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24/01/2018

Les jouets éducatifs le sont-ils vraiment?

Le journal La Croix du 7/12/2017 avec Mme Florence Pagneux se pose la question de savoir ce qu'on entend chez les fabricants par "jouet éducatif". Cet argument, si souvent vanté auprès des parents, fait référence à la volonté de trouver les meilleurs outils pour favoriser l'éveil des enfants. Le jeu en effet serait devenu "rentable" pourvu qu'il soit éducatif.

Pour V-tech, les jeux électroniques, colorés et s'adressant à des tranches d'âge et à des stades différents de développement, sont conçus "pour apprendre en s'amusant". Pour Bioviva, les concepteurs s'appliquent à fabriquer "des jeux de société coopératifs et pédagogiques", en insistant principalement sur l'épanouissement et l'amélioration de la concentration de l'enfant. Cette année, les coffrets Montessori ont du succès. Ils sont devenus populaires par leurs méthodes alternatives...

Mme Agnès Florin, professeur de psychologie de l'enfant et de l'éducation à l'Université de Nantes, affirme que le mercantilisme a bien compris ce désir des parents de vouloir "bien faire". Pour elle, "ce qui compte c'est de laisser l'enfant jouer librement sans un mode d'emploi trop rigide qui briderait son imaginaire". Pour elle en effet "la créativité et la communication orale sont tout aussi fondamentales".

Il y a, en plus, de nombreux supports de jeux gratuits dans la nature lors d'une promenade en forêt ou le soir en regardant les étoiles, au contact des adultes pendant un moment de partage entre générations à pied ou à bicyclette, à la maison en faisant un gâteau, en apprenant le crochet, en faisant une maison à partir d'un carton, en dessinant animaux ou bouquets de fleurs...

Laissons, de ce fait, nos enfants et petits-enfants se construire en usant d'une vraie liberté dans leurs activités de jeu. Parfois, l'emballage du jeu lui-même est plus intéressant que le contenu qu'il faut faire monter par un adulte ou dont la règle semble compliquée! Il arrive aussi que l'adulte se fasse plaisir en y mettant le prix, cédant ainsi à la pression de la société de consommation. D'autres fois, le parent choisit en fonction de ses goûts personnels ou pour compenser des manques de sa propre enfance...

Aussi, en choisissant puzzles, dominos, Memory, DVD, histoires, jeux de construction, poupée, jeux électroniques ou d'extérieur, appliquons nous à nous centrer sur l'enfant, à qui nous voulons faire plaisir, attachons nous à stimuler son imagination ou son besoin de divertissement. Faire du jeu un support d'éducation devrait peut-être passer au second plan, car cela correspond surtout à nos intérêts d'adultes.

Pour approfondir le sujet, consultons sur Internet les sites: https://www.lapouleapois.fr/34-jeux-educatifs-et-ludiques ou www.oxybul.com.

Lyliane

 

20/01/2018

Protéger encore davantage l'Antarctique et tous les océans selon Greenpeace...

Le petit encart "La Bannière" qui m'a été envoyé par Greenpeace fait le point sur les dangers qui menacent nos océans et particulièrement l'Antarctique. Il faut en effet savoir que l'iceberg Larsen C, le plus grand jamais observé, s'est détaché de la péninsule antarctique en juillet 2017, en raison du réchauffement climatique selon les scientifiques. Environ 64% des océans, soit presque la moitié de la surface de la planète n'appartient à aucun pays. Ces zones maritimes appelées "eaux internationales" ou aussi "haute mer" appartiennent à tous. Nous avons donc la responsabilité collective de les protéger.

Lors du protocole de Madrid, signé en 1981 à la demande des ONG de défense de l'environnement, le continent Antarctique avait été choisie comme "réserve naturelle consacrée à la paix et à la science". La commission pour la conservation de la faune et de la flore marines de l'Antarctique ou CCAMLR a été établie en 1982 et elle compte 25 Etats membres signataires, dont la France. Les scientifiques estiment que, d'ici 2030, 30% de nos océans devraient faire partie d'aires marines protégées où toute activité industrielle devrait être interdite.

Un premier pas a été franchi en 2016 avec la création de la plus grande réserve marine du monde dans la Mer de Ross, une baie bordant le continent antarctique sur une superficie de 1,5 millions de Km2. Toutefois, dans la mesure où la Commission CCAMLR doit se réunir en octobre 2018 pour créer un sanctuaire marin encore plus vaste en Mer de Wedell, il est important que les citoyens européens, à l'initiative de ce projet, se mobilisent pour le faire aboutir.

En octobre 2017, aucun accord n'avait été trouvé pour délimiter une autre aire marine à l'Est de l'Antarctique. Aussi, en 2018, "tous les gouvernements des Etats membres, toute la Communauté Internationale devront se mobiliser pour soutenir ce projet, afin que la protection des océans prenne le pas sur les intérêts des industriels et notamment ceux de la pêche". Les manchots, les phoques, les baleines à bosses,  les rorquals bleus, les cachalots ont besoin d'un havre de paix. De plus, la plupart se nourrissent de petites crevettes, le krill, de plus en plus prisées par les flottes de pêche. 

Réalisons que les océans sont essentiels à la vie sur terre. Ils procurent 50% de l'air que nous respirons, abritent une grande biodiversité et leurs ressources fournissent de la subsistance à des millions de personnes dans le monde. Notre intérêt est donc de tout faire pour les protéger. Les jeunes notamment, à la maison comme à l'école, devront être sensibilisés à ces projets. Pour soutenir Greenpeace, qui nous alerte à ce sujet comme sur d'autres (nucléaire, obsolescence programmée...), il est possible de contacter le site: www.greenpeace.fr.

Lyliane

19/01/2018

Récompenser des jouets durables et respectueux de la santé...

J'apprends par un article dans la revue Biocontact que vendredi 24/11/2017, le WECF France (Women in Europe for a Common Future) organisait la remise des prix de "Design-moi un jouet", son premier concours de création de jouets éco-conçus et sans danger pour la santé. Design-moi un jouet a montré "qu'il était possible de fabriquer des produits à la fois plus respectueux de l'environnement et de la santé". Ce projet du WECF, où les femmes européennes s'investissent pour créer un avenir commun, marque une étape vers la concrétisation de cette conviction écologique que les membres de l'association ont de longue date.

Les médias ne mettent malheureusement pas assez en valeur les initiatives en faveur d'un modèle de société différent, où la consommation est responsable et les produits plus respectueux de l'environnement et de la santé deviennent petit à petits courants. Parmi les exigences du concours figurait l'absence de perturbateurs endocriniens avérés ou suspectés.

Mme Véronique Moreira, présidente du WECF France, a remis deux prix décernés par le jury du concours. Mmes Eléonore Sense et Nora Dupont, étudiantes de l'ENSCI-Les ateliers, ont reçu le premier prix pour leur projet PLUSS, un jeu de construction en bois de hêtre et caoutchouc naturel. Mmes Nina Balleydier, Laurine Farjanel et Mathilde Lacroix, étudiantes en licence Design de l'Université de Bordeaux, ont reçu le deuxième prix pour leur projet Tortugo, un tapis d'éveil évolutif.

Au-delà de ce concours, on peut noter que les lauréates ont été sensibilisées à l'impact sur la santé des jouets, notion que jusque là elles n'avaient que peu abordée. Les membres du jury leur ont également prodigué de précieux conseils pour améliorer leurs projets. A la suite du concours, un partenariat a été mis en place par WECF France avec l'école de design et de graphisme IPAC-Design de Genève. Des ateliers vont permettre de sensibiliser encore plus d'étudiants au design responsable, durable et plus respectueux de la santé.

L'association WECF France remercie  le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, l'Assemblée nationale et les donateurs de la plateforme Ulule pour leur soutien. Pour davantage de renseignements à ce sujet, consulter le site: www.wecf.eu, écrire à WECF France, Cité de la solidarité-Internationale, 13, Avenue Emile Zola- 74100-Annemasse ou tél au 04 50 83 48 13.

Lyliane

18/01/2018

Quels documents conserver ou détruire?

En début d'année, beaucoup d'entre nous font des rangements. Nous amassons beaucoup de documents. Mais savons-nous toujours bien lesquels sont à garder et lesquels à détruire? Voici donc un rappel pour faire la distinction entre les deux.

Toute notre vie, nous devons garder tous nos justificatifs de travail salarié ou non, afin de pouvoir justifier des trimestres à prendre en compte pour la retraite. Nos documents de santé (radios, scanner, IRM, groupe sanguin,  et ceux de nos enfants (vaccins, carnet de santé...) doivent aussi être conservés. Quant à nos papiers d'état civil, nos diplômes scolaires et universitaires, notre permis de conduire, nos titres de propriété, notre livret A, notre contrat de mariage, livret de famille, nos actes notariés comme testaments, divorce et donations, pour les messieurs leur livret militaire, tout cela doit être gardé en lieu sûr. Si on ne les a plus, éventuellement des copies et duplicatas peuvent être demandés...

Jusqu'à notre retraite, les bulletins de salaire et contrats de travail sont indispensables pour pouvoir réclamer des arriérés éventuels en cas d'erreurs (3 ans de délai pour le faire au maximum), de même que les arrêts de maladie qui se sont succédés pendant nos emplois, les éventuelles lettres de licenciement et déclarations d'accidents, les versements de sécurité sociale et prestations reçues, les allocations de chômage... Bien noter les noms et adresses des différentes caisses de retraite et prévoyance de nos différents employeurs.

Pendant 30 ans, garder tous les justificatifs de services (d'artisans, de garagistes, d'entrepreneurs), tous les documents de prêt entre particuliers, reconnaissances de dettes, remboursements de sinistres..;

Les assurances-vie se conservent généralement pendant 10 ans si on en est bénéficiaire, de même que les factures de gros œuvre dans la construction, les contrats d'assurance auto et habitation (responsabilité engagée même après résiliation du contrat si contestations pour vice caché)

Les talons de chèques et relevés de comptes bancaires se conservent habituellement pendant 5 ans, de même que les factures d'eau, de gaz et d'électricité. Les fournisseurs ont  4 ans en effet pour agir contre un particulier abonné.

Les documents concernant les allocations familiales, de même que les quittances de loyer se gardent pendant 3 ans. Idem pour les déclarations de revenus, avis d'imposition, PV d'amendes, versements d'assurance chômage.

Les prêts à la consommation, contrats d'assurances, versements d'APL, d'indemnité en cas de maternité, de preuves de restitution de box, décodeurs, avis de contraventions... peuvent être conservés au moins 2 ans.

Enfin, les chèques à encaisser se prescrivent au bout d'un an, comme les certificats de ramonage, restitution de dépôt de garantie, avis d'impôts locaux ( taxe d'habitation et foncière), ordonnances médicales.

Il est recommandé de conserver toutes les factures  d'achat ou de réparation  en cas de garantie, de réparation ou de revente de l'objet.

Pour une succession, les délais de conservation des papiers sont de 5 ans au moins après le décès car des actions en recouvrement (dettes, contrats en cours) peuvent être intentés par des créanciers.

Ne pas jeter mais détruire réellement les documents périmés car des usurpations d'identité font des milliers de victimes chaque année dans notre pays. Un destructeur de documents coûte 25 euros environ et son achat se justifie pour être vraiment tranquilles.

Ces informations ayant été prises dans le Journal Nice-Matin du 1er janvier 2018, pour toute question complémentaire, s'adresser sur Internet à :http://jevoudraissavoir.nicematin.com/

Lyliane

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17/01/2018

Ces héros qui changent le monde, dans le nouveau numéro de GEO Hors-série...

 

GEO - Mardi 19 décembre 2017
 
CES Héros qui changent le monde...

Médecine, écologie, éducation, droits de l'Homme... Ils s'engagent et se battent pour rendre la planète plus belle. Dans son nouveau numéro, GEO dresse les portraits de ces acteurs du changement. En vente dès ce mercredi chez votre marchand de journaux.

