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01/04/2019

La grande distribution s'engage dans la lutte contre les emballages polluants...

C’est depuis peu officiel du côté de Carrefour : oui, les consommateurs peuvent apporter leurs propres contenants réutilisables aux rayons boucherie, poissonnerie, pâtisserie et fromagerie, et demander qu’on les serve directement dedans. Ce qui évite d’utiliser de multiples feuilles de papier alimentaire enduit à la parafine. A condition d’avoir une boîte munie d’un couvercle. «Pour votre sécurité, vos contenants seront vérifiés et nous nous réservons le droit de refuser ceux qui ne seraient pas propres, secs ou adaptés», précise l’entreprise sur son site. Une initiative saluée par l’association Zero Waste qui invite les autres grandes enseignes à faire de même. «Aujourd’hui, les difficultés rencontrées découragent certains clients dans leur démarche, ceux-ci ne souhaitant pas systématiquement essuyer des refus», regrettait début mars l’association dans une lettre ouverte à l’attention des patrons de Leclerc, Intermarché, Super U, Casino et Auchan.
Des consignes pour les grandes marques
En parallèle, le système des consignes fait aussi son retour. La start-up Jean Bouteille s’immisce de plus en plus dans les supermarchés avec ses vins (rouge, blanc, rosé), huiles, vinaigres, jus de fruits, lessives et plus récemment bières en vrac. Le principe : on paye la bouteille un euro, et on la remplit grâce à des «fontaines» en inox. Une fois vide, on la lave chez soi et on peut la réutiliser à foison, ou se faire rembourser la consigne. Ce service est disponible dans plusieurs magasins Carrefour, Monoprix, Franprix, Leclerc et dans des enseignes spécialisées bio, qu’on peut retrouver sur une carte régulièrement mise à jour.
Enfin, on pourra bientôt se faire livrer les courses à domicile sans déchets et à vélo. C’est ce que proposera Loop à partir du printemps, dans un premier temps à Paris. Le projet, porté par l’entreprise, a passé un partenariat avec vingt-cinq grandes marques pour concevoir des contenants réutilisables. Biscuits, glaces, lessives, déodorants… au total, une centaine de produits de grande consommation pourront être glissés dans des boîtes en métal, bouteilles en verre et autres à l’effigie des marques. Lors des commandes suivantes, Loop reprend les contenants sales et les recharge.

Margaux Lacroux - Liberation - mercredi 20 mars 2019

Pour les victimes du burn out: Au temps pour toi...

L'association «Au temps pour toi» propose aux victimes du burn-out un lieu de guérison unique en son genre. Une trentaine de personnes y ont séjourné depuis sa création, pour une durée de trois semaines à six mois.
La promesse de «Au temps pour toi» est très claire. Lieu de vie et d'entraide pour les victimes du burn-out, l'association créée en 2015 s'est donné pour mission de «transformer la crise en opportunité». «L'association aurait tout aussi bien pu s'appeler «se foutre la paix»! Nous voulons offrir un lieu de prise de recul, à la fois social et géographique, par une vie quotidienne toute simple, à la campagne», explique au Figaro l'un des trois fondateurs, Jean-Baptiste van de Hove, qui se défend néanmoins de toute démarche sectaire. «Nous ne sommes pas là pour couper les gens de leur entourage! En revanche nous les encourageons à privilégier la qualité à la quantité. Appeler moins par exemple, et écrire des lettres». Quant à l'aspet médical, qui n'est résolument pas du ressort de l'association, celle-ci se contente de faciliter les déplacements des pensionnaires, «tout en restant en dehors».
Située à quelques kilomètres de Limoges, l'association franco-belge a fait l'acquisition d'un bâtiment niché sur un terrain de plus de deux hectares. Depuis son lancement en mars 2017, trente-quatre résidents sont venus pour des séjours de trois semaines à six mois. Fonctionnaire, directrice d'Ehpad, curé, cadres, professeur, médecin... «on a vraiment de tous les profils» indique-t-on là-bas, tout en déplorant le manque de moyens. Premier dispositif en son genre sur le territoire français, l'association reçoit une dizaine de demandes par semaine pour seulement quatre chambres disponibles. «Le burn-out n'etant pas reconnu comme une maladie professionnelle, nous ne vivons que de dons. Grâce à eux nous espérons pouvoir nous agrandir rapidement».
Peu d'obligations mais un large choix d'occupations. Sur place, la vie se veut simple comme un livre de la série «Martine». En dehors des rares obligations que constituent les repas et la méditation, les résidents peuvent vaquer librement à diverses occupations: nourrir les pouls, les moutons, bricoler, peindre, lire, se promener, rencontrer le voisinage... «Les personnes en burn-out ont souvent construit une forteresse intérieure pour se protéger des coups de la vie. Un jour elles se rendent compte qu'elles s'y sont enfermées. Notre idée est de leur proposer d'en sortir, à leur rythme, grâce à un environnement chaleureux et sécurisant», explique encore le fondateur. Ancien scout, également passé par l'armée, il ne manque pas d'image pour désigner le lent travail de reconstruction après le burn-out, cet «état de détresse psychologique absolu et brutal». «Un étang, si on passe son temps à l'agiter, on ne voit plus le fond... D'où le besoin de retrouver le calme».  Jean-Baptiste van den Hove sait bien de quoi il parle. Il y a cinq ans, le fondateur d'Au temps pour toi avait lui aussi connu le fléau du burn-out. Cadre prometteur dans les télécoms, très engagé dans son travail, ce Belge de 35 ans s'était effondré en un mois. «Je restais prostré chez moi, des morceaux de carton sur les fenêtres pour ne pas voir la lumière du jour. Même sortir pour aller acheter du pain me paraissait impossible. J'ai perdu 10 kilos...». Pour échapper à son mal-être, deux solutions se présentaient alors à lui, les monastères ou les cliniques. «Mais aucunes de ces solutions ne me correspondaient. J'avais le choix entre la solitude et l'austérité - ou un lieu médicalisé».

C'est finalement au sein d'une association en charge de toxicomanes que Jean-Baptiste van den Hove trouve son salut durant 14 mois. Une expérience décapante, qui lui apprend les mécanismes de l'excès, «dont la drogue est une expression, tout comme parfois le travail». Après encore un an dans l'association l'Arche, fondée par Jean Vanier, également parrain d'Au temps pour toi, Jean-Baptiste van den Hove mûrit son projet. Son idée: créer un lieu de «désintoxication» du burn-out. Et si possible en France, «parce qu'en Belgique il est difficile de prendre du recul. Où qu'on aille, on croise facilement quelqu'un qu'on connaît». Sur l'Hexagone, l'Agence nationale de santé publique comptabilise 30.000 victimes d'épuisement professionnel, tandis que le cabinet d'expertise Technologia, agréé par le ministère du travail, évalue à près de 3,2 millions le nombre de Français en risque élevé de burn-out. Au temps pour toi leur offre donc, à sa mesure, un toit pour se rétablir.

Amaury Bucco - Le Figaro - dimanche 17 mars 2019

31/03/2019

L'apprentissage se met à la page...

Le Journal 20 Minutes du 15/3/2019 fait le point sur l'apprentissage dans notre pays et sur ce qui change pour les apprentis cette année. D'après les chiffres du Ministère du Travail, plus de 400 000 apprentis sont formés chaque année.  Au total, 70% d'entre eux ont trouvé du travail sept mois après l'obtention de leur diplôme. La région PACA par exemple compte près de 32 000 apprentis accueillis dans 13 000 entreprises et plus de 59 CFA.

Autrefois, l'apprentissage souffrait de l'image d'une filière qu'on empruntait par défaut car elle signifiait pour beaucoup des études courtes et un travail manuel dévalorisé. En fait, rien n'est plus faux car on peut faire des études longues et y trouver de belles carrières.  Depuis le 1er janvier 2019, l'apprentissage est susceptible de davantage séduire les jeunes. Tout d'abord, l'âge minimum requis est de 16 ans et l'âge limite a été repoussé à 30 ans au lieu de 26 ans autrefois.

Les jeunes ont maintenant la possibilité d'intégrer un apprentissage à n'importe quel moment de l'année, et pas uniquement en septembre. Les apprentis sont surtout séduits par le service à la personne, le tourisme, l'hôtellerie, la coiffure, l'e'sthétique et la santé. La durée minimum du contrat a été réduite de 1 an à 6 mois. Cela permet une meilleure adaptation aux besoins des jeunes. La durée maximale reste fixée à 3 ans. Les conditions de rupture du contrat d'apprentissage gênaient les employeurs. Les nouvelles règles suppriment  le passage devant les prud'hommes dans ce cas et officialisent le droit à la démission pour l'étudiant.

Depuis, la réforme permet d'ouvrir les CFA sans avoir le feu vert de la région. Certaines entreprises s'impliquent et sont amenées à anticiper leurs besoins. Quant aux jeunes, leur salaire augmente de 30 euros par mois pour les 16/20 ans. Les plus de 18 ans bénéficient d'une aide de 500 euros pour passer le permis de conduire. En BAC PRO lors de son apprentissage, un jeune de 18 ans percevra quelques 715 euros. Des Prépas apprentissage devraient bientôt voir le jour et le programme Erasmus va leur devenir accessible. De quoi tordre le cou à des idées reçues et mieux informer les familles!

