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04/04/2019

Documentaire Human Flow les 4/4 et 8/4 en Ciné+ Club

Ce documentaire datant de 2017 d'Ai Weiwei, artiste dissident venu de Chine,  s'intéresse à une réalité terrible: plus de 65 million de personnes ont été contraintes  ces dernières années de quitter leur pays d'origine pour cause de guerre ou de famine. On suit des cortèges de migrants sur les routes ou bloqués aux frontières, des hommes, des femmes et des enfants portant des gilets de sauvetage entassés dans des barques de fortune ainsi que des débarquements de passagers dont personne semble ne vouloir...

Les images parlent d'elles-mêmes: camps palestiniens, hangars dans des aéroports, no man's land bouleversés par des conflits... La question sous-jacente est cependant posée: quel accueil réservons-nous à ces êtres humains en détresse? Pourtant le droit fondamental de migrer et d'être accueilli est prévu dans les textes internationaux. Il est actuellement régulièrement bafoué dans nos pays. Avec son documentaire, Mr Weiwei cherche à nous toucher et à réveiller notre sens de l'hospitalité.

A voir et à revoir le 4/4 à 17h10 et le 8/4 à 3h 45 sur Ciné+Club à la télévision.

Lyliane

03/04/2019

La période du Carême selon le CCFD...

Le CCFD -Terre solidaire (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement) est une ONG qui agit depuis 1961 dans plus de 60 pays et qui lutte contre toutes les formes d'injustices pour que les droits fondamentaux de chacun soient respectés. Semaine après semaine, notamment tout au long du carême, cette ONG nous propose de devenir ensemble des semeurs de solidarité. Car le temps du carême est un temps de partage (par l'aumône comme par la prière) pour tous les chrétiens grâce à un appel du coeur.

 Ainsi, le premier dimanche suivant le mercredi des Cendres était consacré à la paix dans le monde, le second dimanche à semer la fraternité, le troisième à chercher à agir avec amour et justice. Nous en sommes à la préparation du 4ème dimanche avant la fête de Pâques et ce jour-là est consacré à travailler en faveur de plus d'humanité dans le monde. Il restera le 5ème dimanche destiné à oeuvrer pour devenir des "semeurs d'espérance". Ensuite, nous nous préparerons intérieurement à la fête de Pâques.

Il faut savoir, en effet, que les causes de la faim dans le monde sont les conflits armés dans 60% des pays du monde, la spéculation sur les produits alimentaires, qui aggrave l'instabilité et la volatilité des prix sur les marchés locaux et un peu partout des phénomènes climatiques extrêmes (désertification, cyclones...). Parmi les personnes souffrant  de la faim dans le monde, il y a 155 millions d'enfants de moins de 5 ans, qui souffrent de ce fait d'un retard de croissance.

N'hésitons pas à prier ou à méditer pour que la faim dans le monde soit peu à peu vaincue et engageons nous semaine après semaine à faire cesser le scandale de la faim dans le monde, alors que dans nos pays européens ou en Amérique du Nord beaucoup gaspillent ou souffrent d'obésité.

Pour toute information ou don, contacter: www;ccfd-terresolidaire.org.

Lyliane

Sauver l'agriculture en 20 ans grâce au café...

La forêt est dense et escarpée. Y pénétrer et se frayer un passage entre les caféiers, les lianes, les manguiers et les chênes argentés relève parfois de l’expédition. Après deux jours de voyage en avion, en 4 x 4, parfois en pirogue apparaissent enfin les terres des Adivasis, la principale tribu de la vallée d’Araku, installée dans les montagnes de l’Andhra Pradesh, dans le sud de l’Inde. Le chant des cueilleuses nous attire jusqu’à la parcelle où se fait la récolte du jour. De novembre à début février, les 520 villages de la vallée sont en effervescence. Dès qu’elles sont assez gorgées de sucre, qu’elles obtiennent leur plus belle couleur rouge carmin, les cerises de café sont cueillies une à une à la main. Dix mille familles de producteurs-propriétaires sont à pied d’œuvre pour effectuer ce travail de fourmi, au sommet de ces hauts plateaux qui dominent le golfe du Bengale. « Alors que partout ailleurs dans le pays et dans le monde les agriculteurs se soulèvent pour dénoncer de profondes crises agricoles et réclament d’être mieux rémunérés, ici ils travaillent en chantant », se réjouit Manoj Kumar, le directeur général de la fondation Naandi, l’une des plus importantes associations caritatives indiennes.
C’est lui qui, depuis 1996, se bat pour sauver la région. « A cette époque, les tribus primitives guerrières subsistaient dans des conditions misérables, ajoute celui qui, vingt ans plus tard, est considéré comme le très charismatique bienfaiteur de la vallée. Ils ne possédaient souvent qu’un seul “pancha” (le pagne traditionnel) par personne et se nourrissaient assez mal de la culture du riz, du millet, de la chasse à l’arc ou de la cueillette. » Aujourd’hui, ces peuples, jadis conspués, dont les enfants n’étaient pas scolarisés et dont les femmes mouraient en couches, ne roulent pas tout à fait sur l’or mais presque. « Depuis que nous avons rejoint le programme, nous avons embelli nos maisons, acheté des téléviseurs, des saris, pu envoyer nos enfants à l’école et avoir l’eau potable et des toilettes dans nos villages », explique tout sourire Dalapathi Jyothi Jayanthi, 40 ans, habitante de Musiri Gondiguda. Un miracle socio-économique inespéré. Devenu possible au pays du thé grâce à la culture du café. Le grain d’Araku est désormais reconnu comme l’un des meilleurs. Plus bio que bio et plus équitable que n’importe quel autre. Tout cela grâce à la formation des habitants à la biodynamie et à « la création d’un nouveau modèle de capitalisme acceptable et social », selon Manoj Kumar.

Curieux de savoir quels engrais chimiques ou pesticides les producteurs utilisent dans leurs rizières, il est épaté par leur réponse. « Aucun, affirment-ils. Nous les avons essayés. Les poissons ont fui immédiatement au contact de ces produits. S’ils ne sont pas bons pour eux, ils ne le sont donc pas pour nous. » David Hogg et son équipe doivent en revanche gagner la confiance des chefs tribaux. Et les aider à recréer un humus riche puis reboiser la forêt. L’idée : redonner vie à l’écosystème naturel. En quelques mois, plus de 2 millions de caféiers sont plantés. En sept ans, 20 millions d’autres essences ont été installées : papayers, anacardiers (arbres à cajou), eucalyptus… « Aujourd’hui, partout où vous voyez des arbres sur les montagnes, c’est qu’il y a des plantations de café », note David Hogg.
Pour parvenir à cette renaissance, la biodynamie a dû s’adapter aux croyances et aux coutumes locales ainsi qu’à la faune et à la flore foisonnantes. Impossible d’enfouir, comme en Europe, les cornes des vaches – qui sont sacrées – au pied des arbres pour nourrir l’humus, contrôler le pH du sol et réduire les besoins en eau des plantes. « Nous fabriquons à la place notre propre compost avec la bouse de vache, qui permet d’enrichir la terre en micro-organismes, explique l’expert. Nous réalisons également nos décoctions à base de plantes bio de notre potager (pissenlit, courge, passiflore, camomille) et respectons le calendrier lunaire. » L’indispensable pulvérisation blanche composée de silice, le « white spray », protège les feuilles des caféiers des maladies, de la pluie et permettrait aux arbustes de mieux résister aux vents sans casser (la région est souvent balayée par les cyclones). Le « black spray », de la bouse de vache diluée, est épandu sur les sols pour les enrichir en bactéries. A la lune descendante, on travaille les terres et on plante. La lune ascendante est propice à la récolte et à la germination… Résultat : même si certains experts internationaux hésitent toujours à reconnaître scientifiquement le bien-fondé de ces pratiques, à Araku, les caféiers produisent des grains d’une qualité exceptionnelle.

 

« C’est la plus grande plantation de café certifiée en agriculture biodynamique du monde ! » confirme à Paris Tony Boulo, de Max Havelaar, chez qui le café Araku est labellisé Fairtrade. L’enseigne réalise aujourd’hui en France près de 500 000 euros de chiffre d’affaires. Et écoule en France environ 50 % des 100 tonnes de café produit annuellement dans la vallée. Elle est vendue chez Naturalia, à La Grande Epicerie de Paris, au Lafayette Gourmet. Et vient de convaincre, depuis janvier, plus de 250 magasins Franprix de la distribuer. Mais les ambitions de la marque Araku et de la coopérative ne s’arrêtent plus là. « Sur le marché du café, nous voulons devenir la référence de qualité, d’éthique à forte responsabilité environnementale, explique Manoj Kumar. L’idée est de fidéliser les nouvelles générations de fermiers d’Araku et de leur démontrer qu’il est capital de continuer à cultiver en biodynamie pour pérenniser les plantations. Nous voulons produire plus, donc ouvrir également des boutiques à New York, Tokyo, Bombay ou Kyoto. » 

Sophie Stadler - Paris Match - mercredi 20 mars 2019

02/04/2019

Expérience Zéro déchet réussie...

