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23/01/2017

Suite de l'intervention de IPSN à propos des vaccins obligatoires...

     
  Institut pour la Protection de la Sante Naturelle  
 

Vaccin DTP : le rapporteur soutient l’IPSN !


Chère amie, cher ami,

Lundi 16 janvier 2017 a eu lieu une audience publique historique sur l’affaire DTP au Conseil d’Etat.

L’affaire en bref

Cette séance avait pour but de permettre au rapporteur nommé sur le dossier, de présenter ses conclusions.

Il faut essentiellement retenir qu’il nous a donné raison en recommandant :

  1. Que la décision de la Ministre refusant notre requête soit annulée ;

  2. Que le Conseil d’Etat enjoigne à l’Etat de demander aux laboratoires pharmaceutiques de produire des vaccins qui correspondent à l’obligation vaccinale.

Si la décision du Conseil d’Etat confirmait les recommandations du rapporteur, l’Etat disposerait alors de quatre mois pour demander aux laboratoires de produire une solution adaptée à l’obligation vaccinale.

Mais la décision revient au Président de l’audience publique. C’est à lui de trancher. Sa décision doit intervenir dans les 15 jours. 

Nous ne sommes donc pas encore au bout. Avoir réussi à convaincre le rapporteur est une étape essentielle, voire historique, dans cette affaire mais cela ne suffit pas.

Pour autant, la clarté de son exposé et la fermeté de ses propositions est déjà un motif de satisfaction et de soulagement.

Le Conseil d’Etat a pris au sérieux notre demande et il existe bien une faille juridique dans la mise en œuvre de l’obligation vaccinale aujourd’hui.

Afin de marquer votre soutien au rapporteur et de montrer aux autorités votre détermination dans ce qui reste, malgré les bonnes dispositions du rapporteur, unscandale d’Etat, n’hésitez pas à continuer à signer notre dernière pétition sur le sujet et à la faire circuler.

Pour vous permettre de saisir parfaitement les enjeux et les étapes de cette affaire,je vous propose ci-après un compte-rendu plus détaillé de ce qui s’est passé au Conseil d’Etat.


Bonne lecture,

Augustin de Livois

PS : Pour ceux qui seront des nôtres ce soir, nous pourrons aborder le sujet à l'issue de notre conférence. Vous trouverez également le programme complet des prochaines conférences ici. A tout à l'heure !

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Séance publique au Conseil d’Etat

Lundi 16 janvier 2017


Les étapes jusqu’à l’audience

En résumé, il y a eu trois étapes jusqu’à présent :

1. A la suite de notre pétition avec le Pr Henri Joyeux, l’IPSN a proposé aux personnes qui le souhaitaient de lancer une requête auprès de la Ministre de la Santé. 2300 citoyens ont répondu à l’appel et mandaté Maître Bergel-Hatchuel pour mener cette action. C’était le 13 novembre 2015.

2. La Ministre n’a pas répondu à notre requête dans le délai qui lui était imparti. Cela équivaut à une décision de refus. La date retenue pour ce refus est le 12 février 2016, date d’expiration du délai dont elle disposait pour répondre.

3. Nous avons saisi le Conseil d’Etat qui a ouvert le dossier, nommé un rapporteur et organisé une audience publique (le 16 janvier 2017). Dans le cadre de cette procédure, nous avons envoyé un mémoire de réplique à la Ministre que vous retrouverez ici (ainsi que le détail du travail de notre avocate ici).

Les arguments des requérants

Maître Bergel-Hatchuel, dans sa requête avait mis en avant trois arguments juridiques :

1. Le principe de précaution Souvent invoqué dans les questions environnementales, ce principe aurait dû être appliqué. En effet, l’Etat a laissé se mettre en place une situation où les parents, pour vacciner leurs nourrissons et se conformer à leur obligation vaccinale, n’ont d’autre choix que de recourir à un « super vaccin » qui contient de l’aluminium mais aussi le vaccin hépatite B, très controversé. Sur l’aluminium, les scientifiques ne sont pas d’accord. Le Pr Romain Gerardhi par exemple, a démontré que l’aluminium dans les vaccins pouvait présenter des risques pour la santé [1].

2. La vente liée En obligeant de fait les patients à avoir recours à un « supervaccin », l’Etat valide une « vente liée » des laboratoires, ce qui interdit en France. Ces derniers vendent trois vaccins de plus que ceux préconisés dans le cadre de l’obligation vaccinale. Au passage, ce glissement de trois à six vaccins au fil des années a permis une augmentationsensible du prix (x5).

3. La non-assistance à personne en danger Dans la mesure où la Cour de Cassation a jugé, par deux fois, qu’il pouvait exister un lien entre administration du vaccin hépatite B et apparition de la sclérose en plaques, Le danger potentiel de ce vaccin est acté officiellement.

Dès lors, laisser les citoyens s’exposer en utilisant un « hexavalent » à un risque grave potentiel s’apparente à de la non-assistance à personne en danger.

La réponse du rapporteur

En substance le rapporteur n’a pas repris tous nos arguments. Il n’en n’a même retenu qu’un seul.

Il a estimé que le principe de précaution ne pouvait s’appliquer qu’aux questions de santé liés aux problèmes environnementaux dans lequel n’entre pas la vaccination.

Il a écarté la question de la non assistance à personne en danger.

Enfin, il n’a pas préconisé de prendre en compte la question de l’aluminium dont, il a rappelé que « en l’état des connaissances actuelles » on ne pouvait pas dire qu’il présentait un danger pour les personnes vaccinées.

Cet « état » laisse une porte ouverte pour l’avenir et pour d’autres actions. En effet, la science évolue sur ce sujet ainsi qu’en attestent les travaux du Pr Romain Gerardhi ou du Dr Christopher Exley au Royaume-Uni.

Le fait que le rapporteur n’ait pas retenu tous les points que nous avions soulevés n’est pas fondamental.

Ce qui compte est que le rapporteur a recommandé que soit annulée la décision de refus de la Ministre et donc validé le principe de notre requête.

Voici ses arguments :

1. Il existe une discordance entre l’obligation vaccinale et l’impossibilité de la mettre en œuvre qui conduit à « une situation d’illégalité ».

2. La Ministre avait tous les moyens directs ou indirects, via les administrations sous la tutelle du Ministère de la Santé, de demander aux laboratoires pharmaceutiques de produire des vaccins correspondant à la vaccination obligatoire.

3. Il existe une différence entre vaccins obligatoires et recommandés.

L’obligation pour des parents de faire vacciner leurs enfants avant 18 mois est assortie d’une peine d’emprisonnement (6 mois). C’est une obligation lourde.

Juridiquement, les deux situations sont donc très différentes.

Et ainsi, obliger (sous peine de prison) des personnes à opter pour des vaccins recommandés ne permet pas de respecter le libre consentement du patient, garanti par la loi et nos libertés fondamentales.

Cette dernière déclaration est essentielle.

C’est évidemment sur ce terrain qu’il faut continuer à entreprendre des actions dans le domaine de la santé que ce soit par rapport aux vaccins ou d’autres traitements imposés.

Aucun Etat n’a le droit de s’arroger la possibilité de choisir comment ses citoyens doivent être soignés sans que ces derniers ne donnent leur consentement collectif et individuel.

S’il est possible d’envisager des exceptions à ce principe : épidémies, catastrophes sanitaires etc., il paraît nécessaire que ces exceptions soient très rigoureusement encadrées.

Bien au-delà de la question médicale et scientifique s’est donc posée la question du respect des libertés fondamentales des citoyens.

Dans un pays démocratique, le rôle des juges est de rendre la justice mais aussi de veiller aux libertés des citoyens (notamment face aux éventuels abus du pouvoir exécutif). En ce sens le rapporteur a parfaitement joué ce rôle. Espérons que son Institution ira dans le même sens que lui.

Nous attendons avec impatience la réponse définitive dans 15 jours et vous tiendrons informés, bien entendu.

22/01/2017

Cédric Herrou au procureur de Nice.

Suite à l’arrestation de Morgan, Lucille et Cédric, ce dernier écrit au procureur qui après une intervention musclée a libéré tout les prévenus sans aucune poursuite judiciaire malgré plus de 36h de garde à vue et d’énormes moyens mobilisés : près de 30 policiers casqués et armés, une mobilisation des militaires du dispositif "sentinelle", des lunettes infrarouges, des enquêteurs en civil ainsi qu’un drone. Le bilan de cette opération se réduirait à l’arrestation de ces 3 mineurs que Cédric avait pris en charge depuis plus d’un mois et pour qui il demandait aux pouvoirs publics une prise en charge. Ce bilan inclut aussi le traumatisme de l’infirmière de Médecins du Monde sur qui un policier a pointé son arme en hurlant, l’agression du journaliste de Libération plaqué au sol ayant subit par 2 fois une clé au bras et bien sur le choc vécu par ces enfants soudanais.

 

                         "Monsieur le procureur,


Vous avez fait pleurer ma mère, mon père.
Vous avez arrêté mon frère, mon amie.
Vous nous avez mis sous les verrous, traités comme des chiens, des malfrats.
Vous avez ordonné à une trentaine de gardes mobiles, armes aux poings, d’entrer sur mes terres, prendre ces trois enfants sans parents, qui attendent chez moi, depuis plus d’un mois d’être pris en charge par l’Aide Sociale à l’Enfance.


Ces enfants ont connu la guerre, la torture, l’esclavagisme.
Ces enfants que je protège
Ces enfants qui m’ont donné leur confiance.
Vous avez au nom de votre France, violé les droits de l’Enfant !
Ils attendaient sécurité de la part de notre pays!
Vous me savez sensible aux personnes que j’aide, aux personnes que j’aime.
Vous savez que ma liberté ne s’arrêtera pas aux barreaux de vos prisons et vous tapez là où ça fait mal !


Sachez Monsieur le Procureur que je resterai fidèle à mes convictions, que ma France, que notre France, continuera à défendre les droits des hommes, des femmes, des enfants présents sur le sol français au nom de nos valeurs qui fondent la République Française.


Ne pensez pas que je suis seul, nous sommes des milliers, des millions !


Chacun son métier, le mien c’est agriculteur, le vôtre c’est de faire respecter la Loi. Loi qui protège et fait que le vivre ensemble soit la règle primordiale de notre démocratie.


Vive notre France


et … celle que tu représentes."

 

 

Alexandre Mars, un entrepreneur social français...