 

L'édito - Ils rêvent d'un autre monde

Faut-il des héros pour changer le monde ? Un dialogue me revient en mémoire, entre Galilée et son disciple Andrea, dans la pièce de Berthold Brecht, La Vie de Galilée : «Malheureux le pays qui n’a pas de héros», disait Andrea. «Malheureux le pays qui a besoin de héros», répondait Galilée… Qu’importe. Nous avons fait le choix de vous présenter ce numéro qui met en avant ces hommes et ces femmes qui changent le monde. Et de les qualifier de héros. Le flot continu des informations, en effet, projette sur le devant de la scène quelques acteurs majeurs, des hommes politiques, des vedettes du sport et du show-biz, voire, hélas aussi, des guerriers ou des terroristes. Les mêmes noms viennent et reviennent à la lumière, et cette lumière crée l’ombre qui, justement, masque l’existence de citoyens exceptionnels. Au sein d’associations ou d’entreprises, ceux-ci inventent de nouveaux procédés, technologies ou liens de solidarité qui vont changer le monde. De ces hommes et ces femmes, les «grands-messes » de chefs d’Etat qui se penchent sur l’avenir de la planète parlent peu. Pourtant, sur le terrain, dans les villes, les laboratoires, les forêts, les écoles, ces citoyens créent les conditions qui permettront à l’humanité de vivre mieux et autrement.

Epiphénomènes ? Non. Le foisonnement des initiatives est saisissant. Porté par l’aspiration, celles des jeunes notamment, de créer des conditions pour que le monde de demain soit meilleur que celui d’aujourd’hui. Pour sélectionner les réalisations les plus marquantes, la rédaction de GEO n’est pas, bien entendu, partie de rien. Nous avons d’abord analysé le travail de sélection effectué par de nombreuses entreprises et fondations (Ashoka, Yves Rocher, Schwab, Rolex, etc.). Nous avons ensuite écarté les actions trop locales ou trop peu abouties pour être significatives. Enfin, puisque nous ne voulions pas vous présenter un annuaire ennuyeux, nous avons retenu les acteurs dont les images ont marqué nos esprits et nous disent le contexte, géographique notamment, du combat qu’ils mènent.

Laxmi Argawal, Latifa Ibn Ziaten, Andrew Bastawrous, Bunker Roy, Vandana Shiva… Certains rejoindront peut-être, un jour, le Panthéon des héros (Luther King, Gandhi, Mandela…) qui ont compté dans l’Histoire. D’autres resteront enfouis dans ses tiroirs oubliés. D’autres encore devront cesser leur combat, de force, car dans certains pays, quand la défense de l’homme ou de la nature déplaît au pouvoir en place ou aux intérêts privés, le militantisme se paye avec le prix du sang et l’héroïsme confine au martyre. Mais tous ces héros de l’humanité ont un point commun : ils rêvent d’un monde meilleur, et, pour y parvenir, ils commencent par changer la vie de ceux qui les entourent, la leur aussi, sans attendre l’action des Etats ou des institutions politiques, qui, un jour, espèrent-ils, relaieront et amplifieront leurs actions en créant des lois ou des droits nouveaux. L’écrivain Albert Camus nous l’avait déjà appris : «Pour qu’une pensée change le monde, il faut d’abord qu’elle change la vie de celui qui la porte.»

Eric Meyer, rédacteur en chef


Au sommaire de GEO Hors-série

Acteurs du changement - Portraits de onze personnalités engagées pour le mieux-être de la planète.

Rencontre - Face aux atteintes aux droits de l’homme, aux pillages des ressources, à la déforestation, l’activiste indienne Vandana Shiva en appelle à la désobéissance civile.

Préserver la Terre

Sarah Toumi : une entrepreneuse face au désert. Elle veut faire reverdir la Tunisie et donner du travail aux agricultrices.

Cary Fowler : il a créé l’arche de Noé de la biodiversité. Des graines du monde entier affluent vers ce «coffre-fort» construit en Norvège, dans l’archipel du Svalbard. Reportage.

Valérie Cabanes, juriste, spécialiste des droits de l’homme. Cette femme défend les peuples autochtones face aux abus des multinationales les plus polluantes.

Améliorer le quotidien

Bunker Roy : il a fondé le Barefoot College. Cette ONG indienne forme des femmes analphabètes à l’ingénierie solaire pour éclairer des villages isolés et démunis. Reportage sur les «mamas solar» à Zanzibar.

Jack Sim : le roi du petit coin. Cet ancien entrepreneur singapourien se bat pour que tout le monde ait accès aux toilettes.

Transformer l’espace urbain

Architectes - Les inventeurs de villes zéro carbone. Ils repensent l’urbanisme pour réduire l’impact de l’homme sur l’environnement. Voici quatre de leurs projets.

Kimbal Musk : un pionnier de l’agriculture urbaine. Aux Etats-Unis, il a créé des containers haute technologie pour cultiver en ville.

Daan Roosegaarde : designer néerlandais. Il a conçu des tours dépolluantes pour rendre les cités plus belles et plus propres.

Réparer les vivants

Conor Walsh : le surdoué de la robotique médicale. Ses combinaisons connectées permettent aux victimes d’un AVC de remarcher plus vite.

Andrew Bastawrous : il sauve des yeux avec un smartphone. Cet ophtalmologue a inventé des solutions pour diagnostiquer des populations isolées dans la brousse africaine.

Alain Brunet : un psychologue contre les traumas. Son traitement efface la douleur liée à un souvenir épouvantable.

Mehmet Yigit : le chimiste anti-Ebola. Avec ses équipes, il a conçu un test rapide et bon marché pour dépister le virus.

Défendre une éthique

Latifa Ibn Ziaten : une mère contre la radicalisation. «Je me bats pour qu’il n’y ait pas d’autres Mohamed Merah», explique-t-elle.

Laxmi Agarwal - Victime d’une attaque à l’acide, défigurée, cette Indienne a décidé d’aider les femmes qui ont connu le même sort.

Silva Watt-Cloutier - Cette Inuite se bat pour le «droit au froid», afin de sauver les peuples de l’Arctique.

Tribune - L’écrivain Lionel Astruc rend hommage aux centaines de défenseurs de l’

16/01/2018

Un chemin de création contre l'illetrisme...

Le Journal La Croix du 17/11/2017 fait le point sur l'illettrisme en France dans un long dossier rédigé par Mme Stéphanie Janicot. Il faut tout d'abord savoir que l'illettrisme touche environ 2 500 000 personnes dans notre pays. La moitié d'entre elles a plus de 45 ans, vit en zone rurale et exerce une activité professionnelle, selon l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme. Créée en 2000, celle-ci a pour vocation d'organiser l'ensemble des initiatives des associations sur tout le territoire français. Pour la joindre, consulter le site: www.anici.gouv.fr. Toutefois, aux Journées d'Appel pour la Défense en 1990, le nombre de jeunes en situation d'illettrisme devant un test de lecture proposé par l'Education Nationale était apparu catastrophique en France. Neuf structures expérimentales, précurseurs des associations actuelles crées après 2003, avaient alors été montées.

Pour devenir bénévole dans une association de lutte contre l'illettrisme, il est recommandé de s'engager sur la durée d'une année au moins, de suivre une formation pédagogique et d'accepter un suivi. La plupart des associations, excepté Les Restaurants du Cœur où tout est gratuit (locaux, matériel...), ont besoin de dons pour pouvoir fonctionner. Pour soutenir de dons les associations engagées contre l'illettrisme, du style de Savoir pour Réussir ou s'engager comme bénévole , consulter le site Internet: www.helloasso.com/associations/savoir-pour-reussir-paris. Car, faute de moyens, certains ateliers de l'Association Savoir pour Réussir ont du fermer (Marseille, Bordeaux, Valence, Limoges, Lens, Le Havre), alors que d'autres, soutenus par des donateurs, résistent encore: Paris, Annecy, Grenoble, Chambéry...

Certains ateliers sont relativement classiques avec apprentissage de la lecture et de l'écriture. D'autres utilisent beaucoup plus le jeu ou la créativité de chacun (textes, dessins, chant, expression orale...). En 2017, en lien avec le Musée des Arts Premiers à Paris, un atelier de gravure a été lancé. D'autres organismes ont joué le jeu comme le Petit Palais, le Musée Guimet ou le Musée de l'Homme à Paris. Jeunes ou moins jeunes participent volontiers à une œuvre finale collective comme un spectacle en fin d'année. La poésie, l'imaginaire, la reproduction d'oeuvres les stimulent beaucoup.

A Paris, l'Association Savoir pour Réussir accueille environ 150 jeunes entre 17 et 29 ans sur une année et leur propose trois ateliers collectifs de 2 heures chaque semaine. Là, ils enrichissent leur vocabulaire et s'essaient à écrire des textes. Beaucoup sont sortis du système scolaire, mais apprécient des ateliers où ils ont la parole et peuvent donner libre cours à leur imagination... Alors, pourquoi ne pas venir en aide concrètement à toutes ces personnes dont l'illettrisme représente un véritable handicap? 

Lyliane

 

13/01/2018

Journée mondiale du migrant et du réfugié: le 14 janvier 2018...

Selon un article du Secours Catholique, le 14 janvier 2018 aura lieu la journée mondiale du migrant et du réfugié. A cette occasion, le pape François demande que l'on leur offre "de plus grandes possibilités d'entrée sûre et légale dans les pays de destination, de les intégrer en diffusant les bonnes pratiques existantes, de promouvoir leurs compétences et de défendre leur dignité à la fois dans les pays d'origine et dans les pays d'immigration".

12/01/2018

Un agriculteur du Var refuse les engrais chimiques depuis de nombreuses années...

Bras, article publié le 29/11 dans le journal local:

"J'ai retrouvé le vrai métier. Je ne suis plus agriculteur, je suis paysan" dit fièrement Bertrand Allais. En l'an 2000 ce céréalier a changé radicalement sa façon de travailler. Il retourne ainsi aux vraies valeurs de la terre. Plus question donc de polluer le sol et jouer avec sa santé. 

Une décision qui demande plus de main-d'œuvre et plus d'investissements. "Le coût, plus élevé se répercute sur le prix de vente mais le gros avantage c'est que l'on laisse la terre propre", explique Bertrand Allais.


Pour garder une terre propre, sans glyphosate ou autre produit chimique, il faut repenser tout le système de production. "Il faut travailler sur des rotations des cultures pour rompre le cycle de développement des mauvaise herbes", précise Sophie Dragon-Darmuzey, conseillère à Agrobiovar. 

Dans le Var, plus de 20% des surfaces agricoles sont déjà certifiées bio et de plus en plus d'agriculteurs ont recours à des pratiques alternatives qui ne font pas appel à la chimie.


Suspension provisoire de deux pesticides

Courant novembre le tribunal administratif de Nice a décidé de suspendre de la vente deux pesticides "Closer" et "Transform". Une mesure provisoire prise en vertu de principe de précaution. L'Union Nationale de l'apiculture française souhaite obtenir maintenant une interdiction définitive de ces produits. Des produits de la société Dow dont le siège est basé à Sophia-Antipolis. 
 

09/01/2018

Qui va pouvoir bénéficier du chèque énergie selon le Figaro?

 

Qui va pouvoir bénéficier du chèque énergie

Élargi à toute la France depuis le 1er janvier après une expérimentation dans plusieurs départements, le chèque énergie, d'un montant moyen de 150 euros et distribué le 26 mars, remplace les tarifs sociaux pour les foyers les plus modestes. Retour sur cette mesure phare du gouvernement visant à lutter contre la précarité énergétique.

Pour Nicolas Hulot, le constat est clair: «Nous ne pouvons accepter que les Français les plus démunis aient à faire un choix entre manger et se chauffer». D'où la nécessité, selon lui, de généraliser le chèque énergie. Ce dispositif, lancé en 2016 par Ségolène Royal, a été testé en 2016 et 2017 dans quatre départements. Il est depuis le 1er janvier proposé à tous les Français en précarité énergétique en remplacement des tarifs sociaux de l'énergie. En quoi consiste-t-il et qui va en bénéficier?

• Qu'est-ce que le chèque énergie?

