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31/12/2016

Des chiens qui dépistent le cancer...

On connaissait déjà les chiens spécialisés dans la recherche de disparus après une avalanche, un séisme ou un naufrage. Des chiens ont même été dressés pour détecter la présence de drogues ou d'explosifs dans les valises à l'aéroport. Grâce à leur odorat surpuissant, nous dit le Journal Alternatif Bien-être de janvier 2017 dans un article de Mme G.Piton, des chiens ont été reconnus capables de dépister le cancer depuis les années 1990 environ.

Ce fut par exemple le cas de Mme C. Guest, médecin britannique, qui en août 2009 a été alertée sur une tumeur qu'elle portait au sein grâce à sa chienne qui lui grattait la poitrine avec insistance. Celle-ci fonda l'Association Medical Detection Dogs dans son pays, afin de mettre en lumière cette capacité qu'ont les chiens. Depuis avec l'aide de maîtres-chiens cette organisation entraîne chaque jour des chiens au dépistage du cancer au Royaume-Uni. Un autre cas de cancer du sein détecté par une chienne en août 2016 fut médiatisé, car il touchait une actrice américaine Mme S. Doherty.

Plusieurs études ont conduit à suggérer que les cancers pouvaient dégager une odeur particulière, du fait du métabolisme déviant des tissus normaux. N'oublions pas que les chiens ont une muqueuse olfactive de 15 à 20 fois plus importante que la nôtre. Le Professeur de médecine O. Cussenot, urologue à l'hôpital Tenon, a reconnu en 2011 que la performance des chiens était 5 fois supérieure à celle des marqueurs biologiques utilisés actuellement (dosage du PSA dans le sang par exemple). Aussi, la recherche des marqueurs volatiles est devenue une voie  d'étude pertinente en cancérologie.

Cela s'est vérifié à plusieurs reprises pour d'autres types de cancer: aux USA pour le cancer de la thyroïde, en Autriche pour le cancer du poumon et en France pour le cancer de la prostate. Dans notre pays, à l'Institut Curie notamment, des tests sont réalisés et, avec le projet KDOG financé grâce à une campagne de financement participatif, ils pourraient déboucher sur une technique de dépistage reproductible.

Cette méthode de dépistage non invasif, mobile et peu coûteux pourrait devenir une solution idéale à plus ou moins brefs délais. Des chercheurs étudient même la possibilité de reproduire scientifiquement l'odorat du chien (projet Na-Nose) grâce à une sorte de "nez électronique". Espérons que tout cela conduira l'être humain à considérer de plus en plus l'animal comme un être vivant doté d'émotions et d'affects, ainsi que d'un potentiel inestimable et méconnu, dont nous avons pourtant un grand besoin.

Lyliane

Une fin d'année exceptionnelle pour change.org...

 

Quelle fin d'année exceptionnelle pour les citoyens mobilisés sur Change.org !

Hier, le président François Hollande a accordé une grâce totale à Jacqueline Sauvage emprisonnée pour avoir tué son mari violent. Après un an de campagne pour sa libération et plus de 820.000 signatures sur Change.org, elle est aujourd'hui libre.

Et il y a quelques jours à peine, en réponse à une autre pétition sur Change.org, l'État s'est engagé à accorder la nationalité française aux tirailleurs sénégalais qui ont risqué leur vie pour la France.

Oui, les pétitions en ligne lancées sur Change.org font vraiment changer les choses. En France, vous êtes plus de 8 millions à y croire, à vous exprimer et à faire bouger les lignes, quelle que soit la cause qui vous tient à coeur.

 

30/12/2016

Cannabis médical, c'est pour quand?

Un article de Mme M.C. Colinon dans la revue Fémina fait le point sur les avancées à propos du cannabis médical. Elle cite trois ouvrages très complets sur le sujet: Cannabis médical:"Du chanvre indien aux cannabinoïdes de synthèse"de Michka chez Mama éditions et "Cannabis médicinal, ce qu'il faut savoir" de Mr M. Backes chez Hugo Doc, ainsi que "Cannabis sur ordonnance"de Mme M. Schachtel chez A. Michel.

Plusieurs personnes sont citées, témoignant de l'effet du cannabis accompagnant une chimiothérapie ou des douleurs pendant un cancer très avancé. Il est avéré quoi qu'il en soit que les sociétés traditionnelles ont utilisé le cannabis pour soigner. Les molécules composant le cannabis ont été répertoriées plus récemment par des chercheurs: tétrahydrocannabinol ou THC, cannabidiol ou CBD et cannabigérol ou CBG. Dans le cerveau humain, dans les années 80, des récepteurs destinés à recevoir le THC ont été ensuite identifiés.On a découvert dix ans plus tard dans l'organisme des substances proches de ces molécules, qui ont été baptisées"système endocannabinoïde"et qui semblent agir favorablement contre spasmes, douleur et anxiété.

 

Selon différentes études le cannabis aurait ensuite été mis en valeur dans des traitements anti-cancer ou contre le V.I.H. Enfin, selon une étude scientifique publiée dans la revue Plos One, le cannabis ralentirait la progression du VIH dans l'organisme. Il semble également intéressant en cas de spasmes, de Parkinson, de la maladie de Crohn et de douleurs neuropathiques. On s'interroge sur son efficacité même contre les cellules cancéreuses, ainsi que sur son utilisation en patch ou en cataplasmes sur les articulations douloureuses et son huile pour les démangeaisons.

 

L'industrie pharmaceutique s'y intéresse et deux médicaments ont vu le jour: le Marinol en capsules contenant une huile de THC synthétique, autorisé en France depuis 2013 sous certaines conditions et le Sativex, un spray buccal du Laboratoire Almirall, autorisé en janvier 2014 mais pas encore sur le marché. Les freins viendraient de peurs d'une dépénalisation de la marijuana, alors que cela n'aurait rien à voir affirme la journaliste. Leur prix serait également un obstacle... Cela semble bien regrettable, car seuls les patients ayant les moyens peuvent s'approvisionner à l'étranger (Italie, Espagne, Royaume Uni, Belgique, Suisse) ou fumer de l'herbe en toute illégalité. Aux Etats-Unis, 28 Etats autorisent le cannabis à usage médical; au Canada, le Sativex est autorisé depuis 2006 pour certaines maladies. En Israël, dans des officines spécialisées, les malades pourraient s'en procurer...

Nous pouvons donc nous interroger sur les freins commerciaux à propos du Sativex existant dans notre pays, alors que des patients pourraient bénéficier d'une amélioration de leurs douleurs dans de nombreux cas...

Lyliane

29/12/2016

Une nouvelle réplique pour la grotte de Lascaux...

 

Le 12/9/1940, quatre adolescents et leur chien avaient découvert la grotte préhistorique originale de Lascaux en Dordogne. Lascaux 2, fac-similé de 90% des fresques, avait ouvert en 1983, car l'original avait été dégradé, obligeant à une fermeture du site dès 1963. Lascaux 3 est une exposition itinérante à but pédagogique reprenant l'essentiel de la grotte. Une reconstitution à l'échelle réelle de l'intégralité de la grotte originale nommée Lascaux 4 vient d'ouvrir au public en décembre 2016 sur le versant opposé de la colline où se trouve la cavité d'origine.

Ce projet de 8500 m 2, à la fois scientifique, artistique et touristique, veut faire revivre au visiteur les émotions des jeunes gens découvrant ce sanctuaire préhistorique vieux de 18 000 ans. Le bâtiment fait de béton et de verre fait 150 m de long et il est semi-enterré. Le visiteur voyage de ce fait dans une semi obscurité accompagné d'explications volontairement minimales. Un concentré, néanmoins, pour sanctuariser le site d'origine et attirer curieux, scolaires et tous les amoureux de paleo-anthropologie!

Lyliane

 

28/12/2016

Les Biocoop passent à l'action...

Sous ce titre, un article dans la revue Chemins de Terre de l'organisation Terre de Liens nous informe que pour renforcer son engagement dans notre société en transition, le réseau Biocoop démarre un dispositif de don militant. L'Association a choisi Terre de Liens comme premier partenaire pour cette opération. Les 383 magasins Biocoop français, en effet, peuvent désormais proposer à leurs clients l'arrondi en caisse, c'est à dire l'arrondi du montant de leurs achats à l'euro supérieur au profit de Terre de Liens.

En 2015, une opération avait été menée sur 11 enseignes tests et avait rapporté 5000 euros en 9 mois. Biocoop l'étend cette fois sur tout le pays. Déja 28 magasins sont équipés pour le faire. En plus, d'autres partenariats se multiplient. certains impliquent directement le client, comme la vente de cartes de micro-don (2 à 3 euros) réalisée par des bénévoles du mouvement dans les magasins. Parfois ce sont les bénéfices des cartes de fidélité qui sont abandonnés à Terre de Liens. Il y a même eu dans le Sud-Ouest création par des magasins d'une carte de fidélité militante. Pour chaque remise au client, le magasin s'engage à verser 1 euro à Terre de Liens. 

Ces gouttes d'eau ajoutées les unes aux autres peuvent former une source de financement appréciable. ainsi, l'organisation peut continuer à installer de jeunes agriculteurs sur des fermes partout dans le pays. Quand l'imagination est au pouvoir, des initiatives citoyennes fleurissent et peuvent porter des fruits! Pour se renseigner sur Terre de Liens, consulter sur Internet: www.terredeliens.org 

Lyliane

27/12/2016

La médecine du futur se fera-t-elle avec des robots?

 

Mme Julie Luong dans le journal Giphar Magazine écrit un long article au sujet des robots humanoïdes, en signalant que c'est un vieux rêve de nos sociétés. Jusque là, ils faisaient partie de la science-fiction; ils commencent à devenir réalité! Ils coûtent, certes, encore cher: 15 000 euros en moyenne, ce qui explique que pour le moment seuls 300 spécimens sont déjà placés en maisons de retraite dans toute l'Europe et à l'étranger. Le journal pense que, très bientôt, ils seront 800, car ils se développent rapidement.

