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31/01/2017

A propos du revenu universel...

 
 
pour répondre à cet email veuillez utiliser cette adresse : info@neosante.eu
Néosanté hebdo
mercredi 25 janvier 2017
     

Le revenu universel
pour révolutionner la santé

portrait de Yves Rasir

Chanceux citoyens français : en la personne de Benoît Hamon,  candidat-surprise au deuxième tour des primaires de la gauche, ils possèdent un potentiel futur président qui ose porter le projet d’offrir à chacun un « revenu universel d’existence ».  Enfin un homme politique de premier plan qui a l’audace de proposer cette réforme consistant à octroyer une rente mensuelle à l’ensemble de la population  adulte, et ce de manière inconditionnelle et individuelle. Pour le rival de Manuel Valls, la somme offerte sans contrepartie à tous les habitants de France pourrait s’élever à 750 € par mois. De quoi déjà dormir sous un toit et manger à sa faim. Et chacun(e) serait libre  ensuite de compléter ce viatique par un travail rémunérateur, le marché de l’emploi étant lui-même dopé par la viabilité des petits boulots et la moindre attractivité des indemnités de chômage du fait de l’existence du revenu de base. Un rêve irréaliste ? Une utopie impayable ? Cette idée est au contraire considérée comme parfaitement réalisable par de nombreux économistes. A l’instar des congés payés et de la semaine de 40 heures au siècle dernier,  il suffirait seulement de volonté politique pour la mettre en œuvre. En Belgique aussi, le thème de l’allocation universelle  revient sur le devant de la scène. Bien que ses adversaires de droite la qualifient de lubie marxiste récompensant l’oisiveté et que ses détracteurs de gauche la voient comme une menace fatale pour la sécurité sociale, il se trouve des politiciens de tous bords pour en défendre le principe.

Personnellement,  j’ai toujours été un chaud partisan du revenu universel. Il y a 40 ans,  lorsque j’ai modestement contribué à fonder ce qui allait devenir le parti écologiste belge, je me rappelle que ce point figurait en bonne place du programme des Verts. Comme ceux-ci ont progressivement rougi et qu’ils ont relégué la revendication au second plan, j’ai voté plus tard pour une formation  libérale qui en avait fait son cheval de bataille. Tout dépend évidemment de son application, mais à mes yeux le revenu d’existence transcende le clivage gauche/droite et ne présente que des avantages. Il permettrait, entre autres, de simplifier drastiquement l’État-Providence et d’en supprimer l’embonpoint bureaucratique. Il valoriserait, aussi, toute une série d’activités aujourd’hui bénévoles comme l’éducation des enfants, le travail ménager ou le jardinage. Je ne vais pas exposer ici tous les bienfaits sociaux et sociétaux qu’une telle réforme pourrait à mon avis procurer. Mais il en est un qui me tient à cœur, qui n’est jamais cité, et qui est  à mon sens primordial : son impact très certainement positif pour la santé ! Bien conçu, le système pourrait par exemple favoriser l’allongement des congés de grossesse et le temps d’allaitement, ce qui bénéficierait immanquablement aux mères et aux enfants. Dans le Néosanté de février, on va notamment vous parler d’une étude qui a évalué les bénéfices de la « méthode kangourou », autrement dit le contact prolongé de peau à peau entre les mamans et les bébés. Non seulement ces derniers sont en meilleur santé,  mais le résultat est encore perceptible 20 ans plus tard sous forme d’une meilleur équilibre psychologique : les jeunes gens  ayant bénéficié de la méthode kangourou  sont  moins exposés au risque d’hyperactivité, sont moins enclins à avoir des comportements agressifs ou à commettre des incivilités, et ils ont  un taux d’absentéisme scolaire réduit de moitié par rapport au groupe témoin !

Si elle peut contribuer à humaniser la naissance et la période périnatale,  la rente mensuelle pourrait surtout  permettre de satisfaire deux grands  besoins de l’être humain : le besoin de sécurité et le besoin d’être reconnu inconditionnellement. Dans nos pays industrialisés, tous les types de revenus sont toujours conditionnés. Même le minimum vital n’est accordé que  moyennant le respect de telle ou telle condition, comme la recherche d’un travail.  Et aucune allocation de remplacement n’est strictement individuelle. Ce modèle de fonctionnement est à la fois très violent et excessivement stressant puisqu’il implique que vous n’avez pas le droit de survivre si, par malheur, vous passez entre les mailles de la sécu. Et si elle vous repêche, vous n’êtes jamais qu’en sursis puisqu’elle peut vous couper les vivres. Comme je l’ai relevé dans une précédente infolettre,  un tel système est aberrant car la perte d’un emploi est dès lors souvent ressentie comme un événement tragique, un véritable drame. Selon certains chercheurs, le chômage subi et subit provoquerait pas moins de 20.000 décès prématurés en France, par maladie ou par suicide. La perte d’un job occasionne des blessures psycho-émotionnelles dont on ne mesure pas suffisamment la gravité. Le grand mérite de l’allocation universelle, c’est qu’elle ne se conjugue pas au conditionnel. Le simple fait d’être né  et de respirer vous donnerait droit au revenu de base. Son caractère automatique représente son  côté révolutionnaire sur le plan social comme sur le plan sanitaire. En donnant à tout individu les moyens de subvenir à ses besoins vitaux (nourriture et logement) sans rien devoir justifier, la société n’éliminerait pas la précarité mais combattrait le corollaire de la pauvreté absolue, à savoir la peur de manquer de l’essentiel.

La réalité et la haute toxicité de cette peur archaïque est une des grandes découvertes du Dr  Ryke Geerd Hamer. En établissant les correspondances entre le corps et les différentes aires du cerveau, le médecin allemand a compris  que la somatisation de la détresse psychique ne se produisait pas au hasard ni n’importe où.  Il a notamment montré que le foie était un organe particulièrement sensible  aux difficultés financières. Pour secourir ses patients atteints de pathologies hépatiques, il avait même le reflexe de sortir son portefeuille et de proposer une aide pécuniaire immédiate. Pourquoi ? Parce que le foie, biologiquement parlant, est une réserve de graisse.  Dans la nature, le sur-fonctionnement du foie est la solution biologique des situations de disette. Par exemple, un oiseau migrateur va se fabriquer une stéatose, autrement dit un foie gras, pour parcourir de longues distances sans manger. Si la famine se prolonge, un animal pourra développer une cirrhose sans avoir bu une goutte d’alcool. Chez l’être humain, les problèmes financiers réveillent inconsciemment cette solution de survie puisqu’il faut du fric pour se procurer à manger. La peur de manquer d’argent réactive la peur primitive de mourir de faim.  Cette peur du manque, réel ou virtuel,  est donc l’invariant psychosomatique des troubles hépatiques. La preuve, c’est que le cancer du foie est beaucoup plus répandu  dans le tiers-monde que dans les pays riches ! Chez nous, le carcinome hépatocellulaire représente 1% de tous les diagnostics cancéreux.  Cette proportion grimpe à 50%  en Afrique et dans certaines parties de l’Asie. Contrairement à ce qu’on croit souvent, tous les types de cancers ne sont donc pas plus fréquents au Nord : il en est un qui sévit bien davantage dans l’hémisphère Sud.  Bien sûr, la médecine conventionnelle explique tout autrement cette exception étrange. Les hépatites étant également un fléau ravageant le tiers-monde  et celles-ci faisant le lit de la cancérisation, il est logique que les 750.000 victimes annuelles du cancer du foie se dénombrent très majoritairement dans les pays pauvres.  Le principal coupable serait donc l’agent viral profitant du manque d’hygiène pour accomplir ses méfaits pathogènes. Chez nous, l’imprégnation alcoolique serait la grande responsable des évolutions cyrrhotiques et cancéreuses.

L’explication est  cependant un peu courte. Comme toujours avec la médecine classique,  on fait porter le chapeau  aux facteurs de risque, on confond le pompier infectieux avec un pyromane et on néglige les causes profondes. Les éléments dérangeants sont prestement dissimulés sous le tapis. Qu’est-ce qui peut expliquer, par exemple, que le cancer du foie, partout dans le monde, frappe beaucoup plus les hommes que les femmes (80% des cas sont masculins) ?  Comment se fait-il que ce cancer progresse régulièrement en Occident, de 3 à 4% par an, depuis les années 70 ?  D’où vient que, comparativement, un pays comme l’Inde soit sensiblement moins touché que d’autres pays asiatiques, et beaucoup moins que la plupart des pays africains ?  Et en Europe, qui peut éclairer  le fait que la tumeur au foie soit  dix fois plus fréquente en Italie qu’aux Pays-Bas ? Avec un regard psychobiologique, on peut fournir des réponses satisfaisantes à ces différentes énigmes. La vulnérabilité du « sexe fort » n’est plus mystérieuse si l’on se rappelle que le mâle, dans la plupart des espèces animales et dans la plupart des cultures humaines, assume le rôle de pourvoyeur de nourriture. L’homme est naturellement plus enclin à éprouver en premier la peur de manquer. La progression occidentale des cancers hépatiques ? On pourrait à mon avis tracer des courbes montrant le parallélisme avec les crises économiques et l’expansion du chômage. L’Inde épargnée ?  C’est un pays où règne encore la malnutrition mais où les épisodes de grande famine font partie du passé. Au pays des yogis ascètes,  les privations suscitent peut-être aussi moins d’épouvante qu’ailleurs. Quant au « miracle hollandais », il peut se comprendre par la grande forme de l’économie batave et  le niveau très élevé de protection sociale. J’ai un ami chômeur de longue durée à Amsterdam et il  n’est près de dormir sous les ponts. Bref, les lunettes de la médecine nouvelle permettent de corriger la myopie allopathique sur les pathologies du foie. Cet organe entre en souffrance lorsque la perspective  de mourir d’inanition  devient concevable pour le cerveau inconscient. Évidemment, le fait que les personnes les plus précarisées soient également enclines à se réfugier dans l’alcool, les drogues et les médicaments n’arrangent rien à l’affaire.