Lyliane

30/03/2019

Une meilleure justice pour les mineurs...

Sous l'impulsion de la Ministre de la Justice, Mme Nicole Belloubet, écrit Mme Hélène Sergent dans le journal gratuit 20 Minutes, une vingtaine de Centres Educatifs Fermés ou CEF devraient voir le jour dès 2021 en France. Présentées comme une alternative à la détention, ces infrastructures sont "une dernière chance" avant l'incarcération pour les jeunes placés là.

Il nous est présenté dans l'article le CEF d'Epinay-sur-Seine (Seine St Denis), où une quinzaine de mineurs âgés de 13 à 16 ans résident. Parmi ces mineurs, on estime à 40% le nombre de jeunes ayant un dossier MDPH (maison départementale des personnes handicapées) et des troubles du comportement (concentration, colère...). La plupart d'entre eux ont aussi un parcours auprès de l'Aide Sociale à l'Enfance, car leur structure familiale est défaillante.

L'ordonnance de 1945, qui a fondé ces structures éducatives fermées pour les mineurs, instituait la primauté de l'éducatif sur le répressif. Depuis, un empilement de textes a crée des lourdeurs et des incohérences, estime la Ministre. L'urgence serait "de donner des moyens supplémentaires pour juger ces enfants". Les syndicats pointent cependant des nombres d'emplois prévus insuffisants pour encadrer ces jeunes.

Ces CEF sont, certes, un lieu de privation de liberté, dans lequel tout n'est pas permis. Il y a toutefois des horaires à respecter, des activités proposées et donc des efforts à faire pour s'insérer. Les jeunes ont des chambres individuelles, mais leurs sorties sont restreintes car beaucoup sont des fugueurs. Bref, si le texte qui doit être présenté par le Ministère de la justice aux parlementaires après l'été était voté, de nouvelles ordonnances seraient susceptibles de réformer la justice des mineurs.

Lyliane

28/03/2019

Découvrir une forme d'auto-rééducation: le Feldenkrais...

Dans le journal "Nous", Mme Karine Michel introduit une technique à mi-chemin entre psychomotricité, kinésithérapie et ostéopathie: le Feldenkrais. C'est le docteur Moshe Feldenkrais, né en Ukraine, puis installé en France dans les années 1930, qui fut à l'origine  dans notre pays.de l'introduction du judo. Puis, il créa une discipline qui porte son nom, "très connue dans le monde de la danse, mais encore assez marginale dans le grand public".

Mme Adeline François, formée en 4 ans à Paris, organise des cours collectifs dans le Var au Club loisirs Vanikoro à La Valette-du-Var. Au besoin, elle peut prendre en charge des élèves en individuel et elle se centre alors sur le toucher. Généralement, elle décompose les mouvements et guide les élèves oralement. La technique Feldenkrais, explique-t-elle, est "une technique de prise de conscience par le mouvement". On cherche en effet à gommer les mauvaises habitudes en corrigeant les postures du corps. Chaque mouvement est répété plusieurs fois et vise la fluidité.

Le tarif pratiqué par Mme François est de 55 euros la séance individuelle. Pour les cours collectifs, se renseigner car cela dépend du nombre d'inscrits. Pour tout renseignement, contacter le site: www.feldenmoves.net.

Lyliane

26/03/2019

Conditions inhumaines, torture et harcèlement sexuel...


 
 
 
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Conditions inhumaines, torture et harcèlement sexuel...

 
 
 
 

 


 
   
 
 
 
 
Chère amie, cher ami,

A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Reporters sans frontières (RSF) rappelle que 27 journalistes femmes sont actuellement détenues à travers le monde.Certaines d’entre elles sont emprisonnées dans des conditions inhumaines, victimes de torture et de harcèlement sexuel.

C'est le cas notamment en Arabie Saoudite d'Eman al Nafjan, la fondatrice du blog Saudiwoman et de la blogueuse Nouf Abdulaziz Al Jerawi, qui contribuait notamment au site The Arab Noon. Elles font partie, selon l’organisation saoudienne Al-Qst, des militantes féministes qui ont été torturées après leur arrestation au printemps 2018. L’ONG précise que certaines militantes ont été aussi harcelées sexuellement, déshabillées, photographiées nues et forcées à embrasser d’autres prisonnières.

Aidez-nous à obtenir leur libération immédiate et sans conditions.

Soutenez nos actions en faisant un don à Reporters sans frontières sur donate.rsf.org

Merci,
--
L’équipe de Reporters sans frontières
 
 
 

Reporters sans frontières communication@rsf.org via mailchimpapp.net 

Reporters sans frontières

25/03/2019

Tout savoir sur les dons d'organes...

Mme Véronique Brenner dans la revue Version Fémina fait le point sur le don d'organes tel que la loi du 1er janvier 2017 l'a aménagé. En effet, il a été décidé que "nous sommes tous considérés comme des donneurs potentiels, à moins d'avoir exprimé son refus de voir prélever un ou plusieurs de ses organes à son décès".

Dans ce cas, il faut s'inscrire sur le registre national des refus de l'Agence de la biomédecine, qui encadre les dons en France: www.registrenationaldesrefus.fr. Il est également possible, car c'est un droit de refuser des prélèvements, de formuler son refus par écrit sur papier libre, en le signant ou encore de vive voix à un proche, qui en témoignera en cas de décès. On peut choisir de ne donner que partiellement ses organes depuis la loi de 2017.

Depuis 2011, le donneur "peut être toute personne apportant la preuve d'une vie commune d'au moins deux ans avec le receveur ou bien la preuve d'un lien affectif étroit et stable depuis au moins 2 ans". Cela ouvre la voie aux concubins et aux amis intimes, notamment pour des greffes de reins ou de foies de donneurs vivants ou de greffons prélevés post-mortem.

Il n'y a pas de limite d'âge pour les dons d'organes entre vivants et il suffit d'être en bonne santé. Toutefois, le don de moelle osseuse est limité à 60 ans et celui de plaquettes à 65 ans. Le principe de l'anonymat entre donneur et receveur est prévu par la loi, pour préserver les proches et aider les personnes greffées à s'approprier leur greffon.

Il faut savoir qu'en France 57 000 personnes sont en vie grâce à une greffe. Il existe également des "dons croisés" en cas d'incompatibilité des systèmes immunitaires entre un malade et un proche souhaitant faire un don. On donne alors un organe à un inconnu compatible et le malade recevra l'organe d'un autre inconnu. Le don d'organe est un geste altruiste et généreux. Pour s'informer plus précisément, joindre: www.dondorganes.fr et pour les cellules sanguines: www.dondesang.efs.sante.fr.

Lyliane

24/03/2019

Avec Care, vous aussi, faites entendre votre message pour l’égalité !

 

 

 
 
 
 
       
 
 
 
 
 
 
1 femme sur 3 est victime de violence au cours de sa vie
Si cet email ne s’affiche pas correctement, cliquez sur ce lien.
 
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Bonjour


Vous avez testé vos connaissances sur les préjugés envers les femmes grâce à notre quiz. Certains chiffres vous ont sans doute alarmé. 

En effet, la situation est dramatique. Dans de nombreux pays, des lois sexistes continuent de régir la vie de milliers de femmes. Elles subissent des discriminations en matière d’accès à la santé, à l’éducation, et leurs droits sont bafoués. 

De plus en plus, les femmes dénoncent les violences et les inégalités qu’elles subissent, mais il y a encore tant de choses à dire. Vous aussi, vous pouvez jouer un rôle dans ce combat.  

En savoir plus

 

Est-ce que vos proches sont conscients de la situation ? Savent-ils réellement ce que vivent les femmes dans le monde ?  

Ces chiffres accablants doivent être connus de toutes et tous. En partageant ce quiz auprès de votre entourage, vous participez à la prise de conscience globale. 

Merci d’avance d’être avec nous dans ce combat et de partager ce quiz.
 

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22/03/2019

Qu'est ce que l'autisme?

 

Face à un enfant atteint d'autisme, certains ne savent pas comment réagir. Pour les aider et lever le voile sur ce sujet tabou, des parents ont listé ce que tout le monde devrait savoir sur cet trouble du développement.


Outre-Atlantique, le Canada comme les Etats-Unis ont lancé, comme chaque année depuis les années 1970, un mois de sensibilisation à l’autisme en avril. Le lundi 2 avril 2018, c'était la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme en France. L’occasion d’informer la population sur ce trouble du développement qui affecte les fonctions cérébrales.
Qui mieux que des parents d’enfants atteints d'autisme peuvent nous parler de ce sujet ? Interrogés par le Huffington Post, ils ont pu enfin exprimer leurs sentiments vis à vis de ceux qui connaissent mal le trouble du spectre autistique. Voici sept phrases qui ont retenu notre attention.