Cela fait quatre ans que Bénédicte et sa famille ont adopté un mode de vie "zéro déchet". Elle ne produit désormais qu'un simple bocal de détritus par an. Elle a raconté sa démarche et prodigué ses bons tuyaux à Olivier Delacroix sur Europe 1.
Avec son mari et ses deux enfants, Bénédicte Moret, 35 ans, est parvenue à ne quasiment plus produire de déchets. Une démarche complexe, mais qu'elle a choisi de mener comme un jeu. Auteure d'un blog et d'un livre, "Ma famille zéro déchet", elle a raconté son expérience à Olivier Delacroix, vendredi sur Europe 1, et en a profité pour livrer quelques conseils à ceux qui seraient tentés de lui emboîter le pas pour, comme elle, faire un geste pour la planète.
"Il y a quatre ans, avec ma famille, on a décidé de réduire à néant tous nos déchets. On s'est dit qu'il fallait arrêter d'attendre que le changement vienne d'en haut, et qu'on soit nous-mêmes acteurs.
Concrètement, on a vidé notre poubelle sur une bâche dans le jardin, on a regardé élément par élément, et on a essayé de trouver une solution pour chaque déchet que l'on produisait. À la fin de la première année, on a quand même réussi à réduire nos déchets de 90%, ce qui est absolument énorme. Et là, au bout de quatre ans, on est arrivé à produire un bocal de déchets par an pour une famille de quatre.
On était déjà à fond dans la préservation de l'environnement avant. On pensait qu'on était nickel, mais on continuait à avoir cette poubelle toutes les semaines. À un moment donné, on s'est dit:"Mais ce n'est pas possible, on fait du compost, de la sensibilisation, mon mari travaille dans une ONG depuis des années, et on continue d'avoir des déchets !" On s'est dit qu'il fallait arrêter de dire aux autres ce qu'il faut faire et regarder ce que nous on ne fait pas. On a décidé d'être vraiment acteurs dans notre quotidien, avec nos enfants. On a voulu les mobiliser car c'est quand même l'avenir. On s'est lancé tous ensemble dans cette aventure.

Entendu sur Europe 1: C'est une progression qui est assez lente, mais quand on a pris des petites habitudes, ça se fait tout seul
On a décidé de vivre ça comme un jeu. On a d'abord commencé par écrire un blog avec des articles qui racontaient notre aventure, les choses positives et négatives. On ne s'est pas mis la pression. Au début, on disait qu'on allait faire zéro déchet, et au bout de quelques semaines on s'est rendu compte que ce n'était pas possible, et qu'il fallait donc tendre vers le mieux. Comme c'était fait un peu à la rigolade et de manière positive, rien n'a finalement été très compliqué.
Il y a quatre ans, on a essuyé les plâtres, parce qu'il n'y avait pas beaucoup de zéro déchet. En créant le blog, puis en publiant le livre, on s'est dit que toutes les galères que l'on a rencontrées, autant que les gens les zappent et entrent directement dans le côté pratique et facile.

Entendu sur Europe 1: Faire du zéro déchet, c'est aussi aller à l'essentiel et arrêter de consommer pour consommer
"Réduire ses déchets, c'est un peu déserter les supermarchés, redonner son argent à l'économie locale. Les exemples concrets, c'est aller chez son boucher, son fromager, son pâtissier, acheter ses légumes au marché, y aller simplement avec son panier, des bocaux en verre ou des Tupperware.
Figurez-vous que ça ne coûte pas du tout plus cher, ça coûte même moins cher au final. La première année, on a réduit notre consommation de 20%.  Quand on déserte les supermarchés, on déserte aussi les tentations. On finit par acheter ce dont on a besoin, et pas ce qui nous fait envie, car on est moins tenté.
Je conseille de trouver vos producteurs locaux et d'aller directement chez le commerçant avec vos emballages réutilisables. Il faut réduire ses pulsions, ou en tout cas ses envies d'achats, sur les vêtements par exemple, on peut privilégier l'occasion plutôt que d'acheter neuf."

Anaïs Huet - Europe 1 - lundi 18 mars 2019

01/04/2019

Vers la libération émotionnelle...

A Fayence (83), une olfactothérapeute Mme Nathalie Marcadier accompagne ses clients vers un mieux-être au moyen de l'olfactothérapie, écrit un journaliste dans Version Fémina. Cette technique psycho-émotionnelle et corporelle utilise l'odorat pour nous emmener dans un voyage intérieur et faire ressurgir des émotions et souvenirs refoulés. "L'olfaction, sens primaire, est directement liée aux émotions qui sont stockées dans notre cerveau limbique" explique Mme Marcadier.

L'objectif de ce retour dans le passé est d'identifier l'origine d'un mal-être dans notre quotidien et de s'en libérer. A chaque séance, des huiles essentielles sont soigneusement sélectionnées en fonction de la problématique à traiter. Cela procure souvent lâcher-prise et libération des blocages émotionnels, confiance en soi et harmonie intérieure retrouvée. Il y a possibilité de se reconnecter à soi, de se sentir bien dans son corps et dans sa tête, dans la mesure où cet outil est adapté à tous les âges de la vie.

Pour en savoir plus, consulter sur Internet: www.nathalie-marcadier.com.

Lyliane

La grande distribution s'engage dans la lutte contre les emballages polluants...

C’est depuis peu officiel du côté de Carrefour : oui, les consommateurs peuvent apporter leurs propres contenants réutilisables aux rayons boucherie, poissonnerie, pâtisserie et fromagerie, et demander qu’on les serve directement dedans. Ce qui évite d’utiliser de multiples feuilles de papier alimentaire enduit à la parafine. A condition d’avoir une boîte munie d’un couvercle. «Pour votre sécurité, vos contenants seront vérifiés et nous nous réservons le droit de refuser ceux qui ne seraient pas propres, secs ou adaptés», précise l’entreprise sur son site. Une initiative saluée par l’association Zero Waste qui invite les autres grandes enseignes à faire de même. «Aujourd’hui, les difficultés rencontrées découragent certains clients dans leur démarche, ceux-ci ne souhaitant pas systématiquement essuyer des refus», regrettait début mars l’association dans une lettre ouverte à l’attention des patrons de Leclerc, Intermarché, Super U, Casino et Auchan.
Des consignes pour les grandes marques
En parallèle, le système des consignes fait aussi son retour. La start-up Jean Bouteille s’immisce de plus en plus dans les supermarchés avec ses vins (rouge, blanc, rosé), huiles, vinaigres, jus de fruits, lessives et plus récemment bières en vrac. Le principe : on paye la bouteille un euro, et on la remplit grâce à des «fontaines» en inox. Une fois vide, on la lave chez soi et on peut la réutiliser à foison, ou se faire rembourser la consigne. Ce service est disponible dans plusieurs magasins Carrefour, Monoprix, Franprix, Leclerc et dans des enseignes spécialisées bio, qu’on peut retrouver sur une carte régulièrement mise à jour.
Enfin, on pourra bientôt se faire livrer les courses à domicile sans déchets et à vélo. C’est ce que proposera Loop à partir du printemps, dans un premier temps à Paris. Le projet, porté par l’entreprise, a passé un partenariat avec vingt-cinq grandes marques pour concevoir des contenants réutilisables. Biscuits, glaces, lessives, déodorants… au total, une centaine de produits de grande consommation pourront être glissés dans des boîtes en métal, bouteilles en verre et autres à l’effigie des marques. Lors des commandes suivantes, Loop reprend les contenants sales et les recharge.

Margaux Lacroux - Liberation - mercredi 20 mars 2019

Pour les victimes du burn out: Au temps pour toi...

L'association «Au temps pour toi» propose aux victimes du burn-out un lieu de guérison unique en son genre. Une trentaine de personnes y ont séjourné depuis sa création, pour une durée de trois semaines à six mois.
La promesse de «Au temps pour toi» est très claire. Lieu de vie et d'entraide pour les victimes du burn-out, l'association créée en 2015 s'est donné pour mission de «transformer la crise en opportunité». «L'association aurait tout aussi bien pu s'appeler «se foutre la paix»! Nous voulons offrir un lieu de prise de recul, à la fois social et géographique, par une vie quotidienne toute simple, à la campagne», explique au Figaro l'un des trois fondateurs, Jean-Baptiste van de Hove, qui se défend néanmoins de toute démarche sectaire. «Nous ne sommes pas là pour couper les gens de leur entourage! En revanche nous les encourageons à privilégier la qualité à la quantité. Appeler moins par exemple, et écrire des lettres». Quant à l'aspet médical, qui n'est résolument pas du ressort de l'association, celle-ci se contente de faciliter les déplacements des pensionnaires, «tout en restant en dehors».
Située à quelques kilomètres de Limoges, l'association franco-belge a fait l'acquisition d'un bâtiment niché sur un terrain de plus de deux hectares. Depuis son lancement en mars 2017, trente-quatre résidents sont venus pour des séjours de trois semaines à six mois. Fonctionnaire, directrice d'Ehpad, curé, cadres, professeur, médecin... «on a vraiment de tous les profils» indique-t-on là-bas, tout en déplorant le manque de moyens. Premier dispositif en son genre sur le territoire français, l'association reçoit une dizaine de demandes par semaine pour seulement quatre chambres disponibles. «Le burn-out n'etant pas reconnu comme une maladie professionnelle, nous ne vivons que de dons. Grâce à eux nous espérons pouvoir nous agrandir rapidement».
Peu d'obligations mais un large choix d'occupations. Sur place, la vie se veut simple comme un livre de la série «Martine». En dehors des rares obligations que constituent les repas et la méditation, les résidents peuvent vaquer librement à diverses occupations: nourrir les pouls, les moutons, bricoler, peindre, lire, se promener, rencontrer le voisinage... «Les personnes en burn-out ont souvent construit une forteresse intérieure pour se protéger des coups de la vie. Un jour elles se rendent compte qu'elles s'y sont enfermées. Notre idée est de leur proposer d'en sortir, à leur rythme, grâce à un environnement chaleureux et sécurisant», explique encore le fondateur. Ancien scout, également passé par l'armée, il ne manque pas d'image pour désigner le lent travail de reconstruction après le burn-out, cet «état de détresse psychologique absolu et brutal». «Un étang, si on passe son temps à l'agiter, on ne voit plus le fond... D'où le besoin de retrouver le calme».  Jean-Baptiste van den Hove sait bien de quoi il parle. Il y a cinq ans, le fondateur d'Au temps pour toi avait lui aussi connu le fléau du burn-out. Cadre prometteur dans les télécoms, très engagé dans son travail, ce Belge de 35 ans s'était effondré en un mois. «Je restais prostré chez moi, des morceaux de carton sur les fenêtres pour ne pas voir la lumière du jour. Même sortir pour aller acheter du pain me paraissait impossible. J'ai perdu 10 kilos...». Pour échapper à son mal-être, deux solutions se présentaient alors à lui, les monastères ou les cliniques. «Mais aucunes de ces solutions ne me correspondaient. J'avais le choix entre la solitude et l'austérité - ou un lieu médicalisé».

