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09/02/2019

Du cuir de poissons en Aquitaine!

Mme

Marielle Philip a lancé Femer, une start-up spécialisée dans le cuir de poisson. Une idée éco-responsable qui pourrait bien remplacer les peaux traditionnellement utilisées.

 

Travailler dans le poisson, jamais Marielle Philip ne l’avait imaginé. Aujourd’hui, à 28 ans, elle est pourtant cofondatrice de Femer, une peausserie de peau marine implantée dans le bassin d’Arcachon.  Depuis son atelier à La Teste-de-Buch (Gironde), la jeune femme remet au goût du jour une tradition ancestrale lapone : le tannage de peaux de poissons. « Lors d’un voyage en Laponie, ma mère a assisté à un défilé de mode. Les produits présentés étaient très beaux. C’était du cuir de poisson. Là-bas, elle y a découvert le processus de tannage de ce type de peau ». À son retour, sa mère, Monique Philip, raconte à sa fille cette découverte.

Bar, sole, mulet, roussette, saumon : les poubelles des poissonniers regorgent de trésors pour Marielle Philip, jeune femme de 26 ans, fondatrice d'une jeune entreprise spécialisée dans le tannage éco-responsable des peaux de poissons. 

Chaque matin, elle passe à la criée d'Arcachon où des poissonniers lui ont déposé des filets destinés à être jetés. Il lui arrive aussi de récupérer les peaux de saumon du restaurant de sushi où elle vient parfois en cliente. 

 

Marielle Philip, 28 ans, confectionne du cuir de poissons. Pour en savoir plus, contacter: www.femer.fr ou www.franceinter.fr
Lyliane

Une ristourne de 30% pour les trajets réguliers sur autoroutes...

Le 17/1/2019, écrit Mr Michel Waintrop dans le quotidien La Croix du 21//1/2019, nous avons appris que les sociétés concessionnaires d'autoroutes ont consenti une ristourne inédite de 30% sur le prix des péages pour les automobilistes réalisant au moins dix mêmes trajets aller-retour par mois, sans limitation de distance à compter du 1er février 2019. Mme E. Borne, Ministre des transports, l'a annoncé devant les journalistes et elle a précisé que cette réduction serait "sans contrepartie et pourrait bénéficier à un million d'automobilistes".

On sait déjà que le prix de l'abonnement permettant cette ristourne ne dépassera pas 2,50 euros par mois et qu'il ne sera proposé qu'aux conducteurs de voitures particulières ou de moto. Ces nouvelles offres interviendront en complément des formules d'abonnement local déjà existant pour les trajets domicile-travail périurbain. Il faudra donc être muni d'un badge de télépéage. Toutefois, comme chaque année, les tarifs des péages doivent augmenter le 1er février 2019 pour rattraper de prix gelés. En principe, l'un pourrait compenser l'autre et arriver à alléger un peu la facture finale des usagers d'autoroutes.

Lyliane

08/02/2019

Des architectes s'engagent pour rénover des logements précaires...

Une association d'architectes collecte les matériaux non utilisés des chantiers ou des magasins, afin de s'en servir pour la rénovation de logements ou de centres d'hébergement, écrit Mr Antoine Peillon dans le quotidien La Croix du 14/12/2018. Trois femmes, en effet, Mme Gwenaëlle Rivière, diplômée DPLG en région parisienne, Mme Clothilde Buisson, travaillant en micro-architecture et Mme Clara Piolatto, doctorante en architecture au CNRS ont crée l'association "Faire avec " pour lutter contre la précarité énergétique, selon la Fondation Abbé Pierre.

Pour lutter contre le mal-logement, elles ont eu l'idée d'utiliser les matériaux inexploités en fin de chantier ou issus de surplus de magasins. Aussi carrelages, parquets, lampes de récupération permettent le réemploi de matériaux de construction. Depuis, un pavillon d'exposition a été réalisé dans le cadre du festival "Abris de fortune"  au centre culturel du château de Goutelas (loire), un local commercial a été transformé en café-bar, à  Paris, un abri dit "la Cabane cévenole" a été réalisé avec un budget minimum grâce à ces matériaux de récupération. Les membres de l'Association cherchent à assembler harmonieusement ces matériaux disparates.

L'Association "Faire avec"  est lauréate 2018 du Prix de la Fondation Cognacq-Jay, lequel encourage l'innovation au service de l'intérêt général. Pour tout renseignement, s'adresser sur Internet à : www.faireavec.fr.

Lyliane

EPANDAGES AERIENS - STOP !



L’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Intervention Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA) adresse cette pétition à tous les membres du Peuple Français et aux responsables politiques du pays, afin de nous informer mutuellement et de nous mobiliser contre les épandages aériens de substances chimiques en cours, lesquels se déroulent au dessus de nos têtes, silencieusement, depuis une dizaine d’années en Europe et partout dans le monde aujourd’hui.

On les nomme populairement « chemtrails » de l’anglais « chemical trails », ce qui signifie : trainées d’avions chimiques (issues d'épandages aériens d'aérosols délibérés). C'est ainsi, que de nouveaux nuages sont apparus dans les nouvelles nomenclatures de nuages. Rappelons qu’en 1977, la convention ENMOD, a limité les manipulations délibérées de l’atmosphère en cas de guerre ou de conflit et les a autorisées dans un but « pacifique ».

 

Le terme «"techniques de modification de l'environnement" désigne toute technique ayant pour objet de modifier - grâce à une manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou l'espace extra-atmosphérique. » Ainsi, une série d'applications futuristes, étudiées publiquement par la Royal Society de Londres et suivies de près par l’ETC Group , visant à bloquer un pourcentage du rayonnement solaire par des interventions à grande échelle dans l’atmosphère, la stratosphère et l’espace extra-atmosphérique, sont déjà en vigueur et auraient pour effet de modifier les températures de la planète et la configuration des précipitations. Le 29 octobre 2010, à Nagoya – Japon, lors de la Conférence des 193 parties à la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (CDB), un moratoire a été demandé sur les projets et les expériences en géo-ingénierie par Tuvalu, les Philippines, le Costa Rica, le Groupe africain, la Suisse, le groupe ALBA , la Grenade, Greenpeace, Climate Alliance et ETC Group. Ce moratoire s’insère dans un des trois chapitres de cette convention que les parties sont tenues de signer d’ici le 1er février 2012 ; Ainsi, « toute expérimentation, privée ou publique, ou tout aventurisme visant à manipuler le thermostat planétaire constituera une violation de ce consensus soigneusement élaboré dans le contexte des Nations Unies ».

Mais qu'en est- il dans les faits ? Il ne faudrait pas que ce moratoire reste lettre morte et que sous cette belle et sage décision, les épandages déjà et toujours en cours soient occultés. Des épandages de jour, des épandages de nuit … Allons nous laisser, sans rien dire, des avions épandre délibérément dans l'atmosphère, des particules de produits chimiques divers, alors que cela a un impact notable sur le climat, les sols, l'eau, l'air et la santé de tous les êtres vivants ? Nous sommes tous concernés, sans aucune exception.


