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10/10/2017

La solidarité, à la mesure du continent européen...

Le futur Congrès National du Secours populaire français et les Assises Nationales et Européennes de la solidarité se proposent de poser les bases d'une nouvelle entraide par-delà les frontières, écrit Mr O. Vilain dans Convergence, le magazine du Secours populaire. Ce 36 ème Congrès en effet se tiendra à Bordeaux du 24 au 26 novembre 2017. Son enjeu est de taille "en cette période où se manifestent le racisme, l'égoïsme, le rejet" nous dit Mr J. Lauprêtre, Président du SPF.

Il semble en effet plus que temps d'apporter la réponse de la solidarité aux drames produits par l'extension de la pauvreté et des inégalités. Les bénévoles du Secours populaire français ont depuis longtemps tissé des liens avec des pays étranglés par la crise économique comme la Grèce, porté secours aux italiens lors de catastrophes naturelles. Mais leurs missions dépassent les frontières de l'Europe (dans l'ex-Yougoslavie, en Biélorussie, en faveur des migrants...).

Avec ses partenaires allemands, italiens, grecs, le Secours populaire souhaite étendre ses actions en faveur des réfugiés, lutter contre la précarité alimentaire avec l'appui du Fonds européen d'aide aux plus démunis. Une centaine de "Copains du monde" seront présents à Bordeaux, après avoir semé de nombreuses graines d'espoir et de compréhension tout l'été dans des villages mêlant des Copains du Portugal, de Grèce, d'Italie et d'Allemagne.

Pour approfondir le sujet, consulter sur Internet: www.secourspopulaire.fr ou également: https://fr-fr.facebook.com/CopainduMonde13/

09/10/2017

Au Pérou, café et cacao détrônent la coca...

Selon un article publié dans la revue mensuelle Plantes et Santé, nous apprenons qu'au Pérou, dans une vallée qui avait longtemps privilégié la culture de la feuille de coca, destinée principalement au narcotrafic, les indigènes Ashaninka se sont engagés dans la voie de la légalité. Les agriculteurs de la vallée des fleuves Apurimac, Ene et Mantaro en effet misent désormais sur la culture du cacao et du café.

Le maire de la petite ville de Rio Tambo, Mr Ivan Cisneros, explique "qu'ils cherchent à promouvoir  la route du cacao indigène biologique". Ce cacao sera exporté en Angleterre au prix de 3 dollars le kilo, un prix correspondant au double du tarif habituel. Quant à la feuille de coca, utilisée traditionnellement par les locaux pour booster leur résistance, son prix a diminué de moitié.

La décision des agriculteurs indigènes est à la fois économique et sécuritaire, car la vallée souffre de la violence des membres de l'organisation terroriste du Sentier Lumineux. Cette reconversion permettra peut-être à la population "de vivre dans un climat de paix et de développement" indique Mr José Chuquipul, directeur promotion et surveillance de la Commission Nationale pour le Développement et la Vie sans Drogue (DEVIDA). 

Entre les années 2012 et 2016, 2071 ha de cacao et 870 ha de café ont été plantés dans le département de Satipo. Ces plantations sont un immense espoir pour sortir certaines régions du pays des griffes du Cartel international de la drogue. Gageons que cet exemple ouvrira la voie à d'autres initiatives en Amérique du Sud et qu'elle rejaillira sur la vie, l'économie et la santé des populations indigènes...

Pour en savoir davantage, consulter www.plantes-et-santé.fr et également www.ladepeche.fr  ainsi que https://reporterre.net/Au-Perou-le-chocolat-bio-remplace la coke.

Lyliane

08/10/2017

Forum social thématique contre le nucléaire du 2 au 4/11/2017 à Paris.

 

Forum social thématique contre le nucléaire

PARIS (75) - ILE-DE-FRANCE


Jeudi 2 novembre 2017 / Samedi 4 novembre 2017


Forum social mondial antinucléaire à la Bourse du Travail de Paris du 2 au 4 novembre 2017

Renseignements complémentaires et inscriptions : http://wsfnonuke.org



Depuis le premier Forum Social Mondial (FSM) à Porto Alegre en 2001, le mouvement altermondialiste s’est étendu et consolidé. Des FSM ont eu lieu en Amérique latine, en Asie, en Afrique et, en août 2016, en Amérique du Nord. De nouvelles thématiques sont venues enrichir cette dynamique. En 2013 et 2015, le nucléaire a fait l’objet de plusieurs activités de réflexion et le premier Forum Social Thématique Antinucléaire s’est tenu au printemps 2016 à Tokyo, où un « Appel pour un réseau mondial vers un monde sans nucléaire » a été lancé. A Montréal, un second Forum Antinucléaire a eu lieu à l’occasion du FSM.