A contrario,  je suis convaincu que l’instauration du revenu d’existence serait une aide précieuse pour les individus fragilisés. J’en suis d’autant plus persuadé que la tradition hippocratique, tout comme la médecine traditionnelle chinoise, accorde au foie une importance prépondérante. De la vitalité de cet émonctoire dépend largement le bien-être global. Mais il n’y a pas que les cellules hépatiques qui pourraient bénéficier de l’octroi d’un minimum vital. Je pense notamment aux tissus osseux, dont la santé est très vulnérable au ressenti de dévalorisation. Le fait d’être payé sans devoir travailler augmenterait certainement le sentiment d’avoir de la valeur en dehors des rapports marchands.  Et vu qu’il y a encore d’autres façons de ressentir positivement la sécurité financière, je pense que beaucoup d’autres maladies pourraient régresser et se raréfier  grâce à la réception mensuelle d’un « salaire » inconditionnel.  Plus que sociale, cette décision politique serait, je crois,  une grande mesure de santé publique ! Il serait très intéressant que les Finlandais, qui vont tester la formule à petite échelle, en évaluent dans quelques années les retombées sanitaires. Je prends le pari qu’elles seront surprenantes !  Ceci dit, chers lecteurs français, ne comptez pas sur moi pour m’immiscer dans le débat et m’autoriser des conseils de vote. Je n’ai pas lu les programmes de tous les acteurs en course pour la présidentielle. Mais vous savez au moins ce que je pense de la proposition-phare de Benoit Hamon. Elle contient en germe une révolution de la santé.

 

Yves Rasir

Pétition à propos de l'incinérateur d'Ivry...

 

La construction de l’incinérateur géant d’Ivry est sur le point d’être votée. Un projet extrêmement coûteux et polluant qui bénéficiera principalement à des entreprises comme Vinci et Suez...au détriment des habitants.

Demandez au comité du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, de renoncer à ce projet et d’opter pour une alternative plus efficace et moins coûteuse.

S

SIGNER LA PÉTITION

IGNER LA PÉTITION

 

30/01/2017

Solidarité avec les solidaires selon change.org...

Accueil RÉFUGIÉS vient de publier une mise à jour sur la pétition " SOLIDARITÉ AVEC LES SOLIDAIRES ! "

                         Félix voulait sauver une famille…

Félix voulait sauver une famille : son procès se tiendra en Italie le 16 février.

 

Récit complet ici : https://citoyenssolidaires06.com/2017/01/29/felix-voulait...

 

Pour faire face aux frais de justice et d'avocats supportés par les bénévoles inculpés ou condamnés dans le cadre de l'aide désintéressée apportée aux réfugiés...

La maladie invisible qui touche 50 % des plus de 70 ans...

            
                                          Chère lectrice, cher lecteur,


C’est l’un des mystères les plus fascinants de la médecine moderne.

La diverticulose est une maladie de l’intestin qui n’existait pas au début du 20e siècle.

J’exagère un peu : elle avait été observée, mais les cas étaient tellement rares qu’on la considérait comme une curiosité médicale, un peu comme les bébés à deux têtes.

Aujourd’hui, 50 % des plus de 70 ans sont touchés, et 30 % des plus de 60 ans !

C’est plus qu’une épidémie. C’est pratiquement une pandémie (une maladie qui touche tout le monde).

En cause, une nouvelle fois, les changements alimentaires et de mode de vie apportés par la vie moderne.

Qu’est-ce que la diverticulose ?

La diverticulose est l’apparition de poches dans l’intestin (hernies), de la taille d’une bille, qui peuvent s’infecter et provoquer des douleurs et des hémorragies (diverticulites). La diverticulite est donc le stade infecté de la diverticulose.

La diverticulose ne se remarque pas. Les médecins disent qu’elle est asymptomatique, c’est-à-dire qu’elle ne déclenche pas de symptômes (comme, par exemple, des douleurs, de l’inflammation, des saignements).

(la suite ci-dessous)

Message spécial de Jean-Marc Dupuis

 

Je ne vais plus à la pharmacie et je me porte bien

Je réalise moi-même et à la maison :

  • mes cataplasmes contre les chocs et les coupures,
  • mes décoctions pour le foie,
  • mes tisanes bien-être, détox et digestion

Et je vais même plus loin : je n’ai plus besoin de me rendre dans les rayons beauté et hygiène des supermarchés. Je me protège des « compositions-poison » en tout genre grâce à des recettes 100 % naturelles à base de plantes que j’ai appris à réaliser ici (lisez cette présentation passionnante, vous apprendrez déjà beaucoup de choses).

Suite de la lettre de ce jour :

En revanche, la diverticulite fait très mal !

Diverticulose et diverticulite sont provoquées par les efforts excessifs que les intestins sont obligés de faire pour évacuer le « bol fécal » chez les personnes qui :

  • passent trop de temps assises ;
  • ne mangent pas assez de fibres ;
  • sont trop stressées ;
  • ne mastiquent pas assez.

Et cela concerne du monde. Cela concerne pratiquement tout le monde actuellement (alors que cela ne concernait personne il y a un siècle…).

Ce qui a changé

Autrefois, il était impossible de ne pas bouger.

Vous pouviez être roi, président de la République, vous étiez obligé malgré tout de monter à cheval, de gravir des escaliers (il n’y avait pas d’ascenseur), de faire un minimum d’effort tous les jours.

Les voyageurs avaient bien des diligences, des carrioles, des carrosses pour les plus riches d’entre eux.

Mais ceux-ci s’embourbaient, se cassaient. Dans les montées, les chevaux peinaient et on descendait pour les soulager. D’autant plus qu’on était tellement ballotté à l’intérieur qu’il était souvent plus confortable d’aller à pied. Il fallait donc toujours, à un moment ou un autre, se bouger.

Or, bien sûr, la marche à pied, les efforts physiques, activent les muscles du ventre, secouent les intestins. Ils contribuent ainsi à faciliter le transit. L’intestin n’est pas tout seul à travailler, à se contracter comme un fou et, à force, à s’abîmer.

Pas de malbouffe au début du 20e siècle

D’autre part, il était impossible de se nourrir de bonbons, de chips, de cochonneries : l’industrie agroalimentaire n’avait pas encore été inventée !

Personne ne passait des heures écroulé dans un canapé à regarder la télé ou des vidéos, à se "nourrir" (le mot n’est pas bien adapté) de sodas sucrés et de malbouffe. Cela n’était pas possible.

Enfin, il était impossible de ne pas mâcher : on mangeait les bas morceaux de viande coriace terriblement durs à mastiquer, des légumes fibreux qui résistaient sous la dent. La nourriture ne ressemblait pas encore à du chewing-gum ou à de la purée.

Les conditions n’étaient donc pas réunies pour attraper une diverticulose.

Des fibres, des noix et des popcorns

La consommation de fibres alimentaires fait baisser le risque de diverticulose. Les fibres, présentes dans les légumes et les fruits (et les végétaux, en général), se gonflent d’eau et rendent la matière digérée plus molle, plus glissante.

Vous trouvez des fibres dans les haricots, les lentilles, les épinards, le son, les amandes, les artichauts, les pruneaux et de nombreux autres aliments sur le site donné en référence [1].

Signalons, par ailleurs, une drôle d’étude publiée dans le très sérieux Journal of the American Medical Association (JAMA) en 2008, qui a montré que consommer des noix et des pop-corns était efficace pour prévenir la diverticulose [2] !

Cependant, une fois que la diverticulite se déclare, il faut, au contraire, diminuer l’apport en fibres pendant trois semaines, le temps que l’inflammation se calme.

On a ainsi le schéma suivant :

diverticulite et diverticulose

Schéma de SOS Cuisine [3]

Que faire en cas de diverticulose

Tout cela est bien beau, me direz-vous, mais que faire si c’est trop tard ? Que faire si l’on a déjà derrière soi des décennies de vie de bureau où l’on est trop resté assis, où on a trop mal mangé, et que les diverticules sont là ?

D’abord, il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Vous pouvez faire de l’exercice et manger plus de fibres. Attention : il ne faut pas augmenter trop rapidement son apport en fibres. L’apport recommandé est de 21 à 38 g pour les adultes. La plupart des gens en consomment bien moins (de 10 à 15 g) et il ne faut pas ajouter plus de 5 g de fibres supplémentaires quotidiennes par semaine.