En France, l'EHPAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) Lasserre à Issy-les-Moulineaux a été le premier à introduire un robot auprès de ses résidents. Le robot ne remplace pas le personnel, mais il le libère de certaines tâches répétitives: donner le menu du jour, lire le journal, jouer à des jeux qui permettent de faire travailler la mémoire, montrer des exercices de gymnastique...

Chaque robot est unique et a une apparence pseudo-humaine ou animale. Les personnes âgées réagissent souvent face à ces robots (60 cm de haut en moyenne) comme face à des enfants. Le monde médical s'intéresse de près aux robots humanoïdes pour leur rôle de médiateurs dans les troubles du comportement et de la mémoire.

Voici quelques exemples: Nao, le robot crée par la société française Aldebaran Robotics, s'adresse plutôt à des autistes. Paro en revanche est un robot émotionnel qui ressemble à un petit phoque se laissant caresser comme un animal de compagnie. A l'EHPAD Villa du Tertre dans l'Aube, Paro a été acquis dès 2014 pour des malades atteints de la maladie d'Alzheimer. Cosmobot est utilisé aux Etats-Unis pour aider des enfants atteints d'infirmité motrice cérébrale. On cite aussi Robear, qui pèse 140 kg et ressemble à un ours blanc. Développé par le laboratoire japonais Riken, il est capable de soulever des patients invalides et de soulager de ce fait le personnel soignant.

L'avenir médical et même domestique est susceptible de passer d'ici quelques années par des robots humanoïdes programmables. Les Japonais notamment font beaucoup de recherche dans ce domaine. Ils existent déjà en jouets et dans le domaine matériel, où ils rendent de grands services. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'ils n'auront sans doute jamais le sens des valeurs morales, pas plus que le sens de la justice. Ils sont essentiellement conçus pour nous aider, pas pour nous remplacer totalement! Afin de s'informer, consulter sur Internet: https://humanoides.fr/

Lyliane

 

26/12/2016

Des arbres guérisseurs...

 

Un article de Mme Caroline Dor dans la revue Version Fémina, s'inspirant du Guide de poche de phytothérapie publié par Quotidien Malin et dont l'auteur est Mme C. Gayet, nous parle de quelques «arbres qui soignent».

Tout d'abord, il s'agit du bouleau, dont on utilise les feuilles toute l'année et la sève au printemps, parfois l'écorce. La sève participe au bon fonctionnement du foie, des reins et des intestins, car elle favorise l'élimination des toxines et elle est riche en minéraux, vitamines et flavonoïdes. La sève est réputée être reminéralisante et elle serait capable de lutter contre la rétention d'eau. Elle se prend en cures de 3 semaines dès le début du printemps (environ 70 ml pur ou dilué). Les feuilles et l'écorce du bouleau s'utilisent en décoction (2 minutes à bouillir dans 50 cl d'eau) ou sous forme d'extrait hydroalcoolique en cure détox de 3 semaines (30 gouttes avant les repas). Les terpènes des feuilles et de l'écorce ont des vertus antiseptiques urinaires et rénales. Toutefois l'extrait est contre-indiqué en cas de grossesse ou de foie fragile.

Le saule quant à lui, dont on utilise l'écorce, les feuilles et les chatons, aurait des propriétés antalgiques, antiinflammatoires et sédatives. En remplacement de l'aspirine contre les migraines, l'arthrose et les douleurs dentaires par exemple, faire une infusion de feuilles (2 cuillères à soupe dans 50 cl d'eau bouillante) ou d'écorce (1cuillère à soupe). Les chatons sont bien pourvus en tanins et auraient des propriétés sédatives contre l'anxiété et les troubles du sommeil. Mais là, l'infusion se borne à mettre les chatons dans une eau frémissante pendant 10 minutes sans faire bouillir pour ne pas dénaturer l'acide salicylique.

Enfin, il est question du pin maritime, dont on utilise l'écorce. Cette dernière ( 1 à 2 gélules de 100 g de pycnogénol par jour pendant le repas) est censée améliorer la circulation sanguine (jambes lourdes, varices, hémorroïdes...). Ses vertus antioxydantes seraient également efficaces contre le vieillissement cellulaire.

La phytothérapie, du grec phyto (plante) et therapeuo (soigner), est une pratique millénaire qui met la nature et ses principes actifs naturels à notre portée. En France, mis à part les herboristes qui hélas se raréfient, Mr Jean Valnet a été un des précurseurs de la phytothérapie à travers livres et préparations. Pour en savoir plus ou s'initier à cette pratique, qui demande certaines indications précises, il est possible de consuter différents ouvrages et sur Internet plusieurs sites notamment: www.e-sante.fr.

Lyliane

 

25/12/2016

La somatothérapie ou vivre à l'écoute de son corps...

Dans le journal Biocontact du mois de décembre 2016, un article de Mme Caroline Georges-Benqué, somatothérapeute à Boulogne-Billancourt (92) a attiré mon attention. Cette femme est l'auteur d'un ouvrage paru aux Editions La Bruyère dont le titre interpelle:« Le cancer m'a sauvé la vie ou l'importance de la somatothérapie».

Atteinte d'une grave maladie, en effet, Mme Georges-Benqué a alors découvert la somatothérapie. Du grec soma (qui se rapporte au corps) et therapeia (soin), la somatothérapie, inventée en 1970 aux Etats-Unis par Mr Richard Meyer, regroupe un ensemble de techniques qui permettent de vivre à l'écoute de son corps. Globalement, on peut dire qu'elle allie l'esprit et le corps et qu'elle aide à s'extraire du stress ou des empreintes du passé. Encadrée par la Fédération Française de somato-psychothérapie et somatothérapie, «cette méthode permet d'acquérir un mieux-être, une meilleure confiance en soi et une touche positive».

Une séance de somatothérapie dure environ une heure et se déroule autant par le toucher que par la parole. Le patient généralement dialogue dans un premier temps, puis il s'allonge, afin de bien respirer et de recevoir des massages sur certaines parties du corps. Car chaque zone du corps correspondrait à une pathologie précise: ventre pour les peurs, bas du dos pour la sexualité, haut du dos pour la jalousie...

Selon Mme C. Georges-Benqué, c'est un temps de lâcher-prise du mental et de prises de conscience. Selon le rythme des séances ( chaque semaine, chaque mois ou épisodiquement), cet accompagnement et cette écoute permettraient de faire remonter des émotions enfouies et de dépasser des blocages et des traumatismes plus ou moins rapidement. L'acquisition d'une nouvelle sérénité, ensuite, est susceptible d'en découler!

Pour se renseigner sur cette technique ou joindre la somatothérapeute, contacter le site: https://carolinebanque.com.

Lyliane

 

24/12/2016

Vivre dans un monde sans croissance...

 

Je lis dans le journal gratuit Biocontact un excellent article de Mr Michel J.F. Dubois, biologiste, ingénieur agro-économiste, qui a obtenu en 2006 le prix du SIAL et qui a été nominé au prix de l'ingénieur de l'année 2008. Il vient de publier un ouvrage intitulé: «Vivre dans un monde sans croissance- Quelle transition énergétique?» Son mail est: midubois@free.fr.

Mr Dubois prend comme métaphore l'exemple d'une chenille qui croît jusqu'au moment où elle arrête sa croissance pour se transformer en papillon. Par là, il nous propose de prendre une autre voie, c'est à dire d'entrer dans une phase d'innovation permanente et de transformation. Car, selon lui, même les énergies renouvelables ne seront pas suffisantes pour remplacer les énergies fossiles.

Il insiste aussi sur un point essentiel: ne pas croître n'est pas décroître! La croissance étant devenue utopique, car la qualité de vie en pâtit, Mr Dubois propose d'arrêter la croissance de nos ponctions continuelles sur l'environnement. Pour y arriver, il imagine d'optimiser la consommation et la production en limitant les inégalités planétaires les plus criantes. Car, si chez nous règne le gaspillage, dans certaines zones du monde, c'est la famine!

Ni le coût du recyclage, ni le coût réel de l'énergie ne sont évalués à leur juste valeur. Les mers sont surexploitées, les minéraux deviennent rares, le climat se modifie du fait de nos activités... Bref, l'ingénieur pense qu'il nous faudrait investir pour acquérir des connaissances et des savoir-faire nouveaux. Que ce soit pour produire des voitures moins gourmandes en énergie, pour maîtriser notre consommation en eau, mieux isoler nos logements, fabriquer des produits à durée de vie plus longue, pour recycler les ressources minérales, produire une agriculture sans intrants, l'innovation est à l'ordre du jour. Cela commence déjà doucement chez nous: partage, échange d'objets, solidarité. Et de plus en plus les consommateurs dans leurs achats privilégient la qualité, la durabilité à la quantité et au prix.

Cela implique de changer notre comportement et de faire d'autres choix de vie individuellement et collectivement. Une sorte d'austérité volontaire ou d'auto-limitation serait à accepter au bénéfice d'un mieux- être collectif et individuel. On doit en effet pouvoir vivre mieux en ayant moins besoin de consommer, en privilégiant le relationnel, le culturel, le développement personnel, la créativité, la recherche... Certes, au plan planétaire, des accords multilatéraux seront nécessaires, mais nous pouvons d'ores et déjà enclencher le processus...

Mr Dubois en quelque sorte prône l'émergence d'une nouvelle civilisation. En ralentissant la course à la consommation et le gaspillage matériel et humain, nous sommes censés lâcher certains avantages dans nos pays dits développés. Ne serait-ce pas néanmoins pour aller vers un autre équilibre, une plus grande justice planétaire et des activités collectives mûrement réfléchies? Un apprentissage quoi qu'il en soit proposé par Mr Dubois à notre génération et aux générations futures...

Lyliane

 

 

 

 

 

23/12/2016

Transmis du Blog du Vert savoir: voitures électriques aux USA...

Le Blog du Vert Savoir

Chroniques (positives) du Développement Durable Désirable

 

ETATS-UNIS - Ventes records pour les voitures électriques

Publié le 14 décembre 2016 par Le blog de l'écologie positive

En septembre dernier, les ventes de voitures électriques ont atteint un record avec plus de 16.000 unités vendues, le nombre total de ces véhicules dépassant le demi-million.

