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13/09/2016

Rassemblement contre les boues rouges toxiques...

 

Rassemblement contre les boues rouges toxiques le 26 septembre 2016 à 12H30 face à la préfecture de Marseille pour stopper la pollution des boues rouges toxiques de Gardanne.

https://www.facebook.com/events/1879814378917629/

A 14H30 aura lieu en préfecture la commission de suivi de site d’ALTEO qui présentera à la demande de Ségolène Royal sa méthodologie pour atteindre les objectifs de respect...

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11/09/2016

Manuel Valls refuse le dialogue à propos des boues rouges...

 

10 sept. 2016 — mise à jour  selon message reçu par Internet

Nous demandons l’arrêt immédiat des rejets toxiques en mer.

Nous demandons que soit effectué à la charge d’Alteo un démantèlement de la conduite de boues rouges occupant le domaine public et une remise en état primitif des sites pollués.

Nous demandons le confinement des multiples lieux de stockage de boues rouges ou de Bauxaline (Bouc bel air, La Ciotat, Marseille, Gardanne, Istres...)

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10/09/2016

La loi sur la biodiversité a été enfin adoptée...

 

 

Mme Yveline Nicolas, coordinatrice de l'association Adéquations, qui œuvre en faveur du développement durable et des droits humains, nous signale dans le journal gratuit Biocontact du mois de septembre que la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages a été adoptée le 20 juillet 2016 par l'Assemblée Nationale et promulguée le 8 août dernier.

L'engagement avait été pris en 2012 lors de la première Conférence Environnementale, un texte de 174 articles, qui aura mis plus de 2 ans pour être débattu au Parlement. L'auteure de l'article fait porter la responsabilité de ce retard à la mobilisation des lobbies agricoles, industriels, des chasseurs et pêcheurs en eaux profondes.

Des principes importants sont désormais posés comme la non régression du droit de l'environnement, la solidarité écologique, la création d'espaces naturels et la préservation des «trames vertes et bleues», la réparation du préjudice écologique inscrite dans le Code Civil... En fait tout tourne autour de ces trois verbes: «éviter, réduire, compenser».

Une Agence nationale pour la biodiversité sera crée en janvier 2017, réunissant l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques, l'Agence des aires marines protégées, l'établissement des Parcs nationaux de France et l'atelier techniques des espaces naturels, en y intégrant en outre des associations de défense de l'environnement dans son Conseil d'administration. Les collectivités devront intégrer la biodiversité urbaine dans leurs plans climat-énergie territoriaux.

Sur le plan international, la France va enfin ratifier le Protocole de Nagoya, qui réglemente l'accès aux ressources génétiques et aux connaissances associées. L'objectif de ce protocole est notamment de limiter la «biopiraterie», ce qui va protéger les territoires français d'outre-mer. Restera à voir comment vont se faire la mise en œuvre effective et l'information concernant ces décisions, la concertation avec les populations locales et le montant des compensations financières à payer par les contrevenants.

Il est dommage que jusqu'ici les débats sur la biodiversité n'aient guère été médiatisés. Pourtant ces décisions auront un impact sur notre santé et notre qualité de vie. En effet, tout appauvrissement de la diversité biologique comme la déforestation, la pollution de l'air, de l'eau, des sols etc... a des répercutions sur notre alimentation et notre vulnérabilité face aux maladies.

Pour approfondir ce thème, voir sur Internet: www.adequations.org.

Lyliane

 

04/09/2016

Pétition de Avaaz en faveur des océans...

 
 
 
 
 
 
 
 

Nos océans sont en train de s’épuiser, mais dans quelques jours, les gouvernements voteront sur un plan visionnaire pour protéger 30% des zones marines. Pour l'instant, le vote est trop serré pour en prévoir le résultat, et nous pouvons peser sur la décision finale. Envoyons un million de voix directement au coeur du sommet:

SIGNEZ LA PÉTITION

 

02/09/2016

Reportage boues rouges ce soir à Thalassa!

 

Ce vendredi 2 septembre 2016 à 20h55 vous pourrez découvrir le reportage : "Boues Rouges, la mer empoisonnée" -

C’est une enquête exceptionnelle que mène ce soir Thalassa aux abords du Parc National des Calanques, près de la ville de Cassis. L’histoire d’une pollution industrielle hors norme dans l’un des plus beaux sites maritimes français.
L’usine Altéo de Gardanne, dans l’arrière-pays...

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20/08/2016

A propos de la pollution et de l'acidité des mers et des océans...

 

 

Mme Janine Benoit, qui est à la tête d'un laboratoire promouvant notamment l'alca-Ph, dans le Journal gratuit Pluriel Nature, souligne les conséquences de l'acidité des mers et des océans, qui a augmenté de 30% en 250 ans. En effet, depuis le début de l'ère industrielle, l'acidité de la mer s'est déja élevée de 26%.

 

Les pollutions de l'eau qui causent cette acidification sont dues à l'agriculture (engrais chimiques, herbicides, pesticides...), aux rejets ménagers (eaux usées) là où des stations d'épuration ne sont pas installées, aux marées noires et notamment aux rejets d'hydrocarbures des bateaux... Tout cela provoque entre autre chose la prolifération d'algues qui envahissent les mers et les plages, la pollution des nappes phréatiques et des cours d'eau.

 

De plus, à cause du réchauffement climatique, la température de l'eau de mer augmente, aux pôles des icebergs fondent, partout des récifs coralliens disparaissent et certains animaux marins se trouvent aujourd'hui dans des zones où ils ne devraient pas être (requins en Méditerranée). Sans oublier les sacs plastiques, métaux lourds et déchets en tous genres qui se retrouvent dans la chair de certains poissons ou étouffent des tortues de mer...

 

Pour les populations qui vivent des ressources marines, cela pourrait entraîner la disparition de certaines espèces (huîtres, moules, thons...). La montée des eaux pourrait aussi rapidement submerger des îles et atolls... Cette pollution et cette acidification de notre environnement ont également des conséquences indirectes sur notre santé: rhumatismes, diabète, maladies cardio-vasculaires, allergies augmentent peu à peu.

 

Face à tous ces périls annoncés, que faisons-nous concrètement? Ne serait-il pas grand temps de prendre des mesures en faveur de l'eau, de la régénération des mers et océans, de l'agriculture biologique, afin de revendiquer un monde plus écologique à tous les niveaux pour nos descendants?

 

A titre individuel, nous pourrions déjà veiller à la non-acidification de notre organisme en mesurant régulièrement notre PH urinaire grâce à des bandelettes achetées en pharmacie. Car notre organisme, composé en grande partie d'eau, doit rester en équilibre acide/base (EAB normal: entre 7 et 7,5), pour demeurer en bonne santé. Notre alimentation, notre oxygénation (vigilance à propos de la composition des denrées achetées, sport) sont réputées jouer un rôle important. Enfin, pour en savoir plus au sujet de l'alca-ph, consulter le blog de Mme Benoit:blog-de-janine-benoit.com .

Lyliane

 

19/08/2016

Réguler la mondialisation...

 

 

Le bimestriel gratuit Pluriel Nature de mai/juin 2016, sous la plume de Mr E. Deboux, revient sur le scandale nouvellement révélé par Mme E. Lucet et d'autres journalistes à propos des Panama Papers (paradis fiscaux touchant tous les partis, la plupart des multinationales et des dirigeants des pays développés) et sur la nécessité d'enfin changer de politique. L'ultralibéralisme mondial en effet, les inégalités sociales qui s'accroissent, la concurrence déloyale entre les petites entreprises et les multinationales (qui font de «l'optimisation» dans des paradis fiscaux), tout cela montre qu'il faudrait passer à un système plus équilibré et vivable pour notre futur et celui de nos enfants.

 

Car, notre développement actuel est insoutenable à terme: il détruit notre économie (délocalisations...), notre lien social (riches de plus en plus riches et chômeurs, SDF en nombre), notre biodiversité végétale et animale et il nous entraîne tous vers une catastrophe climatique. Cet ultralibéralisme mondial a notamment, depuis 30 ans, favorisé l'importation de denrées lointaines par camions, bateaux ou avions dans des circuits longs et coûteux en énergie. Des multinationales ont la haute main sur les semences hybrides, les OGM, l'agrochimie, l'agroalimentaire, la pharmacie de synthèse et elles pèsent sur les décisions nationales (nos parlements) et internationales(Bruxelles). De plus, ces lobbies sont domiciliés dans des paradis fiscaux et ne payent de ce fait ni TVA sur les denrées importées, ni impôts sur les revenus, alors que les classes moyennes peinent chez nous à s'acquitter de leurs impôts directs et indirects.

