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13/01/2018

Un laurier INRA 2017 pour des travaux sur la biodégradation des plastiques à partir de résidus agroalimentaires...

Mme Nathalie Gontard, écrit Mr Denis Sergent dans le journal La Croix du 28/11/2017, est "une physico-chimiste ardéchoise qui a la fibre du biodégradable". Celle-ci en effet après des études d'ingénieur à Montpellier s'est très vite spécialisée en biomatériaux. Lors de ses recherches à Montpellier au sein d'un laboratoire du CIRAD (Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement), elle a notamment étudié comment les producteurs africains conservent les aliments (feuilles végétales ). Puis elle est partie avec sa famille à l'Université de Kyoto au Japon, un pays alliant tradition et modernité.

Actuellement, Mme Gontard est directrice de recherche et anime une équipe de 10 femmes dans une Unité Ingéniererie des Agropolymères et Technologies émergentes (CIRAD, SupAgro à Montpellier). De 2011 à 2015, elle a coordonné Ecobiocap, un projet européen de recyclage des sous-produits alimentaires. En 2015, Mme Gontard a été nommée "étoile de l'Europe" dans la catégorie Environnement et Changement climatique. Pour cette chercheuse, le recyclage n'est qu'une partie de la solution à court-terme. Avec une PME franco-allemande de Nimes, Firplast, elle a contribué à la mise au point les premières barquettes alimentaires biodégradables, issues des effluents  fermentés de distilleries ou de laiteries.

Toutes nos félicitations à cette femme chercheur qui ouvre une voie dans le remplacement des matières plastiques, dont les déchets polluent notre environnement.

Pour en savoir plus, consulter www.inra-cirad.fr.

Lyliane

12/01/2018

Un agriculteur du Var refuse les engrais chimiques depuis de nombreuses années...

Bras, article publié le 29/11 dans le journal local:

"J'ai retrouvé le vrai métier. Je ne suis plus agriculteur, je suis paysan" dit fièrement Bertrand Allais. En l'an 2000 ce céréalier a changé radicalement sa façon de travailler. Il retourne ainsi aux vraies valeurs de la terre. Plus question donc de polluer le sol et jouer avec sa santé. 

Une décision qui demande plus de main-d'œuvre et plus d'investissements. "Le coût, plus élevé se répercute sur le prix de vente mais le gros avantage c'est que l'on laisse la terre propre", explique Bertrand Allais.


Pour garder une terre propre, sans glyphosate ou autre produit chimique, il faut repenser tout le système de production. "Il faut travailler sur des rotations des cultures pour rompre le cycle de développement des mauvaise herbes", précise Sophie Dragon-Darmuzey, conseillère à Agrobiovar. 

Dans le Var, plus de 20% des surfaces agricoles sont déjà certifiées bio et de plus en plus d'agriculteurs ont recours à des pratiques alternatives qui ne font pas appel à la chimie.


Suspension provisoire de deux pesticides

Courant novembre le tribunal administratif de Nice a décidé de suspendre de la vente deux pesticides "Closer" et "Transform". Une mesure provisoire prise en vertu de principe de précaution. L'Union Nationale de l'apiculture française souhaite obtenir maintenant une interdiction définitive de ces produits. Des produits de la société Dow dont le siège est basé à Sophia-Antipolis. 
 

Les Assises des Outre-Mers des Antilles à Mayotte, de la Guyane à la Polynésie...

J'apprends par le journal syndical US de décembre 2017 que la promesse de campagne d'E. Macron concernant l'Outre-Mer est en cours de réalisation. il s'agissait en effet de lancer les Assises de l'Outre-Mer, ce qui a été fait fin septembre 2017. La phase de consultation s'achèvera au début de l'année 2018. Selon la Ministre des Outre-Mers, Mme Annick Girardin, ces Assises doivent "permettre à l'Etat de réaffirmer sa détermination à accompagner ces territoires en se réinventant dans le domaine de l'excellence et de l'innovation, de redonner la parole à ceux qui ne la prennent plus et qui ont perdu confiance en l'action publique".

Un rapporteur général, Mr Thierry Bert est chargé d'animer et de piloter ces Assises qui se dérouleront dans chaque territoire. Il a mis en place un Comité stratégique composé d'une quinzaine de personnalités, issues de métropole et des Outre-Mers. La synthèse des travaux devra être rendue au printemps 2018 sous la forme d'un "Livre Bleu Outre-Mer". Huit grands thèmes ont été dégagés allant de la croissance économique à la lutte contre le changement climatique, des aspirations de la jeunesse à un droit à la sécurité...

Les syndicats nationaux comme la FSU ont choisi de s'emparer de cette occasion pour porter les revendications des salariés notamment de ceux de la Fonction Publique dans ces territoires, car des différences de traitement existent entre la Métropole et ces pays d'Outre-Mer dans de nombreux domaines. Pour en savoir plus sur ces Assises, consulter le site: https://www.assisesdesoutremer.fr

Lyliane 

11/01/2018

Une auto-école pour tous!

Le Journal La Croix nous informe dans un article de Mme E. Descamps de l'initiative d'une structure associative dans la Meuse l'A.D.A.P.E.I (Association Départementale des Amis et Parents d'Enfants Inadaptés). Celle-ci, en effet, ayant remarqué que le handicap, les difficultés sociales, la non maîtrise de la langue rendent souvent le permis de conduire inaccessible, vient de former courant octobre 2017 deux éducateurs spécialisés comme moniteurs d'auto-école pour accompagner environ 80 personnes dans ce type de situation sur Vassincourt et Verdun. Ces personnes sont orientées par des travailleurs sociaux après avis d'un médecin concernant leur capacité à obtenir le permis.

La méthode de formation nommée Mobi'Meuse permet de reformuler les documents  en Falc (facile à lire et à comprendre), à répéter davantage les instructions, à encourager les élèves et à leur donner du temps, notamment pour l'épreuve du code de la route. En outre, les élèves apprennent à faire le plein ou à changer une roue, ce qui n'est habituellement pas enseigné. Des investissements sont prévus pour améliorer l'apprentissage: un simulateur de conduite et une voiture à boîte automatique plus simple à passer les vitesses. Pour certains, il est même proposé "des cours de conduite en voiture sans permis, afin d'être mobile en toute sécurité".

Saluons cette idée géniale et espérons que cet exemple stimulera d'autres initiatives dans notre pays, afin de ne laisser personne sur le bord de la route. Des idées pour agir dans tous les domaines ne manquent pas. Seuls peut-être manquent encore dans certaines régions l'impulse et l'esprit de solidarité... Pour en savoir davantage ou pour prendre contact, joindre par Internet: 

10/01/2018

La méthode Ikigaï...un art de vivre!

 
 
Apparue au début du XIVe siècle, la méthode Ikigaï ne cesse de faire des adeptes partout dans le monde .Getty Images et article de Paris-Match du 17/12/2017:

Tout droit venue d'Okinawa, cette philosophie serait à l'origine de la joie

de vivre,  de la santé et de la longévité des habitants de cet archipel.

Efficace et facile à  adopter. On s'y met sans tarder. 

