffement climatique, les transports sont aussi et surtout responsables de la pollution atmosphérique et plus particulièrement celle aux particules fines dans les grandes agglomérations.

Aussi devons nous d'ores et déja repenser nos déplacements en attendant les transports du futur fonctionnant aux énergies renouvelables. L'avion est actuellement le plus polluant des transports. Pour les petits trajets, le TGV est souvent aussi rapide et compétitif.Les camions actuellement, nous dit Mr N. Vanier, ne sont soumis à aucune règlementation sur le CO2. Plusieurs initiatives de transport fluvial essaiment sur la Seine grâce à des containers.

L'auto-partage et le covoiturage connaissent déja un grand succès en France. Et l'éco- conduite se révèle un moyen de faire baisser sa consommation de carburant et donc de moins polluer. Reste à sensibiliser les conducteurs à cette démarche!

Lyliane

 

 

 

18/11/2016

Résister aux tocs et en rire enfin!

Au cours de l'émission Mille et une Vies de Mr Frédéric Lopez sur la 2ème chaîne en début d'après midi du 16/11/2016, j'ai entendu le témoignage saisissant de Mr Joël Fauré au sujet des tocs, dont il a souffert une bonne partie de sa vie. Comme l'indique le titre, il a réussi à sortir de ses rituels compulsifs, de ses pensées magiques qui entravaient son quotidien. Cela, certes, ne s'est pas fait en un jour! Il a suivi une thérapie comportementale et cognitive pendant plusieurs années et il s'est confronté à d'autres patients dans le même cas lors de groupes de parole.

Un thérapeute présent dans la seconde partie de l'émission a expliqué que les souffrances psychiques en France sont encore mal vécues et relèvent d'un tabou. L'entourage juge le plus souvent, stigmatise ou se moque de la personne... Notre regard sur ces questions invalidantes mériterait réellement de changer. Car ces angoisses d'ordre, d'hygiène, de symétrie sont bien réelles. Mr Fauré a peu à peu réussi à dominer ses peurs, ses alertes permanentes et ses croyances erronées en travaillant sur ses pensées étape par étape. Ecrire, écouter de la musique, monter sur scène au lieu de cacher son handicap a été salutaire dans son cas.

Une information sur ce type de souffrance psychique fort perturbante quotidiennement peut faire prendre conscience qu'on arrive à en sortir et qu'on n'est pas tout seul. De l'entraide, et de la compréhension ainsi que des séances de thérapie individuelle comme celles que Mr Fauré a suivies à  l'hôpital Mondor à Paris arrivent en effet petit à petit à détourner l'attention et à faire reprendre en main les situations compulsives.

Ces tocs selon Mr Fauré sont "de véritables cancers de la pensée"! Pouvoir les surmonter et en rire après coup, quelle bel exemple à donner et quelle victoire à partager! 

Lyliane