 

Le journaliste en conclue qu'il devient urgent à l'échelon de la planète de réguler la mondialisation et de changer individuellement nos modes de vie, de production, de consommation, notre façon de manger, de nous loger, de nous déplacer. En favorisant par exemple chez nous les énergies renouvelables, en cessant de subventionner les énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon), en régulant la finance et le trafic des marchandises... Chacun peut essayer de manger davantage local, bio et de saison, afin d'encourager les producteurs de sa région en circuits courts, de placer son argent dans une banque éthique (ne finançant pas la vente d'armes), de faire isoler sa maison pour économiser l'énergie, de se déplacer avec bus, tram, vélo ou en covoiturage c'est à dire plus écologiquement...

 

La France en effet me paraît avoir fait des choix dangereux et peu éthiques dans le nucléaire, les pesticides, la vente d'armement, le monopole du tabac... Il y a des menaces qui pèsent sur notre sol par des contrats internationaux aux négociations secrètes (Tafta, gaz à effet de serre, OGM...). Les grands laboratoires avec leurs molécules de synthèse sont loin de pratiquer la transparence: ils ont fait l'objet de scandales retentissants. Aussi, les Français se tournent de plus en plus vers les plantes médicinales et les médecines douces. Des patrons d'entreprises pourraient relocaliser leurs usines en France (vêtements, chaussures, jouets...), car nous avions acquis des savoirs-faire. Du coup, les consommateurs en «achetant français», pourraient faire baisser le chômage, avoir des produits sains et de qualité durable.

 

L'article se termine sur un appel, après la COP 21 et ses prescriptions générales, à aller plus loin et plus vite dans le concret: par exemple en taxant plus lourdement les émissions de CO2, afin de décourager les gros pollueurs et de les faire payer à proportion de leurs émissions de gaz à effet de serre. Car pour le moment, ils ont encore trouvé des arrangements et des parades! Il serait temps de faire régner d'autres valeurs que le chacun pour soi et de nous préoccuper des pays pauvres menacés au premier chef!

 

Il me semble que c'est à nous, citoyens, de donner l'impulse, de commencer à user de notre pouvoir de consommateurs et d'électeurs, en refusant la malbouffe, en interrogeant nos élus et futurs dirigeants sur leurs engagements futurs réels, en nous mettant dès aujourd'hui en chemin, sans céder à la publicité, ni aux modes, bref en ne nous contentant plus de vagues promesses d'autres personnes... N'ayons plus peur de nous engager, d'innover et d'être solidaires! C'est peut-être le bon moment d'agir dans une révolution individuelle pacifique qui peu à peu ferait tache d'huile... Car soyons en sûrs: tout est relié dans ce vaste système mondial! En changeant plusieurs points, en boycottant certains produits, certaines firmes, nous pourrions faire un jour advenir un monde meilleur...

 

Pour réfléchir à la question, il me semble utile de conseiller de lire particulièrement l'ouvrage de Frédérique Basset intitulé« Vers l'autonomie alimentaire» et de consulter sur Internet:www.paradisfiscaux20.com .

Lyliane

 

16/08/2016

Un projet insensé à combattre par une pétition...


Choquant -- la toute 1ère mine de l’océan profond vient de recevoir une licence d’exploitation. Une nouvelle menace terrible pour nos océans agonisants. Mais comme le projet a du mal à se financer, une condamnation d’ampleur mondiale pourrait lui donner le coup de grâce et en même temps tuer dans l’oeuf l’idée même de l’exploitation minière en haute-mer. Signez la pétition! 


SIGNEZ LA PETITION

 



Une compagnie minière canadienne a reçu une autorisation pour un projet 
insensé qui pourrait s'avérer désastreux pour la planète entière: la 1ère mine en océan profond au monde.

Nous savons tous à quel point les mines sont toxiques et peuvent dévaster les écosystèmes terrestres -- imaginez juste la course effrénée des entreprises avides de fouiller les abysses en quête de minéraux. 
C’est la dernière chose dont nos océans agonisants ont besoin. 

La bonne nouvelle, c’est que cette compagnie a du mal à financer son projet. Noyons-le sous un océan de reproches, dissuadons tout nouvel investisseur et assurons nous que cette épouvantable industrie soit étouffée dans l’oeuf. Cliquez pour 
signer la pétition, elle sera médiatisée et envoyée aux investisseurs potentiels:  

https://secure.avaaz.org/fr/png_nautilus_loc/?bgcAWcb&v=79776&cl=10439683140&_checksum=268cb4a46e3d8e6670b949dec4883a82ad04f2b7a24e9926d3ee687019cff61c

Bien entendu, le 
site choisi pour la mine est adossé à un des trésors de nos océans, le riche écosystème au large de la côte de Papouasie Nouvelle-Guinée, qui possède toutes les merveilles imaginables, des coraux grouillants de vie aux cachalots. Cela donne une petite idée de ce qui sera exploité si nous n’arrêtons pas cette monstrueuse industrie qui est en train d’émerger. 

La compagnie minière n’a jamais opéré à cette échelle et est déjà confrontée à des problèmes financiers. Ce projet est risqué. Si nous le rendons encore plus périlleux en révélant son avenir économique incertain, 
nous pourrions stopper la mine et nous assurer que l’industrie toute entière sache que l’on ne s’attaque pas aux océans impunément! 

Partout dans le monde, nous menons des batailles pour maintenir un équilibre entre les humains et le monde de la nature, un équilibre qui est nécessaire pour le développement soutenable préconisé  par tous les scientifiques pour notre propre survie et celle d’innombrables espèces. 
C’est l’appât du gain contre le bon sens -- assurons-nous que le meilleur des deux l’emporte: 

https://secure.avaaz.org/fr/png_nautilus_loc/?bgcAWcb&v=79776&cl=10439683140&_checksum=268cb4a46e3d8e6670b949dec4883a82ad04f2b7a24e9926d3ee687019cff61c

Les scientifiques qui étudient les écosystèmes nous rappellent à quel point ceux-ci sont remarquablement interdépendants. Notre propre survie en tant qu’humains dépend énormément de petites créatures comme le plancton ou de plus grosses comme les oursins. On compare souvent l’espèce humaine à un virus, prédatrice de son écosystème. Mais Avaaz est une communauté de personnes  souhaitant se mettre au service de la protection la nature, pour vivre en harmonie avec celle-ci. 

De ce point de vue, cette campagne fait écho au rôle que nous jouons dans notre écosystème, celui de gardiens protégeant et servant cette merveilleuse planète qui est notre maison. Dans l’équipe d’Avaaz, nous sommes immensément reconnaissants de jouer ce rôle, au sein de notre mouvement.

Avec espoir,
Ricken, Nell, Christoph, Lisa, Luis, Risalat et le reste de l’équipe d’Avaaz

 

15/08/2016

Que pouvons nous faire en faveur de l'environnement?

 

La préservation de l'environnement ne peut laisser personne indifférent car, dans le monde entier, des alarmes retentissent, afin de nous rendre plus attentifs aux conséquences de notre irrespect de la nature, nous dit le Journal SEL Informations d'août 2016. Le journaliste cite notamment la perte de biodiversité (animale et végétale), la pollution de l'eau, de l'air et du sol et le réchauffement climatique.

 

Dans nos pays européens, l'écologie est justement la science qui étudie les relations entre les êtres vivants et leur milieu. Néanmoins, la Banque Mondiale vient d'annoncer le danger pour près de 100 millions de personnes de tomber dans l'extrême pauvreté en raison principalement du réchauffement climatique.

 

C'est donc à chacun d'entre nous de changer, à son rythme et selon ses possibilités, certains gestes quotidiens pour préserver l'environnement. Le journal SEL nous recommande de pratiquer les 3 R: réduire, réutiliser et recycler. Lors de nos achats en effet, nous pouvons favoriser les produits portant un label écologique ou provenant du commerce équitable. Nous aurions aussi intérêt sur le plan alimentaire à consommer des fruits et des légumes locaux, de saison et d'éviter les aliments provenant d'espèces menacées ou en surpêche.