La France étant le pays le plus nucléarisé au monde par rapport à sa population totale, des organisations et mouvements antinucléaires français ont jugé pertinent d’accueillir le prochain FSM Antinucléaire en France, du 2 au 4 novembre 2017, à Paris. En France, ces dernières années ont connu une succession ininterrompue d’échecs retentissants pour la filière nucléaire : Areva n’a été sauvée de la faillite que par l’intervention de l’État ; des fraudes dans la construction des cuves et des générateurs de vapeur de centrales ont conduit à la mise à l’arrêt d’une bonne partie du parc nucléaire pour raisons de sécurité ; les aventures d’EDF dans les projets d’EPR (Olkiluoto, Flamanville, Hinkley Point) mettent en péril sa santé financière.

Dans le monde entier, le nucléaire a engendré des problèmes ingérables. Les déchets radioactifs sont là pour des millénaires et leur gestion est désormais imposée aux générations futures. Mais ne faut-il pas d’abord cesser d’en produire ? L’extraction de l’uranium dans les pays du tiers monde est une source majeure de pollution, dont souffrent en premier lieu les travailleuses et travailleurs de ce secteur. Celles et ceux de la maintenance du nucléaire subissent une exposition qui met leur santé en danger. Les catastrophes de Mayak, Windscale, Three Mile Island, Tchernobyl et Fukushima nous montrent à quel point cette activité est source de nuisances ingérables. Or les autorités censées en protéger les victimes tentent en réalité d’obliger les populations à vivre dans les territoires contaminés (programme Ethos).

Comment mettre un terme à cette activité qui, de l’extraction des matériaux jusqu’à la gestion des déchets, s’avère mortifère ? Comment éviter une nouvelle catastrophe majeure ? Comment entrer résolument dans la nécessaire transition énergétique ?

Contrairement aux affirmations du monde nucléocrate, le développement du nucléaire ne peut pas être une solution au problème du changement climatique, non seulement parce que cette activité émet elle aussi des gaz à effet de serre (extraction, construction, transport, démantèlement, stockage), mais surtout parce qu’il faudrait construire des centaines de réacteurs pour faire face aux besoins, avec la multiplication des risques que cela implique (accident, déchets, prolifération). Quelles seraient les stratégies permettant à la fois d’arrêter rapidement la production d’énergie d’origine nucléaire et de réduire les émissions de gaz à effet de serre d’origine anthropique ?

Les liens entre nucléaire civil et nucléaire militaire sont nombreux, le premier étant vecteur de prolifération du second, avec les mêmes acteurs : en France, Areva, CEA et EDF.

En plus d’être coûteuse, la politique de dissuasion nucléaire est criminelle. Elle est en violation d’une résolution de l’ONU qui condamne l’emploi de l’arme nucléaire, considéré comme un crime contre l’humanité. Rappelons que la bombe a déjà fait plus de morts au cours de sa mise au point que du fait de son utilisation, et l’hémisphère Nord est toujours recouvert des rémanences radioactives des essais des années 1960. L’adoption à l’ONU, en juillet 2017, par 122 Etats non nucléaires, d’un traité d’interdiction des armes nucléaires et son ouverture à la signature de tous les Etas le 20 septembre seront-elles un pas décisif vers le désarmement nucléaire mondial ?

C’est pour débattre de toutes ces questions que nous vous invitons à une rencontre internationale, où nous partagerons nos expériences et chercherons ensemble les moyens d’agir pour l’émergence d’un monde sans armes nucléaires et sans production d’énergie d’origine nucléaire.

Le comité de facilitation du FSM Antinucléaire 2017

Le site web, pour vous inscrire et pour tout complément d’informations : http://wsfnonuke.org

Le lieu : La Bourse du Travail de Paris

Les salles entièrement à notre disposition sont sur trois sites proches de la place de la République (3 rue du Chateau d’Eau, 67 rue de Turbigo et 29 Boulevard du Temple).

