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22/02/2017

DES CHATONS ANTI-GOOGLE...

 

Nous connaissions déjà depuis 3 ans Qwant, un moteur de recherche (plus de 20 millions d'utilisateurs), appuyé par des adversaires européens de Google, qui vient de lever 18,5 euros de la Caisse des Dépôts et Consignations en France.

Dans le journal Le Monde du 13/12/2016, le journaliste Mr Yves Eudes nous fait part du résultat d'une enquête s'appuyant sur l'Association Framasoft, qui à l'origine était un site destiné à promouvoir le logiciel libre. Puis, cette association a entrepris de changer la face du cyberspace. En effet, elle a crée des services concrets et équivalents aux géants mondiaux de l'informatique, mais adeptes du logiciel libre. Avec 6 salariés et 30 bénévoles éparpillés dans 28 villes françaises, Framasoft a décidé d'attaquer de front les 5 géants américains mondiaux de l'Internet qu'elle a nommé les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft). La campagne lancée par Framasoft s'est d'ailleurs intitulée «dégooglisons Internet»!

 

Installée dans un petit bureau d'un immeuble associatif du centre de Lyon, l'association a porté à sa tête Mr P.Y. Gosset, 40 ans, économiste de formation. Conscient de la tache qui l'attend, Framasoft, a crée des services en ligne, localisés en Europe, qui respectent la vie privée des utilisateurs (ni pistage, ni fichage, ni exploitation des données personnelles...). En outre, tout chez eux doit fonctionner avec des logiciels libres et ouverts. En quelques mois, ils ont déjà monté une trentaine de services en ligne: Framasphère, un réseau social affilié au réseau international Diaspora, Framapad, un service de partage de documents équivalent à Google Docs, Framadrop, un service chiffré d'envoi de fichiers volumineux, Framadate, pour gérer son emploi du temps, Framapic pour partager ses photos, et même Tonton Roger, un métamoteur de recherche qui interroge simultanément Google, Bing et Yahoo et livre les résultats en servant de filtre protecteur.

 

A ce jour, Framasphère a plus de 32 000 comptes, Framapad: 200 000 fichiers actifs et Framadate reçoit 5000 visites par jour provenant d'écoles, d'associations, de mairies et de syndicats. Tout en recherchant un bien commun, ce réseau alternatif loue des serveurs en Allemagne chez le prestataire indépendant Hetzner. Son budget annuel tourne autour de 200 000 euros, provenant de dons essentiellement. L'administrateur système de l'association est un ancien employé de l'Université de Lorraine, Mr Luc Didry. Il travaille depuis chez lui pendant 35 heures environ.

 

Le but affiché de Framasoft est de déclencher un processus d'essaimage. Car l'association ne tient pas à trop grossir. En effet, quand Framasoft aura atteint sa taille maximale souhaitable, elle incitera d'autres associations à créer leur propre bouquet de services et à aider des réseaux débutants.  En octobre 2016, l'association a lancé un projet d'envergure nationale baptisé « Collectif des Hébergeurs Alternatifs Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires» d'où l'acronyme: CHATONS. Framasoft a alors publié une Charte Ethique pour les candidats prêts à devenir Chatons. En résumé, il faut utiliser des logiciels libres, ne jamais pratiquer le ciblage publicitaire, respecter les données personnelles, pratiquer la transparence, la neutralité et chiffrer les données et les connections autant que possible...

 

L'image proposée aux débutants pour leur expliquer Framasoft est celle d'une AMAP,  dans laquelle au lieu de proposer un panier de légumes, il s'agit de services en ligne fournis par un hébergeur de proximité. Parmi les pionniers, le journaliste cite «Internet Finistère» à Brest avec ouverture en septembre 2016 d'une demi douzaine de services. Il y eut aussi «Infini» en région parisienne, qui demandait aux utilisateurs une contribution libre. En Haute-Saône où existait déjà un réseau Internet non commercial depuis1998 fondé par 3 amis et nommé «La Mère Zaclys», on compte à ce jour 18 000 utilisateurs réguliers dans toute la France, en Belgique et en Suisse. A Paris, l'association April, association de promotion de logiciel libre, a décidé  de rejoindre le Collectif Framasoft. Certaines associations entrées dans le collectif louent leurs serveurs. A Nantes, l'association «Duchesse» s'y intéresse de près. Certains «mini-chatons» à usage familial se sont lancés en réservant les services à leurs proches. La Fédération française des motards en colère par exemple a du patienter quelque temps avant de pouvoir être agrée...

 

Pour Framasoft, créer un Chatons est à la portée de la plupart des gens. Il suffit généralement d'un spécialiste informatique pour dynamiser le collectif local et de s'adjoindre un certain nombre de bénévoles. Voici comment le site https://chatons.org présente la façon de rejoindre le Collectif.

«Nous rappelons que le collectif est ouvert à toutes formes de structures (associations, entreprises, collectifs, particuliers, collectivités, etc.), mais qu'il y a des engagements à respecter. Notamment, CHATONS visant à la décentralisation, inutile de proposer votre candidature si vous êtes un des principaux hébergeurs français. Ce n'est pas qu'on ne vous aime pas, mais l'objectif est de donner de la visibilité à de petits hébergeurs artisanaux et à diversifier et relocaliser l'offre, pas de renforcer l'assise des plus gros. Par ailleurs, rappelons que le critère principal est que vous soyez en capacité de gérer une infrastructure logicielle libre (inutile de nous contacter si vous êtes hébergé chez AWS, ou si vous vous proposez des services exchange).

Donc, vous êtes un petit hébergeur prêt : à aller vers du 100% libre, à renoncer à la publicité, à prioriser le respect des données personnelles de vos hébergés, à rencontrer physiquement ces derniers, alors vous pouvez passer à l'étape suivante.

  1. D'abord, lisez la FAQ ;
  2. ensuite, lisez le Manifeste et la Charte. On vous conseille même de dormir dessus (c'est une expression, hein !) ;
  3. puis vérifiez que vous correspondez aux critères indiqués dans la charte. Si vous avez un doute, re-lisez la FAQ (on l'aura peut-être mise à jour pendant la nuit, qui sait ?), et si vous avez encore des questions, vous pouvez nous envoyer un message (nous sommes des chatons, on passe donc pas mal de temps à jouer avec des pelotes de laine numérique, ce qui fait que la réponse peut mettre quelques jours à vous parvenir).
  4. vous êtes sûr que vous êtes à la bonne place, inscrivez-vous à la liste https://framalistes.org/sympa/subscribe/chatons et présentez-vous, ainsi que votre projet.
  5. Enfin,
    1. créez vous un compte
    2. puis créez une fiche "Chaton"
    3. le collectif sera prévenu lors de la soumission de la fiche et prendra contact avec vous.

 Notez que les délais de réaction peuvent être longs, comme tout collectif autogéré et bénévole, nous répondons quand nous le pouvons. D'ailleurs, il est probable que nous intégrions les chatons par "portée", par exemple tous les 3 mois, ce qui permet de communiquer sur les nouveaux, et de travailler collectivement sur la sélection et l'intégration des nouveaux chatons.

CHATONS est le Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires.»

Lyliane

Capitales européennes de la culture en 2017: Paphos et Aarhus!

Nous apprenons, grâce à un article de Mme Véronique Giraud dans le N° de février 2017 du Journal Syndical de la FSU, qu'alors que le programme Erasmus fête ses 30 ans, le Conseil des ministres de l'Union Européenne a désigné cette année deux villes comme capitales européennes: Paphos (Chypre) et Aarhus (Danemark). Cette nomination annuelle de deux ou trois villes a pour but de "mettre en valeur la diversité de la richesse culturelle en Europe et les liens qui nous unissent en tant qu'Européens".

Ces deux villes sont encore peu connues, mais elles ont été choisies sur la base d'un programme culturel dont elles assument la mise en place. La première Paphos, sur l'île de Chypre, est portée par la mythologie, puisqu'elle a mis en lumière son mythe fondateur: la légende du sculpteur Pygmalion et de la Néréide Galatée. Plus de 150 projets rythmeront l'agenda de la ville (gastronomie, opéra, théâtre...). A Aarhus, deuxième ville du Danemark, la reine Magrethe a invité la population à repenser et transformer le territoire en un "laboratoire culturel du 21 ème siècle (art, nouveaux modèles de croissance, solutions durables dans l'agriculture et la production alimentaire, innovation culinaire...)".

En 2004, la ville de Lille avait été choisie comme capitale européenne de la culture et, depuis, ce coup de pouce continue à dynamiser la ville à travers la structure Lille 3000. En 2016, c'étaient les villes de Donostia-San Sebastian (Espagne) et de Wroclaw (Pologne) qui portèrent le titre. En Pologne, cette désignation a été en quelque sorte un haut-parleur inédit pour les droits démocratiques avec l'affaire du dramaturge Krystian Lupa.

Bref, les façons différentes de concevoir la société et la culture en Europe soulignent la richesse et la diversité des peuples qui la composent. De plus, le tourisme culturel représentant 40% du tourisme mondial selon l'OMT, dynamise fortement le développement des territoires et la démocratisation de l'accès à la culture. Et cela peut concerner autant des musées et des sites historiques que des centres urbains, des productions locales ou des sites industriels...

