05/09/2019
Ramasser les mégots contre un smothie...
Le restaurant Aloha bowls, situé aux Sables-d’Olonne participe à sa manière au #fillthebottlechallenge en offrant un smoothie gratuit à chaque personne qui rapporte une bouteille en plastique remplie de mégots.
Depuis quelques semaines, on a pu voir émerger sur les réseaux sociaux un nouveau challenge écologique baptisé #fillthebottlechallenge soit “Remplis la Bouteille”.
Le principe est simple : se munir d’une bouteille en plastique et la remplir de mégots jetés par terre dans l’espace public. Ce défi écologique a pour dessein de sensibiliser le public à la dégradation de l’environnement et la pollution engendrée à cause des déchets jetés n’importe où.
Le restaurant Aloha bowls a décidé lui aussi de participer à ce challenge en proposant à ses clients, via son compte instagram, de leur rapporter une bouteille en plastique remplie de mégots en échange d’un smoothie gratuit !
“Le principe est simple: • Tu ramasses les vieux mégots que tu trouves dans la rue • Tu remplis une bouteille de minimum 1,5L de ces vieux mégots • Tu nous apportes ta jolie bouteille et tu gagnes le smoothie de ton choix pour te récompenser de ta bonne action”.
Un défi écologique simple qui fait du bien à la planète et que beaucoup d’internautes ont relevé au vu du hashtag #fillthebottlechallenge présent sur Instagram et Twitter !
Chaque seconde dans le monde, 137 000 mégots sont jetés dans l’espace public. Et c’est 47 % d’entre eux qui se retrouvent ensuite dans la mer Méditerranée.
Natacha Couvillers - Oh My Mag - mardi 20 août 2019
05:42 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, CITOYENNETE, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EVOLUTION PERSONNELLE, GESTION DES DECHETS, HUMANISME/PHILOSOPHIE, MEDIAS, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
Les produits ménagers à bannir
L’association de consommateurs a étudié plus d’une centaine de détergents pour les classer des plus aux moins nocifs pour la santé et l’environnement. Palmarès des mauvais élèves.
Les produits détergents sont tous bourrés de substances dangereuses. Mais pour éviter de revenir au vinaigre blanc et à la soude, 60 millions de consommateurs a fait le tri entre les marques les plus toxiques et celles qui ont le moins d’impact sur notre santé et l’environnement.
L’association a analysé 108 produits. Une enquête ardue, car la présence de sulfates, allergènes, sensibilisants, perturbateurs endocriniens et substances potentiellement cancérigènes n’est pas facile à mesurer à la lecture de l’étiquette du produit. Les fabricants de détergents ne sont en effet pas tenus à autant de précision que ceux des produits de beauté.
Le parcours du combattant pour s'informer
Ainsi, l’association de consommateur raconte avoir eu le plus grand mal à se faire communiquer la liste complète des substances toxiques présentes dans les produits. Même par des marques bio, comme La Vie Claire, qui est la seule à n’avoir jamais répondu aux questions de 60 millions de consommateurs. Ce qui lui fait dire qu’être "écolo c’est bien, mais c’est encore mieux d’être transparent".
En parallèle de son dossier, 60 millions de consommateurs lance une pétition pour que les produits ménagers affichent un "Menag’score", sur le modèle du Nutriscore pour l’alimentation, qui noterait de A à E le niveau de toxicité des produits. En attendant, voici, par famille de détergents, ceux qui ont reçu la pire note. Non pas parce qu’ils ne sont pas efficaces ("60" n’a pas mesuré ce critère), mais parce qu’ils sont plus nocifs que les autres.
> Les liquides multisurfaces WS, la marque de Lidl, et son détergent concentré fraîcheur lavande, et le Saint Marc côtes bretonnes sont les plus mauvais élèves de la catégorie, chacun noté E, avec plus de trois composants à bannir complètement.
> Les lingettes multi-usages
De manière générale, 60 millions recommande de ne pas acheter ces produits, qui, même si elles sont imbibées de produits peu polluants, sont globalement jetées dans les WC et embourbent les canalisations. Mais si vous y tenez, évitez néanmoins celles de Monoprix, Leader Price et Carolin au bicarbonate, toutes quatre notées E, avec jusqu’à 4 composants particulièrement nocifs.
> Les sprays multi-surface
Seule la marque U récolte un bonnet d’âne avec son ultra-dégraissant au savon de Marseille, qui, comme son nom ne l’indique pas, compte beaucoup plus de substances toxiques que ses concurrents.
> Les sprays pour la cuisine et la salle de bain
Etre une grande marque ne préserve pas du faux pas : Cif, la marque du géant Unilever, récolte un E avec son spray 5 en 1, ainsi que Casino avec son dégraissant au savon de Marseille.
> Les mousses pour la salle de Bain
Aucun des produits de cette catégorie n’est mieux notée que C. D’ailleurs 60 millions de consommateurs conseille de réfléchir à la balance efficacité/risque et d’essayer de s’en passer totalement. Les pires sont les mousses Cillit Bang douches & surfaces larges et Topp’s Mousse express salle de bains.
> Les serpillères imbibées
Là encore, aucune marque de lingettes imbibées pour nettoyer son sol ne trouve grâce aux yeux de l’association. Mais elle distingue un cancre parmi les cancre : les lingettes Swiffer imprégnées au citron.
> Les nettoyants liquides pour sol
Encore pire pour les fabricants de nettoyants de sol: aucune marque analysée n’a obtenu mieux qu’un D au Menag’Score. Et deux E: un pour Carolin au savon de Marseille fraîcheur Provence, et un autre pour Vigor Force 5 tout-en-un.
> Les décapants pour four
Ici, pas de A, mais pas non plus de E. Les moins bons élèves, notés D, sont la mousse Leader Price active sans frotter, et le décapant Casino sans soude caustique.
> Les blocs WC
Ce type de produits aussi devrait être totalement bannis de nos intérieurs pour l’association de consommateur. Parce qu’ils sont très polluants et que chaque chasse d’eau dissémine leurs substances nocives dans la nature. Mais s’il fallait désigner les pires, ce serait Canard Fresh Disc Fraîcheur Marine, Harpic Color Power 6 lagon tropical et les blocs WC U 4 en 1 javel.
> Les gels pour les WC
L’association a déclassé les produits La Vie Claire étant donné que la marque bio n’a jamais voulu révéler la composition de son Ecoclair notes fraîches mentholées. Autrement, seule la marque U et son détartrant surpuissant 5 en 1 est noté E.
Selon 60 millions de consommateurs.
04:28 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, GESTION DES DECHETS, L'EAU ET LA MER, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
04/09/2019
Lutte' contre le gaspillage alimentaire...
Une myriade de start-up se créent pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Un nouveau marché qui profite à tout le monde, des producteurs aux consommateurs.
Dix millions de tonnes de nourriture… C'est ce qui termine chaque année à la poubelle en France, faute d'avoir été consommé, selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Soit 155 kilos par habitant ! L'addition est salée : le coût de ces pertes se chiffre à 16 milliards d'euros annuels. Et au niveau mondial, un tiers des aliments destinés à l'alimentation humaine est jeté ou perdu entre le producteur et e consommateur, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), alors que 11% de la population mondiale ne mange pas à sa faim. Une gabegie effarante de nourriture, mais aussi de l'énergie nécessaire à sa production…
Mais bonne nouvelle, depuis une poignée d'années, une myriade de start-up se lancent sur ce créneau devenu un vrai marché. En France, les plus connues s'appellent Too Good To Go, Frigo Magic, Zéro-Gâchis, OptiMiam, Eqosphere ou encore Phenix… Les bonnes idées pour réduire le gaspillage alimentaire sont légion. Elles proposent, via des applications mobiles ou des sites Internet, d'acheter à prix cassés des invendus des commerçants, supermarchés et restaurateurs, de mettre en lien associations et grandes surfaces pour organiser une redistribution des invendus, d'apprendre à cuisiner ses restes, de mieux gérer le contenu de son frigo pour éviter les pertes ou encore de donner ses produits restants avant de partir en vacances… Certaines connaissent même de belles réussites (voir plus bas).
Cette jeune entreprise sauve 15 tonnes d'aliments par jour
C'est le cas de Phenix. Cofondée en 2014 par un ancien banquier d'investissement, Jean Moreau, cette jeune pousse qui emploie déjà 120 salariés a dégagé 9 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2018. Et elle vient de lever 15 millions d'euros auprès d'investisseurs. Car le concept est prometteur, à l'heure où la grande distribution génère 2,3 millions de tonnes de gaspillage alimentaire chaque année. Grâce aux plates-formes numérique et logistique de Phenix, les grandes surfaces peuvent redistribuer efficacement leurs invendus aux associations ou aux parcs animaliers. «Généralement, les pertes en invendus représentent entre 1,5 et 3% du chiffre d'affaires annuel d'une grande surface. Un gros hypermarché peut ainsi perdre 10 millions d'euros par an», explique Jean Moreau, qui affirme que son service permet aux magasins de valoriser en moyenne 60% de la «casse». Phenix propose aussi une application de rachat d'invendus à prix cassés pour les particuliers. «Au total, nous sauvons de la poubelle 15 tonnes d'aliments par jour», estime le jeune homme. Dans le premier cas, Phenix se rémunère en prenant une part de 30% sur ce que la grande surface récupère en crédit d'impôt et en économies de frais de destruction de la marchandise.
Dans l'interêt des supermarchés
En France, la loi de février 2016 contre le gaspillage alimentaire a boosté l'émergence de ce marché. Elle rend obligatoire pour les grandes surfaces de plus de 400 mètres carrés de signer des conventions avec des associations pour donner leurs invendus. Fini la javel, la destruction de ces denrées est désormais interdite, sous peine d'une amende de 3.750 euros. Selon Guillaume Garot, le député auteur et rapporteur de la loi, plus de 95% des magasins de plus de 400 mètres carrés donnent désormais leurs invendus à des associations de solidarité. Outre la loi, les entreprises ont aussi compris que la rationalisation des pertes est source d'économies : on y gagne en crédit d'impôt et en frais de destruction. De plus en plus mettent donc en place des rayons «dates courtes» à prix cassés.
