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23/07/2015

Comment minimiser les effets de la sécheresse sur la terrasse ou au jardin?

Selon les climatologues, la fréquence et la durée des épisodes de sécheresse dans le monde devraient s'accentuer dans les années à venir. Nous ne faisons heureusement pas partie des pays les plus exposés à la sécheresse. Néanmoins, en cas de canicule, il est utile de connaître certaines précautions qu'un particulier peut mettre en œuvre, notamment s'il doit s'absenter au delà de 4 jours.

 

La plupart d'entre nous n'avons pas conçu un «jardin sec» à base d'aromatiques, de cactées, lavandes, iris, cannas ou glaïeuls, ne nécessitant pratiquement aucun arrosage. Aussi, il convient pour toutes les autres plantations d'optimiser les arrosages ou de pallier au manque d'eau.

 

Les plantes en pots d'une terrasse doivent être mis à l'ombre, enfoncés dans le sol d'une jardinière ou recouverts d'un pare soleil, car elles souffrent au bout de deux jours d'un manque d'eau ou sont la proie de mouches blanches. Il existe aussi en jardineries des systèmes individuels d'arrosage par goutte à goutte. Ne pas oublier que le vent assèche l'air et fait évaporer l'eau transpirée par les plantes.

 

Il faut savoir, en tout état de cause, que plus une plante est exposée à la force des rayons chauds du soleil, plus elle dépense de l'énergie pour se protéger des brûlures. Arroser de préférence le matin de bonne heure ou en fin d'après midi, car les gouttes d'eau font loupe en plein soleil. Le mieux au jardin pour lutter contre la sécheresse ou pour anticiper une absence serait de creuser une cuvette d'au moins 30 cm au pied de la plante (tomate, courgette, aubergine, jeunes arbres plantés depuis moins de 3 ans...) et de pailler par dessus sur 5cm au moins recommande le Journal Rustica. Le paillis peut être constitué de paille, d'écorces de pin, de brindilles de bois, de tontes de pelouse, de compost...

 

Si au retour de congés, on s'aperçoit qu'un pot a souffert, ne pas hésiter à le tremper dans un seau d'eau. Au jardin, tailler au sécateur branches et fleurs séchées, qui pourraient repartir du pied.

L'arrosage des pelouses est interdit dans certaines régions du sud de la France en cas de pénurie d'eau pour les éleveurs ou les habitants. Bien entendu, des récupérateurs d'eau de pluie couplés à une pompe ainsi que des systèmes d'arrosage automatique peuvent être installés, surtout s'ils sont sous forme de goutte à goutte moins gourmands en eau. Nous savons tous, en effet, que l'eau c'est la vie!

Lyliane

20/07/2015

Préserver nos océans de la pollution humaine...

Il y aurait sans doute de quoi désespérer devant le taux de pollution de nos mers et océans! En effet, entre les déchets plastiques, qui forment un véritable continent dans le Pacifique, le déversement volontaire - par déballastage illégal - de tankers et gros bateaux, qui donne annuellement 1,8 million de tonnes de produits toxiques, les polluants charriés par les fleuves, qui amènent en mer nitrates, phosphore, azote..., la pollution atmosphérique par les rejets d'usines ou de centrales à charbon, on constate que la pollution marine actuelle provient aux 2/3 de la terre... 

Régulièrement, des organismes de défense de la nature, des hommes de bonne volonté alertent la planète au sujet de la banquise arctique qui est atteinte par la pollution, de mers comme la Baltique qui sont quasiment «mortes» pour les espèces vivantes, de la diminution des coraux, de la prolifération d'algues envahissantes, d'exploitations dangereuses en bordure des rivages, de tortues qui meurent en ingérant des morceaux de plastique... Des pétitions sont lancées par Internet et de nombreux citoyens du monde les signent. Des dons en France sont faits à des associations comme le W.W.F. (www.wwf.fr), Greenpeace(www.greenpeace.org) ou Consoglobe (www.consoglobe.com)... 

Tout cela n'est heureusement pas vain! J'en veux pour preuve la pression mise sur le gouvernement australien en février dernier par le WWF à propos de la Grande Barrière de Corail, qui en 30 ans a déjà perdu la moitié de ses coraux. Fin mai, le gouvernement australien annonçait que 560 000 km2 de cette Grande Barrière de Corail seront désormais mieux protégés contre la pêche et le trafic maritime... Après l'Australie, ce fut au tour des îles Cook de créer une nouvelle réserve marine, la plus vaste au monde. En Nouvelle Calédonie, il a été prévu la création d'un sanctuaire marin de 1,4 million de km2...

