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05/03/2017

Campagne contre les perturbateurs endocriniens...

Bonne nouvelle, nous avons fait subir un nouveau revers aux multinationales du toxique comme Monsanto

Mais nous ne pouvons pas en rester là, il nous faudra rester vigilants jusqu’au bout.

Cliquez ici pour partager cette campagne avec vos ami-e-s sur facebook. Chaque nouvelle personne que vous mobilisez constitue un énorme pas vers la victoire.

Cela fait plus de 3 ans que, sous la pression d’entreprises comme Bayer ou Monsanto, la Commission européenne essaye de faire adopter cette réglementation. En vain.

Avec la coalition EDC Free et l’association HEAL, nous avons tout mis en oeuvre pour convaincre plusieurs États membres de renoncer à soutenir cette proposition extrêmement dangereuse pour les européens et l’environnement. Car au-delà des conflits d’intérêts révélés par Le Monde, la réglementation défendue par l’UE pose surtout un problème majeur en matière de santé publique. De fait, des milliers d’études ont établi un lien entre l’exposition à ces produits chimiques et l’augmentation de graves problèmes médicaux comme l’infertilité, le cancer ou des troubles neurologiques.

La Commission européenne pensait pouvoir entraîner tous les États membres avec elle. C’était sans compter sur la mobilisation de milliers de citoyens à travers l’Europe. Sous cette impulsion collective, plusieurs pays, comme la France, la Suède ou encore le Danemark ont ainsi finalement décidé de voter contre.

Certains États restent à convaincre pour que ce projet soit définitivement rejeté et que soit enfin pris en compte le principe de précaution. En continuant à mettre la pression sur ces gouvernements, nous réussirons à convaincre la Commission Européenne de travailler sur une réglementation limitant les risques pour notre santé et de notre environnement.

Le combat n’est pas fini. Atteignons la barre symbolique des 400.000 signatures en partageant la pétition sur Facebook.

Vous pouvez aussi multiplier votre impact en transférant cet email à au moins 5 de vos contacts.

Merci pour tout ce que vous faites,

SOME OF US

28/02/2017

Un livre sur l'agro-alimentaire à lire au moment du Salon de l'Agriculture selon change.org...

Grande oubliée de cette élection : l'agro-alimentaire !
Nous avons donc décidé de publier un livre "pavé dans la mare" et sans tabou : "Agriculteurs : les raisons d'un désespoir" (éditions Plon).

Nous y dénonçons les magouilles, les conflits d'intérêts et la corruption d'un système qui créent la perte de nos agriculteurs, des maladies et une baisse du pouvoir d'achat pour les consommateurs et le manque de respect pour nos animaux.
Et nous proposons des solutions pour remettre à plat tout ce système.
Co-écrit avec Eric de La Chesnais (chef du service agriculture du Figaro) et préface de Brigitte Gothiere (Cofondatrice association L214) : http://livre.fnac.com/a10170853/Arash-Derambarsh-Agricult...

Agriculteurs : les raisons d'un désespoir - Arash Derambarsh, Eric De La Chesnais sur Fnac.com
Agriculteurs : les raisons d'un désespoir, Arash Derambarsh, Eric De La Chesnais, Plon. Des...
http://livre.fnac.com 
 

20/02/2017

Des écoliers et la protection de la nature en Mongolie...

MONGOLIE - Un camp pour sensibiliser les écoliers à la protection de la nature

Publié le 8 février 2017 par Le blog de l'écologie positive

La réserve de Tost en Mongolie (habitat d'espèces rares et emblématiques comme le Léopard des neiges et le Mouflon de Marco Polo) a accueilli 40 écoliers de Mongolie pour un stage de découverte de tous les éléments qui constituent la nature.

Même si aucun d'entre eux n'est arrivé à voir un Léopard (espèce extrêmement discrète), ils ont ressenti, au moyen de traces telles que des carcasses, des crottes ou des marques odorantes, la présence et le "point de vue" de cet animal à travers les montagnes.

Ils ont aussi expérimenté la complexité de l'écosystème du Gobi... et imaginé des solutions pour résoudre les conflits entre humains et faune sauvage (qui se manifestent surtout en Mongolie par les attaques sur le bétail, connues des écoliers dont les familles pratiquent souvent l'élevage).

Il est à noter que le projet est soutenu, entre autres, par le Parc animalier d'Auvergne.

AV.

"My dream is to conserve all the living things on earth" - Snow Leopard Trust

 

19/02/2017

En Malaisie, selon le blog de l'écologie positive, un résultat encourageant!

 
 
 
 

MALAISIE - Un réseau de braconniers d'éléphants démantelé

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Le 10 février dernier, les autorités malaisiennes ont procédé à l'arrestation de 7 braconniers parmi les plus recherchés du pays, suspectés d'avoir tué au moins 15 éléphants en 4 ans, ainsi que d'autres espèces recherchées au marché noir (cerfs sambars, buffles, serows ou antilopes-chèvres...). Lors de l'arrestation, 2 défenses ont été saisies ainsi que de la viande d'éléphant et des armes à feu.

Les braconniers n'avaient pas de permis de chasse, ni de licence pour la détention de certaines armes.

AV.

18/02/2017

Abeilles: la plus grande pétition du monde selon Avaaz!

 
 
 
 

Les abeilles traversent une crise mondiale sans précédent qui menace notre chaîne alimentaire. Aujourd'hui, le Canada envisage d'interdire un des pires produits chimiques tueurs d'abeilles. Cela pourrait changer la donne! Mais les géants de l'agrochimie résistent, et nous devons les contrer. Sauvons les abeilles!! Signez ici en un clic:
SIGNEZ MAINTENANT
Chères amies, chers amis,

L’imidaclopride est un produit chimique épouvantable: pulvérisé sur les fruits et légumes, il menace la chaîne de la vie sur Terre, en particulier les abeilles et tous les insectes.

Le Canada s'apprête à l’interdire. Ils ont lancé une consultation publique pour prendre cette décision, mais les lobbyistes de l’agrochimie résistent pour protéger ce produit qui vaut des milliards.

Aidons le Canada à tenir bon! Signez la pétition ci-dessous en un clic, et faisons entendre un appel retentissant au gouvernement canadien pour bloquer les bloqueurs et sauver nos abeilles avant la fin de la consultation!

Dites au Canada d’interdire ce produit tueur d'abeilles. Sauvons-les!

Au Premier ministre canadien Justin Trudeau, aux dirigeants du monde entier et aux ministres de l’agriculture:

Nous vous demandons d’interdire sans délai les pesticides néonicotinoïdes. L’effondrement catastrophique des colonies d’abeilles pourrait menacer l’ensemble de la chaîne alimentaire. Si vous agissez aujourd’hui avec diligence et précaution, nous pouvons sauver les abeilles de l‘extinction.

Dites au Canada d’interdire ce produit tueur d'abeilles. Sauvons-les!

Les abeilles et les autres insectes comme les éphémères et les moucherons sont d’incroyables créatures, véritables fondations de la vie sur Terre. Les abeilles pollinisent à elles seules les trois quarts des principales cultures mondiales! Or selon les experts, l’imidaclopride participerait à l’effondrement de leurs colonies et au déclin brutal des populations d’insectes -- menaçant la nature et notre système alimentaire.

Monsanto fait tout pour fusionner avec Bayer, et Dow Chemical avec DuPont. Ces mastodontes gagnent en puissance, et ils tiennent mordicus à leurs molécules. Mais l’Europe a déjà interdit l’utilisation de ce produit tueur d’abeilles, après l'envoi de milliers de messages par des membres d'Avaaz à leurs ministres. Prochaine étape: le Canada! Si nous fermons ce marché, nous pouvons déclencher un effet domino et faire basculer d’autres pays.

La consultation publique au Canada pourrait décider du sort de ce poison -- si nous pesons de toutes nos forces et remportons cette victoire, l’impact serait considérable pour les abeilles! Vite, la consultation s’achève bientôt -- signez maintenant.

Dites au Canada d’interdire ce produit tueur d'abeilles. Sauvons-les!

La biologiste Rachel Carson, qui a mené la charge contre le DDT aux États-Unis, a un jour écrit: “Ceux qui contemplent la beauté de la Terre y puisent des forces qui dureront tant que durera la vie.” Laissons la beauté et la force de la nature nous inspirer pour nous rassembler et sauver les abeilles!

Avec espoir,

Nell, Ari, Oli, Camille, Ricken et toute l’équipe d’Avaaz

Pour plus d’informations:

Un pesticide néonicotinoïde en voie d'être interdit au Canada (Equiterre)
http://www.equiterre.org/actualite/un-pesticide-neonicotinoide-en-voie-detre-interdit-au-canada

Des apiculteurs heureux de l'interdiction de certains pesticides (Radio Canada)
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1002089/abeilles-pesticides-elimination-neonicotinoide

2017, année décisive pour les insecticides "tueurs d’abeilles" (Le Monde)
http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/01/12/2017-annee-decisive-pour-les-insecticides-tueurs-d-abeilles_5061281_3244.html

Les abeilles officiellement reconnues comme espèce en voie de disparition (Science Post)
http://sciencepost.fr/2016/10/abeilles-officiellement-reconnues-espece-voie-de-disparition/

Que se passerait-il si les abeilles disparaissaient? (Maxisciences)
http://www.maxisciences.com/abeille/que-se-passerait-il-si-les-abeilles-disparaissaient_art34737.html





 
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Une Charte pour les pollinisateurs par Pollinis...

Chère amie, cher ami de POLLINIS,

Pouvez-vous prendre deux minutes pour lire et  signer la Charte 2017 pour la Protection des Pollinisateurs ?

C'est très urgent. 

En ce moment même, c'est l'effervescence dans les états-majors des candidats à la Présidentielle pour mettre la dernière touche aux programmes des candidats, et tenter de s'assurer un maximum de voix.

C'est le moment ou jamais pour convaincre les candidats de prendre des engagements clairs et précis pour la protection des abeilles et de tous les pollinisateurs.