Comme au Danemark, pays très avancé en la matière, où cette pratique «est devenue une stratégie concurrentielle pour les chaînes de supermarchés. Le Danemark est l'un des pays d'Europe comptant la plus grande proportion de magasins ayant un plan en ce sens», se réjouissait Esben Lunde Larsen, le ministre de l'Environnement et de l'Alimentation danois, lors d'une conférence en mai 2016. Sur ce filon, l'application Zéro-Gâchis géolocalise les grandes surfaces qui proposent des rayons de produits proches de leur date de péremption. La start-up, qui affirme travailler avec 300 partenaires et sauver 30 tonnes de nourriture par jour, leur propose également des outils pour améliorer l'identification, l'étiquetage et la traçabilité des produits en date courte, mais aussi pour récolter des données sur la réduction du gaspillage ainsi obtenue.
Commerces de quartiers, restaurants d'entreprise et cantines aussi concernés
D'autres applications ciblent les consommateurs et les commerçants (boulangeries, restaurateurs, traiteurs). OptiMiam et Too Good To Go permettent par exemple à ces derniers de proposer des paniers d'invendus à des prix imbattables. Certes l'impact est moindre que les solutions ciblant la grande distribution, mais de bonnes affaires sont à la clé. Elles permettent aussi de sensibiliser les consommateurs, responsables de 6,5 millions de tonnes de gaspillage alimentaire chaque année. «Plus de 3 millions de repas ont été sauvés en France en 2018, et nous avons désormais 6.000 commerçants partenaires dans l'Hexagone», affirme Stéphanie Moy, porte-parole de la start-up qui emploie 45 personnes, et qui vient de publier le premier livre blanc proposant un aménagement des dates de péremption, représentant à elles seules 20% du gaspillage alimentaire dans les foyers.
Léonor Lumineau - Capital - lundi 29 juillet 2019
05:07 Publié dans ALIMENTATION ET SOLIDARITE, ARTICLES ENGAGES, CITOYENNETE, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EVOLUTION PERSONNELLE, GESTION DES DECHETS, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
03/09/2019
Ce que nous pouvons faire pour sauver l'Amazonie...
Entre le 1er janvier et le 21 août, les feux de forêt au Brésil ont augmenté de 84% par rapport à la même période en 2018. Plus de la moitié concernent l'Amazonie.
En attendant des projets de grande envergure pour protéger cette source abondante d'oxygène menacée par la déforestation, The Independent liste quelques façons d'aider, à notre échelle, les communautés touchées et les organisations qui tentent de réparer les dégâts.
Changez vos habitudes
S'il faudra un mouvement d'ampleur pour changer considérablement la donne et réussir à préserver durablement la forêt amazonienne, vous pouvez déjà avoir un impact en prenant de bonnes habitudes.
Réduisez par exemple votre consommation de viande. L'Amazonie –et plus largement l'Amérique du Sud– abrite de larges cultures de soja destinées à nourrir les animaux d'élevage, qui remplacent de vastes parcelles de forêt tropicale.
Référez-vous au site Rainforest Alliance pour choisir des marques qui s'engagent à préserver les ressources locales.
De même, préférez toujours les transports en commun aux véhicules individuels, même ceux utilisant des biocarburants: les surfaces mises en culture pour les produire empiètent sur les zones forestières.
Soutenez, parlez, protestez
Vous pouvez ensuite soutenir des associations et ONG qui travaillent sur le terrain pour la protection de la forêt amazonienne. Amazon Frontlines ou le Rainforest Action Network, pour ne citer qu'elles, font tout leur possible pour minimiser la catastrophe.
Vous avez également la possibilité de participer à la reforestation depuis votre canapé: le moteur de recherche Ecosia utilise ses revenus publicitaires pour planter des arbres –plus de 65 millions depuis sa création– partout dans le monde. En juillet, l'entreprise s'est engagée à mettre en terre un million d'arbres supplémentaires au Brésil.
Mais la chose la plus importante que vous puissiez faire est sans doute de parler, de protester, d'échanger et de questionner votre entourage, afin de toucher un maximum de personnes.
Si la mobilisation pour le climat et l'environnement se généralise, via des pétitions, des appels aux gouvernements et des manifestations, la pression sur les responsables politiques pourrait les forcer à vraiment agir.
Slate.fr - Slate - lundi 26 août 2019
04:22 Publié dans ARTICLES ENGAGES, ECONOMIE SOLIDAIRE, EVOLUTION PERSONNELLE, HUMANISME/PHILOSOPHIE, LA FORET, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
02/09/2019
Des thérapeutes se déplacent à l'ancienne...
Selon un article de Mme Amandine Roussel, dans le journal Nous, des thérapeutes proposent de venir à domicile soigner des patients. Il s'agit tout d'abord de Mme Charlène Ferrage, orthopédiste à Fréjus, qui se déplace en camion sans aucun supplément, car elle préfère le contact direct et une vie ambulante à un travail en cabinet. Elle assemble par exemple chez elle des semelles et des orthèses pour diverses pathologies. puis elle les livre à des hôpitaux, des cliniques ou des particuliers de l'arrière-pays entre Fréjus et St Raphaël. Offrir un vrai service et du sur-mesure est en effet son but. On peut la contacter sur Facebook (cf orthopédie).
Dans le même état d'esprit se trouve Mr Pierre-Louis Billant, ostéopathe à Nice qui se déplace à domicile chez des particuliers ou dans des entreprises sur sa bicyclette. Mr Jonathan Trullard, dans Nous, décrit ses journées d'ostéopathe à domicile, spécialisé notamment dans les troubles crâniens. Mr Billant accepte les RV de 8H à 22H dans les secteurs de Nice Centre ou de Nice Nord. Le vélo lui permet de se déplacer rapidement. Il facture son déplacement et il construit peu à peu son réseau sur Nice nommé Cycl'ostéo. Le concept existait déjà à Lyon, Bordeaux, Nantes et Toulouse, d'où est originaire le fondateur du groupe. Tout renseignement sur: www.cyclosteo.fr.
Lyliane
Un portable qui fait du bruit quand on le mouille...
Connaissez-vous Crosscall? C'est un système idéal pour les passionnés d'activités nautiques et les baroudeurs. En effet, il améliore les performances du modèle Shark. La force de celui-ci, c'est sa flottabilité, car même s'il tombe à l'eau, de jour comme de nuit, il remonte à la surface et il émet une lumière rouge en faisant beaucoup de bruit.
Le modèle résiste aux chocs et peut même photographier sous l'eau. Son autonomie est de 11 jours en veille et de 10h en communications. Il possède un bon appareil photo (5 Mpx) et un bon réseau (3G+). Par contre, il lui manque le GPS. Il pèse 140g et coûte environ 100 euros.
Pour tout renseignement, s'adresser à www.crosscall.com.
Lyliane
01/09/2019
Isoler sa maison du sol au plafond sans gaspillage...
Les Compagnons de l'Habitat sont des spécialistes de l'isolation dans le respect de l'environnement. Laine de roche volcanique ou laine de verre en rouleau, en panneau ou soufflée, grâce à un procédé automatisé, l'entreprise isole la maison du sol au plafond, que ce soit pour des planchers rampants de toits, des greniers et des combles perdus...
L'objectif est de réduire la facture et les déperditions thermiques qui peuvent aller jusqu'à 30% en cas de mauvaise isolation de la toiture. Pour l'isolation par soufflage, la pose est simple et rapide: après un détuilage partiel (appelé trou d'homme), les flocons de laine de roche ou de verre sont soufflés jusqu'à l'obtention d'un matelas de 32 cm d'épaisseur, équivalent à une résistance thermique de R=7m2 K/W.
L'intervention s'effectue par l'extérieur (pas de poussière) et garantit une isolation durable et optimale pour 50 ans environ. Les Compagnons de l'Habitat de votre département retirent l'ancien isolant stockent les déchets dans des sacs avant de les évacuer vers une déchetterie. Ils effectuent également un repérage systématique des boitiers électriques avant d'intervenir.
La société est membre de la Fédération Française du Bâtiment (FFB) et elle offre une prime d'énergie qui s'ajoute au crédit d'impôt de 30% en vigueur, mesure gouvernementale prolongée jusqu'au 31/12/2019, uniquement pour les travaux d'isolation des toitures. Avec eux, pas de sous-traitance et garantie décennale assurée. Pour tout renseignement, s'adresser par exemple pour la région parisienne à www.isolation-toiture-yvelines78.fr.
Lyliane
05:08 Publié dans ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, GESTION DES DECHETS, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, LECTURES, SOCIETE COLLABORATIVE, URBANISME, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
31/08/2019
Convertion d'une voiture thermique en électrique...
Afin d'en apprendre davantage sur le rétrofit électrique — qui consiste à convertir une voiture thermique à l’électrique —, nous avons pu découvrir le prototype de la start-up française Transition-One, conçu sur la base d'une Renault Twingo.
Si la demande pour des véhicules électriques venait à s’intensifier subitement, elle pourrait aller plus vite que le renouvellement du parc automobile. Il n’y aurait alors pas encore assez de véhicules électriques d’occasion pour répondre à ce besoin. Transition-One souhaite permettre le passage à l’automobile électrique sans débourser des sommes astronomiques dans un véhicule neuf, en remplaçant certains organes des voitures thermiques par une chaîne de traction 100 % électrique.
Si la promesse de convertir une voiture d’occasion en véhicule électrique est séduisante, elle cache bien des contraintes technologiques et légales. Pour éclaircir le sujet, nous avons pu découvrir le premier prototype de Transition-One et nous entretenir avec Aymeric Libeau, le fondateur de la start-up française qui souhaite faire du rétrofit électrique son cœur de métier.
