Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/12/2014

Pourquoi ne pas voir la vie en rose?

                   SE SOIGNER PAR LA CHROMOTHERAPIE…

  La chromothérapie comme l’acupuncture est considérée comme une médecine douce, une alternative à d’autres médecines susceptibles d’effets secondaires. Elle est en effet totalement sans danger  pour le patient.

Son principe est très simple : il s’agit de projeter une lumière colorée sur une partie du corps d’un patient vivant un problème de santé particulier. Exercée par un thérapeute compétent, c’est  une discipline qui peut jouer un rôle sur la santé émotionnelle, physique et même mentale.

  Nous la pratiquons instinctivement, nous les femmes, en choisissant nos vêtements, la couleur de nos murs, de nos cheveux ou des fleurs plantées dans notre jardin. Pour les hommes cela joue aussi sans doute lorsqu’il s’agit de choisir la couleur d’une voiture, d’un  costume, d’une chemise. Les aversions de certaines couleurs sont sans doute également significatives…  

   J’ai personnellement expérimenté « cette médecine des couleurs », comme l’appelaient les chinois, l’an passé en plein hiver et alors que je vivais une forme de dépression. Quelques minutes sous la lumière rouge m’ont regonflée et donné un regard plus positif sur la vie. La thérapeute avait simplement projeté sur mon plexus un rayon lumineux de la couleur en manque chez moi. Cela m’avait paru miraculeux !

  Je sais seulement que le bleu tranquillise, que l’orange est tonique pour les muscles, que le vert aide à lutter contre les maux de tête, que le rose est antidépresseur et que le jaune défatigue et soigne la peau…

  Je connais des personnes s’habillant tout en noir ; d’autres tout en blanc. Cela m’intéresserait de savoir ce que cela signifie en terme de caractère, de besoin du moment.

  J’imagine qu’il y a beaucoup de choses encore à dire sur le sujet. je compte sur vous pour compléter !

                     Lyliane  21/12/2014)

 

 

08/07/2014

COHERENCE CARDIAQUE - ARTICLE SUR LA REVUE NEOSANTE

Cohérence cardiaque et rôle guérisseur de la maladie

Par un curieux hasard, j’ai reçu il y a quelques jours le numéro de juin 2014 d’une revue dont je n’avais jamais entendu parler jusque là : NEO SANTE une  revue internationale de santé globale. Je l’ai feuilletée distraitement en m’interrogeant sur la personne ou l’organisme qui avait bien pu me l’avoir adressée. Mais très rapidement deux articles m’ont particulièrement accrochée. A tel point qu’après les avoir lus et relus, j’ai décidé de vous en parler car ils me paraissent d’importance.

Le premier fait référence à ce qu’on appelle « la cohérence cardiaque ». J’avais lu il y a des années quelque chose à ce sujet dans l’ouvrage « Guérir » du docteur David Servan Schreiber. Plus récemment j’en avais entendu parler à l’atelier « joie de vivre » que je fréquente et nous avions même effectué quelques exercices rythmés par un métronome. Toutefois, à chaque fois je n’en avais pas vraiment perçu l’intérêt pour moi-même ou pour autrui. Aujourd’hui, je me demande bien pourquoi car cette technique simple, basée sur la respiration, me semble un merveilleux outil pour améliorer notre santé émotionnelle et nous aider à vivre des ressentis positifs au quotidien. Sans doute n’étais je pas assez ouverte…

A la lecture du texte écrit par Emmanuel Duquoc, auteur avec Thierry Souccar d’un ouvrage intitulé : « les trois émotions qui guérissent » par contre, quelque chose m’a vraiment parlé. L’auteur, qui pratique depuis 2011 seul et en groupe, nomme son texte : « la nouvelle cohérence cardiaque » après s’être approprié et avoir légèrement modifié la méthode préconisée par le Dr David O’Hare, précurseur en la matière.

J’ai appris avec étonnement que cette technique de contrôle des variations des pulsations cardiaques est pratiquée au CHRU de Lille, qu’elle est connue de l’armée de l’air, de pompiers, de CRS, qu’elle est proposée à des personnes stressées ou même dépressives. Voila donc que les scientifiques reconnaissent enfin ce que le langage populaire savait de temps immémoriaux : nos émotions sont en lien avec notre cœur ! Mieux même: je lis que notre cœur participe activement à tous les processus impliquant les émotions et les sentiments, que c’est un véritable cerveau au lieu d’être aux ordres de ce dernier.

Ainsi, en égalisant inspiration et expiration, sur un rythme donné, le cœur se met à suivre. Cette façon de respirer induit très vite une régulation émotionnelle, qui procure presque les effets d’une relaxation. Mr Duquoc a expérimenté tout cela. Il en a déduit qu’un rythme de 11 secondes (6 secondes d’inspir et 5 secondes d’expir) est le meilleur. Il recommande de pratiquer, assis ou debout, le dos droit, trois fois par jour, le matin au réveil, quatre heures plus tard environ et dans l’après-midi sur une série de cycles de 11 secondes soit environ 55 battements par minute. Une montre avec une trotteuse, un métronome peuvent aider  le pratiquant.