Une diversification des modèles a été constatée au fil du temps (11 à la fin 2012, env. 30 aujourd'hui), tandis que le nombre de stations de recharge dépasse désormais les 35.000.

Le coût de fabrication des batteries a chuté (-73% depuis 2008) et l'objectif visé est désormais d'atteindre un prix compétitif par rapport aux véhicules à moteur thermique.

AV.

 

22/12/2016

Une ONG d'aide chirurgicale au Bangladesh...

Au cours de l'émission «Allo, docteurs» sur la 5ème chaîne le mercredi 14/12/2016, nous a été montré un reportage fait sur un bateau-hôpital au Bangladesh. Dans ce pays pauvre de 160 millions d'habitants, la plupart des malades ne peuvent se soigner. L'Association Humani Terra est présente dans ce pays depuis 2005. Sur le Gange, le Brahmapoutre et dans le Golfe du Bengale, trois bateaux-hôpital en partenariat avec l'association Friendship circulent pour venir en aide aux populations isolées.

Dans un bloc opératoire équipé de matériel moderne, les chirurgiens français, après avoir examiné les patients, les opèrent et assurent un suivi post opératoire. Les orthopédistes filmés dans le reportage opéraient des pieds bots, des tendons d'Achille, des adolescents handicapés suite à des maladies infectieuses ou neurologiques... D'autres spécialistes prennent le relais à d'autres époques: pédiatres, ophtalmologistes, gynécologues...

En moyenne, Humanis Terra organise dans ce pays de 12 à 18 missions par an. Les médecins de l'ONG française forment également les membres locaux de Frienship au dépistage. Quand on sait que cette organisation est présente également au Cambodge, en Afghanistan, en Haïti, en Tunisie et même en Jordanie depuis 2013 auprès de réfugiés syriens, on ne peut que se réjouir de cette aide bénévole de certaines de nos équipes médicales aux pays en voie de développement. La solidarité et la compassion guident très certainement ces personnes. Cela fait chaud au cœur en cette période de repli sur soi et de manque d'ouverture à ceux qui souffrent!

Pour en savoir plus ou pour soutenir l'ONG Humanis Terra, consulter: www.humani-terra.org .

Lyliane

 

21/12/2016

Un label européen pour les cosmétiques bio...

 

En 2002, Cosmebio a été l'une des premières organisations à encadrer la cosmétique bio pour lutter contre le «marketing vert», écrit un journaliste dans le Journal Biocontact de décembre 2016. Jusque là, aucune réglementation spécifique émanant de l'Etat ne s'appliquait à ce type de cosmétiques. Cinq membres fondateurs (Cosmebio, BDIH, Ecocert, ICEA, Soil Association) ont crée le référentiel européen Cosmos, à portée internationale, obligatoire au 1/1/2017 pour tout nouveau cosmétique bio.

Cela signifie que désormais les cosmétiques bio seront certifiés selon le label européen Cosmos. Le but est une harmonisation des différents référentiels, ce qui devrait simplifier les choses pour le consommateur.

Le logo sera le même, toutefois, au dessous, il y aura la mention Cosmos Organic. Pour en savoir plus, consulter le blog de Cosmebio: www.cosmebio.org .

Pour obtenir ce label européen, les cosmétiques devront comme autrefois contenir de 95 à 100% d'ingrédients naturels, de 95 à 100% d'ingrédients bio végétaux et 5% maximum d'ingrédients approuvés figurant sur une liste positive, mais deux nouveaux critères plus exigeants s'y ajoutent. En effet, la teneur en ingrédients bio sur le total passe de 10 à 20% (en tenant compte du pourcentage d'eau) et seuls les ingrédients biodégradables seront acceptés.

C'est une garantie d'avoir des produits cosmétiques respectueux de l'homme et de l'environnement. Réjouissons nous de cette avancée!

Lyliane

 

20/12/2016

Se protéger du démarchage abusif...

 

Tout le monde, mais particulièrement les seniors du fait de leur vulnérabilité, peuvent être des victimes potentielles de vendeurs peu scrupuleux cherchant à leur forcer la main pour leur faire acheter des biens ou des services dont ils n'ont nul besoin. Que ce soit par téléphone ou par du porte à porte, ils ont parfois tendance à insister lourdement et à s'incruster, ce que l'on nomme alors du démarchage abusif. Il faut savoir que celui-ci est puni par la loi.

Généralement, ces vendeurs ont été formés à des techniques de persuasion particulières. Parfois même, certains n'hésitent pas à mentir en prétendant que certains services sont devenus obligatoires (ramonage, traitement des charpentes, isolation des combles...). Par téléphone, certains d'entre nous ont été harcelés, aux heures des repas ou le soir, pour nous faire changer de prestataire (électricité, téléphone...). Bref, c'est devenu un problème de société nécessitant d'être bien informé pour échapper à ce démarchage intempestif.

Tout d'abord, personne n'est obligé d'ouvrir sa porte à quelqu'un qui n'a pas pris RV au préalable. Quand la personne est entrée, ne pas oublier de contrôler ses coordonnées et celles de la société qui l'envoie. Pour le cas où une vente est envisagée, ne rien précipiter. Par exemple, exiger un devis avec la somme précise à débourser et se donner le temps de la réflexion et du conseil. Si le vendeur insiste, soyez sur vos gardes, même s'il vous promet des cadeaux pour vous appâter.

De toute façon, toute vente à domicile doit donner lieu à un contrat décrivant précisément les biens ou services souscrits, le prix total, les modalités de paiement, les délais de livraison et il doit être signé par les deux parties. Ce contrat, dont le consommateur doit garder un exemplaire, doit comporter un bordereau de rétractation. En effet, l'acheteur dispose d'un délai de 7 jours, pendant lequel aucune somme et aucun Rib n'est exigible. Il peut en effet annuler la vente dans l'intervalle.

Si le vendeur a fait du démarchage abusif, le consommateur doit contacter immédiatement «Allo, service public» au 3939 (prix d'un appel local). Si nécessaire, le consommateur mécontent sera mis en relation avec la DGCCRF (service de la répression des fraudes).

Pour en savoir davantage en tant que particulier, consulter le site Internet: www.dgccrf.bercy.gouv.fr .

Lyliane

 

19/12/2016

Mission de sauvetage en faveur des plantes médicinales par Mr JM. Dupuis


 

 

Chère lectrice, cher lecteur,

Ce message est sans doute le plus important que je ne vous ai jamais envoyé.
Attention, on va me reprocher de vouloir choquer.

Hé bien oui, c’est exactement ça. Je cherche à choquer fortement.

Car la situation le justifie :

Vous le savez, la médecine par les plantes, l’herboristerie, la nature en général, sont passées ces cinquante dernières années au rouleau compresseur de la modernité.

Le gouvernement de Vichy a supprimé le diplôme d’herboristerie en 1941 ;

Les politiques agro-industrielles modernes ont anéanti des siècles de savoir-faire ancestral dans nos campagnes ;

une crise sans précédent se profile avec l’érosion des sols, la pollution des cours d’eau, le changement climatique, la plus rapide disparition jamais observée dans l’histoire de la biodiversité ;

une perte de contact bientôt totale de notre civilisation avec la nature, l’univers des végétaux, des plantes que ce soit celles qui se mangent ou celles qui guérissent ;

les nouvelles générations de pharmaciens et de médecins ont perdu pratiquement toute connaissance en botanique, herboristerie et plantes médicinales… 

Nous avons désormais la certitude d'aller droit dans le mur. 

Et pourtant, dans ce tableau d’ensemble qui paraît désespéré, une grande lumière d’espérance a paru.

Depuis trois ans, Plantes & Bien-Être a fédéré plus de cinquante mille foyers en France pour maintenir et faire renaître la connaissance et la pratique des plantes médicinales.

Un élan historique, pour la résurrection de la médecine naturelle, est en train d’embraser notre pays… silencieusement.

Vous n’en entendrez pas parler à la télévision, ni dans les journaux.

Mais un travail de fourmi, discret mais colossal, est en train d’avoir lieu pour sauvegarder la médecine par les plantes. Ces pratiques reviennent en force et nous avons désormais l’espoir d’une transmission aux jeunes générations et d’une véritable renaissance.

C’est pourquoi, après des mois d’intenses questionnements et de travail, l’équipe de Plantes & Bien-Être a pris la décision audacieuse de lancer :

La toute dernière mission de sauvetage pour les plantes médicinales

Et je vous propose de participer à ce projet fou mais ô combien urgent et indispensable.

DES GÉNÉRATIONS DE GUÉRISSEURS ET D’HERBORISTES ONT DÉJÀ DISPARU – et leur savoir avec eux !!! Je pense par exemple à Ludo Chardenon, Jacky Rouvier : le dernier herboriste diplômé a disparu en 2000 à 95 ans. [1]

Mais l’histoire n’est pas tout à fait terminée.

Cueilleurs, herboristes, médecins, pharmaciens, phytothérapeutes, il reste encore quelques-uns de ces « derniers des Mohicans », derniers réceptacles de cette culture inestimable et qui serait, sans cela, menacée de disparition tel le continent englouti de l’Atlantide.

Ce sont les irréductibles.

Ils sont dans certaines vallées reculées des Pyrénées ; au fin fond de l’Auvergne ; cachés dans des villages perdus du Berry, de Provence ou des Vosges. Mais il y en a aussi dans les grandes villes ! Au détour d’une ruelle, dans un coin secret de Paris…

Méprisés de tous, abandonnés par la modernité qui continue sa trajectoire à 100 à l’heure vers la catastrophe, oubliés et souvent persécutés des autorités, qui les ont toujours considérés comme des gêneurs inopportuns…

Ils sont l’équivalent, pour notre pays, des derniers shamans de Sibérie, des tribus bientôt détruites d’Amazonie.

Leurs grands-parents, leurs parents, leurs oncles et tantes, ne sont plus là pour nous parler.