Lyliane

21/02/2017

Une bonne nouvelle à propos des vaccins

  i.


DT-P : on a gagné !

Chère lectrice, cher lecteur,

La décision finale du Conseil d’Etat sur le vaccin DT-Polio a été rendue hier, mercredi 8 février : 

Les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP), les seuls obligatoires en France, devront être de nouveau disponibles sans association avec d’autres vaccins non obligatoires.

Le ministère de la Santé dispose de 6 mois pour prendre des mesures visant à rendre disponibles ces trois seules vaccinations obligatoires.

Le Conseil d’Etat est la plus haute juridiction administrative de France et ses avis ne peuvent pas être contestés.

Que dit le Conseil d’État précisément ?

Le Conseil d'Etat a posé un principe de base clair :

Les trois vaccins obligatoires en France doivent être disponibles sans association avec d'autres vaccins.

Il "enjoint au ministre chargé de la Santé de prendre des mesures pour rendre disponibles" les vaccins DTP sous cette seule forme.

"La loi, qui n'impose que trois obligations de vaccination, implique nécessairement qu'il soit possible de s'y conformer en usant de vaccins qui ne contiennent que ces trois vaccinations", a détaillé le Conseil d'Etat.

Le vaccin DT-P sera-t-il bientôt de retour dans les pharmacies ?

Non.

Les laboratoires Sanofi Pasteur, principal fabricant de ces vaccins, ne produisent plus aucun vaccin isolé contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) depuis 2008.

Ils ont déclaré à la presse hier que le délai imposé par le Conseil d’Etat (six mois) est intenable : remettre massivement sur le marché un ancien produit demanderait minimum 18 mois. [1]

Parmi les solutions discutées pour remédier à ce problème, une est particulièrement inquiétante : faire voter en urgence une loi pour rendre obligatoires également les vaccins présents dans le « supervaccin » hexavalent.

Ainsi mercredi, France-Info a-t-elle diffusé cette inquiétante information :

« Ce mercredi soir, l'Agence du Médicament a été saisie pour qu'un vaccin DTPolio soit remis sur le marché. Mais si les laboratoires pharmaceutiques refusent de le fabriquer, le gouvernement pourrait aussi changer la loi en passant de trois à six vaccins obligatoires. »[2]

Parer à toutes les possibilités

Ce scénario noir ne peut malheureusement pas être écarté.

Ainsi que nous l’avons expliqué à de nombreuses reprises, c’est la stratégie ouvertement conseillée par le rapport du « Comité d’orientation citoyenne sur la vaccination » rendu public le 30 novembre 2016, qui a préconisé de faire passer de trois à onze le nombre de vaccins obligatoires pour les nourrissons dans toute la France.[3]

Ce rapport préconise en outre de mettre à la charge de la collectivité les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt que par l’industrie pharmaceutique. (voir page 32 du rapport).

Ce rapport recommande en plus d’envisager le « changement de statut », c’est-à-dire de rendre obligatoire le très controversé vaccin contre la papillomavirus (contre le cancer du col de l’utérus), et même d’étendre la vaccination « aux jeunes garçons » ! (page 33 du rapport).

Enfin, il préconise « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble de ces recommandations » afin de « restaurer la confiance en la vaccination » (page 32 du rapport).

Pour réduire le risque d’un tel passage en force, dont les autorités sanitaires sont sans doute malheureusement capables, je vous invite à signer la pétition ci-jointe si vous ne l’avez pas encore fait : http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php


Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

19/02/2017

Choisir une EHPAD...

 

 

Une EHPAD est un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, c'est à dire une maison de retraite médicalisée. Il n'est pas évident pour une famille de choisir un établissement pour un de ses membres. Aussi, il faut savoir qu'un Portail national d'information pour l'autonomie des personnes âgées et l'accompagnement de leurs proches existe et qu'il est géré par le Ministère des Affaires Sociales et de la santé.

Un site permet, en effet, en indiquant le département désiré, d'obtenir sur écran la liste des EHPAD avec leurs coordonnées (statut, capacité, prix d'hébergement, tarif de dépendance par jour et par personne, supplément de chambre seule, soins médicaux possibles...).

Sur ce site, indiqué ci après, vous pouvez aussi trouver une multitude d'informations comme vivre à domicile, temporairement ailleurs, exercer ses droits, assurance-maladie... En un simple click, voilà une mine d'informations.

Rendez-vous donc en cas de besoin sur: www.pour-les-personnes-agees.gouv.fr.

 

Lyliane

 

 

 

 

En Malaisie, selon le blog de l'écologie positive, un résultat encourageant!

 
 
 
 

MALAISIE - Un réseau de braconniers d'éléphants démantelé

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Le 10 février dernier, les autorités malaisiennes ont procédé à l'arrestation de 7 braconniers parmi les plus recherchés du pays, suspectés d'avoir tué au moins 15 éléphants en 4 ans, ainsi que d'autres espèces recherchées au marché noir (cerfs sambars, buffles, serows ou antilopes-chèvres...). Lors de l'arrestation, 2 défenses ont été saisies ainsi que de la viande d'éléphant et des armes à feu.

Les braconniers n'avaient pas de permis de chasse, ni de licence pour la détention de certaines armes.

AV.

18/02/2017

Les poisons silencieux du port de Saint-Nazaire...

 

 

Selon Mme Virginie Félix qui écrit dans le journal Télérama N° 3501, depuis 10 ans des dockers luttent pour faire reconnaître leurs cancers comme maladie professionnelle. Un documentaire de Mme Benoite Juneaux (2016) consacré à ce sujet sera diffusé samedi 18 février à 21h30 sous le titre «Les dessous de la mondialisation» sur LCP (13 ème chaîne).

La journaliste établit un parralèle entre le scandale de l'amiante et celui de l'exposition des dockers aux produits dangereux. Les dockers qui manipulent au quotidien des cargaisons de marchandises (soja, ciment, charbon, pétrole, phosphates...) arrosées de pesticides, fongicides ou porteuses de substances toxiques sont en effet très exposés et risquent leur vie. Le magazine Bastamag s'en était fait l'écho en 2013. Il semble toutefois y avoir un tabou au sein de la profession, car c'est un poison silencieux. Il faut savoir également qu'il y a quelques années les dockers travaillaient en short et à mains nues...

Le premier à avoir enquêté sur la question est un docker de Saint-Nazaire Mr J.L. Chagnolleau, qui est aujourd'hui décédé de multiples cancers après 30 années de métier. Il a néanmoins crée une Association pour la protection de la santé au travail dans les métiers portuaires. Une étude datant de 2014 réalisée par des sociologues et des scientifiques a estimé que près de la moitié des dockers de Saint-Nazaire sont atteints de cancers (Etude Escales sur les enjeux de santé au travail et cancers).

Un médecin marseillais a par ailleurs établi que l'espérance de vie des dockers était de 10 ans inférieure à la moyenne des Français. Pour les membres de l'Association, constituer des dossiers, rassembler des preuves prend du temps et de l'énergie. De plus, les victimes se heurtent à la nomenclature de la Sécurité Sociale, pour qui une maladie professionnelle ne peut avoir qu'une seule cause, alors que les facteurs déclenchant et les formes de cancers sont multiples.

 Entreprises de manutention, gérance du port, armateurs se renvoient la balle. Suite au rapport Escales néanmoins, le Ministère du Travail a publié en 2015 une circulaire qui recense les matériaux toxiques et les risques encourus par les ouvriers. C'est en plus un problème sanitaire qui dépasse les seuls ports français. Aussi, la mobilisation des dockers va devoir se faire au niveau international... Une émission qui méritera une suite, afin de prendre des mesures efficaces de prévention et d'indemniser correctement les familles des dockers victimes de leur travail.

Lyliane

 

16/02/2017

Un food truck pour les sans abri...

 

Mr Frédéric Lopez et son équipe d'amis dénicheurs d'initiatives, au cours de l'émission Mille et une Vies à 13H55 sur la 2ème chaîne, nous parle d'une femme qui apporte aux plus fragiles un soutien inestimable avec un sens de l'altruisme extraordinaire.

 

Mme Myriam Picardet, mère de trois enfants, est agent de sécurité, mais, en plus de son travail, elle sillonne en effet la ville de Toulon au volant de son food truck pour récupérer les invendus de supermarché en supermarché. Depuis avril 2016, elle prépare ensuite tous les mardi avec l'association «Sans toi et si c'était toi» un repas sain pour les SDF de la ville.

 

Cette initiative solidaire est destinée à lutter contre le gaspillage, tout en soutenant des personnes en grande précarité. A la nuit tombée, les bénévoles de l'association dressent le couvert avec bougies, nappe en tissu et vaisselle en faïence sur le port de Toulon. Cela permet à ces personnes exclues d'échanger et d'oublier pour quelques heures leurs difficultés.