C'est finalement au sein d'une association en charge de toxicomanes que Jean-Baptiste van den Hove trouve son salut durant 14 mois. Une expérience décapante, qui lui apprend les mécanismes de l'excès, «dont la drogue est une expression, tout comme parfois le travail». Après encore un an dans l'association l'Arche, fondée par Jean Vanier, également parrain d'Au temps pour toi, Jean-Baptiste van den Hove mûrit son projet. Son idée: créer un lieu de «désintoxication» du burn-out. Et si possible en France, «parce qu'en Belgique il est difficile de prendre du recul. Où qu'on aille, on croise facilement quelqu'un qu'on connaît». Sur l'Hexagone, l'Agence nationale de santé publique comptabilise 30.000 victimes d'épuisement professionnel, tandis que le cabinet d'expertise Technologia, agréé par le ministère du travail, évalue à près de 3,2 millions le nombre de Français en risque élevé de burn-out. Au temps pour toi leur offre donc, à sa mesure, un toit pour se rétablir.

Amaury Bucco - Le Figaro - dimanche 17 mars 2019

31/03/2019

L'apprentissage se met à la page...

Le Journal 20 Minutes du 15/3/2019 fait le point sur l'apprentissage dans notre pays et sur ce qui change pour les apprentis cette année. D'après les chiffres du Ministère du Travail, plus de 400 000 apprentis sont formés chaque année.  Au total, 70% d'entre eux ont trouvé du travail sept mois après l'obtention de leur diplôme. La région PACA par exemple compte près de 32 000 apprentis accueillis dans 13 000 entreprises et plus de 59 CFA.

Autrefois, l'apprentissage souffrait de l'image d'une filière qu'on empruntait par défaut car elle signifiait pour beaucoup des études courtes et un travail manuel dévalorisé. En fait, rien n'est plus faux car on peut faire des études longues et y trouver de belles carrières.  Depuis le 1er janvier 2019, l'apprentissage est susceptible de davantage séduire les jeunes. Tout d'abord, l'âge minimum requis est de 16 ans et l'âge limite a été repoussé à 30 ans au lieu de 26 ans autrefois.

Les jeunes ont maintenant la possibilité d'intégrer un apprentissage à n'importe quel moment de l'année, et pas uniquement en septembre. Les apprentis sont surtout séduits par le service à la personne, le tourisme, l'hôtellerie, la coiffure, l'e'sthétique et la santé. La durée minimum du contrat a été réduite de 1 an à 6 mois. Cela permet une meilleure adaptation aux besoins des jeunes. La durée maximale reste fixée à 3 ans. Les conditions de rupture du contrat d'apprentissage gênaient les employeurs. Les nouvelles règles suppriment  le passage devant les prud'hommes dans ce cas et officialisent le droit à la démission pour l'étudiant.

Depuis, la réforme permet d'ouvrir les CFA sans avoir le feu vert de la région. Certaines entreprises s'impliquent et sont amenées à anticiper leurs besoins. Quant aux jeunes, leur salaire augmente de 30 euros par mois pour les 16/20 ans. Les plus de 18 ans bénéficient d'une aide de 500 euros pour passer le permis de conduire. En BAC PRO lors de son apprentissage, un jeune de 18 ans percevra quelques 715 euros. Des Prépas apprentissage devraient bientôt voir le jour et le programme Erasmus va leur devenir accessible. De quoi tordre le cou à des idées reçues et mieux informer les familles!

Lyliane

Féminisation des noms sous la Coupole...

Une majorité écrasante : le rapport sur la féminisation des noms de métier a été adopté jeudi par l’Académie française avec seulement deux voix contre. Le document (consultable ici) avait été rédigé par une commission présidée par l’historien Gabriel de Broglie (87 ans) et composée de la romancière et essayiste Danièle Sallenave, du poète d’origine britannique Michael Edwards et de l’écrivaine et biographe Dominique Bona.
Cette adoption est une petite révolution pour l’institution, réputée très frileuse sur ces questions. Dans les années 90, elle s’était notamment insurgée contre les emplois de «la ministre» ou «la députée». Libération a lu le document voté cette semaine.
Un texte non contraignant
Il faut d’abord rappeler que vous ne risquez pas de voir débarquer la police si vous contrevenez aux recommandations de l’Académie française (et ses membres ne sont d’ailleurs pas habilités à se servir de leur épée). Le rôle de l’institution fondée en 1634 est simplement de donner un avis non contraignant.
En outre, sur cette question où elle est maintes fois passée pour une ringarde, l’Académie a décidé cette fois de ne pas proposer une bonne façon de parler, mais seulement d’observer comment les locuteurs du français le faisaient. «Il convient de laisser aux pratiques qui assurent la vitalité de la langue le soin de trancher», explique le document. En clair : c’est vous et moi qui faisons la langue, pas les «immortels».
Une révolution
L’Académie a donc regardé à la loupe nos pratiques, et sa conclusion est sans appel : «Il n’existe aucun obstacle de principe à la féminisation des noms de métiers et de professions.» Mieux, cette féminisation «relève d’une évolution naturelle de la langue, constamment observée depuis le Moyen Âge» où la langue française acceptait d’ailleurs déjà «inventeure», «chirurgienne» ou «commandante»…Une période de transition
La France traverse une «instabilité linguistique», note le rapport de l’Académie. C’est-à-dire que les évolutions de la place des femmes dans la société sont encore en cours et nous tentons d’adapter notre façon de parler quasiment en direct. «Les tentatives de modification des usages restent hésitantes et incertaines, sans qu’une tendance générale se dégage», écrivent les auteurs. Des féminisations différentes d’un même mot coexistent donc et il faudra encore quelques années pour trancher.


Au féminin, on ajoute un «e»
Restent des constantes : en français, pour féminiser on ajoute un «e» à la fin des mots. Ainsi, l’Académie valide les usages d'«artisane», «experte», «croupière», «principale», «plantonne», «maçonne», «mécanicienne», «jardinière» ou encore «cheminote»… «Et si les Français décidaient de porter une femme à la présidence de la République, on voit mal quelle raison pourrait s’opposer à l’emploi de la forme féminine "présidente", attestée dès le XVsiècle.»
«-eure» ou «-euse» ?
Autre usage validé : on décline les mots en «-euse» lorsqu’un verbe correspond au nom. «On a ainsi "une carreleuse", "une contrôleuse", "une entraîneuse", tirés des verbes "carreler", "contrôler", "entraîner"».
Quand on ne décline pas ainsi, les Français ont tendance à ajouter un «e» aux mots qui finissent en «-eur» (comme dans «professeure»). Les plus conservateurs n’aiment pas du tout cet usage. Mais il «ne constitue pas une menace pour la structure de la langue», rassure l’Académie.
Auteure, autrice ou… authoresse ?Marguerite Duras a écrit Dix heures et demie du soir en été, d’accord. Qu'est-elle alors ? «Il existe ou il a existé des formes concurrentes, telles que "authoresse" ou "autoresse", "autrice" […] et plus souvent aujourd’hui "auteure"», écrivent les académiciens. Comment choisir ? D’un point de vue de la langue, «autrice» est plus conforme mais «assez faiblement usité», sauf dans le monde universitaire. «Auteure» semble donc en train de gagner cette bataille. «Par ailleurs, s’agissant du féminin du substantif "écrivain", on constate que la forme "écrivaine" se répand dans l’usage sans pour autant s’imposer.» Pour rappel, les académiciens avaient rejeté «écrivaine» parce qu’on entendait «vaine» dans ce mot. «Sans se rendre compte que dans écrivain, on entend aussi "vain"», s’amuse dans l’Express Maria Candea, corédactrice de l’Académie contre la langue française : le dossier «féminisation».