Diverses études et analyses et en particulier le rapport Case Orange , réalisé par des professionnels de l’aéronautique ont révélé que les «chemtrails» se distinguent nettement de ce qu'on appelle les «contrails»: les contrails sont les traces de condensation laissées par les avions circulant à haute altitude et s'évaporant !

En savoir plus... : http://issuu.com/magazine_nexus/docs/liseuse_b__90/2?e=8894731/6921762 http://provence-alpes.france3.fr/emissions/enquetes-de-regions-mediterranee/actu/28-mars-inondations-du-var-questions-sur-un-drame-et-le-mal-venu-du-ciel.html-0#Le mal venu du ciel

 

07/02/2019

Saviez-vous que la réflexologie pouvait apaiser nos émotions?

La revue Biocontact de janvier 2019, sous la plume de de Mr Philippe Rizzo, consacre un article à la réflexologie. Je cite: "Issue d'une technique millénaire, la réflexologie est une des spécialités de la médecine chinoise. Celle-ci se caractérise par une vision holistique de l'être humain. Elle agit par simple pression des doigts sur les méridiens dont la racine se situe sur la  face palmaire de la main ou sur la plante des pieds. La pression ainsi exercée relance l'énergie vitale et rééquilibre les fonctions métaboliques par une action réflexe.

La déficience chronique d'un organe (foie, rein, cœur, poumon…) déterminera la qualité de l'émotion à laquelle il est relié. Par exemple une personne présentant des troubles digestifs chroniques subira une fatigue et une tendance à la rumination du passé, de l'anxiété et un sentiment de stagnation. L'insatisfaction est plutôt en lien avec l'estomac et l'amertume et la frustration avec la vésicule biliaire, tandis que la colère correspond au foie et la tristesse au poumon...

La réflexologie est cependant une thérapie préventive dont l'objectif est essentiellement de pallier les déficiences des systèmes organiques et psychiques. Elle ne se substitue jamais à un traitement médical, mais elle peut en revanche apaiser les effets secondaires d'un traitement". Revisitée de nos jours en Occident, la réflexologie progresse vers des thérapies ciblées de telle ou telle pathologie ou sur la gestion des émotions non verbalisées. Une détente profonde et durable naît généralement après une séance de réflexologie.

Le praticien réflexologue repère en effet la terminaison des méridiens concernés par l'émotion ou le problème physique et il travaille en profondeur sur les mains ou les pieds. Il est également possible de se masser soi-même en y associant la respiration au moment d'une émotion. Pour cela, il est conseillé de suivre les planches et les exercices proposés dans un ouvrage publié aux éditions Hachette par Mr Philippe Rizzo et Mme Isabelle Bruno intitulé: "Réflexologie en 40 points magiques".

Pour aller plus loin sur ce sujet, consulter par exemple le site Internet de Mr Rizzo: www.manovitalité.fr.

Lyliane

Recycler le plastique, c'est possible!

Le journal Télérama sous la signature de Mme Sophie Berthier nous présente un revêtement de sol multicolore, résistant et personnalisable composé à partir de déchets plastiques récupérés sur terre et dans les mers. Une société française le fabrique. il est aussi résistant que le bois, mais visuellement parent du terrazzo, que les décorateurs actuels apprécient beaucoup.

Pour se renseigner ou le commander, joindre le site: www.sasminimum.com.

06/02/2019

Parlons de l'hydrothérapie du côlon...

Cette pratique, écrit Mme Carole de Landtsheer dans la revue Version Femina, est censée aider à purifier l'organisme. Tous les gastroentérologues n'en sont pas persuadés, mais ce nettoyage intérieur attire des personnes en quête de mieux-être. L'hydrothérapie du côlon est en fait un nettoyage par irrigation complète du côlon qui ressemble à un lavement, mais en plus complet...

Il s'agit en effet de nettoyer l'accumulation des toxines et notamment de chasser une flore pathogène par mesure d'hygiène. Cette pratique est effectuée surtout à titre préventif, afin de renforcer nos défenses naturelles. Le volume d'eau introduit dans le rectum par une canule va de 1 à 2,5 litres d'eau filtrée à température du corps. Les colopathies fonctionnelles, les troubles du transit, les infections ORL ou les maladies de peau incitent souvent les personnes à réaliser une irrigation du côlon.

En général, une diète s'impose au cours des 3 jours précédents. Des probiotiques pourront même être conseillés. Les adeptes font 2 séances par an (printemps et automne). La séance, précédée d'un entretien généralement, dure environ1h30 et coûte entre 120 et 150 euros. L'hydrothérapie du côlon est contre-indiquée en cas de colite, maladie de Crohn, crise hémorroïdaire ou lorsqu'on a été opéré il y a moins de 3 mois...

Ce n'est pas un acte médical et ce sont souvent des naturopathes ou des infirmières qui la pratiquent. Vérifier la propreté des lieux et exiger des canules à usage unique. Des conseils nutritionnels sont habituellement délivrés à cette occasion. Des adresses peuvent être trouvées sur le site Internet: www.annuaire-thérapeutes.com.

Lyliane

05/02/2019

La technologie pour veiller sur les sans-abri...

Selon un article de Mme Aurore Harrouis dans la revue "Nous", depuis plusieurs mois le laboratoire d'arts numériques La Bulle et le Secours populaire français des Alpes Maritimes (06) travaillent à Nice avec des étudiants d'EPITECH et de l'EDHEC ainsi que des élèves infirmiers sur un projet de poncho, une sorte de couverture de survie connectée, à destination des sans-abri.

Le projet était parti d'un hackathon organisé par la Ville de Nice en novembre 2017, un marathon numérique ancré sur des solutions mobiles autour de la santé. Après avoir imaginé plusieurs applis, les participants se sont mis d'accord pour créer un "cocon apportant confort et compagnie" aux personnes SDF. Ce poncho à la fois les protègerait du froid, mais participerait aussi à un suivi médical en analysant leurs constantes (pouls, température, oxygénation du sang) et créerait du lien social.

Le nom trouvé fut "Cocouv". Ce projet de couverture étanche et connectée remporta le grand prix de la Ville de Nice avec un chèque de 5 000 euros à la clé. Mais, pour finaliser ce poncho, il fut nécessaire de lancer en sus une campagne de financement participatif sur le site KissKissBankBank. Il est toujours possible aujourd'hui de continuer à adresser des dons via le Secours populaire français (30,Rue Bonaparte -06300 à Nice).

Les premiers prototypes de ces couvertures à capteurs numériques devraient être testés l'hiver 2019/2020. Il faudrait ensuite produire entre 5 000 et 10 000 couvertures et les mettre sur le marché à destination des associations à vocation sociale. Un tarif tournant autour de 45 euros est évoqué. Il est même envisagé à terme la création d'une SCOP pour fabriquer les ponchos et créer des emplois...

Pour le moment, les étudiants s'activent à mettre sur pied jusque dans les détails ce poncho de gabardine imperméable garantissant par son étanchéité l'isolation des capteurs et fourré de laine polaire pour maintenir une chaleur constante. Une batterie avec une autonomie de 10 jours sera intégrée dans la couverture, afin de pouvoir donner l'alerte aux personnes assurant des maraudes en cas d'urgence.