Si on laisse le champ libre aux lobbies de l'agro-industrie, si on ne pèse pas de toutes nos forces pour obliger les candidats à s'engager fermement à sauver les abeilles et l'ensemble des pollinisateurs?

? rien ne pourra arrêter la course effrénée au tout-chimique vers lequel nous entraînent ces multinationales qui font la pluie et le beau temps à Bruxelles,?

? rien ne pourra arrêter la destruction massive des pollinisateurs jusqu'à leur quasi disparition.

Rappelez-vous ce que ces lobbies sont arrivés à faire, à Bruxelles, pour sécuriser les milliards d'euros de profits générés par la vente des pesticides tueurs d'abeilles :

- ils ont négocié un moratoire en trompe-l'?il, où les néonicotinoïdes qui attaquent le système nerveux des abeilles sont interdits quelques mois seulement par an, et largement utilisés tout le reste de l'année, empoisonnant les sols et l'eau absorbée ensuite par les cultures (et donc les abeilles) soi-disant "non traitées" ;

- ils ont placé leurs pions partout pour influer sur les décisions et imposer leurs produits aux institutions européennes ;

- ils ont obtenu, depuis un an, des autorisations de mise sur le marché de nouveaux pesticides tueurs d'abeilles en les camouflant sous d'autres classifications chimiques.

Ne laissons pas passer l'occasion de leur faire barrage.

Il faut exercer  une pression maximale sur tous les candidats à l'élection présidentielle pour qu'ils s'engagent à combattre, en France mais aussi dans les instances européennes, cette  mainmise des industries agrochimiques sur l'avenir de l'agriculture et des pollinisateurs, sur la santé et la sécurité alimentaire de tous, aujourd'hui et demain.

La France a un rôle important à jouer, comme l'a montré la décision de cet été qui a permis une première interdiction des néonicotinoïdes dans notre pays.

Mais pour que ce ne soit pas un coup d'épée dans l'eau, nous devons enfoncer le clou maintenant, mobiliser un maximum de citoyens pour que, demain, les Français obtiennent des changements radicaux face à la toute-puissance de l'agrochimie à Bruxelles.

Notre Charte 2017 pour la Protection des Pollinisateurs a déjà recueilli 116.800 signatures. C'est énorme. Mais encore trop peu pour peser efficacement et influer sur les programmes.

Alors je vous demande de faire deux choses pour obliger les candidats à s'engager à donner un coup d'arrêt d'urgence au déclin dramatique des pollinisateurs:

signez immédiatement la Charte 2017 et juste après, faites-la connaître à un maximum de personnes.  En leur transférant cet email ou en partageant massivement la Charte sur les réseaux sociaux.

C'est un tout petit geste de votre part. Mais il peut avoir un impact déterminant pour assurer l'indispensable protection des abeilles.

Si vous nous aidez à déclencher une vague de signatures à travers toute la France, à quelques semaines des élections, nous pouvons rapidement atteindre 200, peut-être 300.000 signatures et peut-être même beaucoup plus.

De quoi susciter l'intérêt des états-majors des candidats que l'équipe de POLLINIS est en train de démarcher.

Vous vous en doutez, les candidats à la Présidentielle et leurs équipes sont sur-sollicités. Notre seule chance d'obtenir de leur part des engagements fermes, c'est qu'ils voient très concrètement que des centaines de milliers d'électeurs attendent d'eux des garanties solides pour la protection des abeilles et le passage à une agriculture propre et pérenne.

Et pour cela, une seule chose à faire : signer la Charte 2017 pour la Protection des Pollinisateurs !
http://info.pollinis.org/charte-presidentielle-2017/

Je compte sur vous.

Nicolas Laarman

Délégué général

09/02/2017

Au rythme de la lune...

La Lune agit sur notre planète, les marées, les sols, mais avons nous conscience qu'elle a une influence sur les êtres vivants, ne serait-ce que par nos rythmes biologiques?

En Lune croissante c'est à dire de la Nouvelle Lune à la Pleine Lune, il faut en profiter pour faire le plein d'énergie, pour entamer un traitement revitalisant, nous conseille Mme G. Peiffer, naturopathe dans le Journal "L'âge de faire" d'octobre 2016 à travers un dossier consacré à la Lune.

Par exemple, dans cette phase c'est le bon moment pour consommer des fruits riches en vitamines C comme agrumes, argousier, cynorhodon, des algues, des graines germées, du romarin, de la sauge, de la prêle, de l'ortie... Il est conseillé d'éviter les excès de table, d'en profiter pour se faire couper les cheveux et soigner sa peau. Selon certains auteurs, la fertilité serait augmentée chez les hommes comme chez les femmes dans cette période.

La Pleine Lune est un moment propice pour jeûner, pour se purger et pour tenir compte de ses rêves. C'est en principe une phase d'ovulation pour les femmes. Mais, avec la vie moderne, leurs rythmes sont souvent bousculés.

En Lune descendante, c'est à dire de la Pleine Lune à la Nouvelle Lune, il est conseillé d'éliminer les toxines, soit en faisant une cure, soit en éliminant de son alimentation des éléments raffinés, de l'alcool... Les cheveux coupés à cette période repousseront plus lentement.

La Lune ne serait-elle pas en définitive un des traits d'union susceptible de nous relier à la nature?

Lyliane

06/02/2017

Le chanvre et ses multiples qualités...

Selon un article publié dans la revue Biocontact de février 2017 signé par Mr A. Céalis, chanvrier en circuits courts, le chanvre, qui avait connu un déclin dans les années 1930, connaît dans notre pays une reprise de la production dès 1960. Au regard des enjeux environnementaux actuels en effet, ses nombreux atouts sont réévalués et le chanvre retrouve une place stratégique dans l'économie des pays producteurs. La France avec 48 00 tonnes environ est le premier producteur actuel de chanvre suivi de la Chine, du Chili et de l'Ukraine.

Cette plante annuelle de la famille des Cannabaceae, cousine du houblon, peut atteindre 4 m de haut. Variété dioïque à l'origine, les variétés cultivées depuis les années 1960 sont des hybrides monoïques c'est à dire que fleurs mâles et femelles sont sur le même pied. L'avantage du chanvre réside dans sa rusticité et sa résistance aux attaques fongiques. Il pousse en outre très vite: planté en mai, il est récolté fin août/début septembre en général.

Sa fibre cellulosique (chéneviotte) est contenue dans la partie superficielle de la tige. Une fois séparée et cardée, elle constitue une laine pouvant être tissée pour faire des tissus, appliquée et utilisée en isolants ou broyée pour fabriquer du papier, des matériaux composites ou de combustion. Par exemple, le béton de chanvre lié à de la chaux ou de la terre est de plus en plus utilisé dans la construction écologique. La feuille du chanvre séchée est très utile dans l'élevage et l'agriculture pour faire des litières et des paillis.

Ses graines (chènevis) contiennent des protéines et des acides gras essentiels. On peut les donner à manger aux animaux, mais surtout les consommer sous forme de farine ou d'huile. La fleur quant à elle a des effets psychotropes. On en tire du cannabidiol, substance active aux effets thérapeutiques intéressants: effets secondaires des chimiothérapies, traitement de certaines épilepsies. Mais, hélas, dans notre pays son utilisation en médecine n'est pas encore très développée et est assez controversée, alors que le cannabis pourrait aider beaucoup de malades...

Pour s'informer, consulter sur Internet le site www.anandaetcie.org, émanant de l'association savoyarde pour la promotion du chanvre. On peut également lire l'ouvrage de Mme M. Dorrel paru aux éditions Trédaniel: Medicannabis.

Lyliane

 

05/02/2017

La bio bientôt dans toutes les cantines, tous les hôpitaux et restaurants d'entreprise?

Un article paru dans le N° 276 de la revue Biocontact de février 2017 salue l'adoption par nos députés français de l'inscription définitive de 40% de produits locaux et de saison dont au moins 20% de produits bio ou en conversion en restauration collective d'ici à 2020. Cette décision entre dans le cadre du Projet de Loi Egalité et Citoyenneté à la suite d'une proposition d'amendement déposée par la député EELV (Ecologistes et les Verts) de Dordogne Mme Brigitte Allain. Dans la nouvelle Loi, deux amendements reprennent les 2 dispositions phares de la proposition de loi de la député.

Il est vrai que, depuis quelques années, des communes pionnières ont déjà introduit des produits bio et locaux dans leurs cantines. Sur place, tout le monde ou presque s'en félicite! Cela constitue un bon levier de développement de l'agriculture biologique sur tout le territoire national...

Mr F. Veillerette, porte-parole de l'Association Générations Futures, se félicite de cette avancée significative en France dans le journal Biocontact. Selon moi, il serait temps néanmoins qu'une alimentation durable, ancrée territorialement, commence à s'étendre partout dans notre pays notamment dans les restaurants universitaires, les hôpitaux, les cantines d'entreprises.  

Pour en savoir plus sur le sujet, consulter notamment sur Internet: www.generations-futures.fr.

Lyliane

04/02/2017

A propos du vote contre le Ceta et le Tafta à l'Assemblée...

 

 
 
Soutien à Paul Magnette contre le #CETA et par extension contre #TAFTA
par Emmanuel CHAUMERY · 234 200 signataires
MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

En France, l'Assemblée vote contre le CETA

 
Emmanuel CHAUMERY
France

4 FÉVR. 2017 — L'Assemblée Nationale française a donc demandé au gouvernement de consulter le parlement avant toute mise en oeuvre de l'accord et à organiser un référendum.
Dans l'article lié, vous trouverez les noms des intervenants, n'hésitez pas à leur écrire pour leur dire ou à retweeter ce tweet qui les tagge en partie :
https://twitter.com/newsdegauche/status/827794216080244740

On se rapproche du vote du parlement, la mobilisation doit continuer (il y a eu une pétition en Autriche avec 550.000 signatures)

On continue de se battre donc !

Emmanuel Chaumery
@emmanuel27m sur Twitter

02/02/2017

C'est la saison des courges...

