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09/03/2017

Faut-il se désintoxiquer des métaux lourds?

 

Chère amie, cher ami, 

Encore un sujet tabou ! S’il est de plus en plus étudié et commenté par les naturopathes ou les médecins de santé naturelle, il reste peu attractif pour de nombreux médecins conventionnels. 

Sophie Benarrosch nous l’avait rappelé lors de sa conférence du Congrès de l’IPSN en octobre dernier, mais aussi dans son livre 
« A la recherche de ma santé perdue » (1) : la plupart des médecins qu’elle a croisés dans son parcours de patiente ne pensaient pas que les métaux lourds pouvaient avoir un effet amplificateur sur la maladie de Lyme. 

Pourtant, c’est lorsqu’elle a commencé à se désintoxiquer qu’elle a vu son état de santé s’améliorer. 

Et de nombreux patients témoignent dans le même sens. 

Il est particulièrement regrettable que les médecins « classiques » ne s’intéressent pas davantage à l’intoxication aux métaux lourds pour deux raisons : 

  • D’abord une bonne prise en charge du patient permet d’obtenir d’excellents résultats; 

  • Ensuite, la désintoxication aux métaux lourds est une démarche délicate qui demande un suivi attentif et peut provoquer des conséquences graves pour la santé. Dans la plupart des cas, il est plus prudent qu’un médecin suive le cheminement du patient. Et il est donc urgent qu’il puisse se former mieux à cette thématique. 

L’exemple du mercure

Je vous donne un exemple que tout le monde a vécu, personnellement ou dans son entourage. Pendant longtemps, les amalgames dentaires contenaient du mercure. Cette pratique sera bientôt interdite chez les femmes enceintes en Europe (2) et n’est déjà plus appliquée par de nombreux dentistes. 

Le problème vaut évidemment pour les dentistes eux-mêmes : à poser toute la journée des plombages au mercure, ils risquent de s’intoxiquer. Une dentiste enceinte doit donc faire particulièrement attention. Sa santé et celle de son enfant peuvent être dégradées à cause des métaux présents dans les amalgames dentaires. 

Pour autant, un grand nombre de patients ont encore des « plombages » au mercure (et autres métaux). Le problème est que ces amalgames émettent des vapeurs de métaux qui intoxiquent le corps. 

Il n’est cependant pas toujours préférable de les faire enlever car le risque d’intoxication à ce moment-là est élevé. Or, les dégâts causés par une intoxication directe au mercure peuvent être considérables. 

Si votre système immunitaire parvient à « gérer » le mercure, cela peut valoir la peine de garder les amalgames. La décision est de toute façon à discuter avec le dentiste et le médecin. 

L’intoxication au mercure peut être causée par d’autres situations. On en trouve parfois dans les fruits de mer. Ces derniers sont excellents pour la santé. Il est dommage de s’en priver. En revanche, il est utile d’en connaître la provenance et de s’assurer auprès de son poissonnier qu’ils proviennent d’une zone non polluée. 

On peut encore trouver du thiomersal (mercure) dans certains vaccins. Des scientifiques, comme le Pr Boyd Haley, ont vigoureusement critiqué la présence de ce métal en tant qu’adjuvant dans les vaccins. 

Pire encore, on en trouve également comme conservateur dans certains médicaments. 

Les scientifiques s’intéressent à trois facteurs aggravants concernant le mercure et les métaux lourds : 

  • Le cumul des doses reçues : plus on est exposé, plus le risque est grand. 

  • Le cumul des différents métaux : y a-t-il des interactions entre différentes intoxications ? 

  • La taille des particules de métal et leur circulation dans le corps. Les travaux du Pr Romain Gherardi sur ce point sont déterminants (3). Il pose l’hypothèse d’un lien entre l’aluminium dans les vaccins et une maladie rare mais invalidante : la myofasciite à macrophages. Ici se pose également la question de savoir si les métaux peuvent intoxiquer le cerveau et avoir de ce fait des conséquences graves sur la santé de certaines personnes : maladies auto-immunes ou autres. 

Les différents métaux en cause

Le mercure n’est pas le seul métal incriminé. 

On parle depuis plusieurs années de l’aluminium présent dans de nombreux produits, comme les déodorants. Là encore, de nombreux scientifiques s’en méfient de plus en plus. 