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Il s'agit d'un chèque versé par l'administration aux ménages modestes pour les aider à payer leur facture énergétique. Son montant varie selon la composition du foyer et les revenus déclarés. Il s'échelonne de 48 à 227 euros avec un montant moyen de 150 euros. Depuis le 1er janvier, ce chèque remplace les tarifs sociaux de l'énergie. Jusqu'ici, les personnes en difficulté pouvaient bénéficier du tarif spécial de solidarité (TSS) pour le gaz ou du tarif de première nécessité (TPN) pour l'électricité, selon plusieurs critères d'éligibilité (aides sociales de santé, revenus…). Ces aides étaient directement gérées par les fournisseurs. Elles disparaissent donc au profit du seul chèque.

» LIRE AUSSI - Trois quarts des Français ont froid dans leur logement

Première nouveauté: contrairement aux tarifs sociaux, qui ne concernaient que les personnes se chauffant au gaz et à l'électricité, le chèque permet de payer tous les types d'énergie (électricité, gaz naturel, chaleur, gaz de pétrole liquéfié, fioul domestique, bois, biomasse, ou autres combustibles destinés au chauffage ou à la production d'eau chaude). Autre changement majeur: le chèque énergie peut être utilisé pour financer des travaux de rénovation des logements. «Les travaux pouvant être financés par le chèque énergie sont ceux qui répondent aux critères d'éligibilité du crédit d'impôt transition énergétique (CITE)», précise le ministère de la Transition écologique.

Ce chèque, valable jusqu'au 31 mars de l'année suivant son émission, sera distribué à partir du 26 mars sur l'ensemble du territoire national.

• Qui peut en bénéficier?

Ce chèque est destiné aux personnes qui «peinent à payer leurs factures d'énergie», comme le précise dans un communiqué Sébastien Lecornu, secrétaire d'État auprès de Nicolas Hulot. Le plafond du revenu fiscal de référence donnant droit au chèque énergie est de 7700 euros par an pour une personne vivant seule et 16.170 euros pour un couple avec deux enfants. «Pour y être éligible, il faut simplement avoir déclaré ses revenus auprès des services fiscaux (déclaration d'impôt sur les revenus de l'année 2016), même en cas de revenus faibles ou nuls. Il faut en outre habiter dans un logement imposable à la taxe d'habitation (même si le bénéficiaire en est exonéré)», précise le gouvernement. Au total, près de 4 millions de ménages vont en bénéficier.

» LIRE AUSSI - Un Français sur cinq peine à payer ses factures d'énergie

• Faut-il en faire la demande?

Non. L'administration fiscale se charge d'établir chaque année une liste de foyers éligibles. Ces derniers recevront ensuite automatiquement par la poste leur chèque énergie. Il n'y a donc aucune démarche à faire pour le recevoir, contrairement au système des tarifs sociaux. Le ministère de la Transition écologique a toutefois mis en place un simulateur permettant de vérifier son éligibilité et de connaître le montant du chèque. Le gouvernement lance aussi un message d'avertissement: «aucun démarchage à domicile ou par téléphone n'est réalisé. Les usagers ne doivent donc en aucun cas communiquer leurs informations bancaires ou personnelles à des personnes prétendant leur fournir le chèque énergie».

• Comment utiliser ce chèque?

Il suffit de le remettre directement au fournisseur d'énergie pour payer sa facture. Le chèque est aussi utilisable en ligne via le portail mis en place par le gouvernement. C'est également via cette plateforme qu'il est possible de contacter une assistance ou déclarer la perte ou le vol du chèque.

• Ce chèque énergie va-t-il faire des perdants?

Oui, selon certains observateurs, qui estiment à 1,3 million le nombre de personnes lésées par l'élargissement du dispositif. Parmi eux, les personnes se chauffant au gaz qui pouvaient cumuler les deux tarifs sociaux (TSS et TPN). Pour ces dernières, l'aide moyenne s'élevait à 220 euros. Elle tombera donc à 150 euros. Ces critiques sont toutefois balayées par le gouvernement qui préfère préciser que la palette de bénéficiaires sera élargie. Le ministère de la Transition écologique rappelle par ailleurs que les tarifs sociaux rataient leur objectif. «D'une part, le nombre de bénéficiaires effectifs était sensiblement inférieur au nombre d'ayants droit. D'autre part, le niveau d'aide était différent selon le mode de chauffage», explique-t-il dans un communiqué. Selon les équipes de Nicolas Hulot, le chèque énergie est «plus équitable et plus efficace» avec un montant «plus élevé pour les ménages les plus modestes».

Le gouvernement en veut pour preuve les résultats jugés positifs de l'expérimentation menée ces deux dernières années dans les Côtes d'Armor, l'Ardèche, l'Aveyron et le Pas-de-Calais. Il constate ainsi dans ces départements «une augmentation des foyers aidés parmi les ménages vulnérables par rapport aux tarifs sociaux». Plus de 170.000 chèques ont été envoyés et 135.000 ménages ont utilisé ce chèque dès la première année d'expérimentation. Parmi les bénéficiaires, 70% se trouvaient dans la tranche de revenus la plus basse, où le montant du chèque est le plus élevé. Le gouvernement met aussi en avant «une bonne compréhension du dispositif par les bénéficiaires et les professionnels: 93% des ménages disent ne pas avoir rencontré de difficultés pour l'utiliser».

Ces arguments sont aussi défendus dans une tribune par Jean Gaubert, médiateur national de l'énergie. Lui aussi voit dans les tarifs sociaux «un système complexe, structurellement inefficace, mais aussi inégalitaire, insuffisant et coûteux». Le chèque apporte selon lui «des corrections plus qu'utiles au système hérité des lois de libéralisation, tout en préservant les droits liés au bénéfice de l'aide sociale».

• Combien va coûter la mesure?

Selon les projections effectuées par Ségolène Royal, l'élargissement du chèque énergie à toute la France va coûter cette année 600 millions d'euros. Une somme qui devrait grimper en 2019 à 800 millions d'euros. En effet, le ministère de la Transition écologique veut revaloriser de 50 euros en moyenne le montant de ce chèque l'an prochain, pour le porter à 200 euros en moyenne par ménage et par an. Une dépense utile selon Nicolas Hulot: «C'est une mesure sociale et solidaire à laquelle je tiens beaucoup», a-t-il expliqué.

08/01/2018

Nicolas Hulot salue l'intelligence du projet d'éoliennes à Loué...

Nicolas Hulot a visité les éoliennes de Loué, lundi 8 janvier, en compagnie notamment du directeur des Fermiers de Loué Yves de La Fouchardière (derrière à gauche) et du préfet de la Sarthe, Nicolas Quillet (à droite du ministre). / © Cécile Claveaux/France 3 Pays de la Loire

En se déplaçant ce matin sur le site éolien d'Ecoloué à Juillé-sur-Sarthe, le ministre de la Transition écologique est venu mettre en avant une initiative locale née il y a 4 ans et qui a été couronnée de succès. 

Par Thierry Bercault 

" Des projets aussi consensuels et aussi participatifs, c'est plutôt rare. Nous sommes les premiers en France à nous être lancés dans cette aventure" . En prononçant ces mots, le directeur général des Fermiers de Loué, Yves de la Fouchardière, ne boude pas son plaisir.  Indéniablement pour lui et son groupe volailler, la venue du ministre est une reconnaissance du travail acompli. Un gros coup de pouce pour booster le développement des énergies renouvelables.
 
  Et en effet Nicolas Hulot n'a pas tari d'éloge pour vanter la belle collaboration autour de ce parc éolien qui permet aux poulets de Loué d'être autonomes en énergie. "Ce projet montre une forme d'intelligence collective dans son élaboration car il a réussi à impliquer les communes et les agriculteurs." a déclaré le ministre de la Transition écologique et solidaire.

06/01/2018

Résistons contre les 11 vaccins obligatoires avec la proposition de la Société de Médecine Homéopathique...

Bonjour chers amis, et tous nos vœux pour 2018

Votre première action 2018 est de vous associer avec Ensemble pour une vaccination libre (EPVL) en leur renvoyant les 3 documents demandés signés …

Pour l’avenir et la santé de nos enfants et petits enfants

On vous tiendra au courant des résultats…

Homéopathiquement vôtre

Isa

 

Association Promotion de la Médecine Homéopathique

Isabelle ROSSI , présidente

23 B, rue Bourget 69009 LYON

http://apmh.asso.fr

0033 689 28 33 20

 

 

Notre premier acte de résistance contre les 11 vaccins obligatoires : une plainte pénale !

 

Après deux semaines de recherches et d'analyses d'une importante compilation d'informations, l'équipe de juristes dirigée par Maître Serge Lewisch du barreau de Paris (lewisch@orange.fr) 132, bd du Montparnasse 75014 Paris France, et de spécialistes des questions de santé nous propose de déposer près du Procureur de la République de Paris une plainte contre X pour les infractions ou tentatives d'infractions suivantes :
 

. emploi ou administration de substances de nature à entraîner la mort, empoisonnement

article 221-5 du Code Pénal
 

. administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité physique ou psychique

article 222-15 du Code Pénal
 

. violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité

article 221-6 du Code Pénal
 

. exposition d'autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité

article 223-1 du Code Pénal
 

. expérimentation sur la personne humaine sans avoir recueilli le consentement libre et éclairé des titulaires de l'autorité parentale

article 223-8 du Code Pénal
 

. abus frauduleux de l'état d'ignorance ou de la situation de faiblesse d'un mineur pour conduire ce mineur à un acte qui lui est gravement préjudiciable.

article 223-15-2  du Code Pénal
 

. violation du principe d'indépendance des experts
 

. conflit d'intérêt par une personne dépositaire de l'autorité publique

article 432-12 et 432-13 du Code Pénal
 

. trafic d'influence

article 433-2  du Code Pénal
 

. non obstacle à la commission d'une infraction et non-assistance à personne en danger

article 223-6 al. 1 et 2 du Code Pénal
 

. tentative de ces infractions

          article 121-5 du Code Pénal

 

Nous demandons à toutes celles et à tous ceux qui sont concernés par le sort des 800 000 bébés qui naissent tous les ans, que vous soyez ou non parents ou grand-parents, de nous rejoindre après avoir lu avec attention la plainte pénale ci jointe.

 

De nombreux futurs parents sont angoissés : « serait-ce dangereux pour mon enfant de ne pas le vacciner » ?   A ce sujet, comme il est démontré dans la plainte pénale, la propagande qui nous assène que "les vaccins c'est bon pour les nourrissons" (afin de nous rendre dociles face à l'obligation d'injecter dans le corps de bébés les substances nuisibles contenues dans ces 11 vaccins), est scientifiquement infondée.

 

D'ailleurs le gouvernement français est l'un des seuls dans le monde et en Europe de l'Ouest qui veuille imposer un nombre aussi grand de vaccins !

 

A l'heure actuelle, si aucune action n'est entreprise, les futurs parents vont devoir inoculer à leur nourrisson de six semaines des produits hautement toxiques qui mettront en danger sa santé et même sa vie.

 

De nombreux procès en responsabilité sont à prévoir devant les juridictions civiles, comme dans les affaires de l'amiante ou du médiator, mais on sait qu'ils peuvent durer de très nombreuses années et que les laboratoires ne les craignent pas, compte tenu des milliards d'euros qu'ils attendent de la commercialisation de ces vaccins.

 

Naturellement, si vous êtes de futurs parents qui en 2018 devrons inoculer à leur nourrisson de six semaines 11 vaccins, merci de nous le préciser.

 

N'attendons pas de constater la catastrophe qui s'annonce !

 

La seule solution pouvant être rapidement efficace est aujourd'hui une plainte pénale.

 

Pour résister avec nous, il vous suffit de :

1.     De télécharger, de lire la plainte pénale avec attention Cliquez ici pour la plainte pénale ;

2.     D'imprimer et de signer la dernière page de la plainte pénale ;

3.     De télécharger et d'imprimer et de le remplir (renseignements sur l'état civil, etc.) : Cliquez ici pour le formulaire ;

4.     De faire une copie de votre pièce d'identité ;

5.     De numériser ses trois documents ;

6.     De nous les renvoyer par email à l'adresse suivante : plaintepenalevaccins@gcpww.org 

Bien à vous et très amicalement.