A Okinawa, dans le sud du Japon, la population a une espérance de vie

largement supérieure à  la moyenne mondiale (environ 50 centenaires

pour 100 000 personnes). Son secret? Une alimentation saine, de

l'exercice physique et  l'ikigaï. Littéralement, le terme se traduit par

"joie de vivre", par une autre "raison d'être et mission de vie» et concerne

autant les adolescents que les actifs et les retraités.

 

Pour en savoir plus, consulter: 

 

09/01/2018

Qui va pouvoir bénéficier du chèque énergie selon le Figaro?

 

Qui va pouvoir bénéficier du chèque énergie

Élargi à toute la France depuis le 1er janvier après une expérimentation dans plusieurs départements, le chèque énergie, d'un montant moyen de 150 euros et distribué le 26 mars, remplace les tarifs sociaux pour les foyers les plus modestes. Retour sur cette mesure phare du gouvernement visant à lutter contre la précarité énergétique.

Pour Nicolas Hulot, le constat est clair: «Nous ne pouvons accepter que les Français les plus démunis aient à faire un choix entre manger et se chauffer». D'où la nécessité, selon lui, de généraliser le chèque énergie. Ce dispositif, lancé en 2016 par Ségolène Royal, a été testé en 2016 et 2017 dans quatre départements. Il est depuis le 1er janvier proposé à tous les Français en précarité énergétique en remplacement des tarifs sociaux de l'énergie. En quoi consiste-t-il et qui va en bénéficier?

• Qu'est-ce que le chèque énergie?

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Il s'agit d'un chèque versé par l'administration aux ménages modestes pour les aider à payer leur facture énergétique. Son montant varie selon la composition du foyer et les revenus déclarés. Il s'échelonne de 48 à 227 euros avec un montant moyen de 150 euros. Depuis le 1er janvier, ce chèque remplace les tarifs sociaux de l'énergie. Jusqu'ici, les personnes en difficulté pouvaient bénéficier du tarif spécial de solidarité (TSS) pour le gaz ou du tarif de première nécessité (TPN) pour l'électricité, selon plusieurs critères d'éligibilité (aides sociales de santé, revenus…). Ces aides étaient directement gérées par les fournisseurs. Elles disparaissent donc au profit du seul chèque.

» LIRE AUSSI - Trois quarts des Français ont froid dans leur logement

Première nouveauté: contrairement aux tarifs sociaux, qui ne concernaient que les personnes se chauffant au gaz et à l'électricité, le chèque permet de payer tous les types d'énergie (électricité, gaz naturel, chaleur, gaz de pétrole liquéfié, fioul domestique, bois, biomasse, ou autres combustibles destinés au chauffage ou à la production d'eau chaude). Autre changement majeur: le chèque énergie peut être utilisé pour financer des travaux de rénovation des logements. «Les travaux pouvant être financés par le chèque énergie sont ceux qui répondent aux critères d'éligibilité du crédit d'impôt transition énergétique (CITE)», précise le ministère de la Transition écologique.

Ce chèque, valable jusqu'au 31 mars de l'année suivant son émission, sera distribué à partir du 26 mars sur l'ensemble du territoire national.

• Qui peut en bénéficier?

Ce chèque est destiné aux personnes qui «peinent à payer leurs factures d'énergie», comme le précise dans un communiqué Sébastien Lecornu, secrétaire d'État auprès de Nicolas Hulot. Le plafond du revenu fiscal de référence donnant droit au chèque énergie est de 7700 euros par an pour une personne vivant seule et 16.170 euros pour un couple avec deux enfants. «Pour y être éligible, il faut simplement avoir déclaré ses revenus auprès des services fiscaux (déclaration d'impôt sur les revenus de l'année 2016), même en cas de revenus faibles ou nuls. Il faut en outre habiter dans un logement imposable à la taxe d'habitation (même si le bénéficiaire en est exonéré)», précise le gouvernement. Au total, près de 4 millions de ménages vont en bénéficier.

» LIRE AUSSI - Un Français sur cinq peine à payer ses factures d'énergie

• Faut-il en faire la demande?

Non. L'administration fiscale se charge d'établir chaque année une liste de foyers éligibles. Ces derniers recevront ensuite automatiquement par la poste leur chèque énergie. Il n'y a donc aucune démarche à faire pour le recevoir, contrairement au système des tarifs sociaux. Le ministère de la Transition écologique a toutefois mis en place un simulateur permettant de vérifier son éligibilité et de connaître le montant du chèque. Le gouvernement lance aussi un message d'avertissement: «aucun démarchage à domicile ou par téléphone n'est réalisé. Les usagers ne doivent donc en aucun cas communiquer leurs informations bancaires ou personnelles à des personnes prétendant leur fournir le chèque énergie».

• Comment utiliser ce chèque?

Il suffit de le remettre directement au fournisseur d'énergie pour payer sa facture. Le chèque est aussi utilisable en ligne via le portail mis en place par le gouvernement. C'est également via cette plateforme qu'il est possible de contacter une assistance ou déclarer la perte ou le vol du chèque.

• Ce chèque énergie va-t-il faire des perdants?

Oui, selon certains observateurs, qui estiment à 1,3 million le nombre de personnes lésées par l'élargissement du dispositif. Parmi eux, les personnes se chauffant au gaz qui pouvaient cumuler les deux tarifs sociaux (TSS et TPN). Pour ces dernières, l'aide moyenne s'élevait à 220 euros. Elle tombera donc à 150 euros. Ces critiques sont toutefois balayées par le gouvernement qui préfère préciser que la palette de bénéficiaires sera élargie. Le ministère de la Transition écologique rappelle par ailleurs que les tarifs sociaux rataient leur objectif. «D'une part, le nombre de bénéficiaires effectifs était sensiblement inférieur au nombre d'ayants droit. D'autre part, le niveau d'aide était différent selon le mode de chauffage», explique-t-il dans un communiqué. Selon les équipes de Nicolas Hulot, le chèque énergie est «plus équitable et plus efficace» avec un montant «plus élevé pour les ménages les plus modestes».

Le gouvernement en veut pour preuve les résultats jugés positifs de l'expérimentation menée ces deux dernières années dans les Côtes d'Armor, l'Ardèche, l'Aveyron et le Pas-de-Calais. Il constate ainsi dans ces départements «une augmentation des foyers aidés parmi les ménages vulnérables par rapport aux tarifs sociaux». Plus de 170.000 chèques ont été envoyés et 135.000 ménages ont utilisé ce chèque dès la première année d'expérimentation. Parmi les bénéficiaires, 70% se trouvaient dans la tranche de revenus la plus basse, où le montant du chèque est le plus élevé. Le gouvernement met aussi en avant «une bonne compréhension du dispositif par les bénéficiaires et les professionnels: 93% des ménages disent ne pas avoir rencontré de difficultés pour l'utiliser».

Ces arguments sont aussi défendus dans une tribune par Jean Gaubert, médiateur national de l'énergie. Lui aussi voit dans les tarifs sociaux «un système complexe, structurellement inefficace, mais aussi inégalitaire, insuffisant et coûteux». Le chèque apporte selon lui «des corrections plus qu'utiles au système hérité des lois de libéralisation, tout en préservant les droits liés au bénéfice de l'aide sociale».

• Combien va coûter la mesure?

