Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/09/2018

Mobilisons-nous pour préparer l'hiver 2018/2019...

Le petit journal " Agir maintenant " de la Fondation de l'Armée du Salut nous informe qu'en 2017, 403 personnes sans abri sont mortes dans la rue, dont la plus grande partie en hiver. Elles sont mortes de faim, de froid ou d'épuisement. Dans un pays comme la France, où nous avons presque tous la chance d'avoir un toit et de manger à notre faim, ce bilan est insupportable. Pourtant, chaque année, les associations et les pouvoirs publics se mobilisent pour ouvrir des centres d'hébergement d'urgence. L'an passé, il y aurait eu 400 nouvelles places crées, en plus des 5000 existantes. Partout, à Paris comme à Lyon, Reims, Metz ou Belfort, régions où l'hiver est rigoureux, des chambres sont réservées dans des hôtels ou des auberges de jeunesse pour accueillir femmes, hommes ou enfants.

Le journal signale toutefois qu'"aujourd'hui  il y a une multitude de populations différentes dans la rue: des enfants seuls, des femmes avec ou sans enfants, des personnes ayant un travail et même des personnes âgées". Il est expliqué aussi que 22% des femmes sans abri accueillies se plaignent de l'insécurité et de leur angoisse de vivre dehors sans espoir de réinsertion. Aussi, nous devons nous adapter à cette situation et réaliser que plus les solutions qui leur sont offertes sont durables, plus ces personnes auront des chances de s'en sortir.

La Fondation de l'Armée du Salut nous demande de trouver rapidement de nouveaux lieux pour accueillir les plus démunis, de recruter des bénévoles et de stocker de la nourriture non périssable à distribuer. Tous ceux qui ont des draps, des couvertures, des produits d'hygiène sont engagés à se faire connaître de l'Armée du Salut pour préparer l'accueil de cet hiver. Des dons seront bienvenus pour aider toutes les personnes en difficulté dormant dehors par des températures très basses.

Pour tout cela et pour faire un don, joindre cette association internationale reconnue d'utilité publique qui compte à ce jour 5800 bénévoles et salariés engagés sur le terrain. Comme les bénévoles des Restos du cœur, de la Croix Rouge, du Secours Catholique, du Secours populaire, d'Emmaüs et de tant d'autres œuvres tournées vers les personnes au statut précaire, ouvrons notre cœur et permettons à des sans abri de subsister dignement dans notre pays. Leur adresse: Fondation de l'Armée du Salut - 60 rue des Frères- Flavien-75976-Paris Cédex 20 ou www.armeedusalut.fr.

Lyliane

Rehabiliter le liège de Provence en France...

Dans le supplément de Nice Matin "Nous", un article de Mme Aurélia Laborsa nous apprend que le liège, matériau 100% recyclable et renouvelable, bien qu'il ait  longtemps été considéré comme le premier secteur de l'économie varoise, avait perdu depuis les années 1950 le soutien des producteurs de vin comme du grand public. Pourtant, dans le Var (83) 50 000 hectares de la surface forestière sont occupés par des chênes - liège. C'est en effet la première région productrice devant la Corse et les Pyrénées Orientales. Aujourd'hui, le liège fait un retour remarqué dans le Var.

En fait, depuis qu'un producteur de bouchons Diam Bouchage s'est à nouveau intéressé au liège de Provence, les acteurs de la filière viticole et sylvicole se sont réveillés. Ils ont même relancé une formation de "leveurs de liège". Les qualités propres au liège ne manquent pas: c'est un bon isolant thermique et acoustique et il est apprécié par les designers et les constructeurs. Il est de plus imperméable, imputrescible, léger et il résisterait bien aux incendies. Les forêts de chênes - liège  sont reconnues comme un milieu propice à la biodiversité. En effet, ces arbres, dont les forêts se nomment des suberaies, captent deux fois plus de CO2 que les autres. Au Portugal, où son exploitation n'a jamais cessé, les arbres exploités absorberaient 2,5 à 4 fois plus de CO2 qu'un spécimen non exploité...

Des viticulteurs et de grands noms de caves varoises comme Estandon auraient fait depuis 2015  le choix du liège avec des bouchons "made in France". L'investissement  est certes plus élevé mais ils soutiennent la démarche locale et respectueuse de l'environnement. Deux firmes Diam Bouchage et ASL Suberaie se partagent le marché des bouchons. Le liège de Provence recommence de ce fait à être connu et apprécié! Les consommateurs comprennent la démarche et pour la plupart jouent le jeu.

Pour en savoir plus, consulter sur Internet: fransylva-paca.fr/wp/le-chene-liege-et-les-suberaies.

Lyliane

04/09/2018

Des tabliers qui osent se montrer...

Un styliste designer, Mr Mali Soulé et un professionnel du textile, Mr Théodore Giorgi ont crée, il y a un an, à Monaco la marque Saint Honoré, qui "entend donner ses titres de noblesse au tablier de cuisine", écrit Mme Aurore Harrouis dans la revue "Nous". Le créateur a imaginé 11 modèles depuis le tablier esprit bistrot jusqu'au tablier de cuir en passant par les imprimés ou les tabliers à rayures. Ces modèles s'adressent autant aux professionnels qu'aux particuliers.

Le nom Saint Honoré fait désormais référence dans le monde du textile. Dans leur showroom de Fontvieille aux murs et aux détails rétro, les modèles sont présentés comme des pièces de haute couture. Les tabliers en tissu sont fabriqués au Maroc, mais celui en cuir est fabriqué en France. Les modèles originaux ont déjà séduit la clientèle des enseignes du Sud de la France pour habiller serveurs et cuisiniers. Le marché américain sera la prochaine cible envisagée...

Les prix pour les particuliers s'étagent entre 73 et 123 euros selon les modèles qui se caractérisent tous par des détails soignés. Pour les professionnels, des tarifs leur sont adressés sur demande. Voilà donc une innovation réussie qui pense le tablier comme un accessoire chic et qui renouvelle le concept. Bravo à nos créateurs associés, capables en peu de temps de percer dans le monde du textile!

Tous renseignements sur le site: www.sainthonoremonaco.com.

Lyliane

01/09/2018

Un chantier d'insertion sur l'île de Porquerolles!

Mme Amandine Roussel est allée interviewer Mr Nicolas Cayon, maraîcher sur l'île de Porquerolles (83), qui encadre un chantier d'insertion sur 2 hectares. En 2014, l'Association de Sauvegarde des Forêts varoises, sollicitée par le Parc National de Port Cros a lancé un chantier d'insertion arboricole du nom de Les Copains. Puis, ils ont élargi Les Copains au maraîchage et ils font pousser fruits et légumes bios et de saison. En tout 96 salariés sous contrat sont déjà passés par Porquerolles.  L'équipe de jeunes ou moins jeunes (entre 18 et 60 ans) vend depuis 2017 la production directement sur place avec un petit marché les mardis, jeudis et vendredis de 10H à 13H.

L'objectif principal de ces chantiers est de remettre des personnes en rupture professionnelle sur le chemin de l'emploi. En effet, certains auront envie de continuer après leur contrat, car ils auront acquis une formation. Cela coûte certes de l'argent et pour le moment cette initiative n'est pas "rentable". Aussi, des partenaires sont activement recherchés par l'Association. Il y a déjà des membres bienfaiteurs qui financent cette initiative varoise (L'Occitane, Pierre et Vacances…), mais des particuliers peuvent également faire des dons, qui seront défiscalisés.

Pour cela, s'adresser à www.copainsporquerolles.fr.

Lyliane

 

31/08/2018

Une association niçoise nommée Terre Bleue a les pouces verts...

Mme Gaëlle Belda, journaliste pour la revue "Nous", supplément à Nice - Matin, a interviewé Mme Hélène Granouillac, Présidente de l'association Terre Bleue, au sujet de "l'Opération Permis de planter" lancée récemment à Nice. Il s'agit en fait de mettre en relation des personnes habitant un appartement mais désirant jardiner et des propriétaires choisissant de confier leur terrain à l'association, car ils n'ont pas le temps, ni l'énergie de cultiver. Cette initiative a démarré tout d'abord dans le quartier de Cimiez, puis à l'Ouest de la ville.