C'est donc une Renault Twingo de seconde génération qui a bénéficié de ce traitement. Si l’extérieur du cobaye ne change pas, sa partie technique est entièrement revue. Sous son petit capot, on trouve un moteur de 50 kW (68 ch), un contrôleur, ainsi que trois packs de batterie. Ils sont accompagnés par deux autres packs, en lieu et place du réservoir, pour un total d’environ 25 kWh. Cependant, la batterie des versions définitives se contentera d’une capacité qui devrait se situer entre 18 et 20 kWh. Alors que les packs à refroidissement liquide de cette Twingo proviennent d’une Tesla, le fournisseur de batterie définitif n’est pas encore choisi, tout comme la technologie des accumulateurs. Des batteries lithium-ion constituent l’option la plus probable, même si “d’autres technologies sont envisagées”, nous confie Aymeric Libeau. Avec cette faible capacité, Transition-One annonce 100 km d’autonomie en conditions réelles, mais son fondateur nous assure que “cela sera plus en WLTP”, la procédure d’homologation sur laquelle les constructeurs communiquent.
Les voitures converties par Transition-One conserveront leur boîte de vitesses d’origine. Seules les boîtes manuelles sont concernées et les voitures à boîte automatique ne seront donc pas être opérées par Transition-One, qui préfère se concentrer sur le gros du marché. À l’usage, il n’est pas nécessaire d’embrayer à l’arrêt du véhicule, puisque le moteur électrique ne cale pas. Cependant, on peut s'interroger sur la légitimité de ce choix technologique. En effet, une boîte de vitesses n’est pas nécessaire pour un véhicule électrique et cet élément ajoute de la complexité, sans avantage majeur, si ce n’est la possibilité d’augmenter la vitesse maximale. Néanmoins, l’étagement de la boîte de vitesses et le petit moteur de cette Twingo ne lui permettent pas de dépasser les 110 km/h. Pour Aymeric Libeau, le maintien de la boîte manuelle permet aux propriétaires de ne pas avoir à modifier leurs habitudes. En dehors de ce point, les véhicules convertis par Transition-One sont analogues à tous les autres véhicules électriques. Ils bénéficient d’une récupération d’énergie à la décélération et de deux modes de conduite : Éco et Confort. Cependant, le prototype n’embarque ni climatisation ni chauffage, et Transition-One n’a pas encore choisi les solutions qui équiperont les voitures qui sortiront de ses ateliers, au sud d’Orléans. De même, le choix de la prise de charge n'a pas encore été défini.
Cette Twingo a déjà parcouru plus de 6 000 km depuis son rétrofit. Elle n’a été alourdie que de 20 kg et sa répartition des masses est inchangée. Ses qualités dynamiques sont donc préservées. Néanmoins, on touche là à une limite du rétrofit : les contraintes d’un véhicule n’ayant pas été étudié à cet effet. Ainsi, pour embarquer de plus grosses batteries, il aurait fallu plus de place, mais elles auraient engendré une prise de masse, ce qui aurait eu un impact sur le comportement routier
de la voiture. En effet, les trains roulants et les freins sont adaptés à une certaine masse et à un certain centre de gravité. On ne pourrait donc pas alourdir la voiture sans revoir ces éléments. De plus, l’emplacement des batteries sous le capot, dans une zone de déformation prévue pour encaisser un choc en cas d’accident, pourrait s’avérer dangereux. Aucun crash test n’est d’ailleurs prévu d’ici à la commercialisation de ce rétrofit.
Le prochain prototype converti par Transition-One sera une Fiat 500. Elle sera suivie par un trio franco-japonais : Peugeot 107, Citroën C1 et Toyota Aygo. La petite Fiat dispose bien d’une version électrique nommée 500e, mais elle n’est pas vendue en France et les modèles importés sont rares et chers. Si la liste de véhicules éligibles à la conversion doit débuter par des mini-citadines, elle pourrait s’ouvrir aux citadines du segment B, comprenant les Peugeot 206, Renault Clio et Volkswagen Polo, ainsi qu’aux utilitaires. Des configurations de batterie différentes pourraient alors être proposées.
05:35 Publié dans ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, ENERGIES ET CLIMAT, ENERGIES NOUVELLES, EVENEMENTS, EVOLUTION PERSONNELLE, GESTION DES DECHETS, HUMANISME/PHILOSOPHIE, MEDIAS, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
30/08/2019
Timbres-poste en France...
Dès le 1er janvier 2020, le timbre rouge passera à 1,16 euro et le vert à 0,97 euro, augmentant ainsi de respectivement 11 et 9 centimes.
Dès le 1er janvier prochain, il faudra payer plus cher pour envoyer une lettre. La Poste a annoncé, ce jeudi 25 juillet, une augmentation des prix des timbres rouges (prioritaire) et vert. Alors qu'ils avaient déjà fait l'objet de plusieurs hausses ces dernières années, en 2020, les timbres subiront une augmentation de 10%, rapporte franceinfo. D'une manière générale, "les tarifs courriers augmenteront de 4,7 % en moyenne" explique La Poste. Conséquence de "l'accélération de la baisse des volumes du courrier", cette augmentation tarifaire doit assurer la "pérennité du service universel avec une qualité élevée" et permettre de "continuer à moderniser les offres pour répondre aux usages et aux besoins de ses clients", s'est justifiée La Poste.
Aujourd'hui, le prix du timbre vert est de 0,88 euro. Il passera à 0,97 euro en janvier prochain. De son côté, le timbre rouge (prioritaire) coûtera 1,16 euro, contre 1,05 euro aujourd'hui. Pour comparaison, ce dernier coûtait 66 centimes il y a cinq ans. Enfin, le prix de la lettre internationale, désormais identique pour l'UE et le reste du monde passera de 1,30 à 1,40 euro. Les affranchissements des Colissimos augmenteront également de 2% pour les particuliers. En revanche, pas d'augmentation pour le Colissimo de moins de 250g destiné à l'envoi de petits objets. Il coûtera donc toujours 4,95 euros. Pas de changement non plus pour sa version avec signature en recommandé qui restera à 7,45 euros.
Imprimer son timbre coûte moins cher
La Poste rappelle que via le service Montimbreenligne.fr, les particuliers et professionnels peuvent directement imprimer les timbres rouges ou verts chez eux et économiser ainsi 3 centimes. Après de nombreuses années de recul du courrier, les comptes de La Poste se dégradent. En 2018, l'entreprise a vu son bénéfice d'exploitation baisser de 11,8 %.
Marine Thoron - Capital - jeudi 25 juillet 2019
La bonne occasion, qui fait la différence...
Pourquoi acheter du neuf, quand on peut avoir mieux pour moins cher en optant pour un ordinateur reconditionné? Pour un PC de bureau, un PC graphique ou un PC portable, la Société Sorepi par exemple remet sur le marché des appareils de gamme professionnelle issus du parc informatique de grandes entreprises avec des garanties allant de 1 à 2 ans. Moins coûteux, plus fiables et plus performants, ces ordinateurs à qui une deuxième vie est offerte tiennent la dragée haute aux produits neufs destinés au grand public.
En plus, nous participons de ce fait à l'économie durable liée à l'acquisition d'un matériel d'occasion. Il y a même des possibilités de configuration sur mesure pour des stations de travail (CAO, DAO). Pour tout renseignement, contacter la Société Sorepi, dont Mrs Philippe Vernin et Thierry Hilaire à www.contact.materiel-informatique-occasion.com ou sur le site www.materiel-informatique-occasion.com.
29/08/2019
En finir avec les bateaux pollueurs...
Je relève, dans "Courrier International", un long article au sujet des 200 plus gros navires qui produiraient autant de dioxyde de soufre que l'ensemble des automobiles en circulation dans le monde. A compter de janvier 2020, une nouvelle réglementation visera à réduire ces émissions. C'est un premier pas dans ce secteur fondamental pour le commerce mondial et le tourisme selon le Financial Times et le journal croate Express. Ces mesures devraient permettre de réduire d'au moins 50% les gaz à effet de serre ( GES) d'ici à 2050.
Le transport maritime est le poumon de l'économie mondiale. Plus de 90 000 navires sillonnent, en effet, les mers du globe pour acheminer pétrole, minerais, jouets, aliments et touristes. Et il faut savoir que le fioul du transport maritime a une concentration en soufre 3500 fois supérieure à celle du diésel. Les dommages que cause le dioxyde de soufre, d'oxydes d'azote et de particules se font au détriment des habitants des zones littorales et des ports d'Asie essentiellement. Il y a de ce fait de nombreux cas d'asthme infantile et des décès prématurés ( plus de 1000 morts par jour).
Ces gros bateaux produisent aussi 2 ou 3% des émissions mondiales de GES, tels que le dioxyde de carbone. En Europe, Barcelone est le port le plus pollué par les émissions d'oxydes de soufre des paquebots de tourisme. Venise souffre aussi des grands bateaux qui passent au milieu de la lagune et provoquent des ondes qui endommagent à long terme les fondements de la ville. En guise de solutions, il a été évoqué la possibilité de réduire la vitesse des bateaux, mais les pourparlers n'ont pas abouti jusqu'ici. Certains étudient la transformation de ces bateaux en ferries électriques. Quoi qu'il en soit, le respect des nouvelles règles dépendra de la capacité des gouvernements à exercer des contrôles et à rendre leur application obligatoire... A nous de les demander à nos représentants et de veiller à choisir les moyens de transport les moins polluants!
Lyliane
05:44 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, CITOYENNETE, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, ENERGIES ET CLIMAT, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, L'EAU ET LA MER, LECTURES, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Tags : comment endiguer la pollution des gros navires? | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
27/08/2019
L'applique Yuka permet de décrypter la composition des produits alimentaires...