 

Sophie Guillotporte-parole du collectif « Ensemble pour une Vaccination Libre » contact@epvl.eu 

Pierre Lefevre, porte-parole du collectif « Libre consentement éclairé » lefevre@gcpww.org

 

* * *

 

Notre action est soutenue par MEDECINE & PHARMACOPEE CHINOISES FRANCE qui se met bénévolement à notre service pour la gestion administrative de notre collectif - Vous pouvez soutenir son action en faisant un don même d'1 euro symbolique :

Afin d'éviter les frais retenus par Paypal (5 %), le mieux est de faire un virement bancaire, même pour 1 euro !  Coordonnées bancaires  :

IBAN : FR76 1820 6002 5765 0396 8037 242 – BIC : AGRIFRPP882

RIB : BANQUE : 18206 GUICHET : 00257 N° de COMPTE : 65039680372 CLÉ : 42

DOMICILIATION : PARIS ORDENER (00257)

TITULAIRE DU COMPTE : ASSOC. MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE

 

Cliquez ici pour la plainte pénale

 

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03/01/2018

L'appel du Dalaï-Lama à la jeunesse du 21 ème siècle...

En Octobre 2017, aux editions Massot et Rabelais, Mme Sofia Stril-Rever a écrit, sur la base d'entretiens exclusifs avec le Dalaï-Lama, un petit ouvrage de 57 pages destiné à la jeunesse française. Cet opuscule se termine par un Manifeste de la Responsabilité Universelle. Le Chef Spirituel du Tibet, lauréat du prix Nobel de la Paix  en 1989, s'adresse directement aux jeunes du 21 ème siècle en leur demandant de faire une révolution sans précédent dans l'histoire humaine: "la révolution de la compassion".

Cet appel est né en juin 1917  lors d'une remise de dipllômes par un discours du Dalaï-Lama en Californie à l'Université San Diego. Il nous livre également un de ses rêves pour l'humanité: que "les femmes deviennent Chefs d'Etat et que les jeunes femmes soient les mères de cette révolution de la compassion". Pour lui," cette Révolution donnera un nouveau souffle à la démocratie, en élargissant les solidarités". En adoptant des schémas de conscience planétaires interconnectés, en pratiquant une vigilance globale dans tous les actes de consommation, en élargissant les perspectives dans tous les domaines, "nos jeunes aurons accès à un niveau prodigieux d'intelligence collective"...

En prônant une révolution intérieure, le Dalaï-Lama est certain qu'il y aura un impact sur le monde extérieur. Il fixe en effet 5 niveaux de conscience à acquérir et à développer pour sortir de l'égoïsme individuel: reconnaître la souffrance d'autrui, se préoccuper de cette souffrance, essayer de la soulager, garder cette intention à l'esprit en restant concentré dessus et enfin s'engager concrètement dans l'action.

Il nous rappelle que l'avenir de l'humanité est entre les mains de tous, des  7 milliards d'êtres humains. Ceux-ci peu à peu deviennent conscients que l'humanité ne dépend pas exclusivement des politiciens, des économistes ou des membres de l'ONU. Par la force de l'exemple, le respect du pluralisme, les jeunes du monde pourront inspirer d'autres jeunes...

Le Pape François avait demandé de nous considérer comme les "habitants de notre maison commune" c'est à dire la planète Terre. Les experts du G.i.E.C. lors des COP 21(Paris), 22 (Maroc) et 23 (Bonn) ont rappelé l'urgence de changer nos modes de production et de consommation et si possible avant 2020 ou 2022. Le Dalaï-Lama apporte sa pierre à l'édifice et nous précise que "ce  sera par l'entraide et la coopération que nous nous donnerons les moyens d'endiguer les catastrophes causées par l'injustice économique et sociale, alimentées par la cupidité, l'égoïsme et des états d'esprit négatifs".

En s'appuyant sur l'enthousiasme et l'optimisme de la jeunesse, le chef spirituel du Tibet nous montre que tout est encore possible, que la révolution de la compassion est en marche et qu'il ne reste plus qu'à l'incarner partout. C'est un bel espoir pour l'humanité toute entière! Gardons à l'esprit deux des nombreuses phrases choc du Dalaï-Lama: "exister, c'est co-exister" et "soyez la génération des solutions"!

Quant à nous, les aînés, ne soyons pas timorés; dépassons les clivages religieux, sociaux, politiques, écologiques ou autres! Car je pense que nous avons également un rôle de "passeurs" à jouer! Ne nous revient-il pas la tâche de relayer et de diffuser ce message qui s'ajoute à tous les autres, là où nous vivons? Peut-être pouvons-nous en parler à nos proches, sur les réseaux sociaux, dans nos associations? Pour ma part, je choisis tout cela à la fois et même, quand je le peux, d'offrir à des jeunes de ma connaissance ce petit livre ( au prix de 6,90 euros à la Fnac) qui complètera l'appel. 

 

Voici ci après des illustrations concernant cet appel, prises sur www.droitetconscience.org, association dans laquelle Mme Sofia Stril-Rever est active:

FAITES LA REVOLUTION !

 

Du sens pour nos actions

  Ce livre  fait émerger ce qui est de mieux chez chaque être humain.

La destruction lente et inexorable de la Terre, et la capacité de destruction nucléaire immédiate de la planète, rendent ce livre urgent et nécessaire pour le salut de l'humanité actuelle et des générations futures.
C'est un livre de clarté et de lucidité, d'amour et de compassion.

Paru jeudi 26 octobre 2017, le livre avait été décidé mardi 3 janvier à Bodhgaya en Inde, puis finalisé lundi 2 octobre à Dharamsala.

 



Copyright : Droits & Conscience
Image source : Shutterstock

Lyliane





 

 

02/01/2018

Voitures électriques, sommes-nous prêts à franchir le pas?

Le Journal Nice-Matin, dans un supplément de décembre 2017, fait le point sur une enquête Harris Interactive, qui s'appuie de son côté sur un sondage pour Auto-Moto. La question posée concernait les attentes des conducteurs français concernant l'hybride et l'électrique. Les résultats de ce sondage, réalisé en août 2017 auprès de 1000 Français, sont jugés favorables sous certaines conditions par le journaliste de Nice-Matin.

Cette enquête révèle que, dans leurs intentions d'achat, les Français continuent de donner priorité au prix et à la consommation de carburant, mais que 7 personnes sur 10 se déclarent prêtes à payer davantage pour un modèle plus respectueux de l'environnement. Ils évoquent les motorisations hybrides autant que les modèles essence et l'électrique autant que le diésel. Pour l'électrique cependant, ils sont 2/3 à attendre une offre suffisante et adaptée (accessibilité des bornes de recharge, temps de charge, autonomie, économie réalisée, prix des modèles, aides à l'achat...).

En moyenne, ils attendraient un véhicule doté de 500 km d'autonomie, rechargeable en 3 heures et accessible aux environs de 14 000 euros. Le spécialiste américain de la mobilité électrique annonce deux nouveaux modèles Tesla: un semi-remorque aux lignes futuristes avec 800 km d'autonomie et un nouveau roadster avec 1000 km d'autonomie, mais ils ne seront commercialisés qu'à partir de 2020. Quant à la Tesla S 100 D, elle reste apparemment la référence, car elle est totalement connectée et se dirige quasiment seule. Branchée à un super-chargeur, 80% de sa charge est récupérée en 30 minutes. Mais elle coûte quelques 102 000 euros!

La Renault Zoé Z.E. 40 est la voiture électrique la plus vendue en France. Certes, elle est proposée au prix de 23 700 euros en version R 75 et 24 200 euros en version Q 90. Toutefois, le bonus écologique permet de déduire 6000 euros. Le forfait de location de la batterie lithium-ion est cependant à ajouter (69 euros par mois pour 7500 km annuels). La Zoé accepte tous types de recharges (30 h sur une prise domestique ou 20h sur une prise sécurisée, en ville ou en centres commerciaux). Quatre adultes et leurs bagages peuvent être transportés. Son autonomie est d'environ 370 km. Selon l'article, la Zoé reste la voiture électrique synchrone à rotor bobiné la plus abordable et la plus polyvalente, car elle se tient très bien sur des routes de montagne comme en ville. 

 Lyliane

01/01/2018

Offrir la presse là où elle a disparu...

Le Journal La Croix du 1er décembre 2017 nous informe d'une initiative de journalistes pour rendre accessible l'information, engager l'échange et générer le débat à Marseille dans des quartiers populaires. Dans le 3 ème arrondissement en effet dans le quartier de St Mauront, un des plus défavorisés de Marseille, deux membres du collectif de journalistes Albert London montent une sorte de kiosque en plastique décoré par des élèves du collège voisin. La cheville ouvrière de l'Association, Mme Stéphanie Harounyan, correspondante du quotidien Libération, installe des journaux locaux ou nationaux et quelques magazines pour jeunes et enfants sur des présentoirs en plastique. Les bénévoles visent certes la distribution de journaux (L'Equipe, La Provence, Le Canard Enchaîné...), mais ils ont surtout un rôle de "médiateurs sociaux".

Après avoir été présents dans une Maison pour Tous du quartier, les membres du Collectif Albert London ont choisi depuis 2013 d'être mobiles et de se déplacer deux fois par mois en installant un kiosque ambulant. Ils souhaitent faire retrouver de l'intérêt pour l'information et l'actualité aux habitants du quartier. Ils abordent en effet les passants et insistent sur la gratuité de leur démarche. Beaucoup de Comoriens vivent là et plus de la moitié de la population vit en-dessous du seuil de pauvreté. La désaffection des jeunes est encore plus nette (56%) que chez les un peu plus diplômés. Il suffit néanmoins d'un rien pour instaurer des habitudes de lecture et pour déboucher sur des dialogues. Les journaux sont souvent de la veille, mais nul ne semble s'en soucier dans  ces cités, où règne une fracture sociale et une stigmatisation importantes.

L'Association Tactikollectif à Toulouse a mené de son côté un atelier de journalisme pour les jeunes des quartiers populaires. Certains proposent des interventions en milieu scolaire ou la participation à des émissions de radio avec des enfants. Beaucoup d'autres initiatives intéressantes permettent ça et là de favoriser l'accès à l'information aux publics qui en sont économiquement exclus. Car "les gens sont plus intéressés par l'actualité qu'on veut bien le penser" affirme la rédactrice de l'article Mme Coralie Bonnefoy. La popularité des petits journaux gratuits le montre partout en France...

Pour trouver des initiatives de banlieues, contacter le site: www.presseetcite.info, www.tactikollectif.org ou www.chez-albert.fr.

Lyliane

 

31/12/2017

Grâce à l'ACAT (action des chrétiens contre la torture), quatre prisonniers ousbèks ont été libérés...

L'ACAT est une organisation de chrétiens engagés pour les Droits de l'Homme. Elle intervient partout dans le monde. Elle propose notamment d'écrire aux autorités chaque fois que des personnes sont détenues arbitrairement. Elle informe aussi, grâce à ses lettres d'information, des violations dont elle a connaissance, comme depuis 2015 à propos des "crimes contre l'humanité" perpétrés par les forces gouvernementales au Burundi à l'encontre de tous les opposants (journalistes, associatifs, simples citoyens...).

L'organisation défend notamment Mr Germain Rukuki, employé par l'Association des juristes catholiques du Burundi, qui se trouve incarcéré au secret depuis juillet 2017 à Bujumbura pour avoir collaboré avec l'Acat. Pour le soutenir, elle propose d'écrire au Président du Burundi, car "se taire contribue à laisser se développer de telles injustices". Faire un don à l'Acat permet également de donner les moyens d'agir à ses 37 000 membres actifs partout à travers le monde.

Heureusement, la plupart de ses actions ne sont pas vaines. L'Acat salue actuellement la libération de quatre prisonniers qui ont passé 9 ans dans les geôles ouzbèkes. il s'agit de Mr Ganihon Mamathonov, défenseur des droits de l'homme, qui a bénéficié d'une libération conditionnelle en octobre 2017. Mr Azam Formonov, défenseur des agriculteurs et ancien directeur de la Société des droits de l'homme d'Ouzbékistan, vient lui aussi d'être libéré après neuf années d'incarcération sans aucune raison valable.