Il existe déjà des jardins partagés dans la région comme un peu partout en France. Mais là le projet paraît plus vaste, c'est "comme un réseau social végétal" dit Mme Granouillac! Les jardiniers amateurs cultivent et gèrent leur terrain prêté comme ils l'entendent. Toutefois, ils doivent signer une convention en tant que jardiniers citoyens avec les coordinateurs référents de l'Association. Ces derniers restent en effet à disposition pour des questions pratiques et techniques.

Pour connaître plus précisément cette initiative, joindre sur Internet: www.terrebleue.org ou téléphoner au 06 61 48 73 50. Des e-mails peuvent également être envoyés à terrebleue2@wanadoo.fr.

Lyliane

30/08/2018

Améliorer sa santé avec des soins esséniens, pourquoi pas?

Dans la revue Nous, supplément à Nice-Matin, Mme Gaëlle Belda publie son interview de Mme Sylvie Gardon, qui depuis 2016 pratique par intermittence des soins esséniens à Cagnes sur mer (06). Les Esséniens étaient une communauté d'ascètes, volontairement pauvres, qui existaient déjà du temps de Jésus. Ils prodiguaient des soins, dont le secret est resté longtemps méconnu.  Il s'agit essentiellement de raviver les énergies de guérison de la personne qui consulte.

C'est Mme Anne Givaudan qui a fait connaître en Europe cette ancienne médecine holistique que sont les soins esséniens. Elle est l'auteure de plusieurs ouvrages et travaille notamment sur la question de la vie après la mort. C'est ainsi que Mme Gardon, qui était "accompagnatrice en fin de vie" a entendu parler de ces soins. Dès 2014, elle s'est formée auprès d'une collaboratrice de Mme Givaudan. Bluffée par leur efficacité, elle a décidé d'en faire sa profession, à côté d'un autre emploi...

Familiarisée avec le Reiki, le Tarot et les Fleurs de Bach, Mme Gardon travaille au-dessus du corps des personnes venues vers elle, la plupart du temps presque sans les toucher. En effet, après avoir discuté pour comprendre le besoin de la patiente (problème de sommeil, fatigue, stress, dépression, grossesse…), tout en activant des points énergétiques (chakras et sous chakras), elle peut émettre  un son. Elle se concentre pendant près d'une heure (après avoir allumé une bougie) sur ces soins qui relèvent à la fois d'une philosophie, d'une technique énergétique et spirituelle.

Pour en savoir plus sur les soins esséniens pratiqués par Mme Gardon, voir sur Facebook: un pas vers soi, ou adresser un mail à : smj.gardon@gmail.com ou même la joindre par téléphone au 06 18 41 71 15. Il est aussi possible de lire des ouvrages de Mme Givaudan ou de consulter son site Internet: www.infosois.fr/home/15-lecture-d-auras-et-soins-esseniens-9782951467415.html

Sinon, le docteur Paul Alimi témoigne dans Alternative Santé de mars 2018.que c'est "une médecine de l'humain,

où les mots et la parole pour changer les formes pensées toxiques revêtent une grande importance"'.

Lyliane

 

29/08/2018

Pour déambuler en toute sécurité...

Dans le journal Nice-Matin, Mme Mathilde Frénols nous qu'un chercheur de Sophia-Antipolis, Mr Jean-Pierre Merlet, crée des aides pour personnes âgées, notamment des cannes et des déambulateurs intelligents. En effet, ce chercheur a crée au sein de l'INRIA (Institut national de recherche dédié au numérique) "un déambulateur communicant", qui a déjà été testé auprès de personnes âgées et handicapées. C'est une invention très utile, car il faut savoir que chaque année 10 000 personnes meurent de la conséquence directe d'une chute.

Quand on souffre d'une perte de mobilité, par exemple le déambulateur est une aide précieuse pour circuler. Avec ses capteurs, cet instrument est capable d'indiquer au médecin le nombre de pas, la vitesse, les écarts de trajectoire de la personne pendant sa marche. Il est même susceptible de pouvoir indiquer si son propriétaire fait une chute et d'appeler les proches de la personne âgée.

L'objectif de cette invention robotique n'est certes pas de remplacer le personnel d'aide à la personne. Cette solution permet davantage d'autonomie et cela reste d'un prix abordable puisque cet accessoire ne coûte que 50 euros. Elle libère en fait les aides d'une surveillance de tous les instants.

Mr Merlet travaille également depuis de nombreuses années sur des solutions robotiques et d'autres outils du quotidien pour les personnes âgées. Par exemple, il a mis au point des capteurs qu'il essaie d'intégrer à un vêtement, afin d'indiquer si la personne est en position verticale ou horizontale. Il travaille aussi sur une canne munie de leds. La commercialisation de ses innovations reste un souci pour lui, car il note un vide juridique sur la responsabilité  et que l'industrie reste prudente…

Espérons cependant que banques et industriels prendront la mesure de l'utilité de ces outils permettant à tous nos aînés de déambuler en toute sécurité. Merci quoi qu'il en soit à ce chercheur de son investissement en faveur des personnes fragilisées par l'âge ou la maladie! 

Pour en savoir davantage, consulter le site de Mr Merlet: www-sop.inria.fr/members/Jean-Pierre.Merlet/merlet.html

Lyliane

 

28/08/2018

S'installer dans une maison en bois: mode d'emploi...

 
De nombreux retraités rêvent de s'installer à l'année dans ces jolies résidences nomades tout équipées, bien moins onéreuses qu'une maison.

• La réglementation est stricte 

- Si vous installez votre mobile home sur un terrain privé:
- Le terrain doit être constructible. Vous devez obtenir de la mairie un permis de construire (ou faire une déclaration de travaux en dessous de 40m2) et bien sûr organiser tous les raccordements (eau, électricité...). À ces conditions, vous pouvez établir votre résidence principale dans le mobile home. 

- "Mais il est très rare qu’une mairie accorde un permis de construire pour un mobile home, qui se dégrade plus rapidement qu’une vraie maison", observe Sylvie Henry, présidente de l’Unaparel (Union nationale des campings et des parcs résidentiels de loisirs). 

- Par exception, si vous construisez votre future maison, vous pouvez vivre à côté, dans un mobile home, le temps nécessaire pour le chantier, si le plan local d’urbanisme ne l’interdit pas. Renseignez-vous à la mairie. 

- Il est interdit d’installer un mobile home durablement sur un terrain privé non constructible. Les autorités (mairie, préfecture...) sont en droit de vous expulser. Mais certaines municipalités le tolèrent. 

- Si vous optez pour un camping:
- Vous louez un emplacement à l’année pour y placer le mobile home, mais il est interdit d’en faire votre résidence principale et d’y vivre à demeure. Cela dit, de nombreux campings ferment l’hiver: l’eau et l’électricité sont coupées. Il ne faut donc pas espérer y séjourner hors saison. 

- Certains propriétaires de mobile homes le font pourtant parfois, avec l’accord du gérant du camping, qui souvent peinerait à le remplir autrement, même à la belle saison. Les structures qui acceptent ces pratiques en marge de la loi sont donc rarement situées dans les endroits touristiques. 

- Les autorités peuvent prendre des sanctions pour obliger le camping à cesser cette forme d’occupation. "Mais certaines municipalités ne sont pas hostiles à ces solutions qui permettent à la commune d’accueillir de nouveaux habitants, ou de loger des personnes aux revenus modestes", relève Anne-Sophie Bichut, créatrice des Logis d’Anne-Sophie, société commercialisant des mobile homes. "Certaines accordent des autorisations."

- Certains occupants parviennent à se faire domicilier dans le camping et y ont même leur boîte aux lettres. D’autres donnent l’adresse de leurs enfants ou d’amis, ou reçoivent leur courrier en poste restante. 

- Si vous préférez un parc résidentiel de loisirs (PRL):
- Environ 300 PRL en France permettent d’acheter une parcelle d’au moins 200m2 sur laquelle il est possible d’installer un mobile home (plus d’infos sur www.guidedumobil-home.com). 