J'ai découvert il y a peu de temps qu'on peut installer une application nommée Yuka sous IOS ou Android, afin de scanner les codes-barres des produits alimentaires. Son utilité est de connaître leur qualité nutritionnelle et la présence éventuelle d'additifs ou au contraire leur label bio. L'appli fonctionne grâce aux préconisations de Mr Serge Hercberg, professeur de nutrition santé.
Chaque produit analysé est noté sur 100 et classé selon un code de couleurs vert, orange ou rouge. De plus, une fiche indique les qualités et les défauts du produit. Si le code est vert, pas de souci, mais si le code est orange ou rouge, Yuka propose au consommateur des produits similaires meilleurs pour la santé. Quand on fait ses courses, cela fait la différence! Alors, pourquoi ne pas installer cette appli?
Lyliane
05:03 Publié dans ALIMENTATION ET SOLIDARITE, ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, LECTURES, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Tags : appli yuka | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
L'Ecosse et l'énergie éolienne...
Durant les six premiers mois de l'année 2019, l'Ecosse a atteint un record dans la production d'énergie éolienne. Techniquement, elle aurait pu alimenter deux fois son nombre d'habitations. Des chiffres de bon augure pour atteindre l'objectif des 100% d'énergies renouvelables en 2020.
Un record de bon augure pour la sortie des énergies fossiles. Durant les six premiers mois de 2019, les fermes éoliennes écossaises ont créé assez d’électricité pour alimenter 4,47 millions de maisons. Alors que l’Écosse compte seulement 2,6 millions de foyers sur son territoire. Elle aurait donc pu alimenter deux fois toutes ses habitations durant six mois. En pratique, les éoliennes ont produit, entre janvier et juin, 9,8 millions de mégawattheures d’électricité. Un exploit pour cette branche en Ecosse.
Cette augmentation est principalement expliquée «par la hausse du nombre d’éoliennes, une amélioration des infrastructures d’exportation et des vents forts», assure Alex Wilcox Brooke, chef de projet chez Severn Wye Energy Agency, une société à but non lucratif qui fournit des expertises pratiques pour plus d’efficience énergétique. «L’Ecosse avait déjà connu des périodes avec une forte production, mais celle de ces six derniers mois a été relativement stable, excepté un pic en mars.»
La géographie écossaise est très favorable à la production d’énergie éolienne. Ses nombreux littoraux lui permettent en effet de développer des fermes éoliennes sur terre et sur mer, et ses côtes sont très exposées au vent. Ainsi, la production d’électricité à pleine puissance serait, d’après le chef de projet, de 40% en Ecosse contre 25% pour la moyenne européenne.
Pourtant, si la quantité d’électricité produite depuis janvier aurait pu alimenter deux fois l’ensemble des foyers écossais, la majorité de cette dernière a été exportée au Royaume-Uni. En effet, à cause de la ruralité de l’Ecosse, les lieux de production d’énergie ne sont pas nécessairement ceux où la demande en électricité est élevée. Cette hausse de la production ne signifie donc pas que «la nation a déjà atteint son objectif de n’utiliser que des énergies renouvelables, mais qu’elle en aurait la capacité», souligne Alex Wilcox Brooke.
Nation verte
L’Ecosse est pionnière dans le secteur des nouvelles énergies. Depuis 2005, le gouvernement écossais en a fait sa priorité. L’objectif initial était d’atteindre 40% d’énergies renouvelables en 2020, «mais rapidement, les autorités se sont rendu compte qu’elles pouvaient être plus ambitieuses», explique le chef de projet. «Elles ont pris l’engagement d’être à 50% en 2020. Désormais elles visent 100%.» Un objectif que l'Ecosse n’est pas loin d’atteindre.
Et pour rejoindre ce palier, le pays ne se concentre pas uniquement sur l’éolien. Bien que cette branche représente environ les trois quarts de la production écossaise totale en énergies renouvelables, le gouvernement a également investi dans l’hydraulique, le solaire et dans la biomasse. En tout, d’après Alex Wilcox Brooke, le secteur des énergies renouvelables représenterait un marché d’un milliard de livres (1,12 milliard d’euros) et plus de 17 000 emplois seraient liés à cette industrie, dont 9 200 dans l’éolien.
Alors que les Ecossais exprimaient des réticences face à ces nouvelles énergies, comme dans de nombreux pays, la hausse du prix du pétrole et du nucléaire montre qu’il «devient plus rentable de développer les énergies renouvelables», estime Alex Wilcox Brooke, ce qui convertit de plus en plus de citoyens. Ces derniers records de production prouvent également que l’Ecosse joue un rôle important dans la transition du Royaume-Uni vers une sortie du charbon d’ici 2025.
Lucie Lespinasse - Liberation - mercredi 24 juillet 2019
04:12 Publié dans ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, ENERGIES NOUVELLES, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, L'EAU ET LA MER, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, URBANISME, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
26/08/2019
Vertus thérapeutiques des plantes...
Les vertus thérapeutiques des plantes
Les plantes sont un peu comme les bonnes fées.
Bon, elles ne se penchent pas sur notre berceau à la naissance, mais chacune d’elles possède ses pouvoirs particuliers.
Le problème, c’est que les scientifiques ont donné des termes parfois compliqués (et pas très poétiques) à ces « dons » de la nature.
Saurez-vous les reconnaître ?
Adaptogène
Le terme désigne les plantes qui produisent un effet tonifiant sur l’organisme. Elles lui permettent de mieux supporter le stress et stimulent le système immunitaire. On peut citer par exemple l’éleuthérocoque ou le ginseng.
Amère
Ce type de plantes stimule la digestion et provoque l’appétit. Il est donc conseillé de les prendre en début de repas. La gentiane entre dans cette catégorie.
Analgésique
Se dit des plantes qui soulagent la douleur, comme la lavande et la camomille.
Antiseptique
Ces plantes luttent contre les infections en s’opposant à la prolifération de microbes. Elles peuvent agir par voie interne et externe. C’est le cas de beaucoup d’herbes aromatiques comme le cumin, le fenouil, le persil, le céleri, l’anis, la menthe et l’origan.
Aphrodisiaque
Ce sont des plantes stimulantes connues pour avoir une action sur la libido (gingembre, safran, ginseng…).
Astringente
Ce type de plante possède la capacité de resserrer les tissus, capillaires et orifices. Elles diminuent également les diverses sécrétions produites par les glandes et les muqueuses. Elles sont donc couramment employées en cas de diarrhées, hémorragie et angine. Sont concernées : l’aigremoine, l’airelle, la bistorte, le coing, le cyprès, le noyer et l’ortie.
Carminative
Elles favorisent l’expulsion des gaz de l’intestin, comme le fenouil, la mélisse, l’anis ou encore la badiane.
Dépurative
Se dit d’une plante qui purifie le sang et nettoie l’organisme des toxines en les expulsant par la peau (sudorifique : bardane, bourrache), les reins (diurétiques : bruyère, busserole) ou les intestins (purgatif ou laxatif : bardane, chicorée, salsepareille).
Diurétique
Elles agissent sur les voies urinaires. Certaines, comme le chiendent et le poireau, augmentent le volume des urines. D’autres, comme l’asperge, le bouleau, le fenouil et l’oignon contribuent à l’élimination des chlorures.
Elles sont utiles en cas d’œdème rénal ou cardiaque. Le cassis, le frêne, la pomme peuvent être utilisés en cas de surplus d’urée dans le sang. Et pour finir, les baies de genévrier, la verge d’or, la bruyère et la busserole permettent de soulager les inconforts liés aux troubles urinaires (cystite, néphrite, prostatite).
Émollientes
Qui aident à relâcher les tissus et calmer l’inflammation (l’action opposée des plantes astringentes). C’est le cas de l’amande douce, de la consoude ou encore de la mauve.
Galactogène
Intéressantes surtout pour les femmes allaitantes, les plantes galactogènes favorisent la lactation (fenouil, anis, cumin…).
Pectorale
Ce sont toutes les plantes qui aident en cas de maladie des bronches, des poumons et du larynx (taux, maux de gorge, bronchite…).
Purgative
Ces plantes provoquent l’évacuation du contenu de l’intestin, de façon encore plus puissante qu’une plante laxative. Parmi celles-ci, on peut citer le liseron et les baies de nerprun.
Stimulante
Ces plantes tonifient l’organisme de façon générale. Elles stimulent le système nerveux et vasculaire. On peut citer : l’absinthe, l’angélique, le café, l’armoise, la cannelle, la coriandre, le romarin, etc.
Tonique
Elles fortifient l’organisme en général, redonnent de l’énergie, de la tonicité au corps et stimulent l’activité des organes. Par exemple : centaurée, chicorée, gentiane, cassis, aigremoine. On appelle aussi ces plantes « fortifiantes ».
Et bien d’autres encore…
La liste est encore longue : analeptique (fortifiantes),
Si j’ai oublié d’autres termes de phytothérapie qui vous paraissent importants, je vous invite à compléter ce glossaire en m’envoyant un commentaire (cliquez ici pour m’écrire).
Je vous enverrai alors une nouvelle version plus complète qui tient compte de vos ajouts.
En attendant, si vous débutez en phytothérapie, n’hésitez pas à imprimer cette lettre et à la garder à proximité de vos tisanes.
J’espère qu’elle vous sera utile.
Amicalement,
Florent Cavaler
05:07 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HUMANISME/PHILOSOPHIE, JARDINS ET POTAGERS, LA FORET, LECTURES, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Tags : vertus des plantes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
24/08/2019
Agir pour le climat et la qualité de l'air...
Un dossier contenu dans un encart gratuit, joint à la revue "Sans transition" paru pour les mois d'été 2019, attire notre attention sur la démarche originale du projet Climaera, programme de coopération transfrontalier franco-italien sous l'égide de l'Union Européenne. Ce projet s'intègre dans le programme de coopération Alcotra. Depuis 1990, Climaera cherche, en effet, à mobiliser les citoyens français et italiens (Ligurie, Val d'Aoste) sur la question de la pollution de l'air et du climat, qu'il convient de traiter en même temps car elles sont liées, tout en recherchant des solutions "gagnant-gagnant".