Quant au journaliste, Mr Salijon Abdourakhmanov, il a retrouvé la liberté le 4/10/2017. Mr Akzam Turgunov, opposant politique au régime dictatorial en place, a pour sa part passé près de 10 ans en prison. Il a été également libéré courant octobre 2017. L'Acat se félicite de ces libérations, tout en espérant que d'autres acteurs de la société civile détenus arbitrairement puissent être libérés rapidement. 

Pour en savoir plus sur l'Acat ou pour faire un don, contacter www.acatfrance.fr.

Lyliane

30/12/2017

La France prépare l'après-pétrole...

La presse nationale nous apprend que le 19/12/2017 l'Assemblée Nationale a adopté en lecture définitive le projet de loi mettant fin à la recherche et à l'exploitation des hydrocarbures en France à l'horizon 2040. Au cours de l'étude du projet par les députés et les sénateurs cet automne, le Ministre de la transition écologique Nicolas Hulot a âprement défendu ce texte modifiant la politique énergétique de notre pays. En effet, une fois la loi promulguée, aucun nouveau permis d'exploration de pétrole ou de gaz (gaz de schiste notamment)  dans notre sous-sol ne pourra être délivré. Les concessions déja attribuées (62) ne pourront plus être renouvelées au delà du 1/1/2040, sauf exception pour un "droit de suite" à portée limitée.

Il faut savoir que l'extraction de pétrole par forage a eu lieu pour la première fois en août 1859 en Pennsylvanie à Titusville (Etats-Unis). L'extraction d'énergies fossiles est chez nous assez modeste, puisqu'elle ne représente que 1% de la consommation nationale. Il en est surtout question dans le Sud Ouest à Parentis. Ce projet, toutefois, ne met pas fin aux importations de pétrole et ne parle apparemment pas de la Guyane. Il a surtout pour ambition de placer la France en position de pionnière mondiale d'une nouvelle ère post-hydrocarbures. En même temps, en visant la neutralité carbone, notre pays veut donner l'exemple d'un Etat qui compensera d'ici à 2050 ses émissions de CO2.

Pour en savoir davantage sur ce sujet, consulter par exemple sur Internet: 

 

29/12/2017

La mode écologique et éthique...textiles écologiques et éthiques

Le Journal gratuit Biocontact nous propose des vêtements adaptés à l'hiver pour nous protéger efficacement du froid grâce à une gamme innovante de la marque HempAge, mariant le chanvre à la laine et au coton bio. La marque développe depuis longtemps des partenariats avec des petits producteurs de chanvre et garantit que toutes les matières utilisées sont écologiques. Les teintures sont certifiées sans phtalates, sans formaldéhydes et sans métaux lourds. Membre de la Fair Wear Foundation, la marque HempAge garantit en outre des vêtements produits de façon équitable. On trouve ce produit  chez Ecoline.

La fibre du chanvre est connue pour sa thermorégulation, mais aussi pour son caractère antibactérien et résistant. Sa culture ne nécessite ni pesticides, ni herbicides, ni engrais chimiques. Seul un engrais organique peut être employé selon la nature du sol. Et sa culture, proche du lin, ne nécessite que très peu d'eau. Or, l'impact de l'industrie textile sur notre planète est assez important ( au 2ème rang après le pétrole). On sait par exemple que 10% de la consommation mondiale de pesticides est engloutie par la production du coton. En Chine, 70% des cours d'eau sont pollués à cause de l'industrie textile...

Le lin de son côté a plusieurs atouts. Il est produit dans notre pays et c'est une matière solide et anallergique qui donne des produits absorbants et frais. Cependant le lin se froisse facilement, ce qui nuit à son développement. Quant aux matières artificielles (viscose, acétate ou Lyocell), elles sont obtenues par traitement chimique de matières naturelles. Les matières synthétiques (polyester, nylon ou élasthanne) sont issues de la pétrochimie.

En mars 2017, après plusieurs années de bataille par les ONG, les syndicats et des processus législatifs, la Loi sur le Devoir de vigilance des multinationales introduit une brèche dans l'impunité dont elles bénéficiaient jusqu'alors. Elles sont désormais contraintes de publier un plan de vigilance annuel et pourront juridiquement être tenues pour responsables en cas d'atteinte grave aux droits fondamentaux ou à l'environnement en France comme à l'étranger. Pour les mamans, un guide existe pour les aider à faire le choix dans les vêtements pour enfants (conseils sur les matières, identification des composés indésirables, éclairage sur les labels...). Voir www.projetnesting.fr.

Il me semble en effet que la prise de conscience citoyenne commence à s'éveiller (Panama Papers, scandales et catastrophes au Bangladesh...). Des alternatives se font jour, par notre volonté exprimée d'avoir accès à un autre modèle, à de meilleurs produits et à ne plus gaspiller grâce à une consommation écoresponsable(vêtements de seconde main, recyclage, teintures végétales...). 

Un Collectif baptisé Collectif Ethique sur l'étiquette  regroupant une vingtaine d'ONG, de syndicats et d'associations de consommateurs lutte pour un encadrement plus contraignant de l'activité des multinationales. Il propose notamment des pétitions et interpelle les marques via différentes actions. Pour en savoir davantage sur les initiatives citoyennes en matière de vêtements, contacter: www.ecoline.fr, www.mescoursespourlaplanète.com, www.coloretonmonde.org, www.ecotic.fr, www.lafibredutri.fr. En bref, comme le dit le journal Biocontact "soyons le changement que nous voulons pour demain"!

Lyliane

28/12/2017

Certains craquent pour le chocolat cru...

Ce seront bientôt les fêtes de fin d'année. La nouvelle gourmandise bio que s'arrachent les adeptes du "raw food" (alimentation crue) s'appelle le chocolat cru! Le journal Version Femina sous la plume de Mmes I. Haberfeld et M. Loriol nous explique la différence de ce super aliment avec du chocolat traditionnel: les fèves de cacao ne sont pas torréfiées, donc non soumises à de hautes températures. Tout d'abord, elles sont fermentées, puis lavées. Ensuite la poudre et le beurre de cacao sont extraits à basse température entre 42° et 45°C. Ce procédé de fabrication, issu de la tradition maya, garantit une meilleure préservation des nutriments.

Si vous croquez dans du chocolat cru, "il est ntense en bouche, voire proche de l'amertume". Si sa texture est moins crémeuse que le chocolat classique, il s'apparente à ce dernier pour ses calories: 550 kcal/100g. Toutefois l'avantage est que le cacao cru renferme beaucoup d'antioxydants (flavonoïdes). en s'opposant aux radicaux libres générés par la pollution, les UV ou encore le stress; de ce fait ils limitent le vieillissement prématuré de notre épiderme. Le chocolat cru contient en effet cinq fois plus d'antioxydants que le thé noir et trois fois plus que le chocolat noir, le thé vert et les baies d'açaï.

L'article conseille de croquer dans du chocolat cru pour retrouver la forme en cas de fatigue. Selon l'Observatoire des aliments, si le chocolat traditionnel renferme 206 mg de magnésium, 100 g de chocolat cru apporterait 450 mg de ce minéral indispensable pour lutter contre la fatigue physique et intellectuelle, combattre le stress et retrouver un bon sommeil. Il y aurait également du fer, du manganèse, du phosphore, de la théobromine, favorisant la concentration et pratiquement toutes les vitamines du groupe B.

Il existerait encore assez peu de chocolatiers spécialisés comme Rrraw - www.rrraw.fr- mais des sites comme lovingearth.fr, sol-semilla.fr ou moringaandco.com en proposent. Les magasins bio (Naturalia notamment) vendent en principe poudre de chocolat cru, tablettes et truffes, en soulignant que le chocolat cru renferme aussi des fibres, des protéines (10g pour 100g) et des acides aminés utiles à notre organisme. Essayez par exemple un chocolat chaud au chocolat cru ou bien mettez en dans vos pâtisseries et vous verrez!

Lyliane

 

26/12/2017

A propos du tiers-payant généralisé...

Le 30 novembre 2017, nous rappelle le journal de la MGEN, la Loi de Modernisation du Système Maladie Français prévoit d'ouvrir le Tiers Payant à tous les assurés sur la part de prise en charge par la Sécurité Sociale. Ce dispositif permet à un patient de ne pas avoir à faire l'avance de ses frais médicaux. La Loi devait imposer aux professionnels de santé de pratiquer le tiers payant à partir du 30 novembre 2017, mais les députés n'ont pas voté à l'unanimité cette mesure au mois d'octobre 2017.

Que change cette loi? Vous n'aurez normalement plus à avancer les frais de consultation chez un médecin, ni les prestations d'autres professionnels de santé (masseurs-kinésithérapeutes, infirmiers, sages-femmes, laboratoire...). La mesure leur demande en effet d'appliquer le tiers-payant pour la part remboursée par l'assurance maladie obligatoire. Par exemple, si vous bénéficiez de l'assurance maternité ou êtes atteinte d'une affection de longue durée, il doit dès à présent obligatoirement vous être proposé sur la part Sécurité Sociale.

Bien entendu, vous pouvez, si vous le souhaitez, refuser le bénéfice du tiers payant. Les professionnels de santé pourront également pratiquer le tiers payant sur la part prise en charge par la complémentaire santé. Enfin, les éventuels dépassements d'honoraires devront être réglés à votre praticien. Ils pourront vous être remboursés intégralement ou en partie si votre contrat santé le prévoit. Dans ce cas il faudra transmettre la facture à cette complémentaire santé.

Rappel: des franchises médicales et des participations forfaitaires instaurées en 2005 et en 2008, s'appliquent sur tous les actes médicaux (1 euro par acte) ou encore sur la pharmacie (50 centimes par boîte de médicaments délivrée). Plafonnées toutes deux  à 50 euros par an et par assuré, elles contribuent notamment à lutter contre le cancer, la maladie d'Alzheimer et à améliorer les soins palliatifs. Elles sont à la charge de l'assuré et ne peuvent être retenues que sur les sommes remboursées part la Sécurité Sociale.

Alors mettons régulièrement notre carte Vitale à jour afin que le Tiers Payant Généralisé puisse s'appliquer !

Pour en savoir davantage sur le tiers payant, que l'Assemblée Nationale ne souhaite pas rendre obligatoire tout de suite, consultez le site Internet: 

21/12/2017

Mobilisation générale contre les tueurs d'abeilles

 
 
 
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Chère amie, cher ami,

Ne laissez pas les lobbies de l’agrochimie saboter les amendements que nous avons réussi ensemble à faire déposer au Parlement européen pour sauver les abeilles !

Aidez-nous à peser dans la balance en soutenant financièrement les actions de contre-lobbying nécessaires aujourd’hui pour arracher une victoire historique sur l’agrochimie.

En ce moment même, une bataille déterminante pour les abeilles et tous les pollinisateurs est en train de se jouer au sein des institutions européennes.

D’un côté, les défenseurs des abeilles et de l’environnement – citoyens, apiculteurs, scientifiques – rassemblés en un même mouvement pour obtenir le vote de deux séries d’amendement que nous avons réussi à faire déposer au Parlement européen, pour interdire d'une part les pesticides tueurs d’abeilles et protéger d'autre part les écotypes d’abeilles locales européennes…

… en face, les géants de l’agrochimie, et leurs puissants lobbies, qui font des pieds et des mains pour saboter ces amendements salvateurs pour les abeilles, et continuer à vendre leurs produits au détriment des pollinisateurs, de la nature et de la santé de toute la population.

Notre équipe est sur la brèche, et nous avons besoin de tout le renfort possible pour tenir bon jusqu’au vote des amendements par les députés, le 22 janvier prochain.

C’est très important :

Ces amendements sont le résultat de plusieurs mois de bataille au corps à corps avec les lobbies, il a fallu mobiliser énormément de temps, d’énergie et de moyens pour convaincre les députés de faire passer la volonté des citoyens qu’ils sont censés représenter avant les intérêts des entreprises agrochimiques qui ont pignon sur rue.

Et notre persévérance a payé !