Pour ajouter 5 g de fibres à votre régime quotidien, choisissez une des options suivantes :

  • un fruit frais et 60 g de légumes ;
  • une portion de céréales à teneur élevée en fibres (le tableau de valeur nutritionnelle devrait indiquer 5 g ou 6 g de fibres par portion) ;
  • 30 g de son d’avoine cru (faire cuire ou ajouter tel quel dans un yogourt, une compote ou autre) ;
  • 2 cuillerées à soupe de son de blé ;
  • 2 cuillerées à soupe de graines de lin moulues ;
  • 50 g de pruneaux séchés ;
  • 2 tranches de pain complet (s’il n’y en a pas déjà à votre menu)
  • 150 g de légumineuses cuites ;
  • 50 g de noix, amandes, noisettes ou autres fruits à coque ;
  • une portion de quinoa cuite.

Il faut, en outre, suivre les conseils habituels pour une alimentation saine : moins de céréales raffinées et aliments industriels, plus de fruits, surtout des petits fruits rouges, des fruits secs, des choux, des légumineuses, des aliments complets.

Enfin, veiller à passer aux toilettes quand c’est nécessaire, sans trop attendre ni se retenir. Mettre un tabouret sous ses pieds pour adopter une position plus proche de la position accroupie, qui facilite l’évacuation des selles et économise les forces des intestins.

Les probiotiques en cas de crise

En cas de crise de diverticulite, réduisez vos apports en fibres pendant trois semaines, puis réintroduisez-les progressivement pendant trois semaines également. Prenez un bon complexe de probiotiques. J’en ai parlé plusieurs fois dans des lettres récentes, en indiquant les marques et les prix des produits que je recommande.

Une étude scientifique a montré l’intérêt des probiotiques suite à une crise de diverticulite [4].

Cela permet de prévenir les récidives.

Attention : les diverticulites peuvent parfois évoluer vers des hémorragies et une péritonite (infection mortelle). Dans ce cas, l’hospitalisation et l’intervention chirurgicale d’urgence constituent le seul traitement.

Cela signifie que l’intestin est gravement touché. La consommation de fibres est alors contre-indiquée pendant au moins deux mois après l’opération. Le médecin qui vous suivra vous dira quand vous pourrez en reprendre.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis "


Sources :

[1] Régime spécial diverticulose et diverticulite

[2] Strate LL, Liu YL, Syngal S, Aldoori WH, Giovannucci EL, « Nut, corn, and popcorn consumption and the incidence of diverticular disease » [archive] JAMA, 2008, 300 : 907-914.

[3] Notre régime pour la maladie diverticulaire (diverticulite et diverticulose) est composé de trois phases

[4] Dughera L, Serra AM, Battaglia E, Tibaudi D, Navino M, Emanuelli G, « Acute recurrent diverticulitis is prevented by oral administration of a polybacterial lysate suspension » [archive, Minerva Gastroenterol. Dietol., 2004, 50 : 149-153.

 
 

29/01/2017

Ne touchez pas à la loi littoral!

 

 
NE TOUCHEZ PAS A LA LOI LITTORAL !
par Jean-Laurent FELIZIA · 136 432 signataires
MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

NE TOUCHEZ PAS A LA LOI LITTORAL !

 
Jean-Laurent FELIZIA
LE LAVANDOU, France
 

28 JANV. 2017 — Dans le cadre de la Proposition de Loi N°3959 sur
l'Adaptation des Territoires Littoraux au Changement Climatique,
le 31 Janvier prochain, l'Assemblée Nationale doit examiner
les amendements déposés par le Sénat qui risquent
de modifier la Loi Littoral !
Cette Loi Littoral est fondamentale pour préserver les Espaces Naturels et les Rivages de France Métropolitaine et d'Outre-Mer !

L'Union européenne se préoccupe des boues rouges...

27 JANV. 2017 — Suite a nos actions et notre lobbying au niveau européen mais aussi grâce à nos victoires juridiques et au soutien de plusieurs eurodéputés, la commission a décidé de lancer une enquête sur le dossier des boues rouges.

Boues rouges de Gardanne : la Commission européenne veut des réponses
Bruxelles demande aux autorités françaises ce qui les fonde à autoriser le rejet en mer de déchets dont la toxicité dépasse les plafonds légaux...
http://www.lemonde.fr

28/01/2017

Loi Littoral: nos côtes françaises en danger...

Par un article de Mr K. Michel dans le quotidien Nice-Matin du 22/1/2017, j'ai appris que nos côtes pourraient à nouveau être la proie de spéculations immobilières. Une pétition lancée sur Internet par Mr J.L. Félizia, conseiller municipal du Lavandou, pour alerter l'opinion publique et s'élever contre les atteintes éventuelles à la loi littoral votée par les Sénateurs. Ceux-ci en effet auraient profité de la Proposition de loi de Mr Bruno le Roux visant à assouplir les codes de l'Urbanisme et de l'Environnement... Ainsi, des activités pourraient être installées à proximité des rivages. De plus, le texte autoriserait l'extension de l'urbanisation en dehors des bourgs et des villages existants.

Rappelons que la Loi Littoral a été adoptée le 3/1/1986 à l'unanimité du Parlement et approuvée par 90% des français. Toutefois, l'Assemblée Nationale doit examiner prochainement le texte proposé par les sénateurs en 2 ème lecture. Mr Félizia voudrait à travers sa pétition peser sur ce vote qui par ses modifications pourrait porter atteinte à la loi Littoral qui jusqu'ici a protégé nos rivages des bétonneurs et spéculateurs. A peine 24h après sa mise en ligne, cette pétition comptait déjà 1500 signatures. A ce jour (2 jours après) déjà 7000 personnes l'ont votée!

Pour signer cette pétition ou en savoir davantage, consulter sur Internet le site:

Voici le lien:

https://www.change.org/p/jean-laurent-félizia-ne-touchez-pas-a-la-loi-littoral-a4de0dcb-9ba4-4f8c-aa51-1d37b647b204?utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=signature_receipt&share_context=signature_receipt&recruiter=42696478


Lyliane

Suivi des pétitions et actions en cours...

// Cyberaction N° 872  : il faut sauver la Loi Littoral

Commission du développement durable : Adaptation des territoires littoraux au changement climatique
proposition de compromis faite par la rapporteure
video de la séance du 25 janvier

http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/faut-sauver-loi-littoral-1277.html

 

// cyberaction N° 866: THT : Non au cadeau de l'EPR Noël

L’ENQUÊTE PUBLIQUE du PROJET RTE-ENEDIS (France) et “FAB” (pour France-Aurigny-Grande Bretagne) Construction d’une nouvelle ligne 320 000 volts entre le COTENTIN et le DEVON (Menuel et Exeter) se termine demain vendredi
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/tht-cadeau-epr-noel-1254.html

 

// cyberaction N° 843 : Les projets européens sur les perturbateurs endocriniens sont illégaux

Nouvel échec européen sur les perturbateurs endocriniens
Faute de majorité, la Commission a repoussé le vote de sa proposition de réglementation.
Substances toxiques dans les couches: "ce qu'on applique sur nos bébés est un poison à retardement "
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/projets-europeens-perturbateurs-en-1214.html

 

// cyberaction N° 837: Monsanto-Bayer : Refusons le « mariage infernal »

Acquisition de Monsanto par Bayer : absence de notification formelle (voir dans les commentaires)
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/monsanto-bayer-nbsp-refusons-nbsp-m-1202.html



// cyberaction :Pour la fermeture de Fessenheim

 Fessenheim : négociation de marchands de tapis,pour une fermeture qui n'a que trop tardé

Se loger moins cher grâce à l'habitat participatif...

 

 

Il existe depuis quelques années une autre façon d'habiter: une coopérative d'habitants. Depuis la maison des Babayagas, résidence de femmes en autogestion qui s'est concrétisée en 2013 à Montreuil, l'idée en effet a fait du chemin! En France, actuellement près de 200 projets ont été recensés. En Suisse et dans les pays du Nord de l'Europe, près de 15% du parc de logements est géré par des coopératives d'habitants, écrit un journaliste dans le quotidien Nice-Matin du 22/1/2017. Les loyers de ces habitats collectifs seraient 30% moins chers.

Face à la crise du logement et aux prix des terrains, des hommes et des femmes ont décidé de construire ou de rénover à plusieurs un lieu de vie sans passer par un promoteur. L'intérêt, ce sont des coûts d'acquisition ou de rénovation partagés, des charges réduites et des occasions d'échanges avec des personnes ayant les mêmes valeurs. Dans notre pays, on considère que la facture du logement serait ainsi allégée de 20% par rapport au prix du marché.

Le fonctionnement est simple: chacun dispose d'un appartement privé, mais partage des espaces comme la buanderie, la salle de jeux, le jardin, la piscine et même parfois un coin bricolage, un garage ou une cave. C'est une sorte d'habitat partagé avec des amis. Des municipalités commencent à s'y intéresser et à prévoir des terrains pour cette façon d'habiter. Parfois, cela se fait à l'initiative d'un propriétaire ayant un grand logement après une séparation ou un veuvage...