 

Dans la revue Fémina, j'ai particulièrement apprécié un article de Mme I. Haberfeld s'appuyant elle-même sur les dires de Mme Alina Moyon, docteure en pharmacie et experte en nutrition à Paris. Tout d'abord, je dirais que par souci de non gaspillage et parce que les graines de courge ont des vertus (vitamines et minéraux), il est recommandé de ne pas les jeter. L'idéal est de les rincer et de les blanchir 5 minutes dans de l'eau bouillante, puis de les faire griller rapidement au four ou à la poêle. L'OMS reconnaît l'efficacité des graines de courge sur le bon fonctionnement de la prostate. On peut les manger à l'apéritif ou les ajouter à une salade.

Le potimarron est réputé stimuler l'énergie grâce à la vitamine C , au magnésium, au phosphore et au fer qu'il contient. Il renferme également des substances susceptibles de calmer la nervosité et la déprime. En hiver, qui est avec l'automne sa saison favorite, il active les défenses immunitaires. Il a un goût rappelant la châtaigne. Lui ajouter de la noix muscade ou du cumin pour relever sa saveur. On peut même le consommer en tarte ou avec une salade d'agrumes.

Le pâtisson est moins connu, alors qu'il a un goût subtil d'artichaut. Il renferme de la vitamine A, favorable à la cicatrisation des plaies et à la vision (DMLA). On le cuisine généralement salé avec un peu de matière grasse, du bœuf, du poulet, du saumon ou avec des légumineuses. Quant à la courge Butternut, elle est l'amie des intestins paresseux par ses fibres qui gonflent dans l'estomac. Cuite, on la mange en soupes, en gratin ou en purée. Y ajouter de l'ail ou des herbes de Provence, même si on veut l'accompagner d'agneau ou de bœuf.

Enfin, le potiron, que l'on creuse à l'époque d'Halloween, a un goût sucré et est très léger. Ses vitamines sont particulièrement précieuses pendant la grossesse. A cause du potassium qu'il contient, il est censé réguler la tension artérielle. On le cuisine en crème, en soupe ou en soufflé, marié à du lait de coco ou accompagnant le gibier. Certains cuisiniers en font des muffins ou des crumble.

Bref, dans la famille des courges, nous avons le choix en cette saison de cuisiner des plats succulents à peu de frais! Ne nous en privons pas!

Lyliane

 

01/02/2017

Grenouilles et crapauds pourraient détecter les seismes...

Le Blog du Vert Savoir

Chroniques (positives) du Développement Durable Désirable

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Suite à des expériences observées en Italie (avant le tremblement de terre de L'Aquila en 2009) et en Espagne (parc national de Doñana) sur plusieurs espèces de grenouilles et crapauds, ceux-ci sont capables de détecter, à l'aide de leur oreille interne, des basses fréquences qui trahissent des modifications de leur environnement telles que l'arrivée de la pluie (bienvenue après une période sèche, pendant laquelle les amphibiens doivent se réfugier dans des terriers) ou encore des tremblements de terre.

AV.

26/01/2017

ESPAGNE - Des chaussures... biodégradables selon le blog de l'écologie positive !

 

ESPAGNE - Des chaussures... biodégradables !

Publié le par Le blog de l'écologie positive

Une entreprise de Valence (Espagne) a créé un modèle de chaussures 100% biodégradables et compostables, ce qui est une alternative au sort habituel des chaussures (qui finissent le plus souvent en décharge, enfouies ou incinérées).

Le compostage de ces chaussures (une fois coupées en morceaux et humidifiées !) durerait 4 mois, sans résidu nocif pour l'environnement ou la santé.

Pour en savoir plus, consulter ce blog.

AV.

 

Les marques Adidas et Puma ont elles aussi trouvé des pistes pour fabriquer des chaussures biodégradables. Consulter notamment sur Internet: www.consoglobe.com et www.marcelgreen.com.

Lyliane

 

24/01/2017

R.V pour la rencontre d'écologie au quotidien dans la Dröme (Die)

N'oubliez pas: cette semaine, c'est la 15ème rencontre de ECOLOGIE AU QUOTIDIEN dans la Bio Vallée de la Drome.
J'ai fait passer cette info sur le blog de Prele Provence et de SELIMAR
http://seldemontelimar.hautetfort.com/

http://preleprovence.hautetfort.com/

Michèle

21/01/2017

TripAdvisor bannit de sa billetterie les attractions peu respectueuses des animaux!

Un bref article de S.Bé dans le journal Télérama de cette fin janvier 2017 nous apprend que le géant américain du tourisme TripAdvisor bannit de sa billetterie les attractions peu respectueuses des animaux comme nager avec des dauphins confinés dans des bassins ou caresser des tigres abrutis de calmants et vivant en captivité. En revanche, parcs naturels et fermes pédagogiques sont privilégiés.

Pour en savoir davantage, consulter sur Internet le site: www.tripadvisor.fr.

18/01/2017

La France doit protéger ses terres agricoles...

 

 

Sous ce titre, le journal gratuit «20 minutes», à travers des propos recueillis par Mme Céline Boff, reprend les propos du député PS Mr Dominique Potier. Celui-ci en effet a déposé une proposition de loi visant à lutter contre «l'accaparement des terres agricoles». Cette proposition a été examinée le mercredi 11/1/2017 par la Commissions des Affaires Economiques de l'Assemblée Nationale, puis passera en séance publique le 18/1/2017.

Ce texte montre comment la concentration du foncier dans les mains des plus puissants financièrement est à l'oeuvre en France et dans le monde et qu'elle se fait au détriment du renouvellement des générations d'agriculteurs. Il dit que «nous cherchons à avoir des fermes et non des firmes». Les sociétés agroalimentaires aux fonds spéculatifs ne permettent plus aux agriculteurs potentiels de s'installer ou aux existants d'agrandir leur propriété.

Mr Potier compare les emplois crées par une ferme de 1000 ha très mécanisée et ceux engendrés par 10 fermes de 100 ha. Selon lui, la première vise l'enrichissement de son propriétaire et ne met en culture que deux ou trois cultures. Souvent même son but est l'exportation. Les petits propriétaires fonciers par contre défendent la souveraineté alimentaire de leur région, emploient de la main d'oeuvre locale et diversifient leurs plantations, afin de les vendre sur les marchés régionaux.

Les Sociétés d'Aménagement Foncier et d'Etablissement Rural ou SAFER sont chargées de surveiller les transactions et de donner leur aval. Mais actuellement cela ne vaut pas pour toutes les transactions. Le nouveau texte proposé devrait permettre aux Safer d'intervenir sur tous types de transactions et d'acheter le foncier en lieu et place des fonds spéculatifs. Les Safer ont en effet des fonds propres pour mener à bien ce genre d'opération. Cela permettrait notamment de réguler le marché et d'éviter les abus. La priorité d'achat serait donnée aux paysans.

Cette proposition de loi, déjà déposée dans le projet de loi Sapin 2, mais rejetés sur la forme par le Conseil Constitutionnel, a cette fois des chances de passer, estime le député PS, car elle est soutenue par le gouvernement actuel. Espérons donc que l'accaparement des terres agricoles par de grosses sociétés, phénomène encore limité heureusement, ne se fera plus au détriment des paysans français.

Lyliane

 

17/01/2017

Réponse de Sébastien Nadot à propos de l'étiquetage alimentaire...

 Réponse de Sébastien Nadot

10 JANV. 2017 — Avant d’être candidat du Mouvement des Progressistes (MdP) pour l’élection présidentielle, je suis un citoyen, un consommateur et aussi, professeur d’éducation physique et sportive actuellement en exercice en collège, lycée et CFA.

- En tant que citoyen, je ne peux accepter qu’un système d’étiquetage soit éliminé au prétexte que les grands groupes de l’agro-alimentaire n’en veulent pas et que par suite, ils menacent de ne pas l’appliquer sur leurs produits. En aucun cas les groupes de l’agro-alimentaire n’ont à imposer leurs vues quand il est question de l’intérêt général et de la santé publique.

- En tant que consommateur et faisant mes courses régulièrement, je trouve nécessaire de bénéficier d’une information claire, facile et rapide d’accès. Autant de qualités que l’on peut trouver dans l’affichage 5C / Nutriscore. Bien sûr tout système d’évaluation présente ses avantages et inconvénients et cet affichage n’échappe pas à la règle mais il répond au souci prioritaire du consommateur : est-ce que j’achète là un produit de bonne ou mauvaise qualité nutritionnelle ?

- En tant que professeur d’éducation physique et sportive, je travaille quotidiennement pour installer des habitudes d’activité physique et de moindre sédentarité pour une meilleure santé (notamment pour réduire les risques liés à l’obésité). Cet objectif ne peut être atteint complètement par ma seule intervention et par la qualité et la quantité d’activité physique des élèves. Elle repose en grande partie sur les aspects nutritionnels et les habitudes alimentaires des enfants. Hors ces aspects dépendent fortement des usages familiaux et renvoient à de fortes inégalités sociales.
La « malbouffe » accompagnée d’une réduction notable de l’activité physique des jeunes générations est un fléau dont les pouvoirs publics n’ont pas encore pris la mesure.

- Enfin, en tant que responsable politique, je tiens à souligner que c’est l’Union Européenne qui a rendu obligatoire l’étiquetage nutritionnel, visant par là l’amélioration de l’information du consommateur sur le plan nutritionnel afin de faciliter ses choix. La France, par ailleurs très souvent critique à l’égard des décisions de l’U.E., doit se montrer responsable et marquer ici comme ailleurs sa détermination à ne pas rendre cette décision inopérante.
Un des axes stratégiques du Programme National Nutrition-Santé (initié en 2011) avait pour objectif de réduire les inégalités sociales de santé par des actions spécifiques dans le champ de la nutrition, au sein d’actions générales de prévention. Pour y parvenir, il prévoyait de « favoriser l’accessibilité à des aliments de bonne qualité nutritionnelle » notamment par « l’amélioration de l’information du consommateur sur le plan nutritionnel ». La France doit être au rendez-vous !