Nous avons réussi à obtenir le dépôt de ces deux séries d’amendements précieux et indispensables pour sauver durablement les abeilles sur deux fronts complémentaires :

- en imposant l’interdiction nette et définitive des pesticides néonicotinoïdes tueurs d’abeilles en Europe ;

- en protégeant de façon pérenne les races d’abeilles locales, parfaitement adaptées à nos climats et nos fleurs et naturellement plus résistantes à nos conditions climatiques, mais qui sont aujourd’hui menacée d'extinction à cause de l'importation massive d'abeilles d'autres espèces.

Une victoire historique pour tous ceux qui se battent depuis des années pour défendre les pollinisateurs et l’avenir de la chaîne alimentaire face aux bénéfices à court terme de l’agrochimie – mais qui pourrait être réduite à néant dans les semaines à venir si nous laissons le champ libre à leurs puissants lobbies.

C’est grâce aux 280 000 citoyens qui ont interpellé leurs députés européens ces dernières semaines, et aux donateurs fidèles de POLLINIS qui nous permettent d’accomplir, mois après mois, tout le travail nécessaire pour défendre efficacement les abeilles auprès des institutions européennes, que nous avons déjà pu atteindre cette première victoire d’étape. Un grand merci pour cela !

Aujourd’hui, POLLINIS a besoin de votre aide de toute urgence pour tenir la barricade face aux attaques des lobbies qui veulent torpiller nos amendements !

Votre don, même minime, peut permettre à notre équipe de tenir bon face aux lobbies jusqu’au vote de ces amendements salvateurs pour les abeilles.

Notre petite équipe ne bénéficie certes par des millions d’euros dont regorgent les grands cabinets de lobbying qui défendent les intérêts de l’industrie agrochimique : mais notre conviction et notre ténacité à défendre coûte que coûte la voix des citoyens qui refusent qu’on sacrifie impunément les abeilles, la biodiversité et l’ensemble de la chaîne alimentaire, nous permet d’accomplir petit à petit un travail qui porte ses fruits.

Grâce à l’aide précieuse de toutes les personnes qui soutiennent notre association, nous pouvons :

*** surveiller de près les instances d'homologation des pesticides : comme nous l'avons fait avec le sulfoxaflor – ce pesticide nouvelle génération nocif pour les abeilles que l'agrochimie voulait imposer en catimini, avec la complaisance de l'UE – nous assurons une veille permanente pour déjouer, dénoncer et tuer dans l'œuf toute tentative de l'industrie d'imposer de nouvelles molécules nocives pour les abeilles, la nature ou la santé ;

*** développer une cellule de contre-lobbying, au plus près des institutions, pour surveiller les mouvements des lobbies, et exercer une influence citoyenne permanente sur les décideurs politiques et les technocrates européens ;

*** maintenir la pression sur les élus, européens et nationaux, pour leur rappeler sans cesse qui sont leurs électeurs : ils tirent leur légitimité et leur mandat des citoyens qu'ils sont censés représenter, et nous devons faire en sorte qu'ils ne l'oublient pas un seul instant ;

*** utiliser tous les recours juridiques et institutionnels possibles en faisant travailler des juristes, des avocats et des experts pour faire valoir le droit des citoyens à protéger leur environnement, leur santé et leur alimentation face aux attaques à répétition de l'industrie ;

*** faire intervenir les scientifiques directement auprès des députés, en organisant un ou plusieurs évènements au Parlement européen avec des spécialistes des produits phytosanitaires ou des pollinisateurs, pour appuyer notre argumentaire et leur montrer l’urgence d’agir immédiatement pour préserver les abeilles ;

*** diffuser massivement l'information pour dénoncer de nouveaux scandales, révéler les manœuvres des lobbies sur les institutions, alerter les médias et les citoyens de toute l'Europe sur les menaces imminentes qui pèsent sur leur santé ou leur sécurité alimentaire ;

Personne ici ne compte son temps ou ses efforts pour assurer tout ce travail indispensable pour contrecarrer le plus efficacement possible l’influence des lobbies sur les décisions européennes.

Et le dernier scandale des « Monsanto papers » l’a montré : ils ont vraiment leurs pions partout, même au cœur des autorités sanitaires censées les contrôler !

C’est pour ça que je suis si fier de la double victoire que nous sommes en passe d’obtenir au Parlement européen : malgré les pressions gigantesques de la part de l’agrochimie, nous avons réussi à convaincre des eurodéputé.e.s de choisir de protéger les abeilles, et l’avenir alimentaire de toute la population, plutôt que les profits à court terme de ces multinationales.

Mais ne nous berçons pas d’illusions : avec les sommes gigantesques qui sont en jeu (on parle de plusieurs milliards d’euros de profit), l’agrochimie ne va pas laisser faire interdire l’un de ses produits les plus rentables – les néonicotinoïdes – sans réagir.

Les députés vont être amenés à voter le texte avec les amendements dans un peu plus d’un mois – le 21 janvier exactement. D’ici là, nous devons mettre en place un plan de bataille en béton armé pour les empêcher de saboter les amendements que nous venons de décrocher de haute lutte, pour interdire les tueurs d’abeilles et protéger les abeilles locales.

Ce plan de bataille est simple – mais de sa mise en place – ou non – dépend la survie de millions d’abeilles et de pollinisateurs sauvages en Europe :

1 >>> Mobilisation continue des citoyens pour maintenir une pression soutenue sur les députés européens. Actuellement, 280 000 personnes ont participé à nos campagnes pour exhorter les députés européens à voter les amendements interdisant les tueurs d’abeilles et protégeant les écotypes d’abeilles locales : nous devons doubler, voire tripler ce chiffre dans les prochaines semaines, pour que notre pression sur les députés soit plus forte que celle de l’agrochimie, et qu’ils ne fassent pas machine arrière le jour du vote !

2 >>> Multiplier les rencontres avec un maximum de députés européens, dans leurs bureaux, comme nous l’avons fait déjà les derniers mois, pour prendre le temps de les convaincre, un par un, de ne pas céder aux chantages des lobbies de l’agrochimie, et de voter coûte que coûte nos amendements.

Une nouvelle étude de grande ampleur apporte de nouvelles preuves de la toxicité sans précédent des pesticides néonicotinoïdes. Pour les scientifiques, le doute n’est plus permis :

« Les néonicotinoïdes et le fipronil représentent une menace majeure pour la biodiversité et les écosystèmes. Ils menacent tous les services écosystémiques à l’échelle de la planète. »

« De nouvelles informations sur les effets mortels et sublétaux des néonicotinoïdes confirment la grande toxicité de ces produits pour les abeilles. »

« Chez les abeilles mellifères, ils ont pour effet, entre autres, de modifier l’expression des gènes liés au système immunitaire, et ont des effets neurologiques qui perturbent le sens de l’orientation et la thermorégulation. »

Les autorités européennes ne peuvent plus faire semblant d’ignorer ces signaux d’alarme !

C’est un travail gigantesque qui nous attend pour le mois à venir. Mais nous sommes tous prêts, ici à POLLINIS, à nous lancer dans cette bataille avec passion et enthousiasme :

nous n’avons jamais été aussi près d’en finir avec les tueurs d’abeilles, c’est maintenant ou jamais qu’il faut mettre toutes nos forces dans l’action ! Et en parallèle, nous avons aujourd'hui la possibilité de sauver le patrimoine génétique de nos abeilles locales : pour la première fois, grâce à notre travail, ce thème est aujourd’hui inscrit à l'agenda européen !

Vous le savez, notre association garantit sa totale indépendance en refusant tout financement de l'Union européenne, de l'Etat ou de grosse entreprise. Tout notre travail repose entièrement sur la générosité et l’engagement des donateurs de POLLINIS – et nous prenons grand soin à ce que chaque euro soit bien utilisé.

C'est grâce à nos donateurs, et uniquement grâce à eux, que l'équipe de POLLINIS peut mener ses actions au jour le jour, à Paris et à Bruxelles. Sans eux, nous n'aurions jamais été capables de développer l’expertise et l'expérience du contre-lobbying nécessaires pour obtenir le dépôt d’un amendement anti-tueurs d’abeilles au Parlement européen !

Aussi je me permets de vous demander à vous aussi : pouvez-vous s'il vous plait nous aider, par une contribution du montant de votre choix, à financer le plan de bataille qui nous permettra de résister aux attaques des lobbies, et garder la main sur les députés pour nous assurer qu’ils voteront bel et bien l’interdiction des tueurs d’abeilles et la protection des abeilles locales ?

Vous pouvez nous aider à hauteur de 10 euros, 20 euros, 30 euros, 50 euros, 100 euros, 200 ou 500 euros ou même plus – il n’y a pas de prix au sauvetage des abeilles. Ce qui compte, c’est qu’un maximum de personnes apportent leur soutien à notre action pour faire barrage à l’influence des lobbies sur les décisions européennes, et qu’ensemble on mette fin à plus de vingt ans de massacre des abeilles au profit de l’industrie agrochimique !

Cette victoire cruciale que nous sommes en passe d’obtenir au Parlement européen est la preuve que lorsque les citoyens s’organisent, efficacement et massivement, ils peuvent reprendre la main sur les décisions démocratiques – malgré les tractations des lobbies et les moyens gigantesques déployés par l’agrochimie pour influencer les décideurs européens…

… Mais si nous abandonnons maintenant la place forte que nous venons de gagner de haute lutte, si nous ne nous donnons pas les moyens de nous défendre face aux armées de lobbyistes professionnels payés par l’agrochimie, alors une chose est certaine : l’industrie agrochimique finira par reprendre le dessus, et toute notre action n’aura été qu’un coup d’épée dans l’eau.

Ne laissons pas les députés faire machine arrière : aidez-nous, par votre don, à mener cette bataille jusqu’au bout, pour obtenir l’interdiction nette et définitive des pesticides tueurs d’abeilles en Europe, et la protection de nos écotypes d’abeilles locales européennes !

je fais un don

Un grand merci par avance pour votre engagement.

Bien cordialement,

Nicolas Laarman

Délégué général

Se soigner en fonction de son type de microbiote...

Selon le Journal Plantes et Santé, notre flore intestinale joue un rôle fondamental dans notre organisme. En effet, au cours des dernières années, des scientifiques français ont décodé les gènes microbiens qui sont abrités dans nos intestins et ils ont souligné le rôle clé de ce qu'ils nomment le microbiote. Nous sommes, écrit Mme A. Gadenne dans ce journal, véritablement "sortis de l'ère pasteurienne, qui nous a longtemps fait considérer les bactéries et autres microbes comme des ennemis à abattre". Des ouvrages ont également joué un grand rôle comme le best seller " Le charme discret de l'intestin" de Mme Giulia Enders paru aux Editions Actes Sud  et  "Les bactéries, des amies qui vous veulent du bien" du Pr Gabriel Perlmuter et du Dr A.M. Cassar, paru aux Editions Solar. 

Dorénavant, les chercheurs ont pris conscience que notre microbiote fonctionne comme un organe à part entière. A partir de la naissance en effet une symbiose s'installe progressivement: la  richesse de la flore est favorisée par un accouchement par voie basse et un allaitement au sein. Elle se stabilise autour de 2-3 ans, mais elle se modifie chez la personne âgée vers 65 ans car la biodiversité diminue. Une alimentation saine à base de végétaux notamment est alors particulièrement recommandée. En tout état de cause, nos cellules intestinales sont capables d'assimiler certains nutriments, de faire la synthèse des vitamines K et B12 essentielles au renouvellement cellulaire et à la fabrication des globules rouges.

En parallèle, l'article souligne que la Phyto-aromathérapie et des compléments alimentaires (charbon végétal, aloe Vera, propolis...) peuvent soigner les déséquilibres de ce microbiote et leurs symptômes ( dysbiose, candidose, diarrhées, ballonnements...), car les microbes sont nos alliés contre les maladies. Aussi, les anti-inflammatoires, les antibiotiques et l'aspirine seraient plutôt à réserver aux cas d'urgence. Par contre, des probiotiques, des extraits de pépins de pamplemousse, des bourgeons de noyer, des huiles végétales riches en oméga 3, de la citrulline, de la glutamine... seraient capables de restaurer la flore intestinale.