La loi Alur du 24/3/2014 a crée un cadre légal pour ce type d'habitat participatif. En effet, deux nouvelles formes juridiques existent: d'une part la coopérative d'habitation où la propriété est collective (loyer mensuel et statut d'associé à la société) et d'autre part une société d'attribution et d'autopromotion, où les familles associées doivent financer intégralement leur logement grâce à des prêts individuels et où les logements sont attribués en fonction des parts prises dans la SCI.

Dans les deux formes, les habitants décident ensemble de la gestion de la copropriété (eau, gaz, électricité, chauffage, jardinage...). En cas de déménagement, le partant revend ses parts. Des parts sociales peuvent aussi être achetées par de nouveaux acquéreurs avec l'accord de la collectivité. La SCI a de toute façon un droit de préemption. Bref, il s'agit d'une nouvelle façon d'habiter, où le vivre-ensemble peut devenir réalité.

Pour en savoir plus, consulter les sites: www.jhapa.eu, www.habicoop.fr

et www.habiter-autrement.org.

Lyliane

 

27/01/2017

Parlons du burn-out maternel!

 

Au cours de l'émission télévisée sur la 2ème chaîne Mille et une Vies de Mr F. Lopez, le jeudi 26/1/2017, deux jeunes mamans sont venues témoigner de leur burn-out maternel. Elles ont osé en effet briser le tabou qui consiste à prendre pour une évidence que le rôle de mère est toujours épanouissant pour une mère au foyer! Laetitia et Valérie, l'une avec trois enfants, l'autre avec des jumeaux, sont devenues maman sans se poser de questions. Leurs propres mères avaient à l'époque porté leur maternité comme un devoir et un sacrifice. Aussi, l'une et l'autre ont essayé de coller à l'image de la mère parfaite, ne se plaignant jamais, ni m'appelant du secours malgré leur épuisement.

Une psychologue, présente à l'émission, a montré comment elles ont accumulé honte et culpabilité de ne pas arriver à faire avec joie chaque jour les mêmes gestes et leur colère envers elle-même, leurs enfants et parfois leurs proches. Un lent processus de dévalorisation les a menées l'une et l'autre jusqu'à un déclic, une crise salutaire leur permettant de réaliser qu'elles étaient leur propre bourreau. Elles ont alors osé dire leur mal-être et demander de l'aide à leurs conjoints, familles ou relais extérieurs. Toutefois, conscientes que passer de la solitude et de la détresse à l'acceptation d'être une mère imparfaite, n'est pas toujours simple, elles ont décidé de transmettre leur expérience. Il y faut en effet du courage et la compréhension des racines de leurs maux, qu'elles ont découvertes en thérapie. Elles ont alors pu mettre en avant l'amour pour elles-mêmes et pour leurs enfants, relâcher la pression sociale qu'elles sentaient sur leurs épaules et devenir moins rigides, enfin bienveillantes.

L'une et l'autre transmettent leur vécu sur un blog ou l'exposent en cabinet de PNL. Ce chemin de mère me semble universel et, malgré les recherches de parité, il est toujours d'actualité. La suite de l'émission présentait des alternatives pour les mères au foyer, comme par exemple des kits de survie, pratiques pour préparer un anniversaire ou se ménager des grasses matinées ou même des ateliers municipaux comme à Sartrouville pour communiquer ses difficultés. Le site Internet SOS Urgence Mamans - www.sosurgencesmamans.com - mobilise quant à lui 450 bénévoles dans toute la France, des papies et des mamies capables de dépanner au pied levé des familles. Enfin, sur le site www.lesmamans.fr, des aides sous forme de covoiturage par exemple existent dans certaines régions. 

 Lyliane

 

La lèpre existe toujours dans le monde...

 

 

Les 27, 28 et 29 janvier 2017 aura lieu la 64 ème journée mondiale des lépreux. Dans ce cadre, un cycle de conférences sera proposé dans notre pays pour faire le point sur cette maladie, notamment à Paris, Lyon, Pau, Rennes, Nantes et Monaco. Cette maladie tropicale chronique, d'origine bactérienne, n'a hélas pas encore disparu, puisqu'on compte environ 2,8 millions de lépreux dans le monde, dont 20% d'enfants.

C'est une maladie encore répandue dans 14 pays d'Afrique (Bénin, Mali, Congo, Mozambique, Tanzanie, Madagascar...), en Asie (Inde, Népal...) et en Amérique du Sud (Brésil notamment). Mais la lèpre n'est pas une fatalité. Des traitements existent à base de sulfamides, assez onéreux toutefois. Sur place, il faut également lutter sur 3 plans pour éradiquer la lèpre: transmission, invalidité et exclusion. La chirurgie, beaucoup pratiquée autrefois, laisse en effet des traces visibles sur le corps. Actuellement, on la précède souvent de polychimiothérapies. Les médecins de brousse donnent du PCT généralement pour éviter la contagion.

Des Fondations (Raoul Follereau), des Instituts (Pasteur), des Associations (Ordre de Malte) et des Missions religieuses (Soeurs salésiennes...) travaillent efficacement dans ces différents pays grâce aux dons de personnes généreuses de nos pays occidentaux. A Madagascar par exemple, sous l'impulsion de la Fondation R. Follereau, des villages de réinsertion sociale ont été crées pour accueillir d'anciens malades de la lèpre. De même, une ferme à Befoza rassemble une quarantaine d'orphelins, tout en permettant à des familles de travailler sur place et d'alimenter la cantine scollaire.

 

N'oublions donc pas ces nombreux malades de la lèpre et profitons de ces journées internationales pour soutenir l'effort de tous ces mouvements impliqués dans différentes parties du monde.

Pour en savoir plus, contactons sur Internet: www.raoul-follereau.org, www.pasteur.fr et www.ordredemaltefrance.org .

Lyliane

 

26/01/2017

ESPAGNE - Des chaussures... biodégradables selon le blog de l'écologie positive !

 

ESPAGNE - Des chaussures... biodégradables !

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Une entreprise de Valence (Espagne) a créé un modèle de chaussures 100% biodégradables et compostables, ce qui est une alternative au sort habituel des chaussures (qui finissent le plus souvent en décharge, enfouies ou incinérées).

Le compostage de ces chaussures (une fois coupées en morceaux et humidifiées !) durerait 4 mois, sans résidu nocif pour l'environnement ou la santé.

Pour en savoir plus, consulter ce blog.

AV.

 

Les marques Adidas et Puma ont elles aussi trouvé des pistes pour fabriquer des chaussures biodégradables. Consulter notamment sur Internet: www.consoglobe.com et www.marcelgreen.com.

Lyliane

 

Le blog du Vert Savoir a noté l'installation d'une éolienne géante flottante au Japon...

 

Le Blog du Vert Savoir

Chroniques (positives) du Développement Durable Désirable

JAPON - La plus grande éolienne flottante au monde...

Publié le 13 août 2015 par Le blog de l'écologie positive

JAPON - La plus grande éolienne flottante au monde...

La semaine dernière, les Japonais viennent d'installer la plus grande éolienne flottante du monde, à 30 kilomètres au large de... Fukushima. D'une hauteur de 104 mètres et d'une puissance de 7 mégawatts, la structure (qui est ancrée sans fondations, au moyen de chaînes délibérément délestées) est présentée comme capable de résister à des vagues de 20 mètres et à des tsunamis (Note : lors du tsunami du 11 mars 2011, aucune des 1746 éoliennes implantées en mer au large du Japon n'a été détruite).

Après le dit tsunami, qui a forcé le Japon à arrêter son parc nucléaire (qui fournissait 30% de l'électricité du pays...), l'archipel nippon tente de diversifier son apport énergétique notamment au moyen de l'éolien en mer. Plusieurs éoliennes flottantes sont ainsi expérimentées, afin d'étudier la viabilité de ce type d'installation et la possibilité d'en exploiter sur place voire à l'étranger.

Il est à signaler que l'éolien flottant est également étudié en France : il est expérimenté en laboratoire depuis plusieurs années et 4 projets expérimentaux sont envisagés en Méditerranée et Atlantique pour une réalisation en 2018.

Source : L'Energie d'Avancer

 

25/01/2017

La Commission Européenne et les perturbateurs endocriniens...

Vous êtes l'un-e des 265 891 membres SumOfUs à avoir exigé que nos gouvernements européens rejettent la proposition scandaleuse de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens. Pétition qui a d’ailleurs été citée par plusieurs grands médias, comme Le Monde et Libération, permettant ainsi de maintenir le sujet au cœur de l’actualité.

Et il y a quelques jours, face à l'opposition de quelques gouvernements européens clés, la Commission européenne renonçait à soumettre au vote sa proposition de réglementation. Malgré tous les stratagèmes déployés, elle n’a pas réussi à obtenir de majorité et a donc préféré repousser le vote.

Ce renoncement, c’est le fruit de votre mobilisation !