Nos enfants ont des sentiments
Pour Victoria Rusay, mère d’une petite fille, "mon enfant peut entendre et comprendre la manièreaitez. Le fait qu’elle ne parle pas ne veut pas dire qu’elle est inférieure. Elle est humaine avec des sentiments et des émotions comme vous et moi”


Un enfant a de l'autisme mais n'est pas l'autisme
Une autre mère, Jennie Carlsten, s’exprime elle aussi : "chaque personne est différente. S'il vous plaît, ne pas sous-estimer mon enfant à cause de quelque chose que vous avez entendu ou lu"


Nul besoin de pitié
“Quand j'explique à des inconnus que mon fils est atteint d’autisme, on me regarde comme si c'était un fardeau, l’air de dire que ça doit être difficile. Il est très intelligent. Et il y a des jours où tout est un défi pour lui, mais nous l’affrontons. L'autisme ne le rend pas incapable, c'est le monde environnant qui est incapable de le comprendre ", se confie Holly Nykole Luciano.


Ils ont besoin de patience et de compréhension
"Mon enfant est très intelligent. Il peut comprendre les choses, mais parfois ça lui prend un peu plus de temps”, explique ce père de famille, Bob Chappell. Elle  est la plus empathique que je connaisse. Si les gens lui laissaient plus de temps, elle communiquerait d'une manière qui vous étonnerait. Elle est incroyablement intelligente, drôle et aimante“ s’enthousiasme Lyndsay Jeanne Gentry.


Nous ne cherchons pas un remède
Pour Sophie Vera, professionnelle de santé et mère, chercher un remède ne fait pas partie des préoccupations d’un parent d’enfant atteint d’autisme. “Les huiles essentielles, les alignements de chakra et les danses de pleine lune ne vont pas guérir mes enfants. Si un enfant était guéri, il ne serait pas autiste.”


Nos enfants sont intelligents
"Être atteint d'autisme ne veut pas dire être idiot. Chaque fois que nous disons à quelqu'un de nouveau et sans éducation sur le sujet que notre fils est autiste, la réponse typique qui s’en suit est ‘mais il semble si intelligent !’. Mais il est intelligent ! Beaucoup, voire la plupart des enfants atteints d'autisme possède un QI ou au-dessus de la moyenne. Cependant, ils ne choisissent pas toujours de partager ce qu'ils savent ou peuvent faire avec vous”, explique longuement Casey Chapman.


Il y a beaucoup de travail invisible
Ce parent ajoute : "Juste parce qu’une action semble se passer facilement ne signifie pas que c'était facile pour eux. Il y a des heures et des heures de coaching invisible et de la pratique dans les coulisses que vous ne voyez pas qui a fait paraître quelque chose facile”
Pour son fils, “être un petit garçon souriant est un travail difficile pour lui. C'est pourquoi je suis épuisée", confesse Céline Marguerite Quentin, mère de famille.

Valentine POIGNON - Femme Actuelle - dimanche 24 février 2019

Changement d'heure, une consultation des français...

Cette consultation est sans valeur contraignante, mais son résultat sera transmis aux institutions européennes.


Heure d'hiver ou heure d'été ? L'Assemblée nationale vient d'achever une vaste consultation sur le sujet. Plus de 80 % de Français souhaitent mettre fin au changement d'heure, et 59 % d'entre eux se disent favorables à un maintien toute l'année à l'heure d'été (UTC + 2), selon un communiqué de l'Assemblée nationale publié mercredi 6 mars. Plus de deux millions de réponses ont été reçues, un record absolu.

La Commission européenne a proposé en septembre 2018 une nouvelle directive qui mettrait fin à ces changements qui impliquent d'avancer sa montre d'une heure en mars et de la reculer d'une heure en octobre et permettrait aux États membres de choisir leur fuseau horaire. Ceux-ci doivent maintenant trancher ces questions d'horloge, qui peuvent avoir des conséquences dans des domaines aussi variés que la santé ou les transports.

Franceinfo - Franceinfo - mercredi 6 mars 2019

21/03/2019

Droit des femmes, droit d'asile...

Dans le Journal "La Strada" de mars 2019, Mme Morgane Tymen s'emploie à l'occasion de la journée internationale du 8 mars consacrée traditionnellement aux droits des femmes dans le monde, de faire un bilan sur la situation des femmes lors des migrations. Six organisations (ADN,la Cimade, Habitat et Citoyenneté, LDH, le Graf, le Planning familial...) qui accueillent des demandeuses d'asile à Nice se sont unies l'an passé pour lancer une campagne contre la volonté de durcissement de la législation française: la Loi Asile et Immigration.

La question du mariage forcé est notamment cruciale au Burkina Faso, en Guinée, au Maroc, en Tunisie... Des jeunes filles, en effet, subissent des pressions sociales et familiales et, pour échapper à des unions arrangées contre leur gré, elles sont contraintes de fuir et d'émigrer avec tous les risques que cela comporte (viols, tortures...). Puis, lorsqu'elles demandent l'asile dans notre pays, leur demande d'hébergement n'est pas nécessairement prise en compte. Elles réclament davantage d'accompagnement, un accueil bienveillant, une écoute positive et sans jugement à l'OFPRA et partout où elles sont amenées à respecter des procédures longues et difficiles.

Pour en savoir davantage, joindre les sites des associations citées plus haut.

Lyliane

17/03/2019

Plastiques, que faire pour mieux les recycler et arriver à les réduire?

L'Association Agir pour l'environnement lance une campagne jusqu'au 31 /12/2019, en interpellant Mr le ministre de la transition écologique et solidaire, afin d'interdire les plastiques à usage unique et d'informer au sujet de la production polluante et dangereuse des matières plastiques et du gaspillage d'une ressource non renouvelable. Depuis les années 50, en effet, l'industrie chimique mondiale a produit 8,3 milliards de tonnes de plastique. Or, seuls 9% de ces plastiques ont fait l'objet d'un recyclage, 12% ont été incinérés et 79% ont terminé en décharge ou ont contaminé l'environnement.Il nous faut réagir vite, sinon ce seront 12 milliards de tonnes supplémentaires qui connaîtront le même sort d'ici 2050...

Il faut savoir que 582 molécules sont autorisées comme additifs ou auxiliaires de production de polymères. Outre cela, une multitude d'autres polymères (fibres textiles synthétiques, caoutchouc synthétique, sacs, bouteilles, emballages, filets de pêche...) produisent les 2/3 des rejets directs de débris de micro-plastiques dans nos océans. On estime en effet à 8 millions de tonnes les plastiques finissant à la mer. C'est notamment ce fameux septième continent au coeur de l'Océan Pacifique. Plastique contre plancton, c'est une véritable "bombe à retardement"!

Trop de substances dangereuses sont encore présentes dans nos produits de consommation pour autoriser leur recyclage en toute sécurité pour la santé ou l'environnement. Des lobbies essayent pourtant de faire croire aux pouvoirs publics  que cette contamination est mineure. Or il n'en n'est rien! L'Association Agir pour l'environnement demande à travers cette campagne:

- d'interdire les plastiques à usage unique (bouteilles, cotons-tige,verres et assiettes jetables...), les suremballages, les films plastiques...

- de déclarer la composition complète des plastiques et de leurs additifs, pour mettre en place un système de traçabilité.

- de faire adopter par la commande publique d'ici fin 2020 un plan de sortie  des plastiques à usage unique, l'amorce d'une ample"déplastification des lieux publics" comme maternités, hôpitaux...

Bref, il s'agit de montrer que la sécurité sanitaire et environnementale vis à vis des plastiques est pour le moment une faillite complète dans notre pays. Ce constat devrait enfin mettre en mouvement les agences chargées de veiller à notre santé comme par exemple l'ANSES, l'Agence de l'eau et l'Ademe. A nous de peser sur la législation et de demander que les choix politiques et économiques du pays soient réorientés pour minimiser la menace qui nous vise tout comme nos descendants.

Pour en savoir davantage, joindre sur Internet: www.agirpourlenvironnement.fr

Lyliane

 

16/03/2019

Financer la transition énergétique...

 De Stockholm à Paris en passant par Bruxelles, les jeunes manifestent pour demander une accélération de la lutte contre le réchauffement climatique. Ils ont raison....

Pour Edmond Alphandéry, ancien ministre de l'Économie et ancien président d'EDF, la question du prix du carbone est primordiale: elle peut modifier fondamentalement le fonctionnement du système économique. Si les émissions de gaz à effet de serre ont un coût élevé et s'il devient plus rentable de se tourner vers les énergies décarbonées, les entreprises le feront. Même les entreprises pétrolières!L'argument est juste: dans un monde gouverné par la recherche du profit, il est clair que les entreprises sauront réagir au signal prix donné par le coût du carbone. Mais on sait très bien qu'une telle politique va heurter nombre d'intérêts et que les résistances sont nombreuses. En dépit de l'organisation à travers le monde de plusieurs marchés de droits d'émission, qui donnent un prix (le plus souvent très faible) au carbone, malgré les tentatives d'instaurer des taxes carbone, la question est encore loin d'être réglée. Et, allant au rebours de l'argument avancé par Edmond Alphandéry, tant que les entreprises auront intérêt à avoir recours aux énergies fossiles, elles le feront, quelles que puissent être les conséquences sur le climat. Les crises à répétition montrent sans aucun doute possible que la cupidité du monde financier peut nous mener au bord du gouffre, et même un peu plus loin...
 