Mais ils sont encore là : ils sont les vestiges inestimables d’une culture précieuse, contre laquelle la modernité s’acharne mais qui résistent.

Ils continuent à soigner envers et contre tout.

Ils ont gardé de vieux cahiers, des recettes transmises d’âge en âge, des gestes qui soignent.

Certains sont encore jeunes : ce sont des caractères exceptionnels et très rares, qui ont pris conscience de l’importance de leur mission.

D’autres sont plus âgés.

Mais grâce au patient et minutieux travail de reconstitution qu’elle réalise depuis des années pour le journal Plantes & Bien-Être, Alessandra Moro Buronzo, la rédactrice en chef de cet excellent mensuel, a identifié les plus grands connaisseurs parmi eux. Elle a poussé leur porte. Elle les connaît.

Personne d’autre ne peut tous les connaître.

Ils ne sont pas signalés comme tels dans l’annuaire. Il n’existe pas de liste à leur sujet sur Internet.

Il est presque impossible de les identifier, et plus encore de les rencontrer et les consulter – surtout qu’ils sont disséminés parfois à des centaines de kilomètres les uns des autres !!

Le but de cette « mission de sauvetage » pour les plantes est de permettre une renaissance qui leur ouvrira la connaissance de ces secrets de médecine et de santé.

Demain, c’est peut-être grâce à quelques personnes courageuses que les futures générations et le monde entier auront accès à ces trésors perdus.

Pourquoi est-ce que je vous parle de cette Mission ? Pourquoi êtes-vous concerné(e) ??

Vous n’êtes PAS concerné(e).

VOUS ÊTES INDISPENSABLE !!

Alessandra Moro Buronzo n’entreprendra pas cette mission de sauvetage seule, sans compagnons de route, sans réseau de solidarité pour la soutenir et relayer son travail.

Elle peut le faire, elle va le faire, mais il est indispensable qu'elle soit épaulée dans cette quête de la dernière chance. Cela doit être un travail collectif, sans quoi tout ce travail se perdra, sera à son tour oublié.

Elle a BESOIN DE VOUS !!

Il s’agit de suivre Alessandra Moro Buronzo (par vidéo, depuis chez vous) tandis qu’elle va à la rencontre de ces personnages experts dans leur domaine et qu’ils lui expliquent leurs secrets de santé et l’usage des plantes médicinales ;

Il s’agit de garder la mémoire de ces derniers trésors vivants du monde bientôt menacé des plantes médicinales (en gardant trace chez vous de leurs témoignages, des secrets qu’ils ont reçus de leurs ancêtres) ;

Il s’agit de conserver et de transmettre (chez vous, puis un jour à votre entourage) les précieux films, documents, enregistrements, fiches pratiques, qu’elle vous enverra sur les plantes, les remèdes anciens et bientôt oubliés, au fur et à mesure qu’elle les recueille ;

Il s’agit de soutenir ce projet qui permettra de fixer, avant qu’il ne soit trop tard, ces gestes, préparations, connaissances concrètes d’une médecine ancestrale, qui peut guérir les maladies, douleurs, problèmes, déséquilibres qui affligent l’humanité et contre lesquels la médecine moderne ne peut rien.

Cette « Mission de sauvetage » pour les plantes est sans doute la dernière occasion de découvrir les secrets des plantes médicinales qui sans cela pourraient se perdre à jamais.

« Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante »

Au début de mon message, je vous ai parlé des remèdes contre les maladies les plus graves.

Très peu de gens oseront vous parler de cancer soigné avec des plantes. C’est un des sujets les plus dangereux, les plus explosifs, ceux qui risquent d’attirer le plus d’ennuis avec la police, la justice, l’Ordre des Médecins…

Et pourtant :

Saviez-vous qu’Anne-Françoise Lof vient de publier (novembre 2016) un livre intitulé « Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante : l’Aloe arborescens » ?

Je suppose que non, le black-out absolu est maintenu sur ce livre dans les médias.

Pourtant, cette psychologue française de 48 ans qui était atteinte d’un cancer du sein témoigne dans ce livre de son chemin thérapeutique avec le mélange d’Aloe arborescens (une plante médicinale) selon la recette transmise par le franciscain brésilien Romano Zago.

C’est un témoignage introuvable, inestimable, qui montre comment, « par d’autres cheminements, on peut aussi guérir du cancer ».

C’est le but de la Mission que de recueillir de tels témoignages et de vous les apporter. Sans cet effort, ils tomberont à coup sûr dans l’oubli.

Démangeaisons et infections : un remède dans votre poubelle

99 % des gens les jettent directement à la poubelle : ce sont les barbes de maïs, ces « cheveux » qui sont entre l’épi et les feuilles.

Pourtant, les Mayas, les Incas et autres peuples natifs d’Amérique utilisaient les vertus médicinales des barbes de maïs depuis 9000 ans, quand les Occidentaux les ont découverts.

Les herboristes européens ont vite appris à s’en servir : séchées, elles servent à faire un bain de pied qui soigne les cors et les durillons. En tisane, elles expulsent les toxines et déchets en excès dans l’organisme, et permettent de nettoyer les voies urinaires, y compris en cas d’infection de la vessie.

Si vous souffrez de démangeaisons ou d’infections, c’est la tisane à prendre en priorité. Elle vous nettoiera « de l’intérieur », réduira les œdèmes, bleus, bosses, et démangeaisons.

Nos grand-mères connaissaient pratiquement toutes ce remède. Voyez à quelle vitesse il a été oublié !

Poches sous les yeux : les 4 mousquetaires végétaux

Les poches sous les yeux ne sont pas vues comme un problème par la médecine, qui les considère comme une évolution « normale », liée à l’âge.

En fait, les poches sous les yeux sont dues à une rétention d’eau et parfois de graisse, renforcées par les toxines, l’alcool, le tabac et les médicaments.

Le maquillage permet de les cacher, pas de les traiter.

Les magazines féminins recommandent le concombre, les rondelles de pomme de terre : ça ne marche pas. Quant à la glace, efficace en urgence, elle abîme la peau très fragile du dessous de l’œil.

La médecine par les plantes connaît depuis des temps immémoriaux les « 4 mousquetaires » végétaux qui résorbent les poches sous les yeux.

Tout le monde l’a oublié, aujourd’hui.

Tout le monde… ou presque.

Parce que les rares véritables spécialistes des plantes vous expliqueront qu’il faut quatre hydrolats particuliers (les hydrolats sont des extraits de plantes obtenus par distillation à la vapeur) :
  • L’hydrolat de cèdre de l’Atlas

  • L’hydrolat d’hélichryse

  • L’hydrolat de cyprès

  • Et l’hydrolat de camomille.

En mélange à 50 % chacune, les deux premières sont à appliquer le matin sur le visage. Elles assurent la décongestion veineuse et stimulent la circulation sanguine.

Les deux autres sont à mélanger à 50 % chacune également, puis à appliquer sur des rondelles de coton. Les appliquer sur les deux yeux quelques minutes pour faciliter la migration de l’eau stagnante et adoucir l’épiderme fragilisé.

Truc supplémentaire contre les cernes : pour améliorer la régénération des muqueuses, ajouter dans sa crème du jour deux gouttes d’huile essentielle de ciste et deux gouttes d’huile essentielle de carotte sauvage.

C’est un trésor parmi les milliers et les milliers qui seront récoltés, documentés, archivés, au cours de cette grande Mission.

Il y en aura des milliers d’autres qui concerneront les maladies du cœur, l’arthrose, l’ostéoporose, la maladie de Parkinson, Alzheimer, la dépression, les insomnies, les acouphènes, les maux de tête, le côlon irritable, les irritations, les démangeaisons, les mycoses, la thyroïde, l’asthme et les allergies…

Les plus grands personnages vivants du monde des plantes médicinales

Au cours de cette Mission, Alessandra Moro Buronzo a déjà prévu d’aller rencontrer, chez eux, et de recueillir les précieux témoignages de grands personnages encore vivants de la médecine par les plantes comme :
  • Pierre Franchomme, pharmacien, qui fut l'un des pionniers de l'aromathérapie. On lui doit l'existence de certaines huiles essentielles très communes comme le tea tree et le ravintsara ;

  • Alain Robert, docteur en pharmacie, est l'un des rares pharmaciens en France qui possède le savoir-faire pour réaliser des complexes à base de plantes. Expert et passionné des plantes, il est conseiller de la nouvelle herboristerie Naturathera à Paris.

  • Michel Pierre, herboriste, dans la boutique mythique qu’il tient depuis 50 ans, l’herboristerie du Palais-Royal ;

  • Christophe de Hody, herbaliste, qui l’emmènera dans la campagne à la reconnaissance des plantes. Tout sera filmé, vous pourrez suivre l’aventure, voir de vos propres yeux la cueillette, l’usage sur place, ou après une préparation, des plantes médicinales ;

  • Ainsi que des dizaines d’autres experts, guérisseurs, naturopathes, médecins, appartenant au réseau des contributeurs de Plantes & Bien-Être comme le Dr Franck Gigon, le Dr Bérangère Arnal, le Dr en pharmacie Danièle Roux, Nicolas Wirth, Christophe Bernard et bien d’autres, qui tous vous ouvriront leur cabinet, leurs grimoires, leurs connaissances ancestrales, et, plus important encore leur cœur et les messages d’une valeur inestimables qu’ils ont à léguer à la civilisation.

Alessandra vous ouvrira sa bibliothèque secrète et vous enverra de précieuses informations sous forme de dossiers ou d’enregistrements, selon les cas (selon ce qui est le plus pratique pour le sujet).

Vous voyagerez dans le temps, également, car Alessandra vous fera découvrir le monde extraordinaire de :
  • Carl von Linné (1707-1778), naturaliste suédois, père du système moderne de nomenclature binominale en botanique et zoologie ;

  • Anna Atkins (1799-1871), botaniste britannique est pionnière dans l’utilisation des images photographiques pour illustrer les herbiers ;

  • Jean-Marie Pelt (1933-2015), biologiste et botaniste engagé dans la défense de l’environnement. 