Selon les projections effectuées par Ségolène Royal, l'élargissement du chèque énergie à toute la France va coûter cette année 600 millions d'euros. Une somme qui devrait grimper en 2019 à 800 millions d'euros. En effet, le ministère de la Transition écologique veut revaloriser de 50 euros en moyenne le montant de ce chèque l'an prochain, pour le porter à 200 euros en moyenne par ménage et par an. Une dépense utile selon Nicolas Hulot: «C'est une mesure sociale et solidaire à laquelle je tiens beaucoup», a-t-il expliqué.

08/01/2018

Nicolas Hulot salue l'intelligence du projet d'éoliennes à Loué...

Nicolas Hulot a visité les éoliennes de Loué, lundi 8 janvier, en compagnie notamment du directeur des Fermiers de Loué Yves de La Fouchardière (derrière à gauche) et du préfet de la Sarthe, Nicolas Quillet (à droite du ministre). / © Cécile Claveaux/France 3 Pays de la Loire

En se déplaçant ce matin sur le site éolien d'Ecoloué à Juillé-sur-Sarthe, le ministre de la Transition écologique est venu mettre en avant une initiative locale née il y a 4 ans et qui a été couronnée de succès. 

Par Thierry Bercault 

" Des projets aussi consensuels et aussi participatifs, c'est plutôt rare. Nous sommes les premiers en France à nous être lancés dans cette aventure" . En prononçant ces mots, le directeur général des Fermiers de Loué, Yves de la Fouchardière, ne boude pas son plaisir.  Indéniablement pour lui et son groupe volailler, la venue du ministre est une reconnaissance du travail acompli. Un gros coup de pouce pour booster le développement des énergies renouvelables.
 
  Et en effet Nicolas Hulot n'a pas tari d'éloge pour vanter la belle collaboration autour de ce parc éolien qui permet aux poulets de Loué d'être autonomes en énergie. "Ce projet montre une forme d'intelligence collective dans son élaboration car il a réussi à impliquer les communes et les agriculteurs." a déclaré le ministre de la Transition écologique et solidaire.

Miruna Popescu, une femme médiatrice santé pour Médecins du Monde en Ile-de-France.

La dernière revue de Médecins du Monde présente l'engagement remarquable de Mme Miruna Popescu dans les bidonvilles de notre pays. Installée en France depuis 2011, cette femme roumaine dont le mari est français a eu le désir de venir en aide aux familles roms qui vivent dans des conditions très précaires. Elle a débuté en accompagnant une sage-femme dans les 4 bidonvilles des départements d'Ile de France dans lesquels Médecins du Monde intervient.

Aujourd'hui, en tant que médiatrice, elle développe des compétences de travailleuse sociale. Elle aide notamment ces populations souvent stigmatisées à faire respecter leurs droits, à recevoir des soins et des conseils de santé. Elle veille à faire régresser des épidémies de tuberculose, de coqueluche ou de rougeole dans ces bidonvilles. Elle se concerne aussi en cas de démantèlement ou de non-respect de la trêve hivernale. 

Mme Popescu s'insurge sur la manière dont sont perçus ces populations. Leur rejet rejaillit sur leurs enfants, alors qu'à ses yeux ce n'est pas une fatalité. Elle les aide à retrouver leur dignité et à se battre pour obtenir partout le respect de leurs droits. Il faut savoir en effet qu'en avril 2017 16 000 personnes dont 36% de mineurs vivent  toujours dans 571 bidonvilles, squats ou campements en France métropolitaine. De quoi motiver des bonnes volontés à leur venir en aide sur le territoire national...

Pour plus d'information, consulter www.medecinsdumonde.org.

Lyliane

07/01/2018

Donner sans bourse délier...

Il existe, nous dit Mme Laure Beaudonnet, journaliste au journal 20 Minutes, des sites qui permettent de donner sans que cela nous coûte de l'argent. Des petits malins, en effet, ont imaginé plusieurs solutions pour être solidaire à bon compte. car après les fêtes, chacun serre ses dépenses!

Par exemple, depuis le 30 octobre 2017, Mr Benjamin Athuil a repris le concept du jeu de devinettes bien connu "le Schmilblic". Ce "care game" est simple: plus vous jouez sur votre mobile, plus vous financez des associations. Grâce à la publicité, 5 associations (les apprentis d'Auteuil, Passeport Avenir, Singa, Activ'Action et Coexister) reçoivent en effet de l'argent. Le but est d'attirer 100 000 joueurs actifs, ce qui fournirait plus de 200 000 euros à ces associations.

Le moteur de recherche Lilo, fondé en 2015 par deux Français, prône un web éthique. il revendique déjà plus de 500 millions de requêtes, qui ont permis de reverser plus de 220 000 euros à une cinquantaine d'associations et d'entreprises coopératives. En effet, à chaque nouvelle recherche, l'internaute cumule des "gouttes d'eau" , une sorte de monnaie virtuelle, que l'on peut ensuite donner à l'association de notre choix. Lilo reverse en effet 50% de son chiffre d'affaires à des projets sociaux ou environnementaux.

L'application Rox, quant à elle, prévoit de se lancer en janvier 2018, de donner le double de la part revenant au chauffeur et 5% de la course effectuée en VTC à une association. Une sorte de Robin des Bois des VTC, à la différence d'Uber! Enfin, l'application Km for Change, lancée en septembre 2016, permet en courant de soutenir des projets solidaires. Chaque kilomètre couru en effet est converti en don (10 centimes au moins par kilomètre). Après 10 mois, les joggeurs ayant choisi un projet et l'entreprise mécène qui les parraine, ont déjà couru 500 000 km et récolté 80 000 euros au profit d'associations solidaires.

Alors, on s'y met? Pourquoi ne pas essayer et en parler autour de soi? Pour plus d'informations, consulter par exemple: 

06/01/2018

Résistons contre les 11 vaccins obligatoires avec la proposition de la Société de Médecine Homéopathique...

Bonjour chers amis, et tous nos vœux pour 2018

Votre première action 2018 est de vous associer avec Ensemble pour une vaccination libre (EPVL) en leur renvoyant les 3 documents demandés signés …

Pour l’avenir et la santé de nos enfants et petits enfants

On vous tiendra au courant des résultats…

Homéopathiquement vôtre

Isa

 

Association Promotion de la Médecine Homéopathique

Isabelle ROSSI , présidente

23 B, rue Bourget 69009 LYON

http://apmh.asso.fr

0033 689 28 33 20

 

 

Notre premier acte de résistance contre les 11 vaccins obligatoires : une plainte pénale !