Un nouveau vote doit avoir lieu dans quelques semaines. Passez donc à la vitesse supérieure en partageant la pétition sur Facebook et par email.

Chaque nouvelle personne que vous mobilisez constitue un énorme pas vers la victoire. Chaque nouveau soutien est une autre voix qui mobilisera à son tour, convaincra ses ami(e)s de signer, et rapprochera ainsi la campagne vers son but ultime : obtenir une interdiction totale et définitive des perturbateurs endocriniens.

EmailTransférez cet email à au moins 5 de vos contacts.

FacebookCliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Partagez la pétition sur Facebook

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ce

 

Milano, 

Vous êtes l'un-e des 265 891 membres SumOfUs à avoir exigé que nos gouvernements européens rejettent la proposition scandaleuse de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens. Pétition qui a d’ailleurs été citée par plusieurs grands médias, comme Le Monde et Libération, permettant ainsi de maintenir le sujet au cœur de l’actualité.

Et il y a quelques jours, face à l'opposition de quelques gouvernements européens clés, la Commission européenne renonçait à soumettre au vote sa proposition de réglementation. Malgré tous les stratagèmes déployés, elle n’a pas réussi à obtenir de majorité et a donc préféré repousser le vote.

Ce renoncement, c’est le fruit de votre mobilisation !

Un nouveau vote doit avoir lieu dans quelques semaines. Passez donc à la vitesse supérieure en partageant la pétition sur Facebook et par email.

Chaque nouvelle personne que vous mobilisez constitue un énorme pas vers la victoire. Chaque nouveau soutien est une autre voix qui mobilisera à son tour, convaincra ses ami(e)s de signer, et rapprochera ainsi la campagne vers son but ultime : obtenir une interdiction totale et définitive des perturbateurs endocriniens.

EmailTransférez cet email à au moins 5 de vos contacts.

FacebookCliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Partagez la pétition sur Facebook

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ces substances dangereuses.

Ces polémiques interviennent à quelques semaines de l'adoption finale des textes réglementaires. C'est le moment d'accentuer la pression pour faire respecter le principe de précaution.

Pouvez-vous partager la pétition sur Facebook et par email afin de nous débarrasser une bonne fois pour toutes des perturbateurs endocriniens?

Cliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur Facebook.

Merci pour tout ce que vous faites !
Nabil, Fatah et l'équipe SumOfUs.


Nous avons besoin de tous pour l'atteindre. Chaque voix compte !

https://actions.sumofus.org/a/non-a-la-proposition-scandaleuse-de-la-commission-europeenne-sur-les-perturbateurs-endocriniens/

Merci !



 

 
 
 
 
 

La mère de Cédric et Morgan Herrou au Procureur de Nice.

                                                      Lettre de la mère de Cédric
 

"Monsieur le Procureur, je vous fais une lettre...

 

Je suis la mère de celui contre lequel vous vous acharnez.

 

Ma grand -mère paternelle a elle aussi , en 1918 passé la frontière d'Italie à pied, par les montagnes elle a perdu le bébé qu'elle portait au cours de ce périple, (peut être a t'elle croisé à ce moment là les grands mères de messieurs Ciotti et Estrosi, qui sait ?).

Elle s'est louée telle une bête de somme pour tirer les "charretons". Je me souviens d'elle avec la lanière de cuir qui lui barrait le torse ... Ma mère quant à elle était allemande, ma sœur est née dans les geôles de la Gestapo, elles ont été toutes deux libérées par les Américains.

C'est ce sang là qui coule pour moitié dans les veines de mes deux fils que vous avez fait arrêté jeudi , l'autre moitié étant du pur sang de Bretagne... C'est têtu un Breton et ça n'a pas peur des tempêtes .


S'ils ne sont pas Français "de souche" (c'est ce qui reste d'un arbre mort,non ?), ils ont des racines profondes et vivantes dans ce pays qui est le leur et qu'ils aiment.


Pour que vous compreniez ... nous avons été "famille d'accueil" pendant 25 ans . Cédric avait 5ans, Morgan 7, quand les premiers enfants sont arrivés, ils ont partagé leurs jouets, leur table, leur maison, leurs parents avec 15 enfants délaissés, de toutes origines, certains battus, violés …


Alors quand Cédric vous dit que ces enfants qu'il voit sur nos chemins et nos routes de la Roya, ce sont ses frères et ses sœurs, il ne vous ment pas . Et quand il interpelle si fort les services de l'ASE, c'est qu'il en connait les rouages.


Nous avons quatre enfants puisque ils ont accepté d'intégrer deux de ces enfants à leur famille, ce sont leur sœur et leur frère à présent et nous en sommes très fiers !


Voilà monsieur le Procureur et tous ceux qui le traitent de passeur, de trafiquant d'êtres humains et de voleur, voilà à qui vous avez à faire .


Avec tout mon respect,


Mama Herrou"

24/01/2017

R.V pour la rencontre d'écologie au quotidien dans la Dröme (Die)

N'oubliez pas: cette semaine, c'est la 15ème rencontre de ECOLOGIE AU QUOTIDIEN dans la Bio Vallée de la Drome.
J'ai fait passer cette info sur le blog de Prele Provence et de SELIMAR
http://seldemontelimar.hautetfort.com/

http://preleprovence.hautetfort.com/

Michèle

Faire méditer les enfants...

 

 

Dans le supplément gratuit du quotidien Nice Matin, Version Fémina, un article de Mme N.Coll nous fait savoir que la méditation a désormais la cote chez les enfants et leurs parents. A l'école, dans les centres de loisirs ou à la maison, des enfants du primaire ont été sensibilisés à des méthodes de relaxation et de méditation. Certains d'entre eux prennent par exemple un quart d'heure au moins chaque jour pour écouter un CD de méditation. Des enseignants, des animateurs adaptent dans leurs propositions d'activités des pratiques de méditation de pleine conscience autrefois réservées à des adultes. Cela permet aux enfants de diriger leur attention vers leurs sensations (respiration, bien-être, douleurs éventuelles...), de mieux prendre conscience de leur corps et de leurs pensées, sans objectif de performance.

Depuis la parution en 2012 du best-seller de la thérapeute néerlandaise Eline Snel aux éditions Les Arènes «Calme et attentif comme une grenouille», des méthodes de méditation fleurissent un peu partout en France. On peut commencer la méditation vers 4-5 ans sans rien attendre d'autre qu'un mieux-être global. Certains parents néanmoins ont remarqué que ces séances aident l'enfant à se concentrer en classe. En effet, la réussite scolaire peut être un des bénéfices de ces méthodes: meilleures compétences cognitives, accroissement de la mémoire, capacité d'abstraction plus développée). Beaucoup de jeunes en outre décrocheraient davantage de leurs écrans...

Des chercheurs américains de Harvard au Massachusetts General Hospital ont affirmé que la méditation reconstruisait littéralement la matière grise du cerveau en 8 semaines. Mr Laurent Dupeyrat, auteur avec Mme J. Bernard de l'ouvrage «J'ai RV avec le vent, le soleil et la lune» paru aux éditions de la Martinière, voit aussi beaucoup de parents arriver à la pratique de la méditation par l'intermédiaire de leurs enfants. Ces adultes découvrent peu à peu que cela désamorce le stress.

Dans son ouvrage «Philosopher et méditer avec les enfants», paru aux éditions Albin Michel, Mr Frédéric Lenoir réconcilie en quelque sorte les deux pratiques. Pour le philosophe, en effet, c'est le meilleur moyen de faire appel à l'esprit de tolérance, de développer une vraie qualité d'écoute en donnant aux enfants les outils pour apprendre à réfléchir par eux-mêmes.

Pour en savoir plus sur la méditation avec les enfants, consulter sur Internet: www.enfance-et-attention.org. Pour la technique proposée par Mr Lenoir sous l'égide de la Fondation de France, voir sur Internet le site: www.fondationseve.org.

Lyliane

 

Milan, Madrid ou Paris: les plus grands jardins verticaux du monde!

Les plus grands jardins verticaux du monde !

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Découvrez ici quelques-uns des plus spectaculaires jardins verticaux du monde, qui sont parfois de véritables conservatoires urbains de biodiversité : à Milan (record d'Europe avec 1.263 m² au centre commercial Fiordaliso, avec 44.000 plantes de 200 espèces), Madrid ou Paris (musée du quai Branly, avec 1.200 m² et 35.000 plantes de 150 espèces), mais aussi en Amérique latine par exemple à Quito (un jardin de 30.000 plantes de 90 espèces différentes, dont 60 endémiques), en Uruguay ou encore à Bogota, avec le jardin vertical le plus grand au monde à ce jour (plus de 3.100 m² et 84.000 plantes !).

23/01/2017

Recharge rapide de véhicules électriques bientôt chez Lidl...

 

Le Blog du Vert Savoir

Chroniques (positives) du Développement Durable Désirable

  • EUROPE - Recharge rapide et gratuite de véhicules électriques dans les supermarchés Lidl

     

Publié le 21 janvier 2017 par Le blog de l'écologie positive

L'enseigne Lidl installe progressivement des bornes de recharge rapides (30 mn à 1 h) pour véhicules électriques dans plusieurs dizaines de supermarchés en Europe : après l'Allemagne et la Suisse depuis l'année dernière, c'est au tour du Royaume-Uni de voir l'installation de 40 bornes.