 

 

Fils d'une maman altruiste l'ayant très jeune tourné vers les autres et d'un père entrepreneur, Mr Alexandre Mars, né en 1976, est parfois appelé le Bill Gates français. Personnellement, je n'en n'avais encore jamais entendu parler. C'est un ami de Mr F. Lopez, au cours de l'émission Mille et Une Vies sur la 2ème chaîne le 16/1/2017, qui a attiré mon attention sur cet homme multimillionnaire, qui a vendu toutes ses entreprises, il y a 2 ans, pour fonder Epic.

Dommage que les médias ne parlent pas davantage de lui, car son exemple est susceptible de faire école ou du moins de redonner espoir à ceux qui imaginent notre société figée et égoïste! Ayant fait des études brillantes, il a crée entre 17 et 40 ans successivement pas moins de 5 sociétés, qu'il a revendues à chaque fois avec un gros profit. En janvier 2015, n'ayant plus de société à manager, depuis New York où il s'est établi, il décida de renouer avec un rêve d'adolescence en lançant Epic, une start up à but non lucratif, qu'il finance personnellement à hauteur de 2 millions de dollars par an...

Son idée de base est de mettre en contact des donateurs potentiels avec des organisations humanitaires spécialisées dans l'aide à la jeunesse du monde. La Fondation Epic propose en effet un processus de sélection des projets à soutenir, un suivi grâce aux nouvelles technologies et un contrôle direct par les donateurs. En 2 ans, la Fondation a reçu 1400 demandes émanant de 85 pays. Son équipe composée de 15 personnes filtre les dossiers pour n'en garder qu'une vingtaine. Les critères sont leur impact, la qualité du management et l'état des finances de l'organisme sollicitant des dons.

Sur le terrain, on utilise GPS, tablettes, webcams et capteurs pour assurer la transparence. Les donateurs peuvent ainsi suivre en temps réel l'impact de leur don, ce qui est nouveau, qui les implique et les rassure. Tous les services d'Epic étant gratuits, le nombre de donateurs peut ainsi croître assez vite. Pour le moment, les dons sont réservés aux grosses sociétés, mais dans l'année 2017 Epic permettra les dons de tous. Mr A. Mars ne s'en tient pas là: il veut aussi jouer un rôle dans la candidature de Paris aux J.O de 2024, grâce au comité Sport et Société qu'il préside.

Cet acteur du changement est à ma connaissance l'un des rares philanthrope français. Pour en savoir plus, consulter sur Internet: www.epic.foundation.fr .

Lyliane

 

20/01/2017

Bientôt un programme de développement des énergies renouvelables en Arabie Saoudite...

ARABIE SAOUDITE - Bientôt un programme de développement des énergies renouvelables, lancé dans quelques semaines

Publié le 17 janvier 2017 par Le blog de l'écologie positive

ARABIE SAOUDITE - Bientôt un programme de développement des énergies renouvelables, lancé dans quelques semaines

L'Arabie saoudite, productrice historique de pétrole depuis 1 siècle, se tourne désormais vers les énergies renouvelables. Dans quelques semaines, ce pays lancera la première phase d'un programme consacré à l'implantation d'équipement de production d'énergie renouvelable, à hauteur de 10 gigawatts d'ici 2030.

Les énergies sollicitées sont le solaire et l'éolien, ainsi que la géothermie.

Outre l'intérêt énergétique pur, les autres objectifs du programme sont de diversifier l'économie du pays, encore très dépendante des hydrocarbures, mais aussi de créer des réseaux de production d'électricité interconnectés avec d'autres pays du Proche-Orient, l'Afrique du Nord-Est voire l'Europe.

AV.

 

19/01/2017

Défendre les populations contre le pillage de leurs ressources...

 

Selon la lettre du CCFD-Terre solidaire et le programme des Nations Unies pour l'environnement, ces 60 dernières années, plus de 40 % des conflits civils ont été liés aux ressources naturelles. En effet, l'exploitation de ces ressources, souvent au profit d'entreprises étrangères, est loin d'apporter la prospérité aux pays en voie de développement. Parfois même l'extraction des richesses est illégale et menée par des groupes armés. C'est notamment le cas dans l'est de la République du Congo, au Nord et au Sud-Kivu, où des régions entières sont déstabilisées.

 

Les populations locales, non seulement ne profitent pas du pillage de leurs ressources, mais elles sont souvent contraintes à y participer pour survivre. Taxées et rançonnées, elles subissent des traitements inhumains et sont la cible de multiples violences. Les enfants par exemple sont embauchés dans les mines, enrôlés par des groupes armés comme soldats...

 

La pollution de l'air, de l'eau et des sols par des produits chimiques lors d'exploitations minières sauvages affecte l'état de santé de ces populations locales. Des pans entiers de population préfèrent fuir. En République du Congo, selon le Haut-Commissariat aux réfugiés, 1,9 million de personnes ont du se déplacer et vivent en insécurité alimentaire. En Birmanie et au Pérou grâce à des associations partenaires du CCFD comme Info Birmanie et CooperAccion, la situation des communautés opprimées est dénoncée. Au Congo, le Cern œuvre sur place.

 

C'est aux dirigeants politiques et aux gouvernements que revient l'initiative de faire avancer la législation. Pour encadrer le commerce européen des minerais des zones de guerre, un accord a eu lieu par les Institutions Européennes en juin 2016. Mais la décision ne s'applique encore qu'aux entreprises importatrices de minerais bruts. Il faudrait l'élargir à tous les produits contenant des minerais.

 

Seuls 53% des français savent que les téléphones portables contiennent des minerais susceptibles d'être à l'origine d'atteintes aux droits de l'homme. Les habitants de la République du Congo commencent à réaliser que les produits de leur sous-sol servent à développer les Etats-Unis, l'Europe et l'Asie, alors qu'ils souffrent de la faim. L'exploitation des ressources d'un pays devrait être un moteur de croissance économique, de développement social et de réduction de la pauvreté pour ses habitants. La faim dans le monde n'est en effet pas une fatalité. A nous de faire entendre notre voix pour que l'humain revienne au centre de nos préoccupations électorales et citoyennes.

Lyliane

 

 

18/01/2017

La France doit protéger ses terres agricoles...

 

 

Sous ce titre, le journal gratuit «20 minutes», à travers des propos recueillis par Mme Céline Boff, reprend les propos du député PS Mr Dominique Potier. Celui-ci en effet a déposé une proposition de loi visant à lutter contre «l'accaparement des terres agricoles». Cette proposition a été examinée le mercredi 11/1/2017 par la Commissions des Affaires Economiques de l'Assemblée Nationale, puis passera en séance publique le 18/1/2017.

Ce texte montre comment la concentration du foncier dans les mains des plus puissants financièrement est à l'oeuvre en France et dans le monde et qu'elle se fait au détriment du renouvellement des générations d'agriculteurs. Il dit que «nous cherchons à avoir des fermes et non des firmes». Les sociétés agroalimentaires aux fonds spéculatifs ne permettent plus aux agriculteurs potentiels de s'installer ou aux existants d'agrandir leur propriété.

Mr Potier compare les emplois crées par une ferme de 1000 ha très mécanisée et ceux engendrés par 10 fermes de 100 ha. Selon lui, la première vise l'enrichissement de son propriétaire et ne met en culture que deux ou trois cultures. Souvent même son but est l'exportation. Les petits propriétaires fonciers par contre défendent la souveraineté alimentaire de leur région, emploient de la main d'oeuvre locale et diversifient leurs plantations, afin de les vendre sur les marchés régionaux.

Les Sociétés d'Aménagement Foncier et d'Etablissement Rural ou SAFER sont chargées de surveiller les transactions et de donner leur aval. Mais actuellement cela ne vaut pas pour toutes les transactions. Le nouveau texte proposé devrait permettre aux Safer d'intervenir sur tous types de transactions et d'acheter le foncier en lieu et place des fonds spéculatifs. Les Safer ont en effet des fonds propres pour mener à bien ce genre d'opération. Cela permettrait notamment de réguler le marché et d'éviter les abus. La priorité d'achat serait donnée aux paysans.

Cette proposition de loi, déjà déposée dans le projet de loi Sapin 2, mais rejetés sur la forme par le Conseil Constitutionnel, a cette fois des chances de passer, estime le député PS, car elle est soutenue par le gouvernement actuel. Espérons donc que l'accaparement des terres agricoles par de grosses sociétés, phénomène encore limité heureusement, ne se fera plus au détriment des paysans français.

Lyliane

 

17/01/2017

Réponse de Sébastien Nadot à propos de l'étiquetage alimentaire...

 Réponse de Sébastien Nadot

10 JANV. 2017 — Avant d’être candidat du Mouvement des Progressistes (MdP) pour l’élection présidentielle, je suis un citoyen, un consommateur et aussi, professeur d’éducation physique et sportive actuellement en exercice en collège, lycée et CFA.

- En tant que citoyen, je ne peux accepter qu’un système d’étiquetage soit éliminé au prétexte que les grands groupes de l’agro-alimentaire n’en veulent pas et que par suite, ils menacent de ne pas l’appliquer sur leurs produits. En aucun cas les groupes de l’agro-alimentaire n’ont à imposer leurs vues quand il est question de l’intérêt général et de la santé publique.

- En tant que consommateur et faisant mes courses régulièrement, je trouve nécessaire de bénéficier d’une information claire, facile et rapide d’accès. Autant de qualités que l’on peut trouver dans l’affichage 5C / Nutriscore. Bien sûr tout système d’évaluation présente ses avantages et inconvénients et cet affichage n’échappe pas à la règle mais il répond au souci prioritaire du consommateur : est-ce que j’achète là un produit de bonne ou mauvaise qualité nutritionnelle ?

- En tant que professeur d’éducation physique et sportive, je travaille quotidiennement pour installer des habitudes d’activité physique et de moindre sédentarité pour une meilleure santé (notamment pour réduire les risques liés à l’obésité). Cet objectif ne peut être atteint complètement par ma seule intervention et par la qualité et la quantité d’activité physique des élèves. Elle repose en grande partie sur les aspects nutritionnels et les habitudes alimentaires des enfants. Hors ces aspects dépendent fortement des usages familiaux et renvoient à de fortes inégalités sociales.
La « malbouffe » accompagnée d’une réduction notable de l’activité physique des jeunes générations est un fléau dont les pouvoirs publics n’ont pas encore pris la mesure.