L’accueil le jeudi 2 à partir de 8h30, les plénières et les stands se tiendront 29 Boulevard du Temple.

Remarque : comme il est interdit de manger à l’intérieur de la Bourse, tous les repas devront être pris à l’extérieur, nous essaierons néanmoins de proposer des sandwiches, café et boissons pour les pauses.

Les débats :

Trois plénières : • une plénière d’ouverture le jeudi de 10h à 12h • une plénière « témoignages de victimes du nucléaire » le vendredi de 16h30 à 19h • une plénière de clôture le samedi de 13h30 à 17h

30 créneaux horaires de 2h30 sont disponibles sur les trois jours pour différents types de contributions, d’ateliers, d’interventions, de films suivis de débats.

Les organisations (collectif, association, syndicat,…) ont jusqu’au 15 juillet pour proposer toute forme de contribution et à tous les points de vue, pourvu qu’ils soient antinucléaires. Une participation financière de 50€ est demandée aux associations qui proposent une activité et qui n’ont pas participé au financement du forum.

Le comité de facilitation étudiera ces différents types de contributions, d’ateliers, d’interventions et fera un retour vers les organisations pour indiquer les propositions retenues et ou fusionnées.

Autres initiatives :

• Une action médiatique en cours de préparation sera proposée.

• Un déplacement en bus le dimanche 5 à Bure, accueil et visite des lieux effectué par les opposants à ce projet CIGEO de monstrueuse poubelle nucléaire à 500m sous terre.

• Soirée festive le vendredi soir

Le site web, pour vous inscrire et pour tout complément d’informations : http://wsfnonuke.org

07/10/2017

L'art pour favoriser un nouveau départ pour des décrocheurs scolaires...

Le Journal La Croix sous la plume de Mme Florence Quille nous apprend qu'à Arras une "classe départ" depuis mars 2015 fonctionne avec une vingtaine d'élèves venus des quartiers sensibles d'Arras. L'initiative est venue d'un metteur en scène, Mr Bruno Lajara, qui s'est installé dans une usine désaffectée d'Arras. Il anime la première "classe départ" de France en utilisant l'art comme levier. Son Centre se nomme l'Envol.

Mr Lajara s'est inspiré de ce qu'il avait vu en Argentine où des ateliers artistiques avaient aidé des gens désoeuvrés à se révéler en période de crise économique. A Arras, des jeunes de 18 à 24 ans s'essaient à la photographie, au chant, au dessin, au théâtre, à la danse, à la vidéo...Ils viennent 24 h par semaine en service civique dans l'Association. Un atelier d'écriture leur permet d'exprimer leur parcours semé d'échecs dans de nombreux domaines. En huit mois, les jeunes se sont découvert des talents et ils ont monté un spectacle collectif "Décrocheurs de lune" très applaudi par le public.

"Forts de cette reconnaissance, les jeunes pourront ensuite prendre leur envol, soit reprendre des études, soit effectuer des stages ou décrocher un CDI". Pourquoi ne pas généraliser cette initiative dans les régions, afin d'aider des jeunes en échec scolaire à trouver leur voie? Le hip hop par exemple motive beaucoup de garçons. Il suffit d'un encadrement et d'un lieu pour lancer l'activité. Plutôt que de traîner en ville au risque de devenir des dealers, ces jeunes de banlieue souvent issus de milieux défavorisés ont besoin d'un regard positif des membres de notre société. La pratique artistique dans sa grande variété est susceptible de motiver et d'orienter des adolescents en rupture familiale et scolaire.  Pour en savoir plus, consulter sur internet: https://www.ozp.fr/spip.php ou sur youtube.

Lyliane

Intervenir en faveur de Mgr Su Zhimin, évêque âgé de 85 ans, détenu en Chine depuis 20 ans...

L'O.N.G ACAT France (Action des Chrétiens contre la Torture) m'a fait part du cas de Mgr SU Zhimin, évêque "clandestin" de l'Eglise Catholique en Chine âgé de 85 ans, qui est détenu au secret depuis octobre 1997. Cet homme n'a fait qu'exercer son droit à la liberté d'association et celui de pratiquer pacifiquement sa religion. Sa détention est arbitraire, contraire aux lois chinoises et internationales.