Merci à ces bénévoles de chercher à éviter des drames, qui se produisent chaque hiver parmi les sans abri! Pour tout renseignement, contacter: www.facebook.com/cocouvcrowdfunding ou le Secours populaire français de Nice.

Lyliane

L'histologie digitale pour décrypter les tumeurs...

L'Institut de Biologie de Valrose ou IBV a fait l'acquisition, en partenariat avec le Centre Antoine Lacassagne à Nice et grâce à des subventions au Conseil départemental et du canceropôle Paca, écrit Mme Nancy Cattan dans le journal Nice-Matin du 20/1/2019, d'un appareil de recherche médicale nommé histologie digitale. Ce projet d'une technologie d'imagerie tissulaire multispectrale implique les équipes du Dr Van Obberghen pour IBV, du Dr Anjuère ainsi que l'équipe d'oncologie ORL du centre Lacassagne.

Cet appareil, dont il n'existe pour le moment que deux exemplaires en France, devrait permettre une analyse fine des échantillons de tissus pathologiques prélevés chez des personnes atteintes de tumeurs. Cela devrait permettre d'étudier les interactions entre les cellules cancéreuses et leur micro-environnement (stroma). On pourrait également grâce à cet appareil améliorer l'efficacité des traitements, voire prédire les réponses positives à celui-ci. Pour l'immunothérapie notamment, ce devrait apporter des renseignements utiles.

Espérons que cet essai va faire progresser la médecine ORL comme de nombreuses autres et faire découvrir des thérapies de plus en plus efficaces pour soigner les patients atteints du cancer.

Lyliane

04/02/2019

Un métier à favoriser dans l'Oise: l'archéologie!

Pour la première fois, un atelier de fouilles archéologiques était proposé aux enfants à Versigny. Dans un département très riche en la matière, la sensibilisation des plus jeunes s’intensifie.
Casque sur la tête, petite pelle dans une main, pinceau dans l’autre et gilet orange sur le dos, une armée d’enfants piaffe d’impatience. Ce samedi, au cœur du aquilon-decouverte.com


ARCHÉOLOGUES ET HISTORIENS ESPÈRENT NOUER UN PARTENARIAT AVEC LES ÉCOLES.

En deux ans, des centaines d’enfants, du CE2 à la fin du collège, ont pu bénéficier des présentations pédagogiques de l’entreprise Aquilon. Cette année, archéologues et historiens espèrent pouvoir nouer un partenariat avec l’inspection académique pour intervenir dans les établissements scolaires de tout le département.
« L’an dernier, nous avons fait visiter des sites de Crépy-en-Valois à tous les élèves de 5e. L’enseignante était ravie, selon elle c’était 5 heures de cours en 1 h 30 de visite », explique Nicolas Bilot, le président de l’entreprise. Une lettre d’intention ainsi qu’une présentation du projet seront très prochainement envoyées à l’académie pour obtenir une labellisation dans ce projet.
« J’ai entendu parler d’eux, j’y suis plutôt favorable, annonce d’ores et déjà Jacky Crépin, inspecteur d’académie de l’Oise. Nous les recevrons avec des conseillers pédagogiques. Ils proposent une façon intéressante d’entrer dans l’histoire et le contexte local, les élèves se passionnent. »


Ainsi, après les collèges de Nanteuil-le-Haudoin, Betz ou Crépy, les écoles de La Chapelle-en-Serval ou Verneuil-en-Halatte ont déjà bénéficié d’ateliers. Pour 2019, des partenariats avec le parc naturel Oise Pays de France, les offices de tourisme, des communes et même la communauté de communes du Valois garnissent déjà l’agenda.
« De la préhistoire au Moyen-Âge en passant par le gaulois ou le Mérovingien, nous pouvons sensibiliser les jeunes sur toutes les périodes », termine le président. Pour 1 h 30 de chantier mobile de fouilles (lire ci-contre), dans une surface de 8 m² destinée à un groupe de 30 enfants, comptez 500 €.


C’EST QUOI L’ARCHÉOLOGIE ?
De nombreux fantasmes, souvent basés sur la cinématographie, floutent la véritable définition de l’archéologie. « C’est une discipline scientifique pour comprendre le passé. Elle diffère du travail des historiens puisqu’elle s’intéresse à l’Histoire des sociétés, des anonymes », définit Nicolas Bilot, archéologue d’Aquilon.
Pour exercer, le diplôme oscille entre le master (bac + 5) et le doctorat (bac + 8). Plus d’une cinquantaine de spécialisations sont possibles. L’activité est en plein développement. Elle suit celle du bâtiment et a connu une grave crise en 2008. En effet, chaque année, des centaines d’hectares font l’objet de diagnostic d’avant travaux.
Si des villes comme Beauvais ou Noyon, ou le département, dispose d’archéologues, le principal employeur est l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). Au total, l’Oise compte une cinquantaine de professionnels.

Elie Julien - Le Parisien - samedi 19 janvier 2019

Quels sont nos véritables besoin?

Selon le journal "ça m'intéresse", le psychologue américain Abraham Maslow a élaboré dans les années 1940 la pyramide des besoins de l'être humain. Contrairement à ce que nous souffle la publicité ou la société de consommation, ils s'étagent comme suit:

- en premier lieu, les besoins physiologiques comme manger, dormir, boire et respirer.

- puis le besoin de sécurité: du corps, de l'emploi, de la santé et de la propriété.

- ensuite les besoins sociaux comme l'amour, l'amitié, l'appartenance, le besoin

  d'intimité.

- sans oublier le besoin d'estime (confiance, respect, estime personnelle)

- enfin, l'accomplissement personnel.

Il a été remarqué que consommer apaise nos angoisses, mais cela nous éloigne de l'essentiel.

Pour revenir à ses véritables besoins, il faut se connecter à ses besoins profonds, s'ancrer dans la nature, avoir un travail riche de sens, multiplier les contacts physiques apaisants et beaucoup communiquer avec autrui.

Notre société actuelle a bien besoin de revenir à l'essentiel au lieu de fuir dans les illusions de l'avoir ou de l'apparence. A nous d'incarner les vraies valeurs et de donner l'exemple à nos proches!

Lyliane

03/02/2019

Connaissez-vous La Déclaration des Droits des filles?

 

La déclaration des droits des filles

Cette déclaration s’adresse aux filles comme aux garçons et comporte quinze articles qui abordent des thèmes variés : la tenue, l’apparence et les attitudes, les jeux et les activités, l’école, les métiers, les lectures, enfin tout ce qui fait la vie  qu’on prête généralement aux adolescents et qui doit aussi être celle des filles qui  ont, elles aussi, le droit d’avoir de l’ambition.

 

Article 7 : le droit de choisir de métier qu’elles veulent, conductrice de camion, astronaute, commissaire de police, juge, directrice d’usine, Présidente de la République, sculptrice, chirurgienne…

Cette liberté s’étend aussi au domaine de l’amour, le dernier article, le plus audacieux : le droit d’aimer qui elles préfèrent : garçon ou fille (ou les deux)

 

Avec humour, des dessins amusants cette déclaration brise les stéréotypes et propose aux filles comme aux garçons de vivre et de s’amuser à égalité.

