Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/06/2016

Conseils reçus par internet en cas de piqûres de guèpes, d'abeilles ou de frelons

Tous ceux qui travaillent dans leurs parterres de fleurs, tondent et arrosent la pelouse ou sortent la poubelle et  cuisinent à l'extérieur ou tout autre chose en plein air, ont besoin de savoir cela :

 

- Gardez une pièce de 5 ou 2 centimes dans votre poche !

 

Il y a quelques semaines, j'ai été piqué par une abeille lorsque je travaillais dans le jardin. Mon bras a enflé, je suis allé à la clinique.

La clinique m'a donné de la crème et un antihistaminique.

Le lendemain, le gonflement de mon bras augmentait progressivement, alors je suis allé chez mon médecin habituel.

 

Le bras a été infecté et avait besoin d'un antibiotique. Le médecin m'a dit :
- "La prochaine fois que vous vous ferez piquer, mettez une pièce de 5 ou 2 centimes sur la piqure pendant 15 minutes".

Plus tard, ma nièce a été piquée par deux abeilles. J'ai regardé la morsure et elle avait déjà commencé à enfler. Alors, j'ai mis une pièce sur son bras pendant 15 minutes.

Le lendemain matin, il n'y avait aucun signe de piqure. Nous avons décidé qu'elle n'était tout simplement pas allergique à la piqure.

 

Je me suis fait piquer à nouveau en faisant du jardinage, à deux reprises par un frelon sur ma main gauche.

J'ai pensé " me voilà à nouveau chez le médecin pour une autre consultation". J'ai mis immédiatement une pièce sur mes piqures, puis attendu pendant 15 minutes.

Le lendemain matin, je ne pouvais plus voir l'endroit où le frelon m'avait piqué. Aucune rougeur, pas de gonflement.

 

Si vous voulez partager cette information pour le cas où vous rencontrerez le même problème. Vous aurez besoin de garder en stock des pièces de monnaie à portée de la main.

Le médecin a dit que le cuivre dans les pièces neutralise les méfaits de la piqure. Ça fonctionne vraiment!

 

S'il vous plaît, se le rappeler et transmettre cette information à vos amis, enfants, petits-enfants !

04/06/2016

Réseau Education Sans Frontières, qui connaît cette association?

Le Réseau éducation sans frontières (RESF) a pour vocation d’œuvrer à la défense des enfants scolarisés et de leurs familles sans distinction d'origine ethnique ou confessionnelle. Ce réseau lutte notamment pour que les jeunes sans papiers soient régularisés, afin de les sortir de la précarité et de l'exclusion qui est la leur. C'est un mouvement actif partout dans le monde. Cependant chez nous, depuis quelques années, il a fort à faire comme dans la plupart des pays européens qui font face à un afflux de réfugiés.

 

Ce réseau se mobilise chaque fois qu'il a connaissance de cas graves de risques d'expulsions vers des zones en guerre ou même vers des pays d'origine où la sècheresse règne, privant les habitants de tout avenir. Il a su trouver des relais auprès de personnalités locales et nationales et de centaines d'anonymes. RESF est souvent amené à trouver des lieux d'hébergement pour des jeunes qui dorment dans la rue, pour des familles SDF.

 

A Nice où je réside, je me suis intéressée aux actions de RESF 06 grâce à un article du Journal Nice-Matin du 20/5/2016. Le journaliste explique qu'Assidullah, un enfant afghan de 12 ans a été par exemple retrouvé errant dans les rues car sa mère s'était noyée pendant la traversée et son père avait disparu. Il a été ramené par la Police Municipale dans les locaux de l'Association Habitat et Citoyenneté qui héberge RESF à Nice pour qu'une solution d'hébergement et de prise en charge soit trouvée. Toutefois, beaucoup de gens ont peur d'héberger des migrants avec tout ce qui se raconte à tort dans certains médias... La charité est parfois sélective!

 

Dans ce local où des militants de RESF tiennent une permanence des familles s'entassent. Des arméniens chassés d'Azerbaïdjan où ils étaient persécutés viennent demander de l'aide, car leurs demandes d'asile ont été rejetées par l'Etat Français. Ils ont des enfants scolarisés et craignent une expulsion. Une femme enceinte vient chercher un coin pour dormir et l'assurance de ne pas devoir accoucher dans la rue, car tout son argent a servi à payer des passeurs... Des cas touchants de mineurs isolés, de famille dans la détresse par dizaines!

 

Le dispositif local de RESF est vite saturé. Les bénévoles de l'association n'hésitent pas, parfois, à faire de la place chez eux lorsqu'aucune solution d'urgence n'est trouvée. «Lorsqu'Aylan a été retrouvé mort sur une plage grecque le monde entier grâce aux médias s'en est ému. Beaucoup de frères et sœurs d'Aylan sont échoués chez nous ou aux portes de notre pays, conclue l'article, que faisons nous pour les secourir et les protéger»? Pour toute information concernant RESF consulter sur Internet: www.educationsansfrontieres.org .

 

Lyliane

 

Faire passer dès 2016 une loi pour contrer l’évasion fiscale en France

Denis DUPRE vient de publier une mise à jour sur la pétition  intitulée "Faire passer dès 2016 une loi pour contrer l’évasion fiscale"

8 juin 2016 : poussons nos députés à voter la loi contre l’évasion fiscale.

03 juin 2016 — Tout se jouera le 8 juin à l’Assemblée Nationale avec la loi Sapin 2. Il faut obliger les entreprises à rendre publiques des informations comptables précises sur leurs activités dans TOUS les pays où elles sont présentes. Certains députés ont déposé des amendements en ce sens, d’autres députés des amendements trompeurs. C’est la dernière chance, avec nos députés, de récupérer chaque année les... Lire la suite

Lire la suite
Voulez-vous faire changer les choses ?
Lancez une pétition.

 

         
 

 

03/06/2016

Un trésor mondial menacé en Amazonie...

Un document qui m'a été envoyé par l'Association Greenpeace

- www.greenpeace.fr -

fait état d'un projet de barrage de 7,6 km sur un affluent de l'Amazonie le Tapajos qui submergerait 400km2 de forêts tropicales. Quatre autres barrages sont à l'étude sur cette même rivière. Mais le barrage de Sao Luiz do Tapajos est le plus démesuré d'entre eux.

 

Les indigènes vivant à proximité n'ont même pas été consultés en violation de la Convention N° 169 du Brésil. Les barrages hydrauliques qui fleurissent dans le pays depuis de nombreuses années ont eu, nous le savons, des conséquences désastreuses sur la déforestation en Amazonie sans fournir l'énergie espérée pour autant.

 

Dans cette zone, la biodiversité est cependant exceptionnelle: oiseaux tropicaux, dauphins roses, jaguars, ocelots, caïmans, tortues, loutres. Plus de 2600 espèces ont été recensées à proximité du site du barrage, ce qui menace leur survie. Ce projet de méga-barrage met également en danger le peuple Munduruku, qui vit sur des terres ancestrales sacrées. Ils seraient sans doute contraints de s'exiler, comme ce fut le cas pour le barrage de Belo Monte, où les indigènes ont été contraints de se déplacer vers des villes voisines avec toutes les conséquences sociales induites.

 

Alors que l'on essaie de lutter contre la déforestation partout dans le monde, afin de sauver le climat, depuis 2012 celle-ci s'accélère au Brésil. Plus de 750 000 km2 de forêt amazonienne a en effet déjà été détruit. La politique du gouvernement brésilien, qui défend l'expansion massive des capacités hydroélectriques de l'Amazonie et prône une croissance économique à tout prix, semble d'urgence à revoir avant qu'il ne soit trop tard. De plus, l'impunité des multinationales encourage les coupes de bois illégales.

 

Pour stopper ce mouvement, il est proposé aux journalistes, aux personnalités et aux militants, du 20 juin au 16 juillet prochain, de s'installer près de la rivière Tapajos pour soutenir le peuple Munduruku face à ce projet de construction.

Par ailleurs, en Autriche le 30 mars dernier Greenpeace a tenu un meeting annuel lors de la réunion de la Société Andritz, fournissant turbines et générateurs pour ce projet.

En Allemagne, des activistes de Greenpeace en avril dernier ont protesté à Munich devant l'Usine Siemens, partenaire éventuel du projet de barrage.