 

Ce restaurant éphémère, simple et à la portée de tous, va peut-être donner des idées à des personnes de bonne volonté dans notre pays... C'est pourquoi il est important d'en parler autour de soi. Merci à cette émission diffusée du lundi au vendredi sur France 2 de mettre en lumière des témoignages de vies qui sans lui passeraient inaperçus! On peut revoir ces émissions sur le site www.france2.fr ou en replay.

Lyliane

 

15/02/2017

Enfin des livres pour les dyslexiques...

 

Selon le journal Fémina, les dyslexiques, dyspraxiques, dysphasiques, dysorthographiques représenteraient aujourd'hui entre 6 et 8% de la population selon la fédération FFDYS, dont près de 600 000 enfants. Les éditeurs de ce fait commencent à s'intéresser à eux. Nathan par exemple, dans sa collection Dyscool, propose des best-sellers de la littérature jeunesse à partir de 7 ans à lire sur tablette ou smartphone, enrichis de sons, de couleurs et de caractères qui aident au déchiffrage, à l'attention et à la motivation. De son côté, Castelmore a également crée une collection pour les dyslexiques, dès 8 ans, qui reprend les succès d'édition dans une version adaptée (textes simplifiés, phrases plus courtes, polices plus lisibles).

Dans le même esprit, Belin va plus loin avec sa collection Colibri. Il y a 6 petits livres avec 4 niveaux différents, d'une cinquantaine de pages tout au plus. Ce sont là des histoires spécialement écrites pour des enfants dys de 8 à 12 ans. Une double page dite «d'échauffement» précèdel'histoire, le quiz et le questionnaire final. La responsable éditoriale, Mme C. Maurisson a fait travailler une équipe de spécialistes des sciences du langage et fait élaborer unecharte d'écriture prenant en compte les dernières découvertes sur les dys. Les auteurs acceptant ce «jeu littéraire», comme Mme A.de Lestrade ou Mr F. Colin, ont utilisé des mots courts, des phrases simples mettant l'accent sur certains phonèmes. De plus, une enseignante a testé les livres en classe et une charte graphique a été élaborée sur ses conseils.

 

Pour les adolescents, les éditions AM et M proposent un vrai-faux thriller écrit par Mme A.M. Gaignard, elle-même ancienne dys. Le titre de cet ouvrage original est «Pas de panique chez les indics!». C'est une façon d'amener les 12/14 ans à se réconcilier avec l'orthographe et de revoir les principales règles du langage écrit en leur donnant des clés de compréhension ludiques et logiques.

 

Comme quoi lorsque la profession des éditeurs choisit de se mobiliser, elle peut venir au secours d'enfants en difficulté et de leurs parents souvent démunis face à ce type de handicap. Une initiative à saluer et à développer en classe comme dans la vie active!

Lyliane

 

13/02/2017

Gare à la fracture numérique!

Le Journal Messages du Secours Catholique-Caritas France, dans un article signé par Mr Benjamin Sèze, montre que la numérisation des démarches administratives, qui peut être un levier dans la lutte contre le "non-recours", ne doit cependant pas devenir un facteur supplémentaire d'exclusion. Car si Internet facilite l'accès aux droits, ce n'est pas le cas de tout le monde. Les services 100% en ligne, selon une enquête publiée en avril 2016 par le journal Le Monde, inquiètent près de la moitié des Français. En effet, soit ils n'ont pas la maîtrise des outils informatiques et des procédures numériques, soit ils ont une incertitude quant à la protection de leurs données. Et la plupart demandent un accompagnement dans les situations les plus complexes...

De plus en plus de Français se sont habitués à accomplir leurs démarches administratives (banque, impôts, poste, préfecture...) via Internet. Le bon côté de la numérisation est qu'elle oblige à simplifier les procédures et le langage utilisé. Ce symbole de correspondance numérique correspond souvent à une idée de progrès. Les administrés savent désormais scanner des documents et les envoyer en document attaché. Toutefois, le Secours Catholique-Caritas a noté que pour le RSA activité (revenu de solidarité active), le taux d'accès par Internet plafonne à 30%...

Mr Jacques Toubon, le Défenseur des Droits dans notre pays, a fait réaliser une enquête entre mars et avril 2016 auprès de différents services publics, afin d'analyser l'accès effectif aux droits du public. Les conclusions donnent à réfléchir... En effet, pour l'Assurance Maladie, les conseillers renvoient la moitié des appels vers Internet. A Pôle Emploi, 40% des conseillers fournissent des réponses succinctes et plus d'un tiers d'entre eux renvoient les demandeurs directement vers Internet. Quant aux Caisses d'Allocations Familiales, un appelant sur 5 a obtenu une réponse précise, les autres étant renvoyés vers un simulateur en ligne.

Selon Mr Toubon interrogé en septembre 2016, nous devrons veiller à ce que la fracture numérique n'éloigne pas un public vulnérable de son accès à l'information. Pour cela, il faudrait offrir des modalités d'information variées et conserver des lieux d'accueil physique. Pour en savoir davantage sur ce sujet,  consulter www.secours-catholique.org ou www.defenseurdesdroits.fr

 

Lyliane

11/02/2017

Une solidarité contagieuse?

 

 

Pendant que certains font beaucoup de bruit, d'autres agissent en silence... Le journal Nice-Matin, dans son édition du 2/2/2017 à travers un article de Mr Jérémy Tomatis, nous présente Mr Philippe Leconte, originaire de Cagnes sur mer (06), qui chaque année se déplace au Cambodge pour apporter des prothèses auditives à la population locale. Depuis 2013, cet homme, en lien avec l'ONG Humani'Terra, se déplace en octobre à Koh Kong, au Sud-Est du pays, pour assurer le réglage et le suivi de ses prothèses. En 2017, il espère partir avec deux chirurgiens et deux audioprothésistes.

 

Avec le désir de se rendre utile, Mr Leconte poursuit avec joie sa mission humanitaire. Il explique qu'il tient de sa mère son ouverture aux autres. Elle parrainait en effet des enfants sans ressources pour qu'ils puissent faire des études. Comme quoi la solidarité peut être contagieuse et susciter des vocations! Nos journalistes devraient réaliser cette réalité et réfléchir à ce qu'ils mettent en avant dans leurs articles. Car il ne manque pas de beaux gestes et de belles personnes à mettre en valeur!

Lyliane

 

10/02/2017

Suite de la pétition sur l'étiquetage nutritionnel par change.org...


 
 
Etiquetage nutritionnel alimentaire: les consommateurs français veulent le code 5 couleurs
par eric DELANNOY · 249 761 signataires
MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

RV ce jour au Ministère de la Santé avec Etienne Champion le Dir. de Cabinet de Marisol Touraine

eric DELANNOY
Paris, France
 

2 FÉVR. 2017 — Rendez-vous ce jour au Ministère de la Santé (Paris 7ème) avec Etienne Champion le Directeur de Cabinet de Marisol Touraine qui m’a reçu au nom de la Ministre pour que je lui remette officiellement et solennellement la pétition et ses (au jeudi 2 févier, matin) 249 600 signatures, vos signatures.

C’est clairement une mobilisation des consommateurs français très forte qui s’est exprimée en faveur de l’un des étiquetages en lice (le 5C/Nutriscore donc), et elle sera prise en compte.

A réception du rapport final de l’ANSES s’engagera la délibération finale entre les Ministres. La recommandation de l’étiquetage nutritionnel ‘victorieux’ est prévue par un arrêté avant fin avril.

Ma mission, notre mission est accomplie



PS la pétition reste ouverte jusqu’à ce que nous connaissions la décision finale, toute nouvelle signature qui viendra s’ajouter reste bienvenue .

09/02/2017

Le Parlement européen mis au pied du mur avec un film à propos de notre santé...

 
   
 
 

     
  Institut pour la Protection de la Sante Naturelle  
 

Une “bombe” au Parlement Européen !

Chère amie, cher ami,

Janvier a été marqué par le soutien du Rapporteur du Conseil d’Etat à l’action de l’IPSN dans l’affaire “DTP”.
Il y avait une faille juridique dans le système…
Reste à voir si Conseil d’Etat suivra. Nous trépignons d’impatience.

En attendant, nous avons une autre “bombe” à vous proposer.

Le 9 février prochain, aura lieu à Bruxelles, un événement qui devrait faire date dans l’histoire de la liberté thérapeutique. La député européenne Michèle Rivasi organise la diffusion du film “Vaxxed” qui sera suivi d’un débat avec différents scientifiques.

Ce film raconte l’histoire du Dr Brian Hooker, qui a recueilli le témoignage d’un expert de l’industrie pharmaceutique ayant affirmé avoir, lui-même, faussé des études tentant d’explorer l’existence d’un lien possible entre vaccin ROR et autisme. Les révélations contenues dans le film sont terrifiantes. Les témoignages des familles de victimes du vaccins le sont plus encore.

A l’issue de ce film tragique, il y aura un débat. Sera présent, le Dr Andrew Wakefield, un chercheur héroïque. L’exploit de cet homme est d’avoir été honnête dans un monde de scorpions et de tarentules. En 1998, il a publié dans The Lancet,une prestigieuse revue médicale, une étude établissant un lien probable entre autisme et vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole).