Et il y en a d’autres : plomb, arsenic, cadmium, antimoine, argent, baryum, béryllium, bismuth, étain, nickel, platine, thallium. 

Ces métaux lourds sont présents dans l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, l’alimentation, les céréales, les médicaments, les vaccins, les piles et batteries, certaines ampoules, les cosmétiques, les teintures pour les cheveux, les plastiques, certaines peintures, les solvants, les produits ménagers, les engrais, etc. 

Sont en cause, la qualité des sols, nos modes de vie, les procédés de fabrication de nombreux produits,… 

Heureusement, notre corps est capable d’en gérer une partie. Mais quelle est la limite ? Et, surtout, sommes-nous tous égaux devant une possible intoxication? 

La problématique des métaux lourds sur la santé

L’intoxication aux métaux lourds ne crée pas toujours un type déterminé de maladie, sauf dans des cas précis comme le saturnisme causé par le plomb. En revanche, les métaux peuvent accentuer certaines maladies, les déclencher ou freiner le corps dans sa capacité de réaction. 

Par exemple, l’électro sensibilité, maladie reconnue en Suède, peut être considérablement renforcée chez des personnes intoxiquées aux métaux lourds. 

Dans la maladie de Lyme ou dans l’autisme, une désintoxication peut avoir un effet bénéfique considérable sur la santé du patient. 

Ce sujet est si important que les organisateurs des Académies de Santé Naturelle, à Aix-les-Bains, ont décidé d’en faire l’un des axes principaux de leur colloque qui a lieu du 10 au 12 mars prochains. 

J’y assisterai et pourrai vous faire un compte rendu de ce que j’aurai entendu sur place. Pour autant, la meilleure manière d’apprendre est d’y aller vous-mêmes, ce que je vous engage à faire. Je m’y suis rendu tous les ans depuis leur création, il y a trois ans, et n’ai jamais été déçu. 

L’organisateur, l’Office de Tourisme de la ville d’Aix-les-Bains, et ses partenaires font un travail formidable, n’hésitez pas à en profiter. 

Pour vous inscrire, rendez-vous sur le site des Académies de Santé Naturelle :
http://www.academies-santenaturelle.com/ 

J’espère avoir l’occasion de vous y rencontrer. 


Naturellement vôtre, 

Augustin de Livois 


PS : Savez-vous que le jeûne peut aider à désintoxiquer son organisme des métaux lourds ? Pour tout savoir sur cette pratique, nous organisons une conférence exceptionnelle le jeudi 16 mars 2017 avec Thomas Uhl, la référence du jeûne en France. 
Informations et inscriptions ici.

Métaux lourds : faut-il se désintoxiquer ?

Chère amie, cher ami, 

Encore un sujet tabou ! S’il est de plus en plus étudié et commenté par les naturopathes ou les médecins de santé naturelle, il reste peu attractif pour de nombreux médecins conventionnels. 

Sophie Benarrosch nous l’avait rappelé lors de sa conférence du Congrès de l’IPSN en octobre dernier, mais aussi dans son livre 
« A la recherche de ma santé perdue » (1) : la plupart des médecins qu’elle a croisés dans son parcours de patiente ne pensaient pas que les métaux lourds pouvaient avoir un effet amplificateur sur la maladie de Lyme. 

Pourtant, c’est lorsqu’elle a commencé à se désintoxiquer qu’elle a vu son état de santé s’améliorer. 

Et de nombreux patients témoignent dans le même sens. 

Il est particulièrement regrettable que les médecins « classiques » ne s’intéressent pas davantage à l’intoxication aux métaux lourds pour deux raisons : 

  • D’abord une bonne prise en charge du patient permet d’obtenir d’excellents résultats; 

  • Ensuite, la désintoxication aux métaux lourds est une démarche délicate qui demande un suivi attentif et peut provoquer des conséquences graves pour la santé. Dans la plupart des cas, il est plus prudent qu’un médecin suive le cheminement du patient. Et il est donc urgent qu’il puisse se former mieux à cette thématique. 