 

Après deux semaines de recherches et d'analyses d'une importante compilation d'informations, l'équipe de juristes dirigée par Maître Serge Lewisch du barreau de Paris (lewisch@orange.fr) 132, bd du Montparnasse 75014 Paris France, et de spécialistes des questions de santé nous propose de déposer près du Procureur de la République de Paris une plainte contre X pour les infractions ou tentatives d'infractions suivantes :
 

. emploi ou administration de substances de nature à entraîner la mort, empoisonnement

article 221-5 du Code Pénal
 

. administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité physique ou psychique

article 222-15 du Code Pénal
 

. violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité

article 221-6 du Code Pénal
 

. exposition d'autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité

article 223-1 du Code Pénal
 

. expérimentation sur la personne humaine sans avoir recueilli le consentement libre et éclairé des titulaires de l'autorité parentale

article 223-8 du Code Pénal
 

. abus frauduleux de l'état d'ignorance ou de la situation de faiblesse d'un mineur pour conduire ce mineur à un acte qui lui est gravement préjudiciable.

article 223-15-2  du Code Pénal
 

. violation du principe d'indépendance des experts
 

. conflit d'intérêt par une personne dépositaire de l'autorité publique

article 432-12 et 432-13 du Code Pénal
 

. trafic d'influence

article 433-2  du Code Pénal
 

. non obstacle à la commission d'une infraction et non-assistance à personne en danger

article 223-6 al. 1 et 2 du Code Pénal
 

. tentative de ces infractions

          article 121-5 du Code Pénal

 

Nous demandons à toutes celles et à tous ceux qui sont concernés par le sort des 800 000 bébés qui naissent tous les ans, que vous soyez ou non parents ou grand-parents, de nous rejoindre après avoir lu avec attention la plainte pénale ci jointe.

 

De nombreux futurs parents sont angoissés : « serait-ce dangereux pour mon enfant de ne pas le vacciner » ?   A ce sujet, comme il est démontré dans la plainte pénale, la propagande qui nous assène que "les vaccins c'est bon pour les nourrissons" (afin de nous rendre dociles face à l'obligation d'injecter dans le corps de bébés les substances nuisibles contenues dans ces 11 vaccins), est scientifiquement infondée.

 

D'ailleurs le gouvernement français est l'un des seuls dans le monde et en Europe de l'Ouest qui veuille imposer un nombre aussi grand de vaccins !

 

A l'heure actuelle, si aucune action n'est entreprise, les futurs parents vont devoir inoculer à leur nourrisson de six semaines des produits hautement toxiques qui mettront en danger sa santé et même sa vie.

 

De nombreux procès en responsabilité sont à prévoir devant les juridictions civiles, comme dans les affaires de l'amiante ou du médiator, mais on sait qu'ils peuvent durer de très nombreuses années et que les laboratoires ne les craignent pas, compte tenu des milliards d'euros qu'ils attendent de la commercialisation de ces vaccins.

 

Naturellement, si vous êtes de futurs parents qui en 2018 devrons inoculer à leur nourrisson de six semaines 11 vaccins, merci de nous le préciser.

 

N'attendons pas de constater la catastrophe qui s'annonce !

 

La seule solution pouvant être rapidement efficace est aujourd'hui une plainte pénale.

 

Pour résister avec nous, il vous suffit de :

1.     De télécharger, de lire la plainte pénale avec attention Cliquez ici pour la plainte pénale ;

2.     D'imprimer et de signer la dernière page de la plainte pénale ;

3.     De télécharger et d'imprimer et de le remplir (renseignements sur l'état civil, etc.) : Cliquez ici pour le formulaire ;

4.     De faire une copie de votre pièce d'identité ;

5.     De numériser ses trois documents ;

6.     De nous les renvoyer par email à l'adresse suivante : plaintepenalevaccins@gcpww.org 

Bien à vous et très amicalement.

 

Sophie Guillotporte-parole du collectif « Ensemble pour une Vaccination Libre » contact@epvl.eu 

Pierre Lefevre, porte-parole du collectif « Libre consentement éclairé » lefevre@gcpww.org

 

* * *

 

Notre action est soutenue par MEDECINE & PHARMACOPEE CHINOISES FRANCE qui se met bénévolement à notre service pour la gestion administrative de notre collectif - Vous pouvez soutenir son action en faisant un don même d'1 euro symbolique :

Afin d'éviter les frais retenus par Paypal (5 %), le mieux est de faire un virement bancaire, même pour 1 euro !  Coordonnées bancaires  :

IBAN : FR76 1820 6002 5765 0396 8037 242 – BIC : AGRIFRPP882

RIB : BANQUE : 18206 GUICHET : 00257 N° de COMPTE : 65039680372 CLÉ : 42

DOMICILIATION : PARIS ORDENER (00257)

TITULAIRE DU COMPTE : ASSOC. MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE

 

Cliquez ici pour la plainte pénale

 

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05/01/2018

Sensibiliser au handicap...

Le Journal gratuit 20 Minutes, dans son édition du 14 décembre 2017 et sous la plume de Mme M. Frénols, nous informe d'une nouvelle application susceptible d'aider des personnes porteuses d'un handicap invisible. Mr Daniel Tinmazian, père d'une jeune fille de 15 ans, en difficulté sur les pistes de ski comme en ville, a imaginé en effet une plateforme" d'entraide et de bienveillance" à travers la start-up Lpliz. Gratuite, cette application est disponible depuis le 6/12/2017 sur Google Play et elle compte déjà une centaine d'utilisateurs. Par la suite, un label pourrait être crées.

Mr Tinmazian a levé 15 000 euros grâce au financement participatif, ce qui lui a permis de lancer Lpliz. Le fonctionnement de l'application est simple: la personne handicapée précise l'activité qu'elle pratique et les aides dont elle pourrait avoir besoin. Les gens alentour reçoivent une notification signalant la demande. S'ils le peuvent, ils prennent contact pour aider.

Pourquoi ne pas imaginer dans un futur proche des stations de sports d'hiver, des parcs d'attraction, des hôtels, des bus ou autre portant le label Lpliz? Pour en savoir davantage ou télécharger l'application, contactez www.lpliz.com.

Lyliane

Les conseils de l'ADEME pour des économies d'énergie...

Dans la revue Propriétaires Magazine, l'ADEME ( Agence De l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) publie une liste en 7 points comportant des conseils pour diminuer sa facture de chauffage sans altérer son confort. 

1- Retenir la chaleur par une bonne isolation (isolation des murs, double vitrage, isolation des combles...) afin d'éviter le refroidissement des murs et la condensation intérieure.

2- Réduire la consommation d'énergie des radiateurs, afin qu'ils consomment moins en les équipant d'un robinet thermostatique. Tenir compte pour la température choisie du type d'occupation et de l'exposition des pièces.

3- Penser aux petits gestes comme fermer les volets, baisser le chauffage au minimum quand vous vous absentez...

4- Réguler et programmer le chauffage ( par une horloge). Par exemple réduire d'un degré dans les pièces à vivre (19° au lieu de 20°) fait chuter la consommation de 7%. On enfile un pull si on reste immobile. Dans les chambres, ne pas dépasser les 17 à 18° et mettre un édredon sur les lits.

5- Calorifuger les tuyaux de circulation d'eau chaude dans les caves ou les garages non chauffés pour limiter les pertes d'énergie. Des isolants en coquilles, bandes ou manchons de mousse plastique sont recommandés.

6- Faire entretenir sa chaudière (fioul, gaz, bois, charbon, multicombustibles...) dont la puissance est comprise entre 4 et 400 Kw tous les ans. Une chaudière régulièrement entretenue, en effet, c'est 8 à 12% d'énergie consommée en moins.

7- L'été, éviter le recours à la climatisation et baissez plutôt les stores ou fermez les volets en cas de canicule. A l'inverse, la nuit, ouvrez les fenêtres et créez des circulations d'air pour évacuer la chaleur, notamment si votre maison est bâtie sur plusieurs niveaux (effet dit cheminée).