Sa recommandation à l’époque : se tourner vers le vaccin unique pour protéger de la rougeole.

Cet homme n’a jamais dénigré les vaccins.

Il a constaté une faille dans une étude. Il a simplement dit ce qu’il avait vu. Il a juste été vrai.

Et pour cela, il s’est vu destitué de sa nationalité (Britannique).

C’est quelque chose que l’on hésite à imposer aux pires terroristes...

Cette journée au Parlement n’est donc pas seulement une histoire de santé. C’est aussi une question de justice envers un chercheur qui a fait son travail et s’est vu banni pour cela. C’est également une question de justice pour toutes les familles qui ont connu le cauchemar de l’autisme sans que les institutions n’accordent le moindre intérêt à leur histoire.

A l’issue de la matinée au Parlement, le débat continue dans la salle Lumen. (Chaussée de Boondael, 36 - Place Flagey - Bruxelles).
Venez aussi nombreux que possible !

Informations et inscriptions ici.

En écho à la journée de Bruxelles, aura lieu à Paris le 13 février, une deuxième diffusion du film toujours avec Michèle Rivasi, entourée de scientifiques rigoureux et respectés.

Ces journées ont pour but de discuter la sûreté des vaccins et non pas le principe de la vaccination.

Je rappelle à ce titre que nous ne sommes pas opposés aux vaccins mais favorables à la liberté thérapeutique.

Par ailleurs, il est grand temps que la société prenne en compte la souffrance de ceux qui ont vu leur vie bouleversée dans les 48 heures (et parfois beaucoup moins) qui ont suivi l’injection d’un vaccin chez leur tout petit. Allez leur dire, quand les convulsions sont apparues l’instant d’après la vaccination, qu’il n’y a aucun lien, que les études sont sûres.

Il est grand temps que les laboratoires pharmaceutiques acceptent d’ouvrir le débat sur les effets secondaires des vaccins et les réponses que la société y apporte. S’ils sont si faibles, ces effets secondaires, pourquoi ce débat leur ferait-il peur ?

Ces deux journées ont été lancées à l’initiative de Senta Depuydt, journaliste et elle-même mère d’un enfant autiste. Je profite de ce mail pour souligner l’admiration que j’ai pour son travail et son engagement. Il lui a fallu un grand courage pour lancer l’organisation de ces journées.

Comme chacun sait, les mères d’enfant autiste sont aussi éprouvées qu’admirables !

N’hésitez donc pas, si vous en avez l’occasion, rejoignez-nous pour cet événement quel que soit, du reste, votre avis sur le sujet.

C’est un rassemblement de citoyens inquiets mais déterminés à mieux comprendre les grands enjeux de leur temps que nous vous proposons.

Informations et inscriptions ici.

D’autres événements cruciaux auront lieu dans les mois qui viennent, un peu partout en France et en Belgique, je vous laisse découvrir ci-dessous le calendrier complet et les infos pratiques qui vont avec.

Evénements exceptionnels à venir !

1. Conférence-débat Vaxxed, Parlement Européen (Bruxelles) et Paris - 9 et 13 février 2017

Organisé par Michèle Rivasi, députée européenne, cette journée au Parlement Européen sera l’occasion de rencontrer et échanger avec des personnalités engagées dans la mise en lumière de la dangerosité de la vaccination telle qu’elle existe actuellement.

Ce débat sera accompagné de la projection du film “Vaxxed, from cover-up to catastrophe” (VOST)

Les Pr. Romain Gherardi et Luc Montagnier seront également présents aux côtés d’Andrew Wakefield (réalisateur du film) pour animer ce débat. Je serai présent le 9 février à Bruxelles et le 13 février à Paris.

Informations et inscriptions ici.


2. Journées du Microbiote, Louvain-la-Neuve (Belgique) - 11 février, 6 mai et 21 octobre 2017

N’oubliez pas de vous inscrire aux Journées du Microbiote à Louvain-la-Neuve (Belgique) qui commencent le 11 février prochain. Cela sera l’occasion de découvrir le travail fascinant de femmes hors du commun comme Sandra Néri, Myek Smiers ou Bénédicte Van Craynest (dont la cuisine est exquise !)

Informations et inscriptions ici.


3. Congrès Respirez la Santé, Saint-Malo - 13 et 14 mai 2017

Pendant deux jours, venez découvrir des approches thérapeutiques novatrices et utiles pour vivre mieux, plus détendu et en bien meilleure santé ! Le site choisi est magnifique et convient parfaitement aux deux jours de réflexion et de détente que nous vous proposons…

Seront présents : le Dr Michel de Lorgeril, le Dr Michel Angles, Anthony Berthou, Jean-Pierre Marguaritte et bien d’autres. Notez bien la date. Nous vous tiendrons informés des modalités d’inscriptions d’ici une semaine environ.


4. Académies de Santé Naturelle, Aix-les-Bains - 10 au 12 mars 2017

A Aix les Bains, auront lieu les Académies de Santé Naturelle. L’IPSN est partenaire de cet événement de qualité auquel je me rends tous les ans. A “l’affiche” cette année, le Docteur Michel de Lorgeril parlera des maladies cardiovasculaires et comment les éviter.

Informations et inscriptions ici.


5.
Congrès de Psychologie Energétique, Lyon - 18 et 19 mars 2017

En mars également, se tiendra à Lyon un intéressant Congrès de Psychologie Énergétique auquel j’assisterai et dont l’IPSN est partenaire.

Informations et inscriptions ici.


6. Congrès Santé de Demain, Montpellier - 1er avril 2017

Une journée d’exception autour de Conférences âªï¸ Rencontres âªï¸ Échanges âªï¸ Partages avec des spécialistes de la santé de demain (sous la présidence d’Edgar Morin)

  • Pr Henri Joyeux, “Lutter contre le Stress, un remède anti-cancer”

  • Pr Jean Bernard Foutillan, "Stress et dérèglement du système Veille-Sommeil”

  • Pr Konstantin Korotkov, "Médecine Quantique : Santé et Conscience”

  • Christian Bordes, "Se soigner par la pensée : conduite à tenir”

  • Jacques Collin, "L'eau, la fondation du monde et la pensée humaine”

  • Dr Claude Lagarde, "Mode de vie et pensée, bases de la santé”

Ce sera une magnifique journée, à laquelle je me rendrai avec joie également !

En savoir plus ici.

7. Congrès des Herboristes, Angers - 8 et 9 avril 2017

Cette année, ce grand rendez-vous des plantes est organisé par l’ARH dont l'IPSN soutient l'initiative. Après avoir co-organisé ce beau rendez-vous pendant quatre ans, nous avons passé la main à l’ARH qui vous prépare un programme remarquable.

Rendez-vous à Angers pour découvrir ou redécouvrir tous les acteurs de cette filière majeure de notre santé au naturel. Plus d’informations à venir.

8. Séminaires, Antibes

4 et 5 mars 2017

Les maladies auto-immunes et fibromyalgies

Comprendre ces maladies et les traitements conventionnels.

Préciser le rôle majeur de l’alimentation, des infections froides (maladie de Lyme), des polluants (métaux lourds), du mental.

8 et 9 avril 2017
Les cancers

Accompagnement des traitements conventionnels, approche métabolique (Schwartz, régime cétogène)

Ces deux séminaires sont organisés et animés par le Dr Michel Lallement, chirurgien des luttes contre le cancer, qui a publié chez Mosaïque-santé, “Les trois clés de la santé”; et le Dr Yann Rougier, spécialiste en neurosciences, auteur de “Se programmer pour guérir”.

Ces séminaires offrent, durant une journée et demi (samedi et dimanche matin) des outils très concrets qui vous permettront de mobiliser les ressources quasi illimitées qui sont en vous afin de vous aider à retrouver la santé.

Renseignements et inscription au 06 87 28 43 57, par mail àmagali.ressource@gmail.com ou sur le site www.docteur-michel-lallement.com

J’espère avoir l’occasion de croiser votre route et pouvoir vous serrer la main lors de l’un ou l’autre de ces événements !

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

07/02/2017

Une société collaborative, mythe ou réalité...

 

Depuis la diffusion mondiale d'Internet, une économie de partage a commencé à se mettre en place (logiciels libres, Wikipédia...). Et depuis les années 2010/2011, il est de plus en plus question d'une économie collaborative. Des interprétations différentes sont faites à ce propos.

Pour Mr Max Weber, il s'agit d'une forme d'entreprise élargie, dans laquelle le fonctionnement ne se fait plus selon des règles imposées par un leader, mais essentiellement selon des conventions collectives signées par tous les membres. Pour d'autres, cela signifierait finalement un tel bouleversement des structures que le modèle capitaliste serait à l'agonie. Pour le Crédoc enfin, ce serait tout à fait compatible avec le capitalisme...

Le magazine les Echos propose une définition de ce type d'économie qui la distingue d'une économie de partage et de l'ESS (économie sociale et solidaire). L'ESS en effet est centrée sur l'intérêt général à travers une organisation démocratique et une éthique dans la redistribution des revenus d'activité, tandis que, dans l'économie de partage, les individus s'auto-organisent pour créer un bien commun.