Scoop : on dit plus facilement «chef» que «cheffe»
Les académiciens ont étudié le mot «chef» et leurs conclusions (ne) vont (pas) vous étonner. «La langue française a tendance à féminiser faiblement ou pas les noms des métiers (la remarque peut être étendue aux noms de fonctions) placés au sommet de l’échelle sociale.» Eh oui, la langue aussi a son plafond de verre et on accepte bien plus «infirmière» que «chirurgienne»Sur le mot «chef» lui-même, ont existé «la chef», «chèfe», «chève» (oui oui), «cheffesse» et «cheftaine». «"Cheffe" semble avoir aujourd’hui, dans une certaine mesure, la faveur de l’usage», écrit le rapport sans être véritablement convaincu, non par sa pertinence sémantique, mais par sa forme qui n’appartient pas vraiment au «bon usage».

Parfois la forme existe, mais pas l’usage.
Qui dit «chevalière», «officière» ou «commandeure» ? Personne, et pourtant ces formes existent bien dans l’administration française : le Journal officiel les utilise par exemple. Dans le monde judiciaire, le rapport note que les femmes membres du barreau «répugnent encore très largement à être appelées "avocates", bien que cette forme soit reçue de longue date dans l’usage courant et ait été enregistrée par tous les dictionnaires». Même chose pour «bâtonnière» ou «avocate générale». Sur ce point, pas d’avis de l’Académie encore une fois : juste une observation des pratiques.
Tout le monde fait ce qu’il veut
C’est la grande vertu de ce rapport : en attendant que se cristallise telle ou telle forme, continuons de nommer comme on veut (ou peut) les fonctions ou les métiers des femmes. Il n’est donc plus interdit, comme c’était le cas jusqu’alors, de donner du «madame l’académicienne» à une membre de cette institution qui s’offre avec ce rapport un joli dépoussiérage. En revanche, l’Académie n’a pas encore prévu de revenir sur l’anathème portée en octobre 2017 sur l’écriture inclusive, considérée comme rien de moins qu’un «péril mortel».

Guillaume Lecaplain - Liberation - samedi 2 mars 2019

30/03/2019

L'aloe vera a toutes les vertus...

Dans Version Fémina, Mme Sophie Goldfarb analyse les vertus cicatrisantes, hydratantes et anti-inflammatoires de l'aloe vera. Cette plante, dont il existe 400 espèces environ, gorgée d'eau(99%) et d'actifs, stockés pour survivre dans les climats désertiques(Afrique du sud...), comprend plus de 150 éléments dont des vitamines, des minéraux, des acides aminés et un sucre complexe nommé acemannan. C'est pourquoi l'aloe vera remplace avantageusement l'acide hyaluronique et l'allantoïne au quotidien.

L'aloe vera est recommandée comme après-soleil, après le rasage, sur une brûlure légère ou une irritation. Mais elle ne remplace généralement pas une crème, sauf pour se démaquiller car l'aloe vera ne nourrit pas la peau. Il faut pour en faire un cosmétique, un réparateur ou un antibactérien lui adjoindre du beurre de karité, de l'huile de jojoba ou du calendula bio. Pour les cheveux, une forme pour chevelure normale et cheveux secs existe chez Garnier. Enfin, son jus biologique peut se boire et s'achète généralement en magasin diététique sous la marque So'Bio Ethic.

Pour l'utiliser en feuille, prendre des gants et sortir le latex translucide situé au coeur de la feuille. Le mieux est de couper celle-ci dans la longueur après avoir sectionné les piquants et raclé la pulpe. L'utiliser rapidement car une oxydation se produit rapidement. Réputée dépolluante, car elle absorbe les métaux lourds, l'aloe vera peut être installée dans un intérieur.

La plupart des cosmétiques à base d'aloe vera sont obtenus à partir d'une poudre résultant du broyage et du séchage de la pulpe. Mais le gel est plus concentré en acemannan, en vitamines et en minéraux que la poudre. Généralement pour les distinguer le gel apparaît sous le nom d'aloe barbadensis leaf juice alors que la poudre est qualifiée du même nom auquel on ajoute le mot powder.

Pour plus d'informations, contacter par exemple: www.forever.fr

Lyliane

Une meilleure justice pour les mineurs...

Sous l'impulsion de la Ministre de la Justice, Mme Nicole Belloubet, écrit Mme Hélène Sergent dans le journal gratuit 20 Minutes, une vingtaine de Centres Educatifs Fermés ou CEF devraient voir le jour dès 2021 en France. Présentées comme une alternative à la détention, ces infrastructures sont "une dernière chance" avant l'incarcération pour les jeunes placés là.

Il nous est présenté dans l'article le CEF d'Epinay-sur-Seine (Seine St Denis), où une quinzaine de mineurs âgés de 13 à 16 ans résident. Parmi ces mineurs, on estime à 40% le nombre de jeunes ayant un dossier MDPH (maison départementale des personnes handicapées) et des troubles du comportement (concentration, colère...). La plupart d'entre eux ont aussi un parcours auprès de l'Aide Sociale à l'Enfance, car leur structure familiale est défaillante.

L'ordonnance de 1945, qui a fondé ces structures éducatives fermées pour les mineurs, instituait la primauté de l'éducatif sur le répressif. Depuis, un empilement de textes a crée des lourdeurs et des incohérences, estime la Ministre. L'urgence serait "de donner des moyens supplémentaires pour juger ces enfants". Les syndicats pointent cependant des nombres d'emplois prévus insuffisants pour encadrer ces jeunes.

Ces CEF sont, certes, un lieu de privation de liberté, dans lequel tout n'est pas permis. Il y a toutefois des horaires à respecter, des activités proposées et donc des efforts à faire pour s'insérer. Les jeunes ont des chambres individuelles, mais leurs sorties sont restreintes car beaucoup sont des fugueurs. Bref, si le texte qui doit être présenté par le Ministère de la justice aux parlementaires après l'été était voté, de nouvelles ordonnances seraient susceptibles de réformer la justice des mineurs.

Lyliane

29/03/2019

Data et intelligence artificielle en santé à l'Institut Curie...

Mme Mathilde Regnault dans le Journal de l'Institut Curie fait le point sur une nouvelle discipline: l'I.A. ou l'intelligence artificielle. L'I.A. révolutionne, en effet, la façon de faire de la recherche chez les médecins et l'Institut Curie se félicite d'avoir anticipé  ce tournant décisif. A ce jour, 5 000 dossiers médicaux  sont informatisés, 50 000 échantillons de patients sont séquencés et plus de 300 millions d'images radiologiques (IRM, TEP)sont enregistrées comme 100 téraoctets de données collectées se retrouvent en perspective rien que dans l'essai pédiatrique MICCHADO concernant 600 enfants.

Plusieurs champs d'investigation donnent déjà de premiers résultats. L'un des plus prometteurs est l'analyse des examens d'imagerie médicale, combinée à d'autres types de données: cliniques, génomiques, protéomiques ou métaboliques. Cela peut orienter notamment la réponse à des traitements, affiner des réponses thérapeutiques. En immunothérapie, l'I.A. accélèrera l'identification des biomarqueurs prédictifs de la réussite du traitement. C'est l'un des volets du projet de recherche européen PEVO data financé par ERA pzermed, coordonné par le Pr Le Tourneau, qui devrait débuter l'été 2019.

Lyliane

28/03/2019

Découvrir une forme d'auto-rééducation: le Feldenkrais...

Dans le journal "Nous", Mme Karine Michel introduit une technique à mi-chemin entre psychomotricité, kinésithérapie et ostéopathie: le Feldenkrais. C'est le docteur Moshe Feldenkrais, né en Ukraine, puis installé en France dans les années 1930, qui fut à l'origine  dans notre pays.de l'introduction du judo. Puis, il créa une discipline qui porte son nom, "très connue dans le monde de la danse, mais encore assez marginale dans le grand public".

Mme Adeline François, formée en 4 ans à Paris, organise des cours collectifs dans le Var au Club loisirs Vanikoro à La Valette-du-Var. Au besoin, elle peut prendre en charge des élèves en individuel et elle se centre alors sur le toucher. Généralement, elle décompose les mouvements et guide les élèves oralement. La technique Feldenkrais, explique-t-elle, est "une technique de prise de conscience par le mouvement". On cherche en effet à gommer les mauvaises habitudes en corrigeant les postures du corps. Chaque mouvement est répété plusieurs fois et vise la fluidité.

Le tarif pratiqué par Mme François est de 55 euros la séance individuelle. Pour les cours collectifs, se renseigner car cela dépend du nombre d'inscrits. Pour tout renseignement, contacter le site: www.feldenmoves.net.

Lyliane

26/03/2019

Mr Thierry Dufresne a créé l'Observatoire d'apidologie en 2013 dans le Var...

Mme Amandine Roussel dans le journal "Nous" met en lumière la tentative de Mr Thierry Dufresne de sauvegarder les abeilles, ces gardiennes de la biodiversité, qui pourtant subissent des pertes inquiétantes partout dans le monde. A l'âge de la retraite, cet homme a voulu agir concrètement pour sauver ces éléments pollinisateurs. En  2013, il a suscité la création de l'Observatoire français d'apidologie (OFA) à Mazaugues (83). La forme de cet Observatoire est associative et elle regroupe une vingtaine de personnes. En 2015, il a réussi à entraîner dans son sillage le Prince Albert 2 de Monaco et Mr Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture.