Les économies d'énergie commencent à entrer dans les préoccupations des Français en raison notamment de la hausse des tarifs. Selon un sondage IFOP, plus d'un Français sur trois (34%) affirme être prêt à payer plus cher pour bénéficier d'une "offre verte" et réduire les effets de sa consommation sur l'environnement. Pour le moment, 26% des ménages ont réalisé des travaux de rénovation énergétique dans leur logement ces 2 dernières années en bénéficiant des aides pour les financer.

Ces nouvelles sont tout à fait encourageantes! Pour en savoir plus, s'adresser à l'ADEME sur son site Internet: www.ademe.fr.

Lyliane

04/01/2018

Un stage de troisième pour tous les collégiens...

Mme Olivia Fortin, 40 ans, est à la tête de Wooom et Organik, deux entreprises spécialisées dans l'événementiel à Marseille. En 2016, elle est devenue ambassadrice de la première antenne régionale de "Viens voir mon taf", une association unique en son genre dans la deuxième ville de France pour aider les élèves de troisième à trouver des stages. Dans les quartiers aisés, les élèves se projettent vers des cabinets d'architectes ou de vétérinaires. Mais, pour les élèves défavorisés ou issus de l'immigration, découvrir le monde du travail grâce à ces stages est source de stress et de déconvenue.

Mme Caroline Bonnefoy, du journal La Croix, nous fait part, en effet, de la prise de conscience de cette femme que ces stages sont avant tout une affaire de réseaux. Les élèves comme Kader, un jeune collégien qu'elle a côtoyé à l'occasion du stage de 3ème dans son entreprise, s'ils sont issus des Quartiers nord de Marseille ou de collèges classés en Réseau d'éducation prioritaire (Rep ou Rep+) n'ont aucune chance d'obtenir un stage autre que dans des kebabs ou des carrosseries. Cela accroit encore la fracture sociale et n'aidera pas ces jeunes plus tard à sortir d'une discrimination à l'embauche...

Leur dénicher d'autres types de stages est devenu sa préoccupation. Elle n'hésite pas à frapper aux portes des entreprises pour glaner des places dans les médias, la gendarmerie, des restaurants... Il lui en faudrait 300 environ, mais elle a déjà obtenu une cinquantaine de promesses de stages pour les collégiens marseillais. Elle œuvre également afin de sensibiliser les jeunes comme les employeurs à leurs devoirs mutuels: ponctualité et bon comportement pour les stagiaires et un accueil et un encadrement bienveillant pour ces élèves au cours de leur semaine de stage.

Mme Fortin est persuadée qu'un jeune de 15 ans qui trouve une place ponctuelle dans la société au cours de ce stage pourra plus facilement faire son chemin dans sa vie professionnelle que s'il avait été refoulé de toute part. Tordre le cou aux préjugés n'est cependant pas simple... Une initiative quoi qu'il en soit qui pourrait être mise en œuvre partout en France. Pour se renseigner, contacter: www.viensvoirmontaf.fr.

Lyliane

Plaidoyer pour une école égalitaire...

Mr Jacques Duffaut a recueilli pour le Journal Messages du Secours Catholique les propos de Mme M.A. Grard, vice-présidente d'ATD Quart Monde, rapporteur devant le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) en 2015 d'un avis intitulé "Une école de la réussite pour tous". Elle estime que le système français permet difficilement aux enfants de milieux défavorisés de réussir à l'école. Dès la maternelle, il leur manque l'écoute d'histoires par des parents attentifs et une certaine socialisation. Or, dans notre système scolaire obligatoire, 3 millions d'enfants sont issus de familles vivant sous le seuil de pauvreté. Leurs parents rencontrent des soucis d'éducation, de santé, de logement, d'emploi...

Des enquêtes de l'Education Nationale montrent que 84% de ces enfants sont orientés vers une SEGPA (section d'enseignement général professionnel adapté) dès la sortie du primaire. De ce fait, ces élèves n'auront pas les mêmes enseignements que les collégiens et les lycéens. Avec des classes à effectifs lourds (30 enfants), l'enseignant ne peut se pencher sur chacun avec une pédagogie différenciée. Il faudrait, dit-elle, une formation spécifique pour les professeurs et qu'ils soient sensibilisés à des niveaux sociaux différents. Car ils habitent ailleurs que dans les quartiers et ils ne peuvent rencontrer parents et élèves dans leur contexte de vie.

Pourtant, encourager ces relations, quitte à avoir recours à un traducteur pour les familles étrangères, facilite les échanges. L'essentiel semble de faire prendre conscience aux parents "qu'ils sont les premiers éducateurs de leurs enfants". Les parents des enfants de familles défavorisées attendent cependant que "l'école offre à leurs enfants un meilleur avenir que le leur". Donner à ces enfants les mêmes chances scolaires qu'aux autres semble une exigence de justice sociale.

Pour aller plus loin sur ce dossier concernant une école égalitaire, consulter sur Internet: www.secours-catholique.org.

Lyliane

 

03/01/2018

L'appel du Dalaï-Lama à la jeunesse du 21 ème siècle...

En Octobre 2017, aux editions Massot et Rabelais, Mme Sofia Stril-Rever a écrit, sur la base d'entretiens exclusifs avec le Dalaï-Lama, un petit ouvrage de 57 pages destiné à la jeunesse française. Cet opuscule se termine par un Manifeste de la Responsabilité Universelle. Le Chef Spirituel du Tibet, lauréat du prix Nobel de la Paix  en 1989, s'adresse directement aux jeunes du 21 ème siècle en leur demandant de faire une révolution sans précédent dans l'histoire humaine: "la révolution de la compassion".

Cet appel est né en juin 1917  lors d'une remise de dipllômes par un discours du Dalaï-Lama en Californie à l'Université San Diego. Il nous livre également un de ses rêves pour l'humanité: que "les femmes deviennent Chefs d'Etat et que les jeunes femmes soient les mères de cette révolution de la compassion". Pour lui," cette Révolution donnera un nouveau souffle à la démocratie, en élargissant les solidarités". En adoptant des schémas de conscience planétaires interconnectés, en pratiquant une vigilance globale dans tous les actes de consommation, en élargissant les perspectives dans tous les domaines, "nos jeunes aurons accès à un niveau prodigieux d'intelligence collective"...

En prônant une révolution intérieure, le Dalaï-Lama est certain qu'il y aura un impact sur le monde extérieur. Il fixe en effet 5 niveaux de conscience à acquérir et à développer pour sortir de l'égoïsme individuel: reconnaître la souffrance d'autrui, se préoccuper de cette souffrance, essayer de la soulager, garder cette intention à l'esprit en restant concentré dessus et enfin s'engager concrètement dans l'action.

Il nous rappelle que l'avenir de l'humanité est entre les mains de tous, des  7 milliards d'êtres humains. Ceux-ci peu à peu deviennent conscients que l'humanité ne dépend pas exclusivement des politiciens, des économistes ou des membres de l'ONU. Par la force de l'exemple, le respect du pluralisme, les jeunes du monde pourront inspirer d'autres jeunes...