Le Dr Bruno Donatini, gastro-entérologue, a développé une méthode originale  pour déterminer à quel type appartient le microbiote de ses patients. Le premier type est dominé par les bactéries du genre " Bactéroides", correspondant au régime occidental riche en viande. Le second contient plutôt des bactéries "Prevotella" lié aux régimes végétariens. Quant au troisième, il contient a un haut niveau de "Ruminococcus". A l'aide d'un test respiratoire, il mesure dans l'air expiré certains gaz qui témoignent du type de bactéries du patient. Ce médecin, qui soigne depuis plusieurs années des personnes souffrant de la maladie de Crohn ou de syndrome métabolique, forme à sa méthode des thérapeutes au sein du Collège européen de médecine intégrative (www.ecim.pro).

Il s'agit véritablement d'une sorte de révolution, qui pointe la vie moderne, l'alimentation industrielle, la pollution, le stress comme responsables de nombreuses pathologies digestives allant de l'obésité à l'anorexie, des troubles obsessionnels compulsifs aux allergies et des rectocolites hémorragiques à des cancers digestifs... Cultivons donc notre microbiote avec une alimentation saine, tout en évitant au maximum tous les traitements médicamenteux qui détruisent la flore intestinale!

Lyliane

 

 

 

20/12/2017

Trophées francophones du Cinéma Cameroun 2017...

Jeudi 21/12/2017 à 21h suivez sur TV5 Monde la cérémonie qui récompensera cette année à Yaoundé les meilleurs talents du cinéma francophone de par le monde. Le jury sera présidé par Mme Claire Denis; l'émission sera animée par l'humoriste Moustik en présence de Mme Julie Gayet. Le journal Télérama signale cet événement.

Pour tout savoir sur cette cérémonie, consultez: www.trophées-francophones.org.

Lyliane

 

 

17/12/2017

Les huiles essentielles comme boucliers anti-viraux...

  
 
 
Vaccins, antibiotiques et médicaments de synthèse sont non seulement inefficaces pour lutter contre les virus, mais aussi bourrés de substances chimiques iatrogènes pouvant occasionner des effets secondaires aux graves séquelles.
 
Les scandales du Levothyrox, du Mediator, la récente étude publiée par 60 Millions de consommateurs au sujet du danger des effets secondaires de médicaments anti-grippaux sans ordonnance, en constituent la preuve la plus évidente.

Pourquoi se sentir prisonnier de telles extrémités quand on sait qu’utilisées à bon escient, les huiles essentielles peuvent constituer un bouclier venant à bout des pathologies virales les plus coriaces ?
 
Tandis que le journal Le Monde publie une étude de la PNAS montrant que « l’efficacité du vaccin contre la grippe a été nettement limitée en 2016, ne protégeant que 20% à 30% des personnes vaccinées. »

Et que « cette protection réduite s’explique par une mutation de la souche H3N2 … »

On apprend dans les mêmes colonnes que Sanofi, premier groupe mondial de fabrication de vaccins anti-viraux installé en Normandie, a dépassé 1 milliard d’Euros de vente en 9 mois, et que depuis la loi visant à rendre 11 vaccins obligatoires, leur chiffre d’affaire est en hausse constante.

Et bien que l’information ait été publiée par les plus grands quotidiens, noir sur blanc, les vaccins anti-grippaux demeurent plus consommés que l’ensemble des médecines naturelles.

Pendant ce temps, injustement dénigrée pour le « grand danger » qu’elle représente, l’aromathérapie constitue un des pires ennemis des médicaments de synthèse.

Lorsque l’on respecte la posologie, et que l’on prend soin de manipuler les plus fortes avec prudence, les huiles essentielles sont tout aussi redoutables contre les virus en traitement qu’en prévention.

Quant à leur danger, selon moi il est très largement exagéré, il ne viendrait par exemple à l’idée de personne d’ingurgiter une boîte de médicaments en une seule prise, ce serait du suicide.

Pourtant l’aromathérapie, elle, doit inlassablement rappeler et réexpliquer que vider un flacon entier d’huile essentielle, que ce soit en massage ou par voie interne, peut parfois s’avérer tout aussi suicidaire.

Cela dit, et soit dit en passant, il est vrai que l’utilisation de certaines huiles et de certains protocoles peuvent sembler compliqués aux non initiés.

Si à mes yeux il n’y a rien de plus simple que de mélanger une goutte d’HE d’origan dans un peu d’huile d’olive, ou encore de fabriquer un petit cocktail anti-viral sur mesure :

  → il est tout de même assez difficile de se procurer des huiles de qualité,

  → leur manipulation peut sembler encore mystérieuse à certains,

  → et les risques spécifiques qu’elles comportent sont peu connus.

C’est fort dommage quand on sait le service qu’un simple mélange d’HE savamment pensé peut rendre, en comparaison des compositions chimiques pointées du doigts pour leur nocivité avérée.

Une formule puissante et sans risque

Depuis les premiers débats télévisuels propulsés par Jean Valnet en prime time du petit écran, dans les années soixante-dix, le problème de l’utilisation des huiles essentielles gêne sérieusement les acteurs de la santé naturelle. 

Mais aujourd’hui les connaissances de spécialistes de terrain, alliées à l’ingéniosité de certains laboratoires, ont participé à résoudre un point resté longtemps problématique pour l’assimilation interne des HE… leur enrobage. 

Avec l’enrobage adéquat, c’est à dire sans OGM ni nanoparticules et exempt de matières pétrochimiques, mais aussi capable de résister naturellement à la force corrosive des huiles essentielles, les contraintes de la pratique aromathérapique deviennent pratiquement inexistantes.

En clair, si avec une huile d’origan ou de cannelle vous dépassez malencontreusement quelques gouttes, et que vous ne prenez pas le soin de la diluer dans une huile végétale, c’est la brûlure assurée, ce qui peut être encore plus dommageable par voie interne qu’externe.

Mais lorsque vous utilisez les bonnes proportions dans un enrobage étudié pour, le remède devient subitement aussi simple d’emploi qu’un complément alimentaire.

Il ne reste alors plus qu’à trouver la bonne synergie :

1/ l’HE Niaouli Quinquenervia bio

Pour son action : 

  → anti-infectieuse,

  → anti-inflammatoire,

  → expectorante et mucolytique.

Elle est d’ailleurs tout aussi utile contre les virus internes qu’externes, mais c’est surtout son action prodigieuse contre les infections respiratoires comme la bronchite, la grippe, le rhume ou la sinusite qui nous intéresse ici.

A noter que c’est une des rares huiles que l’on pourra utiliser pure à raison d’une goutte sur les boutons, plusieurs fois par jour, pour le traitement de l’herpès labial.

2/ l’HE d’Origan Compact bio

Déjà très efficace en massages et en diffusion, c’est une huile extrêmement forte avec laquelle on fera preuve de prudence.

Par voie interne elle est utile contre :

  → fièvre tropicale,

  → diarrhées infectieuses,

  → flatulence,

  → fermentation intestinale,

  → infections intestinales,

  → angine,

  → bronchite,

  → grippe,

  → laryngite,

  → trachéite,

  → infection des voies urinaires,

  → infection des voies génitales.

3/ l’HE de Cannelle de Ceylan bio

Formidable remède et aphrodisiaque par voie externe, en interne la cannelle de Ceylan est souveraine en cas de :

  → maladies tropicales,

  → ballonnements,

  → aérophagie,

  → colites,

  → coliques,

  → crampes abdominales,

  → spasmes intestinaux,

  → diarrhées infectieuses,

  → digestion lente ou difficile,

  → infections intestinales,

  → bronchite,

  → grippe,

  → rhume,

  → infection urinaire,

  → et infection génitale.

4/ l’HE de Melaleuca Alternifolia bio

Merveilleux arbre à thé bien connu pour son action anti-infectieuse par voie cutanée, par voie orale il sera utile contre :

  → otites,

  → sinusites,

  → angines,

  → rhino-pharyngites,

  → leucorrhées,

  → vaginites,

  → salpingites,

  → cystites,

  → et urétrites.

Le problème des supports d’HE proposés au grand public

Personne n’ignore plus que l’enrobage des remèdes de santé est souvent problématique.

Bien que certaines marques vendent des supports pour huiles essentielles je vous les déconseille fortement, et cela pour trois raisons principales :

1/ Ils sont souvent OGM.

2/ Ils contiennent des conservateurs et excipients très douteux.

3/ Certains peuvent contenir des nanoparticules.

Attention toutefois, les huiles essentielles en général et ce type d’huiles essentielles en particulier, sont bien trop puissantes pour convenir aux femmes enceintes ou aux enfants, à qui l’on préconisera plutôt un antibiotique naturel doux comme l’EPP.

Bien à vous, 
 
 Jean-Baptiste Loin 
Pour passer l’hiver à l’abri des virus, vous pouvez retrouver notre complexe d'huiles essentielles bio de Niaouli Quinquenervia, d’Origan Compact, de Cannelle de Ceylan, et de Melaleuca Alternifolia, dans un enrobage non OGM et certifié sans nanoparticules en suivant ce lien.

Réseau sortir du nucléaire...à propos de Fessenheim.

 

 

 

Fessenheim : la fermeture se profile-t-elle enfin ?

Sans tambours ni trompettes, la fermeture de Fessenheim commence enfin à  se concrétiser. Même s'il ne faut pas crier victoire trop vite, 2018 sera vraisemblablement la derniére année de fonctionnement de la doyenne des centrales nucléaires françaises.

> En savoir plus

16/12/2017

Le sommet mondial Climate Chance...

Cette rencontre s'est tenue à Agadir (Maroc) du 11 au 13 septembre 2017. Bien que pratiquement aucun média n'en ait parlé sinon l'Ecolomag, c'est le rendez-vous incontournable 2017 des acteurs non étatiques depuis la COP 22 de Marrakech. Ce sommet a voulu montrer que c'est par le renforcement et le progrès des actions concrètes dans les territoires que les objectifs de la lutte contre les changements climatiques pourront être tenus. Plus de 80 ateliers de bonnes pratiques autour d'une quinzaine de thématiques ont montré la "valorisation du progrès de l'action des acteurs non étatiques" comme l'a rappelé Mr Hafidi, président de la région Souss-Massa-Draâ , co organisatrice de ce sommet.

Le sommet mondial Climate Chance va réunir chaque année les leaders locaux (ONG, élus, entreprises, chercheurs...) aux côtés des principaux représentants des acteurs non étatiques(groupes majeurs auprès de l'U.N.F.C.C.C ( Convention Cadre  des Nations Unies sur les Changements Climatiques) engagés dans un lobbying envers les Etats dans le cadre de la négociation climat. Plusieurs milliers de participants venus d'une cinquantaine de pays se sont déplacés. Ainsi la représentation des citoyens peut être effective, au-delà des "grands messes" officielles.

Pour avoir davantage d'informations sur cette manifestation, consultez sur Internet: www.dev.climate-chance.org.

Lyliane

 

 

15/12/2017

Des nouvelles de la COP 23, 23 ème conférence sur le climat à Bonn...

Peu de documents ou d'informations ont filtré jusqu'ici après cette 23 ème Conférence sur le Climat qui a eu lieu du 6 au 17/11 en Allemagne. Environ 19 000 participants ont assisté à cette Conférence organisée par l'ONU et nommée aussi Conférence des Parties. Les effets dévastateurs de la saison des ouragans de cette année ont fait prendre conscience de la nécessité d'investir d'urgence dans des sociétés capables de résister au changement climatique.

La hausse des températures dans le monde est de +0,85° C actuellement. Si nous ne faisions rien d'ici la fin du siècle, les prévisions de températures donneraient +4,8° C. Cela pourrait entraîner une fonte des glaces et une montée des eaux importante. Les experts ont répertorié 400 millions de personnes vivant à moins d'un mètre au dessus du niveau de la mer, qui deviendraient alors des "réfugiés climatiques". L'acidité de l'eau pourrait de ce fait passer de 8,1 à 7,8 de PH, menaçant toute la biodiversité marine...

