Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/11/2017

Le pouvoir des magnétiseurs...selon Xavier Bazin

 Article de Xavier Bazin

Mesmer et le « magnétisme animal »


Cher(e) ami(e) de la Santé, 

Franz Anton Mesmer est un des personnages les plus controversés de la médecine. Pour certains, c’est un médecin visionnaire. Pour d’autres, un immense… charlatan. Une chose est sûre : à la fin du 18ème siècle, il a mis le doigt sur quelque chose de plus grand que lui

Car le Dr Mesmer est considéré comme le fondateur de l’hypnose moderne. En anglais, hypnotiser se dit « mesmerize », en son honneur. Or l’hypnose est désormais validée scientifiquement : elle envahit même les hôpitaux, comme technique miracle pour opérer les patients sans anesthésie (voir ma lettre à ce sujet). 

Et pourtant, pendant deux siècles, les médecins et scientifiques ont jugé que l’hypnose était une technique « charlatanesque », « pseudo-scientifique ». Jusqu’à ce que la science elle-même leur donne tort. 

Aujourd’hui, les mêmes esprits « rationnels » rejettent d’un revers de main l’autre grande découverte du Dr Mesmer, le magnétisme thérapeutique.  On peut les comprendre, car le « magnétisme » est encore bien mystérieux.  Mais l’histoire de ce médecin hors norme doit absolument être connue : 

La naissance du magnétisme médical

Mesmer est né en 1734 près du lac de Constance, en Allemagne. 

Très tôt, il influencé par les idées de médecins précurseurs comme Paracelse (16ème siècle). Paracelse pensait que la santé est un « état d’harmonie entre le microcosme individuel et le macrocosme céleste ». Pour lui, il existerait des fluides cosmiques qui nous influencent. Et il jugeait que notre esprit était la clé pour agir sur le corps. Dans cette lignée, Mesmer intitule sa thèse de doctorat en médecine : De l'influence des planètes sur le corps humain. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, sa thèse n’a rien à voir avec l’astrologie. 

Mesmer a un esprit scientifique. C’est un homme des Lumières, qui s’est lié d’amitié avec les génies de son temps, comme Mozart et Haydn. Pour lui, les « fluides magnétiques » sont des phénomènes naturels (et non surnaturels) que l’on doit pouvoir analyser rationnellement. C’est ainsi qu’il s’intéresse au pouvoir des aimants pour restaurer la santé. 

Mais il réalise que l’on peut obtenir les mêmes résultats par la simple « imposition des mains »… à la simple condition d’être doté d’un fort « sens magnétique ». C’est à Créteil, en France, qu’il publie son œuvre maîtresse : Mémoire sur la découverte du magnétisme animal. Selon lui, il existerait un fluide physique « universel », qui emplit l’univers et relie les hommes. La santé, ce serait la libre circulation de ce « processus de vie » à travers les milliers de canaux existant chez l’humain. 

A l’inverse, la maladie serait une sorte de « mauvaise circulation » de ce fluide, ou bien un déséquilibre de ce fluide dans le corps humain…. et il pourrait suffire de mieux le répartir pour guérir.

Le médecin de Marie-Antoinette ?

Quoi qu’on en pense sur le fond, Mesmer connaît en quelques mois un IMMENSE succès avec sa thérapie : 
Le militaire décoré, l’artisan, le médecin, le chirurgien… On voit arriver en foule chez ce célèbre médecin des hommes et des femmes de tout âge et de toute condition [1]. 

 

Il prétendait soigner à peu près tout… et la foule parisienne était de plus en plus nombreuse à venir le voir. 
Pour faire face, il embaucha des assistants et finit par construire un « baquet » composé d’aimants pour soigner plusieurs personnes à la fois. Des phénomènes sidérants se produisaient sous l’influence de Mesmer : des femmes, nobles ou bourgeoises étaient prises de convulsions, parfois violentes, ou bien se laissaient aller à des éclats de rire ou des pleurs incontrôlés. 