Le Pape François avait demandé de nous considérer comme les "habitants de notre maison commune" c'est à dire la planète Terre. Les experts du G.i.E.C. lors des COP 21(Paris), 22 (Maroc) et 23 (Bonn) ont rappelé l'urgence de changer nos modes de production et de consommation et si possible avant 2020 ou 2022. Le Dalaï-Lama apporte sa pierre à l'édifice et nous précise que "ce  sera par l'entraide et la coopération que nous nous donnerons les moyens d'endiguer les catastrophes causées par l'injustice économique et sociale, alimentées par la cupidité, l'égoïsme et des états d'esprit négatifs".

En s'appuyant sur l'enthousiasme et l'optimisme de la jeunesse, le chef spirituel du Tibet nous montre que tout est encore possible, que la révolution de la compassion est en marche et qu'il ne reste plus qu'à l'incarner partout. C'est un bel espoir pour l'humanité toute entière! Gardons à l'esprit deux des nombreuses phrases choc du Dalaï-Lama: "exister, c'est co-exister" et "soyez la génération des solutions"!

Quant à nous, les aînés, ne soyons pas timorés; dépassons les clivages religieux, sociaux, politiques, écologiques ou autres! Car je pense que nous avons également un rôle de "passeurs" à jouer! Ne nous revient-il pas la tâche de relayer et de diffuser ce message qui s'ajoute à tous les autres, là où nous vivons? Peut-être pouvons-nous en parler à nos proches, sur les réseaux sociaux, dans nos associations? Pour ma part, je choisis tout cela à la fois et même, quand je le peux, d'offrir à des jeunes de ma connaissance ce petit livre ( au prix de 6,90 euros à la Fnac) qui complètera l'appel. 

 

Voici ci après des illustrations concernant cet appel, prises sur www.droitetconscience.org, association dans laquelle Mme Sofia Stril-Rever est active:

FAITES LA REVOLUTION !

 

Du sens pour nos actions

  Ce livre  fait émerger ce qui est de mieux chez chaque être humain.

La destruction lente et inexorable de la Terre, et la capacité de destruction nucléaire immédiate de la planète, rendent ce livre urgent et nécessaire pour le salut de l'humanité actuelle et des générations futures.
C'est un livre de clarté et de lucidité, d'amour et de compassion.

Paru jeudi 26 octobre 2017, le livre avait été décidé mardi 3 janvier à Bodhgaya en Inde, puis finalisé lundi 2 octobre à Dharamsala.

 



Copyright : Droits & Conscience
Image source : Shutterstock

Lyliane





 

 

Le campus de Bordeaux, champion de la récup'...

Le 24/11/2017, le Journal La Croix sous la plume de Mr Jean-Jacques Allevi publiait un dossier concernant une réflexion sur nos pratiques de consommation (tout jetable, gaspillage...) en proposant des solutions alternatives à la précarité étudiante. L'Association Etu'Récup, en effet, en favorisant "le réemploi des objets du quotidien, veut offrir une alternative concrète au modèle de consommation dominant". Depuis janvier 2016, un local de 450 m2 au rez-de-chaussée du Restau U a été mis gracieusement à la disposition de l'Association par l'université.   

L'association a vidé en 2016 une centaine de logements étudiants sur le campus de Pessac et récupéré ainsi de nombreux objets en parfait état ( meubles, vélos...). De plus, un partenariat avec la ville a permis aux bénévoles de Etu'Récup de collecter du matériel (12 tonnes environ)  à la déchetterie municipale. Quatre salariés à temps plein et 1 200 adhérents font partie de l'Association. L'A.D.E.M. E (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'énergie), la région Aquitaine et le Conseil Départemental de Gironde fournissent aujourd'hui 70% du budget d'Etu'Récup.

Les bénévoles de tous âges sont là pour encadrer les 4 ateliers participatifs de tri et de réparation ou pour se rendre aux collectes hebdomadaires à la déchetterie. Pas besoin d'être inscrit à l'Université pour bénéficier des ressources que propose la ressourcerie. Ce type d'action est essentiel pour passer de l'écologie en paroles à l'écologie pratique, affirme Mme Aurélie Schild,  une bénévole de l'association. Le succès d'Etu'Récup dépasse aujourd'hui les limites du campus. Les facs de Rennes, Nice, Nanterre et Toulouse sont d'ores et déjà intéressées par le modèle bordelais.

Cette Association a remporté le 4 ème prix de l'initiative en économie sociale décerné par la Fondation du Crédit Coopératif en 2016. L'ouverture d'une Maison du Vélo sur le domaine universitaire est même en projet. La réparation des bicyclettes étudiantes connaît en effet un énorme succès ( crevaisons, pièces détachées...). Car "essayer de réparer au lieu d'acheter du neuf tout le temps devient un mode de vie qui correspond de plus en plus aux motivations écologiques des jeunes".

Pour se renseigner sur ces pratiques, joindre Etu'Récup 13, Avenue Pey-Berland à Pessac (33600) au 05 40 00 29 18 ou consulter le site Internet: www.eturecup.org.

Lyliane

02/01/2018

Une femme québécoise en rémission de cancer témoigne de son expérience...

Journaliste et animatrice bien connue au Québec, Mme Josée Blanchette raconte dans le journal Néosanté comment elle a déjà traversé 3 cancers. Elle a publié un livre dans lequel elle donne la parole à des personnes autour d'elles et raconte sa propre expérience. S'intéressant aux guérisons spontanées, elle lance même de nouvelles pistes pour prévenir et soigner autrement que par chimiothérapie la maladie cancéreuse. Cet ouvrage n'est malheureusement pas disponible en Europe, mais il est paru chez Flammarion au Québec..

Mme Blanchette rapporte la réponse que son père, pneumologue et philosophe, avait l'habitude de donner à toute question:"Je ne sais pas pondre l'œuf mais je sais quand il est pourri". Elle utilise à son tour cette image pour étayer son témoignage. De toutes les décisions qu'elle a eu à prendre dans sa vie, elle avoue que celle d'aller ou non en chimio a été la plus difficile. Des pressions familiales, amicales, sociales et médicales en effet ne lui facilitaient pas la tâche.

Elle a finalement pris la décision de céder à la médecine officielle pour son fils de 10 ans. Très vite, des effets secondaires (perte du goût, troubles nerveux, froid dans les extrémités...) se sont manifestés. Elle a noté également le coût de la chimio pour l'Etat (20 000 euros pour 6 mois), car les compagnies pharmaceutiques font payer très cher leurs médicaments. En novembre 2014, Mme Blanchette s'interrogeait à Télé-Québec sur l'utilité de la chimiothérapie, notamment pour les personnes âgées...

En 2015, une étude de chercheurs fut publiée dans JAMA Oncology sur la qualité de vie et les chimios palliatives. Le bilan était loin d'être positif! Evidemment, personne ne peut savoir à l'avance comment on réagit à une chimiothérapie et beaucoup meurent, prolongés de 3 ou 4 mois seulement. Mme Blanchette a demandé alors à son oncologue si elle pouvait prendre part à une étude pour connaître ses chances de survie. Elle finit par arrêter dans un instinct de survie ayant la sensation d'être intoxiquée par les médicaments proposés...