Comme des milliers de consommateurs français, je souhaite donc l’étiquetage le plus simple, le plus clair, le plus intelligible, pour pouvoir comparer facilement les articles alimentaires semblables au rayon de notre magasin, et ainsi faire mes choix en connaissance et en conscience. J’ajoute qu’il est nécessaire qu’un accompagnement éducatif soit mis en œuvre afin qu’une information et une éducation adéquate soient assurées au consommateur.

Sébastien NADOT,
Candidat du MdP à l’élection présidentielle

Nadot2017

12/01/2017

Où en sommes-nous avec le climat?

 

Selon Yveline Nicolas, coordonnatrice de l'Association Adéquations, qui écrit dans le Journal Biocontact de janvier 2017, l'objectif de contenir la hausse des températures moyennes sur la planète en dessous de 2°C en 2100 tout en limitant graduellement cette hausse à 1,5°C reste conditionné à l'engagement des Etats industriels, qui bloquent les négociations sur les questions agricoles notamment...

La COP 22, tenue à Marrakech(Maroc) du 7 au 18/11/2016, a fait suite à l'Accord de Paris sur le climat entré en vigueur le 4 novembre 2016. La Proclamation de Marrakech appelait à une solidarité forte avec les pays les plus vulnérables aux impacts des changements climatiques. Elle visait à soutenir les efforts pour éradiquer la pauvreté, assurer la sécurité alimentaire et renforcer coopération, financements et technologie des pays développés vers les pays en voie de développement. Les 12 jours de négociations se sont néanmoins achevés sur un résultat modeste.

La prochaine Conférence sur le climat, prévue à Bonn (Allemagne) en 2017, devra aborder tous les points laissés de côté pour limiter les gazs à effet de serre (GES) et faire avancer les droits humains. Entre temps, selon la FAO, près de 100 millions de personnes supplémentaires pourraient être touchées par la pauvreté. L'Afrique en effet, qui n'émet que 4% des émissions mondiales de GES, est déjà touchée par le réchauffement climatique pour 65% de sa population...

Même si le bilan de la COP 22 paraît modeste, une profusion d'initiatives privées ou avec de multiples acteurs a impliqué différents secteurs de la société, notamment aux niveaux territoriaux. Cet espace Société civile de la Conférence de Marrakech montrait en effet des ateliers et des stands en faveur de l'agriculture, du recyclage des déchets, de la pêche durable, de la bioconstruction et de la gestion de la biodiversité. Les femmes et leurs savoirs locaux ont particulièrement pointé les déséquilibres et appelé à défendre les droits environnementaux.

Espérons que les climatosceptiques de tous bords (des USA notamment depuis l'élection de Mr D.Trump) ouvriront leurs yeux, car les Etats-Unis sont le deuxième émetteur mondial de GES après la Chine. Il revient, à mon avis, à la société civile de ce grand pays de faire pression sur ses gouvernants pour qu'ils évoluent sur la question. Pour en savoir davantage, consulter sur internet: www.adequations.org.

Lyliane

 

08/01/2017

Vintimille, le Calais italien?

 Je prends un exemple pour illustrer mon article concernant les migrants coincés à la frontière franco-italienne entre Vintimille et Menton. Il est important de réaliser qu'ils ne ressemblent en rien aux terroristes, avec lesquels certains font des amalgames dans notre région particulièrement traumatisée par les attentats de la Promenade des Anglais à Nice. D'où la tentation pour certains de céder à la peur de l'étranger distillée par des partis d'extrême-droite ou même d'une droite chrétienne et traditionaliste...

 

Connaissez-vous l'Erythrée, cet Etat arabe de la Corne de l'Afrique, ancienne colonie italienne devenue indépendante depuis 1993 après une guerre fratricide avec l'Ethiopie? Dans ce pays, le service militaire dure au minimum 18 mois et concerne hommes et femmes de 17 à 40 ans. Selon certains témoignages, ce service serait souvent prolongé indéfiniment et effectué dans des conditions difficiles (viols, travaux forcés). Le parti au pouvoir l'EPLF est un parti unique et autoritaire, à la tête duquel se trouve Mr Issayas Afeworki depuis 1993. Il faut savoir du reste que les fonds d'Erythréens émigrés sont la principale source de revenu du pays...

 

En effet, beaucoup de jeunes hommes et jeunes femmes choisissent l'exil ou désertent en pleine nuit au péril de leur vie. La plupart qui ont réussi à passer la Méditerranée se retrouvent en Italie et essayent de rejoindre des proches en Europe. Mais la frontière française, gardée de jour comme de nuit, ne le leur permet pas. Ils se retrouvent avec des Soudanais, des Libyens, des Afghans et des Tchadiens en tee shirt et en tongs, épuisés, à coucher sous des ponts ou sur des places à Vintimille. Beaucoup sont des mineurs, certains portent des blessures visibles ou invisibles. Sans l'aide de prêtres français et italiens, d 'ONG et d'associations (La Cimade, Médecins sans Frontière, Réseau Education sans frontière, la Croix Rouge, Caritas, le Secours Catholique, le MRAP...), ils seraient déjà décimés par la faim, le froid ou la maladie. Il y a même des cours de français organisés une fois par semaine par des bénévoles.

 

Dans ce contexte, en 2016, des habitants d'une vallée coincée entre la France et l'Italie, la Vallée de la Roya, touchés par la misère et le dénuement de ces migrants, ont décidé de s'organiser et de leur porter secours: transport, hébergement, nourriture, vêtements, quitte à se mettre dans l'illégalité. L'Association Roya Citoyenne, comportant 50 personnes au moins, structure ce mouvement de solidarité et de résistance (roya06.anblog.fr). Deux personnes, Cédric Herrou, agriculteur et P.A. Mannoni, chercheur au CNRS, ont été arrêtés et poursuivis en justice pour leur aide concrète aux migrants. Mr Mannoni vient d'être relaxé. Mr Herrou, toujours sous contrôle judiciaire, risque de l'emprisonnement et une forte amende. Délibéré au 10/2/2017 !

 

Mme F. Cotta, avocate de Cédric Herrou, a fait remarquer aux autorités que «les Alpes Maritimes sont une zone de non droit où les mineurs réfugiés ne sont pas pris en charge». Une main courante a été déposée par Me Cotta contre l'Etat pour non assistance à personne en danger et un courrier envoyé aux autorités de l'Etat français. Elu azuréen de l'année par les lecteurs de Nice-Matin, par 4257 voix sur 7677, Mr Herrou a involontairement déclenché une polémique du Président du Conseil Général du 06, Mr E. Ciotti. Ainsi, au mépris des appels du Pape François, une personne élue, se disant bonne catholique, se sentant peut-être concernée par les prochaines élections, a condamné dans un article percutant les gestes d'humanité de ces personnes de bonne volonté, qui nourrissent et hébergent chez eux quantité de migrants. Une réponse dans la presse d'un des avocats de Mr Herrou a heureusement rétabli la situation et démontré les amalgames aux lecteurs du journal...

 

Devant le palais de justice de Nice le 4/1/2017, quelques 500 personnes étaient rassemblées pour soutenir Mr Herrou et demander sa relaxe. Des journalistes étaient présents. Tout cela va-t-il enfin réveiller la population française et même au-delà? Je l'espère! La solidarité serait-elle devenue un délit? Mon propre père a combattu le fascisme lors de la deuxième guerre mondiale et effectué 2 années de camp, avec l'espoir que les générations suivantes sauraient tirer des leçons de notre histoire. Toute ségrégation en effet, tout racisme anti-noir, arabe, juif, homosexuel ou tzigane était déjà dans la doctrine des partisans d'A. Hitler. Des Français, lors de la débâcle, ont trouvé refuge en Suisse ou aux Etats-Unis. Des «justes» ont sauvé des personnes pourchassées pour leurs origines ethniques. Tout cela est-il oublié? Je ne peux le croire, même si je reconnais que les préjugés d'un racisme ordinaire sont toujours bien vivants de nos jours !

 

Il me semble qu'avant d'être membre d'un parti d'extrême-droite ou d'extrême-gauche, de droite, de gauche ou du centre, né français ou pas, nous devrions tous nous retrouver au sein du grand et beau parti de l'Humain et de l'Ouverture du Cœur!

 

Pour ceux qui voudraient aider concrètement l'Association Roya Citoyenne, contacter sur Internet la collecte organisée en joignant le RIB Roya Citoyenne    RIB de l’association en téléchargement :   RIB Roya Citoyenne. Vous pouvez aussi faire un don via HelloAsso ou par chèque à l'ordre de : LDH section de Nice (Préciser au dos : pour les bénévoles réfugiés). Adresse : LDH section de Nice, Maison des associations 12ter Pl Garibaldi, 06300 Nice

 

Lyliane

 

06/01/2017

Ecologie positive selon le blog du Vert Savoir...

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Derrière sa façade de modernité, le militantisme et l'activisme masquent paradoxalement (et bien souvent) une culture de la fatalité et de l'impuissance, en concentrant leurs efforts sur des ennemis (réels ou supposés) d'ordre super-structurel (l'Etat, les lobbies divers, le Grand Capital... comme on dirait le Grand Satan sous d'autres latitudes !) sans accorder d'intérêt (ou si peu) aux initiatives positives et en les traitant parfois avec méfiance.

 

De ce fait, il est nécessaire de soutenir une culture de l'écologie positive, en France et ailleurs.

 

L’écologie dans l’Internet francophone

 

Au cours d’une investigation que j’ai menée dans les dernières semaines, la plupart des sites dédiés à l’environnement présentent le plus souvent une information très thématisée (sites consacrés à la protection de la nature, à l’environnement industriel, à l’informatique, etc…), d’autres abondent nettement dans le sens du catastrophisme (exemple : http://www.notre-planete.info/).

Aucun site ne rend compte des progrès de l’écologie et de la cause environnementale à travers le monde. La blogosphère est un peu plus créative mais les blogs consacrés à ce thème sont rares (vous pouvez en trouver ici :http://soyons-positifs.over-blog.com/ et ici :http://bonnesnouvellesenvironnementales.over-blog.com/).

 

Une autre actualité est possible, et elle existe déjà !

 

Pourtant les nouvelles réjouissantes existent, et elles sont, contre toute attente, étonnamment nombreuses !