L'Observatoire poursuit trois objectifs principaux: créer un cheptel agricole expérimental  avec 2000 colonies d'abeilles au sein  du massif de la Ste Baume, réduire la mortalité des abeilles par des recherches appliquées sur des pathologies (varroa), mieux former les personnels et sensibiliser les jeunes. Pour celà, l'Observatoire s'est associé au Lycée agricole d'Hyères afin de délivrer un cursus certifiant. En septembre 2019, est envisagée la création de l'Institut supérieur de l'entrepreneuriat apicole.

Des résultats encourageants ont déja eu lieu: installation de 20 nouveaux apiculteurs, lutte contre le varroa... Une campagne a lieu chaque année en juin avec distribution de graines au grand public et cette année en plus, des pots de miel seront vendus et une partie des gains seront reversés à la recherche. Enfin, dans les écoles, un grand concours va être organisé pour mobiliser et sensibiliser les élèves ainsi que pour initier des partenariats locaux. Tout renseignement peut être obtenu sur le site Internet: www.ofapidologie.org.

Lyliane

25/03/2019

Tout savoir sur les dons d'organes...

Mme Véronique Brenner dans la revue Version Fémina fait le point sur le don d'organes tel que la loi du 1er janvier 2017 l'a aménagé. En effet, il a été décidé que "nous sommes tous considérés comme des donneurs potentiels, à moins d'avoir exprimé son refus de voir prélever un ou plusieurs de ses organes à son décès".

Dans ce cas, il faut s'inscrire sur le registre national des refus de l'Agence de la biomédecine, qui encadre les dons en France: www.registrenationaldesrefus.fr. Il est également possible, car c'est un droit de refuser des prélèvements, de formuler son refus par écrit sur papier libre, en le signant ou encore de vive voix à un proche, qui en témoignera en cas de décès. On peut choisir de ne donner que partiellement ses organes depuis la loi de 2017.

Depuis 2011, le donneur "peut être toute personne apportant la preuve d'une vie commune d'au moins deux ans avec le receveur ou bien la preuve d'un lien affectif étroit et stable depuis au moins 2 ans". Cela ouvre la voie aux concubins et aux amis intimes, notamment pour des greffes de reins ou de foies de donneurs vivants ou de greffons prélevés post-mortem.

Il n'y a pas de limite d'âge pour les dons d'organes entre vivants et il suffit d'être en bonne santé. Toutefois, le don de moelle osseuse est limité à 60 ans et celui de plaquettes à 65 ans. Le principe de l'anonymat entre donneur et receveur est prévu par la loi, pour préserver les proches et aider les personnes greffées à s'approprier leur greffon.

Il faut savoir qu'en France 57 000 personnes sont en vie grâce à une greffe. Il existe également des "dons croisés" en cas d'incompatibilité des systèmes immunitaires entre un malade et un proche souhaitant faire un don. On donne alors un organe à un inconnu compatible et le malade recevra l'organe d'un autre inconnu. Le don d'organe est un geste altruiste et généreux. Pour s'informer plus précisément, joindre: www.dondorganes.fr et pour les cellules sanguines: www.dondesang.efs.sante.fr.

Lyliane

24/03/2019

Avec Care, vous aussi, faites entendre votre message pour l’égalité !

 

 

 
 
 
 
       
 
 
 
 
 
 
1 femme sur 3 est victime de violence au cours de sa vie
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Bonjour


Vous avez testé vos connaissances sur les préjugés envers les femmes grâce à notre quiz. Certains chiffres vous ont sans doute alarmé. 

En effet, la situation est dramatique. Dans de nombreux pays, des lois sexistes continuent de régir la vie de milliers de femmes. Elles subissent des discriminations en matière d’accès à la santé, à l’éducation, et leurs droits sont bafoués. 

De plus en plus, les femmes dénoncent les violences et les inégalités qu’elles subissent, mais il y a encore tant de choses à dire. Vous aussi, vous pouvez jouer un rôle dans ce combat.  

En savoir plus

 

Est-ce que vos proches sont conscients de la situation ? Savent-ils réellement ce que vivent les femmes dans le monde ?  

Ces chiffres accablants doivent être connus de toutes et tous. En partageant ce quiz auprès de votre entourage, vous participez à la prise de conscience globale. 

Merci d’avance d’être avec nous dans ce combat et de partager ce quiz.
 

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Conformément à la loi Informatique et Libertés, vous disposez d'un plein droit d'accès, de modifications ou de suppression des données personnelles vous concernant. Vous pouvez à tout moment exercer ce droit en allant sur les pages ci-dessus ou sur demande écrite à cette adresse :

CARE France - 71 rue Archereau - 75019 - Paris.

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Zéro déchet: du nouveau au supermarché...

Remplacer les sachets plastiques par des boîtes en plastique sorties de nos placards, cela existe déjà dans certains petits commerces, mais la grande distribution s'y met, elle aussi. "Dans plus de 1 500 magasins Carrefour, vous avez la possibilité de venir avec votre propre emballage alimentaire", explique Bertrand Swiderski, le directeur du développement durable chez cette enseigne. "On confie ça à notre personnel, qui vérifie si l'emballage est propre, on fait la pesée, vous récupérez l'emballage, vous le nettoyez à la maison et vous revenez, comme ça on a supprimé l'emballage jetable."


Depuis mercredi 6 mars, les magasins Carrefour tentent de réduire leurs emballages dans les rayons dits "de vente assistée", pour le poisson, la viande et le fromage à la coupe. Dans les rayons, les clients découvrent le système et sont plutôt séduits : "C'est très intéressant, pour la planète surtout", estime cette vieille dame. "Je trouve que c'est une bonne idée. Je n'avais pas vu le dispositif, mais je vais le faire oui, pourquoi pas", juge pour sa part ce consommateur.


Un geste qu'il "faudrait encourager"
Avec un bémol, toutefois : "On n'a pas toujours sa boîte sur soi, c'est ça le problème. Autrement c'est bien", nuance une cliente. C'est pour cela qu'il faudrait aller plus loin selon Laura Chatel, l'une des porte-paroles de l'ONG écologiste Zéro waste : "C'est un effort que fait le consommateur d'amener son contenant réutilisable propre chez son commerçant. Donc c'est un geste qui pourrait être encouragé et récompensé par exemple par une petite réduction." Zéro waste a par ailleurs adressé une lettre ouverte aux autres grandes enseignes pour les inciter à adopter cette pratique.

Franceinfo - Franceinfo - samedi 9 mars 2019

23/03/2019

Formation en ligne sur la Gouvernance partagée

MOOC SUR LA GOUVERNANCE PARTAGÉE

démarrée en février prévue jusqu'en juin il est toujours temps de les rejoindre !

Formation en ligne, vidéos, textes, tchat... en libre participation !

EDITO de la newsletter des Colibris

C’est dans un élan commun que l’Université du Nous, Hum! et Les Jardinier·e·s du Nous poursuivent leur chemin avec comme tournant enthousiaste :

la 2ème édition du MOOC sur la Gouvernance Partagée

Toujours en coopération avec l’Université des colibris, l’équipe renforcée a précautionneusement préparé les choses en proposant cette année 2 parcours : Solo et Jardinier·e·s du Nous. 

Les JdN participent donc à l’effervescence à travers la création de Jardins pour le MOOC et en poursuivant la proposition de webinaires.

En parallèle et toujours relié à la Gouvernance Partagée, Hum! vous invite à diverses rencontres pour s’initier ou approfondir le sujet, la posture et  l’intelligence collective. Voilà ces collectifs habités par cette même énergie de partage ! Ils vous attendent sur la piste !

Gabrielle I Rôle Com UdN

Infos et inscriptions:

https://colibris-universite.org/formation/mooc-gouvernance-partagee-2019

L'UNIVERSITÉ DES COLIBRIS

Colibris continue de travailler sur la démocratie et la participation citoyenne.

Nous les avons retrouvés le 19 février avec une nouvelle session du MOOC Gouvernance partagée, pragmatique et allégée ! Ils explorent avec vous  les nouvelles façons de décider et d'agir ensemble, de concilier l’épanouissement des personnes et des organisations.

En parallèle, l'Université des colibris propose un premier parcours sur mesure pour les organisations qui veulent impliquer leurs collaborateurs et générer de l'intelligence collective : “Se réunir autrement”, élaboré en partenariat avec l’Université du Nous.

https://colibris-universite.org/

Hum!, la coopérative de l’Université du Nous, vous propose  plusieurs expériences apprenantes :

Plus d’information : contact@hum-hum-hum.fr

 

 

22/03/2019

Qu'est ce que l'autisme?

 

Face à un enfant atteint d'autisme, certains ne savent pas comment réagir. Pour les aider et lever le voile sur ce sujet tabou, des parents ont listé ce que tout le monde devrait savoir sur cet trouble du développement.