Elle a réalisé que notre médecine est plus axée sur le curatif que le préventif. Et les statistiques faites en 2004 sont là: "on a observé une amélioration du taux de survie après 5 ans pour seulement 13 des 22 cancers étudiés." La question des récidives  s'est posée à elle à deux reprises également. Au fond, Mme Blanchette a abandonné la chimio en tablant sur des actions de prévention au quotidien. Elle a voulu surtout privilégier sa qualité de vie...

Quant aux rémissions spontanées, selon l'américaine Kelly A. Turner, elles ne sont pas du tout aléatoires et correspondraient à des profils particuliers. La chercheuse, titulaire d'une B.A. à Harvard et d'un doctorat à Berkeley, a réussi à dégager 9 facteurs fondamentaux communs à tous les patients qui ont guéri du cancer. Elle s'est intéressée à plus de 100 patients et elle a rencontré des praticiens holistiques ainsi que des "survivants de cancer" dans 10 pays différents. Pour elle, "ces gens-là ont tous fait quelque chose, même s'il n'y a pas de recette".

Voici selon elle les 9 facteurs découverts:

1) changer radicalement son alimentation

2) prendre sa santé en mains

3) suivre son intuition

4) prendre des  suppléments et des plantes médicinales

5) libérer les émotions refoulées

6) cultiver les émotions positives

7) miser sur le soutien social

8) approfondir sa spiritualité

9) avoir de bonnes raisons de vivre

 

La modification de l'alimentation lui semble essentielle (arrêt total du sucre, du blé, des produits laitiers, de la viande...). Certains ont jeûné quelque temps. Pour tous: fruits et légumes bio occupent 50% de leur assiette. L'utilisation de probiotiques, de prébiotiques, d'enzymes, de champignons, d'aloé vera, de vitamine C, de jus vert ... est aussi relevé. La méditation, le pardon, le désir de changer, de fuir toutes les causes de stress, de se servir de son instinct, de se connecter à plus Grand que soi paraissent aussi au cœur de leur nouveau style de vie.

En conclusion à cet article de Néosanté, je cite la phrase choc finale:" Guérir est possible n'importe quand et à n'importe quel stade de sa maladie, même quand ton médecin a abandonné tout espoir".

Pour consulter les articles de la revue Néosanté, contacter le site: www.neosante.eu

Lyliane

 

Voitures électriques, sommes-nous prêts à franchir le pas?

Le Journal Nice-Matin, dans un supplément de décembre 2017, fait le point sur une enquête Harris Interactive, qui s'appuie de son côté sur un sondage pour Auto-Moto. La question posée concernait les attentes des conducteurs français concernant l'hybride et l'électrique. Les résultats de ce sondage, réalisé en août 2017 auprès de 1000 Français, sont jugés favorables sous certaines conditions par le journaliste de Nice-Matin.

Cette enquête révèle que, dans leurs intentions d'achat, les Français continuent de donner priorité au prix et à la consommation de carburant, mais que 7 personnes sur 10 se déclarent prêtes à payer davantage pour un modèle plus respectueux de l'environnement. Ils évoquent les motorisations hybrides autant que les modèles essence et l'électrique autant que le diésel. Pour l'électrique cependant, ils sont 2/3 à attendre une offre suffisante et adaptée (accessibilité des bornes de recharge, temps de charge, autonomie, économie réalisée, prix des modèles, aides à l'achat...).

En moyenne, ils attendraient un véhicule doté de 500 km d'autonomie, rechargeable en 3 heures et accessible aux environs de 14 000 euros. Le spécialiste américain de la mobilité électrique annonce deux nouveaux modèles Tesla: un semi-remorque aux lignes futuristes avec 800 km d'autonomie et un nouveau roadster avec 1000 km d'autonomie, mais ils ne seront commercialisés qu'à partir de 2020. Quant à la Tesla S 100 D, elle reste apparemment la référence, car elle est totalement connectée et se dirige quasiment seule. Branchée à un super-chargeur, 80% de sa charge est récupérée en 30 minutes. Mais elle coûte quelques 102 000 euros!

La Renault Zoé Z.E. 40 est la voiture électrique la plus vendue en France. Certes, elle est proposée au prix de 23 700 euros en version R 75 et 24 200 euros en version Q 90. Toutefois, le bonus écologique permet de déduire 6000 euros. Le forfait de location de la batterie lithium-ion est cependant à ajouter (69 euros par mois pour 7500 km annuels). La Zoé accepte tous types de recharges (30 h sur une prise domestique ou 20h sur une prise sécurisée, en ville ou en centres commerciaux). Quatre adultes et leurs bagages peuvent être transportés. Son autonomie est d'environ 370 km. Selon l'article, la Zoé reste la voiture électrique synchrone à rotor bobiné la plus abordable et la plus polyvalente, car elle se tient très bien sur des routes de montagne comme en ville. 

 Lyliane

Les jus de légumes, voire de végétaux sont-ils bons pour notre santé?

Dans Version Femina, Mme Ingrid Haberfeld , en s'appuyant sur les conseils d'une diététicienne et naturopathe Mme Claire Desvaux, fait le point sur des boissons naturelles qui connaissent actuellement un grand succès. Un bon moyen de purifier et détoxifier son organisme, tout en renforçant ses défenses immunitaires en faisant attention de consommer ces jus à peine extraits et en dehors des repas! Il est possible d'en faire des cures de plusieurs semaines ou d'y recourir de temps en temps lorsqu'on en ressent le besoin. Les femmes enceintes, allaitantes ou les personnes allergiques aux pollens ou aux graminées devront apparemment soit éviter ces jus soit en boire avec parcimonie.

Tout d'abord, le jus d'herbe de blé, censé nous apporter de la chlorophylle, des minéraux, des vitamines et des antioxydants. On peut certes faire pousser le blé soi-même à partir de graines achetées en magasin diététique. Mais cela prend une dizaine de jours et demande un peu de travail avant de pouvoir mettre les pousses dans un extracteur. Il est conseillé d'y ajouter une pomme et un jus de citron pour rehausser la saveur. On peut aussi acheter des jus d'herbe de blé en poudre à mélanger dans un verre d'eau, un lait végétal ou un jus de fruits (1 cuillère à café de poudre suffit). 

Le jus d'orge est recommandé pour ses vertus nutritives (protéines) et notamment sa vitamine K. Toutefois éviter ou consommer avec modération ce jus lorsqu'on suit un traitement anticoagulant. Il est également possible de faire pousser l'orge soi-même et après extraction d'ajouter une carotte, un concombre ou une branche de céleri. En boutique bio, on trouve la poudre de jus d'orge prête à être consommée, diluée dans un verre d'eau à raison d'une cuillère à soupe.

L'aloe vera, tiré de l'aloès, est réputé stimuler notre système immunitaire et avoir des propriétés antibiotiques et antivirales. Le jus est extrait de la pulpe des feuilles. On le trouve généralement prêt à l'emploi en boutiques bio, en parapharmacie ou en pharmacie. Il est conseillé de diluer 30 ml de jus dans un peu d'eau ou de jus de fruits. La naturopathe recommande le jus d'aloe vera aux changements de saison ou en cas de coup de froid.