J'ai appris que sa détention est intervenue parce qu'il s'est opposé à la destruction par l'armée d'un lieu de pélerinage. Personne depuis n'a eu des nouvelles de cet évêque sinon en 2003, lorsqu'il a été soigné à l'hôpital pour des problèmes cardiaques et oculaires. On ne sait même pas où il est détenu, car il n'a droit à aucun contact avec le monde extérieur. Des groupes ACAT le parrainent et envoient des courriers en sa faveur aux autorités.

L'ACAT demande à toute personne de bonne volontd'écrire à ce sujet à S.E. Monsieur ZHAI JUN, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de Chine en France- 11 Avenue Georges 5- 75008- Paris. Il faudrait demander aux autorités chinoises de remettre Mr SU Zhimin en liberté sans condition. Il serait également souhaitable qu' il puisse communiquer avec ses proches, accéder à des soins et consulter un médecin.

Merci de faire un geste en faveur de cet homme, pour qu'il puisse être enfin libéré. Pour en savoir davantage, joindre www.acatfrance.fr.

Lyliane

06/10/2017

Endiguer les contrevérités sur les pauvres dans notre pays...

Juste avant les élections présidentielles en France, cinquante et une association avaient lancé ensemble "Une autre Campagne" pour contrer les idées fausses qui circulaient et qui continuent à circuler contre les pauvres et les exclus dans notre pays. Le Secours catholique, la Fondation Abbé Pierre, Emmaüs France, ATD Quart monde et d'autres organisations, réunies au sein du Collectif des Associations Unies crée en 2008, ont en effet décidé de combattre les préjugés sur les chômeurs et toutes les personnes en situation de pauvreté. Mme Nathalie Birchem pour le Journal la Croix s'en est fait l'écho.

Les griefs courants invoqués sont l'assistanat, le montant du RSA, la paresse des gens pauvres... Un Comité de vigilance essaie donc de restaurer le débat public grâce à des visuels et à un site Internet, afin de toucher les réseaux sociaux. Une à une ces contre vérités  sont démontées. Certes, la situation s'est beaucoup aggravée. Depuis plus de 10 ans, notre pays compte un million de pauvres en plus et 50% de SDF nouveaux entre 2001 et 2012. De plus, des expulsions locatives se sont multipliées...

Monsieur Christophe Robert, délégué général de la fondation Abbé Pierre, liste les initiatives qui marchent: le Housing First par exemple (Chez soi d'abord) qui préconise avant toute chose l'attribution d'un logement, les Ecoles de la Deuxième Chance, les territoires "Zéro chômeur de longue durée"... Pour en savoir davantage, consulter www.uneautrecampagne.org ou www.alerte-exclusions.fr...

Lyliane

 

 

 

05/10/2017

Créer un Airbnb pour les réfugiés...

J'apprends par un article de Mr Julien Duriez dans le Journal la Croix du 22/1/2017 que Mr Guillaume Capelle,  âgé de 29 ans,  propose à tous nos concitoyens de changer de regard sur les réfugiés. Ce jeune homme a passé un an en Australie et en a profité, mandaté par Amnesty International, pour rendre visite aux migrants enfermés par les autorités dans des centres d'accueil. Cette expérience l'ayant marqué, Mr Capelle a crée il y a 5 ans une communauté au modèle innovant baptisée Singa. Il s'agit en effet de mettre en contact réfugiés et demandeurs d'asile avec des Français lors de rencontres culturelles, de séances de sport ou de repas pris en commun.

Cette initiatives a permis de trouver 1300 parrains qui suivent les réfugiés dans leur apprentissage de la langue, leurs démarches ou leur insertion professionnelle. L'Association Singa est présente actuellement dans 4 villes françaises:Paris, Lyon, Lille et Montpellier. Des manifestations ont été organisées en 2016 et elles ont rassemblé 10 000 personnes. Le concept a essaimé en Allemagne, en Belgique, au Canada et au Maroc.