Outre-Atlantique, le Canada comme les Etats-Unis ont lancé, comme chaque année depuis les années 1970, un mois de sensibilisation à l’autisme en avril. Le lundi 2 avril 2018, c'était la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme en France. L’occasion d’informer la population sur ce trouble du développement qui affecte les fonctions cérébrales.
Qui mieux que des parents d’enfants atteints d'autisme peuvent nous parler de ce sujet ? Interrogés par le Huffington Post, ils ont pu enfin exprimer leurs sentiments vis à vis de ceux qui connaissent mal le trouble du spectre autistique. Voici sept phrases qui ont retenu notre attention.


Nos enfants ont des sentiments
Pour Victoria Rusay, mère d’une petite fille, "mon enfant peut entendre et comprendre la manièreaitez. Le fait qu’elle ne parle pas ne veut pas dire qu’elle est inférieure. Elle est humaine avec des sentiments et des émotions comme vous et moi”


Un enfant a de l'autisme mais n'est pas l'autisme
Une autre mère, Jennie Carlsten, s’exprime elle aussi : "chaque personne est différente. S'il vous plaît, ne pas sous-estimer mon enfant à cause de quelque chose que vous avez entendu ou lu"


Nul besoin de pitié
“Quand j'explique à des inconnus que mon fils est atteint d’autisme, on me regarde comme si c'était un fardeau, l’air de dire que ça doit être difficile. Il est très intelligent. Et il y a des jours où tout est un défi pour lui, mais nous l’affrontons. L'autisme ne le rend pas incapable, c'est le monde environnant qui est incapable de le comprendre ", se confie Holly Nykole Luciano.


Ils ont besoin de patience et de compréhension
"Mon enfant est très intelligent. Il peut comprendre les choses, mais parfois ça lui prend un peu plus de temps”, explique ce père de famille, Bob Chappell. Elle  est la plus empathique que je connaisse. Si les gens lui laissaient plus de temps, elle communiquerait d'une manière qui vous étonnerait. Elle est incroyablement intelligente, drôle et aimante“ s’enthousiasme Lyndsay Jeanne Gentry.


Nous ne cherchons pas un remède
Pour Sophie Vera, professionnelle de santé et mère, chercher un remède ne fait pas partie des préoccupations d’un parent d’enfant atteint d’autisme. “Les huiles essentielles, les alignements de chakra et les danses de pleine lune ne vont pas guérir mes enfants. Si un enfant était guéri, il ne serait pas autiste.”


Nos enfants sont intelligents
"Être atteint d'autisme ne veut pas dire être idiot. Chaque fois que nous disons à quelqu'un de nouveau et sans éducation sur le sujet que notre fils est autiste, la réponse typique qui s’en suit est ‘mais il semble si intelligent !’. Mais il est intelligent ! Beaucoup, voire la plupart des enfants atteints d'autisme possède un QI ou au-dessus de la moyenne. Cependant, ils ne choisissent pas toujours de partager ce qu'ils savent ou peuvent faire avec vous”, explique longuement Casey Chapman.


Il y a beaucoup de travail invisible
Ce parent ajoute : "Juste parce qu’une action semble se passer facilement ne signifie pas que c'était facile pour eux. Il y a des heures et des heures de coaching invisible et de la pratique dans les coulisses que vous ne voyez pas qui a fait paraître quelque chose facile”
Pour son fils, “être un petit garçon souriant est un travail difficile pour lui. C'est pourquoi je suis épuisée", confesse Céline Marguerite Quentin, mère de famille.

Valentine POIGNON - Femme Actuelle - dimanche 24 février 2019

21/03/2019

Droit des femmes, droit d'asile...

Dans le Journal "La Strada" de mars 2019, Mme Morgane Tymen s'emploie à l'occasion de la journée internationale du 8 mars consacrée traditionnellement aux droits des femmes dans le monde, de faire un bilan sur la situation des femmes lors des migrations. Six organisations (ADN,la Cimade, Habitat et Citoyenneté, LDH, le Graf, le Planning familial...) qui accueillent des demandeuses d'asile à Nice se sont unies l'an passé pour lancer une campagne contre la volonté de durcissement de la législation française: la Loi Asile et Immigration.

La question du mariage forcé est notamment cruciale au Burkina Faso, en Guinée, au Maroc, en Tunisie... Des jeunes filles, en effet, subissent des pressions sociales et familiales et, pour échapper à des unions arrangées contre leur gré, elles sont contraintes de fuir et d'émigrer avec tous les risques que cela comporte (viols, tortures...). Puis, lorsqu'elles demandent l'asile dans notre pays, leur demande d'hébergement n'est pas nécessairement prise en compte. Elles réclament davantage d'accompagnement, un accueil bienveillant, une écoute positive et sans jugement à l'OFPRA et partout où elles sont amenées à respecter des procédures longues et difficiles.

Pour en savoir davantage, joindre les sites des associations citées plus haut.

Lyliane

20/03/2019

Que faire pour doper sa future retraite?

Dans Version Fémina, Mme Laurence Ollivier a interviewé Mme Valérie Batigne, Présidente de Sapiendo Retraite, pour glaner des conseils utiles et préparer la retraite.

1) Fuyez les jobs non déclarés. En effet, les petits boulots et les activités d'appoint payées de la main à la main n'apportent aucune cotisation retraite. Par contre, en 2018, il suffit de percevoir 1482 euros sur l'année pour valider un trimestre de retraite, ce que permet un job d'été par exemple.

2) Cotisez plein pot, même à mi-temps: Votre retraite de base étant calculée sur la moyenne de vos 25 meilleures années de salaire, dans le régime général, si vous réduisez votre temps de travail et votre rémunération de 20%, cela se répercutera sur votre future pension.La solution serait de cotiser pour un équivalent temps plein, mais l'employeur est libre de le refuser...

3) Engrangez quatre trimestres par an, même si vous levez le pied. Vous pouvez en 2018 même en cas de réduction d'activité valider des revenus de l'ordre de 6000 euros bruts. Vérifiez éventuellement auprès de la CAF si vous relevez de l'assurance vieillesse des parents au foyer (AVPF)

4) Si vous devez suivre votre conjoint à l'étranger ou quitter votre emploi pour vous expatrier, inscrivez-vous à titre volontaire à la CFE. voir infos sur www.cfe.fr.

5) Exigez le statut de conjoint collaborateur, si vous vivez avec un indépendant ou travaillez en couple sans être déclaré. Toutefois, l'idéal serait d'être rémunéré à hauteur du travail effectué.

6) Mariez-vous selon les circonstances. La pension de reversion, en effet, n'est versée  qu'au conjoint, jamais au concubin ou au partenaire pacsé.  En cas de veuvage, un remariage peut toutefois vous priver de la réversion de votre précédent mari.

7) Gardez vos trimestres enfant: Depuis 2010, quatre trimestres sur les 8 attribués  pour un enfant peuvent être répartis entre les parents.  Les mères ne sont pas spécialement avantagées au partage.

8) Traquez les erreurs: A la lecture de votre relevé de carrière, redoublez de vigilancee. Des oublis interviennent souvent : stages, jobs d'été, trimestres pour enfants, emploi à l'étranger...

9) Pensez à l'épargne retraite, sur le PEE (plan d'épargne entreprise) ou le PERCO (plan d'épargne pour la retraite collectif) surtout si votre entreprise vous accorde un bonus pour chacun de vos versements ou bien économisez chaque mois en vue de votre future retraite.

Pour toute information complémentaire, allez consulter par exemple:www.sapiendo-retraite.fr.

Lyliane

17/03/2019

Plastiques, que faire pour mieux les recycler et arriver à les réduire?

L'Association Agir pour l'environnement lance une campagne jusqu'au 31 /12/2019, en interpellant Mr le ministre de la transition écologique et solidaire, afin d'interdire les plastiques à usage unique et d'informer au sujet de la production polluante et dangereuse des matières plastiques et du gaspillage d'une ressource non renouvelable. Depuis les années 50, en effet, l'industrie chimique mondiale a produit 8,3 milliards de tonnes de plastique. Or, seuls 9% de ces plastiques ont fait l'objet d'un recyclage, 12% ont été incinérés et 79% ont terminé en décharge ou ont contaminé l'environnement.Il nous faut réagir vite, sinon ce seront 12 milliards de tonnes supplémentaires qui connaîtront le même sort d'ici 2050...

Il faut savoir que 582 molécules sont autorisées comme additifs ou auxiliaires de production de polymères. Outre cela, une multitude d'autres polymères (fibres textiles synthétiques, caoutchouc synthétique, sacs, bouteilles, emballages, filets de pêche...) produisent les 2/3 des rejets directs de débris de micro-plastiques dans nos océans. On estime en effet à 8 millions de tonnes les plastiques finissant à la mer. C'est notamment ce fameux septième continent au coeur de l'Océan Pacifique. Plastique contre plancton, c'est une véritable "bombe à retardement"!

Trop de substances dangereuses sont encore présentes dans nos produits de consommation pour autoriser leur recyclage en toute sécurité pour la santé ou l'environnement. Des lobbies essayent pourtant de faire croire aux pouvoirs publics  que cette contamination est mineure. Or il n'en n'est rien! L'Association Agir pour l'environnement demande à travers cette campagne:

- d'interdire les plastiques à usage unique (bouteilles, cotons-tige,verres et assiettes jetables...), les suremballages, les films plastiques...