- Enfin, en tant que responsable politique, je tiens à souligner que c’est l’Union Européenne qui a rendu obligatoire l’étiquetage nutritionnel, visant par là l’amélioration de l’information du consommateur sur le plan nutritionnel afin de faciliter ses choix. La France, par ailleurs très souvent critique à l’égard des décisions de l’U.E., doit se montrer responsable et marquer ici comme ailleurs sa détermination à ne pas rendre cette décision inopérante.
Un des axes stratégiques du Programme National Nutrition-Santé (initié en 2011) avait pour objectif de réduire les inégalités sociales de santé par des actions spécifiques dans le champ de la nutrition, au sein d’actions générales de prévention. Pour y parvenir, il prévoyait de « favoriser l’accessibilité à des aliments de bonne qualité nutritionnelle » notamment par « l’amélioration de l’information du consommateur sur le plan nutritionnel ». La France doit être au rendez-vous !

Comme des milliers de consommateurs français, je souhaite donc l’étiquetage le plus simple, le plus clair, le plus intelligible, pour pouvoir comparer facilement les articles alimentaires semblables au rayon de notre magasin, et ainsi faire mes choix en connaissance et en conscience. J’ajoute qu’il est nécessaire qu’un accompagnement éducatif soit mis en œuvre afin qu’une information et une éducation adéquate soient assurées au consommateur.

Sébastien NADOT,
Candidat du MdP à l’élection présidentielle

Nadot2017

Des nouvelles et des RV pour les adeptes de la Santé naturelle...


1. Audience au Conseil d’Etat sur le “vaccin DTP”, Paris
Ce sera à 14 heures en audience publique, les chambres 1 et 6 du Conseil d’Etat se réunissent pour délibérer sur la requête que nous avions formulée avec 2500 mandataires auprès de la Ministre de la Santé. Il est possible que la décision rendue soit historique.J’attends en tout cas ce moment avec beaucoup d’émotion. Espoir et crainte sont mêlés. L’impatience est à son comble ! J’y serai naturellement… Et vous ferai un compte rendu détaillé de ce qui s’est passé.
Vous pouvez encore signer notre grande pétition sur le sujet ici.



2. Conférence sur la bonne humeur, Professeur Michel Lejoyeux
C’est jeudi 19 janvier à 19h30 à la Maison des Associations (10 rue des terres au curé, 75013 sur le thème “Les 4 saisons de la bonne humeur”
Informations et inscriptions ici.



3. Conférence sur l'eau, Thibault Geluyckens 
Le 26 janvier prochain a lieu une conférence sur l’eau à Paris (104, rue de Vaugirard, 75006) avec Thibault Geluyckens, spécialiste du sujet.
Informations et inscriptions ici.



4. Les Journées du Microbiote, Louvain-la-Neuve
N’oubliez pas de vous inscrire aux Journées du Microbiote à Louvain-la-Neuve (Belgique) qui commencent le 11 février prochain.
Informations et inscriptions ici.



5. Les Académies de Santé Naturelle, Aix les Bains
A Aix les Bains, du 10 au 12 mars 2017, auront lieu les Académies de Santé Naturelle. L’IPSN est partenaire de cet événement de qualité auquel je me rends tous les ans. A “l’affiche” cette année, le Docteur Michel de Lorgeril parlera des maladies cardiovasculaires et comment les éviter.
Informations et inscriptions ici.



6. Congrès de Psychologie, Lyon
Enfin, se tiendra à Lyon, un intéressant congrès de psychologie les 18 et 19 mars prochains, auquel j’assisterai et dont l’IPSN est partenaire.
Informations et inscriptions ici.



Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

16/01/2017

Une bonne nouvelle: création du plus grand sanctuaire marin!

 

 

Depuis des années, l'ONG Greenpeace mène une campagne pour la protection de la flore et de la faune de la Mer de Ross en Antarctique. Baleines, manchots et autres membres de la riche biodiversité de cette zone seront dorénavant protégés! Couvrant une superficie de 1 550 000 km 2, soit environ la taille de la Mongolie, ce sanctuaire sera la plus vaste aire marine protégée au monde, écrit un journaliste du journal Biocontact de janvier 2017.

Pour obtenir cet accord, il a tout de même fallu inclure une clause temporelle de 35 ans, ce qui fait qu'au bout de ce délai, en 2051, il faudra rediscuter du sort de ce sanctuaire marin. C'est malgré tout une victoire, qui s'ajoute à celle de la décision prise par le président Obama d'étendre la réserve marine de Papahanaumokuakea dans l'archipel hawaïen et de créer le premier monument marin national dans l'Atlantique au Nord Est des Etats-Unis, là où canyons et monts sous marins abritent une biodiversité rare.

Au Chili, nous pouvons également nous féliciter de la création d'un immense parc marin autour de l'île de Pâques. Le Royaume Uni à son tour a lancé un programme visant à étendre sa zone de protection marine à 4 millions de km2. Toutefois, ces victoires ne doivent pas faire oublier le long chemin à parcourir avant d'obtenir 30% de réserves marines en 2030.

Les scientifiques insistent sur le fait que les sanctuaires marins sont vitaux pour protéger la biodiversité, reconstituer les stocks de poissons et faire face aux changements climatiques. Il s'agira surtout à l'avenir de pouvoir juguler l'appétit des lobbies de la pêche industrielle. L'Alliance pour l'Océan Antarctique, des milliers de citoyens du monde ainsi que des ONG comme Greenpeace siégeant au sein de Commissions pour la conservation de la faune et de la flore marine devront continuer à peser sur les gouvernements des Etats du monde, afin d'obtenir une protection marine sur le long terme.

Pour en savoir davantage, consulter notamment: www.greenpeace.org .

Lyliane

 

13/01/2017

Pétition de la santé Naturelle à propos des 11 vaccins désormais obligatoires...


 

Vacciner ou instruire, il faut choisir !

 

 Chère amie, cher ami,

A la suite de notre grande pétition de 2016 demandant le retour du vaccin DTP, Marisol Touraine avait décidé de proposer au public de participer à une « concertation citoyenne ».

La concertation a eu lieu.

Le comité de vaccination qui la présidait a rendu son rapport le 30 novembre. Il est édifiant !

Il préconise de rendre obligatoires 11 vaccins pour les nourrissons et propose, pour ceux qui s’y refusent, de ne plus les laisser accéder aux services publics collectifs !

En clair, pas de vaccin, pas d’école !

Si personne ne réagit, ce chantage des autorités, suffisamment grave en soi pour être souligné et susciter la colère, n’est rien à côté du plan d’action que pourraient mettre en œuvre les autorités afin de vous imposer ces vaccins (dont certains sont largement controversés).

Pour ma part, je tiens à rappeler que la position de l’IPSN est très claire : nous ne remettons pas en cause la vaccination en tant que telle, mais le fait qu’elle s’impose à tous obligatoirement. Le contrevenant s’expose à des peines de prison !

Si ces vaccins étaient absolument sûrs, cela ne serait peut-être pas un problème. Mais ce n’est pas le cas. Le rapport le dit lui-même. Et c’est, du reste, la principale raison pour laquelle il existe une défiance du public.

Une réponse à la défiance du public

La première chose rappelée est que toute cette activité du gouvernement a été mise en place pour répondre à la méfiance grandissante des Français vis-à-vis des vaccins. En effet, la première phrase du rapport précise :

« Il existe en France une relative défiance à l’égard de la vaccination, qui se traduit par une couverture insuffisante pour certains vaccins, susceptible de conséquences infectieuses graves »

Les autorités ont peur que vous ne soyez pas vaccinés.

Et, afin de vous rassurer, le rapport précité veut que l’Etat ne lésine pas sur les moyens. Il préconise d’emblée un plan d’action en faveur des vaccins englobant une série de mesures « toutes indispensables pour rétablir la confiance ».

En regardant de près ce qui est proposé, on s’aperçoit que ces mesures risquent de provoquer l’exact contraire de ce pourquoi elles seraient mises en place.

Surtout, en lisant entre les lignes, on peut voir une volonté très nette de la part des concepteurs de ce plan de reprendre complètement en main le dossier « vaccin » en exerçant un contrôle absolu sur les populations.

Le simple fait d’avoir mis en balance l’accès à l’école et la vaccination des enfants paraît invraisemblable. Et le fait que cette proposition émane d’un rapport commandé par l’Etat est inadmissible !

J’ai repris ci-après les mesures proposées par le rapport (en vert) que je vous ai commenté (en noir). Vous allez voir que le plan proposé est à la fois très cohérent et terrifiant.

On peut classer les propositions en trois catégories :

  • les vœux pieux pour rassurer les citoyens,

  • le contrôle absolu de l’information,

  • le contrôle resserré de l’application des mesures préconisées.

Il est à noter avant tout que toutes ces mesures existent déjà. Les propositions ne visent en réalité qu’à les renforcer.

Les voeux pieux

  • Ecoute des populations et des professionnels

Cela ne mange pas de pain.

En attendant, il est très rare que des médecins reconnaissent le lien entre un vaccin et un effet secondaire constaté par les rapports.

Il est tout aussi rare qu’un médecin interroge son ARS sur les réactions aux vaccins qu’il constate au sein de son cabinet. Il sait qu’il risque d’être dénoncé à l’Ordre ou à la sécurité sociale. Cette proposition est un vœu pieux.

Les médecins, rappelons-le, sont rémunérés pour certains actes vaccinaux (par exemple, le vaccin contre la grippe). Par ailleurs, chez les nourrissons, les vaccins représentent un tiers du revenu des pédiatres. L’information vient d’un rapport de la Cour des Comptes de 2012.

C’est assez dissuasif, non ?

Imaginez une épicerie. Si un tiers des revenus vient d’un seul produit, pensez-vous que le commerçant souhaitera remettre en cause la vente de ce produit ? La comparaison peut paraître triviale. Mais le soignant, autant que le commerçant, a besoin de vivre. Ce type de considération peut jouer sur le dialogue et l’écoute.

  • Transparence de l’information et des experts

Il serait temps. Mais est-ce crédible ?

Le Président du Comité de Vaccination qui a rédigé un rapport [1], le Pr André Fisher, a lui-même été récompensé pour son travail scientifique par les laboratoires. Cela n’est indiqué nulle part dans le rapport, ni sur le site de la consultation citoyenne.

Par ailleurs, les données des études menées dans le cadre de la vaccination restent entre les mains des grands laboratoires pharmaceutiques.

Enfin, les formules-même des vaccins et les étapes de leur fabrication – qui relèvent du secret industriel – ne sont pas accessibles au grand public. Vouloir la transparence, quand on sait qu’elle est impossible, est-ce de l’hypocrisie, de l’escroquerie ?