La finance, une technique qui peut être utile
 
Mais il fautse garder des généralisations abusives. Tous les financiers ne sont pas sans scrupules et, surtout, leur vision n'est pas toujours aussi court-termiste qu'on peut le croire. Si on leur démontre que leur activité, aujourd'hui prospère, peut être menacée demain par le réchauffement climatique et que le sud de Manhattan, là où sont installées quelques-unes des firmes les plus rentables de Wall Street, risque demain d'être sous les eaux, ils peuvent être amenés à réfléchir à la façon de mener leurs affaires.
 
«Mon véritable adversaire [...] c'est le monde de la finance», proclamait François Hollande en janvier 2012, lors de sa campagne pour l'élection présidentielle. Cette petite phrase lui a été ensuite beaucoup reprochée, parce qu'à l'évidence il ne pouvait ignorer le monde de la finance; il avait d'ailleurs pris comme secrétaire général adjoint à l'Élysée un associé-gérant de la banque d'affaires Rothschild & Cie, un certain Emmanuel Macron. Au-delà des jugements d'ordre politique ou moral que l'on peut porter sur elle, la finance est une technique, que l'on peut utiliser à des fins utiles, et un pouvoir, qu'un État peut réguler (s'il est assez fort et s'il agit intelligemment). Contrairement à une idée encore trop répandue, la finance et la lutte contre le changement climatique peuvent ne pas être incompatibles.
 
Des investissements socialement responsables
 
Depuis longtemps déjà, aux États-Unis notamment, des mouvements religieux se sont montrés soucieux de donner une dimension éthique à leurs placements, par exemple en refusant d'investir dans des sociétés d'armement. Plus récemment, cette tendance s'est laïcisée et généralisée, avec le développement des investissements ISR, investissements socialement responsables. Sous l'égide des Nations unies, six principes pour l'investissement responsable (PRI, Principles for Responsible Investment) ont été définis par et pour des investisseurs institutionnels. Ceux-ci s'engagent ainsi à effectuer leurs placements en prenant en compte des critères classés en trois catégories: environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). En Europe et aux États-Unis, beaucoup d'investisseurs ont rallié ce mouvement et les choses se font sérieusement, avec des agences de notation qui étudient les placements proposés sur ces bases extra-financières.
 
Les États peuvent encourager cette tendance. C'est le cas de la France, qui, par un décret de janvier 2016, a prévu la création d'un label ISR pour certifier la conformité d'un produit ou d'un service d'investissement à ces principes. Les textes officiels prévoient la procédure de certification, de surveillance et éventuellement de retrait du label. Mais le respect des critères ESG n'implique pas forcément un engagement très net en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Sur ce point précis, d'autres dispositions sont prévues.
 moins bien les critères ESG. Et enfin est appliqué un troisième filtre pour évincer les entreprises faisant l'objet de controverses sévères sur l'un de ces sujets ESG. Restent alors environ 700 entreprises auxquelles sont appliquées les analyses financières classiques et entre 60 et 90 d'entre elles sont mises en portefeuille. Les sociétés pétrolières sont-elles a priori exclues de ce processus de sélection? Non, car, souligne Arnaud Faller, directeur général délégué de CPR AM, «elles font partie de la solution».
 
Pousser toutes les entreprises à progresser
 
C'est une réponse qui pourrait désorienter plus d'un écologiste, mais qui plairait à Pierre Filippi, président de Fideas Capital, société de gestion indépendante qui pratique déjà l'investissement «Smart for Climate» dans le cadre de fonds dédiés (non ouverts au public). L'idée est simple: si l'on veut être efficace, il faut pousser l'ensemble des entreprises à progresser, il ne faut donc exclure aucun secteur, mais choisir dans chacun d'entre eux celles qui prennent le mieux en compte l'impératif climatique. Si cette pratique fait école et si les entreprises négligentes se voient mises à l'écart des portefeuilles par les gérants, elles seront incitées à progresser elles aussi.
 La sélection se fait avec le concours de Trucost, filiale du groupe américain S&P Global spécialisée dans l'information et l'analyse environnementales. Dans un premier temps, l'entreprise est jugée sur ses émissions de carbone, selon les règles en vigueur au niveau international dans le cadre du Greenhouse Gas Protocol: émissions directes de l'entreprise, émissions de ses fournisseurs d'énergie, émissions de ses autres fournisseurs. Ce point compte pour 20% de sa note. Ensuite l'entreprise est comparée à ses concurrentes, car il s'agit dans chaque métier de sélectionner les meilleures: le résultat compte pour 40% de la note. Enfin, pour les 40% restants, une évaluation des efforts fournis par l'entreprise dans les trois ou cinq dernières années est menée, car le but du jeu est bien d'inciter les entreprises à continuer de progresser.
 
Selon les simulations effectuées par Fideas Capital, un portefeuille géré selon ces critères peut avoir des performances tout à fait en ligne avec celles de l'indice STOXX Europe 600, qui constitue sa référence. Ce point est essentiel, car il peut seul permettre d'attirer les investisseurs. Si le choix d'une gestion soucieuse du climat doit se faire auprix d'une moindre rentabilité ou d'un risque spécifique, il y aura peu de volontaires et cela reviendrait à se priver d'un outil intéressant: un investissement de 90.000 euros effectué selon cette méthode aurait une empreinte carbone inférieure de 5,5 tonnes d'équivalent CO2 à celle d'un investissement classique; autrement dit, par son choix, l'investisseur refuserait l'émission de 5,5 tonnes d'émission de gaz à effet de serre. Ce n'est pas à dédaigner: selon les statistiques publiées par Eurostat, le niveau d'émission par habitant se situerait en France autour de 7,1 tonnes.

 
Pour le grand public
 
Si ce type de gestion se généralise et devient plus accessible au grand public, chacun et chacune pourra par son épargne faire pression sur les entreprises pour qu'elles réduisent leur empreinte carbone. Il est à souhaiter qu'on aille très vite dans cette direction, car la situation est peut-être plus grave encore qu'on ne le pensait jusqu'à présent. Selon The Economist, ExxonMobil s'apprêterait à augmenter sa production de pétrole et de gaz de 25% en 2025 par rapport à 2017. Et les autres grandes compagnies suivraient un chemin parallèle.

Gérard Horny - Slate - vendredi 1 mars 2019

15/03/2019

Climat : les jeunes se mobilisent et vous ?

MesOpinions.com : le site de pétition et sondage en ligne
Strike global for future 
'. $titre . '
 

Notre lycée, Léonard de Vinci, qui se situe aux Haute Loire à décidé d’agir.
Voir notre planète mourir, sans rien faire n’est pas concevable pour nous.

Un petit groupe d’élèves dont je fais partie à décider de suivre le mouvement de manifestation.
Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
Nous souhaitons faire bouger les choses à notre échelle.

Nous aimerions énormément que notre département se montre présent.
On veut que l’état, le gouvernement nous écoute et qu'ensemble on trouve des solutions.Notre manifestation doit être entendue mais sans réelle personne influente cela reste impossible.
Nous voulons que les médias se bougent et parlent de notre mouvement pour que d’autre lycée de notre département fasse aussi des manifestations.

Notre région doit agir, elle doit montrer sa colère. Nous sommes l’avenir mais sans notre source de vie, la Terre nous n’y arriverons pas..

Signez la pétition.

Grâce à elle nous pourrons peut-être avoir un impact un peu plus médiatisée en contactant un journal.

Merci d’avoir pris le temps de lire

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Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

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Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
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Tester une entreprise à but d'emploi...

Le Journal Télérama sous la plume de Mr Etienne Labrunie signale à tous l'émission Zone Interdite  programmée à 21H le dimanche 17 / 3 sur M6 au cours de laquelle un documentaire "Objectif zéro chômeur" filmé par Mme Marie-Monique Robin sera diffusé. Ce film propose de mettre en lumière une expérience sociale et sociétale de grande ampleur, les Territoires zéro chômeur de longue durée ou TZCLD.

Lancée avec le soutien d'ATD Quart Monde, notamment grâce à Mr Patrick Valentin, initiateur du projet, cette expérimentation s'étend sur dix territoires pilotes. L'idée est de "créer des entreprises  à but d'emploi" chargées d'embaucher en CDI et au Smic tous les chômeurs de longue durée volontaires et présents sur place depuis plus de 6 mois. Les structures, financées en grande partie par l'argent que coûte chaque chômeur en prestations sociales, se chargent ensuite de déterminer comment le nouveau salarié peut être utile à la collectivité.

La première expérience a débuté à Mauléon (Deux-Sèvres) en janvier 2017, là où Mme Robin a pu filmer comment 70 personnes travaillent dans 10 secteurs d'activité. Là, en effet, toutes les personnes qui se sont présentées ont été recrutées, créant des emplois qui participent activement à la transition écologique. Ce film est destiné à permettre une prise de conscience et à accélérer le temps administratif. 130 députés soutiennent, en effet, actuellement un projet de loi qui permettrait la généralisation des TZCLD. Ils poussent l'initiative portée par Mr Laurent Grandguillaume qui voudrait voir voté cette loi avant la fin de l'année 2019.