- Mais, comme dans les campings, il est interdit d’y vivre toute l’année. Vous devez avoir votre résidence principale ailleurs. 

• Le budget peut être plus important qu'imaginé 

- Un mobile home neuf coûte entre 25000 et 70 000€. Il est possible d’en acheter un d’occasion, mais choisissez-le récent et solide car les campings obligent parfois les propriétaires d’installations trop vétustes à les remplacer par de nouveaux modèles.

A lire aussi: 
Louer sa résidence secondaire: un bon plan?

- Dans un camping, vous acquittez la redevance annuelle (le loyer pour la location de la parcelle): "Entre 1500 et 5000€ par an en général, mais parfois davantage", précise Fabienne Yobé, directrice générale de la Fédération des campeurs, caravaniers et camping-caristes. Selon les cas, l’eau et d’électricité sont comprises dans le forfait, ou s’ajoutent au loyer en fonction de votre consommation, mesurée par des compteurs.

- Certains campings imposent des droits d’entrée (de 1000 à 10000€) lors de votre arrivée. "Si aucun service n’est offert en contrepartie, c’est une clause abusive mais courante. Ces pratiques sont rarement indiquées dans le contrat de location car illégales. Certains gérants de camping imposent même un droit de sortie", constate Gérard Frasnay, président de l’association Familles rurales Mobil-homes.

 
 
 

- Si vous achetez une parcelle dans un PRL (entre 20000 et 120000€, selon les prestations et l’emplacement), vous devez en plus régler les charges liées à l’entretien des espaces verts, des aires de jeux et des voies d’accès. Comptez plusieurs milliers d’euros par an. 

 

• Les litiges avec les campings sont nombreux 

- Vous signez avec le gérant un contrat d’une durée maximale de deux ans. Mais, en pratique, il est souvent renouvelable chaque année. À chaque renouvellement, le gestionnaire est libre de modifier les tarifs et les règles d’utilisation.

- De nombreux propriétaires de mobile homes protestent parce que les redevances sur le camping explosent. "L’obligation d’acheter sur place tout le matériel d’équipement annexe (terrasses, cabanons...), l’interdiction de prêter ou de louer son mobile home à un tiers ou le non-renouvellement du bail sans motif légitime sont des clauses abusives que pratiquent certains campings", prévient Gérard Frasnay. 

• Des impôts quand même 

- Côté taxe d’habitation, en principe, les propriétaires de mobile homes installés dans un camping ne la paient pas (ils sont redevables de la taxe de séjour). Elle est pourtant parfois réclamée à ceux qui se sont illégalement installés à l’année et se domicilient là.

- La taxe foncière est à régler dans les PRL, si vous êtes propriétaire d’une parcelle, mais pas dans les campings, puisque l’emplacement ne vous appartient pas.

- Si le mobile home est installé légalement sur un terrain constructible, les impôts locaux sont identiques à ceux d’une maison. 

• Avant d'acheter  

Commencez par trouver l’emplacement sur lequel vous l’installerez. Les concessionnaires de mobile homes peuvent vous y aider. Le gestionnaire du camping vous imposera en général de passer par son intermédiaire pour acheter un modèle conforme au cahier des charges du camping, car il perçoit sa commission au passage. 

• Assurances ou pas?

En cas d’incendie, par exemple, même si une assurance avait pu être souscrite par le propriétaire, l’assureur risque de refuser toute indemnisation s’il peut prouver que le mobile home était illégalement occupé à l’année. 

d'après le Journal Notre Temps...

Spiruline, est-ce la ruée vers l'or vert!

Un article datant de novembre 2015 de la revue Terra Eco fait la part belle à une algue aux multiples propriétés: la spiruline. Mr Simon Barthélémy en effet montre l'engouement des agriculteurs comme des consommateurs pour ce concentré de vitamines, de protéines, d'oligo-éléments et de minéraux. Ce serait apparemment l'un des plus anciens êtres vivants de la planète, qui était déjà consommé par les Aztèques au Mexique et les Kanembous au Tchad.

La spiruline aurait été découverte par des humanitaires occidentaux en 1960. En paillettes, mélangée à des aliments ou en comprimés, elle est entrée alors dans le régime des végétariens en tant que protéine végétale. Aujourd'hui, son public s'est élargi: grands sportifs, personnes âgées, malades… Sa couleur bleu/vert provient de la phycocyanine, un pigment qui compose la spiruline. Cette algue unicellulaire se développe seule dans des bassins et une fois récoltée d'avril à septembre, la pâte est ensuite mise à sécher dans des fours solaires ou en plein air.

Mme Diane de Jouvenel, déléguée générale d'Antenna France, œuvre notamment à la diffusion de solutions techniques, dont la production de spiruline dans 30 pays pauvres. Pendant longtemps, Mr  Philippe Calamand a été le seul producteur dans l'hexagone (Hérault). Il a notamment  avec un biochimiste suisse monté une ferme à spiruline en Equateur. Il continue à faire des formations en Afrique et en Asie. Car, étant donné qu'elle n'est pas très gourmande en eau, la spiruline peut se cultiver sans gasoil ni électricité et équilibrer des régimes alimentaires carencés. Chez nous son prix a grimpé et la spiruline est vendue comme "complément alimentaire". Chaque année de nouvelles fermes se créent et attirent un public d'agriculteurs spiruliniers souhaitant se diversifier…

Pour aller plus loin sur ce sujet, consulter les sites www.spirulinelacapitelle.com, www.spiruliniers-defrance.fr ou même www.antennafrance.org.

Lyliane

27/08/2018

L'impact des ondes sur notre santé...selon Résistance Verte.

L’IMPACT DES ONDES SUR LA SANTÉ

Publié le par Résistance verte

Dans un magistral petit ouvrage de 128 pages, Carl de Miranda, polytechnicien et ingénieur en électricité, explique l’impact des ondes sur la santé et propose des stratégies pour s’en protéger.

Oui, les champs électromagnétiques ont un effet sur l’organisme. Au-delà de certains niveaux d’exposition, on constate des effets biologiques immédiats et flagrants. Oui, de nombreuses études établissent des liens entre les ondes électromagnétiques et certaines pathologies, parfois graves. Oui, les fœtus, les nouveau-nés, les jeunes enfants sont potentiellement plus affectés par les ondes. Oui, certaines personnes, dites électrosensibles, déclarent souffrir quand elles sont exposées aux ondes. Mais que nous ressentions ou non les symptômes, nous sommes tous potentiellement affectés et pouvons un jour développer des pathologies.

Ce constat, Carl de Miranda le fait dans un opuscule titré Réduire les ondes électromagnétiques, c’est parti. Son ouvrage est le résultat d’une infatigable analyse de la quasi-totalité des études disponibles sur le sujet. Et qui de mieux placé qu’un diplômé de l’École polytechnique et de l’École supérieure d’électricité pouvait le rédiger ?

Une approche très didactique, compréhensible par tous

Une première partie de l’ouvrage est consacrée à la compréhension de ce que sont les ondes, à leur omniprésence dans notre environnement, à ce que sait la science de la microélectricité biologique. C’est expliqué dans une approche très didactique, courte et compréhensible par tous.

L’auteur, qui est un esprit libre, nous explique ensuite les mécanismes de la controverse sur l’effet des ondes. Il nous invite notamment à repenser à d’autres controverses, comme celles qui ont eu lieu autour du tabac, du réchauffement climatique, des pesticides, de l’amiante…

Vient ensuite l’essentiel de l’ouvrage : comment nous protéger de tout ce bazar électromagnétique ? L’auteur ne se cantonne pas aux ondes de hautes fréquences (la téléphonie mobile, le wifi, les téléphones sans fil d’appartement, les appareils Bluetooth…) mais également aux champs électriques émis par des objets courants, par exemple l’éclairage sur votre table de chevet, l’ordinateur sur vos genoux, la télévision devant laquelle s’allongent vos enfants.

La crédibilité du polytechnicien, la connaissance intime qu’a l’ingénieur des phénomènes électriques permettent la concision et un propos accessible à tous. Voilà un magistral marchepied à tous ceux qui s’intéressent au sujet. Il instille à son lecteur les bons réflexes, et les moyens de naviguer dans l’information (ou la désinformation) à sa disposition par ailleurs.