 

Il est aussi possible de soutenir Greenpeace à travers son site et d'écrire en tant que citoyen aux membres du gouvernement brésilien pour attirer leur attention sur les problèmes induits par cette construction de barrage projetée.

 

Lyliane

 

02/06/2016

Quel statut pour les lanceurs d'alerte?

Dans le courrier du retraité de juin 2016, un article de Mme Anne-Sophie Quérité fait le point sur le statut des lanceurs d'alerte dans le monde.

 

Chez nous, la loi d'avril 2013 relative à l'indépendance de l'expertise en matière de santé et d'environnement et à la protection des lanceurs d'alerte constitue une avancée dans la défense des personnes révélant des scandales sanitaires et environnementaux.

 

Néanmoins, l'émission Cash Investigation a révélé que Mme Stéphanie Gibaud, ex-directrice marketing d'une grande banque dans notre pays, qui avait refusé de participer à des pratiques illicites conformément à son éthique, n'a jamais retrouvé d'emploi et vit des minimas sociaux pour avoir osé braver l'autorité de ses supérieurs. Un véritable scandale à mes yeux!

 

Ailleurs, des lanceurs d'alerte (Edward Snowden, Antoine Deltour...) se sont retrouvés face à un cas de conscience: en ne voulant pas cautionner des pratiques illégales contraire à leurs valeurs (écoutes de la NSA aux Etats-Unis, système pour les multinationales de pratiquer l'évasion fiscales...), ils se sont exposés à des représailles, qui les contraignent le plus souvent à fuir leur pays ou à se cacher.

 

Actuellement seuls 5 États, dont la France, ont entrepris des actions pour assurer leur protection. Il serait bon que la Directive Européenne sur le Secret des Affaires, votée en avril 2016, statue sur la notion d'intérêt public. En outre, Mr William Bourdon, un avocat et le président fondateur de Sherpa, une association crée en 2001 en vue de protéger et défendre les victimes de crimes économiques, prône  "la création d'une Haute Autorité indépendante de Sécurité pour protéger les personnes lanceuses d'alertes et garantir la confidentialité de leurs communications".

 

A nous de le soutenir et d'interpeller nos élus sur cette question d'actualité !

 

Lyliane

 

01/06/2016

Une Europe sans glyphosate serait à portée de main en signant cette pétition reçue par Internet...

Nous venons d’apprendre que la Commission européenne manoeuvre en coulisses pour faire approuver ce lundi 6 juin une extension de l’autorisation du pesticide préféré de Monsanto, le glyphosate - dont les scientifiques disent qu’il cause probablement le cancer pour les humains.

Dites aux gouvernements des pays membres de l'UE de ne pas voter pour l’extension de l'autorisation du glyphosate.



Nous venons juste de l’apprendre. Le lobbying de Monsanto pour échapper à une interdiction de son pesticide préféré - le glyphosate - est tel que la Commission européenne manoeuvre encore en coulisses pour faire approuver une extension de l’autorisation du glyphosate lors d’un vote ce lundi 6 juin.

La Commission s’évertue ainsi à ignorer scandaleusement les alertes des experts et des ONG, et cherche coûte que coûte à satisfaire les intérêts cupides de Monsanto. Il s'agit ici d’un cas flagrant de tentative de prise de pouvoir des multinationales aux dépens de notre santé.

C’est le moment ou jamais d’accentuer la mobilisation et de dire aux pays qui ont jusqu’ici résisté au puissant lobbying de la Commission et de Monsanto, de rester fidèles à leur décision et de faire passer notre santé avant leurs profits.

Signez la pétition et faites passer le message pour en finir une bonne fois pour toute avec le glyphosate.

Un panel de scientifiques indépendants choisis par l’Organisation Mondiale de la Santé a pourtant déclaré en 2015 que le glyphosate cause probablement le cancer pour les humains. Le 19 mai dernier, suite à la formidable mobilisation des ONG et des scientifiques, la France, l’Allemagne, les Pays-bas, l’Italie et d’autres pays européens avaient refusé - pour la deuxième fois - de donner un blanc-seing à la Commission européenne. 

Le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) a classé le glyphosate comme cancérogène « probable » en mars 2015 suite à la réunion d'un comité de 17 experts scientifiques indépendants ayant étudié pendant plus d'un an 260 études menées aux États-Unis, en Suède et au Canada depuis 2001. En d'autres termes, une classification prise au sérieux et basée sur des données scientifiques fiables.

Monsanto, qui accuse le CIRC d'avoir écarté de son évaluation les études commissionnées par les industriels de l'agrochimie, ne dit pas toute la vérité. Comme le rappel Kathryn Guyton, directrice de recherche au CIRC, les recherches menées par les industriels comme Monsanto n'ont jamais été publiées publiquement et n'ont donc pas pu être évaluées par les chercheurs indépendants.

Alors, aujourd'hui se pose une question très simple : pourquoi la Commission européenne refuse l'évaluation du CIRC concernant les dangers du glyphosate pour l'homme ? La réponse est simple : la Commission est à la botte du lobby du glyphosate et des multinationales comme Monsanto et Bayer.

Dites aux gouvernements des pays membres de l'UE de ne pas voter pour l’extension de l'autorisation du glyphosate. Notre santé doit passer avant leurs profits !

Un porte-parole de la Commission a prévenu que «si aucune décision n’était prise avant le 30 juin, le glyphosate ne sera plus autorisé en Europe et les Etats membres devront retirer du marché tous les produits contenant ce pesticide». Une Europe sans glyphosate est donc à portée de main !

Le vote du 6 juin prochain est crucial. Ensemble, nous avons déjà réussi à faire échouer par deux fois la proposition irresponsable de la Commission -- alors que beaucoup d’observateurs pensaient que la partie était déjà gagné et que nos voix ne feraient jamais le poids face au lobbying gigantesque de l’industrie agro-chimique.

Montrons à Monsanto et Cie que notre santé passe avant leurs profits en menant cette campagne vers son but ultime : l’interdiction totale et définitive du glyphosate.

Exigez que notre santé passe avant les profits de Monsanto et Cie. Dites aux gouvernements des pays membres de l'UE de ne pas approuver l’extension de l'autorisation du glyphosate.

Merci pour tout ce que vous ferez.

 

Quelle est notre relation à la Terre qui nous porte?

 

Dans le journal La Croix du 19/5/2016, une chronique de Mr Etienne Klein a retenu mon attention. Elle pose en effet des questions pertinentes concernant notre rapport à la Terre et nos rêves d'aller coloniser une autre planète. Elle s'appuie notamment sur des écrits laissés par le philosophe Edmund Husserl datant de 1934 à propos de la crise qui secouait alors l'Europe. Ses propos semblent toujours d'actualité...

 

Dans son ouvrage «La Terre ne se meut pas», Husserl voulait montrer que si la Terre tourne bien autour du Soleil, elle n'est cependant pas une planète comme les autres. Bien qu'elle soit en mouvement et géo-centrée, ce que l'être humain a mis du temps à réaliser, nous sommes tous ancrés matériellement c'est à dire corporellement dans le sol. Vouloir s'en échapper pour le cas où la situation sur Terre deviendrait invivable, serait selon lui une façon de nous concevoir comme des êtres «hors sol».

 

Il nous propose plutôt de changer notre regard, de voir la Terre qui nous porte dans son unicité avec nous tous. Rêver d'aller nous installer un jour sur la planète Mars ou sur un satellite de Jupiter après avoir saccagé la Terre et pollué son atmosphère, ne paraît en effet pas très sérieux. Pour les humains que nous sommes, le challenge ne serait-il pas de faire de la Terre un lieu du vivre ensemble en harmonie avec les éléments? Une façon de cesser enfin de séparer l'Etre humain et la Nature, ce qui résoudrait bien des questions d' environnement...

Lyliane

 

31/05/2016

Le développement durable ou la révolution du porte-monnaie...

Né à la fin de l'année 1970, le concept de développement durable fait partie des enjeux de ce que l'on nomme la transition. Il s'agit en quelque sorte de conjuguer besoins quotidiens, meilleure qualité de vie et moindre impact sur l'environnement. Le numéro 4 du magazine 100% indépendant Ressources

- www.ressourcesmagazine.fr

dresse le portait robot du consommateur durable en France. Un article de Mme Aurélie Selvi reprend en effet les conclusions d'un sondage représentatif de 30 % de personnes interrogées par des chercheurs des Universités de Nice et de Bordeaux.