 

Dans la vie de tous les jours, pourquoi ne pas préférer les transports en commun, moins gourmands en énergie et moins polluants que tous nos véhicules individuels. De même pourquoi ne pas choisir de mettre notre argent dans une banque éthique comme la Nef, qui pratique la confiance et la transparence?

 

L'Accord sur le Climat de décembre 2015 à Paris devra sans tarder être mis en œuvre et particulièrement le Fonds Vert qui devrait atteindre 91 milliards d'euros par an à partir de 2020. Car, un monde «zéro carbone, zéro pauvreté» devrait pouvoir un jour être réalité. Pour aller dans ce sens, montrons nous engagés et généreux et soyons des consommateurs responsables en faisant des choix ayant un impact sur le futur de nos enfants, sur tout notre environnement et sur le bien être de tous les habitants de notre planète.

Lyliane

 

12/08/2016

La spiruline, un concentré de vitamines...

 

La spiruline est une algue simple de couleur bleue/vert foncé, qui doit son nom à sa forme enroulée en spirale. Elle ne mesure que ½ mm de long. Elle vit dans des eaux salées, alcalines et chaudes (entre 20 et 40°). On en trouve à l'état naturel dans des lacs en Afrique et en Amérique du Sud. Chez les Aztèques, notamment dans le lac Texcoco, elle était très réputée. En Afrique, on la ramasse encore dans les lacs au Kenya et au Tchad pour ses précieux nutriments.

 

Depuis plusieurs années dans nos pays occidentaux, on l'utilise comme complément alimentaire. Après récolte et séchage, elle est vendue en poudre ou en gélules car la forme fraîche, issue de bassins de culture, ne se conserve pas très longtemps. Elle contient une teneur record en vitamines A, B12, F et E ainsi qu'en magnésium, en germanium et en fer. Sa forte concentration en protéines, en lipides et même en glucides en fait un adjuvant alimentaire très apprécié pour combler des carences.

 

On considère que 10 g de spiruline par jour suffisent. Mais il est recommandé de ne pas cuire la spiruline et de l'ajouter après cuisson. Il n'y a néanmoins aucune contre indication à la prise régulière de spiruline. Aussi, des cures à but thérapeutique de 1 à 3 mois sont indiquées pour redonner des forces aux convalescents et aux personnes affaiblies. Le système immunitaire particulièrement peut être considérablement renforcé par la spiruline (production de lymphocytes).

Alors, pourquoi ne pas essayer?

Lyliane

 

03/08/2016

Lutter contre la sécheresse...

 

Le journal Télérama nous apprend que la télévision va présenter sur Arte le 19/8/2016 un film documentaire allemand de Mrs Peter Podjavorsek et Eberhard Ruhle faisant le point sur des réponses innovantes dans le monde afin de lutter contre la sécheresse.

La sécheresse paraît être la conséquence la plus grave du réchauffement climatique. Tous les pays et les continents sont peu à peu touchés. Et la lutte s'organise. En Californie, par exemple, on mise sur des technologies de pointe, de même que dans le Sud de l'Espagne où sont entreprises des opérations de dessalement de l'eau de mer. Au Burkina Fasso, par contre, où le pays est majoritairement agricole, les techniques sont plus rudimentaires.

Ce documentaire détaillé montre la créativité et l'initiative de chaque région du monde pour combattre la pénurie d'eau. Et nous prenons conscience à travers ce documentaire des inégalités terribles face à ce fléau. Le journaliste de Télérama P. Ancerry regrette cependant que le domaine politique reste passé sous silence, car des responsabilités et des nécessités mériteraient d'être pointées du doigt. En effet, si certains pays pâtissent de la sécheresse sur le plan économique, pour certains autres qui sont des pays pauvres, celle-ci va inévitablement entraîner la mort d'une partie de la population...

Il y aurait de quoi méditer et aller plus loin en terme de solidarité mondiale! Je me dis que peut-être prendre conscience à travers des films de ce genre pourrait être une première étape, afin de tenter d'échapper tous ensemble à la catastrophe annoncée...

Lyliane

 

09/07/2016

Les algues, des vagues de bienfaits...

 

Selon la revue Que Choisir Santé de juillet/août 2016, les algues possèdent des composés, sous forme de fibres, qui peuvent drainer les polluants comme les métaux lourds, les résidus de pesticides ...et les entraîner vers nos émonctoires naturels. Les algues en effet concentrent la plupart des oligo - éléments (magnésium, cuivre, fer, manganèse, potassium, zinc) présents dans l'eau de mer. Elles renferment également les acides aminés essentiels à notre organisme et des vitamines.

Les Japonais en consomment 7 à 9 kilos par an et par personne. Il semblerait qu'en Asie, les cancers du sein, du côlon et de la prostate soient moins nombreux que dans nos pays européens. Et des laboratoires comme l'Ifremer et le CHU de Nantes font des recherches actuellement pour extraire des principes actifs susceptibles de détruire à doses infinitésimales des cellules tumorales et de combattre les cancers multirésistants aux chimiothérapies conventionnelles..

Voilà déjà une bonne raison de goûter ces différentes sortes d'algues au goût fin, afin de faire le plein d'énergie. L'algue la plus consommée en Europe jusqu'ici est la Laitue de mer ou Ulve, au ton vert vif, qui se développe dans les mers tempérées et froides et notamment sur nos côtes bretonnes. La Nori de couleur pourpre à noire est très riche en protéines, puisque 30 g de nori équivalent à 100 g de steak. La Dulse qui se récolte aussi dans le Finistère a une couleur bordeaux et elle est bourrée de vitamines B indispensables au fonctionnement de notre cerveau. Elle a un goût de noisette très agréable. L'algue Wakame utilisée en salade ou dans des soupes renforce le système immunitaire, tandis que la Kombu possède une teneur exceptionnelle en iode.

Jusqu'ici nous avons essentiellement puisé dans la thalassothérapie les vertus de l'eau de mer. Les bienfaits apportés par les produits de la pêche sont désormais bien connus. De la mer à l'assiette, les algues pourraient bien devenir un jour prochain «les nouvelles stars de notre alimentation» annonce Que Choisir Santé. Et le biotope marin commence à révéler un arsenal thérapeutique diversifié pour notre santé.

Aussi, respectons au maximum le milieu marin et ses écosystèmes et combattons activement la pollution des océans, afin de contribuer à garder intacte cette source de vie qu'ils constituent pour toutes les espèces, dont la nôtre.

Lyliane

 

08/07/2016

Les algues, une belle promesse d'avenir...

Mme E. Colin dans le magazine Télérama attire notre attention sur le documentaire de Mr N. Milice, programmé à la télévision sur Ushuaïa le 15 et le 20/7 à 6H. «Qu'elles soient vertes, rouges ou brunes, marines ou d'eau douce, sauvages ou cultivées, nous dit la journaliste,elles ont des vertus antivirales, antioxydantes, anticoagulantes et immuno-stimulantes pour le monde végétal, animal et par extension sur l'être humain».

On a remarqué, en effet, que les algues pourraient servir de pesticide naturel pour les plantes, garantir la bonne santé des animaux d'élevage en se substituant aux antibiotiques, mais également nous prémunir contre certaines tumeurs cancéreuses. Autrefois déjà, les agriculteurs des bords de mer avaient remarqué que l'épandage du guano (fiente d'oiseaux marins) dans les champs avait une influence favorable sur les cultures. Mais les algues étaient ôtées des plages pour laisser la place aux vacanciers! Tandis qu'au Japon, depuis fort longtemps, les algues font partie de la nourriture des habitants. A travers les sushis, nous commençons à le découvrir en France...

Au moment où la pêche décline et ne nourrit plus aussi bien les jeunes marins-pêcheurs, de jeunes français en recherche d'emploi seraient bien inspirés de s'intéresser aux algues bretonnes, dont la ressource est quasiment inépuisable. Ils pourraient par exemple prendre modèle sur les frères Balusson, à la tête du groupe Olmix, qui ont développé dans leur laboratoire interne des solutions innovantes dans le domaine de l'élevage et de l'agriculture. Et comble d'ironie, ils envisagent de conquérir le marché américain, pays de Monsanto!