Pour en savoir davantage, consulter Internet sur :

https://reporterre.net/Un-precis-scientifique-magistral-e...

24/08/2018

Pourquoi ne pas adopter un château?

A l'heure actuelle, on se mobilise pour sauver le patrimoine français. Un loto du patrimoine a, en effet, été lancé par Mr Stéphane Bern pour le 15/9/2018, afin de financer sur la part des taxes de l'Etat (25% environ) un fonds du patrimoine en péril. Actuellement on estime qu'il y aurait 11 000 châteaux à sauver dans notre pays. Mais, à côté de ce loto, il y a d'autres initiatives, dont celle d'une Association loi de 1901 nommée "adopte un château" qui œuvre depuis 2015 et aurait déjà contribué à sortir de l'anonymat 4 châteaux de notre patrimoine. Pour tout renseignement sur le financement participatif du projet actuel dans la Vienne à La Mothe-Chandeniers, consulter: https://dartagnans.fr/fr/projects/et-si-on-adoptait-un-chateau/campaign

L'émission "La quotidienne" sur la 5 ème chaîne de télévision s'est emparée du sujet. Le 9/8/2018, elle a notamment expliqué la différence entre un château classé Monument Historique, dont l'Etat se doit de veiller à l'entretien et un château de 2ème catégorie simplement inscrit à l'Inventaire des Monuments Historiques, où une aide peut être accordée aux propriétaires pour une réfection. Dans tous les autres cas, l'association "adopte un château" comble le vide et permet, sur un site dédié, à de nombreuses personnes de verser de l'argent. Dans la Vienne, l'achat du château (500 000 euros) a été financé grâce à ce système. Les co-propriétaires ne sont pas obligés ensuite de financer les travaux de réfection nécessaires.

D'autres formules existent, notamment pour chercher à rentabiliser la réfection des bâtiments, par exemple grâce à des collectivités territoriales, des investisseurs privés ou des particuliers qui choisissent de transformer les lieux en hôtels de luxe, en musées ou en galeries d'exposition. Mais, si le patrimoine est classé Monument Historique, les propriétaires se doivent de conserver au moins les murs, les rosaces et les vitraux. Pour sauver des lieux de culte comme des chapelles, des monastères désaffectés et des cathédrales, d'autres initiatives locales restent à trouver...

Pour contacter des concepteurs de tous types de projets visant à sauvegarder le patrimoine français, il est conseillé d'aller voir le site www.adopteunchateau.com ou d'écrire à : Adopte un château, 34, Place du grenier à sel- 89310- NOYERS.

Lyliane

 

 

 

 

 

23/08/2018

Les cosmétiques maison, des recettes simples à préparer en famille...

Dans le supplément à Nice-Matin "Nous", Mme Constance Rivier, professionnelle de l'accompagnement au changement, interviewée par Mme Aurore Harrouis, nous livre quelques-unes de ses recettes pour fabriquer soi-même ses crèmes, déodorants, gommages… Il s'agit, en effet, de trouver des alternatives naturelles, plus saines pour la santé et l'environnement. Cela permet également de réduire son budget beauté. Il y a 10 ans, Mme Rivier, coordonnatrice de la démarche zéro déchet, a pris conscience du danger des parabens. Depuis, elle anime au sein du syndicat Univalom des communautés d'agglo Sophia Antipolis, Pays de Lérins et de Grasse (06) des "ateliers cosmétiques maison" et donne des recettes simples à base d'huile végétale, d'hydrolat, d'argile blanche, de bicarbonate et d'aloé véra.

Pour une peau sèche, Mme Rivier préconise l'huile d'argan, de tournesol, de coco, d'avocat ou d'amande douce. Elle conseille pour les peaux grasses de l'huile de jojoba, de noisette ou d'olive. Pour les peaux dites normales, l'huile d'amande douce est particulièrement indiquée. Préférer le savon solide au gel douche, le vinaigre de cidre à l'après-shampoing dans le même état d'esprit de réduction des emballages et de promotion des produits sains et naturels. Un gommage du corps par exemple peut s'obtenir avec du marc de café appliqué en mouvements circulaires. Pour une crème réparatrice, mélanger 4ml d'huile végétale et 45 ml d'aloé véra. Quant à confectionner un déodorant d'été, mélanger 1 cuillère à café d'argile blanche avec 1 cuillère à café de bicarbonate de soude et ajouter à cette poudre une goutte d'huile végétale.

Pour en savoir davantage, consulter le site d'Univalom sur zerodechet@univalom.fr ou téléphoner au 04 93 65 48 07.

Lyliane

21/08/2018

Une belle expérience d'auto-construction...

Sur la 5ème chaîne, lors de l'émission Echologis, nous avons pu voir comment un jeune couple avec enfant, passionné d'écologie, s'est lancé dans l'auto-construction. Ils ont déniché une propriété dans l'Isère à flanc de montagne où subsistait une grange ancienne environnée de champs et d'arbres. Thierry et Céline se sont tout à coup découvert une âme de "gardiens du patrimoine". Grâce aux conseils éclairés d'un architecte à sensibilité écologiste, ils ont envisagé la surélévation et l'extension de cette grange de pierre. Leur souci principal a été de limiter l'impact des travaux sur leur écosystème environnant.

Le résultat au bout 8 ans: une construction de forme arrondie, dans laquelle on peut suivre la course du soleil. Cette maison passive de 200 m2 habitables se chauffe très facilement par un poêle à bois  (420 euros par an environ). Beaucoup d'anciennes portes et poutres ont été récupérées. Quant aux murs, ils ont été rejointoyés. Les bons gestes ont peu à peu été appris d'ouvriers du coin, notamment pour la technique des enduits à la terre. Le sol est en terre cuite damée;  l'escalier a été construit selon les conseils d'un menuisier. Et la peinture blanche des murs intérieurs est à base d'argile. Ce sont les moutons du voisin qui tondent l'herbe. Les légumes cuisinés donnent leurs déchets au compost. Quant à l'eau d'arrosage du jardin, elle est récupérée des 200 m2 de toiture dans une énorme cuve de 5000 litres.

Puis Thierry et Céline se sont impliqués dans la vie du village en créant une A.M.A.P. Cela a facilité l'installation et la pérennisation d'exploitations agricoles et même d'une scierie. Cet exemple réussi d'auto-construction a en effet boosté l'économie locale (planchers en châtaigniers…). Thierry a même récemment écrit un livre pour partager son expérience et montrer les avantages d'une telle forme de construction: prix des matériaux, artisans à contacter, conseils… Selon leur témoignage, on ne vit pas de la même façon dans une maison auto-construite que dans une maison prévue et réalisée par d'autres personnes! 

Pour voir leur témoignage, contacter l'émission Echologis sur M5 en replay ou en streaming:https://www.france.tv/france-o/echo-logis/

 Lyliane

 

Pas de vacances pour les Restos du Coeur...

Pas de vacances pour les Restos du coeur. Même en plein mois d'août, les centres ne désemplissent pas, comme à Brest (Finistère), où nous nous sommes rendus. Si habituellement le nombre de bénéficiaires baisse en période estivale, l'association doit faire face à une demande presque aussi élevée que pendant l'hiver. "En période d'été, on est généralement à moins 30 ou 40% de personnes accueillies, mais cet été, autant au niveau des inscriptions que de la distribution, on n'a jamais vu ça", explique Marie-Noëlle Grall, responsable du centre de Brest.

1 500 points d'accueil en France cet été

Une activité qui coïncide avec une baisse du nombre de bénévoles, obligeant ceux qui restent à mettre les bouchées doubles. "On fait un petit effort, on vient un peu plus souvent et un peu plus longtemps", explique Philippe, l'un d'entre eux. Les trois quarts des centres des Restos du coeur restent ouverts en juillet et en août, soit plus de 1 500 points d'accueil partout en France.

 

A Nice, où 4 centres fonctionnent toute l'année(Falicon, P.Montel, Vérany et Dabray), la fermeture a duré 2 semaines seulement et ce Mardi 21/8 c'est la reprise des distributions.