 

Dans ce groupe, on note que le profil féminin l'emporte nettement. Plus de 70% des personnes interrogées déclarent consommer local. 95% d'entre elles trient le verre et 42% considèrent qu'elles peuvent contribuer individuellement à la protection de l'environnement. Pour la plupart, leur âge va de 45 à 64 ans et elles appartiennent à la classe moyenne voire supérieure. Le but de certaines de ces personnes interrogées est de pousser les politiques publiques vers des choix adaptés.

 

Ainsi, on comprend le sous titre de l'article: la révolution du porte-monnaie. Car ces consommateurs engagés dans le développement durable font des choix qualitatifs et privilégient les circuits courts, sans intermédiaires, où l'on tisse des relations avec des paysans locaux. Leur nombre croît et ils sont susceptibles par leurs achats conscients de drainer d'autres personnes autour d'eux, tout en pesant sur notre économie, qui pour le moment fait encore la part belle aux multinationales, à l'économie de marché et aux transports lointains.

 

C'est donc un mouvement en marche et nous pouvons nous en réjouir. Rappelons enfin que la Semaine Européenne du Développement Durable va cette année du 30 mai au 5 juin.

 

Lyliane

 

30/05/2016

Selon la Lettre Santé Nature Innovation par Jean-Marc Dupuis à propos de nutrition et de bien-être...


 
   

Les cellules du cancer s’alimentent de…


Imaginez que vous puissiez, en arrêtant de consommer certains aliments, réduire vos cellules cancéreuses à la famine…

Votre tumeur en pleine croissance, serait brutalement stoppée. Privée de nourriture, elle se mettrait à dépérir, rétrécir, puis disparaître.

Selon certains chercheurs, ce rêve peut dans certains cas devenir une réalité. Car voici de quoi les cellules cancéreuses ont besoin pour vivre :

Les cellules peuvent fonctionner avec deux carburants différents

Les cellules ont deux carburants à leur disposition : le glucose et les acides gras.

Les cellules doivent brûler ces carburants pour les transformer en énergie cellulaire (ATP, ou adénosine triphosphate).

Elles ont pour cela besoin d’oxygène, apporté par la respiration et par le sang.

A l’intérieur de la cellule, le carburant et l’oxygène sont brûlés au sein des mitochondries, de mini-usines électriques à l’intérieur des cellules, pour produire l’énergie cellulaire.

Les mitochondries peuvent fonctionner soit avec de l’oxygène et du glucose, soit avec de l’oxygène et des acides gras.

Quand l’oxygène vient à manquer

Mais les mitochondries n’ont pas toujours assez d’oxygène à disposition. Par exemple, quand vous courrez très vite et que vous êtes essoufflé, vos cellules manquent d’oxygène.

Heureusement, vous pouvez continuer malgré tout à courir parce que vos cellules sont aussi capables de produire de l’énergie sans oxygène : par fermentation.

La fermentation permet aux cellules de fonctionner en l’absence d’oxygène. Toutefois, la fermentation ne marche qu’avec le glucose, pas avec les acides gras.

Les cellules cancéreuses accros au glucose

Les cellules cancéreuses, qui sont très agressives, qui se reproduisent rapidement, et qui sont très nombreuses au même endroit, utilisent prioritairement la fermentation pour fonctionner.

La fermentation n’étant pas possible avec les acides gras, cela veut dire que les cellules cancéreuses ont un énorme besoin de glucose.

Elles ont besoin de 20 fois plus de glucose qu’une cellule saine. A tel point que le scanner PETpeut servir à voir le cancer dans l’organisme, uniquement en regardant les cellules qui consomment le plus de glucose.

Les cellules cancéreuses sont dépendantes au glucose. La seule chose qui les intéresse, c’est de trouver du glucose à tout prix, comme un toxicomane ; et comme celui-ci, elles ne tiennent plus compte de leur environnement.

Si elles n’ont que des acides gras à disposition, elles se retrouvent en famine. La production d’énergie cellulaire baisse. Les cellules cancéreuses perdent de leur agressivité et de leur capacité à se multiplier.

Ce n’est pas le cas des autres cellules du corps (cerveau, cœur et autres muscles) qui, elles, peuvent vivre uniquement grâce aux acides gras, car leur comportement est moins frénétique.

Cancer en cascade

Le glucose est donc le carburant des cellules cancéreuses. Mais manger beaucoup de sucre accroît votre risque de cancer par d’autres voies :

  • La fermentation du glucose par les cellules produit de l’acide lactique qui provoque une acidification des tissus cancéreux, qui favorise encore la croissance de la tumeur ;

  • Plus vous mangez de sucre, plus votre taux de sucre sanguin monte et plus votre pancréas fabrique d’insuline. Or, l’insuline stimule la production d’une molécule appelée Insulin-like growth factor-1 (IGF), une puissante hormone responsable de la prolifération des cellules saines mais aussi cancéreuses.

C’est ce qui a amené des chercheurs à proposer un régime sans aucun glucide, appelé régime cétogène, pour aider les patients cancéreux.

Le régime sans glucides contre le cancer

En 2007, le Dr Melanie Schmidt et le biologiste Ulrike Kämmerer, à l’hôpital de Wüzburg, en Allemagne, ont mené une étude clinique avec des patients malades du cancer. Ils leur ont fait suivre un régime très pauvre en glucides, riche en graisses et riche en protéines, appelé régime cétogène. Pas de sucres, pas de céréales, pas de gâteaux, pas de pâtes, pas de riz, pas de pommes de terre, très peu de fruits, uniquement de la viande grasse, des poissons gras, des œufs entiers, des noix, de l’huile d’olive, de l’huile de lin et quelques légumes.

Ce n’était pas une nouveauté d’ailleurs. Déjà, en 1924, le Dr Otto H. Warburg (Prix Nobel en 1931) avait publié ses observations sur les tumeurs : « Une alimentation riche en glucides a un profond effet stimulant de la croissance des cellules cancéreuses. »

Les deux chercheurs de Würzburg se sont cependant heurtés à un écueil : l’hôpital ne les a autorisés à tester le régime cétogène que sur les patients ayant épuisé toutes les thérapies conventionnelles contre le cancer : chirurgie, radiations, chimiothérapie, et même les thérapies alternatives comme l’hyperthermie et l’autohémothérapie (sang veineux réinjecté par voie musculaire).

Cela signifie que les patients étaient en très mauvaise santé. Ils souffraient de cancer des ovaires, du sein, des glandes parotides, des os, du pancréas, de la thyroïde, de l’œsophage et de tumeurs du système nerveux agressives, résistant aux traitements classiques. Deux d’entre eux sont morts en moins d’un mois après le début de l’étude, un autre a abandonné parce qu’il trouvait trop pénible de se priver de boissons sucrées et de céréales et six autres ont arrêté pour des raisons personnelles. Deux autres patients ont quitté prématurément l’étude en raison d’une brusque aggravation de leur état de santé.

Toutefois, pour cinq patients qui ont respecté le régime sans glucides pendant trois mois, les résultats se sont révélés positifs. Les patients sont restés en vie, leur condition physique s’est stabilisée ou s’est améliorée, leur tumeur a arrêté de grossir et la maladie s’est stabilisée.

L’efficacité du régime cétogène réside dans le suivi rigoureux d’une alimentation la plus pauvre possible en glucides. Lorsque les glucides viennent à manquer, le corps produit des corps cétoniques dérivés des graisses qui peuvent fournir de l’énergie au corps et au cerveau mais qui sont peu utilisables par les cellules cancéreuses. Or, dans l’étude des chercheurs de Würzburg, seuls deux patients sont parvenus à réduire suffisamment leur consommation de glucides alimentaires pour produire beaucoup de corps cétoniques. Ces résultats préliminaires sont donc tout à fait remarquables et les chercheurs y voient déjà une solution alternative pour le traitement du cancer, sans attendre le stade terminal de la maladie [1].