Il faut savoir toutefois qu'au cours de la COP 23 deux progrès notables ont été enregistrés: la Norvège et la société Unilever se sont déclarés prêts à tenir compte des recommandations de la COP 21 de Paris. Une plate- forme sur les peuples autochtones a été mise en place, tout comme un groupe de travail sur la sécurité alimentaire et l'agriculture paysanne. Les pays présents ont convenu d'établir  un bilan collectif de leurs émissions de gaz à effet de serre. De plus, 100 millions de dollars seront mobilisés d'ici à 2020 pour préserver le climat.

Néanmoins, 15 000 scientifiques dans une tribune publiée le 13 novembre ont dénoncé les dommages bientôt irréversibles que nos modes de vie font subir à la planète (pollution de l'air, végétaux et animaux en voie de disparition, raréfaction de l'eau douce...). Le bilan de cette COP 23 est donc mitigé, d'autant que deux immenses pays se tiennent jusqu'ici à la marge: la Russie et les USA. C'était en effet la première rencontre sur le climat depuis l'élection de Mr Donald Trump...

Réjouissons nous cependant des avancées déjà concrétisées et mobilisons nous avec la jeunesse de notre pays pour faire en sorte, en tant que citoyens du monde, de préserver au maximum notre planète et son climat. De tous petits changements dans nos habitudes (chauffage, consommation d'eau, d'électricité, co-voiturage...) pourraient déjà donner l'exemple d'une citoyenneté éco-responsable!

Lyliane

 

14/12/2017

Mr Nicolas Hulot veut rendre l'écologie crédible...

A travers un long article publié dans le journal gratuit 20 Minutes lundi 11/12/2017, les journalistes T. Le Gal et F. Pouliquen ont recueilli les propos de Mr Nicolat Hulot, Ministre de la Transition écologique et solidaire dans le gouvernement actuel. A l'occasion du "One Planet Summit" prévu le mardi 12/12/2017, réunissant à Paris différents acteurs internationaux, il répond notamment aux questions posées sur l'opportunité de ce sommet.

Selon lui, la COP 23 qui vient de se terminer à Bonn était une étape transitoire et la COP 24, qui se tiendra en décembre 2018 en Pologne, est encore loin. Le "One Planet Summit" vise un objectif complémentaire en privilégiant des projets concrets comme la sortie du charbon, les véhicules zéro émission, les énergies renouvelables et leur financement. Après les Déclarations de Mr D. Trump, ce sommet de Paris fut la proposition de Mr E. Macron.

Mr Hulot n'élude pas la question du renouvellement du glyphosate en Europe, ni les incertitudes du dossier Notre Dame des Landes. Il insiste sur la position de la France qui cherche des compromis et qui pèse dans les débats. Il sait que des critiques se sont élevées contre lui de certains écologistes et d'ONG et qu'on a pu lui attribuer des "reculades". Pour Mr N. Hulot, ses 6 premiers mois sont malgré tout positifs. Il dit "avoir obtenu des choses qu'aucun ministre n'avait obtenues avant lui". Non seulement il affirme qu'il n'a pas changé dans ses convictions, mais il reconnaît que sa fonction l'oblige à tenir compte des réalités du terrain. Actuellement, la situation du monde  et de l'Europe notamment est difficile, mais cela ne l'incite pas du tout à démissionner. Au contraire, il préfère la transparence et pouvoir dialoguer avec les citoyens.

A ce sujet, il nous propose actuellement une longue enquête citoyenne sur les transports, l'agriculture, les économies d'énergie... dont vous trouverez le lien ci dessous. Je vous engage à y répondre et à la diffuser autour de vous. Chacun de nous en effet est invité à donner son avis détaillé et à participer à l'élaboration du futur commun. Voici le lien de cette enquête gouvernementale: 

 

11/12/2017

Fabrique inter'active...

Une plateforme d'échanges et de services collaboratifs a été crée par la MGEN : c'est la Fabrique Inter'active! Il s'agit de "transformer nos talents en services collaboratifs".Ce nouveau service destiné aux adhérents est gratuit, car l'inscription, l'accès à tous les services de la Fabrique Inter'active ainsi que la mise en relation sont accessibles à tous. De plus, une fois sur la plateforme, vous pouvez parrainer vos proches non adhérents pour qu'ils profitent des mêmes services que vous.

Un espace entraide permet d'offrir vos  compétences dans un domaine ou de rechercher un coup de main (soutien scolaire, garde d'enfants, informatique, aide aux courses pour les personnes âgées...). A côté existe un espace projet permettant de donner naissance à vos projets collaboratifs et de trouver à plusieurs les moyens de les concrétiser: groupe de randonnée, formation d'un orchestre, projet de groupe de parole... Enfin, un espace logement expose offres et demandes relatives au logement (locations saisonnières, ventes, colocation, hébergement temporaire d'un malade, d'un étudiant...).

Pour s'inscrire , consultez le site www.lafabriqueinteractive.fr ou contactez des responsables MGEN au 3676.

08/12/2017

Rhumes, sinusites et bronchites : pourquoi prendre de l’ail ?

 

Rhumes, sinusites et bronchites : pourquoi prendre de l’ail ?

L’ail est un antibiotique naturel puissant. Les scientifiques expliquent que les qualités antibactériennes et antifongiques de l’ail viennent de l’allicine [6]. Cette substance, composée de soufre, a donné son nom à la famille des plantes à laquelle l’ail appartient. Ce sont les alliacées. On y trouve également l’oignon et le poireau. L’allicine protège l’ail des insectes, des parasites et des champignons. C’est un mécanisme naturel de défense. 

L’ail présente un autre avantage. Bourrée d’antioxydants, c’est une plante de l’énergie. Elle revitalise le métabolisme grâce aux vitamines et aux minéraux qu’elle apporte. 

En effet, l’ail contient : 

  • des vitamines : A, B1, B2 et B6, de la vitamine C 

  • des métaux utiles pour la santé (mais dangereux en excès) : du manganèse, du fer, du cuivre, du sélénium, 

  • des flavonoïdes, qui sont des antioxydants. 

  • des tocophérols, ou vitamine E, qui sont aussi des antioxydants, 

  • des saponines qui renforcent le dispositif antibactérien et antifongique de la plante.  

L’ail est donc un impressionnant concentré de principes actifs naturels à l’effet double : 

  • un effet forteresse contre les agents pathogènes extérieurs, 

  • un effet vitalisant pour le métabolisme. 

L’ail, aliment-santé pour soigner les troubles ORL

Pour profiter pleinement de l’effet antibiotique de l’ail, l’idéal est de le manger cru. Lorsque l’ail est pressé ou découpé, voire mâché par les dents, l’allicine est libéré. Ce composé disparaît ou perd de sa force en cas de cuisson. 

Il est donc préférable de consommer l’ail cru. Cela peut être en marinade avec de l’huile d’olive ou du vinaigre par exemple. Vous pouvez également essayez un mélange d’ail et de miel. Il est aussi possible de prendre une tartine de pain au petit épeautre (pour éviter le gluten) sur laquelle vous mettrez de l’ail coupé, de l’huile d’olive et du thym. 

Votre naturopathe vous conseillera peut-être d’attendre 10 minutes lorsque vous coupez votre ail cru avant de vous en servir pour votre recette ou de le manger directement. Ce lapse de temps permet à l’allicine de sortir et d’être facilement assimilable au moment où vous consommerez votre ail. Une ou deux gousses d’ail par jour devrait vous apporter une amélioration notable au bout de quelques jours. 

Si vous tenez absolument à faire cuire votre ail, privilégiez une cuisson à basse température et courte (15 minutes maximum). 

Enfin, si l’ail cru vous répugne, il y a d’autres modes de consommation possibles. Ils sont moins efficaces, mais restent intéressants. 

Vous pouvez prendre votre ail en gélules (à voir avec votre herboriste selon le type de gélules), en poudre (1 cuillérée rase) [7], en teinture (30 gouttes dans un verre d’eau deux fois par jour). En revanche, si vous souhaitez prendre de l’huile essentielle d’ail, méfiez-vous, ce remède pourrait être trop agressif avec votre système digestif. 

Les recettes du jour

Voici deux recettes faciles à utiliser en cas de rhume ou d’infection ORL : 

1/ Mélange d’ail, de miel et de jus de citron : 

Dans un verre d’eau, videz le jus d’un citron. Ajoutez, deux cuillères à café de miel et enfin votre gousse d’ail pressé. Recommencez toutes les 4 heures.

2/ L’ail au vinaigre, selon une recette remise au goût du jour par FlorianKaplar [8]: Plongez des gousses d’ail crues dans un bocal. Remplissez-le de cidre de vinaigre non pasteurisé et/ou de tamari (la sauce soja japonaise). Laissez reposer 4 semaines dans un endroit chaud. 

Filtrez le liquide. Une moitié servira pour vos vinaigrettes et marinades. Gardez l’autre moitié et versez-la dans une casserole. Ajoutez une quantité équivalente de miel. Faites chauffer à feu très doux. Remuez constamment. Lorsque miel, vinaigre et tamari sont mélangés, versez le liquide sur les gousses d’ail, restées dans le bocal. 

Laissez reposer à nouveau 4 semaines. C’est prêt. Bon appétit. 

N’hésitez pas à me dire si cette recette vous a plu. Je transférerai votre message à Florian Kaplar, le naturopathe qui tient le blog “Naturo-passion.com”, une source riche d’informations sur la santé. 

L’avantage de cette recette est qu’elle permet à tout le monde de manger de l’ail. Même ceux qui souffrent habituellement de maux d’estomacs en mangeant de l’ail pourront en profiter. Cela ne change rien, en revanche, pour les allergiques. 

Et vous quelles sont vos recettes à l’ail ? 

N’hésitez pas à en faire profiter tout le monde en mettant un commentaireici

Naturellement vôtre, 

Augustin de Livois 

PS: Pour traverser l'hiver sans problème de santé, il est important de renforcer les défenses de son organisme. Vous trouverez toutes les informations utiles et les solutions à mettre en place dès maintenant, dans la conférence de Georges Scudeller, naturopathe à Rennes. Découvrez la vidéo ici.

07/12/2017

Créer une véritable culture de l'engagement...

Une revue trouvée à la MGEN et consacrée à l'école nous rappelle que le 22/12/2016 l'Assemblée Nationale a adopté définitivement le projet de loi "Egalité et Citoyenneté". Ce texte est censé favoriser les conditions d'une généralisation d'une culture de l'engagement citoyen tout au long de sa vie. Depuis la réforme du Service National dans notre pays, en 1998, une Journée nommée Défense et Citoyenneté (JDC)a été en effet instituée. Elle est obligatoire pour les jeunes de 16 à 25 ans et c'est l'une des étapes  du parcours de citoyenneté. L'objectif de cette journée est d'aborder différentes problématiques dont les principales sont la citoyenneté et les questions liées à la Défense. Toutefois il n'est pas simple d'aborder 15 modules en 8H30!

Crée par la loi du 10 mars 2010, le Service Civique quant à lui a pour objectif de renforcer la cohésion nationale et de favoriser la mixité sociale. Cette expérience volontaire permet aux jeunes de 16 à 25 ans de s'engager pour une durée de 6 à 12 mois dans une mission d'intérêt général: solidarité, éducation, santé, culture et loisirs, environnement, développement international et humanitaire, mémoire et citoyenneté, sports, interventions d'urgence en cas de crise... Les jeunes volontaires perçoivent une indemnité de 577 euros par mois et  bénéficient d'une couverture sociale à 100% selon l'Association Unis-Cité dans le 06, une association pionnière du  service civique en France. La MGEN affirme que près de 100 000 jeunes se sont engagés dans le service civique en 2016 contre 53 000 en 2015.

Enfin, il faut savoir que tous les citoyens souhaitant s'engager au service de l'intérêt général et apporter ponctuellement leurs compétences à une mission de service public  ou d'intérêt collectif peuvent participer à la Réserve Civique crée par le projet de loi de 2016. Plusieurs Réserves Citoyennes existent déjà dans certains domaines: défense, sécurité, éducation nationale, police...Pour en savoir davantage sur tous ces sujets, consulter sur Internet www.service-civique.gouv.fr .

Lyliane