Le contrôle absolu de l’information

  • Diffusion à partir d’un site unique et connu de tous d’informations validées par un collectif d’experts indépendants

C’est parfait : une seule source d’information validée par quelques-uns...pour tous ! Et comment va-t-on appeler ce nouveau média « indépendant » ? Je propose la “pravdadesvaccins.com

La seule manière d’assurer une information complète sur un sujet est de favoriser la multiplicité des sources et des avis. C’est comme en démocratie : avoir un parti unique met tout le monde d’accord, mais n’est pas nécessairement représentatif de la réalité des intentions de vote !

  • Formation des professionnels de santé

En effet, dès lors que l’on contrôle l’information, il est bon également de contrôler la formation de ceux qui doivent l’appliquer. C’est cohérent.

Les professionnels de santé seront-ils également formés à corriger les effets secondaires des vaccins ? Car il faut savoir que c’est possible en homéopathie, à travers une série de médicaments que l’on appelle des isothérapiques (qui ne servent pas que pour les vaccins).

  • Sensibilisation des médias

Qu’ils se rassurent, les médias sont déjà unanimes. Aucun grand média national ne propose une réflexion sur la question de la vaccination obligatoire.

Cela dit, nul ne saurait maîtriser la communication sur un sujet sans s’être d’abord assuré du soutien des médias.

Restent les réseaux sociaux et les médias indépendants !

Le contrôle de l’exécution

  • Implication de l’école

Evidemment. Si on ne peut plus passer par les parents, passons par les professeurs et les infirmières d’écoles ! Mais quel directeur d’établissement serait assez fou pour accepter de prendre le risque de faire des campagnes de vaccination au sein de son propre établissement ? Il sait qu’il serait automatiquement responsable de tout effet secondaire qui pourrait survenir dans ses locaux. C’est la loi. Cela a été rappelé de manière très argumentée par l’association UNACS, dans une lettre adressée aux chefs d’établissements.

Sans compter qu’il y a peut-être d’autres priorités pour les écoles que d’être des centres de vaccination !

  • Facilitation de la pratique de la vaccination

Derrière cette idée, il y a surtout une question financière. La vaccination doit être gratuite pour tous et rémunératrice pour ceux qui la pratiquent.

C’est en effet un moyen efficace de convaincre les gens : c’est gratuit !

Mais si un produit est bon, faut-il vraiment mettre en œuvre des budgets publics – on parle de vos impôts, rappelez-vous – pour qu’il se diffuse?

Personne, dans le fond, n’a envie « d’attraper » la poliomyélite, la diphtérie ou le tétanos !

Ainsi la majorité des gens sont favorables à la vaccination, surtout contre de telles maladies. Mais lorsqu’elle est proposée avec un revolver sur la tempe, les patients ont du mal à se dire qu’on ne leur veut que du bien. Faut-il leur en vouloir?

  • Suivi par le carnet de santé électronique

Il n’y avait pas de raison de ne pas chercher à impliquer les nouvelles technologies dans le débat. Le suivi électronique est très pratique. Il est aussi très sûr pour la personne qui surveille !

  • Programme de recherche sur la vaccination

C’est la dernière pierre à l’édifice : en contrôlant la recherche, on est certain de garder la main sur l’argument central martelé par tous les médias : “les chercheurs l’ont dit, les vaccins sont sûrs. Acceptez donc qu’ils soient obligatoires, c’est pour votre bien et celui de vos enfants !”

Si ce plan venait à s’appliquer, nous n’aurons plus beaucoup d’espaces où dire nos doutes, nos inquiétudes par rapport à un acte médical qui, comme tous les autres, n’est jamais totalement anodin.

Pas de vaccin, pas d’école !

Je reconnais avoir été particulièrement choqué par ce que le rapport nomme “clause d’exemption” pour l’école et les crèches.

Les citoyens ne souhaitant pas voir leur enfant soumis à 11 vaccins obligatoires devront signer un papier actant leur renoncement à accéder à la crèche et à l’école.

C’est le principe même de l’ostracisme !

Chez les grecs de l’Antiquité, à Athènes notamment, l’ostracisme était une sanction prononcée à l’encontre d’un citoyen qui était banni de la ville pendant 10 ans.

Comme cela a déjà été fait par le passé, on crée d’un coup des citoyens de seconde catégorie :

  • comme les huguenots sous Louis XIV, qui dûrent s’exiler lorsque l’édit de Nantes fut révoqué. Etre protestant dans le royaume était devenu interdit ;

  • comme les juifs, sous l’occupation allemande, à qui l’Etat français imposa le port de l’étoile jaune.

Nous sommes en 2017. Comment peut-on encore en arriver à de telles propositions ?

Il ne faut pas sous-estimer la gravité des attaques contenues dans ce rapport.

Rappelez-vous que les pires atrocités ont souvent été commises après avoir été annoncées. On savait ce qu’il y avait dans le programme d’Hitler, lorsqu’il a été élu. On sait aujourd’hui ce que veulent nous imposer les autorités à travers ce rapport.

Vous me direz ce n’est pas la même chose, ce n’est pas un état armé, etc., etc.

Mais mettre en balance l’accès à l’école en échange de la vaccination obligatoire est en réalité très violent. Vouloir utiliser tous les moyens actuels dont dispose l’Etat pour imposer une politique de santé à l’ensemble de la population (propagande, fonctionnaires, sécurité sociale, répression…) est aussi violent. 

C’est la raison pour laquelle, j’ai lancé un appel à signer une nouvelle pétition à destination des autorités pour faire opposition à ce rapport et aux propositions scandaleuses qu’il contient.

Et croyez-bien que l’étendue de votre mobilisation sera déterminante pour faire reculer les autorités.



N’hésitez pas ! Signez et faites signer notre grande pétition !

Nous sommes déjà plus de 300 000 citoyens à nous indigner contre ces mesures totalitaires !

La pétition est disponible ici :

http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php



Vous pouvez retrouver notre argumentaire complet sur notre site :

http://www.ipsn.eu/actualites/petition-france-bientot-11-vaccins-obligatoires/

 

Je compte sur vous !

Un immense merci d’avance !

 

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois





  




 

Sources : 

[1] Rapport de la concertation citoyenne sur la vaccination


Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
Association loi 1901 sans but lucratif
21 rue de Clichy
75009 PARIS
www.ipsn.eu


 
 
 

12/01/2017

Où en sommes-nous avec le climat?

 

Selon Yveline Nicolas, coordonnatrice de l'Association Adéquations, qui écrit dans le Journal Biocontact de janvier 2017, l'objectif de contenir la hausse des températures moyennes sur la planète en dessous de 2°C en 2100 tout en limitant graduellement cette hausse à 1,5°C reste conditionné à l'engagement des Etats industriels, qui bloquent les négociations sur les questions agricoles notamment...

La COP 22, tenue à Marrakech(Maroc) du 7 au 18/11/2016, a fait suite à l'Accord de Paris sur le climat entré en vigueur le 4 novembre 2016. La Proclamation de Marrakech appelait à une solidarité forte avec les pays les plus vulnérables aux impacts des changements climatiques. Elle visait à soutenir les efforts pour éradiquer la pauvreté, assurer la sécurité alimentaire et renforcer coopération, financements et technologie des pays développés vers les pays en voie de développement. Les 12 jours de négociations se sont néanmoins achevés sur un résultat modeste.

La prochaine Conférence sur le climat, prévue à Bonn (Allemagne) en 2017, devra aborder tous les points laissés de côté pour limiter les gazs à effet de serre (GES) et faire avancer les droits humains. Entre temps, selon la FAO, près de 100 millions de personnes supplémentaires pourraient être touchées par la pauvreté. L'Afrique en effet, qui n'émet que 4% des émissions mondiales de GES, est déjà touchée par le réchauffement climatique pour 65% de sa population...

Même si le bilan de la COP 22 paraît modeste, une profusion d'initiatives privées ou avec de multiples acteurs a impliqué différents secteurs de la société, notamment aux niveaux territoriaux. Cet espace Société civile de la Conférence de Marrakech montrait en effet des ateliers et des stands en faveur de l'agriculture, du recyclage des déchets, de la pêche durable, de la bioconstruction et de la gestion de la biodiversité. Les femmes et leurs savoirs locaux ont particulièrement pointé les déséquilibres et appelé à défendre les droits environnementaux.

Espérons que les climatosceptiques de tous bords (des USA notamment depuis l'élection de Mr D.Trump) ouvriront leurs yeux, car les Etats-Unis sont le deuxième émetteur mondial de GES après la Chine. Il revient, à mon avis, à la société civile de ce grand pays de faire pression sur ses gouvernants pour qu'ils évoluent sur la question. Pour en savoir davantage, consulter sur internet: www.adequations.org.

Lyliane

 

10/01/2017

Lancer une pétition auprès des candidats à l'élection présidentielle selon Change.org...

Ces dernières semaines, peut-être avez-vous déjà participé à certaines actions dans le cadre de notre projet "Changez 2017" dont l'objectif est de remettre les citoyens comme vous au coeur de l'élection présidentielle à venir. 

Les résultats de la consultation citoyenne à laquelle vous avez été des milliers à répondre ont révélé que la justice sociale et l'emploi sont les causes qui selon vous, avec la transparence en politique, mériteraient plus de place dans les programmes politiques pour 2017. 

Aujourd'hui, nous vous invitons à participer à une étape majeure du projet "Changez 2017" : soumettre vos propositions aux candidats en lançant votre pétition afin qu'ils s'engagent sur des mesures concrètes pour la justice sociale, l'emploi et la transparence.

Cette année, la mobilisation citoyenne inédite autour de la pétition "Loi travail : non, merci" signée par plus d'1,3 million de personnes a montré que les pétitions en ligne pouvaient avoir un impact et faire bouger les choses bien que la loi ait finalement été adoptée. Cela montre qu'il reste beaucoup à faire pour une meilleure justice sociale et économique en France. 

A quatre mois du premier tour de l'élection présidentielle, c'est le moment d'agir pour obtenir des engagements de la part des candidats. Alors qu'est-ce qui vous retient ? Cliquez ici pour lancer maintenant votre pétition.

S'il y a une mesure phare que vous souhaiteriez voir adopter par votre futur président, n'attendez pas qu'il soit élu pour le faire : demandez-lui via une pétition en cliquant ici.

Les pétitions les plus populaires seront portées auprès des candidats par les ambassadeurs citoyens de "Changez 2017".

Merci d’agir pour changer cette élection 

Aminata et toute l’équipe de Change.org

Voulez-vous faire changer les choses ?
Lancez une pétition.


 

08/01/2017

Vintimille, le Calais italien?