Deux enfants aidés par le régime cétogène

La première expérience humaine menée sur le régime cétogène dans le traitement du cancer fut menée en 1995 par l’oncologue (médecin spécialiste des cancers) Linda Nebeling, sur deux enfants atteints de tumeur au cerveau. Linda Nebeling est actuellement à l’Institut National du Cancer aux Etats-Unis.

Les deux enfants réagirent de façon positive et la progression de la maladie fut totalement stoppée chez l’un d’entre eux qui était toujours vivant 10 ans plus tard, en continuant à suivre le régime cétogène.

Il est évidemment impossible de tirer des conclusions générales d’une si petite expérience. Toutefois, le régime cétogène intéresse aujourd’hui de nombreuses équipes médicales à travers le monde.

Le Dr Thomas Graeber, un professeur de pharmacologie moléculaire et médicale, a publié avec ses collègues en 2012 une étude qui montre que la privation de glucose active une boucle d’amplification métabolique et de signalisation conduisant à la mort des cellules cancéreuses [2].

Des études publiées cet été 2013 dans la revue Plos One indiquent que les souris cancéreuses soumises au régime cétogène présentent une amélioration de leur survie par rapport à un groupe témoin, non soumis à ce régime.

Combiné à un traitement par oxygène hyperbare qui consiste à saturer les cellules cancéreuses d’oxygène, la survie des animaux était augmentée de 78 % [3].

Ces résultats ouvrent évidemment d’importants espoirs pour les malades.

Mises en garde indispensable

Mais attention, le régime cétogène cause certains problèmes, si bien qu’il est fortement déconseillé de le suivre sans surveillance médicale. Il peut provoquer une très forte fatigue, le corps ayant besoin de s’habituer à ce nouveau fonctionnement sans réserves de sucres. Le régime cétogène présente aussi un déficit de :

  • Fibres : cela provoque de la constipation ou paradoxalement de la diarrhée, qu’il est possible de soulager avec la prise de compléments alimentaires de fibres comme le psyllium ou la pectine ;

  • Potassium : l’essentiel de notre potassium nous vient des fruits et légumes, sources de glucides. Il faut donc prendre un complément de potassium ou privilégier des légumes pauvres en glucides (chou vert, asperges, aubergines, concombres, brocolis, céleri, laitue, poireaux, cresson) et les avocats.

Surtout, le régime cétogène ne doit surtout pas être entrepris en cas de :

  • Insuffisance rénale, hépatique ou cardiaque, ainsi qu’infarctus récent,

  • Diabète insulinodépendant, et non-insulinodépendant en absence d’un encadrement médical,

  • Grossesse – allaitement,

  • Pour toute personne au-delà de 4 semaines, sans suivi médical,

  • Période de croissance (enfant, adolescent),

  • Durant un traitement diurétique ou corticoïde en absence d’un encadrement médical,

  • En cas de troubles du comportement alimentaire,

  • Suite à une intervention chirurgicale,

  • En cas de maladie du métabolisme des acides gras (porphyrie, déficit en pyruvate carboxylase et autres maladies génétiques rares).

Limiter votre risque de cancer

Sans aller jusqu’au régime cétogène, une alimentation pauvre en glucides est bénéfique aussi bien en prévention du cancer que pour améliorer son traitement. Pour limiter votre risque de nourrir une tumeur affamée de glucose :

  • Réduisez votre consommation de nourriture transformée, industrielle, comme les plats préparés, les farines raffinées (blanches) et les aliments fabriqués avec (pain de mie, baguette blanche, viennoiserie, pâtes blanches) ainsi que les boissons sucrées et les jus ;

  • Mangez des céréales en quantités adaptées à votre activité physique : vous pouvez vous en passer si vous ne faites pas de sport ;

  • Recherchez la couleur dans votre assiette : légumes et fruits colorés sont riches en antioxydants qui diminuent l’inflammation (myrtilles, raisin rouge, tomates, légumes verts). Il y a bien sûr plusieurs exceptions importantes comme le chou-fleur, le raifort et les asperges qui, bien que blancs, sont excellents pour la santé ;

  • Évitez autant que possible les grillades et fritures ;

  • Privilégiez les produits gras de bonne qualité : petits poissons gras, noix de toutes sortes, huile d’olive extra-vierge, huile de colza, avocats, œufs bios enrichis en oméga-3 si possible ;

  • Évitez les produits gras industriels : vinaigrettes, mayonnaises toutes faites, et bien sûr tous les biscuits apéritifs grillés et salés ;

  • Adaptez votre mode de vie pour réduire les causes de stress : changez de métier, de lieu d’habitation, d’activités si celles-ci ne vous permettent pas d’être raisonnablement détendu dans votre vie ;

  • Limitez l’usage de produits toxiques dans votre intérieur : produits ménagers, vernis, colles, plastiques ;

  • Buvez un ou deux verres de bon vin par jour, si possible rouge.
 
 
 
 

27/05/2016

Logements passifs: une nouvelle façon de construire...

 

Dans une revue spécialisée à destination d'élèves ingénieurs nommée Flux, Mme Alice Fauconneau analyse les nouveaux enjeux du logement passif. Le secteur du bâtiment, explique-t-elle, représente environ ¼ des émissions de gaz à effet de serre de la france. Notre pays a cependant pour objectif de diviser par 4 ces émissions d'ici 2050.

 

Pour concevoir et utiliser un logement passif, plusieurs règles sont à respecter:

-une conception bioclimatique du logement (isolation, protections solaires)

-une conception technique (solution de chauffage centralisée, ventilation mécanique, énergies renouvelables)

-un suivi régulier des consommations et températures car un logement passif nécessite une vraie appropriation par l'usager. La domotique toutefois peut alléger les bons gestes à poser dans ce type de logement.

 

Selon les prévisions et le prochain règlement technique il faudra viser à ce que tous les bâtiments construits ou rénovés après 2020 ne consomment pratiquement plus d'énergie (la définition d'un logement passif!) et produiront de l'énergie renouvelable. Etant donné que les spécialistes en développement durable estiment qu'un bâtiment passif consomme 4 fois moins d'énergie qu'un bâtiment construit avant les années 2000, le pari français en matière de construction passive pourrait être réalisable.

 

Bien entendu, les architectes et constructeurs devront continuer à tenir compte du climat local (implantation, ensoleillement, disposition des ouvertures). En ce qui nous concerne, il serait bon, lorsque nous rénovons un logement ou faisons construire une maison, de tenir compte de ces données et d'anticiper ces contraintes techniques. Non seulement chacun a intérêt à réduire ses dépenses d'énergie, mais c'est bon pour le climat!

Lyliane

 

26/05/2016

Pétition pour qu'un jeune autiste puisse aller en classe avec son chien

 

Noah, âgé de 10 ans, est un enfant atteint d'autisme. En novembre 2013, l'association "Handi'Chiens", reconnue d'utilité publique, lui a attribué un chien d'assistance, Glinka, une golden retriever. Noah a de grandes difficultés d'interaction sociales, il est également hypersensible aux changements de lieux, de personnes. Il nous semble primordial que Noah puisse bénéficier de la présence de Glinka pour l'aider à communiquer avec les autres. 

Noah étant très sensible aux changements, Glinka est un pôle de rassurance qui va lui permettre d'accepter ou de s'adapter à la situation nouvelle, en dehors de son environnement familial.

 C'est dans ce contexte que Glinka est une aide primordiale à Noah pour son développement et pour son autonomie, à sa vie actuelle et future.

Malgré les difficultés de Noah, le taux d'incapacité reconnu à 80%, ainsi que les lois protégeant les chiens d’assistance, La Maison Départementale des Personnes Handicapées, ainsi que le Conseil Général du Val d'Oise, refusent de reconnaître le chien d'assistance auprès d'un enfant autiste.

Plus de deux ans et demi de demandes rejetées sous l'argumentaire "les chiens d'assistances sont une case "vide" dans le Val d'Oise", seuls les chiens-guides sont acceptés."

Cette reconnaissance officielle du Conseil Général est la seule condition manquante afin que Noah puisse bénéficier de l'accompagnement de Glinka à l'école.

 Un chien d'assistance coûte 14 000 euros à l'association Handi'Chiens. Glinka a été parrainée par Hu2 Charity : un ultra ironman pour Noah a permis de lui offrir Glinka ! 

https://www.youtube.com/watch?v=tusB0aWBcWw

Pour que le projet de cet accompagnement bénéficie à Noah, que l'exploit de Hu2 Charity ne soit pas vain 

signez et partagez !