J’ai découvert grâce à cet article qu’il est possible, voire recommandé, de coupler cette respiration à des émotions positives comme la gratitude, la confiance, l’amour envoyées à notre corps, afin par exemple de juguler des addictions, d’aller bien mieux en cas de fatigue ou même de communiquer avec son bébé lorsqu’on est enceinte. Tout à coup a germé en moi l’espérance que nous pourrions encore élargir l’expérience et adresser nos pensées d’amour, de confiance et d’amour à notre mère Terre qui nous porte. Peut-être pourrions nous nommer cela  de « l’écologie personnelle », nous unir en cohérence cardiaque pour que les êtres humains peu à peu  changent de niveau de conscience, passent de l’avoir à l’être, que notre terre se régénère …

Alors je propose à chacun d’essayer ! A votre bon cœur !

Mais je n’étais pas au bout de mes découvertes à la lecture de Néosanté! Une chronique de Jean Jacques Crèvecoeur m’a fortement impressionnée.  Ce physicien et philosophe de formation, conférencier de renommée internationale, auteur de nombreux ouvrages, m’était totalement inconnu jusque là. Il relève une expérience faite au début du vingtième siècle par le Docteur William Colley à propos du cancer. Celui-ci, en épluchant les dossiers de ses patients, découvre qu’un sarcome par exemple peut disparaître spontanément si on souffre en même temps d’une maladie infectieuse. Il multiplie alors ses recherches et tombe sur de nombreux cas similaires, notamment suite à des infections par streptocoques. Mieux il inocule volontairement le streptocoque à l’un de ses patients porteur d’un cancer et il s’aperçoit que son état de santé s’améliore. A partir de là, le Docteur Colley met au point une thérapie qui consiste à injecter une mixture préparée à partir de bactéries mortes chez des patients cancéreux.  Il l’appelle « toxines de Colley ». Malheureusement, dit J.J.Crèvecoeur, cette thérapie aux résultats encourageants fut abandonnée au profit de la radiothérapie et de la chimiothérapie, plus coûteuses pour le patient mais plus rémunératrices pour l’industrie pharmaceutique…

Au début des années 1980, un médecin allemand de Tübingen, le Docteur Hamer, après avoir été un génial inventeur d’appareils médicaux, devient oncologue et s’intéresse à son tour au rôle des bactéries, des virus, des bacilles et des champignons dans la guérison des maladies. Il le met en évidence dans la tuberculose  et montre que les bacilles de Koch sont des agents de nettoyage précieux. Puis, atteint  lui-même d’ un cancer des testicules après la mort violente de son fils, le docteur Hamer commence à s’intéresser au dossier de ses patients et à s’apercevoir que la majorité avait subi un choc inattendu quelques années auparavant. Etudiant ensuite les scanographies du cerveau de ses patients, il découvre que chocs et traumatismes se matérialisent dans une zone du cerveau. Il va même plus loin et découvre que la maladie progresse en deux phases successives. Il nomme sa découverte : «  les cinq lois biologiques ».  Selon lui la maladie est une interaction significative entre le psychisme, le cerveau et l’organe correspondant. Il démontre ainsi que la nature a doté l’être humain dès sa naissance de programmes biologiques pour préserver l’organisme vivant.

Hélas, en 1981, voulant présenter sa thèse à l’Université de Tübingen, le Docteur Hamer se heurte à une cabale contre lui, qui le fait mettre à la porte de la clinique  où il exerce.

Il vit ensuite une longue suite d’interdictions, de harcèlements, d’intimidations. En 1986, refusant de renier ses découvertes devant un tribunal à l’âge de 51 ans, toute pratique de la médecine lui est interdite. Arrêté en Espagne où il essaye de pratiquer, il est même incarcéré.

Libéré en 2006, il survit courageusement en Allemagne..

Ses découvertes ont été totalement rejetées par ses pairs. Cela me fait penser à Galilée soutenant que la Terre est ronde envers et contre tous! Être en avance sur son temps, déranger l’ordre établi est une chose. Toutefois priver les découvertes d’un chercheur de toute expérimentation me semble non seulement absurde, mais même criminel, aujourd’hui où les cancers emportent tant d’hommes et de femmes ! A mes yeux, J.J. Crèvecœur a eu raison de rouvrir ce dossier. Je me permets d’ajouter qu’un site existe sur internet pour suivre le Docteur Hamer : http://universitatsandefjord.com index.php.

On y trouve des lettres à ses patients, des documents versés au Tribunal de Hamburg. En 2013, cet homme passionné par son métier a produit un CD audio en allemand : «  MEIN STUDENTENMÄDCHEN » comportant une mélodie archaïque censée aider à prendre en charge la panique, les psychoses et le cancer. Il me tient à cœur  de vous parler de ce que j’ai découvert au sujet des microbes qui seraient de précieux agents auxiliaires nous permettant de les réhabiliter au cœur des processus de guérison. Hélas la vision pasteurienne est toujours d’actualité et c’est à nous me me semble-t-il qu’il revient de faire connaître autour de nous d’autres facettes de la médecine moderne que celle du dogme officiel.   

                                                                                  Lyliane

Pour mieux connaitre le magazine ou vous abonner en ligne:

                                           http://www.neosante.eu/