Par contre, l'économie collaborative serait plutôt basée sur la production à plusieurs de biens et de services s'appuyant sur une organisation horizontale. Il n'y aurait alors aucune propriété collective.

Un ouvrage a été publié chez Rue de L'Echiquier en juin 2015 par un Collectif de 9 membres nommé Ouishare sous la direction de Mme Diana Filippova «Société collaborative, la fin des hiérarchies». A travers de nombreux exemples actuels: AirBnb, UberPop, le Bon Coin, BlablaCar... chacun de nous peut dessiner les contours de ces sites marchands de notre société de consommation. De même, après le web collaboratifs (forums, chats, plateformes d'échange, réseaux sociaux...), une économie circulaire et une gouvernance territoriale commencent à se développer dans notre pays, sous la pression de normes environnementales notamment.

Nous sommes en droit de penser que, plus qu'une mode fort populaire , c'est une forme d'intelligence collective qui se répand rapidement en recherchant des solutions de type: gagnant-gagnant... Cet agir collectif me semble particulièrement à l'oeuvre dans la sphère du travail et de la consommation, chacun se sentant à la fois concerné par les façons de produire et de consommer.

Pour en savoir plus sur le sujet, consulter par exemple les Cahiers de Recherche du Credoc sur Internet: www.base.socioeco.org ou d'autres sites comme: www.magazine.ouishare.net, www.lesechos.fr .

Voir aussi d'autres sites associatifs:

http://consocollaborative.com

 

https://alternatiba.eu/rhone/

Un document du CREDOC

Société collaborative.pdf

Lyliane et Michèle

 

05/02/2017

La bio bientôt dans toutes les cantines, tous les hôpitaux et restaurants d'entreprise?

Un article paru dans le N° 276 de la revue Biocontact de février 2017 salue l'adoption par nos députés français de l'inscription définitive de 40% de produits locaux et de saison dont au moins 20% de produits bio ou en conversion en restauration collective d'ici à 2020. Cette décision entre dans le cadre du Projet de Loi Egalité et Citoyenneté à la suite d'une proposition d'amendement déposée par la député EELV (Ecologistes et les Verts) de Dordogne Mme Brigitte Allain. Dans la nouvelle Loi, deux amendements reprennent les 2 dispositions phares de la proposition de loi de la député.

Il est vrai que, depuis quelques années, des communes pionnières ont déjà introduit des produits bio et locaux dans leurs cantines. Sur place, tout le monde ou presque s'en félicite! Cela constitue un bon levier de développement de l'agriculture biologique sur tout le territoire national...

Mr F. Veillerette, porte-parole de l'Association Générations Futures, se félicite de cette avancée significative en France dans le journal Biocontact. Selon moi, il serait temps néanmoins qu'une alimentation durable, ancrée territorialement, commence à s'étendre partout dans notre pays notamment dans les restaurants universitaires, les hôpitaux, les cantines d'entreprises.  

Pour en savoir plus sur le sujet, consulter notamment sur Internet: www.generations-futures.fr.

Lyliane

04/02/2017

A propos du vote contre le Ceta et le Tafta à l'Assemblée...

 

 
 
Soutien à Paul Magnette contre le #CETA et par extension contre #TAFTA
par Emmanuel CHAUMERY · 234 200 signataires
MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

En France, l'Assemblée vote contre le CETA

 
Emmanuel CHAUMERY
France

4 FÉVR. 2017 — L'Assemblée Nationale française a donc demandé au gouvernement de consulter le parlement avant toute mise en oeuvre de l'accord et à organiser un référendum.
Dans l'article lié, vous trouverez les noms des intervenants, n'hésitez pas à leur écrire pour leur dire ou à retweeter ce tweet qui les tagge en partie :
https://twitter.com/newsdegauche/status/827794216080244740

On se rapproche du vote du parlement, la mobilisation doit continuer (il y a eu une pétition en Autriche avec 550.000 signatures)

On continue de se battre donc !

Emmanuel Chaumery
@emmanuel27m sur Twitter

Loi Littoral: il faut rester mobilisés...

LA MOBILISATION DOIT CONTINUER !





Jean-Laurent FELIZIA

LE LAVANDOU, France

1 FÉVR. 2017 — Cher(e)s signataires,

Avec vous et grâce à vous, la pétition « Ne touchez pas à la loi littoral » a atteint aujourd’hui, 12 jours après son lancement, 200 000 signatures et je vous en remercie à nouveau.

L’Assemblée Nationale a adopté hier soir un texte en deuxième lecture...Même si les amendements scélérats votés au Sénat ont été pour l’essentiel écartés, le compromis « d’assouplissement » de la loi littoral adopté hier ne nous parait pas acceptable.

En effet, ces amendements permettent encore l’installation de constructions agricoles, forestières et marines en zone littorale,
et permettent de déroger par décret aux notions de hameaux, villages et agglomérations…laissant ainsi la porte ouverte à tous les abus, toutes les dérives et interprétations.

Nous pensons qu’il n'est pas prudent de voter un tel texte en fin de législature, dans la précipitation et sans véritable étude d’impact des conséquences de ces amendements destinés à régler quelques cas particuliers.

C’est pourquoi nous avons décidé de poursuivre notre action et d’amplifier autant que possible la mobilisation jusqu’à l’examen en deuxième lecture au Sénat, prévue le 13 Février. 

Nous souhaitons pouvoir compter sur votre soutien personnel
et la mobilisation de vos réseaux pour atteindre notre objectif:

« Préserver la Loi Littoral »

 

03/02/2017

KissKissBankBank, leader européen du crowdfunding...

 

KissKissBankBank and Co a été fondé en septembre 2009 «par Mme Ombline Le Vasseur, Mrs Vincent Ricordeau et Adrien Aumont, trois passionnés de culture indépendante qui proposaient aux Français de reprendre le pouvoir sur leur argent en l'investissant directement dans l'économie réelle» selon Mme C. Henaff dans le journal Nice-Matin du 30 /1/2017.

Aujourd'hui, KissKissBankBank est devenu un des leaders européen du financement participatif. C'est en effet le pionnier du don contre don dédié à la création, l'innovation et la solidarité. En mars 2010, la plateforme a lancé la version 2 et en avril 2013, c'était la création d' hellomerci.com, plateforme de prêts solidaires entre particuliers pour des projets personnels et entreprenariaux. En octobre 2014 a été lancé Lendopolis.com, qui permet aux petites et moyennes entreprises de plus de 2 ans d'obtenir des crédits professionnels directement auprès de particuliers. Cette année, une quatrième plateforme est prévue, afin de proposer aux internautes de devenir actionnaires de jeunes start-ups françaises.

Le succès de KissKissBankBank ne se dément pas. C'est en effet le seul acteur en Europe à proposer ses services sur 3 segments du financement participatif. En décembre 2013, plus de 10 millions d'euros étaient déjà collectés sur la plateforme. KissKissBankBank se rémunère en percevant une commission de 5% TTC sur toutes les collectes réussies, à laquelle s'ajoutent 3% de frais bancaires.

Tout le monde en fait peut déposer un projet sur la plateforme. Le créateur remplit une fiche de présentation, définit le montant de sa collecte et les contreparties qu'il propose en échange dans un temps imparti. Le projet, s'il est validé par KissKissBankBank, est mis en ligne et les internautes peuvent participer à partir d'1 euro. Sur Hellomerci les prêts vont de 200 euros à 1000 euros. Pour Lendopolis, ils sont encore plus élevés et soumis à des conditions strictes.

Des KissKissDating dans le sud de la France ont lieu actuellement sous forme de petits déjeuners. Ces rencontres permettent à des porteurs de projets de se renseigner sur la plateforme de crowfunding. Le 3/2/2017 aura lieu l'inauguration à Marseille de la plateforme PACA. A Toulon et à Nice, des contacts ont déjà été pris. Les bureaux de l'antenne PACA seront installés dans La Ruche, un espace de coworking à Marseille.

Ainsi, en basant une entreprise telle cette plateforme de financement participatif sur la confiance et la transparence, on permet à des citoyens de s'investir et de soutenir des projets innovants. Plus besoin donc d'attendre le feu vert de banques ayant pignon sur rue et qui n'ont pas forcément une démarche solidaire pour lancer des innovations et des créations. La réponse dans ce cas peut venir d'une rencontre entre des intérêts particuliers et chacun est susceptible d'y trouver son compte...

Pour en savoir plus, consulter notamment sur Internet: www.kisskissbankbank.com 

Lyliane

 

31/01/2017

A propos du revenu universel...