 

 

 

Voulez-vous faire changer les choses ? 
Change.org   ·   548 Market St #29993, San Francisco, CA 94104-5401, USA

 

Les vertus curatives du miel...

 

Selon le N° 1 de la revue Vivre Nature, le miel a de réelles vertus curatives, qui sont connues depuis des millénaires. En effet, le miel contient environ 17% d'eau, des glucides (environ 80% sous forme principale de fructose), quelques lipides et protides, des acides organiques, des éléments minéraux, des vitamines, des enzymes et des antibiotiques naturels. On considère que 100 G de miel représente une valeur énergétique de 327 Kcalories.

 

Selon des recherches scientifiques, les antioxydants du miel peuvent protéger le système immunitaire et soigner rhume et grippe. Bien entendu, préférer des miels non chaufés et de qualité biologique. Si l'on a du mal à s'endormir, prendre un verre de lait chaud avec du miel avant de se coucher car cela stimule le tryptophane. Pour les sportifs, il est admis que le miel est l'un des hydrates de carbone les plus efficaces avant une séance d'entrainement.

 

Le miel a également des indications externes en cas de brûlures ou de plaies ouvertes (miel de thym surtout utilisé à l'hôpital). Mélangé à de l'huile d'olives, il donne un shampoing naturel ou un masque hydratant. Le miel de Manouka, connu depuis longtemps des Maoris de Nouvelle Zélande, possède des propriétés antiseptiques de premier ordre (spray buccal )

 

Certains miels sont dits toutes fleurs, d'autres sont mono-floraux. Parmi ces derniers, quand les abeilles ont butiné des champs composés d'une même espèce, les plus doux sont les miels d'acacia, de romarin et de tilleul. Les plus typés s'appellent miels d'arbousier, de châtaignier, de sapin, de lavande ou de thym.

 

Pour en savoir plus, consulter l'ouvrage de Mme R. Vidaling aux éditions E. Ulmer ou sur internet: www.comptoirsetcompagnies.com.

Voici de multiples raisons de protéger la biodiversité où les abeilles transforment fleurs et bourgeons en nectar succulent, bons pour notre santé.

Lyliane

 

Un film à voir et à revoir...

 

 

 

 

 

 

 

  A propos du film

Et si montrer des solutions, raconter une histoire qui fait du bien, était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales, que traversent nos pays ? Suite à la publication d’une étude qui annonce la possible disparition d’une partie de l’humanité d’ici 2100, Cyril Dion et Mélanie Laurent partent avec une équipe de quatre personnes enquêter dans dix pays pour comprendre ce qui pourrait provoquer cette catastrophe et surtout comment l’éviter.

Durant leur voyage, ils rencontrent les pionniers qui réinventent l’agriculture, l’énergie, l’économie, la démocratie et l’éducation. En mettant bout à bout ces initiatives positives et concrètes qui fonctionnent déjà, ils commencent à voir émerger ce que pourrait être le monde de demain…

 

Qui sont les locavores?

 

Selon la définition prise dans le n°1 du Journal Vivre Nature, être locavore c'est suivre un mouvement qui prône la consommation de nourriture produite dans un rayon allant jusqu'à 200 km maximum autour de son domicile. Plus question donc de faire venir des produits alimentaires de l'autre côté de la terre et transportés sans tenir compte du bilan carbone, ni des saisons...

 

Des ouvrages existent sur le sujet comme «Le guide du locavore pour mieux consommer local» de Mme Novel paru aux éditions Eyrolles et celui de Mme C. Choffat «Devenez locavore» aux éditions Jouvence. Dans ces livres, on apprend que le concept est né en Californie vers 2005.

 

Les idées de base des locavores étaient de diminuer l'impact carbone de l'alimentation, d'augmenter la traçabilité des produits et de soutenir l'économie locale en rencontrant les producteurs. Leur mot d'ordre était:«On n'est plus dans le boycotte, mais dans le buycott!»

 

Le premier français à avoir suivi ce mouvement est Mr Stéphane Linou de Castelnaudary en 2008. Chez nous, l'adjectif locavore est entré dans le dictionnaire seulement en 2010. De nombreux mouvements ont ensuite développé ce concept comme les Amap (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne). La plupart défendent l'agriculture biologique et passent des contrats de 6 mois avec des paysans locaux.

 

Il est bon de savoir qu'en cas de rupture de l'approvisionnement en pétrole, la France disposerait de 4 jours d'autonomie alimentaire seulement. Cette dépendance au transport lointain devrait déjà nous inciter à rechercher un approvisionnement de proximité. Si nous adoptons en outre une attitude plus responsable vis à vis de notre environnement, nous deviendrons peu à peu des consommateurs impliqués dans des relations directes avec les producteurs et nous seront davantage soucieux de la fraîcheur et de la qualité nutritive de tout ce que nous consommons.

Lyliane

 

25/05/2016

Pétition urgente en faveur des abeilles de change.org...


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

     

Annoncé par M. François Hollande à l'issue de la Conférence environnementale de 2012, le projet de loi sur la biodiversité a été déposé en mars 2014 par le ministre de l'écologie M. Philippe Martin. Selon la ministre de l'environnement Mme Ségolène Royal, son objectif est de « doter la France d’une loi unique et exemplaire pour la protection de la biodiversité ».

Quatre ans après l'annonce de cette loi, celle-ci est enfin entrée dans sa phase finale à l'Assemblée. Le 13 mai 2016, le Sénat a voté le projet de loi en deuxième lecture, après l'avoir amputé cependant d'un certain nombre de mesures fondamentales.
Voici une liste non exhaustive des reculs subis par le projet de loi lors de son second passage au Sénat : suppression de l'interdiction des insecticides néonicotinoïdes, suppression de la taxe sur l'huile de palme, restriction du cadre d'application des procédures en justice pour la défense de la nature, suppression de l'inscription du principe de non-régression de l'environnement dans la loi, suppression des espaces de continuités écologiques, suppression des zones prioritaires pour la biodiversité, suppression de l'interdiction de dragage des fonds marins dans les zones coralliennes.

Pour ne revenir que là-dessus, la suppression de l'interdiction des néonicotinoïdes, dont l'effet délétère sur les insectes pollinisateurs a pourtant été démontré, traduit une fois de plus notre propension à privilégier des avantages à court terme par rapport à une vision de long terme qui doit sous-tendre un tel projet de loi ; il n'y a pas de contradiction entre la protection de la biodiversité et la production alimentaire, la première étant essentielle à la seconde. Plus généralement, il faut arrêter de considérer l'environnementalisme comme une entrave au développement économique, mais plutôt le voir comme une condition sine qua non pour un avenir vivable.
Une commission mixte paritaire doit se réunir le 25 mai pour définir un compromis entre les deux chambres du Parlement. Signons cette pétition pour signifier clairement à cette commission et à l'Assemblée Nationale que les citoyens soutiennent une loi sur la biodiversité ambitieuse et effectivement exemplaire !

 

Mariée à 13 ans...

 

Un article du journal du BICE (bureau international catholique de l'enfant) - www.bice.org - m'a interpellée. Il concerne les filles de moins de 18 ans qui sont mariées sans leur consentement dans de nombreux pays du monde. D'après les chiffres donnés par l'Unicef, cela concernerait 37 000 filles entre 7 et 18 ans.

 

Ces mariages précoces sont certes traditionnels dans certaines régions. Ils permettent parfois aux parents de ces enfants de les mettre à l'abri de la misère et même parfois des trafics et des viols. C'est le cas en Syrie, en Jordanie, au Liban, mais aussi en Inde et dans certains pays d'Afrique. En effet, sur le continent africain, en raison d'une forte croissance démographique, les mariages précoces pourraient passer de 125 millions à 310 millions d'ici 2050.

 

Ces mariages exposent les filles mineures à des grossesses précoces, la mort en couche étant la 2ème cause de mortalité chez les jeunes filles de 15 à 19 ans dans le monde. Elever des enfants quand on est soi-même encore une enfant n'est pas évident: manque de soin aux nouveaux nés, malnutrition, problèmes psychologiques... Ces filles mineures quoi qu'il en soit ont été spoliées de leur part de jeunesse, d' années d'éducation et de formation professionnelle...