 Je prends un exemple pour illustrer mon article concernant les migrants coincés à la frontière franco-italienne entre Vintimille et Menton. Il est important de réaliser qu'ils ne ressemblent en rien aux terroristes, avec lesquels certains font des amalgames dans notre région particulièrement traumatisée par les attentats de la Promenade des Anglais à Nice. D'où la tentation pour certains de céder à la peur de l'étranger distillée par des partis d'extrême-droite ou même d'une droite chrétienne et traditionaliste...

 

Connaissez-vous l'Erythrée, cet Etat arabe de la Corne de l'Afrique, ancienne colonie italienne devenue indépendante depuis 1993 après une guerre fratricide avec l'Ethiopie? Dans ce pays, le service militaire dure au minimum 18 mois et concerne hommes et femmes de 17 à 40 ans. Selon certains témoignages, ce service serait souvent prolongé indéfiniment et effectué dans des conditions difficiles (viols, travaux forcés). Le parti au pouvoir l'EPLF est un parti unique et autoritaire, à la tête duquel se trouve Mr Issayas Afeworki depuis 1993. Il faut savoir du reste que les fonds d'Erythréens émigrés sont la principale source de revenu du pays...

 

En effet, beaucoup de jeunes hommes et jeunes femmes choisissent l'exil ou désertent en pleine nuit au péril de leur vie. La plupart qui ont réussi à passer la Méditerranée se retrouvent en Italie et essayent de rejoindre des proches en Europe. Mais la frontière française, gardée de jour comme de nuit, ne le leur permet pas. Ils se retrouvent avec des Soudanais, des Libyens, des Afghans et des Tchadiens en tee shirt et en tongs, épuisés, à coucher sous des ponts ou sur des places à Vintimille. Beaucoup sont des mineurs, certains portent des blessures visibles ou invisibles. Sans l'aide de prêtres français et italiens, d 'ONG et d'associations (La Cimade, Médecins sans Frontière, Réseau Education sans frontière, la Croix Rouge, Caritas, le Secours Catholique, le MRAP...), ils seraient déjà décimés par la faim, le froid ou la maladie. Il y a même des cours de français organisés une fois par semaine par des bénévoles.

 

Dans ce contexte, en 2016, des habitants d'une vallée coincée entre la France et l'Italie, la Vallée de la Roya, touchés par la misère et le dénuement de ces migrants, ont décidé de s'organiser et de leur porter secours: transport, hébergement, nourriture, vêtements, quitte à se mettre dans l'illégalité. L'Association Roya Citoyenne, comportant 50 personnes au moins, structure ce mouvement de solidarité et de résistance (roya06.anblog.fr). Deux personnes, Cédric Herrou, agriculteur et P.A. Mannoni, chercheur au CNRS, ont été arrêtés et poursuivis en justice pour leur aide concrète aux migrants. Mr Mannoni vient d'être relaxé. Mr Herrou, toujours sous contrôle judiciaire, risque de l'emprisonnement et une forte amende. Délibéré au 10/2/2017 !

 

Mme F. Cotta, avocate de Cédric Herrou, a fait remarquer aux autorités que «les Alpes Maritimes sont une zone de non droit où les mineurs réfugiés ne sont pas pris en charge». Une main courante a été déposée par Me Cotta contre l'Etat pour non assistance à personne en danger et un courrier envoyé aux autorités de l'Etat français. Elu azuréen de l'année par les lecteurs de Nice-Matin, par 4257 voix sur 7677, Mr Herrou a involontairement déclenché une polémique du Président du Conseil Général du 06, Mr E. Ciotti. Ainsi, au mépris des appels du Pape François, une personne élue, se disant bonne catholique, se sentant peut-être concernée par les prochaines élections, a condamné dans un article percutant les gestes d'humanité de ces personnes de bonne volonté, qui nourrissent et hébergent chez eux quantité de migrants. Une réponse dans la presse d'un des avocats de Mr Herrou a heureusement rétabli la situation et démontré les amalgames aux lecteurs du journal...

 

Devant le palais de justice de Nice le 4/1/2017, quelques 500 personnes étaient rassemblées pour soutenir Mr Herrou et demander sa relaxe. Des journalistes étaient présents. Tout cela va-t-il enfin réveiller la population française et même au-delà? Je l'espère! La solidarité serait-elle devenue un délit? Mon propre père a combattu le fascisme lors de la deuxième guerre mondiale et effectué 2 années de camp, avec l'espoir que les générations suivantes sauraient tirer des leçons de notre histoire. Toute ségrégation en effet, tout racisme anti-noir, arabe, juif, homosexuel ou tzigane était déjà dans la doctrine des partisans d'A. Hitler. Des Français, lors de la débâcle, ont trouvé refuge en Suisse ou aux Etats-Unis. Des «justes» ont sauvé des personnes pourchassées pour leurs origines ethniques. Tout cela est-il oublié? Je ne peux le croire, même si je reconnais que les préjugés d'un racisme ordinaire sont toujours bien vivants de nos jours !

 

Il me semble qu'avant d'être membre d'un parti d'extrême-droite ou d'extrême-gauche, de droite, de gauche ou du centre, né français ou pas, nous devrions tous nous retrouver au sein du grand et beau parti de l'Humain et de l'Ouverture du Cœur!

 

Pour ceux qui voudraient aider concrètement l'Association Roya Citoyenne, contacter sur Internet la collecte organisée en joignant le RIB Roya Citoyenne    RIB de l’association en téléchargement :   RIB Roya Citoyenne. Vous pouvez aussi faire un don via HelloAsso ou par chèque à l'ordre de : LDH section de Nice (Préciser au dos : pour les bénévoles réfugiés). Adresse : LDH section de Nice, Maison des associations 12ter Pl Garibaldi, 06300 Nice

 

Lyliane

 

06/01/2017

Nucléaire français: de sérieuses anomalies...

 

Selon Greenpeace, fin 2014, l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN)aurait détecté des anomalies sur la cuve de l'EPR de Flamanville (excès de carbone). Ces pièces forgées à l'usine Creusot Forge d'Areva étaient jugées non conformes par un audit poussé. L'ASN confirmait en mai 2016 que de nombreuses pièces fabriquées à l'usine Creusot Forge d'Areva comportaient des anomalies et pouvaient mettre en péril la sécurité nucléaire. En plus des 18 réacteurs français déjà contrôlés sur les 58 du parc nucléaire de notre pays, dans une douzaine d'Etats au moins des réacteurs contiennent des pièces fabriquées dans cette usine. Un véritable scandale dont le public ne sait rien ou presque...

L'ASN continue de mener son enquête. Actuellement 30 des 58 réacteurs français seraient touchés par des anomalies. Tandis qu'un expert britannique en septembre 2016 démontrait que la cuve de l'EPR de Flamanville devait être détruite, plusieurs associations, dont Greenpeace et le Réseau Sortir du Nucléaire, déposaient plainte contre Areva NP et EDF sur le cas de Fessenheim. Ces associations demandaient au Procureur de la République de Paris d'ouvrir une enquête sur 4 délits majeurs, dont notamment mise en danger délibérée de la vie d'autrui et usage de faux.

Le manque de transparence, les défauts techniques, la faillite financière d'Areva et d'EDF, qui n'arrivent plus à investir pour renforcer la sûreté nucléaire, doivent être dénoncés publiquement. Il serait grand temps que les politiques interviennent pour promouvoir réellement les énergies renouvelables et pour orienter notre industrie nucléaire vers plus de transparence et de sécurité. Les citoyens que nous sommes devraient également pouvoir demander un débat public sur ces questions cruciales et avoir un droit d'initiative en amont du lancement de tous les nouveaux grands projets engageant notre pays. Ne cédons pas pas à la peur du scandale ou du changement, mais engageons nous et demandons une véritable transition énergétique pour notre pays.

Lyliane

 

03/01/2017

Des femmes à l'oeuvre pour la paix...

Les Femmes à l'oeuvre pour la Paix, transmis par e-mail par une amie:

Des milliers de femmes juives, musulmanes et chrétiennes ont marché ensemble en Israël pour la paix.
Dans la nouvelle vidéo officielle du mouvement pour la paix "Women Wage Peace", la chanteuse israélienne Yael Deckelbaum chante la chanson "Prayer of the Mothers", avec des femmes et des mères de toutes les religions, montrant que la musique est en train de changer et doit changer. Un acte d'amour, un miracle féminin qui vaut mieux que mille mots. 
 

02/01/2017

Une première mondiale: le droit à la déconnexion au 1/1/2017!

Dans le Code du Travail, un nouveau droit apparaît au 1er janvier 2017 dans notre pays et il s'applique à tous les salariés. Il s'agit du droit à la déconnexion, mis en place par la Loi Travail du 8/8/2016, dite Loi El Khomri, dans son article 55. Une étude préliminaire au vote de la loi a en effet montré qu'environ un salarié sur deux répond à des e-mails, des SMS ou des coups de téléphone professionnels le week-end. De son côté, une étude Eléas de septembre 2016 précise qu'au moins 37% des actifs utilisent les outils numériques professionnels hors du temps de travail.

Une Directive Européenne datant de 2003 imposait déjà des temps minimaux de repos et des durées maximales de travail. Par ailleurs, le respect de la vie privée était déjà assuré par l'article 9 du Code Civil. Le télétravail avait également été encadré via l'Accord National Interprofessionnel du 19 juillet 2005 dans son article 6.

Néanmoins, grâce à cette nouvelle loi, les salariés d'une grande entreprise (50 personnes ou plus) ne devraient plus être tenus de répondre aux sollicitations professionnelles en dehors des heures de bureau. Des négociations devront en effet être ouvertes à ce sujet. En cas de désaccord, le patron d'une grande entreprise pourra néanmoins en décider à travers une Charte. Etant donné que la Loi Travail se veut un garde-fou de la vie privée des salariés, théoriquement toute heure accomplie au-delà de la durée légale hebdomadaire devrait être considérée comme une heure supplémentaire...

Toutefois, dans la pratique, des questions se posent au sujet de ce qui est présenté comme une avancée significative dans le droit français. L'emploi du temps des cadres reste en effet préoccupant, car c'est le public le plus touché par la connexion continue. Qu'en sera-t-il de cette loi sur le terrain dans la période de crise économique que nous traversons? Cet article de loi est néanmoins une incitation pour les actifs à décrocher des outils numériques une fois à la maison et d'utiliser vraiment leurs loisirs à d'autres occupations avec leur famille. Pour plus de détails, consulter par exemple sur Internet: www.juritravail.com.

Lyliane

 

01/01/2017

Une dynamique qui progresse: la réparation!