Et en France ? Bien que les efforts soient plus modestes que chez nos voisins, quelques bornes ont déjà été installées dès 2015 (projets pilotes à Perpignan et Nîmes) et d'autres l'ont été plus récemment (ou vont l'être) dans les centres de Massy et Arpajon (Essonne), Saint-Maixent-l'Ecole (Deux-Sèvres), Jeuxey (Vosges) ou encore Ecouis (Eure).

Par ailleurs, la chaîne développe en Suisse des installations photovoltaïques sur toit ou sur ombrière, qui devraient couvrir à terme l'ensemble des besoins énergétiques du réseau de magasins.

 

 

Suite de l'intervention de IPSN à propos des vaccins obligatoires...

     
  Institut pour la Protection de la Sante Naturelle  
 

Vaccin DTP : le rapporteur soutient l’IPSN !


Chère amie, cher ami,

Lundi 16 janvier 2017 a eu lieu une audience publique historique sur l’affaire DTP au Conseil d’Etat.

L’affaire en bref

Cette séance avait pour but de permettre au rapporteur nommé sur le dossier, de présenter ses conclusions.

Il faut essentiellement retenir qu’il nous a donné raison en recommandant :

  1. Que la décision de la Ministre refusant notre requête soit annulée ;

  2. Que le Conseil d’Etat enjoigne à l’Etat de demander aux laboratoires pharmaceutiques de produire des vaccins qui correspondent à l’obligation vaccinale.

Si la décision du Conseil d’Etat confirmait les recommandations du rapporteur, l’Etat disposerait alors de quatre mois pour demander aux laboratoires de produire une solution adaptée à l’obligation vaccinale.

Mais la décision revient au Président de l’audience publique. C’est à lui de trancher. Sa décision doit intervenir dans les 15 jours. 

Nous ne sommes donc pas encore au bout. Avoir réussi à convaincre le rapporteur est une étape essentielle, voire historique, dans cette affaire mais cela ne suffit pas.

Pour autant, la clarté de son exposé et la fermeté de ses propositions est déjà un motif de satisfaction et de soulagement.

Le Conseil d’Etat a pris au sérieux notre demande et il existe bien une faille juridique dans la mise en œuvre de l’obligation vaccinale aujourd’hui.

Afin de marquer votre soutien au rapporteur et de montrer aux autorités votre détermination dans ce qui reste, malgré les bonnes dispositions du rapporteur, unscandale d’Etat, n’hésitez pas à continuer à signer notre dernière pétition sur le sujet et à la faire circuler.

Pour vous permettre de saisir parfaitement les enjeux et les étapes de cette affaire,je vous propose ci-après un compte-rendu plus détaillé de ce qui s’est passé au Conseil d’Etat.


Bonne lecture,

Augustin de Livois

PS : Pour ceux qui seront des nôtres ce soir, nous pourrons aborder le sujet à l'issue de notre conférence. Vous trouverez également le programme complet des prochaines conférences ici. A tout à l'heure !

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Séance publique au Conseil d’Etat

Lundi 16 janvier 2017


Les étapes jusqu’à l’audience

En résumé, il y a eu trois étapes jusqu’à présent :

1. A la suite de notre pétition avec le Pr Henri Joyeux, l’IPSN a proposé aux personnes qui le souhaitaient de lancer une requête auprès de la Ministre de la Santé. 2300 citoyens ont répondu à l’appel et mandaté Maître Bergel-Hatchuel pour mener cette action. C’était le 13 novembre 2015.

2. La Ministre n’a pas répondu à notre requête dans le délai qui lui était imparti. Cela équivaut à une décision de refus. La date retenue pour ce refus est le 12 février 2016, date d’expiration du délai dont elle disposait pour répondre.

3. Nous avons saisi le Conseil d’Etat qui a ouvert le dossier, nommé un rapporteur et organisé une audience publique (le 16 janvier 2017). Dans le cadre de cette procédure, nous avons envoyé un mémoire de réplique à la Ministre que vous retrouverez ici (ainsi que le détail du travail de notre avocate ici).

Les arguments des requérants

Maître Bergel-Hatchuel, dans sa requête avait mis en avant trois arguments juridiques :

1. Le principe de précaution Souvent invoqué dans les questions environnementales, ce principe aurait dû être appliqué. En effet, l’Etat a laissé se mettre en place une situation où les parents, pour vacciner leurs nourrissons et se conformer à leur obligation vaccinale, n’ont d’autre choix que de recourir à un « super vaccin » qui contient de l’aluminium mais aussi le vaccin hépatite B, très controversé. Sur l’aluminium, les scientifiques ne sont pas d’accord. Le Pr Romain Gerardhi par exemple, a démontré que l’aluminium dans les vaccins pouvait présenter des risques pour la santé [1].

2. La vente liée En obligeant de fait les patients à avoir recours à un « supervaccin », l’Etat valide une « vente liée » des laboratoires, ce qui interdit en France. Ces derniers vendent trois vaccins de plus que ceux préconisés dans le cadre de l’obligation vaccinale. Au passage, ce glissement de trois à six vaccins au fil des années a permis une augmentationsensible du prix (x5).

3. La non-assistance à personne en danger Dans la mesure où la Cour de Cassation a jugé, par deux fois, qu’il pouvait exister un lien entre administration du vaccin hépatite B et apparition de la sclérose en plaques, Le danger potentiel de ce vaccin est acté officiellement.

Dès lors, laisser les citoyens s’exposer en utilisant un « hexavalent » à un risque grave potentiel s’apparente à de la non-assistance à personne en danger.

La réponse du rapporteur

En substance le rapporteur n’a pas repris tous nos arguments. Il n’en n’a même retenu qu’un seul.

Il a estimé que le principe de précaution ne pouvait s’appliquer qu’aux questions de santé liés aux problèmes environnementaux dans lequel n’entre pas la vaccination.

Il a écarté la question de la non assistance à personne en danger.

Enfin, il n’a pas préconisé de prendre en compte la question de l’aluminium dont, il a rappelé que « en l’état des connaissances actuelles » on ne pouvait pas dire qu’il présentait un danger pour les personnes vaccinées.

Cet « état » laisse une porte ouverte pour l’avenir et pour d’autres actions. En effet, la science évolue sur ce sujet ainsi qu’en attestent les travaux du Pr Romain Gerardhi ou du Dr Christopher Exley au Royaume-Uni.

Le fait que le rapporteur n’ait pas retenu tous les points que nous avions soulevés n’est pas fondamental.

Ce qui compte est que le rapporteur a recommandé que soit annulée la décision de refus de la Ministre et donc validé le principe de notre requête.

Voici ses arguments :

1. Il existe une discordance entre l’obligation vaccinale et l’impossibilité de la mettre en œuvre qui conduit à « une situation d’illégalité ».

2. La Ministre avait tous les moyens directs ou indirects, via les administrations sous la tutelle du Ministère de la Santé, de demander aux laboratoires pharmaceutiques de produire des vaccins correspondant à la vaccination obligatoire.

3. Il existe une différence entre vaccins obligatoires et recommandés.

L’obligation pour des parents de faire vacciner leurs enfants avant 18 mois est assortie d’une peine d’emprisonnement (6 mois). C’est une obligation lourde.

Juridiquement, les deux situations sont donc très différentes.

Et ainsi, obliger (sous peine de prison) des personnes à opter pour des vaccins recommandés ne permet pas de respecter le libre consentement du patient, garanti par la loi et nos libertés fondamentales.

Cette dernière déclaration est essentielle.

C’est évidemment sur ce terrain qu’il faut continuer à entreprendre des actions dans le domaine de la santé que ce soit par rapport aux vaccins ou d’autres traitements imposés.

Aucun Etat n’a le droit de s’arroger la possibilité de choisir comment ses citoyens doivent être soignés sans que ces derniers ne donnent leur consentement collectif et individuel.

S’il est possible d’envisager des exceptions à ce principe : épidémies, catastrophes sanitaires etc., il paraît nécessaire que ces exceptions soient très rigoureusement encadrées.

Bien au-delà de la question médicale et scientifique s’est donc posée la question du respect des libertés fondamentales des citoyens.

Dans un pays démocratique, le rôle des juges est de rendre la justice mais aussi de veiller aux libertés des citoyens (notamment face aux éventuels abus du pouvoir exécutif). En ce sens le rapporteur a parfaitement joué ce rôle. Espérons que son Institution ira dans le même sens que lui.

Nous attendons avec impatience la réponse définitive dans 15 jours et vous tiendrons informés, bien entendu.

Primaire Ouverte de la Transition Ecologique Solidaire pour 2017...

 

// 2007 Alliance pour la planète, 2017 silence pour la planète ?