Jean-Marie Pelt est aujourd’hui décédé mais Alessandra Muro Buronzo a eu la chance inouïe de recueillir encore ses confidences en 2014.

Vous serez introduit auprès de l’équipe des experts de Plantes et Bien-être - médecins, pharmaciens, naturopathes - en participant à des ateliers de questions-réponsessous forme de « webinaires » ou conférences en ligne.

Vous serez invité(e) à envoyer vos questions à ces spécialistes des plantes. Alessandra les posera pour vous lors de ses rencontres. Vous recevrez chez vous les films enregistrés.

Des détours inattendus sont à prévoir. Sur le chemin des secrets de santé de la Nature, Alessandra Moro Buronzo a d’ores et déjà prévu de recueillir aussi les confidences de sommités de la santé naturelle que vous connaissez forcément, comme le Dr Michel de Lorgeril, le psychanalyste Guy Corneau ou le Dr Eric Ménat (que vous connaissez probablement).

En plus, vous recevrez, tous les six mois, un volume encyclopédique regroupant toutes les informations précieuses, introuvables, qui auront été rassemblées pendant la Mission.

Bref, vous l’avez compris, il s’agit bien du plus ambitieux et important projet dont je ne vous ai jamais parlé jusqu’à présent.

Personne ne sait aujourd’hui où cette Mission va aboutir. Combien de temps elle durera.

Où elle nous mènera, ultimement.

De longs mois, peut-être des années

Alessandra Moro Buronzo s’apprête à partir sur les routes de France pour cette « Mission » qui durera de longs mois, et peut-être des années.

Vous pouvez vous engager à soutenir cette grande œuvre en prenant une place de « compagnon de route ».

Cela implique que vous recevrez toute sa correspondance (messages électroniques, vidéos, films, dossiers, fiches, enregistrements) directement chez vous. Pour participer et soutenir cette Mission, vous n’avez donc pas besoin de sortir de chez vous.

En revanche, seuls les compagnons de route officiellement enregistrés comme tels sont éligibles à recevoir les précieux secrets qu’Alessandra collectera au long de sa quête.

Et il y a des conditions restrictives :
  • Seuls les actuels lecteurs de Santé Nature Innovation sont éligibles au quota de place de la Mission ;

  • Ce quota est limité dans un premier temps à 300 compagnons de route ;

  • Vous devez vous déclarer avant le 31 décembre 2016 pour vous élancer dans l’aventure dès le 1er janvier 2017.

Ensuite, ce sera à vous de décider jusqu’où vous vous sentirez la force de poursuivre l’aventure.

A tout moment, vous pourrez quitter la Mission. Votre place sera alors automatiquement attribuée à la personne suivante sur la liste d’attente.

Dès votre inscription validée, votre premier « Rendez-vous » vous sera fixé par Alessandra, qui vous indiquera ce que vous allez recevoir chez vous, à quelle date.

Vous aurez ainsi chaque semaine un « Rendez-vous de Plantes & Bien-Être » correspondant aux progrès de la « Mission de sauvetage pour les plantes médicinales ».

Une première semaine de préparation à la Mission (parcours de bienvenue) est à prévoir, qui vous assure les connaissances de base fondamentales à avoir sur les plantes.

Où en sommes-nous avec l'énergie solaire?

 

 

Né il y a environ 5 milliards d'années, le soleil se trouve à quelques 150 millions de kilomètres de notre planète. Dans l'Antiquité, le soleil était vénéré comme une véritable divinité, car nos ancêtres savaient qu'il apporte la vie sur terre, ne serait-ce que par sa lumière et sa chaleur. De nos jours, grâce aux astronomes, on sait beaucoup plus de choses sur cette étoile. Mr Nicolas Vanier, dans son ouvrage «Les pieds sur terre», fait le point sur les bienfaits du soleil sur pratiquement tous les plans. Le soleil influence notamment l'alternance des saisons; il est aussi à l'origine de la photosynthèse, des vents... Notre santé et notre humeur entre autre chose dépendent de son rayonnement (vitamine D)...

Comment se fait-il que nous n'arrivions pas mieux à capter et à stocker cette énergie illimitée et gratuite? Dans certains pays méditerranéens comme la Grèce par exemple, des chauffe-eau solaires placés sur les toits fournissent de l'eau chaude sanitaire. C'est de l'énergie solaire thermique. L'énergie photovoltaïque, capable de transformer le rayonnement solaire en électricité grâce à des panneaux sur toits ou façades, est loin de couvrir actuellement nos besoins énergétiques. Notre pays a préféré en effet construire des centrales nucléaires, ce qui ne va pas sans nuisances, déchets et dangers pour les populations...

Mr Vanier pense pourtant que le Soleil pourrait rapidement devenir une énergie d'avenir. En France, nous avons crée à Odeillo, dans les Pyrénées Orientales, le four solaire le plus puissant du monde, qui atteint des températures supérieures à 3000°. En Afrique de petits fours solaires, ça et là, rendent déjà de grands services à la population, en lui permettant d'économiser du bois.

Des projets naissent un peu partout, mais les investissements ne suivent pas encore. En France, des inventeurs ont conçu un système permettant de recouvrir le revêtement de portions de routes de panneaux photovoltaïques, capables de produire de l'électricité par simple exposition au soleil. Ainsi, 1km de ces routes pourrait éclairer une ville de 5000 habitants. Quant à l'avion solaire, il a récemment démontré qu'il pouvait faire le tour du monde...

Le Maroc a inauguré, début 2016, la plus grande centrale électrique solaire du monde, au Sud de Ouarzazate en plein désert. 500 000 miroirs réfléchissants d'une hauteur de 12m sont parcourus par des tuyaux contenant une résine. Fondue par la chaleur du soleil, celle-ci est envoyée vers une centrale où elle produit de la vapeur d'eau, capable d'actionner des turbines et donc de produire de l'électricité. L'installation de la dernière tranche, prévue en 2020, est censée fournir au Maroc la moitié de son électricité.

 Espérons qu'un jour prochain dans notre pays des hommes politiques et des entrepreneurs se tourneront réellement vers l'énergie solaire, une énergie propre, gratuite et sans danger, quitte à mécontenter les lobbies de l'électricité nucléaire, qui vivent des retombées du coût élevé de cette énergie...

Lyliane

 

18/12/2016

Transmis de Mr Derambarsh à propos du gaspillage alimentaire...

Bonjour à tous,

Pour les fêtes de fin d'année, vous pouvez faire une bonne action en commandant le livre "Manifeste contre le gaspillage alimentaire" aux Éditions Fayard : http://m.fayard.fr/manifeste-contre-le-gaspillage-darash-derambarsh

Il ne coûte que 10€ et l'intégralité des droits d'auteur ira à la Croix-Rouge française.

Merci d'avance pour votre générosité.

Amitiés,

Arash Derambarsh

Du champagne en biodynamie...

 

 

Un article de Mr Vincent Rémy, dans le journal Télérama du début décembre 2016, fait le point sur un sujet relativement sensible en cette période de fêtes de fin d'année: le champagne. D'après le journaliste, les grandes marques de la région d'Epernay nous ont habitués, avec leurs 200 millions de bouteilles expédiées dans le monde entier, à «un champagne fabriqué gavé de levures et de sucre de betteraves». Selon les nouveaux viticulteurs interviewés, «leur créativité vient surtout du marketing et du packaging»!

Or, à la tête de la Maison Leclerc Briant, fondée par un écologiste, qui dès les années 1960 produisait des vins 100% naturels, Mrs Frédéric Zermatt et Hervé Jestin, respectivement Directeur Général et œnologue, pratiquent la biodynamie pour leur champagne. La biodynamie, en résumé succinct, est un système de production agricole, inspiré par le penseur Mr Rudolf Steiner au siècle dernier, qui exclut toute chimie et prend notamment en considération les rythmes lunaires et planétaires.

Pour ces deux hommes la biodynamie qu'ils mettent en œuvre ne s'arrête pas à la culture de la vigne (sans traitements chimiques), mais elle continue à la cave. Le raisin pressé est gardé couché dans des fûts de qualité différente, afin de pouvoir expérimenter le résultat. Il y a des fûts de bois, de terre cuite et même un tonneau métallique recouvert à l'intérieur d'une mince feuille d'or. Ils ont en effet le désir d'élever le niveau vibratoire du moût et de produire un vin vivant, qui se garde sans oxydation, alors qu'il est dépourvu de sucre et de sulfite. Une fois vieilli dans leurs caves de craie le temps nécessaire, le vin produit est d'une grande pureté. Les bouteilles sont remuées chaque jour d'un huitième de tour, une technique manuelle remplacées partout ailleurs par des machines.

Selon Mrs Zermatt et Jestin, les jeunes générations en Champagne cherchent à se passer d'herbicides et de pesticides dans leurs vignes. Beaucoup se sont convertis au bio. C'est le cas notamment de Mr Jérôme Bourgeois dans l'Aisne. Un Salon nommé Bulles Bio, qui se tient chaque année à Reims attire désormais des américains, des scandinaves, des japonais et des coréens. Ainsi, la preuve est faite que, sans forcer la nature, sur une petite parcelle de 10 ha plantée en Chardonnay un champagne de qualité, vibrant de vie, peut être produit et apprécié à sa juste valeur.

Achetons sans hésiter du champagne de la Maison Leclerc Briant et faisons le savoir autour de nous! Le changement que nous espérons passera donc aussi par le vin que nous consommerons entre amis!

Pour en savoir davantage ou pour commander, consulter le site Internet: www.leclercbriant.fr

Lyliane

 

17/12/2016

Le septième continent...

 

Dans nos mers et nos océans, des déchets plastiques désagrégés, qui ont dérivé au gré des courants marins, se rassemblent en amas. On appelle ces amas: le septième continent. Le premier fut découvert par un navigateur en solitaire, Mr Patrick Deixonne, traversant l'Atlantique à la rame entre le Sénégal et la Guyane. Il décidera alors d'explorer cette plaque de déchets dans l'Atlantique Nord, couvrant une superficie équivalente à 6 fois la France et de communiquer à ce sujet. Dans cette zone, les scientifiques ont mesuré que pour 1l de plancton, il y a 5l d'une soupe de matières plastiques. Depuis, on s'est aperçu que l'Océan Pacifique, l'Océan Indien et la Mer Méditerranée ont également leurs amas de micro-particules de ce plastique venu des terres habitées, qui met très longtemps à se désagréger. On l'estime à environ 3 millions de Km2.