Un outil transfrontalier RIAT+ a été crée et présente des indicateurs sous forme de cartes relatifs à la qualité de l'air et du climat, sélectionnant les secteurs d'activité sur lesquels il est urgent d'agir. Il a notamment calculé la répartition des coûts à investir et le pourcentage de réduction des concentrations de particules entre 2015 et 2030 en PACA (oxydes d'azote et particules fines). Le Centre euro-Méditerranéen sur le Changement climatique (CMCC) essaie de prévoir l'évolution des températures basée sur 2 scénarios. Un scénario optimiste de réduction des émissions de gaz à effet de serre (+ de 2°C) et un pessimiste pour la région PACA (plus de 3°) avec son cortège de conséquences prévisibles.
A nous de faire pression sur nos élus afin que le scénario soit le moins polluant pour le futur de nos enfabnts et petits-enfants! Pour en savoir davantage, joindre par exemple l'organisme régional pour veiller sur la qualité de l'air dans notre pays: www.atmo.fr
Lyliane
05:16 Publié dans ARTICLES ENGAGES, CITOYENNETE, ECONOMIE SOLIDAIRE, EVOLUTION PERSONNELLE | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
23/08/2019
Plaidoyer en faveur de l'environnement à l'ONU d'un acteur espagnol J. Bardem...
Grand défenseur de l'environnement, l'acteur espagnol s'est fait le porte-voix des océans devant de "nombreux sièges vides".
"Les océans ont besoin de nous" : l'acteur espagnol Javier Bardem a appelé le 19 août, dans un vibrant plaidoyer au siège des Nations unies à New York, à la signature d'un traité international pour protéger les océans de la planète.
Farouche défenseur de l'environnement, Javier Bardem participe à une campagne de l'organisation écologiste Greenpeace visant la création d'un réseau mondial de sanctuaires marins. "Nos océans sont au point de rupture et nous en sommes tous en partie responsables", a-t-il déclaré à la tribune de l'ONU, appelant les représentants de l'organisation internationale à agir "ici et maintenant".
"Il n'y a pas Dwayne Johnson pour nous sauver"
L'Oscar 2008 du meilleur second rôle masculin pour son interprétation d'un tueur sans pitié dans No Country for Old Men des frères Coen, a regretté les "nombreux sièges vides" face à lui. "Les océans appartiennent à tous, mais leur avenir est aujourd'hui entre vos mains", a-t-il insisté avant que ne soit projeté en avant-première le film de son expédition en Antarctique avec Greenpeace l'an dernier.
La star espagnole a d'ailleurs fait plusieurs allusions au 7e art. "Nous sommes tous des méchants", a dit celui qui endosse régulièrement le costume du "bad guy" au cinéma. Mais dans la vraie vie, "il n'y a pas Dwayne Johnson pour nous sauver".
Javier Bardem a regretté la décision du président américain Donald Trump de retirer les États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat : "On ne peut pas vivre dans le déni". Les océans se cherchent toujours un "happy end".
Franceinfo - Franceinfo - mardi 20 août 2019
06:52 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HUMANISME/PHILOSOPHIE, L'EAU ET LA MER, MEDIAS, MONDE ANIMAL, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Tags : protection des océans | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
Une radio qui permet de faire entrer les auditeurs "dans le paysage"...
Un article de Mme Tiphaine Cicéron dans le journal Télérama nous présente un ancien guide de montagne, Mr Patrick Avakian, qui après avoir gravi moult sommets du monde s'attache actuellement à sensibiliser en 30 minutes les auditrices et auditeurs de Soundcloud H 1000 ( qui passe sur 35 radios locales ) à des sons enregistrés dans la montagne des Pyrénées. En randonnant sac au dos, été comme hiver, et en enregistrant les sons de la nature, Mr Avakian communique la "mémoire sonore" des bois et des sommets pyrénéens qu'il parcourt.
Ce passionné de nature, originaire de l'Ariège, qui a fait ses armes à Radio Campus Toulouse depuis 1986, a été récompensé à plusieurs reprises: prix Pyrène en 2000 et 2011, prix Phonurgia Nova en 2016, en catégorie Field Recording. Il fait lui-même la promotion des radios locales, "moins formatées, donnant une ouverture sur la création sonore sans limites". Le guide s'inquiète toutefois des changements qu'il perçoit: forêts peu à peu vidées d'oiseaux et d'insectes, pollution aérienne continuelle...
Bravo à une telle initiative qui nous change de la musique habituelle et des nouvelles en continu diffusées ailleurs! Le brame du cerf, le son des grillons, les craquements ténus de la fonte des neiges, les bruissements des feuilles des arbres..., tout cela nous permet de lâcher-prise, de rêver à de grands espaces et de vivre de belles émotions. Faisons la promotion de ces "randonnées sonores" qsui nous reconnectent à la nature. Tout contact grâce à www.h1000.free.fr.
Lyliane
06:40 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, CITOYENNETE, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, LECTURES, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, URBANISME, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
22/08/2019
La Norvège s'engage dans des sanctions pour lutter contre la déforestation...
Le ministre de l'Environnement norvégien a accusé le Brésil de ne pas vouloir réduire la déforestation, alors que la surface déboisée en juillet 2019 est équivalente à la superficie du Luxembourg.
Après l’Allemagne, c’est au tour de la Norvège de bloquer 30 millions d’euros d’investissements, initialement prévus pour la protection de la forêt amazonienne brésilienne. Brasilia est accusé par Oslo de «ne plus souhaiter arrêter la déforestation» et d’avoir rompu l’accord passé avec les différents donateurs du Fonds de préservation de la forêt amazonienne. Ce fonds, créé en 2008, a pour but de prévenir et combattre la déforestation et de préserver l’Amazonie brésilienne. Avec près de 828 millions d’euros versés depuis 2008, la Norvège en est le principal investisseur.
Mais dernièrement, le Brésil a suspendu unilatéralement le conseil d’administration et le comité technique du Fonds pour l’Amazonie, ce qui va à l’encontre de son règlement, d’après le ministre norvégien de l’Environnement et du Climat. Cette suspension a été confirmée par Ricardo Salles, le controversé ministre de l’Environnement brésilien, qui a expliqué que les règles «régissant le Fonds amazonien sont en discussion» et qu’il attendait d’en voir les résultats. Tous les ans, la Norvège verse une somme plus ou moins importante au Brésil. Cette dernière dépend des résultats obtenus dans la lutte contre la déforestation. D’après les estimations d’un comité technique et en se basant sur les résultats de la déforestation en 2018, la Norvège aurait dû verser 30 millions d’euros au Brésil cette année, ce qu’elle refuse désormais de faire.
Samedi dernier, c’était l’Allemagne qui annonçait ne plus vouloir donner une partie de la somme initialement prévue. La ministre de l’Environnement, Svenja Schulze, affirmait que les 35 millions d’euros, qui devaient être versés par son ministère, allaient être bloqués, jusqu’à ce que des signes encourageants d’une diminution de la déforestation ne soient fournis. Elle estime que «la politique du gouvernement brésilien dans l’Amazonie soulève des doutes quant à une réelle volonté de réduction de la déforestation». Le ministère allemand de la Coopération économique et du Développement pourrait tout de même verser près de 55 millions d’euros pour la protection de la forêt tropicale. Son ministre ne prévoit en effet pas de bloquer cette somme, considérant que «tous ceux qui connaissent l’importance de cette forêt pour le climat doivent renforcer ces mesures au lieu d’y mettre fin».
Climatoscepticisme et déforestation
Quant à savoir si ces deux décisions feront réagir le président brésilien, rien n’est moins sûr. De l’autre côté de l’Atlantique, Jair Bolsonaro n’a comme à son habitude, pas mâché ses mots et a assuré ne pas vouloir recevoir de leçons de la part des pays donateurs. Suite à la décision norvégienne, il a déclaré devant les journalistes : «La Norvège n’est-elle pas le pays dans lequel on tue les baleines dans le Pôle Nord ?» Avant de conseiller Oslo : «Prenez cet argent et aidez Angela Merkel à reboiser l’Allemagne.»
Bolsonaro fait partie du club des climatosceptiques et ses politiques en sont le parfait exemple : réduction du budget alloué au climat, quasi-suppression du ministère de l’Environnement ou encore remise en cause de l’espace vital des peuples indigènes. Depuis son arrivée au pouvoir en janvier, il n’a cure des avertissements de ses homologues et prend le réchauffement climatique comme une farce, en proposant par exemple de ne «faire caca qu’un jour sur deux» pour protéger l’environnement. Le Brésil est d’ailleurs, d’après l’ONG Global Witness, le quatrième pays le plus dangereux pour les défenseurs du climat, avec vingt personnes tuées en 2018.
Pas étonnant donc que malgré le maintien du Brésil dans l’accord de Paris, la déforestation se soit fortement accentuée, mettant en danger les populations indigènes et la biodiversité. Les dernières données fournies par l’Institut national de recherche spatiale brésilien (INPE), l’organisme chargé de mesurer la déforestation en Amazonie, montrent qu’au mois de juillet 2019, environ 2254 km² de forêt tropicale ont été rasés. Soit une surface quatre fois supérieure à celle de juillet 2018 et presque équivalente à la superficie du Luxembourg. Pourtant, le président brésilien assure que les mesures de l’organisme sont mensongères et a contraint le directeur de l’INPE, Ricardo Galvão, à la démission le 2 août.