 

De plus en plus souvent, les consommateurs se tournent vers la réparation, principalement pour des motifs financiers. Toutefois, les préoccupations environnementales et l'attachement à un bien entrent également en ligne de compte, écrit Mme A.S. Quérité dans le Courrier du Retraité de décembre 2016.

La réparation s'inscrit en effet dans une démarche encouragée par la loi Hamon du 17 mars 2014, qui renseigne mieux les consommateurs sur la durée de disponibilité des pièces détachées des biens mis pour la première fois sur le marché. Cela doit être notamment inscrit de manière visible sur tout document commercial. Le fabricant en outre est tenu de fournir aux vendeurs et aux réparateurs les pièces détachées nécessaires à la réparation des produits dans un délai de 2 mois.

Certains distributeurs et fabricants s'engagent dans la réparation. C'est notamment le cas de Seb, pour qui le coût de réparation d'une pièce ne doit pas dépasser 50% du prix du produit neuf. Chaque composant doit à terme être démontable et réparable. Le groupe a également lancé un label «produit 10 ans réparable», qui sera appliqué sur l'emballage de tous les produits de ses marques aussi bien en France qu'à l'étranger.

Quant à Darty, l'enseigne a récemment mis en place des ateliers de réparation pour le multimédia et la téléphonie, résolvant ainsi plus de la moitié des pannes pour ce type de produits. Tous les modèles commercialisés par le groupe peuvent en bénéficier.

La réparation, qui a tendance à fidéliser les consommateurs, permet en outre à ces enseignes de comprendre d'où vient la panne, ce qui participe à l'amélioration et à l'innovation du produit. De plus, la réparation bénéficie d'une offre de services gratuits comme des tutoriels, des vidéos ou des forums d'aide. Par exemple consulter sur Internet: www.commentreparer.com. Les consommateurs peuvent aussi se tourner vers les «repair cafés», dans lesquels des bénévoles partagent leur expérience en bricolage.

La loi Hamon a indéniablement conforté et encouragé le processus vertueux de la réparation. Il revient au consommateur français de lutter à tous les niveaux contre l'obsolescence programmée des biens qu'ils achètent en privilégiant dans leur choix les enseignes soucieuses de la réparation de leurs produits.

Lyliane

 

31/12/2016

Une fin d'année exceptionnelle pour change.org...

 

Quelle fin d'année exceptionnelle pour les citoyens mobilisés sur Change.org !

Hier, le président François Hollande a accordé une grâce totale à Jacqueline Sauvage emprisonnée pour avoir tué son mari violent. Après un an de campagne pour sa libération et plus de 820.000 signatures sur Change.org, elle est aujourd'hui libre.

Et il y a quelques jours à peine, en réponse à une autre pétition sur Change.org, l'État s'est engagé à accorder la nationalité française aux tirailleurs sénégalais qui ont risqué leur vie pour la France.

Oui, les pétitions en ligne lancées sur Change.org font vraiment changer les choses. En France, vous êtes plus de 8 millions à y croire, à vous exprimer et à faire bouger les lignes, quelle que soit la cause qui vous tient à coeur.

 

28/12/2016

Les Biocoop passent à l'action...

Sous ce titre, un article dans la revue Chemins de Terre de l'organisation Terre de Liens nous informe que pour renforcer son engagement dans notre société en transition, le réseau Biocoop démarre un dispositif de don militant. L'Association a choisi Terre de Liens comme premier partenaire pour cette opération. Les 383 magasins Biocoop français, en effet, peuvent désormais proposer à leurs clients l'arrondi en caisse, c'est à dire l'arrondi du montant de leurs achats à l'euro supérieur au profit de Terre de Liens.

En 2015, une opération avait été menée sur 11 enseignes tests et avait rapporté 5000 euros en 9 mois. Biocoop l'étend cette fois sur tout le pays. Déja 28 magasins sont équipés pour le faire. En plus, d'autres partenariats se multiplient. certains impliquent directement le client, comme la vente de cartes de micro-don (2 à 3 euros) réalisée par des bénévoles du mouvement dans les magasins. Parfois ce sont les bénéfices des cartes de fidélité qui sont abandonnés à Terre de Liens. Il y a même eu dans le Sud-Ouest création par des magasins d'une carte de fidélité militante. Pour chaque remise au client, le magasin s'engage à verser 1 euro à Terre de Liens. 

Ces gouttes d'eau ajoutées les unes aux autres peuvent former une source de financement appréciable. ainsi, l'organisation peut continuer à installer de jeunes agriculteurs sur des fermes partout dans le pays. Quand l'imagination est au pouvoir, des initiatives citoyennes fleurissent et peuvent porter des fruits! Pour se renseigner sur Terre de Liens, consulter sur Internet: www.terredeliens.org 

Lyliane

27/12/2016

La médecine du futur se fera-t-elle avec des robots?

 

Mme Julie Luong dans le journal Giphar Magazine écrit un long article au sujet des robots humanoïdes, en signalant que c'est un vieux rêve de nos sociétés. Jusque là, ils faisaient partie de la science-fiction; ils commencent à devenir réalité! Ils coûtent, certes, encore cher: 15 000 euros en moyenne, ce qui explique que pour le moment seuls 300 spécimens sont déjà placés en maisons de retraite dans toute l'Europe et à l'étranger. Le journal pense que, très bientôt, ils seront 800, car ils se développent rapidement.

En France, l'EHPAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) Lasserre à Issy-les-Moulineaux a été le premier à introduire un robot auprès de ses résidents. Le robot ne remplace pas le personnel, mais il le libère de certaines tâches répétitives: donner le menu du jour, lire le journal, jouer à des jeux qui permettent de faire travailler la mémoire, montrer des exercices de gymnastique...

Chaque robot est unique et a une apparence pseudo-humaine ou animale. Les personnes âgées réagissent souvent face à ces robots (60 cm de haut en moyenne) comme face à des enfants. Le monde médical s'intéresse de près aux robots humanoïdes pour leur rôle de médiateurs dans les troubles du comportement et de la mémoire.

Voici quelques exemples: Nao, le robot crée par la société française Aldebaran Robotics, s'adresse plutôt à des autistes. Paro en revanche est un robot émotionnel qui ressemble à un petit phoque se laissant caresser comme un animal de compagnie. A l'EHPAD Villa du Tertre dans l'Aube, Paro a été acquis dès 2014 pour des malades atteints de la maladie d'Alzheimer. Cosmobot est utilisé aux Etats-Unis pour aider des enfants atteints d'infirmité motrice cérébrale. On cite aussi Robear, qui pèse 140 kg et ressemble à un ours blanc. Développé par le laboratoire japonais Riken, il est capable de soulever des patients invalides et de soulager de ce fait le personnel soignant.

L'avenir médical et même domestique est susceptible de passer d'ici quelques années par des robots humanoïdes programmables. Les Japonais notamment font beaucoup de recherche dans ce domaine. Ils existent déjà en jouets et dans le domaine matériel, où ils rendent de grands services. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'ils n'auront sans doute jamais le sens des valeurs morales, pas plus que le sens de la justice. Ils sont essentiellement conçus pour nous aider, pas pour nous remplacer totalement! Afin de s'informer, consulter sur Internet: https://humanoides.fr/

Lyliane

 

23/12/2016

Transmis du Blog du Vert savoir: voitures électriques aux USA...

Le Blog du Vert Savoir

Chroniques (positives) du Développement Durable Désirable

 

ETATS-UNIS - Ventes records pour les voitures électriques

Publié le 14 décembre 2016 par Le blog de l'écologie positive

En septembre dernier, les ventes de voitures électriques ont atteint un record avec plus de 16.000 unités vendues, le nombre total de ces véhicules dépassant le demi-million.

Une diversification des modèles a été constatée au fil du temps (11 à la fin 2012, env. 30 aujourd'hui), tandis que le nombre de stations de recharge dépasse désormais les 35.000.

Le coût de fabrication des batteries a chuté (-73% depuis 2008) et l'objectif visé est désormais d'atteindre un prix compétitif par rapport aux véhicules à moteur thermique.

AV.

 

21/12/2016

Un label européen pour les cosmétiques bio...

 

En 2002, Cosmebio a été l'une des premières organisations à encadrer la cosmétique bio pour lutter contre le «marketing vert», écrit un journaliste dans le Journal Biocontact de décembre 2016. Jusque là, aucune réglementation spécifique émanant de l'Etat ne s'appliquait à ce type de cosmétiques. Cinq membres fondateurs (Cosmebio, BDIH, Ecocert, ICEA, Soil Association) ont crée le référentiel européen Cosmos, à portée internationale, obligatoire au 1/1/2017 pour tout nouveau cosmétique bio.

Cela signifie que désormais les cosmétiques bio seront certifiés selon le label européen Cosmos. Le but est une harmonisation des différents référentiels, ce qui devrait simplifier les choses pour le consommateur.

Le logo sera le même, toutefois, au dessous, il y aura la mention Cosmos Organic. Pour en savoir plus, consulter le blog de Cosmebio: www.cosmebio.org .

Pour obtenir ce label européen, les cosmétiques devront comme autrefois contenir de 95 à 100% d'ingrédients naturels, de 95 à 100% d'ingrédients bio végétaux et 5% maximum d'ingrédients approuvés figurant sur une liste positive, mais deux nouveaux critères plus exigeants s'y ajoutent. En effet, la teneur en ingrédients bio sur le total passe de 10 à 20% (en tenant compte du pourcentage d'eau) et seuls les ingrédients biodégradables seront acceptés.

C'est une garantie d'avoir des produits cosmétiques respectueux de l'homme et de l'environnement. Réjouissons nous de cette avancée!

Lyliane

 

19/12/2016

Où en sommes-nous avec l'énergie solaire?

 

 

Né il y a environ 5 milliards d'années, le soleil se trouve à quelques 150 millions de kilomètres de notre planète. Dans l'Antiquité, le soleil était vénéré comme une véritable divinité, car nos ancêtres savaient qu'il apporte la vie sur terre, ne serait-ce que par sa lumière et sa chaleur. De nos jours, grâce aux astronomes, on sait beaucoup plus de choses sur cette étoile. Mr Nicolas Vanier, dans son ouvrage «Les pieds sur terre», fait le point sur les bienfaits du soleil sur pratiquement tous les plans. Le soleil influence notamment l'alternance des saisons; il est aussi à l'origine de la photosynthèse, des vents... Notre santé et notre humeur entre autre chose dépendent de son rayonnement (vitamine D)...