Pour les cours de français, la reprise se fera début septembre.

Si vous voulez donner un coup de main bénévole, adressez-vous à l'un de ces centres ou à la délégation départementale sise à Cagnes sur mer(25, Rue de la Pinède).https://www.restosducoeur.org/associations.../les-restos-du-coeur-des-alpes-maritimes/

Il y a des centres des Restos du Cœur dans tous les départements et à Paris une péniche du Cœur..

Lyliane

 

20/08/2018

Faut-il avoir peur des écrans? demande Mr Marcel Rufo, le célèbre pédopsychiatre.

Mr Marcel Rufo, interviewé récemment à Bordeaux par Mmes Frédérique Préel et Fanny Plateau pour Version Femina, s'est voulu rassurant concernant l'usage des écrans. Selon lui, "il faut éviter de diaboliser les outils de communication actuels, car ils font partie de nos vies". Nous sommes, en effet, entrés dans une nouvelle ère et il n'y a pas de quoi paniquer en tant que parents. Ne pas oublier par exemple que les écrans ont renforcé nos liens: par exemple dans la communication par Skype, Viber… avec des membres de la famille, des amis éloignés. De plus, pour les personnes timides, "l'écran aide à entrer en contact avec les autres".

Les adultes évoquent souvent les contenus pornographiques ou violents auxquels de jeunes enfants peuvent être exposés. Il faut, certes, trouver le moyen de "maîtriser ces images qui peuvent choquer nos jeunes enfants". Le contrôle parental peut par exemple sur la télé comme sur l'ordinateur servir de garde-fou… Et la vigilance est de mise! Quant aux jeux vidéos, soyons sincères: ils sont très bien conçus, affirme le pédopsychiatre, et les adultes eux - mêmes sont susceptibles d'y devenir "accros".

"L'addiction aux jeux vidéos, pour Mr Rufo, n'est jamais la révélation d'une fragilité". C'est parfois le révélateur que quelque chose ne va pas dans la vie de tous les jours. Nous devrions nous questionner dans ce cas: "Pourquoi mon enfant a-t-il besoin de cela pour exister? Manque-t-il à ce point de confiance en lui qu'il se réfugie dans le virtuel?  Pourquoi et de qui, de quoi s'isole-t-il avec les écrans?"

Avec les adolescents, qu'il considère "comme de véritables syndicalistes", Mr Rufo conseille de négocier. Si l'on est trop strict, ils vont réagir violemment. Il faut aussi savoir que la communauté adolescente de nos jours ne peut vivre sans écran.  Ne pas sanctionner en interdisant totalement le portable, la tablette, la télévision ou l'ordinateur! Donner plutôt, en concertation avec eux, des plages horaires à respecter, des consignes à suivre par rapport au travail scolaire.

"J'ai remarqué, dit le pédopsychiatre, que la tablette calme les instables psychomoteurs, les hyperactifs. Cela les aide à mieux se concentrer. Et les laisser jouer un peu peut être un bon dérivatif pour des enfants qui manquent d'estime de soi". Les petits ont besoin d'images. A nous de choisir des logiciels adaptés! Par contre, ne pas remplacer la discussion ou la lecture du soir par les écrans, car le moment du coucher est important pour les échanges affectifs parents/enfants.

Bref, les écrans comme beaucoup de choses ne sont pas mauvais à priori. En classe, ils sont utiles et à la maison, c'est comme un dictionnaire interactif permettant des recherches. Leur usage mérite simplement d'être encadré par beaucoup d'écoute et de compréhension de la part des adultes. Certains ne donnent pas toujours le bon exemple et font ce qu'ils interdisent aux jeunes… Voyons donc les aspects positifs que les écrans permettent au quotidien et ne ramons pas à contre-courant! Nos parents autrefois ont boudé la télévision et craint sa généralisation. Aujourd'hui, nous vivons avec, mais nous n'en sommes pas devenus accros pour autant...

Lyliane

 

19/08/2018

Consommer hexagonal? Serait-ce une bonne solution pour l'emploi? selon Le Point

 

17/08/2018

Préparez vos vieilles chaussures pour la pyramide d'Handicap International...

 
 

Pyramides de chaussures

Organisées chaque année dans de nombreuses villes françaises, elles sensibilisent les citoyens contre le bombardement des civils et permettent de recueillir des milliers de signatures .

En savoir plus sur les Pyramides

Sport Ensemble

Sport Ensemble est une course solidaire qui réunit valides et handicapés de tous âges. Expérience ludique du vivre ensemble, elle permet à la fois de se dépasser et de collecter les fonds indispensables à nos actions sur le terrain.

En savoir plus sur Sport Ensemble

Vous êtes intéressés pour devenir bénévole sur ces événements ? Contactez-nous au 04 72 72 70 87 ou par e-mail : agissez@france.hi.org.

 

A Nice, le public est invité à lancer une paire de chaussures pour soutenir les victimes de guerre et sera interpellé par diverses expériences immersives les vendredi 28/9(accueil des écoles) et samedi 29/9/2018 de 10H à 19H, Place Masséna (06 64 65 06 28 ou pmalissart@aol.com).

Il faut essayer de vivre ses rêves d'enfant, dit Mr Mike Horn...

Une interview par Mr Samuel Ribot de Mr Mike Horn, explorateur sud africain bien connu, parue dans le Journal Nice-Matin du 29/7/2017 donne une réponse positive à la question suivante: "Faut-il  essayer de vivre ses rêves d'enfant?" En effet, le titre de son dernier ouvrage "L'Antarctique, rêve d'une vie" paru tout récemment chez XO Editions (286 pages et 19?90 euros) y répond clairement.

A 52 ans, Mr Mike Horn publie un livre dans lequel il raconte son expédition la plus folle: en 57 jours, traverser le Pôle Sud à skis, en solitaire, tiré par un cerf-volant, tout en parcourant 6800 kilomètres avec 250 kilos de matériel. Un an et demi après cette traversée, il reste relié à cette expérience très intense, qui était en fait "une course pour rester vivant". En effet, affronter des températures extrêmes (-50° C ), avancer malgré les obstacles talonné par l'hiver lui a demandé d'avoir un mental d'acier et une excellente condition physique.

Mr Mike Horn, qui vit en Suisse une partie de l'année et qui a deux filles, raconte qu'il a depuis toujours été fasciné par le continent Antarctique. Il a voulu montrer aux gens, aux jeunes notamment, qu'il est possible de réaliser ses rêves. Il en parle non en terme de gloire ou d'argent, mais comme "un besoin de vivre ce en quoi l'on croit". En ce qui le concerne, son moteur est le besoin de sensations, de se dépasser. Aller au bureau tous les jours avec une cravate serait pour lui inimaginable. Il a en effet besoin du contact avec la nature, avec les éléments. Il témoigne aussi qu'en 30 ans, il a vu changer la planète...

L'émission sur M6 "A l'état sauvage" lui a permis de tester des personnalités connues médiatiquement et de constater que cette expérience est intéressante pour savoir "qui on est vraiment". Il déplore que la jeunesse actuelle communique beaucoup, mais ne se mette pas  tellement en danger. Pour lui, leurs treks de quelques jours sont la plupart du temps des "Waouh expéditions". Etre un jeune explorateur est autrement passionnant à son avis. Toutefois ce n'est pas sans danger: il a perdu un doigt dans une expédition!

Pour en savoir davantage sur Mr Mike Horn, lire ses ouvrages ou le contacter sur Internet:www.mikehorn.com/

Lyliane 

 

15/08/2018

La peau à considérer comme un microbiote utile pour préserver notre santé...

Alors que la tendance actuelle est de bien nettoyer notre peau et celle de nos enfants, des recherches récentes viennent de montrer que les bactéries à la surface de notre peau ont les mêmes fonctions protectrices que celles de nos intestins. Le microbiote cutané apparaît de plus en plus en effet comme étant un élément majeur. Dès les premières heures de notre vie, par exemple, le microbiote d'un enfant né par les voies naturelles sera très dépendant du microbiote vaginal de sa mère, alors que, dans le cas de césarienne, il sera proche du microbiote de la peau de celle-ci.