Le jus de bouleau est bon pour "remettre notre organisme à neuf". Sa richesse en potassium favorise l'élimination des toxines et sa richesse en vitamine C et en silicium aide à retrouver la forme. Une version prête à l'emploi (10 ml à chaque prise dans de l'eau trois fois par jour) est proposée au printemps en pharmacie ou en boutiques diététiques. Les habitants du Nord de l'Europe sont habitués à utiliser de petites perceuses pour extraire le jus du bouleau sauvage au fur et à mesure des besoins.

Enfin, le jus de pissenlit a été récemment redécouvert par des amateurs qui lui reconnaissent des propriétés antifatigues exceptionnelles grâce à son fer, son cuivre, son manganèse et son sélénium... Cueillir dans la nature loin de zones polluées ou dans son jardin une poignée de feuilles de pissenlit. Une fois lavées, mettre les feuilles dans l'extracteur avec deux branches de céleri, deux pommes et un concombre coupés en morceaux.

On peut varier les jus avec du chou, de la betterave, du fenouil coupé fin, selon les goûts. Les diététiciens conseillent de diluer les jus en raison de leur forte concentration. Pour en savoir davantage, consulter par exemple sur Internet: 

 

01/01/2018

Offrir la presse là où elle a disparu...

Le Journal La Croix du 1er décembre 2017 nous informe d'une initiative de journalistes pour rendre accessible l'information, engager l'échange et générer le débat à Marseille dans des quartiers populaires. Dans le 3 ème arrondissement en effet dans le quartier de St Mauront, un des plus défavorisés de Marseille, deux membres du collectif de journalistes Albert London montent une sorte de kiosque en plastique décoré par des élèves du collège voisin. La cheville ouvrière de l'Association, Mme Stéphanie Harounyan, correspondante du quotidien Libération, installe des journaux locaux ou nationaux et quelques magazines pour jeunes et enfants sur des présentoirs en plastique. Les bénévoles visent certes la distribution de journaux (L'Equipe, La Provence, Le Canard Enchaîné...), mais ils ont surtout un rôle de "médiateurs sociaux".

Après avoir été présents dans une Maison pour Tous du quartier, les membres du Collectif Albert London ont choisi depuis 2013 d'être mobiles et de se déplacer deux fois par mois en installant un kiosque ambulant. Ils souhaitent faire retrouver de l'intérêt pour l'information et l'actualité aux habitants du quartier. Ils abordent en effet les passants et insistent sur la gratuité de leur démarche. Beaucoup de Comoriens vivent là et plus de la moitié de la population vit en-dessous du seuil de pauvreté. La désaffection des jeunes est encore plus nette (56%) que chez les un peu plus diplômés. Il suffit néanmoins d'un rien pour instaurer des habitudes de lecture et pour déboucher sur des dialogues. Les journaux sont souvent de la veille, mais nul ne semble s'en soucier dans  ces cités, où règne une fracture sociale et une stigmatisation importantes.

L'Association Tactikollectif à Toulouse a mené de son côté un atelier de journalisme pour les jeunes des quartiers populaires. Certains proposent des interventions en milieu scolaire ou la participation à des émissions de radio avec des enfants. Beaucoup d'autres initiatives intéressantes permettent ça et là de favoriser l'accès à l'information aux publics qui en sont économiquement exclus. Car "les gens sont plus intéressés par l'actualité qu'on veut bien le penser" affirme la rédactrice de l'article Mme Coralie Bonnefoy. La popularité des petits journaux gratuits le montre partout en France...

Pour trouver des initiatives de banlieues, contacter le site: www.presseetcite.info, www.tactikollectif.org ou www.chez-albert.fr.

Lyliane

 

Jouons en 2018 à :"Et si je remplaçais telle chose par telle autre plus économique ou écologique"...

Chers amis de Prêle!

Tous mes voeux en ce début 2018, moment où généralement nous prenons de "bonnes résolutions ", des voeux certes de bonne santé, de joies quotidiennes, familiales, spirituelles et collectives, de sérénité et de paix du coeur, ce qui implique en toute occasion de remplacer nos peurs et nos conditionnements par de la créativité, de la responsabilisation personnelle et de l'engagement citoyen!

Cela peut commencer par de petites choses: donner nos vêtements usagés à des associations qui recyclent ou donnent alentour, remplacer le papier WC triple épaisseur coloré d'une marque connue par du papier recyclé gris ou blanc, utiliser du bicarbonate alimentaire en poudre (rayon du sel) pour nous brosser les dents et enlever le tartre, cirer nos chaussures avec l'intérieur de la peau d'une banane...

Ou même des actions plus fortes comme de choisir comme banque un établissement éthique (La Nef par exemple), de changer nos habitudes en remplaçant nos achats en supermarché par des aliments obtenus en circuits courts avec des produits bios et locaux, de prévoir pour les beaux jours en guise de voyages lointains la redécouverte de nos provinces, la visite à une vieille tante esseulée, à la place de cadeaux coûteux, confectionner nous-mêmes des objets plus modestes mais qui pour nous ont du sens (albums photos, poupées de chiffons, boutures ou graines de fleurs...). Une année 2018 en somme avec moins de gaspillages et de jérémiades, avec davantage d'idées neuves solidaires et alternatives, de sourires et de joie de vivre!

Car, si nous désirons que le monde change autour de nous, cessons de nous plaindre de tout, d'accuser les politiques, l'Europe, les étrangers et d'attendre que les changements nous soient un jour imposés de l'extérieur. Il me semble que c'est d'abord en chacun de nous, par nos pensées bienveillantes et créatrices en faveur de nos proches, de nos élus et de notre planète, l'utilisation réfléchie de notre carte bleue, la signature de pétitions en faveur d'améliorations comme pour des cantines scolaires avec une nourriture plus saine, par la réduction et le ramassage de tous nos déchets, par une attitude agréable au volant, à pied ou à bicyclette... que les changements commenceront à se mettre en place dans nos vies.

Comme cadeau du jour de l'an et pour inaugurer le jeu du :"Et si je remplaçais telle chose par telle autre plus économique ou écologique...", je vous fais complices de ma recette du " gâteau au chocolat et à la pomme de terre". Car, après avoir goûté ce gâteau dans notre Amap, je m'y suis mise: j'ai remplacé la farine par des pommes de terre écrasées et le beurre par de la crème de coco. Essayez, c'est délicieux, économique, sans gluten, sain et rapide.

Pour 4 personnes environ, il vous faut: 3 pommes de terre bien cuites à l'eau, 40 cl de crème de coco (le lait végétal ou la crème fraîche peuvent peut-être marcher aussi bien!), 150 g de chocolat noir mis à fondre au bain marie, 100g de sucre de canne (ou éventuellement un peu plus selon le goût), 100g de poudre d'amandes, ou bien de poudre de noisettes, de noix de coco râpée, d'eau de fleurs d'oranger, de zestes d'oranges ou de citrons, plus 2 oeufs entiers.

On écrase à  la fourchette les pommes de terre épluchées, on mélange tous les ingrédients dans un saladier, puis on verse l'ensemble dans un moule huilé. Ensuite  on enfourne 35 minutes environ à four préchauffé (200° environ). La pointe d'un couteau doit ressortir sèche!

Qui dit mieux et veut jouer avec moi? D'avance merci de votre participation active!

Lyliane