 

Certaines Associations comme le BICE choisissent d'aider matériellement les familles qui refusent de marier leurs filles mineures et leur font faire des études. Elles sensibilisent également peu à peu les populations aux situations difficiles engendrées par ces mariages précoces.

 

Dans notre pays, où la jeunesse dispose d'un niveau de protection des jeunes filles bien meilleur, beaucoup se plaignent néanmoins que tout ne soit pas parfait. En France, depuis 2006, l'âge minimum de mariage pour une fille est de 18 ans. Il peut donc être utile de réaliser que nous avons la chance de pouvoir choisir notre compagnon de vie, d'avoir ou non des enfants. De plus, ne pas oublier que l'éducation est un droit pour les filles comme pour les garçons en France.

Lyliane

 

21/05/2016

Info sur le Polyter prise sur www.in-agro.com/polyter...

 
 

POLYTER est un hydro-rétenteur fertilisant :

 

Il a un triple effet :       - stocker l'eau

- activer la croissance des plantes

- bonifier les sols

 

Il se présente sous forme de granulé sec.

 

Il s'agit d'un copolymère (chaine carbonée) qui bloque les molécules d'eau dans ses mailles sans réaction chimique.

 

Chaque granule va ainsi capter l'eau et se transformer en "nodule" de gelée jusqu'à 300 fois son volume initial.

 

Le POLYTER a un pouvoir d'absorption instantanée de l'eau tout à fait supérieur à tous les produits connus jusqu'à présent.

 

Ainsi l'eau d'arrosage ou de pluie est stockée au plus près des racines de la plante.


Les racines vont ensuite pousser au travers de ces "nodules" de gelée, qui se comportent comme un réservoir d’eau permanent par transfert osmotique des molécules d'eau.

Et aussi comme un garde-manger pour la plante car le POLYTER encapsule des éléments nutritifs : NPK et oligo-éléments.
 
Le POLYTER a un pouvoir de restitution à la plante tout à fait exceptionnel et inégalé sur le marché.
 
La plante résiste mieux aux fortes chaleurs avec ses racines qui restent hydratées.
 
Autre effet nouveau et exceptionnel :
Les nodules de Polyter sont réellement greffés aux racines et avancent dans le sol quand la racine s'allonge...
Ainsi les racines s'épanouissent largement et ne restent pas confinées dans la zone d'arrosage.
Quant aux arbres, leurs racines peuvent s'allonger sans risque jusqu'à atteindre la couche humide du sous-sol.

Résultat, la plante pousse en sécurité et libère tout son potentiel :

- elle pousse plus vite et plus haut,
- elle est plus solide grâce à une masse racinaire supérieure,
- sa production de fruits augmente jusqu'à +100 %,
- les taux de réussite en reforestation dépassent aisément les 80%...

Et tout cela avec 50% d'arrosage et 30% de fertilisants en moins.

POLYTER a été inventé et est fabriqué en France par son inventeur.
C'est un polymère qui a tous les agréments sanitaires et biologiques.

Il reste opérationnel dans le sol pendant 3 ans et est sans danger ni de manipulation, ni pour les plantes, ni pour les sols. Il est même biodégradable après 3 ans.

Il est particulièrement adapté pour :
- les plantations en zones arides (reforestations, haies vives ...)
- toutes productions maraichères ou fruitières pour sécuriser les récoltes et rentabiliser les cultures.

POLYTER c'est :

 

 

      un diamant vert dans vos sols ....

 

Pour commander, aller sur le sited'in-agro...

 

Le Pape interpelle les dirigeants européens à propos de leurs valeurs...

 

Dans un discours prononcé début mai pour la réception au Vatican du Prix Charlemagne – qui lui a été décerné par la ville d'Aix la Chapelle - le Pape François, nous dit le correspondant à Rome du Journal La Croix, a appelé l'Europe à retrouver avec le concours de l'Eglise, un nouvel humanisme.

 

Le Pape souhaite notamment «une Europe jeune, capable d'être encore mère, de prendre soin de l'enfant, de secourir comme un frère le pauvre et celui qui arrive en recherche d'accueil parce qu'il n'a plus rien et demande un refuge». Le Pape s'est adressé en italien à un parterre de membres de la Commission Européenne et de chefs d'Etats en les appelant à «une identité européenne, qui a toujours été une identité dynamique et multiculturelle, à un moment où l'arrivée de réfugiés sur les côtes européennes a provoqué la tentation d'un repli identitaire».

 

La phrase clé de son discours pourrait être l'interpellation suivante:«Que t'est-il arrivé, Europe humaniste, paladin des Droits de l'Homme?» En vantant, en effet, la grandeur de l'âme européenne née de la rencontre de civilisations et de peuples, le Pape François en a appelé à l'ouverture et au dialogue susceptibles «d'aider à regarder l'étranger, le migrant, celui qui appartient à une autre culture comme un sujet à écouter, considéré et apprécié».

 

Sans le dire expréssement, c'est aux valeurs chrétiennes que le Pape François a fait référence une fois de plus et nous ne pouvons que nous en réjouir, car il est dans son rôle d'éveil de nos consciences humaines.

De plus, notre temps a grand besoin de redécouvrir et de renforcer ses valeurs essentielles.

Lyliane

 

20/05/2016

Rapprochons nos enfants de la nature...

 

Le Journal La Croix du 11 mai 2016 fait paraître, sous la plume de Mme Emmanuelle Lucas, une chronique très complète montrant que nos enfants grandissent de plus en plus loin de la nature, en raison notamment de l'urbanisation et de la fascination des écrans.

 

Ce dossier fait référence à l'ouvrage récemment paru en France aux éditions Les Arènes du paléontologue américain Mr Scott D. Sampson, qui interpelle les parents citadins avec le titre de son livre: Comment élever un enfant sauvage en ville?

 

De nombreuses études montrent en effet que, dans les pays industrialisés, les enfants ne vont plus à pied à l'école et ne jouent plus dans les parcs, les cours ou les jardins. Selon l'Institut de veille sanitaire , ils passent en revanche environ 3h30 entre 4 et 14 ans les yeux rivés sur un écran. Le même constat a été fait en Amérique du Nord et dans les Pays scandinaves. D'où en conséquence: surpoids constaté, problèmes de vue et déficit d'attention.

 

Les neurosciences montrent cependant que le cerveau des jeunes a besoin de nature pour se développer et s'épanouir. Des solutions pourraient être mises en place et notamment par les parents en donnant l'exemple de sorties le week end, de plantations sur un balcon, de sport en famille. Car ce sont eux qui transmettent les valeurs à leurs enfants.

Sinon, il y a d'autres pistes: scoutisme, clubs nature, observation des animaux, orientation vers les métiers de jardinage, d'horticulture...

Au moment où, partout en France, des Fêtes de la Nature vont se dérouler du 18 au 22 mai 2016, c'est l'occasion de remettre les sorties et les métiers de la nature à l'honneur. Pour en savoir plus, consulter sur internet:www.fetedelanature.com, www.nature-en-famille.org, www.fcpn.org...

Lyliane

 

19/05/2016

Comment lancer une pétition sur Change.org

 

J'étais tellement impatiente de vous envoyer cet e-mail ... Cela fait des semaines que nous travaillons avec toute l'équipe de Change.org pour vous offrir quelque chose qui pourrait contribuer à changer votre vie et celle de vos concitoyens.

Je sais que vous n'avez jamais lancé de pétition sur notre site, peut-être parce que vous ne savez pas vraiment comment vous y prendre. Je comprends tout à fait, je pense que nous n'avions pas fait notre maximum pour vous permettre de vous sentir suffisamment préparé-e.

Parce que nous voulons que chaque personne qui utilise notre site se sente armé-e pour lancer une pétition et mette toutes les chances de son côté pour qu'elle aboutisse, nous lançons aujourd'hui le guide du lobbying citoyen.



Qu'est-ce que c'est ? Un espace conçu pour vous qui regroupe tous les conseils pour vous aider à mener votre campagne efficacement. Ce guide est basé sur l'expérience des personnes qui ont déjà lancé des pétitions avec succès sur notre site.

N'hésitez pas à le découvrir dès maintenant, et pourquoi pas à lancer votre première pétition !