Certes, nous ne pouvons nous contenter de promesses, ni même de la préservation de quelques espèces menacées confinées dans des réserves marines, alors que certains continuent de polluer alentour... Mais ces avancées significatives doivent nous encourager à ne pas relâcher notre pression de citoyens du monde pour obtenir de tous les états - aussi puissants soient-ils - des mesures concrètes de préservation des mers et océans du globe. Disons tout net que nous n'autorisons aucune multinationale ou entreprise à creuser n'importe où pour y faire des profits, à polluer sans se soucier des conséquences. Qu'ils mettent leurs capitaux dans des initiatives positives pour le bien de tous les humains... Soyons nous-mêmes des «veilleurs» au chevet de notre patrimoine planétaire et dénonçons tous ceux qui polluent sans conscience! Faisons le pour nos enfants et petits enfants, qui méritent de pouvoir jouir des beautés de la nature!

Lyliane

17/07/2015

Devenir, grâce à des aides, acteurs du changement dans son propre pays!

Le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement-Terre solidaire (C.C.F.D.) oeuvre partout dans le monde, afin de former des populations locales à trouver les moyens de fabriquer des ressources pérennes. Ici c'est grâce au micro crédit, là par des techniciens ou des prêts de semences... Et quelle satisfaction de constater que la faim recule grâce à leur investissement et à celui de leurs généreux donateurs!

En Guinée par exemple, grâce à un programme de maraîchage soutenu par l'association, en 10 ans la culture de la pomme de terre "la Belle de Guinée" s'est imposée sur les marchés locaux, alors que jusque là régnait la pomme de terre néerlandaise! Cette culture fait vivre 20 000 producteurs et nourrit directement ou indirectement 500 000 personnes!

En Bosnie, après les inondations catastrophiques de 2014, grâce à des partenaires locaux du C.C.F.D. du cheptel, des semences, des ruches ont pu être distribués aux paysans. Peu à peu de ce fait l'agriculture du pays reprend des couleurs, des bâtiments sont réhabilités et l'espoir revient dans les familles!

Enfin en Mauritanie, grâce à du micro- crédit et à des formations sur place, des femmes ont pris en main, au sein d'un groupement d'intérêt économique, tout le secteur de la pêche, autrefois monopolisé par des intermédiaires. Actuellement ce sont 2000 femmes environ qui bénéficient du soutien du C.C.F.D. dans un programme nommé Mauritanie 2000.

Pour en savoir plus, RV sur le site: www.ccfd-terresolidaire.org

Il suffit parfois d'un coup de pouce à notre portée pour remettre en route des projets viables et pour permettre à des populations de nourrir dignement leurs familles. Faisons donc, grâce à ces associations et à leurs bénévoles, reculer la faim dans le monde et réjouissons nous de toutes ces avancées créatives!

Lyliane

16/07/2015

Préserver nos océans: pétition!

Chères amies, chers amis,

Depuis des années, elles empoisonnent les rivières, détruisent les forêts, délogent des villages entiers...
Aujourd’hui, les multinationales se bousculent pour exhumer de précieux métaux des fonds marins.

24 personnes 
peuvent empêcher ce pillage de l’écosystème le plus fragile de notre planète, et elles se réunissent cette semaine! L'Autorité internationale des fonds marins attire en temps normal bien peu d’attention, de même que ces mines océaniques situées à des kilomètres des côtes; mais notre mouvement peut changer cela.

Quelques pays ont déjà adopté des interdictions totales ou partielles, et 
des scientifiques de renom viennent d’appeler à un gel des contrats d’exploitation minière des fonds marins. Amplifions leur message par une mobilisation forte d’un million de signatures, publions des encarts publicitaires dans les journaux, remettons cette pétition entre les mains de chaque délégué, puis rendons publics leurs noms et leurs réponses. Ajoutez votre voix et parlez-en autour de vous: 

https://secure.avaaz.org/fr/deep_sea_mining_loc_dn/?bgcAWcb&v=62030

Les grandes compagnies minières affirment qu’elles peuvent exploiter les fonds océaniques sans danger, mais la Namibie, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont récemment bloqué leurs projets miniers de haute mer. Les scientifiques rappellent que de nouvelles espèces peuplant les grands fonds sont découvertes chaque jour, et que le sol marin peut prendre des décennies avant de se remettre des perturbations causées par ces exploitations, comme les nuages de sédiments qu’elles rejettent.