La plupart de ces expérimentations ont lieu dans des territoires ruraux, mais d'autres expériences sont en cours à Paris (13ème arrondissement) et à Villeurbanne.  Il faut savoir que depuis 40 ans, le chômage longue durée n'a cessé de progresser, passant de 15% à 45% des demandeurs d'emploi. Au lieu de percevoir des allocations de survie, les chômeurs veulent avant tout un emploi et devenir autonomes. C'est pourquoi, la proposition de réaffecter les budgets publics (Assedic,RSA, CMU...) pour financer des entreprises à but d'emploi mettrait fin à l'assistanat...

Il est donc recommandé de voir ce documentaire militant et humaniste, riche d'enseignements. Soutenons le projet d'élargir l'expérimentation à au moins 50 territoires et celui de faire voter une loi permettant la généralisation de ces TZCLD!

Lyliane

14/03/2019

Dégrèvement de la taxe d'habitation pour les étudiants, ce qu'il faut savoir...

Vous êtes étudiant, louez votre propre logement mais restez rattaché au foyer fiscal de vos parents ? Si vous voulez profiter d’une baisse de votre taxe d’habitation cette année, il va falloir réaliser quelques démarches auprès du fisc. Car dans votre cas, la réforme décidée par l’exécutif, visant à supprimer progressivement cet impôt pour 80% des ménages, ne sera pas appliquée de manière automatique, contrairement au reste de la population. C’est ce que l’on apprend dans une réponse de Bercy à une question d’un sénateur, repérée par les éditions Francis Lefebvre.


“De très nombreux étudiants ou apprentis, bien que rattachés fiscalement au ménage parental, sont amenés à louer des logements afin de poursuivre leurs études. (...) La très grande majorité d’entre eux n’ont que peu ou pas de ressources financières propres. Toutefois, il semblerait que la grande majorité d’entre eux continue de payer leur taxe d’habitation, alors même que leurs parents en sont exonérés, sous prétexte qu’il ne pourrait y avoir qu’une exonération de taxe d’habitation par foyer fiscal, que leur logement serait considéré comme une résidence secondaire, réponse ainsi faite par les services fiscaux à de nombreuses familles”, s’était ainsi inquiété Jean-Marie Morisset (Les Républicains),

En réponse, le ministère de l’Action et des Comptes publics indique que le logement de ces étudiants est bien considéré comme leur résidence principale et peut donc bénéficier des différents dispositifs d’abattements et d’exonérations relatifs à la taxe d’habitation. En particulier, donc, la mesure visant à supprimer progressivement cet impôt pour 80% des ménages. Pour rappel, celle-ci intervient en trois temps : une ristourne de 30% en 2018, de 65% en 2019 puis de 100% en 2020. Ce, pour les ménages dont le revenu ne dépasse pas un certain seuil (pour savoir si vous êtes éligible, il suffit d’utiliser ce simulateur).

Ce “dégrèvement d’office” est normalement automatique, dès que les conditions de
revenus sont remplies. Mais pas pour ces étudiants : “en pratique, leur imposition est établie sans prendre en compte le revenu fiscal de référence de leurs parents en l’absence de rapprochement automatique possible entre ces deux éléments. Il en résulte que le dégrèvement leur sera accordé sur présentation de l’avis d’imposition à l’impôt sur le revenu de leurs parents”, explique Bercy. Cette réclamation peut être effectuée via son espace personnel sur impots.gouv, par mail ou par courrier auprès de son centre des finances publiques, indique une fiche pratique du fisc.
Notez que ce sont les revenus de l’ensemble du foyer qui serviront à évaluer l’éligibilité à cette ristourne : les étudiants dont les parents ont des revenus confortables risquent donc de continuer de payer une taxe d’habitation plein pot, tant qu’ils restent rattachés au foyer fiscal. Par ailleurs, rappelons que la taxe d’habitation n’est pas due si vous n’étiez pas dans le logement au 1er janvier ou si vous occupez un logement dont vous n’avez pas l’usage total, comme une chambre en résidence universitaire ou située dans la maison d’un particulier.


Reste une question : si une personne concernée réalise la démarche maintenant, peut-elle bénéficier rétroactivement de la ristourne de 30% accordée l’an dernier ? Interrogée, la Direction générale des finances publiques ne nous a pas répondu...

Thomas LE BARS - Capital - jeudi 28 février 2019

12/03/2019

A propos de la pêche électrique...

Pour Claire Nouvian, présidente de l'ONG Bloom, la décision de l'UE d'interdire la pêche électrique est une grande réussite. Les États membres et les représentants du Parlement européen ont décidé mercredi soir de mettre un terme définitivement à la pratique de la pêche électrique. Jusqu'alors, des exceptions aux règles européennes permettaient principalement à la flotte néerlandaise de la pratiquer. L'interdiction sera effective au 1er juillet 2021, le temps de permettre aux chalutiers de se reconvertir.


La pêche électrique était largement décriée par les ONG de défense de l'environnement, accusée de tuer sans distinction la faune marine et de vider les océans. En figure de proue de la lutte contre cette pratique, l'ONG française Bloom, qui s'est battue pour parvenir à son interdiction. L'Express a demandé à Claire Nouvian, sa présidente, ce que représente cette évolution dans la législation communautaire.
L'Express : Comment accueillez-vous la décision des États membres de l'UE d'interdire la pêche électrique d'ici 2021 ? Claire Nouvian : On l'accueille très positivement, parce que c'est une énorme victoire. Lorsqu'on a commencé le combat contre cette pratique, on avait mis dans nos objectifs d'obtenir la fin des licences illégales de pêche électrique, mais même dans le meilleur des mondes on n'avait jamais pensé qu'on pourrait obtenir l'interdiction. On a quand même réussi l'impossible. Les lobbys néerlandais n'ont pas du tout compris ce qui leur est arrivé.


Après, le problème avec cette date de 2021, c'est que ça arrive tard pour les petits pêcheurs artisans. On a étudié les données des débarquements à la criée de Boulogne-sur-Mer depuis 2009, date à partir de laquelle la pêche électrique est vraiment entrée en concurrence avec eux. On s'est rendu compte que les pêcheurs artisans avaient perdu 75 % de leur volume de pêche, donc 75 % de leur revenu. Ils sont arrivés à un niveau de trésorerie si bas qu'ils ne peuvent continuer.
La victoire sera donc totale si les députés, à l'Assemblée nationale, interdisent au plus vite la pêche électrique dans les eaux territoriales françaises pour que les chalutiers néerlandais n'aient plus le droit de venir jusqu'à nos côtes. D'autre part, il faut un accompagnement financier pour les pêcheurs artisans, sinon on va perdre de nombreux métiers. Il reste donc encore des conditions à remplir pour que ce soit vraiment une victoire claire et nette.


Les Pays-Bas ont mis la pression sur la Commission européenne, en 2006, pour obtenir une exception au règlement qui interdisait les méthodes de pêche destructrices depuis 1998. Une dérogation pour la pêche électrique leur a donc été accordée à cette époque. La raison était que leurs grands chalutiers industriels perdaient de l'argent parce qu'ils ne pêchaient plus suffisamment de poissons.
Il leur fallait donc un artifice technologique pour continuer à pêcher les derniers poissons présents et ils ont obtenu, fin 2006, une exception au règlement sans aucune justification. Or nous avons démontré que cette décision entrait en contradiction avec les recommandations des scientifiques. Mais il y a eu une volonté délibérée de la Commission européenne de donner raison aux intérêts néerlandais, contre l'intérêt général.
La pêche électrique détruit l'environnement et le milieu marin. C'est catastrophique, c'est la mer brûlée. C'est du chalutage de fond, donc ça détruit tout ! Et comme ce type de pêche électrocute, il tue la vie dès ses premiers pas : les larves, les juvéniles, les oeufs, etc. sont décimés. C'est une catastrophe absolue. D'ailleurs, selon nos données, si les pêcheurs industriels continuaient avec cette pratique, ils finiraient eux-mêmes par disparaître, car à terme ils n'arriveraient plus à remplir leurs quotas à cause du manque de poisson.


Comment soutenir une pêche plus durable ?
On est en train de calculer, avec les pêcheurs artisans, l'impact de cette décision sur leur état financier. On va exiger du gouvernement français et de l'Union européenne un plan d'aide pour que ces métiers ne disparaissent pas, parce que les meilleures pratiques de pêche sont menacées de disparition.

On a des pêcheurs en France qui rejettent au maximum 6 % de leurs prises. En face, on a des Néerlandais qui rejettent jusqu'à 70 % du contenu de leurs filets. Et ce sont eux qui avaient gain de cause du point de vue de la loi depuis plus de dix ans. Il faut désormais qu'il y ait un renversement de situation très net et que l'aide publique soit vraiment destinée à préserver les petites entreprises familiales et les savoir-faire. Sinon, ils vont disparaître et on ne reviendra pas en arrière.
C'est un changement de modèle qu'il faut prôner. Si on veut préserver l'emploi, on est obligé de préserver l'environnement et la cohérence de nos choix économiques. Il faut donc s'assurer que nos subventions aident la préservation des meilleures pratiques, des emplois les plus vertueux et des entreprises qui maillent le territoire. Le nerf de la guerre, ce sont les subventions.