Il faut savoir, écrit Mme Annie Casamayou dans le journal Alternatives Bien-Etre d'août 2018, que la peau d'un adulte héberge 1000 milliards de bactéries, appartenant à 300 genres, sans compter des champignons et des parasites. Le microbiote de notre cuir chevelu n'est pas le même que celui de notre visage, notre dos, nos aisselles et nos parties génitales. Notre mode de vie, notre environnement, notre hygiène, notre alimentation comme notre âge et notre sexe influencent la composition du microbiote cutané.

Toutefois, si les micro-organismes sont majoritairement présents en surface de notre épiderme, certains résident en profondeur dans le derme, où ils sont en connexion étroite avec les cellules immunitaires de la peau, afin de maintenir un équilibre stable. On considère que 35% des enfants qui ont un eczéma souffrent également d'allergie alimentaire. Il aurait été démontré que l'usage de lingettes nettoyantes pour les bébés serait un facteur à l'origine des allergies alimentaires, bien avant que l'eczéma ne se manifeste..

Prendre une douche tous les jours en se savonnant dans les moindres recoins n'est pas forcément une habitude utile à notre santé. Il serait suffisant de se savonner les aisselles et les parties génitales chaque jour seulement. Bannir l'eau trop chaude et choisir des produits d'hygiène sans trop de détergent, en préférant le savon à froid surgras. Pour le maquillage, choisir des produits naturels et se démaquiller à l'eau thermale ou à l'hydrolat de rose. Des vêtements en produits synthétiques ainsi que des lave linges peuvent propager des germes. Faire sécher son linge au soleil est encore le plus sain.

Pour en savoir plus sur ce sujet, consulter sur Internet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Microbiote_cutané_humain

 Lyliane

 

Que faire cet été avec ses petits-enfants?

"Pour amuser leurs petits-enfants, les grands-parents n'hésitent pas à se creuser la tête"… écrit Mme Sophie Carquain dans Version Fémina. Pour les uns, on commande à l'avance des tee-shirts basiques sur Internet (2 euros pièce) et on s'amuse à les colorier! Pour les autres, on écrit une B.D. sur l'adolescence d'autrefois et on l'illustre à 4 mains. Pour d'autres encore, on ressort du grenier des déguisements et on invente des sketchs en se produisant déguisés...

Selon l'âge des enfants, on peut imaginer des plats  avec eux ( tartes, beurre aux herbes, gratins), construire une cabane, les laisser dormir sous la tente dans le jardin ou organiser une chasse au trésor dans la forêt toute proche.  Certaines mamies cousent des doudous originaux (dinosaures…) tout neufs ou apprennent aux petits à tricoter… En fait, l'important est de faire quelque chose ensemble et de beaucoup s'amuser avec des activités inhabituelles!

Pour les grands-parents qui manqueraient d'imagination, des livres de jeux créatifs existent chez Salamandre (Tous dehors au jardin) ou chez Tana (65 jeux créatifs, recettes et expériences ludiques), des Cahiers d'activités complices chez Hatier et même des sites comme www.grand-mercredi.com proposant des idées de jeux et de sorties pour les jeunes enfants ou les ados.

Lyliane

13/08/2018

Solidarité en action grâce à Emmaüs et à ses boutiques en France...

Dans le journal "Et les autres?" de la Fondation Emmaüs, nous apprenons qu'en France, parmi les 4 millions de personnes mal logées, 2 millions au moins sont privées de confort, 900 000 sont en surpeuplement et 150 000 sont sans aucun domicile. Pour faire face à ce problème préoccupant, la première Boutique Solidarité a été crée en 1991 pour un accueil de jour inconditionnel. En effet, ces boutiques sont accessibles à tous, sans exception d'âge, de couleur, de religion ou d'appartenance. aujourd'hui on en compte 30 réparties sur tout le territoire. Là, les personnes à la rue y trouvent le repos et la sécurité. Elles y reçoivent un peu de chaleur humaine et de dignité.

La fondation, depuis l'appel de l'hiver 54 par l'Abbé Pierre, lutte sans relâche sur le front politique pour "faire entendre la voix des sans-voix". Si l'Etat et les collectivités locales prenaient leur part des responsabilités, plus personne ne serait à la rue en 2018. A Paris, toutefois, 2400 adultes en enfants vivent dans l'abandon et des conditions de survie qui se dégradent de jour en jour. Ailleurs, en province, ce n'est pas mieux. 

Outre le retour en arrière sur l'encadrement des loyers, prévu par la Loi Alur, la Fondation Emmaüs dénonce la volonté de l'Etat d'inciter à la vente de 40 000 logements sociaux par an, alors que près de 2 millions de ménages sont en attente d'un logement social. Baux précaires pour les précaires avec des baux mobilité meublés de courte durée ne vont pas non plus dans le bon sens à ses yeux. La trêve hivernale en décembre 1956, la Loi Dalo (droit au logement opposable ) en mars 2007, tout comme la Loi du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre les exclusions avaient pourtant été votées dans notre pays...

Pour tenter de venir à bout de la misère, orienter les exilés, aider dans les démarches et écouter avec bienveillance les exclus, il faut des bénévoles engagés sur le terrain associatif. Aussi, n'hésitez pas à rejoindre les Boutiques Solidarité de votre département ou à en créer une. Pour cela, joindre le site Internet: www.fondation-abbe-pierre.fr.

Lyliane

09/08/2018

Un eco-hameau à Trigance pour redonner vie au village...

Mme Amandine Roussel, dans un supplément à Nice-Matin, raconte l'aventure d'un groupe de 5 familles désireuses de mettre en place un éco-hameau au Villard, en lisière de forêt, tout près de Trigance à proximité des Gorges du Verdon. Ce projet a été lancé par la mairie qui a mis à disposition sur 7 hectares un espace constructible d'un ha en proposant le terrain à un prix très bas. Chaque famille pressentie va ainsi élaborer sa future construction, avec l'impératif de se fondre dans le paysage. Ce sera de l'auto construction, ce qui ramènera le prix entre 500 et 800 euros le m2.

Mr le maire du village a initié ce projet car son village était composé à 70% de résidences secondaires. Cherchant à attirer de nouveaux habitants, pour repeupler Trigance, il a eu l'idée d'un éco-hameau avec des familles. Chacune d'entre elles aura son autonomie, partagera des espaces communs, mais toutes seront reliées par un même état d'esprit, des valeurs d'harmonie, de respect, le sens de l'écologie, du partage et de la bienveillance, de même que par une Charte et le goût du vivre ensemble. Cet éco-hameau participatif se fera en deux volets: l'un en accession à la propriété pour 6 maisons individuelles et l'autre en locatif pour 4 logements sociaux gérés par un bailleur social.

D'ici 2020, cet éco-hameau devrait sortir de terre. Devenir propriétaire à moindre frais attirera de nouvelles personnes, mais elles devront partager des valeurs communes. L'installation de locaux professionnels est même envisagée. D'ici là, les réunions vont s'enchaîner pour que les candidats se connaissent mieux et s'apprécient.  Une famille par exemple rêve de vivre sous une géode de 60 m2 à structure géométrique. Pour les autres, un retour à la nature et à une vie simple est leur objectif …

Pour consulter le projet et se renseigner, joindre la mairie de Trigance (83).

Lyliane

 

 

08/08/2018

Comment répondre à l'enjeu d'intégration des migrants?

Le journal Convergence de juillet/août 2018 du Secours Populaire pose  une question d'actualité: comment favoriser l'intégration des migrants dans notre pays? Il s'agit en effet de répondre à des situations d'urgence humanitaires. Qu'elles viennent du Soudan, du Mali, d'Erythrée ou d'Irak, ces personnes ont vécu des épreuves atroces pour venir jusqu'à nous (prisons, viols, esclavage, naufrage…), alors qu'elles essayaient simplement de fuir la misère ou la guerre dans leur pays d'origine. Les accompagner dans leur nouvelle vie par des aides matérielles, des cours de français, une hospitalité locale semble une réponse à leur faire, d'autant que 60% d'entre eux sont des mineurs.  Beaucoup sont ici sans aucune famille et ils errent livrés à eux-mêmes.