Le documentaire concernant les algues s'appuie sur des découvertes, avec tests et infographies à l'appui, de chercheurs et de biologistes du CNRS, de vétérinaires dans des fermes françaises, américaines et même africaines. Dommage que ce documentaire ne passe pas à une heure de grande écoute! Il a, quoi qu'il en soit, le mérite de braquer la lumière sur une industrie innovante, durable et respectueuse de l'environnement. A nous de savoir soutenir cette initiative en consommant des algues et en ne laissant plus le champ libre aux lobbies de l'agrochimie dans notre pays.

Lyliane

 

29/06/2016

Sommes nous à la fin du règne des sacs en matière plastique?

 Grâce à un décret qui entrera en vigueur au 1er juillet 2016, les sacs plastiques à usage unique ne devront plus être donnés en caisse aux clients. Ces sachets d'une épaisseur inférieure à 50qn ne seront en effet plus autorisés dans les commerces. Au rayon boucherie et poissonnerie néanmoins, les sacs plastiques restent autorisés. Mais ils sont en sursis, car, au 1er janvier 2017, ils devraient eux aussi être interdits. Les sacs compostables biosourcés (en amidon de maïs par exemple), les sacs en papier et ceux qui sont en plastique épais réutilisable restent autorisés.

 

Chaque jour, écrit Mme S. Casals dans le Journal Nice-Matin, les emballages plastiques se déversent en mer à proximité de nos pays développés. On estime environ à 150 millions de tonnes les déchets plastiques flottant à la surface de nos océans. Sous l'effet du soleil, ces déchets se morcellent et forment au large de nos côtes une nappe que l'expédition Tara a mise en évidence pour la Mer Méditerranée.

 

Or, ces déchets mettent des centaines d'années avant de se dégrader. Ils comportent en outre de fortes concentrations en pesticides, hydrocarbures, PCB, des substances toxiques qui s'accumulent dans les tissus des tortues, des poissons, des huitres, des moules et même des oiseaux marins. Tout l'écosystème marin de la planète est en danger !

 

Autrefois, nos grands-mères allaient faire leurs courses munies de paniers, de filets ou de sacs en tissu. Même si beaucoup de consommateurs paraissent "accros" aux sacs plastiques, nous devons dès maintenant accompagner cette mesure, car la pollution des mers est réversible à condition de nous impliquer dans l'application de ce décret. Changeons nos habitudes: imaginons de sortir désormais avec des bocaux, des boîtes, des bouteilles en verre, un panier !

Et en attendant soyons prudents dans notre consommation de poissons et coquillages !

 

 Un court-métrage, réalisé par Mr C. Sardet pour Tara Expéditions et Parafilms, intitulé "le plastique vagabond" a été mis en ligne dès mars 2016 à des fins de sensibilisation et de pédagogie. Mr J. Gamblin a prêté sa voix au film. Il montre l'étendue de la pollution micro-plastique. On peut le visionner sur You Tube.

 

Lyliane

 

28/06/2016

Pétition de Avaaz au Président Obama...


Le président américain Obama pourrait créer la plus grande réserve marine du monde en un trait de plume, mais nous devons d'abord couvrir les voix des lobbies de la pêche! Cliquez ci-dessous pour signer cette pétition en un clic et protéger le sanctuaire sacré de Papahānaumokuākea: 

SIGNEZ MAINTENANT

 

Chères amies, chers amis, 

Barack Obama pourrait créer 
la plus grande réserve marine du monde (!) en quelques semaines, d’un simple trait de plume. 

Mais le puissant lobby de la pêche à Hawaï est coriace et fait tout pour empêcher le projet d'aboutir. 
Si nos voix ne s'élèvent pas en nombre pour défendre les dauphins, les requins, les tortues et le reste de la faune et flore qui dépendent des eaux hawaïennes, tout pourrait être perdu

Des experts nous disent que le président Obama attend que la communauté internationale se positionne, car il a conscience que la protection des océans est un chantier mondial. Un échec menacerait non seulement ces merveilleuses créatures marines, mais enverrait le pire des signaux pour la protection de la biodiversité dans son ensemble, voire pour notre survie. 
Signez la pétition ci-dessous en un clic pour lui montrer que nous sommes tous avec lui. Quand nous serons assez nombreux à avoir signé, nous remettrons la pétition directement à la Maison Blanche ainsi qu’aux chefs de file de ce projet à Hawaï qui ont besoin de notre soutien. 

https://avaaz.org/fr/papahanaumokuakea_loc/?bgcAWcb&signup=1&cl=10296608969&v=78493

Au Président Barack Obama, au gouverneur de Hawai svp.

 

Les océans, cœur de notre planète...

 

La réalité est là: 71% de la surface de la terre est recouverte par des océans et 2,6 milliards d'êtres humains dépendent d'eux pour leurs besoins en protéines. Le magazine de la MGEN «Valeurs mutualistes» nous signale que les océans regorgent de ressources indispensables à la vie. Aussi, leur préservation constitue une priorité.

Toutefois, le réchauffement climatique et certaines pratiques humaines entraînent un dérèglement des océans qui pourrait coûter cher à la planète et à l'humanité: réchauffement des eaux, déchets, acidification...

De plus, les grands fonds des océans recèlent une vie insoupçonnée, source de convoitise. Des négociations sont en cours sous l'égide de l'ONU, pour essayer de poser un cadre juridique sur la haute-mer, qui n'appartient à personne, nous dit Mme C. Chabaud, déléguée à la mer et au littoral. Pour toutes ces raisons, une gestion maîtrisée des océans est nécessaire sous peine de dérèglements majeurs.

Lors de la COP 21 à Paris, l'océan a bien failli passer à la trappe. S'il a fini par être mentionné dans le Préambule de l'accord de Paris signé par 175 pays, nous dit Mme F. Gaill, directrice de recherche au CNRS, c'est grâce au travail obstiné du Comité Scientifique de la Plateforme océan et climat. www.ocean-climate.org.

Allons nous réussir à concilier la préservation des océans et les activités maritimes? Le bétonnage des côtes étant irréversible limitons et régulons les pollutions qui y sont déversées, afin que nos océans restent le cœur de notre planète!

Lyliane

 

20/06/2016

Les Comores Françaises, vous connaissez?



 Si j'en crois Wikipédia, l'archipel des Comores forme un ensemble d'îles situées au sud-est de l'Afrique, à l'est du Mozambique et au nord-ouest de Madagascar.

 

Devenu français en 1841, l'archipel est, depuis un référendum organisé en 1974, partagé entre deux pays indépendants:

 

- l'Union des Comores à l'ouest (République islamique) pour 3 îles

- la République Française pour la seule île de Mayotte

Cette configuration ne posait pas de problème de surpeuplement car les gens pouvaient circuler librement d'un état à l'autre.

 

Le gouvernement d'Édouard BALLADUR a décidé d'instaurer le "Visa BALLADUR" le 18 janvier 1995.

 

C'est là que les choses se sont dégradées.

 

En limitant ainsi, pour ce peuple et pour toutes ces familles réparties dans les îles, sa circulation entre les îles, le gouvernement français a généré le développement de ce qui est devenu une immigration soit disant illégale.

Cette pseudo immigration (qui n'était autrefois que le mouvement naturel des populations de l'archipel) n'a cessé de croître depuis vingt ans, fauchant, au passage, la vie de plusieurs milliers de Comoriens ayant emprunté des kwassa kwassa (embarcations de fortune), pour rallier l’Île Sœur.

Un drame humain invisible que ne manquent pas de dénoncer les acteurs de la société civile et les autorités comoriennes. Le large de Mayotte est devenu le premier cimetière de France sans que les autorités Françaises s’inquiètent d'une telle situation.

 

Aujourd'hui, plus de 5000 enfants franco-comoriens sont dans les rues de Mayotte, livrés à eux mêmes parce que faute de visa leurs parents sont expulsés ou incarcérés. Malgré, les interventions des ONG, la situation des enfants des Rues de Mayotte reste inchangée et, pour survivre, ils commettent des vols avec violences et s'attaquent aux Métropolitains en fonction à Mayotte - considérant que les Français sont la cause de leurs problèmes et de la situation de leur terre d'origine.