L'Express de 21/2/2019

Montagn'habits, un roc de solidarité!

Sous ce titre, Mme Aurore Harrouis dans le magazine "Nous" nous fait découvrir une association, basée à Saint Auban(06), qui collecte des vêtements déposés dans quelques 250 containers présents dans 3 départements limitrophes. Elle emploie entre 20 et 25 personnes et c'est la plus grande structure professionnelle et économique du pays grassois. Après la tournée des containers, les textiles récoltés sont mis en sacs et expédiés vers des plateformes de tri et vendus à des sociétés spécialisées dans le traitement des fripes (à Boulogne sur mer, en Allemagne et dans le pays d'Aix en Provence). Sept camions sont nécessaires pour assurer les tournées.

L' association, crée en 1998 par le Père Jacky Jobert et les élus du haut pays grassois, a surtout décollé en 2003, lors de l'arrivée de Mr Hubert Germain à la présidence de l'association. A l'époque, Montagn'habits récoltait une trentaine de tonnes de vêtements à l'année. Aujourd'hui, l'association en collecte 1650 tonnes. Grâce à des  dons, des aides et des subventions des institutions locales, "Montagn'habits forme et emploie des personnes en CDI ou en chantier d'insertion et ce faisant lutte contre la désertification du territoire".

Recycler le textile sert à limiter le gaspillage. Ainsi, 99,5% des marchandises collectées sont revalorisées à travers différentes filières. Par exemple, 3 vêtements sur 5 sont revendus à des friperies (5% en France et le reste à l'étranger). Les tissus de mauvaise qualité sont transformés en chiffons, d'autres sont broyés, effilochés pour fabriquer de nouveaux produits (isolants, rembourrage pour coussins...). Pour en savoir davantage sur le concept ou même pour créer une friperie solidaire, joindre Mr Hubert Germain ou le site: www.montagnhabits.com.

Lyliane

 

 

 

11/03/2019

Le langage des images avec l'Atelier du Cinéma...

Mme Valérie Hurier, dans une interview minute de Mme Frédérique Bredin pour le journal Télérama, nous fait part de l'objectif de l'Atelier du cinéma de familiariser les élèves au langage des images. En effet, la Présidente du Centre national du cinéma et de l'image animée est à l'origine du projet. Pendant 2 ans avec l'Education Nationale, l'Atelier cinéma s'est investi pour trouver comment apprendre aux élèves de CM1, CM2 et 6ème à lire les images. Ce projet devrait enfin permettre de toucher tous les enfants de cette classe d'âge grâce à un coffret et à un livret pédagogique pour faire jouer les élèves. Ils apprendront notamment toutes les étapes de la fabrication d'un film.

Constatant que les jeunes passent  en moyenne 4 heures par jour devant des écrans, sur Internet et à regarder des vidéos, Mme Bredin a voulu les éduquer aux images. Depuis novembre 2019, toutes les écoles peuvent retirer gratuitement l'Atelier cinéma  auprès des Inspecteurs de l'Education nationale ou dans les ateliers Canopé avant la fin de l'année. Selon Mme Bredin, 10% ont déja reçu le jeu. Les élèves doivent, en effet, apprendre que "toute image peut être transformée, qu'elle est le résultat d'une intention et qu'ils ne doivent donc pas toujours se fier à ce qu'ils voient". Toutefois, à l'âge de la curiosité, de la réflexion et de la consolidation des apprentissages,"cet Atelier peut aussi leur faire découvrir la magie de la création, les secrets de la fabrication d'un film et susciter des vocations".

Une initiative qui me semble utile et susceptible de renforcer les liens nécessaires entre le monde de l'école et la vie de tous les jours. Après les Semaines de la Presse au collège, permettant aux jeunes de constater comment, selon le regard du journaliste, l'information écrite peut être manipulée, un pas de plus pour tenter de décrypter le monde des images.

Lyliane

10/03/2019

Ateliers d'écriture du Figaro dès le 14/3/2019...

Après les ateliers d'écriture de Grégoire Delacourt et celui d'Étienne de Montety, le prochain démarrera le jeudi 14 mars, avec Mohammed Aïssaoui, écrivain et journaliste au Figaro littéraire. Il est l'auteur de L'Affaire de l'esclave Furcy (Gallimard, puis Folio), Prix Renaudot de l'essai, Prix RFO du livre, Prix du roman historique. Le texte a été adapté au théâtre. Il a également écrit L'Étoile jaune et le Croissant, Petit éloge des souvenirs et Le Goût d'Alger, et des fictions radiophoniques pour France Inter, dont Madame Bovary au tribunal, le procès fait à Flaubert.
Mohammed Aïssaoui a mis en place Les Ateliers d'écriture du Figaro littéraire. Il en anime depuis huit ans, en librairies et pour les entreprises. Combien sommes-nous à vouloir écrire et à «bloquer» sur un chapitre ou au milieu du gué? À commencer et à ne pas finir? À avoir des «bouts» de textes, des idées, des désirs, mais ne pas savoir quoi en faire? C'est justement le premier but de ces ateliers d'écriture. Arriver à «débloquer» ce genre de situation, mais aussi à désacraliser l'écriture - cela est très important. Chacun porte un livre en soi, et il existe des techniques pour le faire sortir de soi.
 
 Figaro littéraire : Les ateliers d'écriture - Regarder sur Figaro Live
 
Techniques d'écriture et ficelles du métier
On explorera les différentes pistes d'écriture et nous irons, pour les participants qui le désirent, à la rencontre des textes de chacun. Tous les territoires seront passés en revue: récit, roman, autobiographie, biographie, témoignages… L'atelier se propose d'accompagner chacun dans sa propre écriture et dans son projet personnel. À travers de nombreux exercices, mais aussi des travaux à la maison, on apprendra à reconnaître la singularité de son style, sa touche personnelle. À retravailler les textes, car écrire, c'est aussi réécrire. Savoir mener un récit et la discipline à tenir en fonction de ses objectifs sont des buts essentiels. Nous nous appuierons sur des techniques d'écriture et sur les «ficelles» du métier, parce qu'écrire est aussi une technique, même si ce n'est évidemment pas qu'une technique. Avec des exemples de questions que l'auteur se pose: quand se relire? Quand réécrire? Sur quels matériaux travailler, le réel, l'imaginaire, comment associer les deux?

Un écrivain ou un éditeur viendra lors d'une de ces six séances pour que les participants puissent lui poser les questions qui le souhaitent. À la fin du stage, le participant devrait repartir avec une confiance en soi et une discipline qui lui permette d'aller au bout de son projet, qu'il désire écrire pour lui-même ou pour être publié.
Vous pouvez contacter les Ateliers du Figaro Littéraire si besoin à l'adresse suivante: ateliersdecriture@lefigaro.fr
L'atelier se tiendra dans les locaux du Figaro, au 14, boulevard Haussmann, 75009 Paris.
 Détail des séances: les jeudis 14, 21 et 28 mars et les jeudis 4, 11 et 18 avril 2019.
 Pour les modalités pratiques et les inscriptions, Les Ateliers d'écriture du Figaro littéraire sont expliqués ici:
  Ateliers d'écriture / Figaro Store 

Le figaro.fr - Le Figaro - lundi 4 février 2019

Printemps Climatique et Social : rendez-vous le 16 mars !

 
jeu. 7 mars 18:06 (il y a 1 jour)
 
 
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Si ce courrier ne s’affiche pas correctement, cliquez ici.
Greenpeace
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S’il y a une mobilisation pour le climat à ne pas rater, c’est celle-là !

Notre printemps sera climatique et social. Les solutions existent : fiscalité écologique socialement juste, mobilité propre et alimentation saine et durable pour toutes et tous, développement massif des énergies renouvelables, fin des cadeaux aux grandes entreprises : le 16 mars, marchons ensemble, pour dire « ça suffit ! » et demander un changement de politique immédiat.
Plus de 70 évènements sont déjà prévus à travers toute la France : joignez-vous à la mobilisation en participant à un événement près de chez vous !
 
Je participe
Changeons de politique(s), pas de climat ! Nous sommes aujourd’hui des millions, prêtes et prêts à résister, à déployer les alternatives, à demander des comptes au gouvernement, Emmanuel Macron et Edouard Philippe en tête, mais aussi aux multinationales et aux banques. Il est temps de changer de système politique et économique, pour protéger l’environnement, la société et chacune et chacun d’entre nous.

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L’équipe Greenpeace <france@act.greenpeace.org>

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Parce que nous entrons dans l'ère de l'urgence climatique;
parce que l'inaction de nos dirigeant-e-s ne peut plus durer;
pour soutenir la jeunesse en grève pour le climat et demander une transition écologique juste qui ne laisse personne de côté;

soyons nombreuses et nombreux à descendre dans la rue le 16 mars !