Une plateforme en ligne nommée "Comme à la maison" (CALM), lancée par l'association en 2015, permet à des volontaires d'accueillir des réfugiés chez eux pour une durée déterminée. Elle a déjà permis de loger 376 personnes. En fait, Singa donne des outils pour agir concrètement et permet à des citoyens de s'engager. Pour en savoir davantage, contacter sur Internet: https://www.fondation-vinci.com/.../singa_france_accueillir_un_refugie_chez_soi_et www.calm.singa.fr.

Lyliane

 

04/10/2017

Les 8 effets méconnus du gingembre selon Sante Corps Esprit et Mr Eric Müller...

 
 
 
La Lettre de Xavier Bazin


  

Cher(e) ami(e) de la santé, 


Le travail qu'a réalisé mon confrère Eric Müller est remarquable.   

Il propose aux lecteurs de Santé Corps Esprit un dossier gratuit sur "les 8 effets méconnus du gingembre", dont voici les premiers : 


Xavier Bazin 




Les 8 effets méconnus du gingembre

  

Le curcuma est l’épice anti-inflammatoire la plus connue. Elle est efficace contre l’arthrose et en prévention du cancer. Mais son utilisation en cuisine est limitée… 

D’où l’intérêt du gingembre, cousin du curcuma, plus facile à accommoder. 

  

8 – Contre les douleurs de l’arthrose

Le gingembre est anti-inflammatoire [1]. Une vaste étude sur l’arthrose du genou a démontré qu’en 24 heures à peine, son effet est supérieur à un placebo pour atténuer les douleurs. [2] 

Jean-Paul Curtay, médecin de renommée mondiale et pionnier de la nutrithérapie, consomme du gingembre sans modération. Il revient fréquemment sur ses bienfaits dans les Dossiers de Santé & Nutrition dont il est l’auteur. 

  

7 – Soulage les crises d’asthme

Dans l’asthme, les muscles des voies respiratoires se contractent, se resserrent et gênent la respiration. Les inhalateurs utilisés lors d’une crise, bronchodilatateurs, favorisent le relâchement des muscles pour restaurer le passage de l’air. 

Le gingembre a le même effet. [5] 

C’est une excellente nouvelle pour les asthmatiques. Rien de plus simple que saupoudrer ses plats avec du gingembre en poudre. 

  

6 – Chez les femmes, le gingembre atténue les règles hémorragiques

Une étude a montré que 250 mg de poudre de gingembre par jour régulent les flux menstruels de jeunes filles souffrant de règles hémorragiques [6]. 

En plus des douleurs et de la gêne qu’elles engendrent, les règles hémorragiques peuvent provoquer un déficit en fer et donc de la fatigue et des difficultés de concentration

Chez les jeunes filles, les régles douloureuses sont causées par un déséquilibre hormonal contre lequel les médecins prescrivent la pilule contraceptive. Celle-ci supprime le symptôme mais non la cause, qui se manifestera plus gravement sur le long terme. Avant de prendre la pilule, essayez le gingembre. Faites une cure de trois mois et voyez les résultats vous-même ! 

  

5 – Réduit l’inflammation à l’origine de la chute de cheveux

Depuis peu, des chercheurs américains pensent que la chute de cheveux pourrait être due à une inflammation à la racine des follicules. Ils ont retrouvé une substance inflammatoire du nom de prostaglandine D2 à la racine des cheveux des chauves. 

Le gingembre est un anti-inflammatoire naturel propre à stopper l’action de la prostaglandine D2, ce qui signifie qu’il pourrait ralentir la chute des cheveux. [7] 



Mes autres conseils dans un second email

Vous pouvez recevoir les conseils 4, 3, 2, 1 par email, détaillés dans un document à conserver précieusement. 

  • Le conseil n°4 vous concerne s’il vous arrive de faire un barbecue ou des grillades. 

  • Le conseil n°3 redonne confiance aux femmes pour se mettre en maillot de bain. 

  • Le conseil n°2 vous révèle ce que le gingembre et 3 autres condiments peuvent faire pour la santé de votre organe le plus précieux

  • Le conseil n°1 vous révèle un moyen simple de vous protéger contre une bactérie féroce qui attaque votre estomac. 

Ce document reprend également les conseils évoqués dans ce mail, ainsi que 2 délicieuses recettes à base de gingembre ! 

En plus des conseils sur l'utilisation du gingembre, vous bénéficierez également d’un abonnement gratuit à la lettre Néo-nutrition. Avec plus de 500 000 lecteurs, c’est une des lettres les plus lues du monde francophone. Et oui, elle est totalement gratuite ! 