Comment se fait-il que nous n'arrivions pas mieux à capter et à stocker cette énergie illimitée et gratuite? Dans certains pays méditerranéens comme la Grèce par exemple, des chauffe-eau solaires placés sur les toits fournissent de l'eau chaude sanitaire. C'est de l'énergie solaire thermique. L'énergie photovoltaïque, capable de transformer le rayonnement solaire en électricité grâce à des panneaux sur toits ou façades, est loin de couvrir actuellement nos besoins énergétiques. Notre pays a préféré en effet construire des centrales nucléaires, ce qui ne va pas sans nuisances, déchets et dangers pour les populations...

Mr Vanier pense pourtant que le Soleil pourrait rapidement devenir une énergie d'avenir. En France, nous avons crée à Odeillo, dans les Pyrénées Orientales, le four solaire le plus puissant du monde, qui atteint des températures supérieures à 3000°. En Afrique de petits fours solaires, ça et là, rendent déjà de grands services à la population, en lui permettant d'économiser du bois.

Des projets naissent un peu partout, mais les investissements ne suivent pas encore. En France, des inventeurs ont conçu un système permettant de recouvrir le revêtement de portions de routes de panneaux photovoltaïques, capables de produire de l'électricité par simple exposition au soleil. Ainsi, 1km de ces routes pourrait éclairer une ville de 5000 habitants. Quant à l'avion solaire, il a récemment démontré qu'il pouvait faire le tour du monde...

Le Maroc a inauguré, début 2016, la plus grande centrale électrique solaire du monde, au Sud de Ouarzazate en plein désert. 500 000 miroirs réfléchissants d'une hauteur de 12m sont parcourus par des tuyaux contenant une résine. Fondue par la chaleur du soleil, celle-ci est envoyée vers une centrale où elle produit de la vapeur d'eau, capable d'actionner des turbines et donc de produire de l'électricité. L'installation de la dernière tranche, prévue en 2020, est censée fournir au Maroc la moitié de son électricité.

 Espérons qu'un jour prochain dans notre pays des hommes politiques et des entrepreneurs se tourneront réellement vers l'énergie solaire, une énergie propre, gratuite et sans danger, quitte à mécontenter les lobbies de l'électricité nucléaire, qui vivent des retombées du coût élevé de cette énergie...

Lyliane

 

18/12/2016

Transmis de Mr Derambarsh à propos du gaspillage alimentaire...

Bonjour à tous,

Pour les fêtes de fin d'année, vous pouvez faire une bonne action en commandant le livre "Manifeste contre le gaspillage alimentaire" aux Éditions Fayard : http://m.fayard.fr/manifeste-contre-le-gaspillage-darash-derambarsh

Il ne coûte que 10€ et l'intégralité des droits d'auteur ira à la Croix-Rouge française.

Merci d'avance pour votre générosité.

Amitiés,

Arash Derambarsh

17/12/2016

Le septième continent...

 

Dans nos mers et nos océans, des déchets plastiques désagrégés, qui ont dérivé au gré des courants marins, se rassemblent en amas. On appelle ces amas: le septième continent. Le premier fut découvert par un navigateur en solitaire, Mr Patrick Deixonne, traversant l'Atlantique à la rame entre le Sénégal et la Guyane. Il décidera alors d'explorer cette plaque de déchets dans l'Atlantique Nord, couvrant une superficie équivalente à 6 fois la France et de communiquer à ce sujet. Dans cette zone, les scientifiques ont mesuré que pour 1l de plancton, il y a 5l d'une soupe de matières plastiques. Depuis, on s'est aperçu que l'Océan Pacifique, l'Océan Indien et la Mer Méditerranée ont également leurs amas de micro-particules de ce plastique venu des terres habitées, qui met très longtemps à se désagréger. On l'estime à environ 3 millions de Km2.

Ces énormes tourbillons de déchets plastiques ou gyres posent des questions cruciales à tous les habitants de la planète, car ils modifient l'équilibre écologique des mers et des océans, menaçant la biodiversité. Oiseaux de mer, tortues sont les premiers touchés par cette pollution. On retrouve même des bribes de ces déchets dans le ventre des poissons que nous mangeons. Des missions ont été organisées depuis 2012 et 2013, afin d'alerter le public et les hommes politiques sur la gravité de la situation.

Mr Deixonne a crée une association, reconnue d'utilité publique, «le 7ème continent» et il lance de nombreuses actions pédagogiques. Par exemple, il a imaginé une BD «Le monstre de Plastique», afin d'expliquer aux jeunes les dangers pour toute la chaîne alimentaire. Un film illustrant ses expéditions est également disponible depuis peu (You Tube). Pour le moment, peu de solutions ont été trouvées pour vraiment endiguer le phénomène. Des scientifiques y travaillent pourtant. Un organisme, le CRIIT, travaille de son côté au recyclage des polymères. Et les gouvernements des pays industrialisés interdisent les uns après les autres les sacs plastiques... Mais il faudra faire plus!

Pour en savoir davantage, contacter par Internet: www.7econtinent.com et www.criit-polymere.fr .

Lyliane

 

16/12/2016

Le CETA remis en question par la Ligue des Droits de l'homme selon Emmanuel CHAUMERY...

 

16 DÉC. 2016 — Dans un rapport publié le 15/12, la CNCDH recommande que l'accord ne soit pas ratifié au détriment des droits de l'homme et uniquement pour les intérêts commerciaux.

Pour envoyer un message à François Hollande lui demandant de saisir la Cour de Justice et tenir compte du rapport :
https://twitter.com/Emmanuel27m/status/809680206084575232

Merci à tous, on ne lâche rien !
Emmanuel Chaumery
@Emmanuel27m

Pouvons-nous nous passer des super-marchés?

 

L'émission «Tout Compte Fait» sur la deuxième chaîne le 10 décembre 2016 posait cette question. Un reportage effectué aux Etats-Unis montrait que 40 % de la nourriture finit dans les poubelles des super-marchés. Des millions de dollars sont gaspillés de la sorte. Les produits, la plupart du temps encore emballés, sont jetés car ils auraient de minuscules défauts.

Certes, les poubelles des super-marchés sont propriété privée dans ce pays et des vigiles peuvent donner des amendes à ceux qui auraient des vélleités de fouiller dans leurs poubelles. Pour Rob, le héros du reportage, ce n'est pas un obstacle: il fait régulièrement le tour des super-marché de sa ville et il revient le plus souvent le coffre plein de nourriture (250 kg pour un équivalent de 1000 euros environ). Le reportage le montrait ensuite sur le campus de l'Université de Raleigh, à 200 km de chez lui, où il distribuait gratuitement aux étudiants les marchandises récoltées. Il appelle ces tournées: le grand fiasco du gaspillage!

Il aurait déjà 15 opérations choc à son actif, ce qui l'a rendu célèbre dans tout le pays. A 30 ans, avec sa compagne Chéryl, ils sont devenus des vedettes de l'écologie, cherchant à faire faire des prises de conscience à leurs concitoyens. Ils leur proposent de changer leurs habitudes, pour sauver la planète, par exemple en économisant l'eau potable, en roulant en transports collectifs ou à vélo... L'émission les montrait ensuite achetant leur nourriture en vrac dans une boutique où l'on peut remplir bocaux et flacons soi-même, ce qui coûte 30% moins cher qu'en super-marché. Ils militent en effet pour que les américains achètent le moins possible de plats préparés et de nourriture industrielle.

Depuis peu, Rob et Chéryl ont franchi un pas de plus: ils parcourent le pays à pied sac au dos, dorment à la belle étoile ou bien sous tente, car ils ont vendu leurs logements. Un ordinateur fonctionnant à l'énergie solaire, quelques vêtements, des allumettes et un briquet ainsi que du matériel de toilette sont leur seul bagage. Ils vivent de petits boulots et payent tout en cash. A Atlanta, dans un quartier pauvre, ils ont avec quelques bénévoles construit, grâce à des matériaux de récupération, des mini jardins pour les habitants. Ils leur apprennent à semer et à récolter à plusieurs dans ces bacs de la nourriture gratuite, au lieu d'aller à la supérette du coin. Là, il n'y a que des sodas, des chips et des plats industriels, nourriture chère qui à la longue nuit à leur santé.

En agissant localement et en donnant l'exemple d'une vie sans déchets, ils montrent qu'il est possible et même souhaitable de nous passer des produits de la grande distribution. Dans notre pays, il y aurait sans doute des enseignements à retirer de ce mode de vie. Les petits commerçants auraient déjà une carte à jouer en proposant des produits de qualité et en étant sensibilisés au non gaspillage. Les éleveurs commencent à éviter les intermédiaires et à vendre en circuits courts leur lait et leur bétail. Quant aux citoyens que nous sommes, nous serions bien inspirés de veiller à nos transports, à l'eau que nous utilisons, à nos déchets et à notre nourriture, que nous pouvons produire nous-même. En ville, le système AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) permet par exemple de passer contrat avec des agriculteurs, pour pérenniser leurs exploitations et pour se nourrir de produits poussés sans engrais chimiques... Bref, les pistes de changement sont chez nous également nombreuses! Lutter contre la pollution, la malbouffe, le gaspillage à tous les niveaux, par quoi allons nous commencer?

Lyliane

 

15/12/2016

Un nouveau métier: biographe hospitalière...

 

 

Depuis 2007, Mme Valéria Milewski propose à des patients cancéreux d'écrire leur biographie. Elle est devenue salariée de l'Hôpital de Chartres et elle prépare un doctorat de linguistique à Nanterre. A ce jour, elle a formé une autre personne pour la seconder, Mme Christine Cormona.

A Rennes, Mme Céline Feillel, écrivain public, se déplace au chevet des malades à l'hôpital ou à leur domicile pour recueillir leur histoire. Dans un service de soins palliatifs, puis de soins pédiatriques, Mme christelle Cuinet, bénévole de l'Association JALMALV de Besançon, a entrepris de raconter la vie personnelle d'adultes et d'enfants gravement malades...

Le Journal Que Choisir Santé de Décembre 2016, dans un article signé par Mme Sandrine Letellier, nous rapporte ces quelques initiatives généreuses, qui ont transformé la vie des bonnes volontés comme des patients. Le Président de l'association Traces de Vie, le Dr E. Plouvier, que la Ligue contre le Cancer soutient financièrement à Montbéliard, essaye d'étendre cette démarche à d'autres établissements.

En effet, écrire avec l'aide d'une autre personne permet de moins penser à sa maladie, d'avoir d'autres perspectives. C'est un espace de liberté et de créativité, qui peut changer le moral des malades. Et quelle fierté d'avoir réussi à composer un ouvrage que l'on peut offrir à ses proches!