Mais elles sont disséminées dans de nombreux médias (surtout l’internet et un peu la presse), et souvent peu diffusées.

Certaines d’entre elles n’ont d’ailleurs, semble t-il, jamais été publiées en langue française.

 

Les initiatives de protection de l’environnement qui fleurissent partout dans le monde, à l’initiative de particuliers, d’ONG, d’entreprises, de collectivités locales ou de gouvernements (même les plus inattendus) méritent d’être mieux connues et diffusées, afin que chacun puisse s’en inspirer et créer une dynamique d’écologie positive autour de lui.

 

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05/01/2017

Parfumer ses plats avec des épices bienfaisantes...

Mme Lise Bouilly, dans la rubrique diététique du journal Fémina, s'attache à citer les épices bienfaisantes en hiver. Pour cela elle s'appuie sur les avis d'un médecin nutritionniste comme le Dr Guy Avril, auteur d'un ouvrage intitulé:"22 épices pour préserver la santé"et d'une vétérinaire diplômée de toxicologie le Dr S. Hampikian. Tout d'abord, ils citent la coriandre, un activateur d'immunité contre les virus incontournable dans la cuisine méditerranéenne et latino-américaine. Les cuisinières en mettent avec la viande blanche, les potages, les purées, les crudités, les salades et même les fruits, car la coriandre soulage les ballonnements et décongestionne le foie. Des tisanes avec les graines et quelques feuilles sont également bénéfiques au rythme de trois fois par jour après les repas.

Puis, l'article cite le curcuma, dont le rhizome,  cultivé en Inde, est un anti-inflammatoire et un antioxydant réputé soulager les douleurs articulaires et prévenir les rhumes. On l'apprécie frais en petits morceaux ou émincé dans les potages, les légumes, les céréales, les viandes, les poissons ou les yaourts qu'il colore en jaune/rouge. En poudre, à raison d'une cuillère à café par jour, associé à du poivre noir dans du lait bouillant par exemple, c'est un bon anti-rhume. Quant à la cannelle de Ceylan, ses tanins sont antiseptiques et combattent parasites intestinaux et diarrhées. En bâton ou en poudre, elle se marie à de nombreuses préparations de la tarte aux pommes à des fruits cuits, d'un rôti de porc à un boeuf bourguignon. En cas de rhume ou de mal de gorge, mélanger une cuill-ère à café de cannelle en poudre à une cuillère à café de miel et ajouter quelques gouttes de citron.

La cardamome, considérée en Inde comme la reine des épices,  se marie aussi bien avec des plats salés ( poisson, viande blanche, carottes râpées) que sucrés (entremets). Ses gousses sont digestives et carminatives, mais aussi expectorantes et antitussives. Pour calmer la toux, faire en effet bouillir des gousses fendues dans de l'eau comme pour une décoction. Deux graines dans le café noir seraient aussi réputées avoir un effet tonique. Le clou de girofle, originaire d'Indonésie, a des propriétés antiseptiques, antalgiques et anti-inflammatoires. En ORL et en dentisterie, il est très efficace. Ils se piquent volontiers dans un pot au feu, une choucroute, un vin chaud et même un dessert au chocolat. En infusion, dans un bol d'eau bouillante placer un clou de girofle et laissez macérer 15 minutes.

Le gingembre est un des piliers de la médecine ayurvédique. Son rhizome originaire d'Asie a des propriétés digestives et circulatoires. Ce serait un réducteur de cholestérol et un  anti-nauséeux. L'utiliser frais ou écrasé dans un ragoût, un pot au feu, un bouillon, un poisson, une compote, une salade de fruits ou même du riz. Confit à la fin du repas c'est une gourmandise appréciée. La noix de muscade est un anti-inflammatoire et un analgésique. Elle combattrait la diarrhée dans la gastro-entérite. Toutefois ne pas dépasser une demi cuillère à café par jour et par personne à cause des substances stupéfiantes contenues dans la noix. Se borner de ce fait à râper son enveloppe. Elle se marie fort bien au potiron et à toutes les purées de légumes.

Dans la cuisine de nos pays occidentaux, ne pas oublier l'ail, cultivé partout dans le monde,  qui a de nombreuses propriétés: vermifuge, antibiotique, assainissant, fluidifiant du sang... Une gousse quotidienne est recommandée en toute saison. On l'utilise dans des sauces, des salades, des potages, avec des brochettes, des rôtis. Et les stigmates du safran, de plus en plus cultivé dans les régions méditerranéennes, sont réputés réguler le système nerveux. Il ne faut toutefois ne pas dépasser 10 g par jour. Vu son prix et ses nombreuses contrefaçons, il est important de bien vérifier la provenance des stigmates. On l'ajoute à la fin de cuisson d'un poisson, d'un risotto, d'une paella et même d'une crème anglaise. Il colore les préparations d'une belle couleur jaune.

Pour en savoir davantage, lire l'ouvrage du Dr Avril cité plus haut aux éditions Terre Vivante ou le livre "les épices qui guérissent" de Mme Murielle Toussaint. Sur Internet, consulter par exemple: www.maxhavelaarfrance.org et www.e-sante.fr.

Lyliane

26/12/2016

Des arbres guérisseurs...

 

Un article de Mme Caroline Dor dans la revue Version Fémina, s'inspirant du Guide de poche de phytothérapie publié par Quotidien Malin et dont l'auteur est Mme C. Gayet, nous parle de quelques «arbres qui soignent».

Tout d'abord, il s'agit du bouleau, dont on utilise les feuilles toute l'année et la sève au printemps, parfois l'écorce. La sève participe au bon fonctionnement du foie, des reins et des intestins, car elle favorise l'élimination des toxines et elle est riche en minéraux, vitamines et flavonoïdes. La sève est réputée être reminéralisante et elle serait capable de lutter contre la rétention d'eau. Elle se prend en cures de 3 semaines dès le début du printemps (environ 70 ml pur ou dilué). Les feuilles et l'écorce du bouleau s'utilisent en décoction (2 minutes à bouillir dans 50 cl d'eau) ou sous forme d'extrait hydroalcoolique en cure détox de 3 semaines (30 gouttes avant les repas). Les terpènes des feuilles et de l'écorce ont des vertus antiseptiques urinaires et rénales. Toutefois l'extrait est contre-indiqué en cas de grossesse ou de foie fragile.

Le saule quant à lui, dont on utilise l'écorce, les feuilles et les chatons, aurait des propriétés antalgiques, antiinflammatoires et sédatives. En remplacement de l'aspirine contre les migraines, l'arthrose et les douleurs dentaires par exemple, faire une infusion de feuilles (2 cuillères à soupe dans 50 cl d'eau bouillante) ou d'écorce (1cuillère à soupe). Les chatons sont bien pourvus en tanins et auraient des propriétés sédatives contre l'anxiété et les troubles du sommeil. Mais là, l'infusion se borne à mettre les chatons dans une eau frémissante pendant 10 minutes sans faire bouillir pour ne pas dénaturer l'acide salicylique.

Enfin, il est question du pin maritime, dont on utilise l'écorce. Cette dernière ( 1 à 2 gélules de 100 g de pycnogénol par jour pendant le repas) est censée améliorer la circulation sanguine (jambes lourdes, varices, hémorroïdes...). Ses vertus antioxydantes seraient également efficaces contre le vieillissement cellulaire.

La phytothérapie, du grec phyto (plante) et therapeuo (soigner), est une pratique millénaire qui met la nature et ses principes actifs naturels à notre portée. En France, mis à part les herboristes qui hélas se raréfient, Mr Jean Valnet a été un des précurseurs de la phytothérapie à travers livres et préparations. Pour en savoir plus ou s'initier à cette pratique, qui demande certaines indications précises, il est possible de consuter différents ouvrages et sur Internet plusieurs sites notamment: www.e-sante.fr.

Lyliane

 

24/12/2016

Vivre dans un monde sans croissance...

 

Je lis dans le journal gratuit Biocontact un excellent article de Mr Michel J.F. Dubois, biologiste, ingénieur agro-économiste, qui a obtenu en 2006 le prix du SIAL et qui a été nominé au prix de l'ingénieur de l'année 2008. Il vient de publier un ouvrage intitulé: «Vivre dans un monde sans croissance- Quelle transition énergétique?» Son mail est: midubois@free.fr.

Mr Dubois prend comme métaphore l'exemple d'une chenille qui croît jusqu'au moment où elle arrête sa croissance pour se transformer en papillon. Par là, il nous propose de prendre une autre voie, c'est à dire d'entrer dans une phase d'innovation permanente et de transformation. Car, selon lui, même les énergies renouvelables ne seront pas suffisantes pour remplacer les énergies fossiles.

Il insiste aussi sur un point essentiel: ne pas croître n'est pas décroître! La croissance étant devenue utopique, car la qualité de vie en pâtit, Mr Dubois propose d'arrêter la croissance de nos ponctions continuelles sur l'environnement. Pour y arriver, il imagine d'optimiser la consommation et la production en limitant les inégalités planétaires les plus criantes. Car, si chez nous règne le gaspillage, dans certaines zones du monde, c'est la famine!

Ni le coût du recyclage, ni le coût réel de l'énergie ne sont évalués à leur juste valeur. Les mers sont surexploitées, les minéraux deviennent rares, le climat se modifie du fait de nos activités... Bref, l'ingénieur pense qu'il nous faudrait investir pour acquérir des connaissances et des savoir-faire nouveaux. Que ce soit pour produire des voitures moins gourmandes en énergie, pour maîtriser notre consommation en eau, mieux isoler nos logements, fabriquer des produits à durée de vie plus longue, pour recycler les ressources minérales, produire une agriculture sans intrants, l'innovation est à l'ordre du jour. Cela commence déjà doucement chez nous: partage, échange d'objets, solidarité. Et de plus en plus les consommateurs dans leurs achats privilégient la qualité, la durabilité à la quantité et au prix.