Grand défenseur de l’agriculture intensive, Jair Bolsonaro a pour projet de développer les berges du fleuve Amazone. Il est donc très incertain que les décisions allemandes et norvégiennes l’incitent à changer sa ligne politique. L’Amazonie est considérée comme vitale par les scientifiques dans la lutte contre le réchauffement climatique. Qualifiée de «poumon vert» de la Terre, la forêt tropicale abrite 50 à 70% de la biodiversité mondiale d’après WWF et constitue une source importante de captation de CO2. Pourtant, peu de pays ont proposé des mesures concrètes pour tenter de contrer les politiques du président brésilien. Après la conclusion du texte sur l’accord commercial avec les pays du Mercosur, seule la France a exprimé quelques réticences et demandé des garanties sur la protection de la forêt tropicale.
Lucie Lespinasse - Liberation - vendredi 16 août 2019
08:46 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, LA FORET, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Tags : lutte contre la déforestation | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
Nutrition saine et consciente...
Dans Valeurs Mutualistes du 2ème trimestre 2019, un article de Mme Katia Vilarasau a retenu mon attention. Il concerne notamment les recommandations alimentaires et les activité physique diffusées depuis 2001 dans le cadre du Programme national nutrition santé (PNNS) réactualisées par l'Agence de Santé publique France récemment. Si les slogans "Mangez 5 fruits et légumes par jour" et "mangez bougez" restent d'actualité, ils ont été revus et modulés par l'ensemble des experts. Et, de plus en plus, 60 minutes de marche sont recommandées à tous chaque jour pour éviter la sédentarité.
Les nouvelles recommandations nutritionnelles portent sur trois points principaux. Tout d'abord, augmenter la part de légumineuses et de fruits à coques. L'accent, en effet, est mis sur les légumes secs, pois chiches, lentilles et sur les fruits à coque sans sel ajouté: amandes, noix, pistaches. Dans le même esprit sont préconisés les féculents: pain, pâtes et riz complets ainsi que certaines huiles (colza, noix ) en plus de l'huile d'olive.
La seconde recommandation est de réduire la consommation de produits transformés et particulièrement de viande, de charcuterie et de produits industriels comme pizzas, lasagnes, conserves... Par contre, deux produits laitiers par jour ( laits de vache, de chèvres ou laits végétaux en cas d'intolérance au lactose) sont recommandés pour les adultes et trois ou quatre pour les enfants, les adolescents et les personnes âgées que ce soit par des yaourts, des fromages ou des boissons lactées.
Enfin, pour la première fois en France, les nouvelles recommandations nutritionnelles intègrent l'environnement en encourageant notamment la consommation d'aliments de saison, produits localement et si possible bio. Il faut en outre réaliser que pour nourrir bientôt 10 milliards de terriens tout en préservant l'environnement, il faudrait réduire de plus de 50% la consommation de sucres ajoutés et de viande rouge dans les pays développés et augmenter la consommation mondiale de noix, de fruits et de légumes frais.
Comme quoi ce qui est bon pour la nature est également favorable à notre santé! A nous d'en tenir compte,d'acheter à des producteurs locaux et de boycotter produits transformés industriellement et viande rouge... Car des protéines se trouvent en abondance dans des végétaux délicieux à déguster et de petits poissons gras.
Lyliane
05:54 Publié dans ALIMENTATION ET SOLIDARITE, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, JARDINS ET POTAGERS, LECTURES, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
17/08/2019
Bali bannit les plastiques à usage unique...
Adorée par les yogis du monde entier et les instagrammeurs en quête du cliché ultime, l’île de Bali est pourtant moins reluisante qu’elle n’y paraît. Non-traitement des déchets, pollution, et bouteilles en plastique (l’eau n’est pas potable sur l’île) et tourisme de masse menacent aujourd’hui le fragile équilibre naturel de Bali et de ses habitants. Face à l’imminence d’une catastrophe écologique de grande ampleur, le gouvernement indonésien avait annoncé fin 2018 envisager de bannir le plastique à usage unique afin d’éviter que la pollution ne se propage davantage.
C’est désormais chose faite : depuis le 2 juillet 2019, une loi interdit l’utilisation de sacs plastiques, pailles et autres polystyrènes (souvent utilisés comme isolant thermique). Le gouvernement espère ainsi réduire de 70% la quantité de plastique qui pollue actuellement ses eaux et ses plages paradisiaques. Quant à celles et ceux qui n'ont pas la patience d'attendre que le sable fin retrouve son éclat d'antan, suivez le guide Vanity Fair sur la meilleure façon de visiter Bali tout en limitant son impact écologique.
Vanity Fair - mercredi 3 juillet 2019
14/08/2019
Comment sauver les oiseaux européens?
En trente ans, 421 millions d’oiseaux ont disparu du ciel européen. La faute aux pesticides, qui tuent tous les insectes et affament nos passereaux, mais aussi au… braconnage, à la chasse au lacet étrangleur et à la colle ! Notre reporter a enquêté auprès des paysans, des scientifiques et des lanceurs d’alerte. Le constat est accablant : quasiment rien n’est fait pour enrayer cette hécatombe.
Eric Hansen est un baroudeur, et tout en lui reflète son passé. Visage buriné, regard franc qui impose un mélange de respect et de sympathie. Délégué interrégional de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), il a parcouru la Guyane durant dix ans. Là-bas, Eric a traqué les voyous atteints de collectionnite aiguë, prêts à dépenser des milliers d’euros pour mettre en cage des oiseaux couleur arc-en-ciel ou à enfermer des caïmans dans leur piscine. Il a démantelé un trafic de grenouilles dendrobates, convoitées par les laboratoires pharmaceutiques européens pour la puissante toxine qu’elles sécrètent : les batraciens passaient la douane dissimulés dans des étuis de pellicule photo. Mais parmi ses faits d’armes, cet inspecteur de l’environnement se souviendra longtemps de cette saisie réalisée dans le sud de la France, où il œuvre désormais. Le 12 janvier dernier, chez un habitant de La Crau (Var), Eric Hansen et ses agents découvrent près de 2 000 pièges destinés à capturer des oiseaux. « Du braconnage industriel, je n’avais jamais vu ça ! raconte-t-il. Nous avons également trouvé 75 dépouilles – des rouges-gorges, pour la plupart – plumées et désossées dans le congélateur, et 12 tarins des aulnes détenus dans une cage. Autrefois, en Provence, il était d’usage de manger en brochette grives, fauvettes à tête noire, rouges-gorges… Depuis 1976, tous les passereaux [terme générique qui définit ces espèces] sont protégés. Mais les traditions ont la vie dure. » Trois mois plus tard, ce sont 46 pièges et 112 passereaux vivants, destinés au marché noir, que ses collègues saisissent chez des particuliers, près de Lille cette fois. Des verdiers, des linottes mélodieuses, des pinsons, des sizerins… mais aussi des chardonnerets, petits bijoux de nos forêts. « Culturellement, le chardonneret est très apprécié par les personnes originaires du Maghreb pour son chant mélodieux hors du commun et ses couleurs chatoyantes, explique Eric. Et il continue de séduire dans le nord de la France. » Les mineurs en emportaient toujours un au fond de la mine : en cas d’émanations mortelles, l’oiseau ne chantait plus. Il est désormais la cible d’un commerce international très lucratif. Piégé dans la nature, il doit participer à des concours de beauté et de chant durant lesquels il ingurgite des graines de cannabis pour se « chauffer la voix ». Triste ironie : ramené au gramme, le prix de cet oiseau, qui peut atteindre les 2 000 euros, est aujourd’hui plus élevé que celui du shit. D’autant qu’il devient rare.
Deuxième pays consommateur de pesticides en Europe derrière l’Espagne, la France lançait en 2008 le plan Ecophyto, avec pour objectif de réduire de 50 % l’usage des poisons sur dix ans. Raté : entre 2009 et 2017, l’utilisation des pesticides a augmenté de 12,4 %. On se tâte sur le glyphosate, on propose des dérogations pour les néonicotinoïdes. Et alors que la loi alimentation prévoyait d’interdire en 2022 la production et les exportations des pesticides jugés dangereux, le Sénat a détricoté cette avancée en la reportant de trois ans.
Du côté des agriculteurs pourtant, la réflexion est engagée. « Les produits, moins j’en utilise, mieux je me porte, assure Hervé Lapie, agriculteur dans la Marne et responsable environnement chargé du dossier biodiversité à la FNSEA, le principal syndicat agricole. Nos pratiques ont sans doute eu des conséquences sur la disparition des oiseaux, des insectes… Mais on ne peut pas accuser les agriculteurs de tous les maux ! Nous voulons évoluer pour accompagner la transition écologique, à condition d’avoir un revenu garanti. Je préside l’association Symbiose, pour des paysages de biodiversité, créée avec des chasseurs et des apiculteurs. L’idée est de développer des ressources mellifères, de remettre des haies, de laisser les bords de chemin intacts pour favoriser le retour de la petite faune. Nous menons aussi des expérimentations avec l’Inra sur les auxiliaires de cultures. On est encore neufs dans ce domaine, ça demande un gros volet de formation. On n’a pas appris tout ça à l’école… »
Anne-Cécile Beaudoin - Paris Match - mercredi 7 août 2019
05:28 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, JARDINS ET POTAGERS, LA FORET, MEDIAS, MONDE ANIMAL, NATURE ET ENVIRONNEMENT, QUESTIONNEMENTS | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
Un dispositif anti-noyade en piscine...
Alimenté grâce à des panneaux solaires et relié à un dispositif d’alarme, l’engin prend le rôle d’un sauveteur en émettant un bruit très sonore alertant les personnes à proximité de la piscine en cas de personne immobile sous l’eau et donc potentiellement noyée. Une notification sur smartphone est également envoyée à chaque fois qu’une personne entre dans la piscine. Très facile à utiliser et à installer, le Coral Manta 3000, produit phare de la start-up Coral Detection Systems a conquis la société anglaise SPSC (spécialistes de la sécurité des piscines) qui en a acheté 250 000 exemplaires pour 500 millions de dollars, soit 1778 euros par machine. Eyal Golan, fondateur et PDG de Coral Dectection Systems affime : “Ce système offre une tranquillité d’esprit qu’aucun autre dispositif de sécurité de piscine ne peut fournir.” Lancé en 2018, le Coral Manta 3000 est le premier appareil automatisé de sa génération conçu spécifiquement pour surveiller l’activité sous-marine de votre piscine. ...