L’Autorité internationale des fonds marins a déjà accordé plusieurs licences exploratoires sur 1,2 million de kilomètres carrés de fonds océaniques. 
Cet organisme est pratiquement inconnu, et les 24 personnes de son Comité légal et technique conduisent l’analyse minutieuse des demandes et des garanties environnementales avec le minimum de transparence. Nous avons aujourd’hui l’opportunité unique de mettre ces 24 membres sous les projecteurs avec une demande: le gel de toute exploitation minière, jusqu’à ce que des études scientifiques indépendantes prouvent qu’elles sont sans danger, et que l’Autorité s’ouvre aux inquiétudes des scientifiques et des citoyens.

Bien souvent, nous ne prenons conscience de la valeur de nos plus précieux écosystèmes qu’une fois leur destruction amorcée; mais cette fois, 
nous avons la chance de pouvoir agir avant que cette nouvelle menace ne balaie nos océans. Rejoignez cet appel pour un gel des exploitations minières des fonds marins, atteignons le million de signatures et remettons-les à tous les délégués avant que leur réunion ne s’achève. 

https://secure.avaaz.org/fr/deep_sea_mining_loc_dn/?bgcAWcb&v=62030

Ensemble, nous nous sommes élevés pour protéger les écosystèmes les plus incroyables de la planète, des majestueux arbres de l’Amazonie aux splendides espèces de la Grande Barrière de Corail. Aujourd’hui, nous sommes sur le point de connaître une nouvelle ruée vers l’or qui pourrait dévaster un des derniers endroit préservé du monde!

08/07/2015

Piqure de rappel: URGENCE OCEANS - 7ème CONTINENT

 Copie de page du site ocean-climate.org !

 

"Face au défi environnemental et sociétal que pose l'empoisonnement de nos océans par les déchets plastiques, seule une mobilisation de tous les acteurs de la société permettra d'apporter des réponses face à cet enjeu.

 

Inscrivez vous à la newsletter de ce site internet:

http://www.ocean-climate.org/

 

Vous y trouverez les derniers projets et informations sur ce qui se fait pour sauver les océans.

 

Voici leur dernière lettre à propos de l'expédition scientifique: expéditionmed. Suivez leur parcours et si vous pouvez allez les rejoindre bénévolement pour les aider. Pour les contacter: contact@expeditionmed.eu

 

Carnet de bord

http://r.envoi.expeditionmed.eu/37j7qdiyd3rrbnd.html



"L'expédition a bien démarré avec une météo idéale qui nous permet de prélever sur 100 % des points d'échantillonnages et d'alimenter les différents projets embarqués avec 35 premiers échantillons. Une mer très calme et très propre en apparence, très peu de microplastiques de taille moyenne dans les prélèvements Manta, mais en y regardant de plus près, une grande quantité de toutes petites particules de l'ordre du millimètre, mêlées à la biodiversité colorée du plancton. Beaucoup sont transparentes et rappellent la fragmentation des sacs plastiques en polyéthylène. Cette discrétion visuelle rend le niveau de pollution plus difficile à appréhender. Les fragments transparents sont malheureusement prisés des poissons qui les confondent avec certaines espèces du plancton gélatineux.


Cette année ce sont une trentaine codec-volontaires qui vont embarquer avec le laboratoire citoyen avec pour rôle, la participation aux manœuvres du bateau et l'assistance aux prélèvements des échantillons pour les 5 programmes scientifiques embarqués. Nous sommes accompagnés des dauphins et des cachalots, mais aussi bien tristement, par les macrodéchets plastiques. Après une escale au vieux port de Bastia le Ainez, navire d'Expédition MED vient de partir pour une deuxième semaine de prélèvements."

Prochaine escale le vendredi 10  et samedi 11 Juillet au vieux port de Marseille.

 

Sensibilisation

La plateforme Océan & Climat regroupe l’expertise et les compétences de ses membres et développe des messages sur ces deux thématiques sous la forme d’outils pédagogiques et de sensibilisation. Un groupe de travail sur la diffusion des connaissances est en lien avec le comité scientifique pour produire des synthèses, fiches et messages courts à destination du public.

 

Concours de l’été #OceanforClimate, 150 jours avant la COP21

Faites votre propre #OceanForClimate. La Plateforme Océan et Climat vous invite à vous mobiliser pour l’Océan, poumon bleu de notre planète, par le biais d’un appel à la créativité jusqu’à la COP21.

 

Appel de l’Océan pour le Climat

"Compte tenu de la relation intrinsèque entre les systèmes océaniques et climatiques, les décisions qui seront adoptées lors de la Conférence Paris Climat 2015 auront un impact majeur sur le milieu marin et sur les millions de personnes qui en dépendent. Un Accord de Paris ambitieux est donc essentiel pour maintenir l’océan en bonne santé et ainsi lui permettre d’assurer ses fonctions essentielles dans le système climatique planétaire."