Pour tenter de mettre la Transition Ecologique Solidaire au cœur de la campagne de la présidentielle et des législatives nous proposons à nos cyber-amis de défendre leurs solutions pour ça. Nous avons donc créé cet espace POTES2017 (Primaire Ouverte de la Transition Ecologique Solidaire pour 2017) dont nous espérons que grâce à vous il deviendra le réseau social de la Transition, lieu de présentation, de soutien et de débat.
http://www.cyberacteurs.org/blog/?p=2786

 

// Une TVA à taux réduit pour les produits bio 


c'est l'idée des magasins Biocoop. Ce taux réduit serait justifié par les vertus de l'agriculture biologique : respect de l'eau, du sol, de la biodiversité, emplois, qualité des aliments, etc. Il rendrait les prix plus équitables et plus accessibles.
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/tva-taux-reduit-produits-bio-1269.html

 

// Un million d’emplois pour le climat


Créer un million d’emplois d’ici 2020, par la mise en œuvre de la transition écologique, par la lutte contre les émissions des gaz à effets de serre, c’est possible et souhaitable. Tel est le constat que livrent, dans un rapport publié jeudi 12 janvier, plusieurs associations
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/million-emplois-climat-1272.html

 

// TRANSACTEURS : le réseau culturel, économique, Social des Acteurs de la Transition Ecologique Solidaire


Nous proposons une phase participative pour imaginer, avec tous ceux que cela intéresse, TRANSACTEURS le Réseau Economique et SOcial des ACteurs de la Transition Ecologique Solidaire.
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/transacteurs-reseau-culturel-econom-1262.html

     

 
Taxer les matières premières et les bulles financières pas les salaires

Rejoignant les partisans d’une fiscalité “carbone” qui détaxerait le travail pour taxer l’énergie fossile, John Michael Greer estime qu’actuellement “nous faisons fausse route en ne taxant pas les principales sources des problèmes que sont la surexploitation des ressources et l’accumulation de richesse fictive”, et en taxant en revanche le travail humain.
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/taxer-matieres-premieres-bulles-fin-1266.html


// Législatives d'abord ...Inverser le calendrier

La primauté de l'élection du président de la République accroit son pouvoir sur l'Assemblée nationale et nuit à la démocratie
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/legislatives-abord-inverser-calendr-1129.html




 
 
 
 
 
 
 
 
 



 

22/01/2017

Cédric Herrou au procureur de Nice.

Suite à l’arrestation de Morgan, Lucille et Cédric, ce dernier écrit au procureur qui après une intervention musclée a libéré tout les prévenus sans aucune poursuite judiciaire malgré plus de 36h de garde à vue et d’énormes moyens mobilisés : près de 30 policiers casqués et armés, une mobilisation des militaires du dispositif "sentinelle", des lunettes infrarouges, des enquêteurs en civil ainsi qu’un drone. Le bilan de cette opération se réduirait à l’arrestation de ces 3 mineurs que Cédric avait pris en charge depuis plus d’un mois et pour qui il demandait aux pouvoirs publics une prise en charge. Ce bilan inclut aussi le traumatisme de l’infirmière de Médecins du Monde sur qui un policier a pointé son arme en hurlant, l’agression du journaliste de Libération plaqué au sol ayant subit par 2 fois une clé au bras et bien sur le choc vécu par ces enfants soudanais.

 

                         "Monsieur le procureur,


Vous avez fait pleurer ma mère, mon père.
Vous avez arrêté mon frère, mon amie.
Vous nous avez mis sous les verrous, traités comme des chiens, des malfrats.
Vous avez ordonné à une trentaine de gardes mobiles, armes aux poings, d’entrer sur mes terres, prendre ces trois enfants sans parents, qui attendent chez moi, depuis plus d’un mois d’être pris en charge par l’Aide Sociale à l’Enfance.


Ces enfants ont connu la guerre, la torture, l’esclavagisme.
Ces enfants que je protège
Ces enfants qui m’ont donné leur confiance.
Vous avez au nom de votre France, violé les droits de l’Enfant !
Ils attendaient sécurité de la part de notre pays!
Vous me savez sensible aux personnes que j’aide, aux personnes que j’aime.
Vous savez que ma liberté ne s’arrêtera pas aux barreaux de vos prisons et vous tapez là où ça fait mal !


Sachez Monsieur le Procureur que je resterai fidèle à mes convictions, que ma France, que notre France, continuera à défendre les droits des hommes, des femmes, des enfants présents sur le sol français au nom de nos valeurs qui fondent la République Française.


Ne pensez pas que je suis seul, nous sommes des milliers, des millions !


Chacun son métier, le mien c’est agriculteur, le vôtre c’est de faire respecter la Loi. Loi qui protège et fait que le vivre ensemble soit la règle primordiale de notre démocratie.


Vive notre France


et … celle que tu représentes."

 

 

Alexandre Mars, un entrepreneur social français...

 

 

Fils d'une maman altruiste l'ayant très jeune tourné vers les autres et d'un père entrepreneur, Mr Alexandre Mars, né en 1976, est parfois appelé le Bill Gates français. Personnellement, je n'en n'avais encore jamais entendu parler. C'est un ami de Mr F. Lopez, au cours de l'émission Mille et Une Vies sur la 2ème chaîne le 16/1/2017, qui a attiré mon attention sur cet homme multimillionnaire, qui a vendu toutes ses entreprises, il y a 2 ans, pour fonder Epic.

Dommage que les médias ne parlent pas davantage de lui, car son exemple est susceptible de faire école ou du moins de redonner espoir à ceux qui imaginent notre société figée et égoïste! Ayant fait des études brillantes, il a crée entre 17 et 40 ans successivement pas moins de 5 sociétés, qu'il a revendues à chaque fois avec un gros profit. En janvier 2015, n'ayant plus de société à manager, depuis New York où il s'est établi, il décida de renouer avec un rêve d'adolescence en lançant Epic, une start up à but non lucratif, qu'il finance personnellement à hauteur de 2 millions de dollars par an...

Son idée de base est de mettre en contact des donateurs potentiels avec des organisations humanitaires spécialisées dans l'aide à la jeunesse du monde. La Fondation Epic propose en effet un processus de sélection des projets à soutenir, un suivi grâce aux nouvelles technologies et un contrôle direct par les donateurs. En 2 ans, la Fondation a reçu 1400 demandes émanant de 85 pays. Son équipe composée de 15 personnes filtre les dossiers pour n'en garder qu'une vingtaine. Les critères sont leur impact, la qualité du management et l'état des finances de l'organisme sollicitant des dons.

Sur le terrain, on utilise GPS, tablettes, webcams et capteurs pour assurer la transparence. Les donateurs peuvent ainsi suivre en temps réel l'impact de leur don, ce qui est nouveau, qui les implique et les rassure. Tous les services d'Epic étant gratuits, le nombre de donateurs peut ainsi croître assez vite. Pour le moment, les dons sont réservés aux grosses sociétés, mais dans l'année 2017 Epic permettra les dons de tous. Mr A. Mars ne s'en tient pas là: il veut aussi jouer un rôle dans la candidature de Paris aux J.O de 2024, grâce au comité Sport et Société qu'il préside.

Cet acteur du changement est à ma connaissance l'un des rares philanthrope français. Pour en savoir plus, consulter sur Internet: www.epic.foundation.fr .

Lyliane

 

21/01/2017

TripAdvisor bannit de sa billetterie les attractions peu respectueuses des animaux!

Un bref article de S.Bé dans le journal Télérama de cette fin janvier 2017 nous apprend que le géant américain du tourisme TripAdvisor bannit de sa billetterie les attractions peu respectueuses des animaux comme nager avec des dauphins confinés dans des bassins ou caresser des tigres abrutis de calmants et vivant en captivité. En revanche, parcs naturels et fermes pédagogiques sont privilégiés.

Pour en savoir davantage, consulter sur Internet le site: www.tripadvisor.fr.

A quoi ressemble le petit-déjeuner idéal selon des nutritionnistes?

 


À l'Université de Kansas pour la diététique et la science de la nutrition, des chercheurs ont publié une étude en février 2010 démontrant qu'un petit-déjeuner doit être 
riche en protéines

Moins de glucides et plus de protéines augmentent l'énergie, diminuent la sensation de faim au cours de la journée, sans pour autant augmenter le nombre de calories absorbées pendant la journée. En effet, les calories supplémentaires consommées lors d'un riche petit-déjeuner sont compensées par une baisse égale des calories aux autres repas, sans même que vous vous en aperceviez. Vous n'avez donc à faire aucun effort. 

De plus, remplacer les glucides par de 
bonnes graisses réduit encore la hausse de la glycémie (taux de sucre dans le sang) et accroît la sensation de satiété, réduisant les fringales et donc le grignotage pendant la journée. 

Un bon petit-déjeuner doit donc contenir un apport conséquent de protéines et de bonnes graisses. Il est hautement recommandé d'y incorporer des aliments comme des œufs, omelette, avocat, tranche de saumon, de jambon, olives, fromage de brebis, noix, amandes et autres fruits à coque, ou encore des crudités avec de la vinaigrette. 

Santé ! 

Gabriel Combris

 

20/01/2017

Sols contaminés: des plantes à la rescousse...