Cela implique de changer notre comportement et de faire d'autres choix de vie individuellement et collectivement. Une sorte d'austérité volontaire ou d'auto-limitation serait à accepter au bénéfice d'un mieux- être collectif et individuel. On doit en effet pouvoir vivre mieux en ayant moins besoin de consommer, en privilégiant le relationnel, le culturel, le développement personnel, la créativité, la recherche... Certes, au plan planétaire, des accords multilatéraux seront nécessaires, mais nous pouvons d'ores et déjà enclencher le processus...

Mr Dubois en quelque sorte prône l'émergence d'une nouvelle civilisation. En ralentissant la course à la consommation et le gaspillage matériel et humain, nous sommes censés lâcher certains avantages dans nos pays dits développés. Ne serait-ce pas néanmoins pour aller vers un autre équilibre, une plus grande justice planétaire et des activités collectives mûrement réfléchies? Un apprentissage quoi qu'il en soit proposé par Mr Dubois à notre génération et aux générations futures...

Lyliane

 

 

 

 

 

19/12/2016

Mission de sauvetage en faveur des plantes médicinales par Mr JM. Dupuis


 

 

Chère lectrice, cher lecteur,

Ce message est sans doute le plus important que je ne vous ai jamais envoyé.
Attention, on va me reprocher de vouloir choquer.

Hé bien oui, c’est exactement ça. Je cherche à choquer fortement.

Car la situation le justifie :

Vous le savez, la médecine par les plantes, l’herboristerie, la nature en général, sont passées ces cinquante dernières années au rouleau compresseur de la modernité.

Le gouvernement de Vichy a supprimé le diplôme d’herboristerie en 1941 ;

Les politiques agro-industrielles modernes ont anéanti des siècles de savoir-faire ancestral dans nos campagnes ;

une crise sans précédent se profile avec l’érosion des sols, la pollution des cours d’eau, le changement climatique, la plus rapide disparition jamais observée dans l’histoire de la biodiversité ;

une perte de contact bientôt totale de notre civilisation avec la nature, l’univers des végétaux, des plantes que ce soit celles qui se mangent ou celles qui guérissent ;

les nouvelles générations de pharmaciens et de médecins ont perdu pratiquement toute connaissance en botanique, herboristerie et plantes médicinales… 

Nous avons désormais la certitude d'aller droit dans le mur. 

Et pourtant, dans ce tableau d’ensemble qui paraît désespéré, une grande lumière d’espérance a paru.

Depuis trois ans, Plantes & Bien-Être a fédéré plus de cinquante mille foyers en France pour maintenir et faire renaître la connaissance et la pratique des plantes médicinales.

Un élan historique, pour la résurrection de la médecine naturelle, est en train d’embraser notre pays… silencieusement.

Vous n’en entendrez pas parler à la télévision, ni dans les journaux.

Mais un travail de fourmi, discret mais colossal, est en train d’avoir lieu pour sauvegarder la médecine par les plantes. Ces pratiques reviennent en force et nous avons désormais l’espoir d’une transmission aux jeunes générations et d’une véritable renaissance.

C’est pourquoi, après des mois d’intenses questionnements et de travail, l’équipe de Plantes & Bien-Être a pris la décision audacieuse de lancer :

La toute dernière mission de sauvetage pour les plantes médicinales

Et je vous propose de participer à ce projet fou mais ô combien urgent et indispensable.

DES GÉNÉRATIONS DE GUÉRISSEURS ET D’HERBORISTES ONT DÉJÀ DISPARU – et leur savoir avec eux !!! Je pense par exemple à Ludo Chardenon, Jacky Rouvier : le dernier herboriste diplômé a disparu en 2000 à 95 ans. [1]

Mais l’histoire n’est pas tout à fait terminée.

Cueilleurs, herboristes, médecins, pharmaciens, phytothérapeutes, il reste encore quelques-uns de ces « derniers des Mohicans », derniers réceptacles de cette culture inestimable et qui serait, sans cela, menacée de disparition tel le continent englouti de l’Atlantide.

Ce sont les irréductibles.

Ils sont dans certaines vallées reculées des Pyrénées ; au fin fond de l’Auvergne ; cachés dans des villages perdus du Berry, de Provence ou des Vosges. Mais il y en a aussi dans les grandes villes ! Au détour d’une ruelle, dans un coin secret de Paris…

Méprisés de tous, abandonnés par la modernité qui continue sa trajectoire à 100 à l’heure vers la catastrophe, oubliés et souvent persécutés des autorités, qui les ont toujours considérés comme des gêneurs inopportuns…

Ils sont l’équivalent, pour notre pays, des derniers shamans de Sibérie, des tribus bientôt détruites d’Amazonie.

Leurs grands-parents, leurs parents, leurs oncles et tantes, ne sont plus là pour nous parler.

Mais ils sont encore là : ils sont les vestiges inestimables d’une culture précieuse, contre laquelle la modernité s’acharne mais qui résistent.

Ils continuent à soigner envers et contre tout.

Ils ont gardé de vieux cahiers, des recettes transmises d’âge en âge, des gestes qui soignent.

Certains sont encore jeunes : ce sont des caractères exceptionnels et très rares, qui ont pris conscience de l’importance de leur mission.

D’autres sont plus âgés.

Mais grâce au patient et minutieux travail de reconstitution qu’elle réalise depuis des années pour le journal Plantes & Bien-Être, Alessandra Moro Buronzo, la rédactrice en chef de cet excellent mensuel, a identifié les plus grands connaisseurs parmi eux. Elle a poussé leur porte. Elle les connaît.

Personne d’autre ne peut tous les connaître.

Ils ne sont pas signalés comme tels dans l’annuaire. Il n’existe pas de liste à leur sujet sur Internet.

Il est presque impossible de les identifier, et plus encore de les rencontrer et les consulter – surtout qu’ils sont disséminés parfois à des centaines de kilomètres les uns des autres !!

Le but de cette « mission de sauvetage » pour les plantes est de permettre une renaissance qui leur ouvrira la connaissance de ces secrets de médecine et de santé.

Demain, c’est peut-être grâce à quelques personnes courageuses que les futures générations et le monde entier auront accès à ces trésors perdus.

Pourquoi est-ce que je vous parle de cette Mission ? Pourquoi êtes-vous concerné(e) ??

Vous n’êtes PAS concerné(e).

VOUS ÊTES INDISPENSABLE !!

Alessandra Moro Buronzo n’entreprendra pas cette mission de sauvetage seule, sans compagnons de route, sans réseau de solidarité pour la soutenir et relayer son travail.

Elle peut le faire, elle va le faire, mais il est indispensable qu'elle soit épaulée dans cette quête de la dernière chance. Cela doit être un travail collectif, sans quoi tout ce travail se perdra, sera à son tour oublié.

Elle a BESOIN DE VOUS !!

Il s’agit de suivre Alessandra Moro Buronzo (par vidéo, depuis chez vous) tandis qu’elle va à la rencontre de ces personnages experts dans leur domaine et qu’ils lui expliquent leurs secrets de santé et l’usage des plantes médicinales ;

Il s’agit de garder la mémoire de ces derniers trésors vivants du monde bientôt menacé des plantes médicinales (en gardant trace chez vous de leurs témoignages, des secrets qu’ils ont reçus de leurs ancêtres) ;

Il s’agit de conserver et de transmettre (chez vous, puis un jour à votre entourage) les précieux films, documents, enregistrements, fiches pratiques, qu’elle vous enverra sur les plantes, les remèdes anciens et bientôt oubliés, au fur et à mesure qu’elle les recueille ;

Il s’agit de soutenir ce projet qui permettra de fixer, avant qu’il ne soit trop tard, ces gestes, préparations, connaissances concrètes d’une médecine ancestrale, qui peut guérir les maladies, douleurs, problèmes, déséquilibres qui affligent l’humanité et contre lesquels la médecine moderne ne peut rien.

Cette « Mission de sauvetage » pour les plantes est sans doute la dernière occasion de découvrir les secrets des plantes médicinales qui sans cela pourraient se perdre à jamais.

« Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante »

Au début de mon message, je vous ai parlé des remèdes contre les maladies les plus graves.

Très peu de gens oseront vous parler de cancer soigné avec des plantes. C’est un des sujets les plus dangereux, les plus explosifs, ceux qui risquent d’attirer le plus d’ennuis avec la police, la justice, l’Ordre des Médecins…

Et pourtant :

Saviez-vous qu’Anne-Françoise Lof vient de publier (novembre 2016) un livre intitulé « Comment j’ai guéri mon cancer avec une plante : l’Aloe arborescens » ?

Je suppose que non, le black-out absolu est maintenu sur ce livre dans les médias.

Pourtant, cette psychologue française de 48 ans qui était atteinte d’un cancer du sein témoigne dans ce livre de son chemin thérapeutique avec le mélange d’Aloe arborescens (une plante médicinale) selon la recette transmise par le franciscain brésilien Romano Zago.

C’est un témoignage introuvable, inestimable, qui montre comment, « par d’autres cheminements, on peut aussi guérir du cancer ».

C’est le but de la Mission que de recueillir de tels témoignages et de vous les apporter. Sans cet effort, ils tomberont à coup sûr dans l’oubli.

Démangeaisons et infections : un remède dans votre poubelle

99 % des gens les jettent directement à la poubelle : ce sont les barbes de maïs, ces « cheveux » qui sont entre l’épi et les feuilles.

Pourtant, les Mayas, les Incas et autres peuples natifs d’Amérique utilisaient les vertus médicinales des barbes de maïs depuis 9000 ans, quand les Occidentaux les ont découverts.

Les herboristes européens ont vite appris à s’en servir : séchées, elles servent à faire un bain de pied qui soigne les cors et les durillons. En tisane, elles expulsent les toxines et déchets en excès dans l’organisme, et permettent de nettoyer les voies urinaires, y compris en cas d’infection de la vessie.

Si vous souffrez de démangeaisons ou d’infections, c’est la tisane à prendre en priorité. Elle vous nettoiera « de l’intérieur », réduira les œdèmes, bleus, bosses, et démangeaisons.

Nos grand-mères connaissaient pratiquement toutes ce remède. Voyez à quelle vitesse il a été oublié !