 
 
pour répondre à cet email veuillez utiliser cette adresse : info@neosante.eu
Néosanté hebdo
mercredi 25 janvier 2017
     

Le revenu universel
pour révolutionner la santé

portrait de Yves Rasir

Chanceux citoyens français : en la personne de Benoît Hamon,  candidat-surprise au deuxième tour des primaires de la gauche, ils possèdent un potentiel futur président qui ose porter le projet d’offrir à chacun un « revenu universel d’existence ».  Enfin un homme politique de premier plan qui a l’audace de proposer cette réforme consistant à octroyer une rente mensuelle à l’ensemble de la population  adulte, et ce de manière inconditionnelle et individuelle. Pour le rival de Manuel Valls, la somme offerte sans contrepartie à tous les habitants de France pourrait s’élever à 750 € par mois. De quoi déjà dormir sous un toit et manger à sa faim. Et chacun(e) serait libre  ensuite de compléter ce viatique par un travail rémunérateur, le marché de l’emploi étant lui-même dopé par la viabilité des petits boulots et la moindre attractivité des indemnités de chômage du fait de l’existence du revenu de base. Un rêve irréaliste ? Une utopie impayable ? Cette idée est au contraire considérée comme parfaitement réalisable par de nombreux économistes. A l’instar des congés payés et de la semaine de 40 heures au siècle dernier,  il suffirait seulement de volonté politique pour la mettre en œuvre. En Belgique aussi, le thème de l’allocation universelle  revient sur le devant de la scène. Bien que ses adversaires de droite la qualifient de lubie marxiste récompensant l’oisiveté et que ses détracteurs de gauche la voient comme une menace fatale pour la sécurité sociale, il se trouve des politiciens de tous bords pour en défendre le principe.

Personnellement,  j’ai toujours été un chaud partisan du revenu universel. Il y a 40 ans,  lorsque j’ai modestement contribué à fonder ce qui allait devenir le parti écologiste belge, je me rappelle que ce point figurait en bonne place du programme des Verts. Comme ceux-ci ont progressivement rougi et qu’ils ont relégué la revendication au second plan, j’ai voté plus tard pour une formation  libérale qui en avait fait son cheval de bataille. Tout dépend évidemment de son application, mais à mes yeux le revenu d’existence transcende le clivage gauche/droite et ne présente que des avantages. Il permettrait, entre autres, de simplifier drastiquement l’État-Providence et d’en supprimer l’embonpoint bureaucratique. Il valoriserait, aussi, toute une série d’activités aujourd’hui bénévoles comme l’éducation des enfants, le travail ménager ou le jardinage. Je ne vais pas exposer ici tous les bienfaits sociaux et sociétaux qu’une telle réforme pourrait à mon avis procurer. Mais il en est un qui me tient à cœur, qui n’est jamais cité, et qui est  à mon sens primordial : son impact très certainement positif pour la santé ! Bien conçu, le système pourrait par exemple favoriser l’allongement des congés de grossesse et le temps d’allaitement, ce qui bénéficierait immanquablement aux mères et aux enfants. Dans le Néosanté de février, on va notamment vous parler d’une étude qui a évalué les bénéfices de la « méthode kangourou », autrement dit le contact prolongé de peau à peau entre les mamans et les bébés. Non seulement ces derniers sont en meilleur santé,  mais le résultat est encore perceptible 20 ans plus tard sous forme d’une meilleur équilibre psychologique : les jeunes gens  ayant bénéficié de la méthode kangourou  sont  moins exposés au risque d’hyperactivité, sont moins enclins à avoir des comportements agressifs ou à commettre des incivilités, et ils ont  un taux d’absentéisme scolaire réduit de moitié par rapport au groupe témoin !

Si elle peut contribuer à humaniser la naissance et la période périnatale,  la rente mensuelle pourrait surtout  permettre de satisfaire deux grands  besoins de l’être humain : le besoin de sécurité et le besoin d’être reconnu inconditionnellement. Dans nos pays industrialisés, tous les types de revenus sont toujours conditionnés. Même le minimum vital n’est accordé que  moyennant le respect de telle ou telle condition, comme la recherche d’un travail.  Et aucune allocation de remplacement n’est strictement individuelle. Ce modèle de fonctionnement est à la fois très violent et excessivement stressant puisqu’il implique que vous n’avez pas le droit de survivre si, par malheur, vous passez entre les mailles de la sécu. Et si elle vous repêche, vous n’êtes jamais qu’en sursis puisqu’elle peut vous couper les vivres. Comme je l’ai relevé dans une précédente infolettre,  un tel système est aberrant car la perte d’un emploi est dès lors souvent ressentie comme un événement tragique, un véritable drame. Selon certains chercheurs, le chômage subi et subit provoquerait pas moins de 20.000 décès prématurés en France, par maladie ou par suicide. La perte d’un job occasionne des blessures psycho-émotionnelles dont on ne mesure pas suffisamment la gravité. Le grand mérite de l’allocation universelle, c’est qu’elle ne se conjugue pas au conditionnel. Le simple fait d’être né  et de respirer vous donnerait droit au revenu de base. Son caractère automatique représente son  côté révolutionnaire sur le plan social comme sur le plan sanitaire. En donnant à tout individu les moyens de subvenir à ses besoins vitaux (nourriture et logement) sans rien devoir justifier, la société n’éliminerait pas la précarité mais combattrait le corollaire de la pauvreté absolue, à savoir la peur de manquer de l’essentiel.

La réalité et la haute toxicité de cette peur archaïque est une des grandes découvertes du Dr  Ryke Geerd Hamer. En établissant les correspondances entre le corps et les différentes aires du cerveau, le médecin allemand a compris  que la somatisation de la détresse psychique ne se produisait pas au hasard ni n’importe où.  Il a notamment montré que le foie était un organe particulièrement sensible  aux difficultés financières. Pour secourir ses patients atteints de pathologies hépatiques, il avait même le reflexe de sortir son portefeuille et de proposer une aide pécuniaire immédiate. Pourquoi ? Parce que le foie, biologiquement parlant, est une réserve de graisse.  Dans la nature, le sur-fonctionnement du foie est la solution biologique des situations de disette. Par exemple, un oiseau migrateur va se fabriquer une stéatose, autrement dit un foie gras, pour parcourir de longues distances sans manger. Si la famine se prolonge, un animal pourra développer une cirrhose sans avoir bu une goutte d’alcool. Chez l’être humain, les problèmes financiers réveillent inconsciemment cette solution de survie puisqu’il faut du fric pour se procurer à manger. La peur de manquer d’argent réactive la peur primitive de mourir de faim.  Cette peur du manque, réel ou virtuel,  est donc l’invariant psychosomatique des troubles hépatiques. La preuve, c’est que le cancer du foie est beaucoup plus répandu  dans le tiers-monde que dans les pays riches ! Chez nous, le carcinome hépatocellulaire représente 1% de tous les diagnostics cancéreux.  Cette proportion grimpe à 50%  en Afrique et dans certaines parties de l’Asie. Contrairement à ce qu’on croit souvent, tous les types de cancers ne sont donc pas plus fréquents au Nord : il en est un qui sévit bien davantage dans l’hémisphère Sud.  Bien sûr, la médecine conventionnelle explique tout autrement cette exception étrange. Les hépatites étant également un fléau ravageant le tiers-monde  et celles-ci faisant le lit de la cancérisation, il est logique que les 750.000 victimes annuelles du cancer du foie se dénombrent très majoritairement dans les pays pauvres.  Le principal coupable serait donc l’agent viral profitant du manque d’hygiène pour accomplir ses méfaits pathogènes. Chez nous, l’imprégnation alcoolique serait la grande responsable des évolutions cyrrhotiques et cancéreuses.

L’explication est  cependant un peu courte. Comme toujours avec la médecine classique,  on fait porter le chapeau  aux facteurs de risque, on confond le pompier infectieux avec un pyromane et on néglige les causes profondes. Les éléments dérangeants sont prestement dissimulés sous le tapis. Qu’est-ce qui peut expliquer, par exemple, que le cancer du foie, partout dans le monde, frappe beaucoup plus les hommes que les femmes (80% des cas sont masculins) ?  Comment se fait-il que ce cancer progresse régulièrement en Occident, de 3 à 4% par an, depuis les années 70 ?  D’où vient que, comparativement, un pays comme l’Inde soit sensiblement moins touché que d’autres pays asiatiques, et beaucoup moins que la plupart des pays africains ?  Et en Europe, qui peut éclairer  le fait que la tumeur au foie soit  dix fois plus fréquente en Italie qu’aux Pays-Bas ? Avec un regard psychobiologique, on peut fournir des réponses satisfaisantes à ces différentes énigmes. La vulnérabilité du « sexe fort » n’est plus mystérieuse si l’on se rappelle que le mâle, dans la plupart des espèces animales et dans la plupart des cultures humaines, assume le rôle de pourvoyeur de nourriture. L’homme est naturellement plus enclin à éprouver en premier la peur de manquer. La progression occidentale des cancers hépatiques ? On pourrait à mon avis tracer des courbes montrant le parallélisme avec les crises économiques et l’expansion du chômage. L’Inde épargnée ?  C’est un pays où règne encore la malnutrition mais où les épisodes de grande famine font partie du passé. Au pays des yogis ascètes,  les privations suscitent peut-être aussi moins d’épouvante qu’ailleurs. Quant au « miracle hollandais », il peut se comprendre par la grande forme de l’économie batave et  le niveau très élevé de protection sociale. J’ai un ami chômeur de longue durée à Amsterdam et il  n’est près de dormir sous les ponts. Bref, les lunettes de la médecine nouvelle permettent de corriger la myopie allopathique sur les pathologies du foie. Cet organe entre en souffrance lorsque la perspective  de mourir d’inanition  devient concevable pour le cerveau inconscient. Évidemment, le fait que les personnes les plus précarisées soient également enclines à se réfugier dans l’alcool, les drogues et les médicaments n’arrangent rien à l’affaire.