- de déclarer la composition complète des plastiques et de leurs additifs, pour mettre en place un système de traçabilité.

- de faire adopter par la commande publique d'ici fin 2020 un plan de sortie  des plastiques à usage unique, l'amorce d'une ample"déplastification des lieux publics" comme maternités, hôpitaux...

Bref, il s'agit de montrer que la sécurité sanitaire et environnementale vis à vis des plastiques est pour le moment une faillite complète dans notre pays. Ce constat devrait enfin mettre en mouvement les agences chargées de veiller à notre santé comme par exemple l'ANSES, l'Agence de l'eau et l'Ademe. A nous de peser sur la législation et de demander que les choix politiques et économiques du pays soient réorientés pour minimiser la menace qui nous vise tout comme nos descendants.

Pour en savoir davantage, joindre sur Internet: www.agirpourlenvironnement.fr

Lyliane

 

15/03/2019

Climat : les jeunes se mobilisent et vous ?

MesOpinions.com : le site de pétition et sondage en ligne
Strike global for future 
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Notre lycée, Léonard de Vinci, qui se situe aux Haute Loire à décidé d’agir.
Voir notre planète mourir, sans rien faire n’est pas concevable pour nous.

Un petit groupe d’élèves dont je fais partie à décider de suivre le mouvement de manifestation.
Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
Nous souhaitons faire bouger les choses à notre échelle.

Nous aimerions énormément que notre département se montre présent.
On veut que l’état, le gouvernement nous écoute et qu'ensemble on trouve des solutions.Notre manifestation doit être entendue mais sans réelle personne influente cela reste impossible.
Nous voulons que les médias se bougent et parlent de notre mouvement pour que d’autre lycée de notre département fasse aussi des manifestations.

Notre région doit agir, elle doit montrer sa colère. Nous sommes l’avenir mais sans notre source de vie, la Terre nous n’y arriverons pas..

Signez la pétition.

Grâce à elle nous pourrons peut-être avoir un impact un peu plus médiatisée en contactant un journal.

Merci d’avoir pris le temps de lire

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Voir notre planète mourir, sans rien faire n’est pas concevable pour nous.

Un petit groupe d’élèves dont je fais partie à décider de suivre le mouvement de manifestation.
Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
Nous souhaitons faire bouger les choses à notre échelle.

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On veut que l’état, le gouvernement nous écoute et qu'ensemble on trouve des solutions.Notre manifestation doit être entendue mais sans réelle personne influente cela reste impossible.
Nous voulons que les médias se bougent et parlent de notre mouvement pour que d’autre lycée de notre département fasse aussi des manifestations.

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Voir notre planète mourir, sans rien faire n’est pas concevable pour nous.

Un petit groupe d’élèves dont je fais partie à décider de suivre le mouvement de manifestation.
Nous allons donc ce vendredi 15 mars manifester comme beaucoup d’étudiants, de lycéens, de collégiens qui veulent des solutions et surtout que le gouvernement agisse le plus vite possible. Les élèves qui seront à nos côtés et nous mêmes allons montrer notre peur, notre colère, nos envies et surtout nous allons agir.

Nous savons que notre manifestation ne sera pas la plus importante, et surtout nous savons qu’elle restera muette.

Nous ne sommes qu’un petit lycée de campagne fréquenté par 900 élèves.
Notre avenir, comme celui de nos parents, des générations futures est en grand danger.
Nous souhaitons faire bouger les choses à notre échelle.

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14/03/2019

Le 16 Mars: marche pour le climat!

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Samedi 16 mars, rejoignez les marches pour le climat

 
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sam. 9 mars 23:12 (il y a 6 heures)
 
 
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À moi
 
 
 
 
 
 
 
Samedi 16 mars, plus de 130 marches pour le climat sont organisées en France. Des dizaines de milliers de personnes y prendront part. Et vous ?
 
A L'AIDE : L'état
 
 
// Face à l'urgence climatique, nous participerons à la MARCHE DU SIECLE pour le climat
 
 
Chères amies, chers amis,
 
Alors que la France est en passe de rater son rendez-vous avec l'Histoire en augmentant l'an passé ses émissions de gaz à effet de serre de 3,2%, l'heure est venue de nous rappeler au bon souvenir du Président de la République.
 
Samedi 16 mars prochain aura lieu la "marche du siècle", manifestation qui devrait rassembler plusieurs dizaines de milliers de citoyens. Plus de 130 rassemblements sont d'ores et déjà prévus et nous espérons que ce temps fort de la mobilisation changera la donne en montrant aux responsables politiques que les mots seuls sont insuffisants pour lutter contre le dérèglement climatique.
 
Malgré les engagements internationaux de la France, malgré les alertes répétées des scientifiques, malgré la détermination des citoyens, les projets inutiles et climaticides sont très loin d'avoir été remisés dans les cartons.
 
L'heure est donc à la mobilisation pour le climat. Samedi 16 mars, nous avons rendez-vous avec l'Histoire ! Et nous serons des dizaines de milliers à participer à la marche du siècle pour le climat.
 
 
 
 

 

 
 

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Plus nous sommes nombreux, plus nous avons d'impact.
Plus nous avons de soutiens, plus nous pouvons multiplier nos actions pour une planète vivable.

Dégrèvement de la taxe d'habitation pour les étudiants, ce qu'il faut savoir...

Vous êtes étudiant, louez votre propre logement mais restez rattaché au foyer fiscal de vos parents ? Si vous voulez profiter d’une baisse de votre taxe d’habitation cette année, il va falloir réaliser quelques démarches auprès du fisc. Car dans votre cas, la réforme décidée par l’exécutif, visant à supprimer progressivement cet impôt pour 80% des ménages, ne sera pas appliquée de manière automatique, contrairement au reste de la population. C’est ce que l’on apprend dans une réponse de Bercy à une question d’un sénateur, repérée par les éditions Francis Lefebvre.


“De très nombreux étudiants ou apprentis, bien que rattachés fiscalement au ménage parental, sont amenés à louer des logements afin de poursuivre leurs études. (...) La très grande majorité d’entre eux n’ont que peu ou pas de ressources financières propres. Toutefois, il semblerait que la grande majorité d’entre eux continue de payer leur taxe d’habitation, alors même que leurs parents en sont exonérés, sous prétexte qu’il ne pourrait y avoir qu’une exonération de taxe d’habitation par foyer fiscal, que leur logement serait considéré comme une résidence secondaire, réponse ainsi faite par les services fiscaux à de nombreuses familles”, s’était ainsi inquiété Jean-Marie Morisset (Les Républicains),

En réponse, le ministère de l’Action et des Comptes publics indique que le logement de ces étudiants est bien considéré comme leur résidence principale et peut donc bénéficier des différents dispositifs d’abattements et d’exonérations relatifs à la taxe d’habitation. En particulier, donc, la mesure visant à supprimer progressivement cet impôt pour 80% des ménages. Pour rappel, celle-ci intervient en trois temps : une ristourne de 30% en 2018, de 65% en 2019 puis de 100% en 2020. Ce, pour les ménages dont le revenu ne dépasse pas un certain seuil (pour savoir si vous êtes éligible, il suffit d’utiliser ce simulateur).

Ce “dégrèvement d’office” est normalement automatique, dès que les conditions de
revenus sont remplies. Mais pas pour ces étudiants : “en pratique, leur imposition est établie sans prendre en compte le revenu fiscal de référence de leurs parents en l’absence de rapprochement automatique possible entre ces deux éléments. Il en résulte que le dégrèvement leur sera accordé sur présentation de l’avis d’imposition à l’impôt sur le revenu de leurs parents”, explique Bercy. Cette réclamation peut être effectuée via son espace personnel sur impots.gouv, par mail ou par courrier auprès de son centre des finances publiques, indique une fiche pratique du fisc.
Notez que ce sont les revenus de l’ensemble du foyer qui serviront à évaluer l’éligibilité à cette ristourne : les étudiants dont les parents ont des revenus confortables risquent donc de continuer de payer une taxe d’habitation plein pot, tant qu’ils restent rattachés au foyer fiscal. Par ailleurs, rappelons que la taxe d’habitation n’est pas due si vous n’étiez pas dans le logement au 1er janvier ou si vous occupez un logement dont vous n’avez pas l’usage total, comme une chambre en résidence universitaire ou située dans la maison d’un particulier.


Reste une question : si une personne concernée réalise la démarche maintenant, peut-elle bénéficier rétroactivement de la ristourne de 30% accordée l’an dernier ? Interrogée, la Direction générale des finances publiques ne nous a pas répondu...

Thomas LE BARS - Capital - jeudi 28 février 2019

13/03/2019

L'assemblée de l'ONU pour l'environnement se réunit au Kenya...

A Nairobi, toute la semaine jusqu'à vendredi, se tient la quatrième Assemblée de l'ONU pour l'environnement, la plus grande instance internationale de décision sur les problématiques écologiques, écrit un journaliste dans Cnews, journal gratuit paru le 11/3/2019. Hôte de ce sommet  de l'ONU , l'Afrique est en première ligne sur les problématiques environnementales. Selon le dernier rapport du GIEC, publié en octobre 2018, une hausse des températures de 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle accroîtrait la sècheresse et la famine sur le continent africain. De plus, la déforestation liée à la culture du cacao renforce le réchauffement en Afrique, en libérant des quantités gigantesques de CO2. Donc, on peut dire que l'état d'urgence est déclaré.