Cliquez ici pour recevoir immédiatement vos 8 conseils par email. 

03/10/2017

Projet de loi sur la fin de vie...

 

 

MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

PROJET DE LOI SUR LA FIN DE VIE

Marie GODARD
Cordes-sur-Ciel, France

24 SEPT. 2017 — Plusieurs députés ont répondu à la lettre que je leur ai récemment envoyée, et tous de manière favorable. 

Plusieurs d'entre eux mont dit qu'ils sont co-signataires de la proposition de loi qu'a rédigée le Député Jean-Louis Touraine et m'en ont envoyé une copie que vous trouverez un peu plus bas sur cette page.

Cette loi, si elle est votée, sera incontestablement une grande avancée au regard de la loi actuelle. J'ai toutefois quelques inquiétudes dont j'ai fait part à Monsieur Touraine et que j'évoque dans mon dernier commentaire sur mon blog et dont je vous ai mis le lien plus bas.

Voici la proposition de loi:


N° XXXX
_____
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
QUINZIEME LÉGISLATURE
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le xxxx.
PROPOSITION DE LOI
Portant sur la fin de vie dans la dignité,
présentée par M Jean-Louis TOURAINE, XXXXXX

députés.

EXPOSÉ DES MOTIFS
Nos concitoyens aspirent à une fin de vie paisible, digne et choisie. Ils l’espèrent à domicile entourés de leurs proches et sans acharnement thérapeutique en cas de pathologie grave et incurable Or la majorité meurt à l'hôpital, souvent aux urgences. Comme le démontre l'étude MAHO (Mort à l'Hôpital), publiée en 2008, les soignants considèrent que seulement 35% des décès s'y déroulent dans des conditions acceptables. 
Surtout, la quasi-unanimité des Français estime que chaque individu a le droit de choisir la façon de finir sa propre vie. Les résultats du sondage Ifop d'octobre 2014 attestent que 96% des Français interrogés jugent que la législation française devrait autoriser les médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des personnes qui en font la demande. Ce sondage est en tous points comparable aux précédents (2010, 2011 et 2013) et l'on note une progression de personnes répondant qu'ils sont « absolument » d'accord avec l'idée de permettre aux médecins à mettre fin à la vie des personnes qui en formulent le vœu (54%). La conférence de citoyens, organisée par le Comité consultatif national d'éthique, a rendu ses travaux en décembre 2013 et a débouché sur des recommandations similaires. Ce panel de citoyens représentatifs de la diversité de la population française s'est, en effet, prononcé en faveur d'une assistance médicalisée active à mourir et d'un respect de la liberté de chaque sujet à choisir comment il souhaite terminer sa vie.
Pour respecter la volonté individuelle du patient, le législateur doit entendre la demande des citoyens et la traduire en droit. C'est pourquoi il a la responsabilité d'élargir le champ des possibilités offertes au patient en fin de vie en s'efforçant de répondre à tous les cas de figure. Il n'existe pas de réponse unique, c’est pourquoi nous devons poser un cadre, au-delà de nos différences de philosophies, et ouvrir de nouveaux droits afin que chaque individu puisse faire un choix libre et éclairé au regard de ses convictions.
Il s'agit aussi, au travers de ce texte, de mettre fin à une hypocrisie. Une étude de l'INED de 2012 estime que 2000 à 4000 personnes terminent leur vie, chaque année en France, grâce à l'assistance active à mourir d'un médecin. Ces pratiques médicales, aujourd'hui incontrôlables et inavouables, génèrent des inégalités considérables devant la fin de vie. Alors que certains bénéficient, grâce à des équipes médicales entreprenantes, d'une fin de vie choisie et apaisée, d'autres meurent dans des conditions douloureuses. Il peut même exister des abus liés à une décision médicale sans accord de la personne concernée. Il convient donc d'encadrer ces pratiques afin d'éviter tout risque, tant pour le patient que pour le corps médical. De même, certaines personnes peuvent, financièrement, se permettre de se déplacer à l'étranger, en Suisse et en Belgique notamment, pour bénéficier d'une fin de vie conforme à leurs souhaits, quand d'autres n'en ont pas les moyens, créant une inégalité supplémentaire face à la mort. 
De nombreux pays, tels la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg ou le Québec ont déjà légiféré, les premiers depuis plus de dix ans, en faveur d’une assistance médicalisée active à mourir. Les dispositifs mis en place par ces pays, comparables à celui proposé par ce texte, n’ont jamais été remis en cause témoignant ainsi qu’ils répondent à une demande de la population. 
Cette proposition de loi répond à une forte demande des Français. C'est une avancée sociétale majeure. La personne qui demande à bénéficier d'une assistance médicalisée active à mourir doit être majeure, capable et souffrir d'une maladie incurable, provoquant une douleur physique ou une souffrance psychique telles qu'aucune solution d'ordre thérapeutique n'est plus envisageable. Elle fait un choix libre et éclairé qu’elle peut révoquer à tout moment. 
Le présent amendement instaure un dispositif strict qui garantit le respect du choix du patient et impose aux médecins des procédures rigoureuses. Cette aide médicalisée active doit aussi être strictement et précisément encadrée, c'est pour cette raison que la demande doit être instruite par un collège de trois médecins afin d'en apprécier le caractère libre, éclairé, réfléchi et explicite. 
Si, pour une raison personnelle, un médecin ne souhaite pas participer à cette procédure, il peut bien sûr invoquer la clause de conscience et transmettre cette mission à un de ses confrères.
De surcroît, la réalité de la situation médicale du demandeur et l'impasse thérapeutique dans lesquelles il se trouve doivent être avérées. Les délais imposés au médecin permettent la confirmation et la mise en œuvre de la volonté du patient. 
L'assistance médicalisée active à mourir doit pouvoir être réalisée soit par le patient lui-même et en présence du médecin, soit par le médecin. 
Enfin, l'intégralité de la procédure doit être versée au dossier médical du patient. 