Cet article a été initialement publié par ©siliconwadi.fr.
siliconwadi.fr/22446/piscines-une-technologie-anti-noyade...
16 July 2019 Ariel Barr...
05:07 Publié dans ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVENEMENTS, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, L'EAU ET LA MER, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
13/08/2019
Greta Thunberg gagnera les Etats-Unis en voilier...
BATEAU - La militante écologique refuse de prendre l’avion pour des raisons environnementales
Greta Thunberg, figure de la lutte contre le réchauffement climatique, est attendue à New York au sommet mondial sur le climat organisé par le secrétaire général de l' ONU Antonio Guterres le 23 septembre. La Suédoise a annoncé lundi qu’elle s’y rendrait en voilier. « On m’a proposé une place sur le bateau de course Malizia II. Nous traverserons mi-août l’océan Atlantique du Royaume-Uni jusqu’à New York », a écrit sur les réseaux sociaux l’adolescente de 16 ans.
Le bateau, dirigé par le skipper allemand Boris Herrmann et le fondateur monégasque de l’équipe Malizia, Pierre Casiraghi, hissera pour l’occasion une voile barrée du slogan « #Fridays for future » («Les vendredis pour l’avenir »), du nom du mouvement lancé de la jeune militante. Greta Thunberg voyagera également aux côtés de son père Svante Thunberg, et du réalisateur Nathan Grossman, qui réalise un documentaire sur le combat mené par la jeune fille.
Refus de l’avion « à cause du climat »
« Après des mois de recherche et de réflexion sur les différentes options concernant son voyage, Greta traversera l’Atlantique à bord d’un voilier de course zéro carbone, le Malizia II, construit en 2015, équipé de panneaux solaires et de turbines sous-marines permettant de produire de l’électricité sur le bateau », a déclaré Boris Herrmann sur son site Internet.
Greta Thunberg, qui refuse de prendre l’avion « à cause du climat », s’était rendue en janvier dernier en train de Stockholm au Forum économique mondial de Davos en Suisse, un périple de 32 heures.
Une année sabbatique pour lutter contre le réchauffement
La jeune fille est attendue sur le continent américain dans le cadre d’une série de rencontres sur le thème du climat, un voyage qui doit durer plusieurs mois. « J’ai décidé d’essayer de prendre une année sabbatique et de voyager dans différents endroits, par exemple du nord au sud de l’Amérique où j’ai reçu plusieurs invitations pour assister à des sommets », avait-elle confié en juin.
L’adolescente doit également se rendre à la COP25 au Chili en décembre. Aux Etats-Unis, il s’agira du premier déplacement de la jeune fille sur le sol américain depuis le lancement de son mouvement « Fridays For Future ». La jeune Suédoise a commencé l’été dernier son action en solitaire, s’installant tous les vendredis devant le Parlement à Stockholm pour demander aux élus d’en faire plus contre le changement climatique. Quelques mois plus tard, de Sydney à Bruxelles, de Berlin à La Haye ou à Londres, des milliers de collégiens et de lycéens répondent à son appel hebdomadaire à la grève pour le climat en défilant dans les rues.
J.-L. D. avec AFP - 20 Minutes - mardi 30 juillet 2019
05:50 Publié dans ARTICLES ENGAGES, CITOYENNETE, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, ENERGIES ET CLIMAT, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
12/08/2019
Le biomimétisme ou l'imitation du vivant comme support de création...
Dans le journal Télérama, un dossier passionnant concernant le biomimétisme a attiré mon attention. Si les scientifiques s'intéressent à l'ours, qui hiberne 5 à 7 mois sans dommage pour sa santé ou à l'éléphant tout comme à la mouette argentée, c'est la plupart du temps pour rendre plus résistants les êtres humains et pour améliorer leurs performances techniques ou économiques. Il faut toutefois reconnaître, relève l'auteur de l'article, que "lorsqu'ils essayent de copier quelques-unes des 10 millions d'espèces vivantes, animales ou végétales sur la planète, les chercheurs de tous bords sont émerveillés par le formidable laboratoire naturel qui évolue depuis près de 4 milliards d'années autour de nous". En effet, depuis l'apparition de la vie sur terre, la nature ne cesse d'adapter, de modifier, de rendre plus performantes ou plus résistantes la plupart des espèces vivantes.
Là où je trouve l'article particulièrement porteur d'un message pertinent, c'est à travers la définition du biomimétisme donnée en 1997 par la biologiste américaine Mme Janine Benyus: "c'est une approche humble où la gratitude l'emporte sur l'avidité; une forme de sagesse économique, scientifique et technologique". De même j'apprécie le témoignage de Mr Gilles Boeuf, qui est à la tête du Conseil scientifique de l'Agence Française pour la biodiversité. Ce biologiste dit notamment:" réapprenons à regarder la nature, car tout ce qui s'y passe est prodigieux. Plutôt que de tout casser et de tout exploiter, inspirons-nous de ses règles fondamentales: le vivant recourt à très peu d'énergie et ne gaspille pas. Il ne maximise pas, il optimise et lorsqu'il innove, en choisissant des substances qu'il sait dégrader, il le fait pour tous et non pour les plus puissants". D'après Mr Boeuf, ce serait cela la véritable écologie!
Ainsi que le rappelle l'article de Télérama, le savant Mr Albert Einstein l'avait déjà affirmé: " Tout ce que vous pouvez imaginer, la nature l'a déjà créé". Et Mr Léonard de Vinci observant le vol des oiseaux n'avait-il pas dit bien auparavant?: "Scrute la nature, c'est là qu'est ton futur!" Aussi bien en océanographie que dans les domaines médicaux et technologiques, des découvertes s'effectuent un peu partout dans le monde (Japon, Allemagne, Suisse...), en observant les espèces vivantes et nous pouvons nous en réjouir. En France, à Senlis dans l'Oise, le CEEBIOS, qui a vu le jour en 2015, est le Centre Européen d'Excellence en Biomimétisme. Là, des scientifiques travaillent en inter-displinarité et centralisent les travaux des équipes de chercheurs français et européens.
Toutefois, si cette reconnexion à la nature est nécessaire, ne réduisons pas pour autant le vivant à sa simple utilité pratique, plaide l'océanographe Mr François Sarano: "Partons à la rencontre des espèces pour retrouver le rapport originel au monde, car l'école de la nature est une école de la relation à l'autre, une école de paix". Pour ouvrir nos esprits, lisons par exemple l'ouvrage de Mr Gauthier Chapelle "Le vivant comme modèle" paru chez Albin Michel ou celui de Mr Jean-Philippe Camborde "Il y a du génie dans la nature" publié aux éditions Quae. Enfin, notons dans nos agendas le" Biomim'expo", 4ème édition du grand RV du biomimétisme le 11/9/2019 à l'Hôtel de Ville (4ème arrondissement à Paris) et le 22/10/2019 à la Cité des Sciences et de l'Industrie (Paris 19ème).
Lyliane
05:57 Publié dans DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, JARDINS ET POTAGERS, LECTURES, MONDE ANIMAL, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Tags : le vivant comme modèle, biomimétisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
La salade Santa Barbara...
C'est l'été, il fait chaud, on passe du temps dehors et on rechigne à regagner les fourneaux pour préparer le repas du midi ou celui du soir. Cathleen Clarity a la solution pour ce genre de moments : avec la salade Santa Barbara, comme le nom de la série emblématique des années 1980, la cheffe propose une recette de saison, riche sans être roborative.
"C'est une salade à base de produits frais qui vient de cette région de Californie, la Central Valley, où poussent des produits d'exception", vante-t-elle dans la matinale d'Europe 1, mercredi. "En Californie, on aime les crudités et on mange beaucoup de salades, comme des repas complets."
Étape 1 : réunir les ingrédients
Puisqu'on ne va évidemment pas mettre des VHS de Santa Barbara dans la salade du même nom, on va utiliser des ingrédients divers. "Cette salade mélange des avocats, des dattes, des tomates, des betteraves, de l'oignon rouge et surtout des amandes. Il y a énormément d'amandiers dans ce coin de la Californie", poursuit Cathleen Clarity. Et côté préparation ? "On va tout découper en petits morceaux, de la même taille."
Pour les dattes, il faut prendre des dattes Medjool, "des grosses dattes très charnues, avec des petits noyaux". Coupez les betteraves rouges en cubes et les tomates cerises en deux. On rajoute de la laitue romaine et de la roquette et les oignons rouges. Attention : il faut torréfier les amandes, "pour exalter le goût, ça change du simple au quintuple", assure Cathleen Clarity.
Etape 2 : faire une vinaigrette un peu spéciale
Pour la vinaigrette, laissez le vinaigre balsamique au placard. "On va faire une vinaigrette à base de jus d'orange pressée, d'oignon rouge, de pavot, d'huile d'olive, on émulsionne et on met ça sur la salade", détaille Cathleen Clarity. Rebranchez le magnétoscope, et le tour est joué.
Europe1 .fr - Europe 1 - mercredi 17 juillet 2019
05:02 Publié dans ALIMENTATION ET SOLIDARITE, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HUMANISME/PHILOSOPHIE, JARDINS ET POTAGERS, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
11/08/2019
Rapport annuel de Bio Consom'acteurs...
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05:59 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ALIMENTATION ET SOLIDARITE, ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, HUMANISME/PHILOSOPHIE, JARDINS ET POTAGERS, LA FORET, MEDIAS, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
10/08/2019
Le profil des auto-entrepreneurs en France...