 

Depuis que Mayotte est devenu le 101ème département français en 2011, elle est maintenant confrontée à une immigration de masse venant des autres Iles, Madagascar, Océan Indien et Métropole. Aujourd'hui, la population réelle à Mayotte est multipliée par deux, voire trois. Les gens fuient la misère et la pauvreté croyant avoir une vie plus stable et sécuritaire sur l'Ile Française.

 

La population de Mayotte regrette le choix qu'elle a fait de devenir département Français. Son statut précédent lui apportait le bénéfice de peu d'avantages, mais, correspondaient à leur situation de vie. Il faut savoir que Mayotte a plus de 42 ans de retard sur le plan social, économique et éducatif par rapport à l'Ile de la Réunion.

 

La position des Mahorais est invivable.

 

Confrontés aux problème des inégalités avec la France et le statut des autres Iles d'Outremer (RSA, SECU, SMIG... ) ils ont bien du mal à comprendre que, d'un autre coté, on leur demande de payer des impôts et tout ce qui va avec.

 

Bien entendu, tout cela n'existait pas avant 2011...

 

Les populations rurales de Mayotte estiment avoir été manipulées lors de la campagne du référendum de 2011.

Il est d'urgence vitale qu'aujourd'hui, les autorités Françaises changent de stratégie et trouvent des solutions de terrain très rapidement pour mettre un terme aux massacres qui règnent à l'heure actuelle à Mayotte. Les Comoriens sont maltraités, leurs maisons brûlées, ils sont jetés dans les rues...

 

Les Mahorais, les Comoriens ne sont pas responsables de cette situation.

 

Il s'agit tout simplement d'un problème politique instauré par la France. Le pire est à venir car il est bien possible qu'une guerre civile se déclenche d'ici peu, comme on a pu le voir au Rwanda, au Mali....

Une guerre civile aux Comores signifierait l’extinction d'une population et d'un pays entier.

Aujourd'hui la population comorienne est estimé à 752 000 habitants dont 350 000 expatriés.

Mme Arafa M'BAE se bat pour que l’opinion publique soit alertée. Actuellement,

les bateaux qui reconduisent les immigrés Comoriens et Malgaches les déposent dans une ville déjà surpeuplée, l'Ile d'Anjouan, estimant qu'ils sont arrivés à destination. Les habitants de cette ville commencent à manifester des signes de violence et de haine vis-à- vis des autres. Ces gens devraient être reconduits dans leur Ile d'origine et non sur l'Ile d'Anjouan...

 

POURQUOI LES COMORIENS QUITTENT LEUR PAYS ?

 

1) Après l'indépendance c'était une question de choix car il fallait de la main-d’œuvre en France, c'était plus facile de trouver du travail. (navigation, nettoyage, manutention, restauration....) donc, c'était les hommes qui partaient uniquement.

 

2) Vers les années 80, les femmes ont commencé à partir (regroupement familial, études, mariage ou simplement recherche d'une vie stable) car le pays se dégradait peu à peu à cause des coups des États de BOB DENARD mercenaire Français... Les Comores, qui étaient jusque là sous la tutelle Française, se retrouvent dans une situation de crise économique et politique poussant tout le monde à fuir pour trouver la stabilité en France ou à la Réunion (Mayotte c'est depuis peu). Développant ainsi l'immigration clandestine Comorienne en France.

Depuis 40 ans, la France et les bailleurs de fonds ont multiplié des actions en faveur du développement économique des Comores. Un grand nombre de ces programmes ont pratiquement échoué parce que leurs responsables, imaginant

 

- qu'il suffirait d'injecter assez d'argent,

- de vulgariser des technologies modernes de production,

- d'inciter les cadres locaux à la surconsommation (pour stimuler une incitation profonde et durable des populations rurales en faveur de modes de production et de gestion préconisés par des théoriciens du développement rapide).

 

Ils oubliaient que les populations concernées avaient une histoire, un savoir-faire traditionnel, des valeurs sociales et culturelles à promouvoir et à conserver.

 

3) Des solutions existent, mais seulement

- si on implique directement les acteurs économiques de ce pays: 

- les populations rurales entre autres,

- plus particulièrement les femmes,

Ceci en partenariat avec les associations et les coopératives locales. Les fonds injectés jusqu'à maintenant arrivent rarement aux destinataires finaux. C'est pour cela qu'à l'heure actuelle la population Comorienne vit dans la misère et la pauvreté, que chacun est prêt à mettre sa vie en péril pour échapper à cette misère.

 

4) Lorsque l'on voit l'état général des zones rurales et côtières, quand on écoute parler la population voici ce qu'on entend:

- "on se demande si les conférences mondiales du genre Cop21, G7.... servent vraiment à quelque chose",

- "Les États veulent uniquement montrer leur puissance de dominateur et ils se fichent bien de la vie quotidienne et l'avenir du petit malheureux qui vit dans les détritus parce qu'il na pas le choix, alors que l'argent des contribuables Européens et autres est dilapidé par ces politiciens qui ont des pierres à la place du Cœur..."

 

Il existe aux Comores de nombreux écosystèmes tropicaux tout à fait originaux, une faune et une flore riches et variées. Les efforts de préservation de la biodiversité sont cependant très insuffisants, la France investissant peu de moyens sur place pour garantir la propreté des plages comme des forêts.

 

Peu de zones naturelles, pratiquement aucun tourisme alors que les paysages sont somptueux...

 

De ce fait, des plages magnifiques sont peu à peu envahies de déchets apportés par les courants marins venus des autres pays. On y trouve en effet pêle-mêle des couches de bébé, des objets en plastique, des débris de verre, toutes choses que les autochtones ne connaissent pas. Depuis peu, un mouvement citoyen s'implique pour nettoyer ces plages. On voit des hommes, des femmes et des enfants parcourir ces zones polluées et trier les déchets à mains nues, au risque de s'intoxiquer ou de se blesser. Ce sont de toute façon des vecteurs de maladies potentielles.

 

Face à une telle situation, nous pourrions nous demander pourquoi l'État Français laisse cette île dans un quasi abandon économique et écologique et interpeller nos députés sur les raisons d'un tel désintérêt manifeste. Nous même, citoyens français toujours prompts à nous plaindre ou à manifester, comment pourrions nous susciter un mouvement d'opinion capable de réveiller les consciences?

 

Pourquoi ne pas permettre aux Comoriens de vivre dignement sur leur sol, au lieu de les pousser indirectement à une immigration massive?

 

Pour cela, il faudrait que les mêmes droits qu'à nous, habitants de l'hexagone, en terme d'éducation, d'économie, de préservation du territoire et de santé leur soient par exemple accordés...

 

Arafa, Michèle et Lyliane

13/06/2016

Vingt quatre heures pour les mers, les océans, les baleines et les dauphins...

J'ai eu la chance de pouvoir participer en streaming sur Internet, au moins partiellement, aux 24h de méditation sur la mer, les océans, les baleines et les dauphins, qui avait lieu à Paris au Grand Rex dimanche 12 Juin 2016.

J'ai pu apprécier les poèmes, les images et les évolutions dans l'eau de Mme Leina Sato, les méditations guidées, les danses et les musiques proposées. J'ai ressenti puissamment les appels et les réponses aux questions de Mr Paul Watson concernant la pollution des mers, la surpêche et les activités humaines qui mettent en danger les espèces des mers et océans. Des solutions existent (moratoire de 50 ans sur la pêche mondiale), mais désirons nous les mettre en oeuvre?

L'évocation chamanique de Mr Patrice van Ersel sur le 5ème rêve (son livre porte le même titre), la lecture de la réponse des chefs indiens à propos de l'appropriation des terres par les hommes blancs, tout cela était très émouvant. 

Puissions nous, après cet échange mondial basé sur nos bonnes volontés et nos désirs profonds, rêver tous ensemble à l'avenir de la Terre, de la Mer et des Océans et y vivre dans une belle harmonie d'amour et de partage!

Lyliane

 

 

 

 

05/06/2016

Une initiative citoyenne: nettoyage des déchets qui finissent dans nos océans...

Le Journal Nice-Matin a repris dans ses colonnes, le 20 mai dernier, l'initiative d'une jeune militante de l'ONG Surfrider 06, Melle Cindy Malaurie, qui veut faire disparaître les déchets des berges du fleuve Var. Le comble à ses yeux est que le fleuve Var a été classé Natura 2000, en raison de son caractère fragile et de ses côtés sauvages. Apparemment tout le monde l'a oublié...