A contrario,  je suis convaincu que l’instauration du revenu d’existence serait une aide précieuse pour les individus fragilisés. J’en suis d’autant plus persuadé que la tradition hippocratique, tout comme la médecine traditionnelle chinoise, accorde au foie une importance prépondérante. De la vitalité de cet émonctoire dépend largement le bien-être global. Mais il n’y a pas que les cellules hépatiques qui pourraient bénéficier de l’octroi d’un minimum vital. Je pense notamment aux tissus osseux, dont la santé est très vulnérable au ressenti de dévalorisation. Le fait d’être payé sans devoir travailler augmenterait certainement le sentiment d’avoir de la valeur en dehors des rapports marchands.  Et vu qu’il y a encore d’autres façons de ressentir positivement la sécurité financière, je pense que beaucoup d’autres maladies pourraient régresser et se raréfier  grâce à la réception mensuelle d’un « salaire » inconditionnel.  Plus que sociale, cette décision politique serait, je crois,  une grande mesure de santé publique ! Il serait très intéressant que les Finlandais, qui vont tester la formule à petite échelle, en évaluent dans quelques années les retombées sanitaires. Je prends le pari qu’elles seront surprenantes !  Ceci dit, chers lecteurs français, ne comptez pas sur moi pour m’immiscer dans le débat et m’autoriser des conseils de vote. Je n’ai pas lu les programmes de tous les acteurs en course pour la présidentielle. Mais vous savez au moins ce que je pense de la proposition-phare de Benoit Hamon. Elle contient en germe une révolution de la santé.

 

Yves Rasir

Pétition à propos de l'incinérateur d'Ivry...

 

La construction de l’incinérateur géant d’Ivry est sur le point d’être votée. Un projet extrêmement coûteux et polluant qui bénéficiera principalement à des entreprises comme Vinci et Suez...au détriment des habitants.

Demandez au comité du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, de renoncer à ce projet et d’opter pour une alternative plus efficace et moins coûteuse.

S

SIGNER LA PÉTITION

IGNER LA PÉTITION

 

30/01/2017

Solidarité avec les solidaires selon change.org...

Accueil RÉFUGIÉS vient de publier une mise à jour sur la pétition " SOLIDARITÉ AVEC LES SOLIDAIRES ! "

                         Félix voulait sauver une famille…

Félix voulait sauver une famille : son procès se tiendra en Italie le 16 février.

 

Récit complet ici : https://citoyenssolidaires06.com/2017/01/29/felix-voulait...

 

Pour faire face aux frais de justice et d'avocats supportés par les bénévoles inculpés ou condamnés dans le cadre de l'aide désintéressée apportée aux réfugiés...

29/01/2017

Ne touchez pas à la loi littoral!

 

 
NE TOUCHEZ PAS A LA LOI LITTORAL !
par Jean-Laurent FELIZIA · 136 432 signataires
MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

NE TOUCHEZ PAS A LA LOI LITTORAL !

 
Jean-Laurent FELIZIA
LE LAVANDOU, France
 

28 JANV. 2017 — Dans le cadre de la Proposition de Loi N°3959 sur
l'Adaptation des Territoires Littoraux au Changement Climatique,
le 31 Janvier prochain, l'Assemblée Nationale doit examiner
les amendements déposés par le Sénat qui risquent
de modifier la Loi Littoral !
Cette Loi Littoral est fondamentale pour préserver les Espaces Naturels et les Rivages de France Métropolitaine et d'Outre-Mer !

L'Union européenne se préoccupe des boues rouges...

27 JANV. 2017 — Suite a nos actions et notre lobbying au niveau européen mais aussi grâce à nos victoires juridiques et au soutien de plusieurs eurodéputés, la commission a décidé de lancer une enquête sur le dossier des boues rouges.

Boues rouges de Gardanne : la Commission européenne veut des réponses
Bruxelles demande aux autorités françaises ce qui les fonde à autoriser le rejet en mer de déchets dont la toxicité dépasse les plafonds légaux...
http://www.lemonde.fr

28/01/2017

Suivi des pétitions et actions en cours...

// Cyberaction N° 872  : il faut sauver la Loi Littoral

Commission du développement durable : Adaptation des territoires littoraux au changement climatique
proposition de compromis faite par la rapporteure
video de la séance du 25 janvier

http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/faut-sauver-loi-littoral-1277.html

 

// cyberaction N° 866: THT : Non au cadeau de l'EPR Noël

L’ENQUÊTE PUBLIQUE du PROJET RTE-ENEDIS (France) et “FAB” (pour France-Aurigny-Grande Bretagne) Construction d’une nouvelle ligne 320 000 volts entre le COTENTIN et le DEVON (Menuel et Exeter) se termine demain vendredi
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/tht-cadeau-epr-noel-1254.html

 

// cyberaction N° 843 : Les projets européens sur les perturbateurs endocriniens sont illégaux

Nouvel échec européen sur les perturbateurs endocriniens
Faute de majorité, la Commission a repoussé le vote de sa proposition de réglementation.
Substances toxiques dans les couches: "ce qu'on applique sur nos bébés est un poison à retardement "
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/projets-europeens-perturbateurs-en-1214.html

 

// cyberaction N° 837: Monsanto-Bayer : Refusons le « mariage infernal »

Acquisition de Monsanto par Bayer : absence de notification formelle (voir dans les commentaires)
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/monsanto-bayer-nbsp-refusons-nbsp-m-1202.html



// cyberaction :Pour la fermeture de Fessenheim

 Fessenheim : négociation de marchands de tapis,pour une fermeture qui n'a que trop tardé

Se loger moins cher grâce à l'habitat participatif...

 

 

Il existe depuis quelques années une autre façon d'habiter: une coopérative d'habitants. Depuis la maison des Babayagas, résidence de femmes en autogestion qui s'est concrétisée en 2013 à Montreuil, l'idée en effet a fait du chemin! En France, actuellement près de 200 projets ont été recensés. En Suisse et dans les pays du Nord de l'Europe, près de 15% du parc de logements est géré par des coopératives d'habitants, écrit un journaliste dans le quotidien Nice-Matin du 22/1/2017. Les loyers de ces habitats collectifs seraient 30% moins chers.

Face à la crise du logement et aux prix des terrains, des hommes et des femmes ont décidé de construire ou de rénover à plusieurs un lieu de vie sans passer par un promoteur. L'intérêt, ce sont des coûts d'acquisition ou de rénovation partagés, des charges réduites et des occasions d'échanges avec des personnes ayant les mêmes valeurs. Dans notre pays, on considère que la facture du logement serait ainsi allégée de 20% par rapport au prix du marché.

Le fonctionnement est simple: chacun dispose d'un appartement privé, mais partage des espaces comme la buanderie, la salle de jeux, le jardin, la piscine et même parfois un coin bricolage, un garage ou une cave. C'est une sorte d'habitat partagé avec des amis. Des municipalités commencent à s'y intéresser et à prévoir des terrains pour cette façon d'habiter. Parfois, cela se fait à l'initiative d'un propriétaire ayant un grand logement après une séparation ou un veuvage...

La loi Alur du 24/3/2014 a crée un cadre légal pour ce type d'habitat participatif. En effet, deux nouvelles formes juridiques existent: d'une part la coopérative d'habitation où la propriété est collective (loyer mensuel et statut d'associé à la société) et d'autre part une société d'attribution et d'autopromotion, où les familles associées doivent financer intégralement leur logement grâce à des prêts individuels et où les logements sont attribués en fonction des parts prises dans la SCI.

Dans les deux formes, les habitants décident ensemble de la gestion de la copropriété (eau, gaz, électricité, chauffage, jardinage...). En cas de déménagement, le partant revend ses parts. Des parts sociales peuvent aussi être achetées par de nouveaux acquéreurs avec l'accord de la collectivité. La SCI a de toute façon un droit de préemption. Bref, il s'agit d'une nouvelle façon d'habiter, où le vivre-ensemble peut devenir réalité.

Pour en savoir plus, consulter les sites: www.jhapa.eu, www.habicoop.fr

et www.habiter-autrement.org.

Lyliane

 

27/01/2017

La lèpre existe toujours dans le monde...

 

 

Les 27, 28 et 29 janvier 2017 aura lieu la 64 ème journée mondiale des lépreux. Dans ce cadre, un cycle de conférences sera proposé dans notre pays pour faire le point sur cette maladie, notamment à Paris, Lyon, Pau, Rennes, Nantes et Monaco. Cette maladie tropicale chronique, d'origine bactérienne, n'a hélas pas encore disparu, puisqu'on compte environ 2,8 millions de lépreux dans le monde, dont 20% d'enfants.