PROPOSITION DE LOI
Article unique
Après l’article L. 1110-5 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 1110-5-2-1 ainsi rédigé :

« Toute personne majeure et capable, en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une douleur physique ou une souffrance psychique insupportable, peut demander, dans les conditions prévues au présent titre, à bénéficier d'une assistance médicalisée active à mourir.

La demande du patient est immédiatement étudiée par un collège de trois médecins afin d’en vérifier le caractère libre, éclairé, réfléchi et explicite et de s’assurer de la réalité de la situation médicale et de l’impasse thérapeutique dans laquelle se trouve l’intéressé.

Si le patient confirme sa volonté de bénéficier d’une assistance médicalisée active à mourir au moins quarante-huit heures après sa demande initiale, alors sa volonté doit être respectée.

Dans un délai maximal de quatre jours après la confirmation de la demande par le patient, l’assistance médicalisée active à mourir est pratiquée, selon la volonté du patient, soit par le patient lui-même en présence du médecin, soit par le médecin. L’intéressé peut à tout moment révoquer sa demande.

L’ensemble de la procédure suivie est inscrite dans le dossier médical du patient. »

02/10/2017

Nouveaux OGM, non merci!

Déjà 110 266  signatures. Objectif : 150 000 

 

Une majorité écrasante de la population européenne rejette les OGM et de nombreux États membres ont interdit leur mise en culture. Cependant, les entreprises de l’agrochimie ont trouvé une nouvelle recette pour faire entrer les OGM dans nos champs et nos assiettes : contourner la réglementation européenne en affirmant que les OGM issus de nouvelles techniques ne sont en réalité pas des OGM.

Si les industriels parviennent à leurs fins, des plantes et des animaux génétiquement modifiés pourraient très vite arriver dans nos champs et nos assiettes. Ils ne seraient pas soumis aux obligations d’évaluation des risques ou d’étiquetage. En réalité, comme leur présence serait passée sous silence, nous ne pourrions rien faire pour nous en protéger !

Ne pas céder à la pression des industriels, ni des Etats-Unis

La réglementation européenne exige que les OGM fassent l’objet d’une évaluation des risques sanitaires et environnementaux et d’un étiquetage, pour que les consommateurs puissent faire leurs choix en toute connaissance de cause. Depuis 2015, les États membres peuvent également interdire les cultures d’OGM sur leur sol – ce que 19 d’entre eux ont fait, sur tout ou partie de leur territoire. Si les nouveaux OGM échappaient à la réglementation, cette possibilité serait exclue et il n’y aurait aucun moyen de les éviter.