 

A l'occasion de la Fête de la Nature, Cindy a réussi à motiver une trentaine de volontaires venus de tout le département. Sur sa page Facebook en effet, elle lance des appels concrets de défense de l'environnement. Lors des dernières journées de nettoyage des berges du Var, les volontaires ont récolté un peu de tout: des sacs plastiques, des emballages et même des encombrants.Tout cela est placé dans une benne et évacué en déchetterie. Cindy espère que l'interdiction des sacs plastiques va peu à peu améliorer les choses...

 

Cette "opération verte" avec mission de nettoyage a désormais lieu une fois par mois. Car Cindy et ses volontaires ne se résignent pas!

Ils lancent même un appel pressant à toutes les mairies des villes et villages environnants pour qu'elles interviennent. On peut espérer qu'ils seront entendus!

 

Pour en savoir plus sur cette ONG, consulter le site:www.surfrider.fr .

 

Lyliane

21/05/2016

Info sur le Polyter prise sur www.in-agro.com/polyter...

 
 

POLYTER est un hydro-rétenteur fertilisant :

 

Il a un triple effet :       - stocker l'eau

- activer la croissance des plantes

- bonifier les sols

 

Il se présente sous forme de granulé sec.

 

Il s'agit d'un copolymère (chaine carbonée) qui bloque les molécules d'eau dans ses mailles sans réaction chimique.

 

Chaque granule va ainsi capter l'eau et se transformer en "nodule" de gelée jusqu'à 300 fois son volume initial.

 

Le POLYTER a un pouvoir d'absorption instantanée de l'eau tout à fait supérieur à tous les produits connus jusqu'à présent.

 

Ainsi l'eau d'arrosage ou de pluie est stockée au plus près des racines de la plante.


Les racines vont ensuite pousser au travers de ces "nodules" de gelée, qui se comportent comme un réservoir d’eau permanent par transfert osmotique des molécules d'eau.

Et aussi comme un garde-manger pour la plante car le POLYTER encapsule des éléments nutritifs : NPK et oligo-éléments.
 
Le POLYTER a un pouvoir de restitution à la plante tout à fait exceptionnel et inégalé sur le marché.
 
La plante résiste mieux aux fortes chaleurs avec ses racines qui restent hydratées.
 
Autre effet nouveau et exceptionnel :
Les nodules de Polyter sont réellement greffés aux racines et avancent dans le sol quand la racine s'allonge...
Ainsi les racines s'épanouissent largement et ne restent pas confinées dans la zone d'arrosage.
Quant aux arbres, leurs racines peuvent s'allonger sans risque jusqu'à atteindre la couche humide du sous-sol.

Résultat, la plante pousse en sécurité et libère tout son potentiel :

- elle pousse plus vite et plus haut,
- elle est plus solide grâce à une masse racinaire supérieure,
- sa production de fruits augmente jusqu'à +100 %,
- les taux de réussite en reforestation dépassent aisément les 80%...

Et tout cela avec 50% d'arrosage et 30% de fertilisants en moins.

POLYTER a été inventé et est fabriqué en France par son inventeur.
C'est un polymère qui a tous les agréments sanitaires et biologiques.

Il reste opérationnel dans le sol pendant 3 ans et est sans danger ni de manipulation, ni pour les plantes, ni pour les sols. Il est même biodégradable après 3 ans.

Il est particulièrement adapté pour :
- les plantations en zones arides (reforestations, haies vives ...)
- toutes productions maraichères ou fruitières pour sécuriser les récoltes et rentabiliser les cultures.

POLYTER c'est :

 

 

      un diamant vert dans vos sols ....

 

Pour commander, aller sur le sited'in-agro...

 

16/05/2016

Des innovations pour déconstruire les bateaux en fin de vie...

 

Certes la plupart d'entre nous ne possède pas de bateau de plaisance. Toutefois, nous pouvons tous nous réjouir d'apprendre que la question de la déconstruction de ces carcasses marines en fin de vie, phénomène qui touche toutes les côtes françaises, est en voie de résolution grâce à un nouveau dispositif législatif et à des sociétés innovantes.

 

J'apprends sous la plume de Mme L. Guidicelli dans le n° 3 du magazine Ressources que la durée moyenne de vie d'un bateau de plaisance est de 35 ans et qu'à l'heure actuelle on estime à 200 000 le nombre de bateaux hors d'usage. Jusqu'ici de nombreux propriétaires hésitaient à payer le coût d'une déconstruction, c'est à dire au minimum 1000 euros.

Quelques uns même préféraient couler leur navire dans une baie ou l'abandonner au gré des courants. Pollution visuelle et marine s'en suivait entre les hydrocarbures, les carcasses et les épaves...

 

Le nouveau dispositif voté en 2015 dans le cadre de la loi sur la transition énergétique sera effectif par un décret d'application au 1/1/2017. Il permettra d'assurer le financement de la filière grâce à une éco-participation sur les bateaux neufs vendus, ainsi qu'une quote-part sur le droit annuel de francisation et de navigation. Grâce à cette avancée du droit, les autorités maritimes pourront prononcer plus rapidement une déchéance de propriété et faire entreprendre des opérations de déconstruction.

 

Dans le même temps, une société D3E Paca basée à Bouc Bel Air (13) s'est investie sur le créneau: elle détruit de 1 à 3 bateaux par jour en les dépolluant et en récupérant tout ce qui peut être vendu ou réutilisé.

A Rochefort en outre, le Centre Régional d'innovation et de transfert de technologie (CRITT) a mis au point un brevet pour valoriser les polymères et les fibres de verre des coques de bateaux.

 

Bref voilà de bonnes nouvelles pour notre environnement et des mesures innovantes, afin de protéger nos fonds marins. Comme quoi l'impulse du domaine législatif peut avoir des retombées positives sur le monde de  l'entreprise!

Lyliane

 

01/05/2016

pétition pour protéger l'antarctique


Il existe sur Terre une mer presque inviolée, un endroit magique où vivent paisiblement baleines bleues, pingouins et calamars. Ce paradis intact pourrait être détruit à jamais par des flottes de pêche industrielle, ou devenir l'une des plus grandes réserves marines du monde! Il ne manque plus que l'accord d'un seul pays, et nous avons précisément les contacts de haut niveau nécessaires pour influencer sa décision. Cliquez ici pour découvrir comment et rejoignez cet appel urgent:

SIGNEZ LA PÉTITION!

29/04/2016

L'écosystème marin est en danger...

 

Selon Greenpeace - www.greenpeace.com – les océans sont en péril: corruption, surexploitation des stocks, pêche pirate... Aujourd'hui, les principales espèces commercialisées sont largement surexploitées: thons, requins, cabillaud. Du coup, la ressource s'épuise. La pêche au thon notamment représente la première pêcherie mondiale. Le thon Albaccore par exemple est particulièrement menacé dans l'Océan Indien.

 

Avec leurs immenses filets, les thoniers capturent d'autres espèces marines: requins, tortues, raies... Il est clair en outre que l'on ne peut pêcher tous les poissons juvéniles et les reproducteurs en même temps. Il faudrait au moins laisser passer le temps de la reproduction. Les espèces marines en effet sont interdépendantes et leurs habitats devraient au moins être protégés.

 

Si nous comprenons que les océans sont vitaux pour l'humanité et que nos destins sont liés, nous allons devoir changer nos pratiques de pêche et de consommation. Des lois devraient également s'étendre à l'ensemble de la planète, afin de favoriser une pêche durable et respectueuse des écosystèmes. Il faudrait sans doute aussi que des organisations de gestion un peu partout dans le monde luttent contre les infractions et les pénalisent.

 

Alors, en tant que citoyens conscients de ces problèmes non résolus, soutenons la pêche durable et les ONG qui comme Greenpeace ou Seashepherd luttent pour faire pression sur l'industrie thonière et débusquer les pratiques illégales.

Lyliane

 

11/04/2016

De nouvelles mesures pour sauver la Mer Méditerranée...

 

La seconde «Conférence nationale de l'Océan» s'est tenue vendredi 8/4/2016 à Paris au Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer, en présence de la Ministre Mme S. Royal, nous apprend le Journal Nice-Matin. Cette conférence réunissait de nombreux acteurs: pêcheurs, océanographes, militants, élus et fonctionnaires en différents ateliers. La question de la Méditerranée était l'un des 3 grands thèmes abordés.