Écrit par Elisabeth Brami, illustré par Estelle Billon-Spagnol et publié aux éditions Talents Hauts, avec le soutien d’Amnesty International. Il existe aussi une déclaration des droits des garçons.

Selon Enfance Majuscule.

02/02/2019

Faire pousser du coton made in France, qui l'eut cru?

Je ne m'attendais pas à apprendre que l'on pouvait faire pousser du coton dans le Gers en lisant Capital du mois d'octobre 2018! Pourtant l'auteur de l'article est formel: Mr Yohan de Wit et deux de ses amis nommés Médéric et Samuel Cardeillac ont tenté l'expérience en 2016 avec 6 graines de coton achetées en jardinerie. Ces trentenaires ont eu la surprise de récolter 6 mois plus tard 100grammes de fibre. En 2017, ils ont récidivé et en ont planté 2ha, ce qui leur a permis de récolter 100kg de coton. 

A Montréal-du-Gers, ils ont alors crée leur société Jean Fil et commencé à commercialiser leurs premiers polos sur le web. Leur fibre, une fois récoltée, est tissée dans les Vosges, puis teintée et tricotée dans l'Aube, si bien qu'ils sont fiers de produire les premiers vêtements en coton 100% français. Cette année, ils ont récolté quelques 300kg de coton et fabriqué avec 800 polos. Ces vêtements sont vendus environ 100 euros à 120 euros pièce en ligne.

Pour commander ou se renseigner sur leur société, les contacter sur Internet via le site: https://www.jeanfil.fr

Lyliane

Faut-il défendre nos services publics?

Nous sommes près de 70% de Français convaincus que les services publics jouent un rôle capital dans la sauvegarde des territoires ruraux en voie de désertification, écrit Mme Mireille Breton dans le journal syndical US Retraités en s'appuyant sur un sondage Odoxa de mai 2018. Que ce soient pour des gares, des centres d'impôts, des CPAM, des  agences de Pôle Emploi, des commissariats de police, des tribunaux d'instance, des écoles, des hôpitaux, pourquoi faudrait-il progressivement supprimer des emplois publics et détruire ce maillage indispensable dans un pays démocratique comme le nôtre?

Cette logique libérale de réduction de la dépense publique au nom de la "rentabilité" semble aggraver la fracture territoriale et sociale ainsi qu'exclure et faire monter l'indignation et la colère devant les inégalités d'accès aux soins, aux transports, à la scolarité… Pourtant ne l'oublions pas les 3 principes à la base des services publics sont l'adaptation aux besoins, l'égalité d'accès et la continuité. La dépense publique devrait être considérée au contraire comme un investissement, payé par un effort national qui doit être lié à une fiscalité juste, un impôt progressif et une évasion fiscale jugulée.

C'est notre cap budgétaire qui devrait plutôt être changé, suggère l'article! De plus, la dématérialisation des documents administratifs crée une nouvelle exclusion appelée "illectronisme", dans la mesure où un quart de la population est encore mal à l'aise devant un ordinateur et un tiers renonce au moins une fois par an à une démarche administrative, selon un sondage CSA de mars 2018. Réhumanisons au contraire les services publics, créons des emplois de proximité et améliorons les contacts directs dans les villes moyennes et les campagnes!

Lyliane

01/02/2019

La reine italienne des biomatériaux...

Dans le Journal La Croix du 4/1/2019, un article de Mme Le Nir, nous apprend qu'à la tête d'une entreprise spécialisée dans les matériaux de construction, une économiste nommée Daniéla Ducato vient d'être couronnée "femme la plus innovante d'Italie". Le magazine Fortune, en effet, vient de reconnaître Mme Ducato parmi les 20 entrepreneuses les plus innovantes et influentes de la planète. En 2006, cette femme décidée a créé avec son mari une entreprise qu'elle résumait en ces termes:" zéro pétrole, zéro accaparement des terres et zéro poison".

L'entreprise Edizero, qui élabore des matériaux de haute technologie industrielle réalisés uniquement avec des résidus végétaux, animaux ou minéraux, est située à Guspini, au cœur du Medio Campidano, en Sardaigne, la province la plus pauvre d'Italie. Cette région, dont Mme Ducato est originaire, est "un choix pour prouver qu'en cherchant l'excellence cette région peut évoluer." Edizero emploie plus de 100 salariés et une trentaine de microsociétés sardes, expertes en agronomie, ingénierie ou architecture travaillent pour l'entreprise qui a déjà réalisé 120 biomatériaux dégradables.

La première matière première réhabilitée a été la laine de brebis. Les déchets étaient autrefois brûlés à de très hautes températures, ultrapolluantes. Mme Ducato a eu l'idée de les récupérer, car c'est de la pure laine vierge. Elle les a transformés en isolant thermique pour les toitures et les murs et en éponges géantes pour absorber le pétrole déversé en mer. De fil en aiguille, Edizero a récupéré les peaux de tomates issues de leur transformation industrielle, les résidus de moût du grenache noir, les excédents de liège, de chanvre et de chardon, pour les recycler en matériaux sains de construction et d'intérieur.

L'objectif de l'entreprise est désormais "d'élargir les réseaux de collaboration, capables de transformer des valeurs environnementales et sociales en valeurs économiques avec un processus industriel 100% vert". Mme Ducato, championne de l'innovation, a été élevée à la dignité de Chevalier de la République par le Chef de l'Etat, Mr Sergio Mattarella. Pour en savoir plus au sujet de cette entreprise, contacter par Internet le site: www.edizero.com.

Lyliane

31/01/2019

Du personnel médical pour soigner des personnes en situation de grande précarité...

A Toulon, depuis 25 ans, écrit Mme Karine Michel dans le magazine "Nous", des médecins, des infirmiers, un dentiste, une assistante sociale et du personnel d'accueil, tous bénévoles, assurent le fonctionnement d'une association nommée Promo Soins. Cette structure associative médico-sociale, en effet, a été créée en 1992 et vient en aide aux SDF et aux personnes démunies. Puis, le chômage et un afflux de réfugiés commençant à mettre des personnes à la rue et en grande difficulté, des associations caritatives comme l'Ordre de Malte, l'Eglise Réformée, le Secours Catholique, après l'impulse donné au départ par les Amis de Jéricho, se sont engagées et ont participé à Promo Soins. Avec bienveillance, là, médical et social se complètent...

Peu à peu, un partenariat a été établi avec l'hôpital Toulon-La Seyne et en 2000, une équipe mobile de prise en charge psychiatrique nommée Siloé a vu le jour. En 2007 ce fut la mise en place de l'Etablissement Médico-Social Lits, Halte, Soins et Santé. Bientôt, il fallut s'agrandir, car en 2018, 1800 personnes se sont présentées à Promo Soins. Des personnes ressources ne peuvent venir qu'une fois par mois, d'autres viennent à la demande. Quinze salariés et 140 bénévoles aujourd'hui participent à Promo Soins. Huit places d'hébergement ont été crées pour des SDF et de nombreuses conventions avec des hôpitaux ont été mises en place pour assurer une continuité des soins.

Cette "bouée de sauvetage" en matière de prévention et de soins mériterait d'être mise en place sur tout le territoire. Pour s'informer sur cette initiative, joindre Promo Soins, Impasse Mirabeau à Toulon (83) ou téléphoner au 04 94 91 50 10.

Lyliane

30/01/2019

Faudrait-il devenir flexitarien ou flexitarienne?

Le flexitarisme est un régime comprenant beaucoup de fruits, légumes et protéines végétales, tout en continuant à consommer des petites quantités de produits provenant des animaux. Bon pour la santé et l’environnement.
 
Sharon Palmer, nutritionniste spécialiste de l'alimentation et du développement durable à base de plantes à Los Angeles, déclare à CNN: «Bien que les régimes végétaliens et végétariens soient associés aux impacts environnementaux les plus faibles, tout le monde n'est pas intéressé par ces styles de vie. Mais tout le monde peut se nourrir davantage d'un régime flexitarien. Cela ne veut pas dire que vous devez renoncez complètement à la viande, mais vous en réduisez considérablement la consommation».
 
Une étude publiée en octobre 2018 dans le journal Nature a montré que si la population mondiale continue de suivre la voie d'un régime occidental, riche en viande rouge et en aliments transformés, les pressions environnementales du système alimentaire augmenteront de 90% d’ici 2050. En bref, "ton Big Mac de lendemain de soirée, tu peux l’oublier et le remplacer par une assiette de légumes rôtis et quinoa".

Slate.fr - Slate - vendredi 11 janvier 2019
 

De jeunes cathos derrière le comptoir..;

Mme Mélinée Le Priol a signé un article dans le Journal La Croix du 21/11/2018, qui m'a beaucoup surprise. Il s'intitule:" Au Dorothy, des jeunes cathos derrière le comptoir". Je l'ignorais, mais en France les bars cathos se multiplient depuis quelques années. Il n'y a pas que le Dorothy, en effet, qui a ouvert en 2017 dans la capitale. La Cave du 222 par exemple sert tous les vendredis soir dans le sous-sol du couvent dominicain de l'Annonciation dans le 8ème arrondissement de Paris. A Lyon, il existe le Simone, fief des cathos alternatifs. A Saint-Etienne, le Narthex ouvert en 2017 propose un concert chaque vendredi soir, tout comme le Isèreanybody à Grenoble. A Toulouse, on peut citer le Graal et à Lille: le Comptoir de Cana.

De toute évidence, ce genre de café ouvert par de jeunes catholiques n'est pas tout à fait comme les autres. Le Dorothy, dont le nom a été choisi en hommage à la militante catholique américaine Dorothy Day, a été créé à l'initiative de 15 jeunes chrétiens et il se veut ouvert à tous. En fait, il est centré sur la transmission de savoir-faire manuels (couture, jardin, électricité, plomberie, menuiserie, beaux-arts, danse…). Dans ce vaste local associatif situé à Ménilmontant, dans l'Est parisien, on vise l'accueil de chrétiens conservateurs ou progressistes et de non chrétiens tels des réfugiés ou des gens du quartier. On y boit un café ou on y discute sur de moelleux canapés en échangeant des informations entre habitués.

Pour en savoir davantage sur cette initiative, lire notamment l'ouvrage écrit par Mme Elisabeth Baudouin chez Taillandier sur: Dorothy  Day, la révolution du cœur ou se renseigner sur le site: www.ledorothy.fr.

Lyliane

29/01/2019

Mieux vaut consigner que recycler le verre...

L'association Zéro Waste France publie dans la revue Biocontact de janvier 2019 un article émanant de l'ADEME passant au crible 10 dispositifs français de consigne  pour le réemploi d'emballages en verre. Son verdict est sans appel: la réutilisation des bouteilles (lavage et re-remplissage) est plus intéressante que l'utilisation des bouteilles à usage unique.

Pour réaliser l'étude, l'Ademe a pris en compte l'ensemble des étapes du cycle de vie d'une bouteille: fabrication, conditionnement, transport, lavage et collecte des déchets. Les résultats confirment l'intérêt environnemental de réutiliser les bouteilles. Le système avec consigne  présente, en effet, une performance environnementale supérieure ou équivalente au système sans consigne.

"Le réemploi du verre", poursuit l'article, " n'est pas seulement une bonne opération pour la planète: il se révèle aussi plus pertinent d'un point de vue économique". L'étude révèle, en effet, que pour 6 des 7 dispositifs de consigne étudiés, les coûts de gestion sont moindres que dans un système de bouteille à usage unique. C'est précisément le taux de retour des bouteilles qui permet de réaliser des économies: plus les consommateurs rapportent les bouteilles consignées, plus le coût diminue.

Pour certains dispositifs, la consigne coûte même deux fois moins cher qu'un système à usage unique.   Par exemple, pour vendre 1000 litres de boisson, le système consigné de la bière alsacienne Météor coûte 256 euros au total, là où son équivalent en bouteille à usage unique coûte 517 euros.

Alors que le directives européennes récentes invitent les Etats à réduire l'usage du plastique et à faire progresser le réemploi des emballages, ce rapport offre des propositions concrètes pour réduire le recyclage du verre à usage unique. Pour approfondir le sujet, consulter le site Internet: www.zerowastefrance.org.

Lyliane

Apprendre à brasser sa propre bière en amateur...

Il existe en effet un peu partout dans notre pays "des brasseurs du dimanche" qui à intervalle régulier se réunissent et concoctent de la bière. Mme Kathleen Junion dans le magazine "Nous " a interviewé des amateurs de bière à Nice(06), qui fabriquent régulièrement leur breuvage préféré. Mrs Jean-Charles Chemin et Guillaume Marro se retrouvent en effet avec d'autres amateurs le week-end dans la micro-brasserie de la Bonne Bière à Nice, après avoir pendant un an "galéré dans le garage d'une amie". 

Ils ont fondé en septembre 2018 leur propre association "Les brasseurs du dimanche", dont l'adhésion est gratuite. Ils s'appuient sur les conseils d'un maître brasseur revenu du Canada, Mr Jean-Baptiste Pin et ils s'amusent à tester différentes recettes. Pour faire de la bière, expliquent-ils, il faut 3 ingrédients: de l'orge moulu, de l'eau et du houblon. Ils utilisent du matériel professionnel: une cuve capable de contenir 40L d'eau à 75° pour obtenir le maltage, puis une autre cuve dans laquelle ils portent le liquide à ébullition, en y ajoutant alors du houblon, qui vient de Slovénie.

Il faudra ensuite attendre quelques heures que la fermentation commence grâce à l'ajout de levure, afin d'obtenir une boisson alcoolisée. Blanche, blonde, brune ou ambrée, selon son degré de fermentation, la bière se dégustera trois semaines plus tard. Si des amateurs veulent participer à l'atelier brassage de NICE, il leur en coûtera 20 euros. L'adresse du local est: Les brasseurs du dimanche, 428, Boulevard de la Madeleine à Nice et leur site Internet se consulte sur: www.lesbrasseurs.fr.

La culture de l'orge et du houblon va peut-être de ce fait être relancée dans notre pays et permettre à des régions agricoles de retrouver de l'expansion. Mais, bien entendu, la bière doit se consommer avec modération!

Lyliane

28/01/2019

Utiliser des leggings anti-cellulite...

Mme Julie Pujols-Benoit dans le magazine Version Femina nous présente les nouveaux modèles d'accessoires minceur, qui promettent un effet raffermissant. Il y a tout d'abord le "Movimiento de Skin'Up", un vêtement qui procure un massage non stop et  a un effet anti-capitons avec ses fils en céramique tricotés. Il tient chaud l'hiver et il est vendu 75 euros sur le site de www:laboratoire-skinup.com.

Il y a aussi le " Cosmeto Jade de Beautytherm", composé de fibres de jade ayant une action refroidissante et rehydratante. On doit le porter au moins 28 jours à raison de plusieurs heures par jour. Il couvre le nombril et c'est peut-être le plus techno. Il est vendu 69 euros sur www.beauty-therm.com. Quant au "Keepfit de BV Sport, qui est un cuissard de compression, il est conçu essentiellement pour les sportives. Il favorise notamment le drainage lymphatique. On le met habituellement quand on s'entraîne. Il coûte 64,90 euros dur bvsport.com.

Il existe également le Minceur de Nuit de Lytess qui a une action micro-massante et se porte comme un pyjama. Grâce à un sérum cosmétique présent dans la matière (garcinia, fucus, bois de santal et prêle), on peut le garder la nuit en toute saison. Il serait spécialement conçu pour faire diminuer la cellulite. Enfin, le Minceur Sport de Cellutex, aux plantes et aux vitamines A et E, reste confortable et tonifie la peau, si on le porte 3 fois par semaine le matin pendant 1 heure environ et le soir pendant 2h. Il coûte 66,50 euros sur le site www.cellutex.com.

Pourquoi ne pas essayer si on désire tester ces leggings anticellulite?

Lyliane

Dépistage prénatal des trisomies 21,18 et 13 par analyse ADN libre circulant...

Sur simple prise de sang maternel, il est désormais possible de dépister des trisomies. Ce test de dépistage non invasif appelé DPNI Ninalia est sans risque pour le fœtus et il permet de détecter si celui-ci est porteur d'une trisomie 21, 18 ou 13. Effectué par un professionnel de santé dès la 10 ème semaine de grossesse, son taux de détection est précis à 99%. Si le résultat est positif, il indique une forte suspicion d'anomalie génétique.

Pour en savoir davantage, s'adresser à www.dpni-biomnis.com ou à www.biomnis.com

27/01/2019

Découvrez le projet WONDERFOOL...

Participer

Découvrez le projet WONDERFOOL

Et si on chantait ensemble

Mardi 29 mai 2018, par Frédéric Verdier ACNV // Actualités

 

Bonjour à toutes et à tous,

Et si on chantait ensemble le monde dans lequel on veut vivre ?

Nous sommes heureux de vous présenter le projet musical-humaniste WONDERFOOL, qui met en musique les paroles de Marshall Rosenberg, le fondateur de la Communication NonViolente et qui prolonge son intention de diffuser la CNV au plus grand nombre !

Découvrez le projet WONDERFOOL en images et en musique : https://www.youtube.com/watch?v=3z0...

Aujourd’hui Wonderfool a besoin de soutien financier pour faire aboutir ce projet fou et avoir les moyens de produire un album, des clips, donner des concerts-ateliers dans les écoles, en prison, organiser des flashmobs et happenings inspirants…bref, pour faire chanter et danser un monde plus humain !

Pour contribuer au projet sur Hello Asso : http://bit.ly/WonderfoolHelloAsso

Nous espérons de tout cœur vous voir nous rejoindre dans cette grande aventure humaine et artistique !

Wonderfool day à toutes et à tous !

Toute l’équipe de l’ACNV

Elan de solidarité à Marseille (13) en faveur des sinistrés de la rue d'Aubagne...

Le 5/11/2019, deux immeubles de Marseille situés rue d'Aubagne s'effondraient, faisant 8 morts et causant l'évacuation de 1500 habitants, rappelle Mme Coralie Bonnefoy  dans le Journal La Croix du 3/12/2018. Les habitants marseillais ont répondu généreusement au drame en envoyant aux Mairies des 1er et 7 ème arrondissements huit tonnes de dons (doudounes, couvre-lits, peluches, linge de maison, matériel de puériculture et d'hygiène…). La Croix-Rouge a également collecté près de 10 tonnes d'habits et de petit électroménager.

Le drame dans ce quartier populaire et paupérisé, où ne subsistent que ruine et immeubles évacués par mesure de précaution, a suscité un élan de solidarité jusque dans les beaux quartiers. Il a fallu dans l'urgence reloger de nombreuses familles parties de chez elles sans avoir rien pu sauver de leurs biens. L'Armée du Salut et les communautés Emmaüs de la ville ont répondu présentes et redistribuent du mobilier. Des cagnottes en ligne ont vu le jour. Le Secours Catholique réserve une ligne budgétaire aux dons affectés et la Croix-Rouge a crée un compte dédié. 

La Ville de Marseille a, de son côté, élaboré avec la Chambre de Commerce une plateforme virtuelle de dons en ligne. Grâce à une mise en relation directe, les sinistrés sont invités à faire part de leurs besoins. Bref, un élan de solidarité inédit est né après cet effondrement de la rue d'Aubagne. Toutefois, nous pouvons nous interroger sur ce qui a pu conduire à ce drame et espérer que désormais pouvoirs publics comme propriétaires vont entreprendre des réparations nécessaires. Faute de quoi d'autres quartiers où vivent des familles déshéritées pourraient aussi être concernés… Etre solidaire est bien, mais anticiper sur les drames à temps, ne serait-ce pas mieux?

Lyliane

26/01/2019

Installer un poulailler dans son jardin pour réduire ses déchets organiques...

Mr et Mme Serge Moulinier, installés à St Mandrier (83) ont depuis quelques semaines, écrit Mme Amandine Roussel dans le magazine "Nous", installé deux poules pondeuses au fond de leur jardin. Encouragés par le Sittomat, syndicat qui s'occupe du traitement des déchets des Métropoles de Toulon, de la Ste Baume, de la Vallée du Gapeau et de celle du Golfe de St Tropez, ils ont répondu à l'incitation d'acheter deux poules (30 euros les deux) et de récupérer un poulailler d'une valeur de 150 euros offert par le syndicat.

Une poule est capable de manger jusqu'à 150 kg de déchets organiques et pond jusqu'à 220 œufs par an. C'est pourquoi, après les composts, l'objectif du Sittomat est d'encourager, grâce à un livret et à des conseils, l'achat de poules pondeuses. Au quotidien, la seule contrainte est de les nourrir tous les jours et de les enfermer le soir pour éviter renards et autres carnassiers. En échange, la famille récupère des œufs frais à déguster. Les enfants généralement sont ravis de la présence des animaux et leur donnent des noms amicaux. Chez les Moulinier, ce sont Fleur, la poule rousse et Cocotte la noire.

A ce jour, l'initiative lancée par le syndicat du traitement des déchets du Var a déjà convaincu 2000 foyers participants en quelques mois seulement. Des visites sont organisées chez eux pour vérifier les soins apportés aux animaux. Les déchets pour nourrir les poules sont variés: restes de légumes, épluchures, pain… Réduire les déchets est une démarche éco-responsable. Aussi, pourquoi ne pas inciter d'autres départements à reproduire cette initiative?

 Pour tout renseignement,  s'adresser au Sittomat sur le site: www.sittomat.com.

Lyliane

ND des Landes ou ND des lendemains? (suite N° 2 de la chronique)

La gueule de bois

Dès le lendemain, une Assemblée extraordinaire se tient à la Wardine. La salle est comble. Quelques minutes à peine pour se congratuler et les opposant·es rentrent dans le vif du sujet : la réouverture de la fameuse « route des chicanes », clairement exigée la veille par le chef du gouvernement. Du reste il n’est pas le seul à la vouloir : les paysan·nes la souhaitent depuis des années, les comités locaux les plus proches sont là pour rappeler qu’une fois le projet d’aéroport abandonné, eux comme les autres riverain·es, souhaitent pouvoir à nouveau circuler sur cette route qu’ils et elles n'osent souvent pas emprunter. Très vite, les discussions se tendent. S’enveniment. Les vieilles tensions ressortent de même que les incompréhensions. Au point que Copain et les membres de la Coordination décident de sortir de la salle un quart d’heure pour revenir avec ce qui ressemble fort à un ultimatum : ils et elles vont nettoyer la route dès le lundi prochain. Seule concession : l’emblématique maison de Lama Fâché, qui occupe la moitié de la voie au croisement avec la route des Fosses Noires, sera conservée. Le ton monte dans l’assemblée. Il faut dire que les engueulades sur ce sujet ne datent pas d’hier. Le passage en force à l’assemblée de Copain et de ses allié·es peut donc se comprendre comme la volonté d’avancer vers la résolution de ce conflit ancien sans attendre l’impossible unanimité côté occupant·es. Mais la rapidité de la décision va en braquer beaucoup et nombreux·ses sont celles et ceux qui s’interrogent : la situation aurait-elle pu être différente si le mouvement s’était donné plus de temps pour construire cette décision de manière plus collective ?
On peut raisonnablement imaginer que l’annonce gouvernementale a été soigneusement préparée : en visant la route, elle sait attaquer un des points faibles du mouvement. La suite lui donnera raison. Le chantier de déblaiement commence sous tension : une partie des soutiens extérieurs venus filer la main réalisent, un peu mal à l’aise, que tout le monde sur place ne partage pas l’enthousiasme annoncé pour la « libération » de la route. Pour la plupart de celles et ceux qui vivent à ses abords c’est un déchirement, la crainte que des véhicules y circulent à nouveau à toute vitesse au détriment de leur vie de quartier et des animaux, domestiques ou non, qui se sont habitués à y circuler paisiblement.


La peur que la route, une fois dégagée, ouvre un boulevard aux forces de l’ordre lors d’une future opération d’expulsion est présente dans toutes les têtes. Enfin, les habitant·es des lieux en bordure de route ont l'impression que le mouvement les lâche qu’il les laisse seul·es face aux forces de police qui depuis des semaines déjà sillonnent les alentours, font des repérages, les intimident. Mais l’opinion majoritaire est tout de même qu’offrir la route à un gouvernement défait est un geste d’apaisement raisonnable alors qu’on s'apprête à entamer avec lui des négociations au long cours sur l’avenir de la zad. Alors les chicanes tombent, les unes après les autres. Le soir pourtant la douche froide tombe : la Préfecture qui avait donné son accord de principe pour le maintien de Lama Fâché annonce aux représentant·es de Copain que le ministère de l’Intérieur a refusé le compromis. Les paysan·nes décident alors qu’ils et elles assumeront le démontage de la maison, pas de gaîté de cœur, mais parce qu’ils ne veulent pas que ce soit l’État qui s’en charge.


Les occupant·es se retrouvent le soir même pour discuter de cette nouvelle donne. Si une majorité soutient la démarche paysanne et s’inscrit dans un processus, déjà entamé de négociation avec l’État, nombreux·ses sont ceux et celles qui annoncent refuser la destruction de la maison, quitte à s’y opposer par la force. La stratégie gouvernementale fonctionne à plein, provoquant la désunion entre allié·es d’hier. Tout le monde repart écœuré de la discussion, qui par le « manque de pensée stratégique » des un·es, qui par le « reniement de ce qui a fait la force de la zad » des autres. La suite du déblaiement se fait dans la colère et creuse de profondes blessures dans le mouvement d’occupation.


Dans les temps qui suivent, la question de la route reste très prégnante : beaucoup d’opposant·es pensent qu’une fois la route dégagée, il est normal de laisser les services départementaux la remettre en état. Quelques personnes minoritaires décident cependant de bloquer les travaux. La Préfecture saisit l’occasion pour déployer un imposant dispositif policier, prétextant la nécessité de protéger les travailleurs, qui n’en demandaient pas tant. Pour quelques ingénieurs venant faire des relevés, on assiste parfois à un déploiement de dizaines de fourgons sur la route. Des gendarmes, arme au poing, menacent celles et ceux qui tentent de s’approcher. C’est, au contraire de l’opération César, une occupation militaire, pendant des semaines, avant même le début des expulsions. Par ailleurs, les forces de l’ordre en profitent pour faire un important travail de reconnaissance, de fichages, déployant leurs drones et n’hésitant pas à fouiller les cabanes isolées. Les occupant·es sont divisé·es sur la réponse à adopter et les autres composantes réagissent peu, alors même qu’elles s’étaient fermement engagées à défendre tous les lieux de vie contre les expulsions. En quelques jours, l’unité du mouvement a volé en éclats.
Cette gueule de bois, certain·es s’y attendaient...

 

Ce texte a été écrit en septembre par un habitant de la zad, il s’est inspiré de nombreux textes de 2018 auquel il est possible de se référer : la plupart se trouvent sur le site de la zad : zad.nadir.org

25/01/2019

Une filière de la laine se recrée dans les Alpes-Maritimes...

Mme Kathleen Junion, journaliste à Nice-Matin, a interviewé pour le magazine "Nous" quatre personnes qui souhaitent "valoriser les races locales de brebis des Préalpes d'Azur en relançant une fabrique de laine". Il s'agit de 4 femmes de tous horizons (une bergère, une ingénieure-éleveuse, une spécialiste de l'environnement et une chargée de communication), qui ont déjà récolté 9402 euros via un financement participatif sur Kiss Kiss Bank Bank, ce qui va notamment leur permettre d'acheter une machine à tricoter digitale et de financer une surjeteuse.

Leur association baptisée "Laine rebelle" a été crée en juin 2018  en réaction à la situation actuelle. En effet, il n'y a plus en France que 8 négociants en laine qui se répartissent le territoire. Seuls 10% de la laine française est transformée en France. Le reste de la laine est exporté vers la Chine. La laine se vend entre 60 et 80 centimes le kilo selon la qualité et il faut déduire les frais kilométriques du négociant. Autant dire que la tonte des brebis coûte à l'éleveur et ne rapporte presque plus rien...

Les 4 femmes, prénommées Valentine, Isabelle, Cassandre et Florence, ont décidé de faire quelque chose et très vite, elles ont élaboré un plan d'action. Elles ont par exemple rencontré une trieuse professionnelle de 23 ans. puis elles sont allées dans la Creuse pour traiter la laine, la laver et la tester. En attendant de pouvoir créer une microfilature (coût 300 000 euros!), elles procèdent par étapes. Leur projet est "écologique, social, solidaire et éthique, car leur but est de revaloriser le prix de la laine". La laine est en effet une matière "zéro déchet": avec les restes, elles fabriquent du feutre, des matelas, de l'isolation.

Une coopérative lainière existait depuis 60 ans dans la région du Pays de Grasse. A Tourrettes- sur- Loup et il y a deux éleveurs de brebis importants installés depuis longtemps sur place. Les 4 femmes sont occupées actuellement à ouvrir un local de 40 M2 à St Vallier de Thiey, place de la Mairie, pour vendre leurs kits de laine et montrer ce qu'elles savent faire. Elles voudraient notamment effectuer des teintures à base de plantes locales. Elles sont occupées à créer un site Internet et une boutique en ligne. Par la suite, elles ont des projets plus importants avec un designer niçois...

Bref, pour elles "il s'agit de tisser du lien grâce à la laine"! Pour tout renseignement, joindre www.lainerebelle.com ou sur facebook.com/lainerebelle ou même par mail à contact@lainerebelle.com.

Lyliane

Les fourmis coupe-feuilles pourraient produire du protoxyde d'azote et modifier leur environnement.

Les forêts tropicales sont une des sources naturelles principales de protoxyde d’azote... Et un petit insecte pourrait jouer un grand rôle dans sa production.
Les fourmis coupe-feuilles sont endémiques des forêts d’Amérique tropicale. Pour se nourrir, elles fonctionnent en symbiose avec un champignon. Elles collectent ainsi des morceaux de feuilles qu’elles mâchent, ce qui va servir de substrat pour la culture de ce champignon, qu’elles cultivent dans leur fourmilière. C'est lui qui va par la suite leur servir de nourriture. Mais pour le cultiver, les fourmis produisent un nombre incroyable de déchets : non seulement les feuilles, mais aussi des bactéries, des champignons morts... ou même des fourmis mortes.

Des piles de déchets qui produisent des gaz à effet de serre 
Ces déchets s’entassent dans les alentours de la fourmilière, jusqu’à former des tunnels de plusieurs dizaines de centimètres de haut. Des chercheurs américains ont surveillé ces piles de déchets et ont surveillé leurs rejets gazeux.
Ils ont découvert que les monticules étaient les conditions parfaites pour la production de protoxyde d’azote. Ils peuvent même émettre jusqu’à deux fois plus de gaz à effet de serre que les autres endroits de la forêt.

Des taux de protoxyde d'azote multipliés par 20 
Mais pour le protoxyde d’azote, les niveaux généralement observés sont ici multipliés par 1.000, tandis que pour le méthane, ce nombre n’atteint que 20. 
"Les fourmis coupent les feuilles des arbres, les emmènent sous la terre et cultivent des champignons, leur source principale de nourriture. Ils disposent ensuite de leurs déchets exactement comme nous le faisons" explique Cory Cleveland, qui a mené les études.

Le même principe que dans les décharges humaines 
"C’est comme une décharge, où les micro organismes vont ensuite décomposer ces déchets, générant du dioxyde de carbone, du méthane et du protoxyde de carbone, comme il peut arriver avec les déchets humains" continue le chercheur.
Fiona Soper, une autre chercheuse étant intervenue sur l’étude ajoute que les rejets de gaz à effet de serre sont particulièrement importants, créant des conditions rarement vues dans des écosystèmes naturels. 

Les animaux peuvent influer sur leur environnement 
D’ordinaire, les fourmis ne sont pas capables d’intervenir sur le changement climatique. Mais ici, on peut voir que, tout comme les humains, elles peuvent affecter leur environnement.
Il reste néanmoins compliqué de quantifier l’impact des fourmis sur le climat, notamment car on n’a aucune idée précise de combien de fourmis coupe-feuille vivent sur la planète. Mais cette étude aura au moins permis de résoudre une énigme : pourquoi, dans certains coins de la forêt équatoriale, les niveaux de méthane et de protoxyde d’azote peuvent varier autant.

Kevin Domas - Gentside - samedi 12 janvier 2019

24/01/2019

Un refuge d'exception pour être plus zen...

Mme Kathleen Junion dans le magazine "Nous" fait connaître aux lecteurs l'initiative de deux trentenaires installés à Cabris (06), sur les hauteurs de Grasse, depuis 2001. Au Mas du Naoc ("la source" en provençal), Sandra et Jérôme  Maingret ont trouvé dans une ancienne tuilerie de quoi loger en famille et y faire une maison d'hôtes à leur goût, composée de 2 chambres et d'une suite à louer. Là, ils ont chiné tout le mobilier avec soin et même fabriqué quelques pièces de décoration et du linge avec des matières naturelles (feutre, lin et jute). Ils vivent dans ce vallonplanté d'oliviers et d'arbres fruitiers, de façon simple sans chercher à faire davantage de profit. Est ce ainsi ce que l'on nomme le "slow living"?

Sandra organise par exemple sur le lieu des ateliers d'initiation à la laine feutrée et l'été des cours de yoga au soleil. Une bibliothèque fournie permet d'échanger avec les vacanciers de passage et le petit-déjeuner se prend sur la terrasse. Il est composé de produits de qualité biologique. Une piscine permet de se rafraîchir. Les marcheurs peuvent emprunter de nombreux circuits alentour dans le Parc régional des Préalpes. Seul refus de leur part: installer la télévision dans les chambres!

Il me semble qu'il y a place dans notre pays, où que l'on demeure, pour des initiatives de ce genre garantissant paix et déconnexion à des personnes désireuses de quitter la ville et leurs activités pour un temps de repos. Apparemment, on en vit très bien et on y trouve du sens. Afin de s'inspirer de leur expérience ou de consulter leurs tarifs en haute ou basse saison(2 nuitées minimum), joindre sur Internet le site: www.lemasdunaoc.com.

Lyliane

Tickets solidaires...

Comme chaque année, vous pouvez faire un geste généreux en participant à l'opération "Titres restaurants solidaires", écrit un rédacteur du Journal "Et les autres?" de la Fondation Abbé Pierre. Il vous suffit d'écrire "Fondation Abbé Pierre sur chaque titre que vous nous destinez et de le (ou les) renvoyer dans une enveloppe non affranchie à: Fondation Abbé Pierre

                      Libre Réponse

              18115-75919-Paris Cédex 19.

En 2017, grâce à la générosité des donateurs, 6 886,45 euros ont été reversés à la Fondation et ont financé certaines de ses actions.

Pour en savoir plus, contacter le service donateurs par e-mail à service.donateurs@fondation-abbe-pierre.fr ou téléphoner au 01 55 56 37 25.

Lyliane