Leur favoriser l'accès aux soins, à l'hygiène, aux démarches administratives, à la scolarité et leur prodiguer un peu de réconfort est souvent le rôle dévolu aux associations de bénévoles. Cela atténue en partie les épreuves rencontrées au cours de leur périple. Des centres d'accueil et d'orientation existent mais ils sont le plus souvent saturés. La France, terre d'asile et d'accueil, porteuse de valeurs humanistes, ne peut se contenter de beaux discours. Ils attendent des actes! Aussi, une mobilisation de tous est nécessaire pour répondre à leurs besoins vitaux (se nourrir, se loger, se soigner…).

La solidarité serait - elle en crise dans notre pays? Je ne peux le croire. L'intégration de ces réfugiés passe aussi par les loisirs et le sport. Des ateliers d'écriture ou de dessin, des groupes de parole sont organisés. De plus, le Racing pop de Paris crée en octobre 2013, le Secours pop football club à Clermont Ferrand offrent des tournois à 140 jeunes participants en championnat corpo.  Ainsi, ces jeunes isolés retrouvent le goût du collectif à travers l'expression d'eux-mêmes ou la pratique du football.

Pour en savoir davantage sur ce sujet, contacter sur internet:l www. secourspopulaire.fr

Lyliane

07/08/2018

L'application Word7D qui crée le lien...

Le supplément à Nice-Matin "Nous" nous fait connaître, sous la plume de Mme Amandine Roussel, le nouveau réseau social crée par Mr De Pasquale, originaire de Six Four dans le Var. Ce jeune trentenaire a quitté une carrière toute tracée dans l'entreprise familiale pour lancer le concept Word7D, élaboré il y a deux ans. Lors de ses voyages à l'étranger, Mr De Pasquale pestait de ne pouvoir dialoguer avec les locaux. Il a donc crée "une application, disponible sur Apple Store ou Play Store, qui permet de le faire avec une messagerie à traduction instantanée".

Cette nouvelle "fenêtre sur le monde" comme il l'appelle permet en effet gratuitement d'accéder, après inscription et téléchargement, à une traduction simultanée. Celle-ci est faite grâce à Google Translate, un logiciel efficace pour plus de 100 langues différentes. A cela, Mr De Pasquale a ajouté un fil d'actualité à l'échelle mondiale, un moteur de recherche avec filtres avancés pour trouver les bonnes personnes avec qui discuter et une vidéo live pour voyager virtuellement.

En novembre 2017, la start-up crée en août 2016 a reçu le prix de "jeune entreprise innovante" décerné par l'Etat. Depuis janvier 2018, la première version de l'application est disponible partout sans frais. Désormais, la région Paca lui fait confiance en lui allouant une subvention de 100 000 euros. Mr De Pasquale est en recherche de partenaires et d'investisseurs, car pour le moment ils ne sont que 3 développeurs et un chef de projet. 

 Pour en savoir davantage, télécharger l'application sur le site:www.word7d.fr.

Lyliane

04/08/2018

La frange haute... selon Mme Julie Meunier.

Dans "Nous", supplément à Nice-Matin, Mme Aurore Harrouis publie son interview de  Mme Julie Meunier, originaire d'Hyères dans le Var. Celle-ci, atteinte d'un cancer du sein à l'âge de 27 ans, a crée une gamme de turbans faciles à nouer qu'elle a adaptés avec une frange. Après s'être formée à l'atelier BÖ de Nice, elle a dessiné des modèles. Cette alternative à la perruque a eu du succès, car nombreuses sont les femmes qui veulent rester féminines malgré les traitements.

Aujourd'hui, à l'âge de 31 ans, alors qu'elle est en rémission, Mme Julie Meunier a même ouvert un showroom à Nice-Nord, rue Parmentier exactement. Là, Mme Meunier reçoit sur rendez-vous, propose un café, discute avec les clientes. Elle expose les Franjynes sur des têtes à coiffer vintage. Mme Meunier a sur ses étagères une moisson de trophées. Les Franjynes ont, en effet, notamment décroché la 1ère place du concours national talent dans la catégorie commerce au Ministère de l'Economie.

Pour en savoir davantage, consulter le site Internet sur: www.lesfranjynes.com

Lyliane

 

01/08/2018

En Alsace, des allocataires du RSA sont devenus bénévoles...

Dans le Haut-Rhin, plus de 800 bénéficiaires du RSA (revenu de solidarité active) ont accepté de signer une clause qui les engage à accomplir des heures de bénévolat en contrepartie de l'allocation, écrit Mme Elise Descamps, correspondante régionale de Moselle, dans le journal La  Croix du jeudi 12/7/2018. Initialement, en 2016, le département souhaitait rendre la mesure obligatoire, ce qui avait soulevé de l'indignation de nombreuses associations, jugeant la mesure stigmatisante. Le Préfet du Haut-Rhin avait attaqué cette délibération devant le tribunal administratif, qui l'avait annulée. Le Conseil départemental avait alors rendu ce dispositif modulable et facultatif. Finalement, le 15 /6/2018, le Conseil d'Etat avait donné raison au département, qui n'est pas revenu pour autant à sa décision initiale, préférant moduler selon l'état de santé des personnes et leurs chances de retrouver un emploi.

Sur 16 800 foyers allocataires, 10 000 environ ont signé un C.E.R. (contrat d'engagement réciproque), les candidats aux aides ayant coché la case bénévolat apparue depuis le 1/9/2017 sur les documents. Certains font des tâches associatives ( par exemple aide à de l'animation en EHPAD comme le pliage du linge …) quelques heures par semaine et ils en sont ravis. En effet, cela responsabilise les personnes, crée du lien social et permet aux allocataires de remettre "le pied à l'étrier". Par ailleurs, aucune sanction n'est prévue pour les personnes refusant de signer la case d'engagement. F.O (force ouvrière) un des syndicats les plus représentatifs dans le secteur, a demandé de bien préciser que "ce n'est pas une main d'œuvre gratuite dans un secteur impacté durement par la baisse des emplois". Il faudrait sans doute créer un dispositif de contrôle pour le vérifier. 

Quoi qu'il en soit, voilà une initiative qui pourrait être étendue à d'autres départements. Les effets positifs de ce dispositif optionnel pourraient être analysés. On entend souvent dire que ces personnes seraient "des assistés". Les chiffres semblent montrer le contraire! Pour en savoir davantage, consulter sur Internet le site: https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits

Lyliane

 

31/07/2018

À FLOT AVEC VOUS: LEVÉE DE FONDS POUR LA PÉNICHE DU COEUR...

 


LE PROJET

Face à l’aggravation des problèmes de mal logement à Paris des personnes sans abri, les Restaurants du Cœur se sont fixés comme objectif majeur de préserver leur centre d’hébergement d’urgence (CHU) parisien, la Péniche du Cœur, qui ne répondra plus aux normes en termes de conditions d’accueil et de sécurité en 2021.

Après une étude approfondie des besoins et des coûts, le Conseil d’Administration des Restos du Cœur a validé l’acquisition et les travaux d’aménagement d’un nouveau bateau pour pérenniser ce CHU et permettre d’améliorer les conditions d’accueil des hébergés ainsi que l’accompagnement socio-professionnel en place.

Dossier de presse

LEVÉE DE FONDS

Une campagne de levée de fonds sur ce projet estimé à 2,2 millions d’euros a été lancée. En effet, pour mener à bien ce projet, les Restos ont besoin du soutien de tous : institutionnels, donateurs particuliers et partenaires privés, chacun à sa façon peut contribuer à ce projet : via des dons financiers ou en nature ou encore du mécénat de compétences.

 

DONS ET AVANTAGES FISCAUX

  • Pour les particuliersles dons permettent de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu correspondant à 75% du montant du don, avec un plafond de 537 €. Au-delà, et dans la limite de 20% des revenus imposables, la déduction est encore de 66%. En cas de dépassement de cette limite, l’excédent donnera droit à une réduction d’impôt sur les cinq années suivantes.
  • Pour les entreprisesle mécénat sous toutes ses formes donne droit à une réduction d’impôt sur les bénéfices de l’entreprise donatrice à hauteur de 60 % de la somme versée dans la limite de 0,5 % (ou 5 pour mille) du chiffre d’affaires annuel hors taxe, avec possibilité de report sur les 5 exercices suivant.