 

Depuis août 2015 des mesures étaient entrées en vigueur: meilleure gestion des mouillages, des activités de plongée, prise en compte du repos des espèces locales pour la pêche professionnelle comme pour la pêche de loisir. Sept mesures viennent s'y rajouter, car «il y a urgence»!

 

La première de ces mesures est d'importance: « pour éviter tout risque d'accident de forage pétrolier, la France n'accordera plus aucun permis de recherche d'hydrocarbures dans ses eaux nationales». Cette mesure pourrait être étendue à tout le bassin méditerranéen, d'autant que c'est le Maroc qui organisera la COP 22. Encore faut-il le vouloir!

 

D'ici la fin 2016 est programmée la création du Parc Naturel Marin du Cap Corse. Avant l'été, «un canal de Corse» sera délimité, afin d'empêcher les ferries de passer à moins de 6 km des côtes corses. Il était grand temps de légiférer à ce sujet! On attend de savoir qui veillera à l'application de cette mesure.

 

A l'initiative de la France, une réunion des Pays Méditerranéens se tiendra avant l'été pour tenter de fédérer les grandes villes dans leur lutte contre la pollution. Des crédits ont, d'ores et déjà, été prévus pour la mise aux normes des stations d'épuration et pour distinguer ports de commerce et ports de plaisance à énergie positive.

 

Enfin, l'équipement des bateaux d'Etat en systèmes de prévention des collisions avec les grands cétacés va être accéléré.

Des fermes éoliennes flottantes vont être crées bientôt en Paca et en Languedoc-Roussillon. Nous verrons à l'usage le plus qui sera apporté...

 

Bref, tout un lot d'initiatives qui, si elles sont appliquées, semblent aller dans le bon sens. A nous citoyens de demander des comptes si ce n'est pas le cas... notamment en rappelant qu'il y a une pétition en cours contre le rejet de boues rouges dans le secteur des Calanques de Cassis.

Les réunions c'est bien, les décisions encore mieux, mais c'est surtout l'application des textes qui traîne dans nos administrations françaises...

Lyliane

 

06/04/2016

L'industrie thonière internationale sur la sellette...

La revue gratuite "La bannière" de Greenpeace - www.greenpeace.fr - s'en prend au puissant groupe Thaï Union, une entreprise thaïlandaise qui alimente en thon les marchés du monde entier et produit une boîte de thon sur 5 dans le monde. A l'heure actuelle, 30% des revenus de la firme proviennent du marché européen. Le groupe possède de nombreuses marques qui commercialisent directement le thon qu'il produit dont le numéro un du thon en boîte en France: Petit Navire.

Or, il est aujourd'hui prouvé qu'une pêche trop intensive détruit l'environnement marin et épuise la ressource. De plus, d'après une enquête de l'agence de presse Associated Press, du travail forcé par des "esclaves de la mer" est monnaie courante à bord des navires affrétés par la firme. Pour toutes ces raisons et notamment car l'entreprise thaïlandaise n'a pas mis en oeuvre un cadre réglementaire efficace pour lutter contre la pêche illégale, la Commission Européenne a donné un carton jaune à Thaï Union.

Durant la campagne Océans qui va démarrer, Greenpeace va envoyer l'Esperanza, l'un des 3 navires de sa flotte, dans l'Océan Indien  pour enquêter et témoigner des ravages causés par les méthodes de pêche les plus destructrices. Préparons nous à des tempêtes et boycottons l'achat dans nos pays européens du thon albaccore, victime de surpêche dans cette région du monde!

Lyliane

29/03/2016

Quelques astuces de jardinage sans produits toxiques...

 

 

Je puise dans le journal local Nice-Matin quelques astuces pour jardiner sans polluer notre terre nourricière. Des maraîchers bio s'en servent en laissant faire la nature au maximum. Après l'hiver doux que nous avons connu, des bestioles en tous genres habitent dans nos jardins. Pas besoin pour autant de sortir des bombes toxiques... Comme en médecine, des méthodes douces existent!

 

Si par exemple des taches blanches constellent les feuilles de nos arbustes et jeunes plants, c'est sans doute un champignon nommé oïdium qui en est responsable. Passer du lait sur les feuilles car la caseine est un fongicide naturel, nous dit Mr Vérola, chef de culture de l'Association ARBRE à Nice (06).  cf associationarbre-chantierecole.over-blog.com

 

La cochenille se colle dès les beaux jours sous les feuilles des agrumes ou des oliviers sur la Côte d'Azur. Pulvériser dessus un mélange de 2 cuillères à soupe de savon noir, de 2 cuillères à soupe d'huile de colza ou de noix et une cuillère à soupe d'alccol à brûler après avoir bien mélangé.

 

Les punaises vertes adorent nos framboisiers et nos pieds de tomates.Par contre elles répandent dessus une odeur désagréable. Verser une décoction d'ail au pied de ces plantes. Pour attirer les limaces, des coupelles de bière sont efficaces. Lorsqu'il y a beaucoup d'escargots, un écran de cendre de bois autour des cultures les protège efficacement. Quant aux pucerons et aux moucherons, les coccinelles en sont friandes et leurs larves peuvent en manger une centaine par jour. On recommande aussi de planter des oeillets d'inde ou des capucines au pied des tomates et des pieds de courgettes. C'est joli et cela les protège. Certains essayent les mégots de tabac ou des peaux de bananes directement posés sur la terre pour avoir tout l'été de beaux rosiers. Le purin d'ortie enfin que l'on peut faire soi-même est un excellent insecticide naturel pour toutes les plantes du jardin.

 

Ceux qui ont la chance de pouvoir planter des légumes dans un coin de leur jardin ou de leur terrasse savent sûrement que les fèves apportent des nitrates dans le sol, ce qui favorise le repiquage des tomates qui suivra. Ensuite on a intérêt à mettre les courgettes, les poivrons et les concombres... Bien sûr, n'oublions pas de faire du compost avec des tontes d'herbes et des déchets ménagers, ni de couvrir la terre avec du bois ramé fragmenté ou de la paille, afin d'économiser l'eau d'arrosage en saison chaude... Bref, en observant quelques règles de bon sens et quelques conseils donnés par des amateurs éclairés, l'usage des pesticides et fongicides n'est vraiment pas nécessaire.

 

Ces jours ci et jusqu'au 2 avril, à Mouans Sartoux (06), la jardinerie Botanicus qui œuvre en faveur d'un jardinage écologique, propose au public de lui rapporter tous ces poisons pour qu'ils soient retirés des circuits. Des municipalités se sont engagées à ce que parcs et jardins comportent zéro pesticide. C'est le cas à Nice. L'Inra d'Avignon, de Sophia Antipolis font des recherches d'alternatives à la chimie dans leurs laboratoires. Toutefois, malgré le Plan Ecophyto adopté en 2008, la consommation des pesticides et néonécotinoïdes, tueurs d'abeilles et heureusement récemment refusés par nos élus, est encore élevée en France, en raison des lobbies agrochimiques notamment..

 

Il nous faudra sans doute aller plus loin encore et militer pour que le TAFTA (traité transatlantique de libre échange) toujours en négociation à Bruxelles soit refusé par les pays européens. En effet, si on regarde les coûts sanitaires des pesticides aux Etats Unis, ils se comptent en milliards de dollars... Certains vignerons comme Mr G. Bodin de Saône et Loire témoignent des dégâts humains causés par ces produits très dangereux pour la santé, d'autres écrivent ou font des films à ce sujet.

 

Alors, en ce qui nous concerne, jardinons écolo et initions nos enfants et petits enfants à toutes les alternatives aux pesticides, à tous ces gestes simples qui préservent la biodiversité, l'environnement (eau, sol...) et la santé humaine.

Lyliane

 

15/03/2016

Pirates ou gendarmes de la mer?