Mr Emmanuel Macron se rendra à la troisième édition du "One Planet Summit" crée en 2017 à son initiative et organisé pour la première fois en Afrique. L'objectif de cette semaine de l'ONU est de faire bouger les Etats, afin qu'ils prennent des mesures fortes pour protéger la planète. Car l'inquiétude est là et chefs d'Etat, ministres, PDG, représentants d'ONG... tous vont devoir trouver des solutions innovantes pour relever les défis posés: déclin des espèces d'insectes, 3,4 milliards de tonnes de déchets d'ici 2050 si rien ne change...

Concrètement, il sera notamment question de mieux protéger la biodiversité, de veiller à la sécurité alimentaire, de résorber les déchets (plastiques...), de juguler le réchauffement climatique. Ce sommet est d'autant plus important qu'il se tient au moment où les citoyens du monde prennent conscience des désastres engendrés dans l'environnement. En effet, des recours contre les Etats pour inaction climatique ont été déposés en France, en Irlande, aux Pays-Bas et des grèves scolaires ont démarré en Belgique, en Australie et en Allemagne. Ce mouvement a été initié par Melle Greta Thunberg, originaire de Suède, qui a lancé à l'âge de 16 ans un appel à une grève mondiale pour le climat.

Lyliane

 

12/03/2019

Montagn'habits, un roc de solidarité!

Sous ce titre, Mme Aurore Harrouis dans le magazine "Nous" nous fait découvrir une association, basée à Saint Auban(06), qui collecte des vêtements déposés dans quelques 250 containers présents dans 3 départements limitrophes. Elle emploie entre 20 et 25 personnes et c'est la plus grande structure professionnelle et économique du pays grassois. Après la tournée des containers, les textiles récoltés sont mis en sacs et expédiés vers des plateformes de tri et vendus à des sociétés spécialisées dans le traitement des fripes (à Boulogne sur mer, en Allemagne et dans le pays d'Aix en Provence). Sept camions sont nécessaires pour assurer les tournées.

L' association, crée en 1998 par le Père Jacky Jobert et les élus du haut pays grassois, a surtout décollé en 2003, lors de l'arrivée de Mr Hubert Germain à la présidence de l'association. A l'époque, Montagn'habits récoltait une trentaine de tonnes de vêtements à l'année. Aujourd'hui, l'association en collecte 1650 tonnes. Grâce à des  dons, des aides et des subventions des institutions locales, "Montagn'habits forme et emploie des personnes en CDI ou en chantier d'insertion et ce faisant lutte contre la désertification du territoire".

Recycler le textile sert à limiter le gaspillage. Ainsi, 99,5% des marchandises collectées sont revalorisées à travers différentes filières. Par exemple, 3 vêtements sur 5 sont revendus à des friperies (5% en France et le reste à l'étranger). Les tissus de mauvaise qualité sont transformés en chiffons, d'autres sont broyés, effilochés pour fabriquer de nouveaux produits (isolants, rembourrage pour coussins...). Pour en savoir davantage sur le concept ou même pour créer une friperie solidaire, joindre Mr Hubert Germain ou le site: www.montagnhabits.com.

Lyliane

 

 

 

11/03/2019

Le langage des images avec l'Atelier du Cinéma...

Mme Valérie Hurier, dans une interview minute de Mme Frédérique Bredin pour le journal Télérama, nous fait part de l'objectif de l'Atelier du cinéma de familiariser les élèves au langage des images. En effet, la Présidente du Centre national du cinéma et de l'image animée est à l'origine du projet. Pendant 2 ans avec l'Education Nationale, l'Atelier cinéma s'est investi pour trouver comment apprendre aux élèves de CM1, CM2 et 6ème à lire les images. Ce projet devrait enfin permettre de toucher tous les enfants de cette classe d'âge grâce à un coffret et à un livret pédagogique pour faire jouer les élèves. Ils apprendront notamment toutes les étapes de la fabrication d'un film.

Constatant que les jeunes passent  en moyenne 4 heures par jour devant des écrans, sur Internet et à regarder des vidéos, Mme Bredin a voulu les éduquer aux images. Depuis novembre 2019, toutes les écoles peuvent retirer gratuitement l'Atelier cinéma  auprès des Inspecteurs de l'Education nationale ou dans les ateliers Canopé avant la fin de l'année. Selon Mme Bredin, 10% ont déja reçu le jeu. Les élèves doivent, en effet, apprendre que "toute image peut être transformée, qu'elle est le résultat d'une intention et qu'ils ne doivent donc pas toujours se fier à ce qu'ils voient". Toutefois, à l'âge de la curiosité, de la réflexion et de la consolidation des apprentissages,"cet Atelier peut aussi leur faire découvrir la magie de la création, les secrets de la fabrication d'un film et susciter des vocations".

Une initiative qui me semble utile et susceptible de renforcer les liens nécessaires entre le monde de l'école et la vie de tous les jours. Après les Semaines de la Presse au collège, permettant aux jeunes de constater comment, selon le regard du journaliste, l'information écrite peut être manipulée, un pas de plus pour tenter de décrypter le monde des images.

Lyliane

10/03/2019

Ateliers d'écriture du Figaro dès le 14/3/2019...

Après les ateliers d'écriture de Grégoire Delacourt et celui d'Étienne de Montety, le prochain démarrera le jeudi 14 mars, avec Mohammed Aïssaoui, écrivain et journaliste au Figaro littéraire. Il est l'auteur de L'Affaire de l'esclave Furcy (Gallimard, puis Folio), Prix Renaudot de l'essai, Prix RFO du livre, Prix du roman historique. Le texte a été adapté au théâtre. Il a également écrit L'Étoile jaune et le Croissant, Petit éloge des souvenirs et Le Goût d'Alger, et des fictions radiophoniques pour France Inter, dont Madame Bovary au tribunal, le procès fait à Flaubert.
Mohammed Aïssaoui a mis en place Les Ateliers d'écriture du Figaro littéraire. Il en anime depuis huit ans, en librairies et pour les entreprises. Combien sommes-nous à vouloir écrire et à «bloquer» sur un chapitre ou au milieu du gué? À commencer et à ne pas finir? À avoir des «bouts» de textes, des idées, des désirs, mais ne pas savoir quoi en faire? C'est justement le premier but de ces ateliers d'écriture. Arriver à «débloquer» ce genre de situation, mais aussi à désacraliser l'écriture - cela est très important. Chacun porte un livre en soi, et il existe des techniques pour le faire sortir de soi.
 
 Figaro littéraire : Les ateliers d'écriture - Regarder sur Figaro Live
 
Techniques d'écriture et ficelles du métier
On explorera les différentes pistes d'écriture et nous irons, pour les participants qui le désirent, à la rencontre des textes de chacun. Tous les territoires seront passés en revue: récit, roman, autobiographie, biographie, témoignages… L'atelier se propose d'accompagner chacun dans sa propre écriture et dans son projet personnel. À travers de nombreux exercices, mais aussi des travaux à la maison, on apprendra à reconnaître la singularité de son style, sa touche personnelle. À retravailler les textes, car écrire, c'est aussi réécrire. Savoir mener un récit et la discipline à tenir en fonction de ses objectifs sont des buts essentiels. Nous nous appuierons sur des techniques d'écriture et sur les «ficelles» du métier, parce qu'écrire est aussi une technique, même si ce n'est évidemment pas qu'une technique. Avec des exemples de questions que l'auteur se pose: quand se relire? Quand réécrire? Sur quels matériaux travailler, le réel, l'imaginaire, comment associer les deux?

Un écrivain ou un éditeur viendra lors d'une de ces six séances pour que les participants puissent lui poser les questions qui le souhaitent. À la fin du stage, le participant devrait repartir avec une confiance en soi et une discipline qui lui permette d'aller au bout de son projet, qu'il désire écrire pour lui-même ou pour être publié.
Vous pouvez contacter les Ateliers du Figaro Littéraire si besoin à l'adresse suivante: ateliersdecriture@lefigaro.fr
L'atelier se tiendra dans les locaux du Figaro, au 14, boulevard Haussmann, 75009 Paris.
 Détail des séances: les jeudis 14, 21 et 28 mars et les jeudis 4, 11 et 18 avril 2019.
 Pour les modalités pratiques et les inscriptions, Les Ateliers d'écriture du Figaro littéraire sont expliqués ici:
  Ateliers d'écriture / Figaro Store 

Le figaro.fr - Le Figaro - lundi 4 février 2019

09/03/2019

Une journée dédiée à l'avenir des petites filles...

Samedi 16 mars 2019 de 13h à 17H à la Cité des Sciences et de l'Industrie, le magazine ELLE et Barbie organisent la première journée parents/enfants. Le thème est le suivant: Power Girl, pour que vos petites filles puissent aller au bout de leurs rêves.

Il y aura des conférences, des rencontres avec des femmes inspirantes, des ateliers, des jeux et un goûter. Alors, si votre fille a entre 7 et 10 ans et si elle rêve de devenir astronaute, pompière ou footballeuse, cette journée est pour vous! Programme et inscriptions sur www.ellepowergirl.elle.fr.

Lyliane