A très bientôt et merci d'agir pour le changement,

Sarah et toute l'équipe de Change.org

Voulez-vous faire changer les choses ?
Lancez une pétition.


Cet e-mail a été envoyé par Change.org à lys06100@gmail.com. Vous pouvez modifier vos préférences de notifications d'e-mails ou vous désinscrire de ces e-mails.

Lancer une pétition   ·   Nous contacter   ·   Politique d'utilisation des données
Change.org   ·   548 Market St #29993, San Francisco, CA 94104-5401, USA

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Page Google+ associée
Photo du profil de Change.org
Change.org
Suivre
 
 

 

Prendre soin des enfants de réfugiés...

 

Je lis dans un article du Journal La Croix écrit par Mr Thomas Jacobi que certains citoyens grecs se mobilisent pour que «les enfants des migrants débarqués sur leur sol n'aient pas la peur pour compagne toute leur vie». Ces jeunes qui ont fui leur pays, qui ont subi des bombardements et des violences, ont en effet besoin d'un cadre sécurisant pour se reconstruire.

 

Entre janvier et avril 2016, on considère que 15 000 migrants sont arrivés en Grèce dont 40% d'enfants, certains non accompagnés. Des citoyens militants ont décidé de les accueillir dignement. A Athènes par exemple ils n'ont pas hésité à squatter l'hôtel Plazza, un bâtiment de 8 étages, pour y héberger 153 réfugiés dont 77 enfants. Ils se sont même mobilisés pour leur assurer 3 repas par jour. Des instituteurs viennent sur place donner des cours. Une salle de jeux et des pièces affectées aux enseignements permettent aux jeunes de retrouver une sorte de routine quotidienne. Car il importe qu'ils puissent au plus vite se forger un avenir...

 

La Grèce, qui souffre pourtant actuellement d'une crise économique et sociale sans précédent, donne une leçon de solidarité et de partage à nos pays européens plus favorisés. Nous aimerions que chez nous aussi un vaste élan généreux permettent à ces personnes, qui ont fui leur pays natal, de trouver une stabilité relative et un accueil plein d'humanité...

Lyliane

 

18/05/2016

Soleil, ami ou ennemi?

 

Comme l'écrit Mme C. Barruyer dans le journal gratuit Fémina,«toutes les études sur la dépression saisonnière montrent que le manque d'ensoleillement est lié à une série de symptômes: irritabilité, stress, fatigue, manque de concentration, troubles du sommeil»... Nous avons donc besoin du soleil pour garder le moral!

 

La lumière visible de l'astre solaire stimule en effet la rétine, qui va agir sur le cerveau et favoriser la production d'endorphines. Dans les pays nordiques où pendant de longues périodes le soleil ne brille pas, des lampes de luminothérapie compensent ce manque de luminosité. C'est le cas également pour traiter médicalement des dépressions sévères.

 

En outre, la majeure partie de la vitamine D est synthétisée par notre peau sous l'effet du soleil. La vitamine D joue un rôle essentiel dans la fixation du calcium, faute de quoi nous pourrions souffrir de rachitisme ou d'ostéoporose. Toutefois, des mises en garde sont faites par les dermatologues, car il s'avère que les UV (surtout ceux des cabines de bronzage) peuvent être cancérogènes pour la peau (mélanomes...)

 

Aussi, évitons de nous exposer au soleil aux heures les plus chaudes (entre 12h et 16h) et trop longuement, puisque 20 minutes sont suffisantes pour se recharger en vitamine D! Ne pas oublier de mettre de l'huile ou de la crème solaire et de porter un chapeau. Pour les enfants à la peau fragile, un indice de protection de 30 ou plus est conseillé ou alors leur laisser un T-Shirt. De plus, l'effet des UV sur la rétine et le cristallin est un facteur de risque supplémentaire. Il est donc recommandé de choisir des lunettes de soleil teintées (catégorie 3).

 

A l'approche de l'été, soyons attentifs à faire du soleil notre ami en prenant de sages précautions. Comme en toute chose, il s'agit de savoir doser et de tenir compte de la spécificité de chacun.

Lyliane

 

17/05/2016

Qui se soucie des migrants encore coincés entre l'Italie et la France?

 

 

Ces derniers mois, quelques journaux ont fait de gros titres avec les migrants de Calais. Mais qui parle des autres et notamment des 200 migrants au moins qui attendent en vain à Vintimille, depuis des mois, que la frontière entre l'Italie et la France s'ouvre pour eux.

 

Le journal Nice-Matin du 16/5/2016 s'est tout de même fait l'écho d'une manifestation la veille de ces migrants encadrés par des militants associatifs italiens et français. Leur colère était provoquée par la visite récente du Ministre de l'Intérieur italien «estimant qu'il n'y a plus de situation d'urgence». Ce dernier a, de ce fait, demandé la fermeture du Centre d'Accueil que tenait la Croix Rouge près de la gare. Les migrants présents, susceptibles de pouvoir déposer une demande d'asile, ont été conduits en bus jusqu'à Gênes.

 

Les manifestants ne comprennent pas pourquoi on les traite comme des parias, alors qu'ils ont fuit la guerre au péril de leur vie: frontière cadenassée, démantèlement de leurs abris, police omniprésente... Ils dénoncent la politique italienne qui a déjà évacué en catimini vers la Sicile par avion des migrants réfugiés là. Ceux qui restent vivent sous un pont de la Roya et réclament la liberté de circuler en Europe.

 

Nos pays européens, qui prônent les Droits de l'Homme, donnent une image peu reluisante de leur accueil des migrants. Que peuvent faire les citoyens que nous sommes, sinon saisir nos gouvernants, nos élus de cette question et les inciter à faire des propositions humaines, pour que par exemple en France chaque ville ou village prenne sa part de migrants et cherche à les accueillir dignement?

Lyliane

 

16/05/2016

Des innovations pour déconstruire les bateaux en fin de vie...

 

Certes la plupart d'entre nous ne possède pas de bateau de plaisance. Toutefois, nous pouvons tous nous réjouir d'apprendre que la question de la déconstruction de ces carcasses marines en fin de vie, phénomène qui touche toutes les côtes françaises, est en voie de résolution grâce à un nouveau dispositif législatif et à des sociétés innovantes.

 

J'apprends sous la plume de Mme L. Guidicelli dans le n° 3 du magazine Ressources que la durée moyenne de vie d'un bateau de plaisance est de 35 ans et qu'à l'heure actuelle on estime à 200 000 le nombre de bateaux hors d'usage. Jusqu'ici de nombreux propriétaires hésitaient à payer le coût d'une déconstruction, c'est à dire au minimum 1000 euros.

Quelques uns même préféraient couler leur navire dans une baie ou l'abandonner au gré des courants. Pollution visuelle et marine s'en suivait entre les hydrocarbures, les carcasses et les épaves...

 

Le nouveau dispositif voté en 2015 dans le cadre de la loi sur la transition énergétique sera effectif par un décret d'application au 1/1/2017. Il permettra d'assurer le financement de la filière grâce à une éco-participation sur les bateaux neufs vendus, ainsi qu'une quote-part sur le droit annuel de francisation et de navigation. Grâce à cette avancée du droit, les autorités maritimes pourront prononcer plus rapidement une déchéance de propriété et faire entreprendre des opérations de déconstruction.

 

Dans le même temps, une société D3E Paca basée à Bouc Bel Air (13) s'est investie sur le créneau: elle détruit de 1 à 3 bateaux par jour en les dépolluant et en récupérant tout ce qui peut être vendu ou réutilisé.

A Rochefort en outre, le Centre Régional d'innovation et de transfert de technologie (CRITT) a mis au point un brevet pour valoriser les polymères et les fibres de verre des coques de bateaux.

 

Bref voilà de bonnes nouvelles pour notre environnement et des mesures innovantes, afin de protéger nos fonds marins. Comme quoi l'impulse du domaine législatif peut avoir des retombées positives sur le monde de  l'entreprise!

Lyliane

 

15/05/2016

Pétition pour faire interdire le Glyphosate de Monsanto...

 

Nous sommes à l'aube d'un votre crucial sur l'interdiction du glyphosate en Europe et tous les espoirs reposent

sur le vote des Pays-Bas.