 

Grâce à un article de Mr A. Carini dans le Journal Nice-Matin, j'apprends qu'un trimaran nommé «Brigitte Bardot» sillonne la Mer Méditerranée au large du Cap Roux, près de St Raphaël (83), afin de surveiller une réserve de pêche de 445ha. Toute pêche y est en effet proscrite pour préserver la ressource. Ce bateau est un don de la Fondation Brigitte Bardot. cf www.fondationbardot.org

 

Le pavillon de ce navire n'est autre qu'un drapeau noir à tête de mort, puisqu'il appartient à l'Association Sea Shepherd, fondée par Mr Paul Watson il y a près de 40 ans. Voir www.seashepherd.com.

Depuis la mi-décembre 2015 et jusqu'à la fin de l'été 2016, l'équipage composé d'une dizaine de bénévoles venus des 4 coins du monde veille à ce que la zone préservée ne soit pas la proie des braconniers. Depuis deux mois de vigilance, plus de 100 infractions ont déjà été relevées...

 

Les contrevenants sont informés qu'ils sont dans une zone réservée. En cas d'agressivité ou de récidive, la gendarmerie maritime, avec qui l'équipage collabore, est appelée pour dresser procès verbal. On a parfois accusé les militants de Seashepherd d'être des pirates ou des écoterroristes (éperonnage de baleiniers japonais...). En l'occurence, on peut constater qu'ils jouent ici un rôle utile en traquant les plongeurs, les professionnels et les plaisanciers qui trichent et en les signalant aux autorités.

 

Car, faire respecter la loi sur la mer demande des moyens logistiques importants, que notre pays ne semble pas avoir. Dans cette zone poissonneuse au large de St Raphaël, que la prud'homie de pêche de la ville à transformée en réserve il y a environ 12 ans, les « méchants» ce sont finalement ceux qui ne respectent pas la loi. Un exemple à suivre éventuellement pour que, dans différents domaines, la société civile puisse relayer les autorités et mieux sensibiliser la population à la protection de notre planète...

Lyliane

 

09/03/2016

Aidons des inventeurs à nettoyer mers et océans des déchets plastiques!

 

J'apprends par un mail d'Avaaz.org, que 3 amis américains se sont insurgés en voyant l'île flottante de déchets plastiques qui flotte sur nos océans. Au lieu d'en rester à un simple constat, aussi écoeurant soit-il, ils ont mis en commun leurs compétences et inventé une solution relativement simple: le Seavax, un bateau fonctionnant à l'énergie solaire, équipé de capteurs pour préserver la vie marine. Car dauphins, baleines, poissons sont considérablement touchés par ces déchets. Le plastique en effet peu à peu se décompose en petits morceaux qui bouchent leurs voies respiratoires et leurs branchies.

 

Le bateau mis au point est capable en un an d'aspirer jusqu'à 22 millions de kg de plastique. Si elles étaient multipliées, de telles embarcations seraient en mesure de nettoyer la grande plaque d'ordures de l'Océan Pacifique. Ces 3 amis, nous dit le message, incarnent ce que de simples citoyens peuvent réaliser en s'investissant réellement. Et nous pouvons nous demander pourquoi jusqu'ici industriels, scientifiques, associations, états, gouvernements n'ont pas pris ce problème à bras le corps et cherché de telles solutions...

 

L'initiative de ces trois amis a besoin de financement pour s'attaquer au nettoyage des océans. Mobilisons nous pour qu'une telle initiative puisse se répandre et être relayée par les médias. Poussons les gouvernements de nos pays à financer un tel projet, à mettre à disposition nos moyens de production. Aidons les inventeurs à redonner l'espoir au monde entier en débarrassant nos mers et océans de leurs monceaux de déchets!

Lyliane

 

03/03/2016

Bien s'hydrater est essentiel...

 

Au cours de l'émission «Allo, docteurs» sur la 5ème chaîne de la télévision, Mme M. Carrère d'Encausse et Mr M. Cymes ont ouvert le dossier de l'hydratation. Le constat est en effet assez inquiétant, puisqu'1 personne sur 3 boit moins d'1l par jour. Il est particulièrement important que les nourrissons, les enfants, les sportifs et les personnes âgées boivent au minimum 1l et demi par jour en moyenne, davantage en cas de canicule, car la transpiration doit être compensée.

 

Il faut savoir que le corps humain élimine l'eau chaque jour (sueur, urine etc...) et ne la stocke pas. Lorsqu'on éprouve de la soif, généralement on a déjà perdu 1% d'eau. Or, le premier organe à souffrir du manque d'hydratation est le cerveau, ce qui peut provoquer dans les cas sévères de la fatigue, des maux de tête, de l'hypotension, des crampes, de la sècheresse de la peau, de la confusion mentale et des infections même. L'eau sert notamment à hydrater les muscles et à redistribuer la chaleur dans le corps. Les coachs veillent à ce que leurs sportifs aient de bons réflexes avant, pendant et après l'effort en buvant de l'eau légèrement salée. Pour eux, 2% d'eau en moins, c'est à coup sûr moins 20% de performances. Par contre ils évitent la taurine comme la caféine, qui fatiguent le cœur, car ce sont des excitants.

 

Dans les maisons de retraite, le personnel veille à ce que les personnes âgées prennent l'équivalent de deux carafes d'eau plate ou gazeuse chaque jour. Cela peut se faire aussi sous forme de potages, de légumes, de laitages liquides, de fruits, de café, d'infusion... Chez les enfants, on se sert aussi de sirops et de jus de fruits... Pour vérifier si on a une bonne hydratation, on peut regarder si la langue est humide ou pincer la peau, afin de voir si les plis retombent vite ou pas. Selon les nutritionnistes interrogés, il importe peu de boire pendant le repas, avant ou après. Pour tout le monde quoi qu'il en soit, un verre d'eau au lever active le transit intestinal. L'eau du robinet, à de rares exceptions près ( chlore, calcaire), semble tout à fait valable.

 

Alors n'hésitons pas à acquérir de bons réflexes, quitte à préparer sa thermos chaque matin avant d'aller travailler. Car, ne l'oublions pas, l'eau c'est la vie!

Lyliane

 

19/02/2016

A propos de l'eau, un bien commun de l'humanité...

Dans le N°3 de l'excellente revue Ressources de ce mois – cf le blog Sansadjectif et www.ressourcesmagazine.fr - un article de Mme Solène Vignali m'a fort intéressée. Il fait référence à une entreprise monégasque, EauNergie, fondée en 2007 par Mr Mehdi Hadj-Abed, ingénieur. EauNergie propose 2 types de machines: l'une Seamob capable de dessaler l'eau de mer à raison de 30l par heure grâce au procédé de l'osmose inverse, l'autre l'Eaumob qui fonctionne manuellement par ultra-filtration et grâce à une pompe. Elle permet d'obtenir 300l d'eau potable par jour. Mr Mehdi Hadj-Abed a gagné en effet un concours de création d'entreprise de la Jeune Chambre économique de Monaco, ce qui lui a permis d'ouvrir sa structure. Il a alors fait installer la première station solaire de la Principauté, à l'auditorium Rainier 3, ce qui alimente un dessalinisateur. Cette société aujourd'hui siège à la tribune des ONG de l'ONU, car elle s'occupe «d'un problème de développement dévastateur sur notre planète: le manque d'eau potable». Mr Hadj-Abed propose de former la population des pays concernés par cette question comme le Maroc, l'Afrique du Sud, afin que les techniciens formés puissent fabriquer, puis entretenir ces machines. Non seulement cela créera des emplois pérennes, mais le coût d'acquisition sera abordable. Il essaye également de vendre les machines en kit. Cet ingénieur travaille depuis quelques années en partenariat avec une école catholique de Monaco, où les élèves de 4ème et de 3ème apprennent à monter ces petites machines pour les offrir à des pays dans le besoin comme Haïti. Il sensibilise aussi des collèges de Nice et des professionnels du traitement de l'eau. Comme les machines sont écologiques et fonctionnent en énergie renouvelable, elles sont susceptibles de s'imposer partout dans le monde, notamment dans les régions en bord de mer. Chez nous, cela pourrait notamment faire baisser le coût de l'eau potable, qui actuellement est autour de 450 euros par an et par famille, n'en déplaise aux grosses sociétés d'exploitation... Ces deux inventions géniales et peu coûteuses sont le signe que la société civile a pris en main son devenir. Car l'eau potable est une ressource qui était loin d'être accessible à tous les êtres humains. Cela fait naître un grand espoir dans le pouvoir que nous avons de faire enfin bouger les choses dans le monde! Lyliane