Ces énormes tourbillons de déchets plastiques ou gyres posent des questions cruciales à tous les habitants de la planète, car ils modifient l'équilibre écologique des mers et des océans, menaçant la biodiversité. Oiseaux de mer, tortues sont les premiers touchés par cette pollution. On retrouve même des bribes de ces déchets dans le ventre des poissons que nous mangeons. Des missions ont été organisées depuis 2012 et 2013, afin d'alerter le public et les hommes politiques sur la gravité de la situation.

Mr Deixonne a crée une association, reconnue d'utilité publique, «le 7ème continent» et il lance de nombreuses actions pédagogiques. Par exemple, il a imaginé une BD «Le monstre de Plastique», afin d'expliquer aux jeunes les dangers pour toute la chaîne alimentaire. Un film illustrant ses expéditions est également disponible depuis peu (You Tube). Pour le moment, peu de solutions ont été trouvées pour vraiment endiguer le phénomène. Des scientifiques y travaillent pourtant. Un organisme, le CRIIT, travaille de son côté au recyclage des polymères. Et les gouvernements des pays industrialisés interdisent les uns après les autres les sacs plastiques... Mais il faudra faire plus!

Pour en savoir davantage, contacter par Internet: www.7econtinent.com et www.criit-polymere.fr .

Lyliane

 

16/12/2016

Le CETA remis en question par la Ligue des Droits de l'homme selon Emmanuel CHAUMERY...

 

16 DÉC. 2016 — Dans un rapport publié le 15/12, la CNCDH recommande que l'accord ne soit pas ratifié au détriment des droits de l'homme et uniquement pour les intérêts commerciaux.

Pour envoyer un message à François Hollande lui demandant de saisir la Cour de Justice et tenir compte du rapport :
https://twitter.com/Emmanuel27m/status/809680206084575232

Merci à tous, on ne lâche rien !
Emmanuel Chaumery
@Emmanuel27m

Pouvons-nous nous passer des super-marchés?

 

L'émission «Tout Compte Fait» sur la deuxième chaîne le 10 décembre 2016 posait cette question. Un reportage effectué aux Etats-Unis montrait que 40 % de la nourriture finit dans les poubelles des super-marchés. Des millions de dollars sont gaspillés de la sorte. Les produits, la plupart du temps encore emballés, sont jetés car ils auraient de minuscules défauts.

Certes, les poubelles des super-marchés sont propriété privée dans ce pays et des vigiles peuvent donner des amendes à ceux qui auraient des vélleités de fouiller dans leurs poubelles. Pour Rob, le héros du reportage, ce n'est pas un obstacle: il fait régulièrement le tour des super-marché de sa ville et il revient le plus souvent le coffre plein de nourriture (250 kg pour un équivalent de 1000 euros environ). Le reportage le montrait ensuite sur le campus de l'Université de Raleigh, à 200 km de chez lui, où il distribuait gratuitement aux étudiants les marchandises récoltées. Il appelle ces tournées: le grand fiasco du gaspillage!

Il aurait déjà 15 opérations choc à son actif, ce qui l'a rendu célèbre dans tout le pays. A 30 ans, avec sa compagne Chéryl, ils sont devenus des vedettes de l'écologie, cherchant à faire faire des prises de conscience à leurs concitoyens. Ils leur proposent de changer leurs habitudes, pour sauver la planète, par exemple en économisant l'eau potable, en roulant en transports collectifs ou à vélo... L'émission les montrait ensuite achetant leur nourriture en vrac dans une boutique où l'on peut remplir bocaux et flacons soi-même, ce qui coûte 30% moins cher qu'en super-marché. Ils militent en effet pour que les américains achètent le moins possible de plats préparés et de nourriture industrielle.

Depuis peu, Rob et Chéryl ont franchi un pas de plus: ils parcourent le pays à pied sac au dos, dorment à la belle étoile ou bien sous tente, car ils ont vendu leurs logements. Un ordinateur fonctionnant à l'énergie solaire, quelques vêtements, des allumettes et un briquet ainsi que du matériel de toilette sont leur seul bagage. Ils vivent de petits boulots et payent tout en cash. A Atlanta, dans un quartier pauvre, ils ont avec quelques bénévoles construit, grâce à des matériaux de récupération, des mini jardins pour les habitants. Ils leur apprennent à semer et à récolter à plusieurs dans ces bacs de la nourriture gratuite, au lieu d'aller à la supérette du coin. Là, il n'y a que des sodas, des chips et des plats industriels, nourriture chère qui à la longue nuit à leur santé.

En agissant localement et en donnant l'exemple d'une vie sans déchets, ils montrent qu'il est possible et même souhaitable de nous passer des produits de la grande distribution. Dans notre pays, il y aurait sans doute des enseignements à retirer de ce mode de vie. Les petits commerçants auraient déjà une carte à jouer en proposant des produits de qualité et en étant sensibilisés au non gaspillage. Les éleveurs commencent à éviter les intermédiaires et à vendre en circuits courts leur lait et leur bétail. Quant aux citoyens que nous sommes, nous serions bien inspirés de veiller à nos transports, à l'eau que nous utilisons, à nos déchets et à notre nourriture, que nous pouvons produire nous-même. En ville, le système AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) permet par exemple de passer contrat avec des agriculteurs, pour pérenniser leurs exploitations et pour se nourrir de produits poussés sans engrais chimiques... Bref, les pistes de changement sont chez nous également nombreuses! Lutter contre la pollution, la malbouffe, le gaspillage à tous les niveaux, par quoi allons nous commencer?

Lyliane

 

15/12/2016

Un nouveau métier: biographe hospitalière...

 

 

Depuis 2007, Mme Valéria Milewski propose à des patients cancéreux d'écrire leur biographie. Elle est devenue salariée de l'Hôpital de Chartres et elle prépare un doctorat de linguistique à Nanterre. A ce jour, elle a formé une autre personne pour la seconder, Mme Christine Cormona.

A Rennes, Mme Céline Feillel, écrivain public, se déplace au chevet des malades à l'hôpital ou à leur domicile pour recueillir leur histoire. Dans un service de soins palliatifs, puis de soins pédiatriques, Mme christelle Cuinet, bénévole de l'Association JALMALV de Besançon, a entrepris de raconter la vie personnelle d'adultes et d'enfants gravement malades...

Le Journal Que Choisir Santé de Décembre 2016, dans un article signé par Mme Sandrine Letellier, nous rapporte ces quelques initiatives généreuses, qui ont transformé la vie des bonnes volontés comme des patients. Le Président de l'association Traces de Vie, le Dr E. Plouvier, que la Ligue contre le Cancer soutient financièrement à Montbéliard, essaye d'étendre cette démarche à d'autres établissements.

En effet, écrire avec l'aide d'une autre personne permet de moins penser à sa maladie, d'avoir d'autres perspectives. C'est un espace de liberté et de créativité, qui peut changer le moral des malades. Et quelle fierté d'avoir réussi à composer un ouvrage que l'on peut offrir à ses proches!

Pour en savoir davantage, contacter sur Internet le site: www.tracesdevies.fr ou par téléphone le 06 08 06 72 15.

Lyliane

 

14/12/2016

Transmis de L'Association de la santé naturelle: Vaccins obligatoires, renforcement inexplicable!

France : bientôt 11 vaccins obligatoires !

Chère amie, cher ami,

Depuis l’année 2008, le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) n’est plus disponible dans les pharmacies en France.

Ce vaccin était le seul obligatoire. Il était important. Il avait été utilisé depuis des décennies avec succès. Ces maladies avaient été pratiquement éradiquées.

Il s’agissait d’un vaccin sûr. Il ne contenait pas d’aluminium. Qui plus est, c’était un vaccin bon marché (6,54€).

Mais depuis 2008, les laboratoires pharmaceutiques ont retiré le DTP du marché. Ils l’ont remplacé par un super-vaccin contenant des vaccins contre trois maladies non-obligatoires.

Ce vaccin, appelé Infanrix-hexa :
  • contient trois vaccins qui ne sont pas obligatoires ;

  • contient de l’aluminium et d’autres adjuvants ;

  • contient le très controversé vaccin contre l’hépatite B (parfaitement inutile pour la plupart des nourrissons)

  • et il coûte 7 fois plus cher !!

Mais les parents sont obligés de l’acheter et de l’injecter pour se conformer à leur obligation vaccinale !!!

Cette situation est anormale. Elle est injustifiée. Depuis longtemps les autorités auraient du réagir. Elles ne l’ont pas fait.

L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a lancé avec le Pr Henri Joyeux, en mai 2015, une grande pétition pour le retour du classique DTP sans aluminium. Cette action a déclenché une immense prise de conscience. Plus d’un million de citoyens ont participé. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a réagi en lançant une consultation nationale sur les vaccins.

Cette consultation devait être démocratique.

Elle devait être ouverte.

Elle devait répondre aux légitimes inquiétudes des parents, des grands-parents, de la population.

Elle devait tenir compte de l’intérêt et de la santé des enfants, des risques associés au vaccin, du problème de l’incertitude, des dangers, et des accidents, parfois graves, qui ont eu lieu avec la vaccination.

Mais le Comité pour la Vaccination a rendu son rapport public le 30 novembre 2016. [1]

Et c’est un véritable scandale.

Plutôt que de rappeler à l’ordre les laboratoires pharmaceutiques, et d’exiger à nouveau le simple DTP, le Comité demande exactement le contraire :

  • Il recommande de rendre obligatoire tous les vaccins présents dans le super-vaccin ;

  • Il recommande d’ajouter cinq autres vaccins obligatoires ;

  • Il parle même de rendre obligatoire le tristement célèbre Gardasil, contre le cancer du col de l’utérus (vaccin anti-papillomavirus), et éventuellement d’étendre l’obligation à tous les petits garçons !!!