Pour en savoir davantage, contacter sur Internet le site: www.tracesdevies.fr ou par téléphone le 06 08 06 72 15.

Lyliane

 

14/12/2016

Transmis de L'Association de la santé naturelle: Vaccins obligatoires, renforcement inexplicable!

France : bientôt 11 vaccins obligatoires !

Chère amie, cher ami,

Depuis l’année 2008, le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) n’est plus disponible dans les pharmacies en France.

Ce vaccin était le seul obligatoire. Il était important. Il avait été utilisé depuis des décennies avec succès. Ces maladies avaient été pratiquement éradiquées.

Il s’agissait d’un vaccin sûr. Il ne contenait pas d’aluminium. Qui plus est, c’était un vaccin bon marché (6,54€).

Mais depuis 2008, les laboratoires pharmaceutiques ont retiré le DTP du marché. Ils l’ont remplacé par un super-vaccin contenant des vaccins contre trois maladies non-obligatoires.

Ce vaccin, appelé Infanrix-hexa :
  • contient trois vaccins qui ne sont pas obligatoires ;

  • contient de l’aluminium et d’autres adjuvants ;

  • contient le très controversé vaccin contre l’hépatite B (parfaitement inutile pour la plupart des nourrissons)

  • et il coûte 7 fois plus cher !!

Mais les parents sont obligés de l’acheter et de l’injecter pour se conformer à leur obligation vaccinale !!!

Cette situation est anormale. Elle est injustifiée. Depuis longtemps les autorités auraient du réagir. Elles ne l’ont pas fait.

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a lancé avec le Pr Henri Joyeux, en mai 2015, une grande pétition pour le retour du classique DTP sans aluminium. Cette action a déclenché une immense prise de conscience. Plus d’un million de citoyens ont participé. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a réagi en lançant une consultation nationale sur les vaccins.

Cette consultation devait être démocratique.

Elle devait être ouverte.

Elle devait répondre aux légitimes inquiétudes des parents, des grands-parents, de la population.

Elle devait tenir compte de l’intérêt et de la santé des enfants, des risques associés au vaccin, du problème de l’incertitude, des dangers, et des accidents, parfois graves, qui ont eu lieu avec la vaccination.

Mais le Comité pour la Vaccination a rendu son rapport public le 30 novembre 2016. [1]

Et c’est un véritable scandale.

Plutôt que de rappeler à l’ordre les laboratoires pharmaceutiques, et d’exiger à nouveau le simple DTP, le Comité demande exactement le contraire :

  • Il recommande de rendre obligatoire tous les vaccins présents dans le super-vaccin ;

  • Il recommande d’ajouter cinq autres vaccins obligatoires ;

  • Il parle même de rendre obligatoire le tristement célèbre Gardasil, contre le cancer du col de l’utérus (vaccin anti-papillomavirus), et éventuellement d’étendre l’obligation à tous les petits garçons !!!

  • Il recommande de priver les enfants d’accès aux crèches, écoles et toute autre collectivité si les parents refusent une seule de ces vaccinations ;

  • Il conseille d’engager des poursuites judiciaires contre les parentsrécalcitrants [2]

  • Il veut mettre à la charge de la collectivité (c’est-à-dire vous et moi)les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu’à celle de l’industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;

  • Enfin, il recommande « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble des recommandations ».

Jamais une offensive aussi directe n’avait été menée dans la santé.

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Signez, c’est urgent, SIGNEZ LA PETITION CI-DESSOUS POUR BLOQUER CE PROJET avant qu’il ne soit TROP TARD !!

http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php

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Nous devons être des millions à dire NON. La France entière qui doit se lever.
« C’EST A N’Y RIEN COMPRENDRE », commentait le journal Le Figaro, au sujet de cette préconisation. [3]

« Une position déroutante », déplorait Libération. [4]
Cela ressemble en effet à la politique du pire ! Et à une provocation lancée à la figure de toute la population. Certains ont parlé du « Dernier coup de poignard de Marisol Touraine » !!!

Il s’agit en somme de rendre 11 vaccins obligatoires : hépatite B, coqueluche, haemophilus influenzae b, pneumocoque, méningocoque C, rougeole, oreillons, rubéole, plus les rappels.

Pire encore, leur projet est de mettre tous les risques et les coûts à notre charge :

  • Page 32 du rapport [1], il est expliqué que la « prise en charge intégrale de l’achat des vaccins par les régimes obligatoires de l’assurance maladie doit être assurée. Le coût d’une telle mesure est estimé entre 110 et 120 millions €/an. » C’est donc les assurés sociaux, autrement dit vous et moi et toute la population, qui sommes mis à contribution ; et notre argent ira à l’industrie pharmaceutique ;

  • Page 32 également [1], il est recommandé, pour les accidents qui se produiront inévitablement, « d’imposer un régime d’indemnisation des effets indésirables par la solidarité nationale », c’est-à-dire encore une fois nous faire payer vous et moi, via nos impôts.

Sont-ils devenus fous ??

D’où un tel mépris leur vient-il ?? Se croient-ils dans une dictature ??

Apparemment oui ! Et à ce stade, c’est au peuple de se défendre !!

Il n’y a pas une ligne dans le rapport qui défende l’opinion majoritaire dans la population.

Tout semble avoir été écrit par les labos pharmaceutiques.

Ce Comité Vaccination qu’on nous avait présenté comme « représentatif » est une supercherie.
« L’élaboration de cette parole citoyenne s’est faite en l’absence de toute publicité », a d’ailleurs souligné le journal Libération. [5]
Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu’un haut fonctionnaire avait claqué la porte du Ministère de la Santé.
Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, Secrétaire Général de la Conférence Nationale de Santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé ».

Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l’Institut pour la Démocratie en Santé.
« Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l’ensemble des moyens d’expression de la démocratie en santé ».
Seuls les acharnés de la vaccination et les industriels avaient été invités !!

Le Président du Comité de Vaccination, Alain Fischer a reçu en 2013 le prix Sanofi Pasteur, une distinction propre à ce laboratoire pharmaceutique qui est l’un des plus grands fabricants de vaccins du monde !

Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre sur les réseaux sociaux :
« Comment peut-on "rétablir la confiance" par une dictature médicale ?», déplorait un lecteur sur le site du quotidien Libération. [6]

« On vous oblige à vous injecter des vaccins et, en prévision de la prise en charge des soins d'une grave complication, pour ne pas faire payer les laboratoires pharmaceutiques, on vous colle une nouvelle taxe sur les médicaments ! » s’insurge un internaute en réaction à l’annonce.

« Comment peut-on nous prendre à ce point pour des idiots ???!!!! Je suis tellement attristé et en colère. Quel pays !!!... » réagissait jeudi 1er décembre au matin un auditeur de RMC, qui venait de recevoir la nouvelle sur la tête.

« Clairement c'est du totalitarisme », réagissait-on sur le site du journal 20 Minutes. [7]

« Comment se fait-il qu’en Allemagne ou en Espagne, où les vaccins ne sont pas obligatoires, il n’y ait pas plus d’épidémie que chez nous ?! » [8]
Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée.

Personne ne doit pouvoir dire, ou affirmer, que ces réactions sont isolées.

Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum, pour opposer un véritable barrage démocratique à cette initiative.

Nous savons que des millions de signatures sont nécessaires.

Et nous pouvons les rassembler : plus de 40 % des Français ont compris qu’il y avait du flou derrière le discours du gouvernement sur la vaccination. [9]

Il est important d’agir au plus vite car la Ministre de la Santé cherchera très probablement à agir avant l’ouverture de la campagne électorale de 2017 (dans cinq semaines, après les primaires du parti socialiste).

C’est pourquoi nous sommes dans l’urgence absolue. C’est une question de jours, ou peut-être même d’heures.

Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous.

C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles si nous ne leur imposons pas leur onze vaccins obligatoires !!

Derrière, ce sont des milliers, ou au minimum des centaines d’effets indésirables graves qui se produiront. Mathématiquement, c’est une certitude. Cela pourra être chez vous, dans votre entourage, ou dans le mien.

Ne nous laissons pas faire !!! MOBILISONS TOUT NOTRE ENTOURAGE.

TRANSFÉREZ CET APPEL PARTOUT AUTOUR DE VOUS.

C’EST NOTRE DERNIÈRE CHANCE !!!

Un grand merci,

Augustin de Livois

Pour une révolution citoyenne grâce à une démocratie participative...

 

A travers l'interview de Mr K. Hosni et de Mme S. Lebrun, pour le journal La Vie du Secours Catholique-Caritas, Mr Joseph Spiegel, Maire de Kingersheim (68) nous fait part de la remobilisation des citoyens dans la vie sociale de sa commune de 13 000 habitants. Ce modèle paraît pouvoir être transposé dans toutes les municipalités françaises. Il s'appuie notamment sur le passage du «je» individuel au «nous» citoyen!

Dans la municipalité de Mr Spiegel, il s'agit de démocratie locale, puisqu'un conseil participatif de 50 personnes a été crée. Pour toutes les questions à enjeux, on réunit tout d'abord les habitants lors de grandes rencontres publiques, afin de dialoguer. Puis, les citoyens volontaires, les experts et les élus, qui font partie du conseil participatif, construisent le projet qui sera proposé au vote du Conseil Municipal.

Ce Maire, qui a déjà brigué 5 mandats avec succès, croit à une «révolution apaisée», dans laquelle les citoyens ont la parole tout au long de l'année et non seulement au moment des élections. Sortir d'une démocratie providentielle, électorale, passive, descendante et partisane est en effet son credo. Il croit par contre que «le rôle du politique n'est pas de flatter les gens, mais de les inviter à cheminer ensemble dans la voie de la complexité, de l'altérité, ce qui est exigeant».

Tout cela prend du temps, car les citoyens n'osent pas prendre la parole au début. Il convient d'arriver à des compromis dynamiques, après avoir mis les désaccords sur la table. Jusque là, à Kingersheim, sur 10 ans, 40 conseils participatifs ont eu lieu sur des sujets différents et ils ont réuni 700 participants. Cette façon de procéder ne ressemble-t-elle pas à une forme de démocratie réelle? Elle est, quoi qu'il en soit, totalement à contre-courant du système néolibéral, que l'on nous présente comme le meilleur actuellement, tout comme du populisme des extrêmes, où l'on pratique l'instrumentalisation des peurs.

 

A nous, citoyens, de nous mobiliser pour faire connaître nos idées, nos désirs et nos espoirs et pour participer effectivement à la vie sociale au lieu de la subir. L'exemple de cette commune du Haut-Rhin nous montre que ça marche!

Lyliane