Poches sous les yeux : les 4 mousquetaires végétaux

Les poches sous les yeux ne sont pas vues comme un problème par la médecine, qui les considère comme une évolution « normale », liée à l’âge.

En fait, les poches sous les yeux sont dues à une rétention d’eau et parfois de graisse, renforcées par les toxines, l’alcool, le tabac et les médicaments.

Le maquillage permet de les cacher, pas de les traiter.

Les magazines féminins recommandent le concombre, les rondelles de pomme de terre : ça ne marche pas. Quant à la glace, efficace en urgence, elle abîme la peau très fragile du dessous de l’œil.

La médecine par les plantes connaît depuis des temps immémoriaux les « 4 mousquetaires » végétaux qui résorbent les poches sous les yeux.

Tout le monde l’a oublié, aujourd’hui.

Tout le monde… ou presque.

Parce que les rares véritables spécialistes des plantes vous expliqueront qu’il faut quatre hydrolats particuliers (les hydrolats sont des extraits de plantes obtenus par distillation à la vapeur) :
  • L’hydrolat de cèdre de l’Atlas

  • L’hydrolat d’hélichryse

  • L’hydrolat de cyprès

  • Et l’hydrolat de camomille.

En mélange à 50 % chacune, les deux premières sont à appliquer le matin sur le visage. Elles assurent la décongestion veineuse et stimulent la circulation sanguine.

Les deux autres sont à mélanger à 50 % chacune également, puis à appliquer sur des rondelles de coton. Les appliquer sur les deux yeux quelques minutes pour faciliter la migration de l’eau stagnante et adoucir l’épiderme fragilisé.

Truc supplémentaire contre les cernes : pour améliorer la régénération des muqueuses, ajouter dans sa crème du jour deux gouttes d’huile essentielle de ciste et deux gouttes d’huile essentielle de carotte sauvage.

C’est un trésor parmi les milliers et les milliers qui seront récoltés, documentés, archivés, au cours de cette grande Mission.

Il y en aura des milliers d’autres qui concerneront les maladies du cœur, l’arthrose, l’ostéoporose, la maladie de Parkinson, Alzheimer, la dépression, les insomnies, les acouphènes, les maux de tête, le côlon irritable, les irritations, les démangeaisons, les mycoses, la thyroïde, l’asthme et les allergies…

Les plus grands personnages vivants du monde des plantes médicinales

Au cours de cette Mission, Alessandra Moro Buronzo a déjà prévu d’aller rencontrer, chez eux, et de recueillir les précieux témoignages de grands personnages encore vivants de la médecine par les plantes comme :
  • Pierre Franchomme, pharmacien, qui fut l'un des pionniers de l'aromathérapie. On lui doit l'existence de certaines huiles essentielles très communes comme le tea tree et le ravintsara ;

  • Alain Robert, docteur en pharmacie, est l'un des rares pharmaciens en France qui possède le savoir-faire pour réaliser des complexes à base de plantes. Expert et passionné des plantes, il est conseiller de la nouvelle herboristerie Naturathera à Paris.

  • Michel Pierre, herboriste, dans la boutique mythique qu’il tient depuis 50 ans, l’herboristerie du Palais-Royal ;

  • Christophe de Hody, herbaliste, qui l’emmènera dans la campagne à la reconnaissance des plantes. Tout sera filmé, vous pourrez suivre l’aventure, voir de vos propres yeux la cueillette, l’usage sur place, ou après une préparation, des plantes médicinales ;

  • Ainsi que des dizaines d’autres experts, guérisseurs, naturopathes, médecins, appartenant au réseau des contributeurs de Plantes & Bien-Être comme le Dr Franck Gigon, le Dr Bérangère Arnal, le Dr en pharmacie Danièle Roux, Nicolas Wirth, Christophe Bernard et bien d’autres, qui tous vous ouvriront leur cabinet, leurs grimoires, leurs connaissances ancestrales, et, plus important encore leur cœur et les messages d’une valeur inestimables qu’ils ont à léguer à la civilisation.

Alessandra vous ouvrira sa bibliothèque secrète et vous enverra de précieuses informations sous forme de dossiers ou d’enregistrements, selon les cas (selon ce qui est le plus pratique pour le sujet).

Vous voyagerez dans le temps, également, car Alessandra vous fera découvrir le monde extraordinaire de :
  • Carl von Linné (1707-1778), naturaliste suédois, père du système moderne de nomenclature binominale en botanique et zoologie ;

  • Anna Atkins (1799-1871), botaniste britannique est pionnière dans l’utilisation des images photographiques pour illustrer les herbiers ;

  • Jean-Marie Pelt (1933-2015), biologiste et botaniste engagé dans la défense de l’environnement. 

Jean-Marie Pelt est aujourd’hui décédé mais Alessandra Muro Buronzo a eu la chance inouïe de recueillir encore ses confidences en 2014.

Vous serez introduit auprès de l’équipe des experts de Plantes et Bien-être - médecins, pharmaciens, naturopathes - en participant à des ateliers de questions-réponsessous forme de « webinaires » ou conférences en ligne.

Vous serez invité(e) à envoyer vos questions à ces spécialistes des plantes. Alessandra les posera pour vous lors de ses rencontres. Vous recevrez chez vous les films enregistrés.

Des détours inattendus sont à prévoir. Sur le chemin des secrets de santé de la Nature, Alessandra Moro Buronzo a d’ores et déjà prévu de recueillir aussi les confidences de sommités de la santé naturelle que vous connaissez forcément, comme le Dr Michel de Lorgeril, le psychanalyste Guy Corneau ou le Dr Eric Ménat (que vous connaissez probablement).

En plus, vous recevrez, tous les six mois, un volume encyclopédique regroupant toutes les informations précieuses, introuvables, qui auront été rassemblées pendant la Mission.

Bref, vous l’avez compris, il s’agit bien du plus ambitieux et important projet dont je ne vous ai jamais parlé jusqu’à présent.

Personne ne sait aujourd’hui où cette Mission va aboutir. Combien de temps elle durera.

Où elle nous mènera, ultimement.

De longs mois, peut-être des années

Alessandra Moro Buronzo s’apprête à partir sur les routes de France pour cette « Mission » qui durera de longs mois, et peut-être des années.

Vous pouvez vous engager à soutenir cette grande œuvre en prenant une place de « compagnon de route ».

Cela implique que vous recevrez toute sa correspondance (messages électroniques, vidéos, films, dossiers, fiches, enregistrements) directement chez vous. Pour participer et soutenir cette Mission, vous n’avez donc pas besoin de sortir de chez vous.

En revanche, seuls les compagnons de route officiellement enregistrés comme tels sont éligibles à recevoir les précieux secrets qu’Alessandra collectera au long de sa quête.

Et il y a des conditions restrictives :
  • Seuls les actuels lecteurs de Santé Nature Innovation sont éligibles au quota de place de la Mission ;

  • Ce quota est limité dans un premier temps à 300 compagnons de route ;

  • Vous devez vous déclarer avant le 31 décembre 2016 pour vous élancer dans l’aventure dès le 1er janvier 2017.

Ensuite, ce sera à vous de décider jusqu’où vous vous sentirez la force de poursuivre l’aventure.

A tout moment, vous pourrez quitter la Mission. Votre place sera alors automatiquement attribuée à la personne suivante sur la liste d’attente.

Dès votre inscription validée, votre premier « Rendez-vous » vous sera fixé par Alessandra, qui vous indiquera ce que vous allez recevoir chez vous, à quelle date.

Vous aurez ainsi chaque semaine un « Rendez-vous de Plantes & Bien-Être » correspondant aux progrès de la « Mission de sauvetage pour les plantes médicinales ».

Une première semaine de préparation à la Mission (parcours de bienvenue) est à prévoir, qui vous assure les connaissances de base fondamentales à avoir sur les plantes.

17/12/2016

Le septième continent...

 

Dans nos mers et nos océans, des déchets plastiques désagrégés, qui ont dérivé au gré des courants marins, se rassemblent en amas. On appelle ces amas: le septième continent. Le premier fut découvert par un navigateur en solitaire, Mr Patrick Deixonne, traversant l'Atlantique à la rame entre le Sénégal et la Guyane. Il décidera alors d'explorer cette plaque de déchets dans l'Atlantique Nord, couvrant une superficie équivalente à 6 fois la France et de communiquer à ce sujet. Dans cette zone, les scientifiques ont mesuré que pour 1l de plancton, il y a 5l d'une soupe de matières plastiques. Depuis, on s'est aperçu que l'Océan Pacifique, l'Océan Indien et la Mer Méditerranée ont également leurs amas de micro-particules de ce plastique venu des terres habitées, qui met très longtemps à se désagréger. On l'estime à environ 3 millions de Km2.

Ces énormes tourbillons de déchets plastiques ou gyres posent des questions cruciales à tous les habitants de la planète, car ils modifient l'équilibre écologique des mers et des océans, menaçant la biodiversité. Oiseaux de mer, tortues sont les premiers touchés par cette pollution. On retrouve même des bribes de ces déchets dans le ventre des poissons que nous mangeons. Des missions ont été organisées depuis 2012 et 2013, afin d'alerter le public et les hommes politiques sur la gravité de la situation.

Mr Deixonne a crée une association, reconnue d'utilité publique, «le 7ème continent» et il lance de nombreuses actions pédagogiques. Par exemple, il a imaginé une BD «Le monstre de Plastique», afin d'expliquer aux jeunes les dangers pour toute la chaîne alimentaire. Un film illustrant ses expéditions est également disponible depuis peu (You Tube). Pour le moment, peu de solutions ont été trouvées pour vraiment endiguer le phénomène. Des scientifiques y travaillent pourtant. Un organisme, le CRIIT, travaille de son côté au recyclage des polymères. Et les gouvernements des pays industrialisés interdisent les uns après les autres les sacs plastiques... Mais il faudra faire plus!

Pour en savoir davantage, contacter par Internet: www.7econtinent.com et www.criit-polymere.fr .

Lyliane

 

16/12/2016

Pouvons-nous nous passer des super-marchés?