C'est une maladie encore répandue dans 14 pays d'Afrique (Bénin, Mali, Congo, Mozambique, Tanzanie, Madagascar...), en Asie (Inde, Népal...) et en Amérique du Sud (Brésil notamment). Mais la lèpre n'est pas une fatalité. Des traitements existent à base de sulfamides, assez onéreux toutefois. Sur place, il faut également lutter sur 3 plans pour éradiquer la lèpre: transmission, invalidité et exclusion. La chirurgie, beaucoup pratiquée autrefois, laisse en effet des traces visibles sur le corps. Actuellement, on la précède souvent de polychimiothérapies. Les médecins de brousse donnent du PCT généralement pour éviter la contagion.

Des Fondations (Raoul Follereau), des Instituts (Pasteur), des Associations (Ordre de Malte) et des Missions religieuses (Soeurs salésiennes...) travaillent efficacement dans ces différents pays grâce aux dons de personnes généreuses de nos pays occidentaux. A Madagascar par exemple, sous l'impulsion de la Fondation R. Follereau, des villages de réinsertion sociale ont été crées pour accueillir d'anciens malades de la lèpre. De même, une ferme à Befoza rassemble une quarantaine d'orphelins, tout en permettant à des familles de travailler sur place et d'alimenter la cantine scollaire.

 

N'oublions donc pas ces nombreux malades de la lèpre et profitons de ces journées internationales pour soutenir l'effort de tous ces mouvements impliqués dans différentes parties du monde.

Pour en savoir plus, contactons sur Internet: www.raoul-follereau.org, www.pasteur.fr et www.ordredemaltefrance.org .

Lyliane

 

26/01/2017

ESPAGNE - Des chaussures... biodégradables selon le blog de l'écologie positive !

 

ESPAGNE - Des chaussures... biodégradables !

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Une entreprise de Valence (Espagne) a créé un modèle de chaussures 100% biodégradables et compostables, ce qui est une alternative au sort habituel des chaussures (qui finissent le plus souvent en décharge, enfouies ou incinérées).

Le compostage de ces chaussures (une fois coupées en morceaux et humidifiées !) durerait 4 mois, sans résidu nocif pour l'environnement ou la santé.

Pour en savoir plus, consulter ce blog.

AV.

 

Les marques Adidas et Puma ont elles aussi trouvé des pistes pour fabriquer des chaussures biodégradables. Consulter notamment sur Internet: www.consoglobe.com et www.marcelgreen.com.

Lyliane

 

25/01/2017

La Commission Européenne et les perturbateurs endocriniens...

Vous êtes l'un-e des 265 891 membres SumOfUs à avoir exigé que nos gouvernements européens rejettent la proposition scandaleuse de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens. Pétition qui a d’ailleurs été citée par plusieurs grands médias, comme Le Monde et Libération, permettant ainsi de maintenir le sujet au cœur de l’actualité.

Et il y a quelques jours, face à l'opposition de quelques gouvernements européens clés, la Commission européenne renonçait à soumettre au vote sa proposition de réglementation. Malgré tous les stratagèmes déployés, elle n’a pas réussi à obtenir de majorité et a donc préféré repousser le vote.

Ce renoncement, c’est le fruit de votre mobilisation !

Un nouveau vote doit avoir lieu dans quelques semaines. Passez donc à la vitesse supérieure en partageant la pétition sur Facebook et par email.

Chaque nouvelle personne que vous mobilisez constitue un énorme pas vers la victoire. Chaque nouveau soutien est une autre voix qui mobilisera à son tour, convaincra ses ami(e)s de signer, et rapprochera ainsi la campagne vers son but ultime : obtenir une interdiction totale et définitive des perturbateurs endocriniens.

EmailTransférez cet email à au moins 5 de vos contacts.

FacebookCliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Partagez la pétition sur Facebook

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ce

 

Milano, 

Vous êtes l'un-e des 265 891 membres SumOfUs à avoir exigé que nos gouvernements européens rejettent la proposition scandaleuse de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens. Pétition qui a d’ailleurs été citée par plusieurs grands médias, comme Le Monde et Libération, permettant ainsi de maintenir le sujet au cœur de l’actualité.

Et il y a quelques jours, face à l'opposition de quelques gouvernements européens clés, la Commission européenne renonçait à soumettre au vote sa proposition de réglementation. Malgré tous les stratagèmes déployés, elle n’a pas réussi à obtenir de majorité et a donc préféré repousser le vote.

Ce renoncement, c’est le fruit de votre mobilisation !

Un nouveau vote doit avoir lieu dans quelques semaines. Passez donc à la vitesse supérieure en partageant la pétition sur Facebook et par email.

Chaque nouvelle personne que vous mobilisez constitue un énorme pas vers la victoire. Chaque nouveau soutien est une autre voix qui mobilisera à son tour, convaincra ses ami(e)s de signer, et rapprochera ainsi la campagne vers son but ultime : obtenir une interdiction totale et définitive des perturbateurs endocriniens.

EmailTransférez cet email à au moins 5 de vos contacts.

FacebookCliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Partagez la pétition sur Facebook

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ces substances dangereuses.

Ces polémiques interviennent à quelques semaines de l'adoption finale des textes réglementaires. C'est le moment d'accentuer la pression pour faire respecter le principe de précaution.

Pouvez-vous partager la pétition sur Facebook et par email afin de nous débarrasser une bonne fois pour toutes des perturbateurs endocriniens?

Cliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Merci pour tout ce que vous faites !
Nabil, Fatah et l'équipe SumOfUs.


Nous avons besoin de tous pour l'atteindre. Chaque voix compte !

https://actions.sumofus.org/a/non-a-la-proposition-scandaleuse-de-la-commission-europeenne-sur-les-perturbateurs-endocriniens/

Merci !



 

 
 
 
 
 

La mère de Cédric et Morgan Herrou au Procureur de Nice.

                                                      Lettre de la mère de Cédric
 

"Monsieur le Procureur, je vous fais une lettre...

 

Je suis la mère de celui contre lequel vous vous acharnez.

 

Ma grand -mère paternelle a elle aussi , en 1918 passé la frontière d'Italie à pied, par les montagnes elle a perdu le bébé qu'elle portait au cours de ce périple, (peut être a t'elle croisé à ce moment là les grands mères de messieurs Ciotti et Estrosi, qui sait ?).

Elle s'est louée telle une bête de somme pour tirer les "charretons". Je me souviens d'elle avec la lanière de cuir qui lui barrait le torse ... Ma mère quant à elle était allemande, ma sœur est née dans les geôles de la Gestapo, elles ont été toutes deux libérées par les Américains.

C'est ce sang là qui coule pour moitié dans les veines de mes deux fils que vous avez fait arrêté jeudi , l'autre moitié étant du pur sang de Bretagne... C'est têtu un Breton et ça n'a pas peur des tempêtes .


S'ils ne sont pas Français "de souche" (c'est ce qui reste d'un arbre mort,non ?), ils ont des racines profondes et vivantes dans ce pays qui est le leur et qu'ils aiment.


Pour que vous compreniez ... nous avons été "famille d'accueil" pendant 25 ans . Cédric avait 5ans, Morgan 7, quand les premiers enfants sont arrivés, ils ont partagé leurs jouets, leur table, leur maison, leurs parents avec 15 enfants délaissés, de toutes origines, certains battus, violés …


Alors quand Cédric vous dit que ces enfants qu'il voit sur nos chemins et nos routes de la Roya, ce sont ses frères et ses sœurs, il ne vous ment pas . Et quand il interpelle si fort les services de l'ASE, c'est qu'il en connait les rouages.


Nous avons quatre enfants puisque ils ont accepté d'intégrer deux de ces enfants à leur famille, ce sont leur sœur et leur frère à présent et nous en sommes très fiers !


Voilà monsieur le Procureur et tous ceux qui le traitent de passeur, de trafiquant d'êtres humains et de voleur, voilà à qui vous avez à faire .


Avec tout mon respect,


Mama Herrou"

24/01/2017

R.V pour la rencontre d'écologie au quotidien dans la Dröme (Die)

N'oubliez pas: cette semaine, c'est la 15ème rencontre de ECOLOGIE AU QUOTIDIEN dans la Bio Vallée de la Drome.
J'ai fait passer cette info sur le blog de Prele Provence et de SELIMAR
http://seldemontelimar.hautetfort.com/

http://preleprovence.hautetfort.com/

Michèle

Milan, Madrid ou Paris: les plus grands jardins verticaux du monde!

Les plus grands jardins verticaux du monde !

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Découvrez ici quelques-uns des plus spectaculaires jardins verticaux du monde, qui sont parfois de véritables conservatoires urbains de biodiversité : à Milan (record d'Europe avec 1.263 m² au centre commercial Fiordaliso, avec 44.000 plantes de 200 espèces), Madrid ou Paris (musée du quai Branly, avec 1.200 m² et 35.000 plantes de 150 espèces), mais aussi en Amérique latine par exemple à Quito (un jardin de 30.000 plantes de 90 espèces différentes, dont 60 endémiques), en Uruguay ou encore à Bogota, avec le jardin vertical le plus grand au monde à ce jour (plus de 3.100 m² et 84.000 plantes !).