 

Surfrider Campus Tour

Sensibiliser à la cause de l’Océan en France mais aussi en Europe. De juin à décembre 2015 en France et en Europe par Surfrider Foundation Europe. De la Journée Mondiale de l’Océan à la COP21, à travers une quinzaine d’événements de sensibilisation et d’éducation en France et en Europe (Allemagne, Belgique, Pays Bas, Espagne, Portugal), Surfrider part à la rencontre du grand public…"

 

Transféré par Michèle

17/06/2015

A propos de la pêche du thon rouge...

Il n'est pas toujours simple de concilier les intérêts économiques d'un pays et la protection des espèces. C'est le cas dans nos pays européens notamment pour la pêche du thon rouge, un gros poisson très apprécié des consommateurs. Il est appelé ainsi car sa chair est de couleur rouge/rosée. Dans l'Océan Atlantique il est encore abondant, alors qu'en Méditerranée les quotas de pêche ont du être revus à la baisse suite à leur stock au bord de l'extinction.

 

Dans un rapport publié en juin 2006, le WWF (www.oceans.wwf. fr) avait estimé en effet que les captures de thon rouge pour 2004 et 2005 se situaient déjà dans une fourchette de 40% au dessus des 32 000 tonnes du quota européen. Depuis, la situation ne s'est pas améliorée, la pêche illégale ayant réduit de beaucoup les stocks existants en Mer Méditerranée.

 

C'est pourquoi a été imaginé un procédé de marquage des thons rouges par balise, ce qui permet de recueillir de précieuses informations concernant leur migration, leur position en Méditerranée, leur profondeur et leur vitesse de déplacement. Cette balise, implantée de façon indolore sur le dos de l'animal, est programmée pour se détacher au bout d'un an. Elle remonte alors à la surface et grâce au système de satellite Argos, elle peut être localisée et récupérée. Les informations recueillies sont susceptibles de nous aider à fixer des quotas de pêche tenant compte de la réalité, voire à décider d'interdire toute capture si la population de thons continue à se raréfier.

 

De notre côté, en tant que consommateurs, prenons conscience de notre rôle dans cette question! Si nous avions l'habitude, tous les étés, de faire griller de belles tranches de thon rouge au barbecue, réfléchissons aujourd'hui à l'impact sur notre écosystème... Tournons nous plutôt vers des espèces plus nombreuses, comme maquereaux ou sardines et changeons notre façon de consommer.

 

L'organisation Greenpeace ( www.greenpeace.org/oceans) a les mêmes demandes que le WWF concernant le thon rouge. Aussi, donnons l'exemple et faisons savoir autour de nous pourquoi nous n'achetons plus de thon rouge. Nos enfants un jour nous en seront reconnaissants car ce beau poisson sera toujours présent dans nos Océans et particulièrement dans notre Mer Méditerranée.

Lyliane

12/06/2015

Espoir au niveau du nettoyage des océans selon L'essentiel Online...

"Un gigantesque barrage pour nettoyer les océans"

 

L'île de Tsushima doit commencer une étude de faisabilité du projet d'ici la fin juin et prendra une décision finale vers février, après avoir eu le feu vert des pêcheurs et des habitants, a indiqué jeudi un fonctionnaire local. Cette expérience-pilote doit être conduite avec le concours de la Fondation néerlandaise de nettoyage des océans (Ocean Cleanup Foundation) qui espère installer ce barrage au deuxième trimestre 2016.

 

L'idée est d'installer une plate-forme et des barrière flottantes au large de l'île de Tsushima, située entre le Japon et la Corée du Sud, et de récupérer les déchets grâce aux courants marins. Le système est prévu pour être déployé sur une distance de deux kilomètres, ce qui en ferait la plus longue structure flottante jamais mise en place en mer, a précisé jeudi la fondation néerlandaise sur son site.

                                 «Stopper les détritus et les collecter en mer»

Le déploiement des barrières au large de Tsushima permettrait à l'Ocean Cleanup Foundation d'en étudier «l'efficacité et la durabilité». Si ce test était un succès, il représenterait une étape majeure pour le projet de nettoyage de l'océan Pacifique via la mise en place d'une structure similaire de 100 kilomètres de long entre Hawaï et la Californie. Constitué de barrières sous lesquelles peuvent passer les poissons - et non de filets - le dispositif ne représente pas une menace pour la faune marine, selon la fondation. Les autorités locales de Tsushima espèrent, elles, pouvoir recycler en source d'énergie le plastique récupéré."