 

L'émission «Tout Compte Fait» sur la deuxième chaîne le 10 décembre 2016 posait cette question. Un reportage effectué aux Etats-Unis montrait que 40 % de la nourriture finit dans les poubelles des super-marchés. Des millions de dollars sont gaspillés de la sorte. Les produits, la plupart du temps encore emballés, sont jetés car ils auraient de minuscules défauts.

Certes, les poubelles des super-marchés sont propriété privée dans ce pays et des vigiles peuvent donner des amendes à ceux qui auraient des vélleités de fouiller dans leurs poubelles. Pour Rob, le héros du reportage, ce n'est pas un obstacle: il fait régulièrement le tour des super-marché de sa ville et il revient le plus souvent le coffre plein de nourriture (250 kg pour un équivalent de 1000 euros environ). Le reportage le montrait ensuite sur le campus de l'Université de Raleigh, à 200 km de chez lui, où il distribuait gratuitement aux étudiants les marchandises récoltées. Il appelle ces tournées: le grand fiasco du gaspillage!

Il aurait déjà 15 opérations choc à son actif, ce qui l'a rendu célèbre dans tout le pays. A 30 ans, avec sa compagne Chéryl, ils sont devenus des vedettes de l'écologie, cherchant à faire faire des prises de conscience à leurs concitoyens. Ils leur proposent de changer leurs habitudes, pour sauver la planète, par exemple en économisant l'eau potable, en roulant en transports collectifs ou à vélo... L'émission les montrait ensuite achetant leur nourriture en vrac dans une boutique où l'on peut remplir bocaux et flacons soi-même, ce qui coûte 30% moins cher qu'en super-marché. Ils militent en effet pour que les américains achètent le moins possible de plats préparés et de nourriture industrielle.

Depuis peu, Rob et Chéryl ont franchi un pas de plus: ils parcourent le pays à pied sac au dos, dorment à la belle étoile ou bien sous tente, car ils ont vendu leurs logements. Un ordinateur fonctionnant à l'énergie solaire, quelques vêtements, des allumettes et un briquet ainsi que du matériel de toilette sont leur seul bagage. Ils vivent de petits boulots et payent tout en cash. A Atlanta, dans un quartier pauvre, ils ont avec quelques bénévoles construit, grâce à des matériaux de récupération, des mini jardins pour les habitants. Ils leur apprennent à semer et à récolter à plusieurs dans ces bacs de la nourriture gratuite, au lieu d'aller à la supérette du coin. Là, il n'y a que des sodas, des chips et des plats industriels, nourriture chère qui à la longue nuit à leur santé.

En agissant localement et en donnant l'exemple d'une vie sans déchets, ils montrent qu'il est possible et même souhaitable de nous passer des produits de la grande distribution. Dans notre pays, il y aurait sans doute des enseignements à retirer de ce mode de vie. Les petits commerçants auraient déjà une carte à jouer en proposant des produits de qualité et en étant sensibilisés au non gaspillage. Les éleveurs commencent à éviter les intermédiaires et à vendre en circuits courts leur lait et leur bétail. Quant aux citoyens que nous sommes, nous serions bien inspirés de veiller à nos transports, à l'eau que nous utilisons, à nos déchets et à notre nourriture, que nous pouvons produire nous-même. En ville, le système AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) permet par exemple de passer contrat avec des agriculteurs, pour pérenniser leurs exploitations et pour se nourrir de produits poussés sans engrais chimiques... Bref, les pistes de changement sont chez nous également nombreuses! Lutter contre la pollution, la malbouffe, le gaspillage à tous les niveaux, par quoi allons nous commencer?

Lyliane

 

12/12/2016

Appel à propos de Monsanto et des perturbateurs endocriniens...

 

100 scientifiques viennent de publier une tribune mettant clairement en cause les liens entre la Commission européenne et les plus gros lobbies industriels. Ils ont rappelé qu'il n'y avait aucun doute sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens et invité les autorités à prendre des mesures fermes.

Mais ce n'est pas tout... Parallèlement, Le Monde a aussi publié des révélations explosives sur les mensonges de la Commission européenne qui n'a pas hésité à manipuler des preuves et à s'appuyer sur des études financées par les industriels pour éviter une réglementation trop stricte de ces substances dangereuses.

Ces polémiques interviennent à quelques semaines de l'adoption finale des textes réglementaires. C'est le moment d'accentuer la pression pour faire respecter le principe de précaution.

Pouvez-vous partager la pétition sur Facebook et par email, afin de nous débarrasser une bonne fois pour toutes des perturbateurs endocriniens?

04/12/2016

Mr Paul Magnette réagit contre le CETA...

 

Le Ministre-président wallon menace d'enterrer le traité commercial CETA si âprement négocié entre l'Union européenne et le Canada. La région wallonne s'était entendue avec le gouvernement fédéral pour qu'il consulte la Cour de Justice européenne sur la validité des tribunaux privés qui devraient régler les éventuels conflits, selon les termes même du CETA. Mais, manifestement, le fédéral n'est pas pressé.

Redoutant une manœuvre, Paul Magnette menace d'activer la clause de suspension du traité. " Je ne cherche pas l’escalade. Je ne cherche pas à ce que l’on ravive le conflit sur le CETA. Nous avons trouvé un accord de bonne fois entre la Région et le gouvernement fédéral. Mais si ce dernier ne respecte pas les engagements qu’il a lui-même signés, alors- je suis désolé- mais on ne peut pas jouer avec les pieds des Wallons. "

Les Wallons n'ont fait aucune bourde

Devant les membres du Cercle de Wallonie ce jeudi midi, le ministre-Président est apparu très remonté, menaçant même. Dans ses propos, il a donc expressément demandé au gouvernement fédéral de demander l'avis de la Cour de Justice européenne.  "C'est hallucinant, on a négocié de bonne foi, tout était écrit noir sur blanc, y compris la demande d'avis à la Cour de Justice et le gouvernement fédéral le sait.

Sur l'idée selon laquelle les wallons auraient laissé passer une close lourde de conséquence, Paul Magnette est catégorique: "Les Wallons n'ont fait aucune bourde. Tout a été relu virgule par virgule, et la démarche devant la Cour de Justice devait être entreprise tout de suite, c'était parfaitement clair. Et aujourd'hui, il y a une volonté du Premier ministre de réveiller des querelles, de remettre de l'huile sur le feu.

La menace d’une suspension définitive du CETA

Paul Magnette ne laisse planer aucun doute sur sa détermination en cas de tergiversation: "Dans ce cas-là, nous activerons la clause de suspension. Je demanderai au parlement wallon de décréter une non-ratification définitive et permanente du CETA. Ce qui aura pour effet une suspension du traité pour les 28 Etats-membres. Quand je négocie de bonne foi, j’espère que les autres font de même. Je suis donc indigné de voir qu’aujourd’hui, on cherche à tordre les textes pour leur faire dire ce qu’ils ne disent pas. Il faut une lecture honnête des textes que chacun a signés et, comme le ministre Reynders s’y est engagé par écrit, et encore oralement hier avec moi, il faut entamer immédiatement la demande d’avis auprès de la Cours de Justice européenne".

selon Change.org  sur Internet

Lyliane

 

03/12/2016

A propos du Ceta et du Tafta...

 
 
MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

Le vote du parlement est repoussé à début 2017

 
Emmanuel CHAUMERY
France

1 DÉC. 2016 — Mais il semble que ce vote soit quasi acté.

En attendant, 450 organisations dont la CGT ou ATTAC ont demandé l'abandon du CETA par un vote contre de la part des élus.

Mais une demande de saisine de la Cour de Justice de l'Union Européenne a été rejetée. Seuls un peu plus de 200 députés (dont une partie sont socialistes) ont validé cette demande. La majorité ayant refusé, il n'y a pas de saisine.

Nous pouvons appuyer cette demande en continuant de signer.

A bientôt

Emmanuel Chaumery
@emmanuel27m sur Twitter

01/12/2016

Les algues marines comestibles...

 

Pendant des siècles, sur les côtes normandes et bretonnes de notre pays, on a récolté le goémon, mélange de fucus et de laminaires. Séché, il amendait la terre. Brûlé dans des fours spéciaux, il donnait de la soude naturelle. Cette soude servait alors à la fabrication du verre et elle était très recherchée. A partir du 19 ème siècle, on en a extrait de l'iode, seule molécule qui, dissoute dans l'alcool, permettait à l'époque de désinfecter les plaies. Enfin, dessalé, le goémon était également utilisé pour l'alimentation animale.

Pendant ce temps, en Chine et au Japon, les algues de mer étaient dégustées par la population. On découvre chez nous peu à peu leur richesse en protéines, en fibres, en vitamines, en minéraux et en oligoéléments. En effet, on déguste de nos jours dans de nombreux restaurants l'algue Nori, enrubannant les makis, la salade de Wakamé au sésame, l'algue Kombu qui agrémente la soupe miso... Cela incite les industriels français à cultiver aussi les algues pour la consommation humaine. Les végétariens cependant connaissent depuis longtemps une algue rouge, l'Agar agar, remplaçant la gélatine animale.

Les algues se développent par la photosynthèse en bénéficiant à faible profondeur des rayons du soleil. Il faut savoir en effet que le phytoplancton marin a un intérêt écologique important. Comme l'explique Mr N. Vanier dans son ouvrage «Les pieds sur terre», plus de la moitié de la fixation totale du CO2 sur notre planète se fait grâce au phytoplancton, devant les forêts.

Récoltées fraîches, les algues marines sont sans danger. Par contre, à l'état décomposé ou polluées par les nitrates, les algues peuvent rejeter de l'hydrogène sulfuré, un gaz mortel. Quelques accidents de ce type ont eu lieu en Bretagne. La recherche quant à elle s'intéresse aux algues marines pour l'industrie médicale (compléments alimentaires), cosmétique et agricole. Il y a même avec les algocarburants une recherche prometteuse d'alternative aux énergies fossiles. Pour en savoir davantage au sujet des algues comestibles, contactez par Internet les sites: www.ocealg.com et www.bord-a-bord.fr.

Lyliane