 

CAGNOTTE

Pour permettre au plus grand nombre de se mobiliser et de soutenir ce projet, une page de collecte permet à tous ceux qui le souhaitent d’effectuer un don en ligne dédié à La Péniche. Chacun peut également partager cette page et encourager ses proches, amis, famille ou collègues à soutenir le projet. Début juillet, un mois seulement après le lancement de la cagnotte, plus de 50 000€ avaient été collectés ! Merci à tous !

Pour continuer à soutenir le projet, rendez-vous sur la cagnotte !

Chaque don compte !

LES PARTENAIRES DÉJÀ ENGAGÉS SUR LE PROJET

LIDL

Premier partenaire entreprise mobilisé sur ce projet, Lidl a remis, lors du lancement presse du 31 mai, un chèque de 1 250 000 euros aux Restos du Cœur pour financer différents projets en France dont une partie sur le projet de la nouvelle Péniche du Cœur. C’est grâce à l’opération des « cagettes anti-gaspillage» menée en magasin que ce don a pu être réalisé.

NOTORYOU

Creative studio parisien spécialisé dans la production de visites immersives culturelles, les expériences VR et le digital storytelling ; Notoryou a gracieusement offert la production de la visite virtuelle de la Péniche qui permet de donner un aperçu clair des besoins.

 

30/07/2018

Des drôles de cabanons et de cabanes à vivre...

Mr Christian La Grange, architecte d'intérieur, concepteur de cabanons  et auteur d'un ouvrage sur les "Cabanons à vivre" publié aux éditions du Terran, a inspiré un long article de la revue Biocontact des mois de juillet et août 2018 concernant les cabanons à vivre proposés aujourd'hui. Cet auteur pense en effet que les petits espaces de vie sont l'avenir dans nos pays industrialisés. Jusqu'ici on vivait dans de grands espaces, mais ne serait-il pas temps de "faire mieux avec moins"?

Mr La Grange prend modèle sur l'architecture minimaliste japonaise, qui combine l'exiguïté, la sobriété et la fonctionnalité. Apprendre à se loger sans se ruiner est devenu son mot d'ordre. Ce type d'habitat en cabanons de bois de formes diverses nous oriente vers la décroissance, en éliminant tout le superflu autour de nous. Il montre que l'on peut par exemple habiter confortablement à deux dans un espace de 3,80X 3,80 m. En n'accumulant plus d'objets, en se défaisant d'habitudes héritées de nos parents, on ne réduit pas pour autant sa qualité de vie. On appelle cette tendance: "sobriété volontaire".

Habiter léger ne veut pas non plus dire que l'on vit en marge de la société. On considère simplement que l'espace est à l'extérieur et on privilégie l'intimité. Pour le moment, les pouvoirs publics ne voient pas forcément ces cabanons d'un bon œil. Mais peu à peu ce style de vie pourrait s'imposer. Toutes sortes de modèles existent et certains peuvent être auto-construits en suivant des plans de montage. La construction paille et chanvre nous avait déjà tournés vers l'auto construction et la sobriété des volumes… Là, on combat le "toujours plus" et le "paraître" pour sortir de la société de consommation! Tous ceux par exemple qui ont expérimenté des vacances en mobil home peuvent comprendre cette tendance et aspirer à retrouver cette simplicité et sobriété de vie...

Pour en savoir plus, contacter le site Internet: www.lescabaneux.be ou adresser un e-mail à christian_lagrange@skynet.be.

Lyliane

27/07/2018

Quelques pistes pour des traitements innovants contre le cancer...

Un article de Mr Pierre Bienvault dans le Journal La Croix du 26/6/2018 fait le point sur les dernières avancées dans le traitement des cancers. Jusque là, la chimiothérapie était avec la radiothérapie une des seules voies envisagées dans les traitements d'oncologie conventionnelle. Mais des effets secondaires (vomissements, perte des cheveux…) ne manquaient pas de toucher les personnes, même si de nombreux progrès avaient été enregistrés depuis les années 1950. De plus, le but de la chimiothérapie était de détruire les cellules cancéreuses, au risque de toucher aussi les cellules saines. Des opérations consistant à ôter les ganglions sentinelles et des chimiothérapies adjuvantes avaient été ajoutées aux protocoles pour éviter les risques de récidive. Puis, des tests de signature génomique avaient tenté d'évaluer ces risques éventuels... 

Toutefois, le principal espoir repose aujourd'hui sur des traitements innovants. En effet, après les thérapies dites "ciblées", le traitement le plus en vogue est "l'immunothérapie". Celle-ci ne s'attaque pas directement à la tumeur, mais stimule le système immunitaire pour le rendre plus efficace. C'est sur le mélanome que les résultats de l'immunothérapie sont les plus importants. Chez 30% environ des patients, elle permet de faire régresser la tumeur, même si certains résultats sont parfois transitoires. Dans le cancer du poumon, on obtient pour 20% des cas des taux de survie inédits. Mais ces traitements ne fonctionnent que sur un nombre limité de personnes. Ce sont les caractéristiques de la tumeur qui commandent en effet le traitement le plus approprié.

Selon le professeur Chouald, responsable du service de pneumologie de l'hôpital de Créteil, il est aujourd'hui question de combiner chimiothérapie et immunothérapie en privilégiant des traitements personnalisés. De plus en plus, les traitements du cancer se prennent par voie orale avec de simples comprimés. A l'horizon 2020, on estime que la moitié des traitements seront proposés sous une forme orale. C'est plus confortable pour les patients, qui restent au sein de leurs familles, mais il convient d'être assurés que les traitements sont bien respectés. Car l'accompagnement par des professionnels reste en tous points fondamental.

Sans vouloir donner de faux espoirs, il me semble important de tenir les patients informés des nouveautés thérapeutiques. Les essais en cours en oncologie vont mettre un peu de temps avant de devenir des médicaments disponibles sur le terrain. Néanmoins, en attendant, garder un bon moral et avoir confiance dans son oncologue reste la règle. Cela n'exclue pas de faire appel à des médecines parallèles comme l'homéopathie, la phytothérapie, les massages, l'acupuncture ou l'auriculothérapie. Et, en tout état de cause, mener une vie active et saine(marche chaque jour) en protégeant son foie (par exemple avec du Desmodium) et ses reins  (intérêt des baies de cranberries)des produits relativement agressifs.

Pour approfondir le sujet, joindre par exemple l'association "patients en réseau" crée en 2014  sur https://www.patientsenreseau.fr.

Lyliane

  

26/07/2018

Pollution lumineuse: enfin des mesures prises mises en application!

Forte pollution lumineuse:


En l'espace de seulement 20 ans, la quantité de lumière émise la nuit a augmenté de 94%. En cause : les lampadaires et l'éclairage des routes toujours plus présents.
Un autre arrêté, datant de 2013, prévoyait l'extinction des vitrines et des bureaux à partir d'une heure du matin. Mais les bilans menés par l'Association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturne démontrent que la mesure n'est pas très suivie, faute de contrôles suffisants.


1000 gigawattheure d'économie


"Certains, par manque d'information peut-être, ne suivent pas cette mesure. D'autres considèrent qu'à partir du moment où il n'y a pas de vérification, ils ne voient pas pourquoi ils changeraient. 84% des Français sont favorables aux extinctions de ces dispositifs lumineux aux heures creuses. On a tout à y gagner, en euro, en kilowattheure, en réduction de pollution lumineuse et en répondant aux attentes des Français", explique Anne-Marie Ducroux, la présidente de l'Association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturne.
Si ce décret est réellement appliqué, il permettra de réduire considérablement la consommation énergétique. Chaque année, 1000 gigawattheure seraient ainsi économisés, l'équivalent de la consommation électrique de 370 000 ménages.

Franceinfo - dimanche 1 juillet 2018