Solidairement,
L’équipe de Greenpeace France
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Ce courriel a été envoyé à l'adresse lys06100@gmail.com
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09/03/2019

Une journée dédiée à l'avenir des petites filles...

Samedi 16 mars 2019 de 13h à 17H à la Cité des Sciences et de l'Industrie, le magazine ELLE et Barbie organisent la première journée parents/enfants. Le thème est le suivant: Power Girl, pour que vos petites filles puissent aller au bout de leurs rêves.

Il y aura des conférences, des rencontres avec des femmes inspirantes, des ateliers, des jeux et un goûter. Alors, si votre fille a entre 7 et 10 ans et si elle rêve de devenir astronaute, pompière ou footballeuse, cette journée est pour vous! Programme et inscriptions sur www.ellepowergirl.elle.fr.

Lyliane

08/03/2019

Les déchets du centre-ville peuvent être recyclés...

Dans la benne, une montagne de marc de café exhale un parfum aigre-doux, et se prépare à une deuxième vie: en Ile-de-France, le principal déchet des cafés-brasseries sert à faire pousser des pleurotes, champignons qui finissent dans les assiettes des clients de ces mêmes établissements.
Une fois trié, mélangé à du carton et du bois effilochés, ainsi qu'à des filaments de champignons, le marc de café est enfourné dans de longs boudins de plastique. Pendus verticalement dans l'obscurité, les sacs de substrat "incubent" pendant deux semaines.
"Nous reproduisons les conditions d'un sous-sol de sous-bois. La température et l'humidité y sont comparables" explique Arnaud Ulrich, l'un des deux fondateurs de UpCycle-La boite à champignons, basée à Saint-Nom la Bretêche (Yvelines), créée en 2014.
Tapi dans l'obscurité, le mycellium de champignon se multiplie, comme il le ferait sous les racines d'un arbre.Au bout de quinze jours, les sacs devenus tout blancs sont transférés dans une salle de "fructification".
Brusquement, on allume la lumière, on diminue l'humidité. Finies les vacances en forêt. Les sacs sont incisés, les pleurotes vont sortir.
"Les champignons sont +stressés+, ce qui leur donne envie de se reproduire, et de libérer leurs spores, donc de sortir du sac. Ensuite, il n'y a plus qu'à récolter", explique M. Ulrich.
Pour lui, l'agriculture urbaine doit d'abord être liée au recyclage des déchets organiques de la ville, et s'inscrit dans une logique d'économie circulaire. "30% des déchets urbains sont des biodéchets valorisables, et aujourd'hui seulement 5% de cette matière organique est recyclée" dit-il.
"Nous ne faisons que reproduire avec des méthodes modernes ce qui se passait au 19e siècle" ajoute-t-il.
Aujourd'hui, 20 tonnes de marc de café sont récoltées par mois, essentiellement dans les cantines de grosses sociétés de l'ouest parisien, pour produire environ deux tonnes de pleurotes, vendues 15 euros le kilo.
Depuis peu, les cafés parisiens sont appelés à se joindre au mouvement.
"C'est une démarche vertueuse, nous produisons entre 20 et 30 kilos de marc par semaine", explique Romain Vidal, 30 ans, patron de la brasserie Le Sully à Paris, l'un des pionniers de cette démarche de recyclage: "et notre cuisinier inscrit les pleurotes au menu pour les clients de la brasserie".
D'ailleurs, le chef se dit "ravi" de l'expérience: Cultivés de la sorte, les champignons sont denses, goûteux, et rendent "très peu d'eau à la cuisson".
Après chaque expresso, chaque capuccino servi au comptoir ou en salle, les garçons de café vident le marc dans des sacs, récupérés par le livreur à vélo de la marque de café.
A Paris, ville des bistrots et des terrasses, les ressources ne manquent pas. La capitale produit quelque 600.000 tonnes de marc par an, selon une estimation de UpCycle, qui accompagne des projets du même type dans plusieurs villes de France.
Après la récolte des champignons, le café entame même une troisième --et dernière-- vie, et retourne enfin à la terre.


Mélangé aux filaments de champignon et à la cellulose de bois, il est utilisé comme compost, baptisé "champost", par des horticulteurs et maraîchers.
Aujourd'hui, les deux associés se diversifient en installant des machines à produire du compost au pied de grandes tour de la Défense.
Alimentées par des biodéchets de restaurants (épluchures, restes de plats cuisinés, de viandes ou de poissons) ou d'espaces verts (tontes de gazon), les "Rocket", des tubes qui hachent menu, chauffent et malaxent, produisent en un temps record du compost, qu'ils vont utiliser pour produire... des champignons de Paris à partir de septembre.

Isabel MALSANG - AFP - vendredi 22 février 2019

07/03/2019

Nicolas Hulot fait avec la CFDT de nouvelles propositions...

Editorial. Le secrétaire général de la CFDT et l’ancien ministre de la transition écologique ont présenté, le 5 mars, 66 propositions dessinant un nouveau « pacte social et écologique », à rebours des choix du gouvernement.

Dans sa lettre adressée aux Français, le 13 janvier, le président de la République a fixé l’ambition du grand débat national qu’il a engagé : « Nous devons inventer un projet productif, social, éducatif, environnemental et européen nouveau, plus juste et plus efficace. » Il en attend « de nouvelles idées » et « de nouvelles manières d’envisager l’avenir ». Une vingtaine d’acteurs majeurs du monde associatif et syndical viennent de le prendre au mot.
Le « pacte social et écologique », assorti de 66 propositions d’action, qu’ils ont rendu public mardi 5 mars, constitue une réponse collective, charpentée et vigoureuse, à l’invitation présidentielle. Mieux, cette initiative esquisse, pour aujourd’hui et pour demain, un projet de société et un modèle de développement, en clair un projet politique alternatif.
Cette initiative pourra difficilement être écartée d’un revers de la main par le président de la République, quelles que soient ses réticences à admettre que les corps intermédiaires puissent intervenir dans le débat public au-delà de leur domaine d’action spécifique. Elle est en effet portée par trois syndicats (CFDT, CFTC et UNSA), par la Mutualité française et par des associations environnementales, sociales ou d’éducation populaire de premier plan (France Nature Environnement, Fondation Nicolas Hulot, Réseau Action Climat, Secours catholique, Ligue de l’enseignement, ATD Quart Monde, Cimade, Uniopss, France terre d’asile, etc.).
En outre, elle est défendue par deux têtes d’affiche dont la parole est tout sauf négligeable : le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, et l’ancien ministre de la transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot. Le premier avait été sèchement éconduit par le premier ministre, en novembre 2018, quand il lui avait proposé son aide pour répondre au mouvement des « gilets jaunes ». Le second avait démissionné avec fracas, en septembre, qualifiant de « mystification » la politique environnementale du gouvernement.


Mise en garde du chef de l’Etat
Que proposent-ils ? Au-delà des grands mots et des grands sentiments – redonner à chacun le pouvoir de vivre dignement, réconcilier transition écologique et justice sociale, partager le pouvoir entre gouvernants et citoyens –, bon nombre de leurs propositions partager le pouvoir entre gouvernants et citoyens –, bon nombre de leurs propositions vont à rebours de la politique ou de la philosophie du gouvernement.

Ainsi, en matière de fiscalité (taxation des hauts patrimoines, fin des dérogations accordées aux revenus du capital, fin des exonérations de la taxe carbone pour le transport aérien, maritime ou routier de marchandises…). De même en matière de logements (retour sur les coupes opérées sur les aides publiques et sur les ponctions sur les organismes d’HLM, investissement massif dans la rénovation thermique…), de retraites (garantie d’un niveau de pension au moins égal au smic pour une carrière pleine…), de vie des entreprises (plafonnement des rémunérations des dirigeants et adossement de leur part variable à la performance sociale et environnementale…) ou de vie démocratique (multiplication des jurys citoyens pour évaluer projets de loi et politiques publiques…).
Enfin, ils mettent en garde le chef de l’Etat contre la tentation, « l’erreur », insistent-ils, de penser « qu’il est encore possible de décider seul des conclusions » à tirer du grand débat. La réponse appartient à Emmanuel Macron. Mais il lui sera  difficile d’ignorer cette interpellation.

LE MONDE - Le Monde - mardi 5 mars 2019

Le 8/3/2019 combattre les violences faites aux femmes partout dans le monde...

Mme Cécile Coudriou, Présidente d'Amnesty International France, fait publier dans la lettre d'Amnesty à l'occasion du 8/3/2019, Journée Internationale des droits des femmes, un dossier concernant les violences faites aux femmes partout dans le monde. Les femmes sont, en effet, les premières victimes de la discrimination, du harcèlement et de la haine, notamment sur Internet.

De nombreuses personnes sont encore en danger ou réduites au silence quand elles défendent leurs droits. Les unes sont mariées de force dès leur plus jeune âge comme au Soudan, d'autres, paient un lourd tribut aux conflits armés comme au Nigéria, d'autres encore, réfugiées ou migrantes, subissent des violences inacceptables comme en Irak.