  • Il recommande de priver les enfants d’accès aux crèches, écoles et toute autre collectivité si les parents refusent une seule de ces vaccinations ;

  • Il conseille d’engager des poursuites judiciaires contre les parentsrécalcitrants [2]

  • Il veut mettre à la charge de la collectivité (c’est-à-dire vous et moi)les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu’à celle de l’industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;

  • Enfin, il recommande « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble des recommandations ».

Jamais une offensive aussi directe n’avait été menée dans la santé.

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Signez, c’est urgent, SIGNEZ LA PETITION CI-DESSOUS POUR BLOQUER CE PROJET avant qu’il ne soit TROP TARD !!

http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php

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Nous devons être des millions à dire NON. La France entière qui doit se lever.
« C’EST A N’Y RIEN COMPRENDRE », commentait le journal Le Figaro, au sujet de cette préconisation. [3]

« Une position déroutante », déplorait Libération. [4]
Cela ressemble en effet à la politique du pire ! Et à une provocation lancée à la figure de toute la population. Certains ont parlé du « Dernier coup de poignard de Marisol Touraine » !!!

Il s’agit en somme de rendre 11 vaccins obligatoires : hépatite B, coqueluche, haemophilus influenzae b, pneumocoque, méningocoque C, rougeole, oreillons, rubéole, plus les rappels.

Pire encore, leur projet est de mettre tous les risques et les coûts à notre charge :

  • Page 32 du rapport [1], il est expliqué que la « prise en charge intégrale de l’achat des vaccins par les régimes obligatoires de l’assurance maladie doit être assurée. Le coût d’une telle mesure est estimé entre 110 et 120 millions €/an. » C’est donc les assurés sociaux, autrement dit vous et moi et toute la population, qui sommes mis à contribution ; et notre argent ira à l’industrie pharmaceutique ;

  • Page 32 également [1], il est recommandé, pour les accidents qui se produiront inévitablement, « d’imposer un régime d’indemnisation des effets indésirables par la solidarité nationale », c’est-à-dire encore une fois nous faire payer vous et moi, via nos impôts.

Sont-ils devenus fous ??

D’où un tel mépris leur vient-il ?? Se croient-ils dans une dictature ??

Apparemment oui ! Et à ce stade, c’est au peuple de se défendre !!

Il n’y a pas une ligne dans le rapport qui défende l’opinion majoritaire dans la population.

Tout semble avoir été écrit par les labos pharmaceutiques.

Ce Comité Vaccination qu’on nous avait présenté comme « représentatif » est une supercherie.
« L’élaboration de cette parole citoyenne s’est faite en l’absence de toute publicité », a d’ailleurs souligné le journal Libération. [5]
Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu’un haut fonctionnaire avait claqué la porte du Ministère de la Santé.
Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, Secrétaire Général de la Conférence Nationale de Santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé ».

Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l’Institut pour la Démocratie en Santé.
« Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l’ensemble des moyens d’expression de la démocratie en santé ».
Seuls les acharnés de la vaccination et les industriels avaient été invités !!

Le Président du Comité de Vaccination, Alain Fischer a reçu en 2013 le prix Sanofi Pasteur, une distinction propre à ce laboratoire pharmaceutique qui est l’un des plus grands fabricants de vaccins du monde !

Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre sur les réseaux sociaux :
« Comment peut-on "rétablir la confiance" par une dictature médicale ?», déplorait un lecteur sur le site du quotidien Libération. [6]

« On vous oblige à vous injecter des vaccins et, en prévision de la prise en charge des soins d'une grave complication, pour ne pas faire payer les laboratoires pharmaceutiques, on vous colle une nouvelle taxe sur les médicaments ! » s’insurge un internaute en réaction à l’annonce.

« Comment peut-on nous prendre à ce point pour des idiots ???!!!! Je suis tellement attristé et en colère. Quel pays !!!... » réagissait jeudi 1er décembre au matin un auditeur de RMC, qui venait de recevoir la nouvelle sur la tête.

« Clairement c'est du totalitarisme », réagissait-on sur le site du journal 20 Minutes. [7]

« Comment se fait-il qu’en Allemagne ou en Espagne, où les vaccins ne sont pas obligatoires, il n’y ait pas plus d’épidémie que chez nous ?! » [8]
Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée.

Personne ne doit pouvoir dire, ou affirmer, que ces réactions sont isolées.

Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum, pour opposer un véritable barrage démocratique à cette initiative.

Nous savons que des millions de signatures sont nécessaires.

Et nous pouvons les rassembler : plus de 40 % des Français ont compris qu’il y avait du flou derrière le discours du gouvernement sur la vaccination. [9]

Il est important d’agir au plus vite car la Ministre de la Santé cherchera très probablement à agir avant l’ouverture de la campagne électorale de 2017 (dans cinq semaines, après les primaires du parti socialiste).

C’est pourquoi nous sommes dans l’urgence absolue. C’est une question de jours, ou peut-être même d’heures.

Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous.

C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles si nous ne leur imposons pas leur onze vaccins obligatoires !!

Derrière, ce sont des milliers, ou au minimum des centaines d’effets indésirables graves qui se produiront. Mathématiquement, c’est une certitude. Cela pourra être chez vous, dans votre entourage, ou dans le mien.

Ne nous laissons pas faire !!! MOBILISONS TOUT NOTRE ENTOURAGE.

TRANSFÉREZ CET APPEL PARTOUT AUTOUR DE VOUS.

C’EST NOTRE DERNIÈRE CHANCE !!!

Un grand merci,

Augustin de Livois

Pour une révolution citoyenne grâce à une démocratie participative...

 

A travers l'interview de Mr K. Hosni et de Mme S. Lebrun, pour le journal La Vie du Secours Catholique-Caritas, Mr Joseph Spiegel, Maire de Kingersheim (68) nous fait part de la remobilisation des citoyens dans la vie sociale de sa commune de 13 000 habitants. Ce modèle paraît pouvoir être transposé dans toutes les municipalités françaises. Il s'appuie notamment sur le passage du «je» individuel au «nous» citoyen!

Dans la municipalité de Mr Spiegel, il s'agit de démocratie locale, puisqu'un conseil participatif de 50 personnes a été crée. Pour toutes les questions à enjeux, on réunit tout d'abord les habitants lors de grandes rencontres publiques, afin de dialoguer. Puis, les citoyens volontaires, les experts et les élus, qui font partie du conseil participatif, construisent le projet qui sera proposé au vote du Conseil Municipal.

Ce Maire, qui a déjà brigué 5 mandats avec succès, croit à une «révolution apaisée», dans laquelle les citoyens ont la parole tout au long de l'année et non seulement au moment des élections. Sortir d'une démocratie providentielle, électorale, passive, descendante et partisane est en effet son credo. Il croit par contre que «le rôle du politique n'est pas de flatter les gens, mais de les inviter à cheminer ensemble dans la voie de la complexité, de l'altérité, ce qui est exigeant».

Tout cela prend du temps, car les citoyens n'osent pas prendre la parole au début. Il convient d'arriver à des compromis dynamiques, après avoir mis les désaccords sur la table. Jusque là, à Kingersheim, sur 10 ans, 40 conseils participatifs ont eu lieu sur des sujets différents et ils ont réuni 700 participants. Cette façon de procéder ne ressemble-t-elle pas à une forme de démocratie réelle? Elle est, quoi qu'il en soit, totalement à contre-courant du système néolibéral, que l'on nous présente comme le meilleur actuellement, tout comme du populisme des extrêmes, où l'on pratique l'instrumentalisation des peurs.

 

A nous, citoyens, de nous mobiliser pour faire connaître nos idées, nos désirs et nos espoirs et pour participer effectivement à la vie sociale au lieu de la subir. L'exemple de cette commune du Haut-Rhin nous montre que ça marche!

Lyliane

 

13/12/2016

L'argent colloïdal, un remède en or...

 

C'est le titre qu'a donné Mme Jeanne Perros à son ouvrage paru en 2012 aux éditions Trédaniel. Cette femme ingénieur, passionnée par les médecines douces, la nutrition et la botanique, présente l'argent colloïdal comme un anti-infectieux à large spectre et une alternative possible aux antibiotiques.

Ce produit naturel, capable de s'attaquer à la plupart des bactéries, virus et parasites, est tombé dans l'oubli dans notre pays après la découverte des antibiotiques de synthèse vers les années 1940. Toutefois, ses propriétés étaient connues depuis des millénaires. En France, de nombreux médecins l'utilisaient encore dans la première moitié du 20 ème siècle. Aujourd'hui, les antibiotiques de synthèse ayant montré leurs limites (antibiorésistance, dégradation de la flore intestinale), l'argent refait surface et démontre son efficacité.

L'argent colloïdal consiste en de minuscules particules d'argent, chargées électriquement et en suspension dans de l'eau déminéralisée. La solution peut être à dominante métallique ou ionique. Des études de 2007, 2008 et 2009 en Corée, en République Tchèque et aux Etats-Unis ont montré que l'argent est un antiviral de premier ordre pour lutter contre les infections et même en cas de pandémies (grippe aviaire, grippe H1N1...). Il est dénué d'effets secondaires à dose recommandée. Toutefois, ce qui freine sa diffusion, est que l'argent colloïdal présente un intérêt médiocre pour les laboratoires pharmaceutiques...

Les témoignages abondent sur Internet, que ce soit pour vanter l'efficacité des pansements imprégnés à l'argent, pour purifier l'eau, pour désinfecter les surfaces, soigner les mycoses, les plantes et même pour protéger les mamelons des femmes allaitantes. Toutefois, un usage interne en mode sublingual en dehors des repas est également recommandé dans des épisodes infectieux pulmonaires ou autre.

En France, de nos jours, le moyen le plus simple pour acheter de l'argent colloïdal est de le commander sur Internet. Les marques américaines comme Sovereign Silver ou American Biotech Labs sont les plus connues. En France, la marque Argent Vital commercialise depuis peu de l'argent colloïdal à un prix raisonnable en magasin diététique ou en para pharmacie.