Mr M. Belpois nous fait savoir qu'un documentaire allemand de MMrs T. Krause et K. Uhrig, datant de 2016, sera diffusé sur Arte samedi 21/1/2017 à 22H35. En 50 minutes, il nous entraîne de l'Australie à la Nouvelle-Calédonie en passant par l'Albanie et l'Allemagne ou la France en compagnie de biologistes, qui arpentent terrils et carrières à la recherche de plantes qui ont la capacité de pomper les métaux lourds. En France, le saule des vanniers aurait déjà été repéré par des chercheurs.

 

Elles les stockent dans leurs tissus, c'est pourquoi on les appelle des plantes de phyto remédiation ou des hyper accumulateurs. Ce film fort instructif fait le point sur ces précieuses plantes et dresse des perspectives de leur utilisation écologique et même éventuelle dans le domaine de l'industrie. Pour en savoir plus sur le sujet, consulter par exemple les sites Internet: www.futura-sciences.com ou www. bastamag.net .

Lyliane

L'attitude de certains médecins dénoncée par un confrère...

Dans son dernier ouvrage «Les Brutes en blanc», paru aux éditions Flammarion, le Dr Martin Winckler, exilé au Canada, remet en question une certaine médecine française... Le Journal Nice-Matin du 25/12/2016 publie l'interview de ce généraliste par Mme S. Douet.

Mr Winckler a bien conscience du titre provocateur de ce livre. Le texte l'est tout autant, puisqu'il présente certains médecins comme «intrusifs, autoritaires, racistes, sexistes et homophobes». Cet ouvrage s'appuie sur des témoignages vécus par certains patients. Ils reprochent notamment à leurs praticiens de les faire attendre sans même s'en excuser et du peu d'écoute qu'ils leur accordent. Ne réalisent-ils pas, demande Mr Winckler, que lorsqu'on consulte, on est inquiet pour sa santé et on se sent vulnérable?

Selon l'auteur du livre, l'attitude de certains médecins paraît liée à leur formation médicale longue et coûteuse qui leur donnerait l'impression d'être supérieurs aux autres. Préjugé de classe sociale, savoir qu'ils ne souhaitent pas partager, les questions sont posées... Leur manque de respect s'apparenterait parfois même à de la «maltraitance médicale»...

Selon Mr Winckler, proposer à de futurs médecins de payer leurs études en échange de leur engagement de s'installer à la campagne résoudrait en bonne partie la question des déserts médicaux. Concernant la suppression éventuelle de l'AME, il pense que cela ne ferait que renforcer les inégalités en matière de santé et laisser proliférer des maladies dangereuses pour tous. La Loi Léonetti sur l'euthanasie est jugée «paternaliste», car le plus souvent les décisions médicales l'emportent sur les décisions individuelles. Enfin, il rappelle que des salles de shoot existent au Canada, ce qui lui semble un bon moyen d'accompagner les toxicomanes, déjà fort marginalisés. La France n'en possède qu'une à Paris.

Bref, le constat est sans doute sévère et il ne s'applique qu'à certains praticiens, mais se remettre en question ne peut pas faire de mal... Pour une fois que les patients peuvent livrer leurs états d'âme, saluons ce livre provenant de l'intérieur de la profession!

Lyliane

 

Bientôt un programme de développement des énergies renouvelables en Arabie Saoudite...

ARABIE SAOUDITE - Bientôt un programme de développement des énergies renouvelables, lancé dans quelques semaines

Publié le 17 janvier 2017 par Le blog de l'écologie positive

ARABIE SAOUDITE - Bientôt un programme de développement des énergies renouvelables, lancé dans quelques semaines

L'Arabie saoudite, productrice historique de pétrole depuis 1 siècle, se tourne désormais vers les énergies renouvelables. Dans quelques semaines, ce pays lancera la première phase d'un programme consacré à l'implantation d'équipement de production d'énergie renouvelable, à hauteur de 10 gigawatts d'ici 2030.

Les énergies sollicitées sont le solaire et l'éolien, ainsi que la géothermie.

Outre l'intérêt énergétique pur, les autres objectifs du programme sont de diversifier l'économie du pays, encore très dépendante des hydrocarbures, mais aussi de créer des réseaux de production d'électricité interconnectés avec d'autres pays du Proche-Orient, l'Afrique du Nord-Est voire l'Europe.

AV.

 

19/01/2017

Défendre les populations contre le pillage de leurs ressources...

 

Selon la lettre du CCFD-Terre solidaire et le programme des Nations Unies pour l'environnement, ces 60 dernières années, plus de 40 % des conflits civils ont été liés aux ressources naturelles. En effet, l'exploitation de ces ressources, souvent au profit d'entreprises étrangères, est loin d'apporter la prospérité aux pays en voie de développement. Parfois même l'extraction des richesses est illégale et menée par des groupes armés. C'est notamment le cas dans l'est de la République du Congo, au Nord et au Sud-Kivu, où des régions entières sont déstabilisées.

 

Les populations locales, non seulement ne profitent pas du pillage de leurs ressources, mais elles sont souvent contraintes à y participer pour survivre. Taxées et rançonnées, elles subissent des traitements inhumains et sont la cible de multiples violences. Les enfants par exemple sont embauchés dans les mines, enrôlés par des groupes armés comme soldats...

 

La pollution de l'air, de l'eau et des sols par des produits chimiques lors d'exploitations minières sauvages affecte l'état de santé de ces populations locales. Des pans entiers de population préfèrent fuir. En République du Congo, selon le Haut-Commissariat aux réfugiés, 1,9 million de personnes ont du se déplacer et vivent en insécurité alimentaire. En Birmanie et au Pérou grâce à des associations partenaires du CCFD comme Info Birmanie et CooperAccion, la situation des communautés opprimées est dénoncée. Au Congo, le Cern œuvre sur place.

 

C'est aux dirigeants politiques et aux gouvernements que revient l'initiative de faire avancer la législation. Pour encadrer le commerce européen des minerais des zones de guerre, un accord a eu lieu par les Institutions Européennes en juin 2016. Mais la décision ne s'applique encore qu'aux entreprises importatrices de minerais bruts. Il faudrait l'élargir à tous les produits contenant des minerais.

 

Seuls 53% des français savent que les téléphones portables contiennent des minerais susceptibles d'être à l'origine d'atteintes aux droits de l'homme. Les habitants de la République du Congo commencent à réaliser que les produits de leur sous-sol servent à développer les Etats-Unis, l'Europe et l'Asie, alors qu'ils souffrent de la faim. L'exploitation des ressources d'un pays devrait être un moteur de croissance économique, de développement social et de réduction de la pauvreté pour ses habitants. La faim dans le monde n'est en effet pas une fatalité. A nous de faire entendre notre voix pour que l'humain revienne au centre de nos préoccupations électorales et citoyennes.

Lyliane

 

 

18/01/2017

La France doit protéger ses terres agricoles...

 

 

Sous ce titre, le journal gratuit «20 minutes», à travers des propos recueillis par Mme Céline Boff, reprend les propos du député PS Mr Dominique Potier. Celui-ci en effet a déposé une proposition de loi visant à lutter contre «l'accaparement des terres agricoles». Cette proposition a été examinée le mercredi 11/1/2017 par la Commissions des Affaires Economiques de l'Assemblée Nationale, puis passera en séance publique le 18/1/2017.

Ce texte montre comment la concentration du foncier dans les mains des plus puissants financièrement est à l'oeuvre en France et dans le monde et qu'elle se fait au détriment du renouvellement des générations d'agriculteurs. Il dit que «nous cherchons à avoir des fermes et non des firmes». Les sociétés agroalimentaires aux fonds spéculatifs ne permettent plus aux agriculteurs potentiels de s'installer ou aux existants d'agrandir leur propriété.

Mr Potier compare les emplois crées par une ferme de 1000 ha très mécanisée et ceux engendrés par 10 fermes de 100 ha. Selon lui, la première vise l'enrichissement de son propriétaire et ne met en culture que deux ou trois cultures. Souvent même son but est l'exportation. Les petits propriétaires fonciers par contre défendent la souveraineté alimentaire de leur région, emploient de la main d'oeuvre locale et diversifient leurs plantations, afin de les vendre sur les marchés régionaux.

Les Sociétés d'Aménagement Foncier et d'Etablissement Rural ou SAFER sont chargées de surveiller les transactions et de donner leur aval. Mais actuellement cela ne vaut pas pour toutes les transactions. Le nouveau texte proposé devrait permettre aux Safer d'intervenir sur tous types de transactions et d'acheter le foncier en lieu et place des fonds spéculatifs. Les Safer ont en effet des fonds propres pour mener à bien ce genre d'opération. Cela permettrait notamment de réguler le marché et d'éviter les abus. La priorité d'achat serait donnée aux paysans.

Cette proposition de loi, déjà déposée dans le projet de loi Sapin 2, mais rejetés sur la forme par le Conseil Constitutionnel, a cette fois des chances de passer, estime le député PS, car elle est soutenue par le gouvernement actuel. Espérons donc que l'accaparement des terres agricoles par de grosses sociétés, phénomène encore limité heureusement, ne se fera plus au détriment des paysans français.

Lyliane