L’exemple du mercure

Je vous donne un exemple que tout le monde a vécu, personnellement ou dans son entourage. Pendant longtemps, les amalgames dentaires contenaient du mercure. Cette pratique sera bientôt interdite chez les femmes enceintes en Europe (2) et n’est déjà plus appliquée par de nombreux dentistes. 

Le problème vaut évidemment pour les dentistes eux-mêmes : à poser toute la journée des plombages au mercure, ils risquent de s’intoxiquer. Une dentiste enceinte doit donc faire particulièrement attention. Sa santé et celle de son enfant peuvent être dégradées à cause des métaux présents dans les amalgames dentaires. 

Pour autant, un grand nombre de patients ont encore des « plombages » au mercure (et autres métaux). Le problème est que ces amalgames émettent des vapeurs de métaux qui intoxiquent le corps. 

Il n’est cependant pas toujours préférable de les faire enlever car le risque d’intoxication à ce moment-là est élevé. Or, les dégâts causés par une intoxication directe au mercure peuvent être considérables. 

Si votre système immunitaire parvient à « gérer » le mercure, cela peut valoir la peine de garder les amalgames. La décision est de toute façon à discuter avec le dentiste et le médecin. 

L’intoxication au mercure peut être causée par d’autres situations. On en trouve parfois dans les fruits de mer. Ces derniers sont excellents pour la santé. Il est dommage de s’en priver. En revanche, il est utile d’en connaître la provenance et de s’assurer auprès de son poissonnier qu’ils proviennent d’une zone non polluée. 

On peut encore trouver du thiomersal (mercure) dans certains vaccins. Des scientifiques, comme le Pr Boyd Haley, ont vigoureusement critiqué la présence de ce métal en tant qu’adjuvant dans les vaccins. 

Pire encore, on en trouve également comme conservateur dans certains médicaments. 

Les scientifiques s’intéressent à trois facteurs aggravants concernant le mercure et les métaux lourds : 

  • Le cumul des doses reçues : plus on est exposé, plus le risque est grand. 

  • Le cumul des différents métaux : y a-t-il des interactions entre différentes intoxications ? 

  • La taille des particules de métal et leur circulation dans le corps. Les travaux du Pr Romain Gherardi sur ce point sont déterminants (3). Il pose l’hypothèse d’un lien entre l’aluminium dans les vaccins et une maladie rare mais invalidante : la myofasciite à macrophages. Ici se pose également la question de savoir si les métaux peuvent intoxiquer le cerveau et avoir de ce fait des conséquences graves sur la santé de certaines personnes : maladies auto-immunes ou autres. 

Les différents métaux en cause

Le mercure n’est pas le seul métal incriminé. 

On parle depuis plusieurs années de l’aluminium présent dans de nombreux produits, comme les déodorants. Là encore, de nombreux scientifiques s’en méfient de plus en plus. 

Et il y en a d’autres : plomb, arsenic, cadmium, antimoine, argent, baryum, béryllium, bismuth, étain, nickel, platine, thallium. 

Ces métaux lourds sont présents dans l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, l’alimentation, les céréales, les médicaments, les vaccins, les piles et batteries, certaines ampoules, les cosmétiques, les teintures pour les cheveux, les plastiques, certaines peintures, les solvants, les produits ménagers, les engrais, etc. 

Sont en cause, la qualité des sols, nos modes de vie, les procédés de fabrication de nombreux produits,… 

Heureusement, notre corps est capable d’en gérer une partie. Mais quelle est la limite ? Et, surtout, sommes-nous tous égaux devant une possible intoxication? 

La problématique des métaux lourds sur la santé

L’intoxication aux métaux lourds ne crée pas toujours un type déterminé de maladie, sauf dans des cas précis comme le saturnisme causé par le plomb. En revanche, les métaux peuvent accentuer certaines maladies, les déclencher ou freiner le corps dans sa capacité de réaction. 

Par exemple, l’électro sensibilité, maladie reconnue en Suède, peut être considérablement renforcée chez des personnes intoxiquées aux métaux lourds. 

Dans la maladie de Lyme ou dans l’autisme, une désintoxication peut avoir un effet bénéfique considérable sur la santé du patient. 

Ce sujet est si important que les organisateurs des Académies de Santé Naturelle, à Aix-les-Bains, ont décidé d’en faire l’un des axes principaux de leur colloque qui a lieu du 10 au 12 mars prochains. 