Dites au gouvernement des Pays-Bas de rester fidèle à ses principes et de s'opposer à la réautorisation

de ce pesticide cancérogène.   SIGNER LA PÉTITION

SIGNER LA PÉTITION

 

Etre illettré dans notre pays...

 

Il y a plus de 2,5 millions d'adultes illettrés en France, soit 7% de la population de 18 à 65 ans. Ces personnes sont pratiquement invisibles, car elles essayent de mener une vie normale malgré leur handicap. Un article de Mme M.H.Soenen dans le journal Télérama de cette semaine met en lumière le parcours de trois personnes illettrées, que nous pourrons voir à la télévision mardi sur France 2 à 22H35 lors de l'émission Infrarouge.

 

Il y a deux ans, le cinéaste Philippe Lagnier avait produit sur le sujet un documentaire pour la série télévisée 21 jours avec l'Association Mots et Merveilles dans le Nord de la France. Cette fois-ci, le réalisateur a choisi de nous donner des nouvelles de trois d'entre eux. Il a eu l'idée de leur confier une petite caméra pour que chacun devienne acteur et puisse dire «le rapport qu'il a avec lui-même, avec les autres et avec la vie».

 

Pendant un an et demi, Joëlle, Marie-Agnès et Thierry se sont ouverts. Ils nous font part de leurs blessures et de leurs espérances. Certes, ils commencent à acquérir des techniques d'écriture et de lecture et cela leur redonne confiance et estime de soi. Des progrès sont en effet tangibles. Néanmoins, leur combat n'est pas encore gagné! Ils se reconstruisent peu à peu, tout en gardant des traumatismes liés à leur passé.

 

Nous pouvons remercier tous les bénévoles dans notre pays qui donnent de leur temps au sein d'associations, afin que ces personnes puissent prendre en main leur quotidien. Et félicitation au réalisateur qui leur donne visibilité et parole!

Lyliane

 

14/05/2016

Devenez passeur ou passeuse de livres!

 

Vous aimez un livre, une BD? Déposez les sur un banc ou mieux sur un siège dans un train, un autobus, un tramway, dans une cabine téléphonique ou même sur le canapé d'un magasin de meubles. Des personnes aimant les énigmes peuvent laisser des coordonnées GPS d'un roman qu'elles ont soigneusement caché et qu'il convient de dénicher.

Des magasins, des mairies ont même crée des arbres aux livres accessibles à grands ou petits, où chacun peut déposer et commenter des œuvres. Lorsqu'un lecteur prendra un ouvrage, il pourra vous en donner des nouvelles s'il en a envie sur le site bookcrossing. cf www.bookcrossing.com.

 

Selon un article de Mr J.P. Reymond dans Notre Temps, c'est l'américain Ron Hornbaker qui eut l'idée d'offrir une nouvelle vie aux livres et de suivre leur périgrination à travers le monde. Pouur ce faire, il a crée le site bookcrossing. Il donne un numéro unique pour chaque livre relâché avec le lieu de l'abandon, des commentaires éventuels et l'adresse du site avec un mot de bienvenue.

 

A ce jour, on compte plus d'un million de personnes devenues passeuses de livres dans 132 pays pour 11 millions d'ouvrages. C'est dire le succès de l'opération! A Paris, quinze arrondissements ont adopté Circul'Livre cf

circul-livre.blogspirit.com, site convivial et gratuit, où il est possible de se donner RV pour échanger ses «coups de coeur». Qui avait dit que la culture coûtait cher et était affaire d'intellectuels?

Lyliane

 

13/05/2016

Réflexe prévention...

 

Il arrive qu'on se décide à faire de l'exercice sans aucune préparation. Des amis nous y invitent ou bien c'est un article lu dans une revue qui nous fait prendre conscience que nous sommes prisonniers d'une sorte de sédentarité. Toutefois, afin d'éviter courbatures, crampes ou claquages, il faut savoir, avant et après l'effort, étirer nos muscles par quelques mouvements simples.

 

Il est possible également, avant d'aller faire du sport, de masser ses membres avec un mélange d'huiles essentielles de genévrier ou de lavandin mis dans une cuillère à soupe d'huile d'amande douce. Appliquées en légers massages sur les bras et les jambes,ces huiles magiques parfument, décontractent et diminuent les risques de blessures.

 

Notre corps en effet demande de la douceur et il s'agit de bouger avec discernement. En toute occasion préférons des gestes préventifs plutôt que d'avoir à soigner tendinite ou autre contusions en ayant voulu dépasser nos limites...

Lyliane

 

12/05/2016

Ouvrons nos écoles!

 

C'est la proposition écrite par la journaliste Mme Juliette Bénabent et présentée cette semaine dans le journal Télérama. Cette initiative émane de plus de 500 enseignants et élèves des grandes écoles et universités, chercheurs, intellectuels et artistes français, qui ont fait paraître un article dans le Journal Libération du 3 mai dernier. cf www.resome.org

 

L'appel s'intitulait: ils ferment les frontières, ouvrons nos écoles! Cet article en faveur des étudiants migrants et exilés ne provient nullement, comme on pourrait s'y attendre, d'un Ministre de l'Education Nationale ou de l'Enseignement Supérieur... Il provient de membres de la société civile. Cela fait réfléchir!

 

Dès la rentrée 2015, Normale Sup avait déja ouvert ses portes avec un programme étudiant(e)-invité(e) à une trentaine d'élèves. Cela a inspiré d'autres grandes écoles cette année, puisque l'Ehess, les Universités Paris 8 et Paris 10, l'Institut ParisAgrotech... ont crée des filières réservées aux migrants, quel que soit leur statut juridique et leur parcours. Ces filières sont centrées sur l'apprentissage du français. Ces écoles appellent à une multiplication de telles initiatives partout dans notre pays. J'espère qu'elles seront entendues!

 

Ainsi, après les cinéastes de l'Appel de Calais, après Médecins sans Frontières qui a financé un camp de réfugiés à Grande Synthe, des enseignants et des étudiants font preuve de solidarité, afin de permettre à des migrants de poursuivre leurs études, de comprendre et de pouvoir parler la langue française.

N'oublions pas de rappeler à nos élus que la scolarisation est un droit pour tous les jeunes dans notre pays et un devoir d'y recourir pour l'Etat...

Lyliane

 

11/05/2016

Le Secours Catholique en marche...

 

J'apprends par le Journal Messages du Secours Catholique – Caritas France de mai 2016 que, pour son 70 ème anniversaire, l'organisation «se met en marche». En effet, aux quatre coins de la France, ses équipes organisent à partir du 2 avril et jusqu'à la fin juin 2016 des marches fraternelles avec des soirées étapes, afin de rencontrer les citoyens. Le mot d'ordre des équipes de marcheurs, qu'ils soient bénévoles, donateurs ou bénéficiaires, est:«pas à pas, mais pas sans toi».

 

A Paris par exemple, le 28 mai, un rassemblement régional réunira 8000 personnes au Parc André Citrën (15ème arrondissement). En Provence-Alpes-Côte d'Azur, les animations et marches ont lieu du 17 avril au 28 mai. Pour connaître le programme en régions, consultez le site: www.secours-catholique.org. Sur les réseaux sociaux, Facebook et Twitter, on peut joindre le Secours Catholique également: (twitter.com/caritasfrance et www.facebook.com/Secours.Catholique.Caritas.france)

 

Ce qu'on ne sait pas toujours et que le journal met en lumière est que le Secours Catholique - Caritas France intervient non seulement dans notre pays pour aider les plus démunis, mais également à l'étranger (sinistrés du Pô en 1951, raz de marée aux Pays-Bas, famine au Biafra, tsunami en Asie en 2004...) En effet, notamment grâce à sa fondation Caritas France, l'organisation finance des projets et collecte des fonds auprès de donateurs.

 

Un ouvrage de Mr F. Mabille, sociologue, retraçant les 70 ans de combats, d'obstacles et de victoires du Secours Catholique va paraître prochainement aux éditions du Cerf. De même, l'aumonier général du Secours Catholique - Caritas France, Mr Dominique Fontaine, a fait paraître en avril dernier aux éditions de l'Atelier un livre dont le titre est: «L'évangile entre toutes les mains». Cet ouvrage relate notamment l'aventure de 25 groupes de parole soutenus par l'Association.

Lyliane