Tandis que le journal Le Monde publie une étude de la PNAS montrant que « l’efficacité du vaccin contre la grippe a été nettement limitée en 2016, ne protégeant que 20% à 30% des personnes vaccinées. »
Et que « cette protection réduite s’explique par une mutation de la souche H3N2 … »
On apprend dans les mêmes colonnes que Sanofi, premier groupe mondial de fabrication de vaccins anti-viraux installé en Normandie, a dépassé 1 milliard d’Euros de vente en 9 mois, et que depuis la loi visant à rendre 11 vaccins obligatoires, leur chiffre d’affaire est en hausse constante.
Et bien que l’information ait été publiée par les plus grands quotidiens, noir sur blanc, les vaccins anti-grippaux demeurent plus consommés que l’ensemble des médecines naturelles.
Pendant ce temps, injustement dénigrée pour le « grand danger » qu’elle représente, l’aromathérapie constitue un des pires ennemis des médicaments de synthèse.
Lorsque l’on respecte la posologie, et que l’on prend soin de manipuler les plus fortes avec prudence, les huiles essentielles sont tout aussi redoutables contre les virus en traitement qu’en prévention.
Quant à leur danger, selon moi il est très largement exagéré, il ne viendrait par exemple à l’idée de personne d’ingurgiter une boîte de médicaments en une seule prise, ce serait du suicide.
Pourtant l’aromathérapie, elle, doit inlassablement rappeler et réexpliquer que vider un flacon entier d’huile essentielle, que ce soit en massage ou par voie interne, peut parfois s’avérer tout aussi suicidaire.
Cela dit, et soit dit en passant, il est vrai que l’utilisation de certaines huiles et de certains protocoles peuvent sembler compliqués aux non initiés.
Si à mes yeux il n’y a rien de plus simple que de mélanger une goutte d’HE d’origan dans un peu d’huile d’olive, ou encore de fabriquer un petit cocktail anti-viral sur mesure :
→ il est tout de même assez difficile de se procurer des huiles de qualité,
→ leur manipulation peut sembler encore mystérieuse à certains,
→ et les risques spécifiques qu’elles comportent sont peu connus.
C’est fort dommage quand on sait le service qu’un simple mélange d’HE savamment pensé peut rendre, en comparaison des compositions chimiques pointées du doigts pour leur nocivité avérée.
Une formule puissante et sans risque
Depuis les premiers débats télévisuels propulsés par Jean Valnet en prime time du petit écran, dans les années soixante-dix, le problème de l’utilisation des huiles essentielles gêne sérieusement les acteurs de la santé naturelle.
Mais aujourd’hui les connaissances de spécialistes de terrain, alliées à l’ingéniosité de certains laboratoires, ont participé à résoudre un point resté longtemps problématique pour l’assimilation interne des HE… leur enrobage.
Avec l’enrobage adéquat, c’est à dire sans OGM ni nanoparticules et exempt de matières pétrochimiques, mais aussi capable de résister naturellement à la force corrosive des huiles essentielles, les contraintes de la pratique aromathérapique deviennent pratiquement inexistantes.
En clair, si avec une huile d’origan ou de cannelle vous dépassez malencontreusement quelques gouttes, et que vous ne prenez pas le soin de la diluer dans une huile végétale, c’est la brûlure assurée, ce qui peut être encore plus dommageable par voie interne qu’externe.
Mais lorsque vous utilisez les bonnes proportions dans un enrobage étudié pour, le remède devient subitement aussi simple d’emploi qu’un complément alimentaire.
1/ l’HE Niaouli Quinquenervia bio
Pour son action :
→ anti-infectieuse,
→ anti-inflammatoire,
→ expectorante et mucolytique.
Elle est d’ailleurs tout aussi utile contre les virus internes qu’externes, mais c’est surtout son action prodigieuse contre les infections respiratoires comme la bronchite, la grippe, le rhume ou la sinusite qui nous intéresse ici.
A noter que c’est une des rares huiles que l’on pourra utiliser pure à raison d’une goutte sur les boutons, plusieurs fois par jour, pour le traitement de l’herpès labial.
2/ l’HE d’Origan Compact bio
Déjà très efficace en massages et en diffusion, c’est une huile extrêmement forte avec laquelle on fera preuve de prudence.
Par voie interne elle est utile contre :
→ fièvre tropicale,
→ diarrhées infectieuses,
→ flatulence,
→ fermentation intestinale,
→ infections intestinales,
→ angine,
→ bronchite,
→ grippe,
→ laryngite,
→ trachéite,
→ infection des voies urinaires,
→ infection des voies génitales.
3/ l’HE de Cannelle de Ceylan bio
Formidable remède et aphrodisiaque par voie externe, en interne la cannelle de Ceylan est souveraine en cas de :
→ maladies tropicales,
→ ballonnements,
→ aérophagie,
→ colites,
→ coliques,
→ crampes abdominales,
→ spasmes intestinaux,
→ diarrhées infectieuses,
→ digestion lente ou difficile,
→ infections intestinales,
→ bronchite,
→ grippe,
→ rhume,
→ infection urinaire,
→ et infection génitale.
4/ l’HE de Melaleuca Alternifolia bio
Merveilleux arbre à thé bien connu pour son action anti-infectieuse par voie cutanée, par voie orale il sera utile contre :
→ otites,
→ sinusites,
→ angines,
→ rhino-pharyngites,
→ leucorrhées,
→ vaginites,
→ salpingites,
→ cystites,
→ et urétrites.
Le problème des supports d’HE proposés au grand public
Personne n’ignore plus que l’enrobage des remèdes de santé est souvent problématique.
Bien que certaines marques vendent des supports pour huiles essentielles je vous les déconseille fortement, et cela pour trois raisons principales :
1/ Ils sont souvent OGM.
2/ Ils contiennent des conservateurs et excipients très douteux.
3/ Certains peuvent contenir des nanoparticules.
Attention toutefois, les huiles essentielles en général et ce type d’huiles essentielles en particulier, sont bien trop puissantes pour convenir aux femmes enceintes ou aux enfants, à qui l’on préconisera plutôt un antibiotique naturel doux comme l’EPP.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Les commentaires sont fermés.