J’y assisterai et pourrai vous faire un compte rendu de ce que j’aurai entendu sur place. Pour autant, la meilleure manière d’apprendre est d’y aller vous-mêmes, ce que je vous engage à faire. Je m’y suis rendu tous les ans depuis leur création, il y a trois ans, et n’ai jamais été déçu. 

L’organisateur, l’Office de Tourisme de la ville d’Aix-les-Bains, et ses partenaires font un travail formidable, n’hésitez pas à en profiter. 

Pour vous inscrire, rendez-vous sur le site des Académies de Santé Naturelle :
http://www.academies-santenaturelle.com/ 

J’espère avoir l’occasion de vous y rencontrer. 


Naturellement vôtre, 

Augustin de Livois 


PS : Savez-vous que le jeûne peut aider à désintoxiquer son organisme des métaux lourds ? Pour tout savoir sur cette pratique, nous organisons une conférence exceptionnelle le jeudi 16 mars 2017 avec Thomas Uhl, la référence du jeûne en France. 
Informations et inscriptions ici.

 

14/11/2015

Est-il possible de concilier longévité et santé?

 

D'après la lettre mensuelle du Dr Willem, qui se qualifie d'éthno-médecin, bien que notre durée de vie augmente régulièrement, nous vivons de moins en moins en bonne santé et sans invalidités. Il pense que la détérioration de nos modes et milieux de vie est causée par des pollutions de toute nature (électromagnétiques, radioactives, métaux lourds, produits chimiques, phytosanitaires et alimentaires). Ainsi l'air que nous respirons, l'eau que nous buvons, les aliments que nous mangeons comprennent des éléments perturbateurs et polluants qui fragilisent nos défenses immunitaires.

 

Selon l'O.M.S. - Organisation de la Santé - 80% des maladies chroniques viendraient directement ou indirectement de la pollution environnementale, cite le Dr Willem. Il ajoute que parmi les polluants les plus dangereux se trouvent les métaux lourds (mercure, cadmium, plomb, arsenic, aluminium) et la radioactivité, inodores et invisibles. Ces métaux lourds dérangeraient profondément l'équilibre biochimique et biologique de nos cellules en s'accumulant dans nos organes vitaux comme le cœur, le cerveau, les reins, les os et le foie. Et l'intoxication aux métaux lourds est souvent accompagnée d'une prolifération de candida albicans, champignons ou levures vecteurs de candidose.

 

Aussi, en tant que patients, il nous est recommandé de faire attention aux amalgames dentaires, aux vaccins comportant de l'aluminium, aux poissons pollués et d'éviter au maximum les produits alimentaires contaminés par des pesticides ou des antibiotiques. Car les candidoses perturbent surtout le fonctionnement cérébral, le système immunitaire et la flore intestinale (spasmes, gaz, ballonnements...)

 

Le Dr Willem conseille également de faire une cure de décontamination quelques semaines par an avec du Kitonorm, afin d'éliminer les métaux lourds, et de l'extrait de pépins de pamplemousse pour éradiquer les mycoses et toxines. En cas de besoin, ces produits sont disponibles en magasins diététiques ou par commande sur le site Internet du Dr J.P. Willem: www.association-biologique-internationale.com.

Lyliane

 

20/07/2015

Préserver nos océans de la pollution humaine...

Il y aurait sans doute de quoi désespérer devant le taux de pollution de nos mers et océans! En effet, entre les déchets plastiques, qui forment un véritable continent dans le Pacifique, le déversement volontaire - par déballastage illégal - de tankers et gros bateaux, qui donne annuellement 1,8 million de tonnes de produits toxiques, les polluants charriés par les fleuves, qui amènent en mer nitrates, phosphore, azote..., la pollution atmosphérique par les rejets d'usines ou de centrales à charbon, on constate que la pollution marine actuelle provient aux 2/3 de la terre... 

Régulièrement, des organismes de défense de la nature, des hommes de bonne volonté alertent la planète au sujet de la banquise arctique qui est atteinte par la pollution, de mers comme la Baltique qui sont quasiment «mortes» pour les espèces vivantes, de la diminution des coraux, de la prolifération d'algues envahissantes, d'exploitations dangereuses en bordure des rivages, de tortues qui meurent en ingérant des morceaux de plastique... Des pétitions sont lancées par Internet et de nombreux citoyens du monde les signent. Des dons en France sont faits à des associations comme le W.W.F. (www.wwf.fr), Greenpeace(www.greenpeace.org) ou Consoglobe (www.consoglobe.com)... 

Tout cela n'est heureusement pas vain! J'en veux pour preuve la pression mise sur le gouvernement australien en février dernier par le WWF à propos de la Grande Barrière de Corail, qui en 30 ans a déjà perdu la moitié de ses coraux. Fin mai, le gouvernement australien annonçait que 560 000 km2 de cette Grande Barrière de Corail seront désormais mieux protégés contre la pêche et le trafic maritime... Après l'Australie, ce fut au tour des îles Cook de créer une nouvelle réserve marine, la plus vaste au monde. En Nouvelle Calédonie, il a été prévu la création d'un sanctuaire marin de 1,4 million de km2...

Certes, nous ne pouvons nous contenter de promesses, ni même de la préservation de quelques espèces menacées confinées dans des réserves marines, alors que certains continuent de polluer alentour... Mais ces avancées significatives doivent nous encourager à ne pas relâcher notre pression de citoyens du monde pour obtenir de tous les états - aussi puissants soient-ils - des mesures concrètes de préservation des mers et océans du globe. Disons tout net que nous n'autorisons aucune multinationale ou entreprise à creuser n'importe où pour y faire des profits, à polluer sans se soucier des conséquences. Qu'ils mettent leurs capitaux dans des initiatives positives pour le bien de tous les humains... Soyons nous-mêmes des «veilleurs» au chevet de notre patrimoine planétaire et dénonçons tous ceux qui polluent sans conscience! Faisons le pour nos enfants et petits enfants, qui méritent de pouvoir jouir des beautés de la nature!

Lyliane

31/12/2014

Qu'est ce qu'un dentiste holistique?

 

 

Article inspiré par une interview dans la revue Principes de Santé de septembre 2012.

                             Savez vous ce qu’est un dentiste holistique ?

 

Moi, je ne le savais pas jusqu’ici et personnellement je le regrette. Car il me semble que j’aurais en bouche aujourd’hui beaucoup moins de métaux lourds et que j’aurais pu faire des parallèles entre ma mauvaise dentition, mon état de santé général et surtout l’image dévalorisée que j’ai longtemps eue de moi-même…

 

Dans la revue consultée, j’ai découvert le parcours atypique d’un dentiste holistique français, installé à la campagne, qui, après ses études médicales classiques, a choisi de se former dans d’autres disciplines (acupuncture, sophrologie, hypnose, homéopathie). Il est également membre d’un groupe de recherche parisien et il se dit proche de l’anthroposophie et de la médecine dite intégrative.

 

J’ai cherché dans l’interview en question dans quelle mesure un dentiste holistique a une pratique différente des autres. Il affirmait avoir une approche globale de ses patients, ce qui lui fait les garder beaucoup plus longtemps en consultation, afin de pouvoir, par ses questions et l’examen bucco-dentaire, reconstituer leur histoire individuelle de santé. Il disait même s’appuyer sur l’énergétique dentaire, effectuer des bilans personnalisés, proposer de la prévention, un suivi large et des traitements ciblés…

 

J’ai été particulièrement intéressée par le fait que, selon lui, notre histoire dentaire( chute des dents de lait, caries, extractions, dents de sagesse…) retrace dans ses grandes lignes notre évolution personnelle. En allant au-delà de notre seule bouche, un tel dentiste me paraît considérer ses patients comme des êtres « entiers », qui peuvent s’impliquer dans les traitements proposés. Il n’était pas question de coût, ni de remboursement par les mutuelles dans l’article. Cela resterait tout de même un point important à éclaircir…

Néanmoins, tout cela m’a convaincue qu’à notre époque, où nous pouvons sur Internet en un clic choisir notre praticien, interroger le site de l’association holodent.fr avant de consulter un dentiste me paraît souhaitable. C’est quoi qu’il en soit ce que je me propose de faire à l’avenir! Et vous ? Qu’en pensez-vous ?

 

Lyliane