La Commission européenne a annoncé qu’elle publierait une analyse juridique qui précisera si les nouveaux OGM seront couverts ou non par la réglementation. Les entreprises qui commercialisent des OGM, soutenues par le gouvernement américain, sont en train de faire pression sur la Commission pour qu’elle exclue de cette réglementation les OGM produits à partir des nouvelles techniques de manipulation génétique. Leur objectif : breveter et privatiser le vivant.

Nous devons veiller à ce que nos responsables politiques n’ouvrent pas les portes de l’Europe aux OGM. Signez cette pétition pour barrer la route aux nouveaux OGM. Ensemble, demandons à nos dirigeants politiques d’appliquer pleinement la réglementation destinée à protéger notre santé et notre environnement, et de faire en sorte qu’elle ne soit pas contournée au profit des seuls intérêts financiers industriels.

À l'attention des ministères français de l’Environnement et de l’Agriculture et de la Commission européenne

En tant que citoyens avertis, nous vous demandons d’appliquer rigoureusement la réglementation de l’Union européenne sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) à tous les OGM, sans exception, destinés à être commercialisés dans l’Union européenne, quelle que soit la méthode dont ils sont issus.

Il faut que les ministères français de l’Environnement et de l’Agriculture ainsi que la Commission européenne ne laissent planer aucun doute sur le fait que les nouveaux OGM issus de techniques d’édition de gènes ou d’autres techniques doivent être soumis à la réglementation européenne sur les OGM. Cette réglementation exige l’évaluation avant autorisation, la traçabilité et l’étiquetage des OGM.

Les dirigeants ne doivent pas céder à la pression des industriels, qui ferment les yeux sur l’opposition de la population aux OGM et tentent de contourner la réglementation. Il en va de notre santé et de notre environnement.

  Greenpeace

01/10/2017

Un concours de dessin sur le "vivre ensemble" pour les 11/25 ans...

Dans le journal Valeurs Mutualistes de la MGEN de septembre 2017, j'ai relevé l'annonce que le réseau de 162 dessinateurs de presse Cartooning for Peace et la marque Clairefontaine s'associent pour proposer un concours de dessin de presse du 1er septembre 2017 au 1er janvier 2018. le thème est le suivant:"Vivre ensemble, c'est tout un Art"!

Elèves et étudiants de 11 à 25 ans sont invités à saisir leurs crayons et à laisser libre cours à leur inspiration. Ce sera l'occasion de réfléchir aux questions liées à la liberté d'expression et de voir son travail évalué par la caricaturiste belge Cécile Bertrand. Le dessin gagnant sera imprimé en couverture d'un carnet collector Clairefontaine. Et d'autres lots seront aussi à remporter.

Pour davantage de renseignements, contacter www.cartooningforpeace.org.

Marche blanche contre les pesticides près de Bordeaux le 8/10/2017...

 
 

 
 

MISE À JOUR SUR LA PÉTITION

MARCHE BLANCHE contre PESTICIDES.

marie-lys BIBEYRAN
listrac médoc, France

27 SEPT. 2017 — Années après années, saisons après saisons, rien ne change sur le terrain et les enfants dans les écoles et/ou chez eux, les riverains, les travailleurs agricoles, les consommateurs sont toujours exposés aux pesticides et à leurs très graves effets sur la santé. Une succession de décisions de justice contre l'intérêt des victimes, un lien toujours très étroit entre les pouvoirs publics et le lobby des pesticides, une toute puissance d'une agriculture productiviste plus meurtrière que nourricière nous font craindre le pire pour l'avenir. Mais ne nous résignons pas !!!
Venez avec nous dire non aux pesticides, non au déni non aux lobbies.
Marche blanche le dimanche 08 octobre à Listrac-Médoc (35 km au Nord de Bordeaux), sur un territoire où la viticulture use de tout son poids pour maintenir invisibles et inaudibles les victimes des pesticides. 
Cette marche est co-organisée par : 
Collectif Info Médoc Pesticides
Confédération Paysanne 
Alerte Aux Toxiques
CGT 
Générations Futures

Nous comptons sur vous !!!
Marie-Lys Bibeyran.