Dix ans après l'entrée en vigueur du statut d'auto-entrepreneur, la démographie d'entreprises a explosé en France. Les chiffres mensuel de l'Insee sur les créations d'entreprises illustrent ce dynamisme entrepreneurial. Pour autant, il existe peu de données récentes sur le profil de ces personnes qui se lancent dans l'aventure. Pour tenter de combler ce vide, l'Acoss, caisse nationale du réseau des Ursaff vient de livrer des statistiques très riches permettant de brosser le portrait de ces entrepreneurs.
À la fin de l'année 2018, la France comptait 1,36 million de micro-entrepreneurs. Ils représentent dorénavant 42% des travailleurs indépendants contre seulement 26% en 2011. L'assouplissement des règles du régime des entrepreneurs a donc suscité de l'engouement. Derrière ce succès, la décision d'adopter ce régime peut aussi révéler des situations de précarité profonde très présentes dans certains pans de l'économie de plateforme par exemple. La persistance de zone grise entre salariat et entrepreneuriat accroît les difficultés pour les pouvoirs publics de réguler des secteurs entiers.
Un statut très masculin: Ce sont surtout les hommes qui sont entrés en majorité dans le dispositif. Ainsi, 61% des immatriculations de micro-entreprises ont été réalisées par des hommes contre 39% par des femmes. En revanche, ces dernières sont économiquement plus actives que les hommes (80% contre 71%).
Le régime de la micro-entreprise est a plus de succès chez les jeunes. La proportion des moins de 30 ans (19%) est plus forte que les plus de 60 ans (12%). L'Acoss précise néanmoins que la part d'entrepreneurs économiquement actifs augmente avec l'âge.
11.298 euros de chiffre d'affaires moyen
Au total, les micro-entreprises ont réalisé 12,4 milliards d'euros de chiffres d'affaires en 2018. Le montant moyen s'établit à 11.300 euros environ. Il existe néanmoins de fortes disparités selon les secteurs. Ainsi, le chiffre d'affaires réalisé par les micro-entrepreneurs dans le domaine des transports s'élève seulement à 5.856 euros par an. Viennent ensuite le commerce de détail (7.253 euros), les arts et spectacles (7.342 euros), les Autres activités personnelles (8.149 euros). À l'opposé, les activités juridiques apparaissent comme les plus lucratives avec 20.478 euros.
Elles sont suivies du BTP (17.769 euros) ou des activités immobilières. Si la plupart des secteurs ont vu leur chiffre d'affaires augmenter entre 2011 et 2017, le transport et le secteur du conseil pour les affaires ont vu recettes reculer. Par régions, ce sont les entrepreneurs Franciliens qui ont vu leur chiffre d'affaires progresser le plus rapidement entre 2017 et 2018 (+13,1%). Ils sont suivis de ceux implantés en Auvergne-Rhône-Alpes (10,8%) et en Provence Alpes-Côte-d'Azur (10,7%). Au total, près de 20% des micro-entreprises n'ont pas de chiffre d'affaires.
La réforme du doublement des seuils a eu un impact sur les résultats déclarés et le nombre de d'immatriculations. "En 2018, près de 54.000 auto-entrepreneurs ont pu profiter pleinement du doublement des seuils en déclarant un chiffre d'affaires supérieur aux anciens seuils" expliquent les auteurs de l'étude. Depuis le premier janvier 2018, les plafonds de chiffre d'affaires ont été portés à 170.000 euros pour les activités d'achat/vente et 70.000 euros pour les activités de prestation et de service.
Un tiers des des auto-entrepreneurs cumule avec un autre emploi
L'autre chiffre surprenant est que un tiers des auto-entrepreneurs cumule avec un job de salarié dans le secteur privé. Parmi les micro-entrepreneurs, 65,4% sont en contrat à durée indéterminée (CDI) et 34,5% sont en CDD. Parmi les actifs en CDI, 45,6% sont à temps plein et 19,8% sont à temps partiel. "Seul 22,4 % des autoentrepreneurs sont employés dans le même secteur que leur auto-entreprise" précise l'Acoss.
Grégoire Normand - La Tribune - mercredi 17 juillet 2019
Pour une "justice verte": l'OMPE propose de créer une "caisse verte".
Selon Mme Agnès Farrugia dans le journal Nous, Mr Gil Emmanuel a crée en 2013 à Villeneuve-Loubet (06) une ONG pour rétablir l'équilibre entre l'homme et la Nature nommé OMPE (organisme mondial pour la protection de l'environnement). En 2015, un inventeur français habitué du Concours Lépine Mr Raoul Parienti, a rejoint l'OMPE et il est devenu le coordinateur d'experts scientifiques de l'association. Mr Gil Emmanuel quant à lui fourmille d'idées "pour sauver la planète" comme la dernière en date: la caisse verte. Il s'agirait notamment de pointer du doigt et de taxer les projets du Ministère qui émettent des gaz à effet de serre. Grâce à un programme informatique appelé MAGMA (Management of Green Money Application), on pourrait rendre le budget de l'Ecologie enfin transparent pour le contribuable et taxer les pollueurs.
Il s'est entouré d'une équipe de 17 personnes (ingénieurs et de scientifiques ) et l'OMPE compte à ce jour 150 adhérents et 13500 membres sur les réseaux sociaux. Mr Gil Emmanuel s'était même proposé pour remplacer Mr Nicolas Hulot en 2018 mais sa candidature n'avait pas été retenue. Au Festival de Cannes la même année, l'OMPE avait recueilli 350 signatures de stars (chanteurs, acteurs...) en soutien aux actions menées. Celles-ci vont de la récupération des plastiques dans les océans à la création de 200 parcs animaliers dans le monde. Mais jusqu'ici les institutionnels ne soutiennent pas vraiment l'OMPE, alors que, selon Mr Emmanuel, on pourrait créer des milliers d'emplois verts et faire quelque chose pour la planète pour que nos enfants notamment y respirent mieux.
L'ONG ne bénéficie d'aucune subvention et aimerait être enfin écoutée par les politiques locaux comme nationaux. Pour mener à bien son programme Magma, l'OMPE aurait besoin de 50 000 euros. Mr Gil Emmanuel espère un élan comme celui né pour sauver Notre Dame de Paris. Un tel élan international se nommerait alors "Notre Dame La Planète" et montrerait que les citoyens du monde se réveillent...
Dons, mécénat, adhésions peuvent se prendre à : contact@ompe.org ou au 04 92 02 33 55. L'adhésion annuelle est de 50 euros et donne droit à une déduction fiscale.
Lyliane
05:42 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, DES SOLUTIONS !, ECONOMIE SOLIDAIRE, EDUCATION, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, LECTURES, NATURE ET ENVIRONNEMENT, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Tags : pour une justice verte | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
09/08/2019
Sauver le grand hamster d'Alsace, victime du Grand Contournement Ouest de Strasbourg...
Mr Vincent Rémy, dans le Journal Télérama, cherche à montrer aux lecteurs comment un petit habitant discret, le grand hamster, installé sur les terres de la plaine alsacienne depuis très longtemps, pâtit des saignées de cette autoroute appelée GCO. Le hamster autrefois a été classé "espèce nuisible", car ses terriers proliféraient. Depuis les années 1980, les associations environnementales l'ont classé dans les espèces protégées car sa population avait été décimée. Depuis 1993, il est devenu espèce en voie d'extinction. L'Office National de la Chasse a de ce fait entrepris de mener un Plan national d'action, en y engageant quelques 200 agriculteurs volontaires pour mener une gestion collective. C'est ainsi qu' en 2019, 722 terriers ont été dénombrés dans 3 zones distinctes, ce qui est loin d'être suffisant pour garantir la survie de l'espèce.
En effet, le grand hamster qui hiberne de longs mois sous terre ( d'octobre à avril environ), voit aujourd'hui son terrain d'élection (champs céréaliers essentiellement) bouleversé: pratiques agricoles intensives, monoculture du maïs et réseaux routiers. La zone la plus fragile pour le grand hamster se trouve être le Kochersberg, traversé par le fameux GCO. C'est, en effet, un barrage infranchissable pour eux, sans oublier les dégâts collatéraux au crapaud vert, aux papillons et aux oiseaux... A tel point qu'une chercheuse du CNRS, Mme Odile Petit, travaille actuellement sur la protection du hamster sauvage en zone péri-urbaine malgré la pollution lumineuse qui contrevient à son bon développement...
Se préoccuper après coup des dégâts causés à l'environnement par des décisions unilatérales paraît relativement inconscient. En effet, la nature ne constitue-t-elle pas un écosystème dont l'équilibre est précieux car il se révèle de plus en plus fragile? Empiler des mesures compensatoires artificielles, comme le proposent Vinci et certains gros céréaliers, ne semble pas la solution, pas plus que le lâcher de hamsters d'élevage. Ne vaudrait-il pas mieux prendre en compte avant toute chose la biodiversité, le vivant, dont nous faisons partie, au lieu de constamment mettre en avant des "intérêts économiques", dont le bien fondé peut nous paraître discutable?
Merci au journaliste de Télérama de relayer par cet article les manifestations de toute une région, dont jusqu'ici les recours et combats semblent avoir été vains. Ne baissons pas les bras pour autant et continuons à imaginer que le mouvement grandissant de la transition écologique et des jeunes générations, dont on paraît bafouer l'avenir, finiront par se faire entendre de tous les êtres humains.
Lyliane
07:25 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, CITOYENNETE, ECONOMIE SOLIDAIRE, EVOLUTION PERSONNELLE, HABITER AUTREMENT, LECTURES, MONDE ANIMAL, NATURE ET ENVIRONNEMENT, QUESTIONNEMENTS, SOCIETE COLLABORATIVE, Z - SUR FACE BOOK AVEC COOPERER AVEC PR | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |
06/08/2019
Tentons de sauver ce vigneron bio de la faillite...
05:44 Publié dans AGRICULTURE ET BIODIVERSITE, ARTICLES ENGAGES, ECONOMIE SOLIDAIRE, EVOLUTION PERSONNELLE, JARDINS ET POTAGERS, MEDIAS, SOINS ALTERNATIFS ET SANTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | |