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18/03/2016

La santé par le rire...

 

Le rire a été célébré par des médecins de l'Antiquité comme Hippocrate et Galien et plus près de nous par des auteurs du style d'Alphonse Allais et de La Bruyère. Tous étaient d'accord pour reconnaître que le corps comme l'esprit profitaient de «séances de rire».

 

De nos jours, des neurologues, des cancérologues et de nombreux médecins considèrent que notre corps se fortifie par la joie et des émotions positives. A l'hôpital, des clowns, des conteurs sont admis auprès d'enfants malades. Et, en période de morosité ambiante comme celle que nous traversons aujourd'hui, à la télévision, les émissions drôles, les soirées animées par des humoristes font recette.

 

Le rire est donc considéré comme un antistress de premier ordre. Non seulement il met en jeu des muscles du visage, du larynx, mais également nos poumons, des muscles abdominaux et même notre cœur. Ce brassage est de ce fait bénéfique à la dispersion de nos tensions et il lutte contre les problèmes digestifs et les maladies cardiovasculaires.

 

Sur le plan psychique, on sait de nos jours que le rire intervient sur la chimie du cerveau. Il secrète en effet une hormone voisine de la morphine, l'endorphine, secrétée par l'hypophyse, qui a pour effet de calmer nos angoisses et nos tracas. Cela se remarque notamment chez les insomniaques, qui passent une meilleure nuit de sommeil après avoir vécu une soirée à se divertir et à rire.

 

En outre, sur le plan relationnel, rire crée un climat d'optimisme autour de nous, ce qui est un facteur social positif. Il ne s'agit, certes, pas d'être béat d'admiration face à tous les aspects de notre vie ou de fuir les problèmes graves, mais de «voir plutôt le verre à moitié plein que le verre à moitié vide» dans notre quotidien...

 

Pour en savoir plus sur le sujet, il est possible de consulter le site Internet: www.rire-et-sante.fr.

 

22/12/2014

Etre positif, à quoi est-ce bien utile?

 

 

SOYONS POSITIFS POUR FAIRE FACE A LA CRISE ...

               PAS SEULEMENT, CAR C’EST BON POUR LA SANTE EGALEMENT! 

   Prendre la vie du bon côté, être positif nous incite non seulement à voir « la vie en rose », mais surtout à donner du sens à ce que nous vivons, à nous faire du bien physiquement et moralement et à porter un regard ouvert sur le monde.

 Certes, l’écoute des médias, la lecture des journaux ne nous amène pas à ignorer les faits divers plus  ou moins sanglants, les mauvais côtés de la vie en société. Leur miroir déformant grossit en effet tous les évènements  marquants, qu’il s’agisse de la hausse du chômage, de la chute des cours boursiers, de la fermeture d'usines, de prises d’otages, de tsunamis ou de guerres en tous genres…

 Les scènes l’entraide, les actes d’altruisme ne sont que rarement mis en valeur, alors qu’ils pourraient contrebalancer toutes les nouvelles inquiétantes. Il y a en effet sur notre terre des personnes de bonne volonté, positives, qui font avancer l’humanité vers plus de conscience. A nous de leur accorder la place qu’elles méritent, même si nous savons que le bien ne fait que rarement du bruit !

  Mais, individuellement au moins, faire face aux coups durs, croire en l’humain, garder confiance en sa capacité à dénouer les épreuves ne peut que nous aider. Il est prouvé en effet par des études scientifiques que, sur le plan médical, le système immunitaire des individus ayant une psychologie positive est plus développé que celui de ceux qui cultivent consciemment ou pas stress et émotions négatives.

  De même, des travaux menés depuis 1950 environ en psychologie montrent pourquoi il est préférable de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Dans les hôpitaux, les bienfaits de la présence de clowns auprès des enfants malades n’ont plus besoin d’être démontrés. Exaucer les souhaits des enfants en fin de vie, comme le réalise l'association "Les petits princes", leur permet parfois des rémissions spectaculaires. Tout cela est connu, est devenu une réalité.

  Personnellement, en attendant plusieurs jours durant, alitée avant une grave opération des ovaires, j’ai apprécié de rire à gorge déployée aux blagues de Coluche, dont je m’étais procuré un ouvrage désopilant. Depuis, il a servi à d'autres personnes à des moments clés!

  Alors, qu’attendons nous pour libérer des endorphines en faisant de l’humour, en riant de ce qui nous arrive, quand bien même ce serait de nos erreurs? Sortons du sérieux, des habitudes chaque fois que c’est possible car rire active les neurotransmetteurs du bien-être. Laissons rayonner autour de nous la joie d’être bien vivants!  Et qui sait : la planète entière pourrait peut-être aussi en bénéficier, puisque nous sommes tous reliés ! 

Lyliane (22/12/2014)