Au Maroc, par exemple, Mme Nasser Zefzafi, une mère de famille qui risque des années de prison pour ses critiques contre les autorités et d'autres militants comme Mr Nawal Benaissa, lui aussi inquiété par la justice marocaine, tous révoltés par des injustices  et la répression, ont commencé à se rassembler et à créer un mouvement nommé Hirak. Pour les soutenir et défendre avec eux les droits humains, joindre www.amnesty.fr.

La location revient en force!

Le  journal Télérama sous la plume de Mme Sophie Berthier s'emploie à valoriser l'évolution sociale qui nous pousse vers la location. En effet, au lieu d'acheter, de dépenser, de s'encombrer, quitte à se lasser et à jeter,de plus en plus de Français se tournent vers la location. Cette évolution est apparemment motivée par la baisse du pouvoir d'achat, mais aussi par la certitude que moins on possède, plus on est libre, écrit la journaliste.

Comme le numérique permet, grâce à des plateformes faciles à utiliser, de tout louer ou presque entre particuliers, sans chèque de caution, ni franchise (le prix de la location inclut l'assurance) pourquoi se priver? Il y a des sites généralistes comme placedelaloc.com ou allovoisins.com, qui privilégient la remise en main propre pour tisser des liens. Par exemple, on se retrouve dans un café, chez soi pour apporter ou récupérer des flûtes à champagne, un appareil à raclette, des outils de jardinage, un instrument de musique.

D'autres comme lougageparis.com ciblent des envies ou besoins plus précis : louer par valises les indispensables pour aller skier ou plonger. Chez www.artoteka.fr, on s'offre l'accrochage temporaire d'une oeuvre d'art chez soi.Alors pourquoi ne pas essayer?

Lyliane

06/03/2019

Des jeunes mobilisés contre le réchauffement de la planète...

Dans le journal gratuit C News du 21/2/2019 un article attire notre attention sur l'engagement des jeunes européens en faveur du climat. Ils n'hésitent pas à organiser notamment des marches et même des grèves de cours, à l'initiative de la jeune suédoise Greta Thunberg, pour dénoncer l'immobilisme des politiques. Les jeunes de la Suède, la France, l'Allemagne, la Belgique, les Pays Bas... se mobilisent et descendent dans la rue. Le mouvement "Fridays for future"(vendredis pour l'avenir) essaime peu à peu. Il s'est fait entendre à la Commission européenne à Bruxelles même pour tenter d'influer sur l'avenir de l'Europe.

Il est surtout question d'exiger des gouvernements qu'ils respectent l'accord de Paris de 2015. En effet, les politiques ne proposent toujours aucune initiative et ne semblent entreprendre aucune action. Pourtant il y a urgence à s'emparer du combat climatique. Le groupe d'experts du GIEC a insisté dans son dernier rapport sur la nécessité d'agir vite pour limiter le réchauffement à 1,5°C sous peine de conséquences dramatiques comme la fonte des glaciers, la montée du niveau des océans, la hausse des températures...

Il faut également savoir que 2 139 personnes jusqu'ici ont signé la pétition "L'affaire du siècle" pour attaquer l'Etat français en justice pour inaction climatique et obtenir enfin des actions du gouvernement. Réjouissons nous que des jeunes donnent l'exemple et tentent de faire bouger les lignes dans des pays où l'économie semble prendre le pas sur l'écologie. Ce mouvement pourrait peu à peu s'étendre à toute la planète...

Lyliane

Pour tenter d'en finir avec les plastiques...

Dans un livre riche en alternatives au plastique, un responsable de Greenpeace aide les citoyens à changer le monde à petite et grande échelle.
Tous les jours, retrouvez le fil vert, le rendez-vous environnement de Libération. Le lundi : une recommandation (livres, conférences, films, podcasts, etc.) de la rédaction.
Avec le retour des beaux jours, elles réapparaissent sur les terrasses. Sans le réflexe de la commande «sans paille, merci», de longs tubes en plastique vont encore être fourrés dans nos boissons jusqu’à leur interdiction début 2020. De nombreux citoyens n’ont pas attendu les lois et pactes passés avec les industriels pour tenter de déplastifier leur vie. Il est urgent de ralentir la pollution des océans causée par la matière «miracle». A commencer par les produits à usage unique qui représentent 70 % des déchets marins. La tâche peut sembler colossale. En finir avec le plastique apaise les angoisses grâce à des conseils avisés pour changer progressivement notre manière de consommer et inciter le reste de la société à en faire autant.


«Ce livre s’adresse à ceux qui veulent agir sans plus attendre, mais qui ne savent pas par où commencer», écrit en préambule l’auteur, Will McCallum, responsable de la campagne océans de Greenpeace Royaume Uni. Avant de dévoiler son plan de guerre contre le plastique, il établit un état des lieux concis et accessible de la situation actuelle. Principaux chiffres et phénomènes pointés par les études scientifiques, récits d’expéditions récentes, Will McCallum nous embarque dans le merveilleux monde de la pollution plastique, étendue jusque dans les endroits les plus isolés, et de ses conséquences sur la chaîne alimentaire, y compris chez l’homme. On attaque les chapitres suivants avec d’autant plus de motivation.


Des petits pas à l’activisme
L’auteur nous accompagne en cuisine, dans la salle de bains, la chambre, l’espace public et au travail pour supprimer ou substituer la matière incriminée. Il prend le temps d’expliquer les subtilités telles que le problème des emballages complexes (exemple : les gobelets en papier sont recouverts d’une fine couche de plastique à l’intérieur, ce qui empêche leur recyclage). Des tableaux vides permettent de noter les alternatives, sites, recettes retenues parmi la myriade de conseils. A chaque étape, le partage sur les réseaux sociaux est encouragé : signaler des hérésies type suremballage au supermarché, partager les astuces… L’auteur en profite (un peu trop, petit bémol) pour promouvoir le hashtag #BreakFreeFomPlastic créé dans le cadre de la campagne de Greenpeace. Enfin, la dernière étape est dédiée à l’activisme plus poussé. Une partie dans laquelle on retrouve des lettres types, des conseils pour se préparer aux rencontres avec des décideurs ou organiser des événements de sensibilisation.

Au fil des chapitres, les nombreuses interviews de responsables d’ONG et d’associations renforcent l’effet stimulant du livre. Les personnes interrogées livrent leurs préoccupations, expliquent leurs actions et donnent des pistes pour approfondir la lutte. L’une d’entre elles note par exemple que les pailles sont très utiles aux personnes handicapées. Il rappelle que la recherche d’alternatives au plastique jetable doit elle aussi être inclusive.
En finir avec le plastique, Will McCallum, éditions Marabout, 201

05/03/2019

Philosopher avec les enfants...

Les personnes formées au cours du parcours SEVE (Savoir Etre et Vivre Ensemble) de Mr Frédéric Lenoir organisent des ateliers à visée philosophique et méditation pour enfants de 6 à 12 ans de 45 minutes environ sur des thèmes simples et accessibles.

Les bienfaits sont le partage, l'écoute, le non jugement de ce qui est dit, et cela permet aux enfants de parler librement et de s'épanouir. Il y a en général quelques minutes de méditation, qui apprennent à ressentir la respiration et à apporter le calme en Soi.

A Nice par exemple, depuis janvier 2019, des ateliers ont lieu régulièrement à la salle Espace, 60 Rue Dabray. Sur Facebook à la page SEVE, on peut trouver tous les renseignements souhaités.

Lyliane

Une appli video Tip Top qu'adorent les ados...

Mr Philippe Dupuy dans le magazine "Nous" informe les lecteurs au sujet d'une nouveauté nommée Tik Tok, qui enflamme les jeunes depuis l'an dernier. Il s'agit d'une application de partage de vidéos, numéro un des téléchargements gratuits sur les stores Apple et Android. Tik Tok revendiquerait déjà plus de 500 millions d'utilisateurs dans le monde dont 2,5 millions en France. Il s'agirait de l'appli la plus utilisée des ados après Snapchat et Instagram.

La société chinoise qui l'a développée se nomme Bytedance et ce serait aujourd'hui la start-up la plus valorisée au monde devant Uber. On s'y inscrit en un clic avec son profil Facebook. Une première vidéo s'affiche à l'écran sous l'intitulé:"Pour toi". Le pseudo de l'auteur est au bas de l'écran avec le titre de la musique utilisée. A droite de l'écran, on peut liker, s'abonner, partager et savoir combien l'ont fait avant vous. Des milliers de clips courts (15 secondes) postés du monde entier sont aussi accessibles et défilent à l'écran.

Les utilisateurs et utilisatrices sont invités à se filmer en train de mimer leurs chanteurs et chanteuses préférés. Il y a aussi des tutoriels, des sketches, des performances, de la magie, du sport, des animaux et des mini-chorégraphies à reproduire sur une musique donnée. Il y a notamment une énorme bibliothèque d'effets et de musiques, que l'on peut partager dans un clic. On attend de ce fait une génération de Titokeurs après celle des Youtubeurs.

Pour en savoir davantage, consulter sur Internet: www.appdirectory.fr.

Lyliane