Les maladies nosocomiales se développant actuellement dans les hôpitaux, l'argent semble susciter un intérêt croissant de la part des médecins. Des espoirs nouveaux en outre sont nés de son potentiel dans la lutte contre la mucoviscidose, certains cancers ou des maladies coronariennes.

J'ai personnellement testé des ampoules de granions d'argent pour une infection urinaire et un gros rhume: en 3 jours, à raison de 2 ampoules par jour loin des repas, tout était terminé sans aucun effet secondaire.

Lyliane

 

 

 

 

 

12/12/2016

Appel à propos de Monsanto et des perturbateurs endocriniens...

 

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ces substances dangereuses.

Ces polémiques interviennent à quelques semaines de l'adoption finale des textes réglementaires. C'est le moment d'accentuer la pression pour faire respecter le principe de précaution.

Pouvez-vous partager la pétition sur Facebook et par email, afin de nous débarrasser une bonne fois pour toutes des perturbateurs endocriniens?

Transmis du Blog de l'écologie positive: de bonnes nouvelles du Danemark!

DANEMARK - Production record d'énergie éolienne en 2015

(Publié le par Le blog de l'écologie positive)

L'année dernière (fort venteuse il est vrai), le Danemark a produit pas moins de 42% de son électricité à partir de l'énergie éolienne, la proportion la plus élevée jamais rencontrée dans un pays au monde.

Dans certaines régions et à certaines périodes, la production a excédé la consommation locale, de sorte qu'une partie de l'électricité produite a été revendue aux pays voisins (Suède, Norvège, Allemagne). Inversement, le Danemark importe de l'électricité d'origine hydroélectrique norvégienne et de l'électricité d'origine solaire depuis l'Allemagne (synergie entre les différentes sources d'énergie).

Le Danemark s'était fixé l'objectif de produire la moitié de son électricité à partir de l'éolien d'ici 2050. Un objectif qui semble bien près d'être atteint.

Intérêt des produits fermentés...

 

 

De nos jours ce type de produits fermentés paraît exotique. Toutefois, la fermentation est une technique de conservation très ancienne, utilisée dans pratiquement tous les pays du monde. Sans le savoir, nous consommons de nombreux produits fermentés, à commencer par les cornichons, les yaourts, les fromages, la bière, le vin, la choucroute... Ils ont en effet subi un procédé physico-chimique de transformation entièrement naturel.

On a laissé des micro-organismes (bactéries, moisissures, levures et enzymes) modifier l'aliment. Il existe trois types de procédés: alcoolique(vin, bière), acétique ( vinaigre, cornichons) et lactique (viande, poisson, légumes, produits laitiers, fruits). Pour le procédé lactique, il suffit par exemple de laisser tremper la denrée lavée crue (entière ou en morceaux) dans la saumure (sel: 2 cuillère à soupe au moins pour 1l d'eau bouillie) plusieurs jours, plusieurs semaines ou plusieurs mois dans un bocal en verre ébouillanté et bien fermé, le temps pour les bonnes bactéries de se développer à l'ombre et au frais. On peut faire fermenter n'importe quel légume, sauf les pommes de terre.

Des chefs étoilés, comme Mr Yannick Alléno, militent pour un retour à la fermentation, qui serait plus sûre que l'appertisation (conserves stérilisées), qui chauffe les produits, ce qui appauvrirait leurs saveurs. La fermentation en milieu anaérobie est censée au contraire bonifier la texture et le goût des aliments. De plus, elle empêche les moisissures. Sur le plan de la santé, les produits fermentés sont réputés aider le travail digestif. Ils apportent même des vitamines A, B, C et K.

Pour en savoir plus, consulter sur Internet le site: www.cuisine-saine.fr .

Lyliane

 

11/12/2016

Des doutes, une inquiétude, vite, un auto-test!

 

Mme Lise Bouilly s'est intéressée, dans le Journal gratuit Fémina, à ces dispositifs nommés auto-test qui sont depuis peu sur le marché et qui peuvent nous être très utiles. Toutefois, elle a souhaité tout d'abord interroger une pharmacienne, Mme Brigitte Bouzige, au sujet de la différence entre ces auto-tests que l'on peut désormais réaliser chez soi et les T.R.O.D. (tests rapides d'orientation diagnostique). Ces derniers, mis en place par l'arrêté du 11 juin 2013, doivent être pratiqués en pharmacie pour détecter par exemple une grippe, une angine à streptocoque ou un diabète... Ils sont peu onéreux: environ 6 euros. Ils peuvent accélérer une prise en charge et un traitement, selon le résultat obtenu. Les pharmaciens en effet, depuis la Loi Hôpital, patients, santé et territoire de 2009, ont de nouvelles missions de dépistage et de prévention.

Les auto-tests, disponibles sans ordonnance et donc non remboursables par l'assurance-maladie, coûtent entre 15 et 30 euros pour le plus cher comme celui du V.I.H. Tous fonctionnent sur le même principe: en suivant une notice, le patient prélève une goutte de sang au bout du doigt grâce à un auto-piqueur et il voit le résultat négatif ou positif au bout de 10 à 15 minutes dans une fenêtre de lecture. La fiabilité de ces tests serait de 90 à 99% selon le dispositif. C'est, évidemment, un pré-diagnostic à confirmer ensuite par des examens de laboratoire.

Pour le taux de fer, acheter en pharmacie Fer Home Test, Alère de Medisur. Il évalue le taux de ferritine, la protéine du stockage du fer, indicateur des réserves de l'organisme.

Pour la maladie de Lyme, se procurer Lyme Home Test, Alère de Medisur. Le diagnostic précoce peut en effet garantir une évolution favorable de la maladie. Non soignée, elle peut notamment causer des atteintes neurologiques et des douleurs articulaires.

Pour connaître sa couverture antitétanique, il existe l'auto-test Tétanos Home Test, Alère, chez Medisur. Il permet de détecter les anticorps antitoxine antitétanique présents ou pas dans l'organisme. L'absence d'anticorps implique de consulter son médecin pour se faire vacciner.

Pour la bactérie Helicobacter Pylori, acheter en officine H-Pylori Home Test, Alère, de Medisur. Cette bactérie, qui peut se développer dans l'estomac et évoluer en ulcère ou cancer, peut ainsi être détectée par la présence d'anticorps anti-H- pylori.

Pour l'intolérance au gluten, en cas de suspicion, se procurer en pharmacie l'Autotest Gluten Biocard Céliac de AAZ Productions. On peut également suivre l'impact de l'éviction du gluten au bout de 6 mois.

Enfin, le plus connu, l'Autotest VIH de Mylan, en vente dans les pharmacies depuis septembre 2015, élargit le dépistage par la mise en évidence des anticorps anti-VIH de façon discrète.

Lyliane

 

 

 

 

10/12/2016

Vous avez dit vitiligo?

 

 

J'ai vu récemment un témoignage sur la deuxième chaîne de télévision de Mademoiselle Nadia Bouchikhi, interviewée par Mme Sophie Davant à propos du vitiligo. Cette maladie rare touche environ un million de personnes dans notre pays. C'est une maladie inflammatoire évolutive qui touche particulièrement les zones de frottement et le visage par une dépigmentation de la peau. Il n'y aurait à ce jour aucun traitement connu. Selon un spécialiste, seules certaines crèmes pourraient aider à une forme de repigmentation de la peau. L'exposition modérée à la lumière ou photothérapie serait également susceptible de stimuler les mélanocytes...

Nadia Bouchikhi a choisi de témoigner à visage découvert, afin d'affirmer sa différence dans un monde où l'apparence, pour les femmes notamment, joue un très grand rôle. Elle tient à faire passer un message positif, car beaucoup de personnes touchées, des adolescentes notamment, cachent leur vitiligo ou bien, si elles se montrent, vivent une forme de rejet. Ayant rencontré un photographe de mode au regard amoureux et donc bienveillant, cette jeune femme a pu accepter sa maladie et renoncer à se cacher. Au contraire, elle fait aujourd'hui des photos en tant que mannequin comme on ferait une thérapie.

Dans le monde d'aujourd'hui, beaucoup de personnes malades ou handicapées, doivent se cacher dans la mesure où le regard d'autrui est rarement bienveillant à leur égard. C'est notamment le cas de personnes qui ont perdu leurs cheveux après une chimiothérapie; de femmes et d'enfants albinos, atteints par cette maladie génétique très répandue en Afrique. Là bas, c'est le cas d'une personne sur 4000, alors qu'en Europe la maladie touche une personne sur 20 000 environ. La stigmatisation de tous ces malades mériterait d'être mise au jour et combattue, car elle est profondément injuste.

Lyliane

 

Libération pour Mme Catherine Sauvage demandée par Change.org...

Cette femme, devenue un symbole de la lutte contre les violences conjugales car elle a été condamnée pour avoir tué son mari qui la battait depuis des années, reste pour l'instant emprisonnée. Mais ses soutiens ne ménagent pas leurs efforts pour la faire libérer.

Il y a quelques jours, ses filles ont déposé une demande de grâce totale auprès du Président de la République soutenue par la députée Valérie Boyer et de nombreuses personnalités. De leur côté, Karine Plassard et Eva Darlan ont ont repris leur combat de plus belle depuis l'annonce du rejet de sa demande de libération conditionnelle. Elles ont organisé ainsi de nombreux rassemblements partout en France le samedi 10 octobre en soutien à Jacqueline Sauvage et à sa famille. 

Plus de 327 000 personnes estiment que Jacqueline Sauvage ne mérite pas de rester en prison. Si vous pensez comme elles, vous pouvez rejoindre la mobilisation en signant la pétition. 

Son comité de soutien qui se bat depuis plus d'un an pour qu'elle retrouve sa liberté a plus que jamais besoin de vous pour atteindre 400 000 signatures, ce qui permettrait de convaincre François Hollande de mettre fin à la souffrance de cette victime de violence conjugale.

Cliquez ici pour signer la pétition. 

Merci d'agir pour le changement,

Change.org