Très vite, Mesmer devient presque aussi célèbre que le roi… et obtint la protection de la reine Marie-Antoinette [2], dont l’entourage aurait été soigné avec succès par Mesmer. Même le Marquis de Lafayette écrit une lettre enthousiaste à George Washington : 

« Un docteur allemand nommé Mesmer, ayant fait la plus grande découverte sur le magnétisme animal, a formé des élèves, parmi lesquels votre humble serviteur est appelé l'un des plus enthousiastes » [3] 

Le phénomène est tel que Louis XVI lui-même veut en avoir le cœur net. Alors il nomme deux « commissions » scientifiques, composées des esprits les plus brillants de son époque.

A la recherche du fluide de Mesmer

Parmi ces hommes : le grand chimiste Antoine Lavoisier, et le « découvreur » de l’électricité, Benjamin Franklin. 

Leur objectif n’était pas de savoir si la thérapie de Mesmer était efficace pour guérir. Ils cherchaient à savoir si son « fluide universel » avait bien une réelle existence. Armés d’un « électromètre », ils ne décelèrent aucun fluide électrique. Et après avoir observé les fameuses convulsions, ils en conclurent que ces phénomènes extraordinaires étaient dus au pouvoir de l’imagination. C’était déjà un aveu extraordinaire, fondateur pour la médecine de l’esprit ! 

Benjamin Franklin, lui-même, reconnut que le fameux « agent nouveau [n’était] peut-être que l’imagination elle-même, dont le pouvoir est aussi puissant qu’il est peu connu » [4]. 

Le grand Charles Deslon, membre de l’Académie royale de médecine, publia même un contre-rapport où il écrit : 

« Si la médecine d'imagination est la meilleure, pourquoi ne ferions-nous pas de la médecine d'imagination ? » [5] 

Mais ce n’est pas du tout ce que décida la Faculté de Médecine. Au contraire, elle imposa brutalement à tous les médecins de renoncer formellement au « magnétisme animal », en pratique, et même dans leurs écrits ! 
Mesmer dut alors quitter Paris. Après quelques pérégrinations, il finit par se retirer, oublié de tous, pour mourir en 1815, près de l’endroit où il est né, au bord du lac de Constance.

Que dit la science du « magnétisme animal » ?

Mais le « magnétisme » n’a pas disparu avec Messmer, bien au contraire. 

Aujourd’hui encore, beaucoup de thérapeutes (des « guérisseurs », ou « magnétiseurs ») disent ressentir une « perception magnétique ». Quand ils approchent leurs mains de leurs patients, ils auraient une sensation comparable aux forces qui attirent ou repoussent les aimants. C’est ainsi qu’ils seraient capables de localiser les zones du corps chroniquement perturbées… et de rétablir l’équilibre par la projection de champs magnétiques. 

Evidemment, pour un esprit cartésien, c’est plus que troublant, pour ne pas dire farfelu. Mais la science dit-elle que c’est un phénomène impossible 

La réponse est non. Pour une raison simple : il existe bel et bien des champs magnétiques à l’intérieur de notre corps. On a d’abord découvert que le cœur produisait de l’électricité – que l’on mesure aujourd’hui avec l’électrocardigramme. Et on sait depuis longtemps que tout courant électrique produit un champ magnétique

Faraday l’a découvert au début du 19ème siècle, lorsqu’il s’est aperçu qu’un courant électrique faisait tourner l’aiguille de sa boussole ! 
 
Chaque battement du cœur produit donc un champ électromagnétique qui se propage dans l’espace à la vitesse de la lumière. On a même réussi à mesurer l’activité de ce champ à 45 centimètres du cœur… soit en dehors du corps 

Et puis on a découvert aussi l’activité électrique dans le cerveau, mesurée par l’électroencéphalogramme… qui produit lui-même un champ magnétique très faible.

Nous sommes des êtres électromagnétiques

Aujourd’hui, certains médecins et physiciens pensent que ces champs électromagnétiques sont un moyen de communication interne de l’organisme

Ces « flux d’énergie » permettraient aux cellules de notre corps de communiquer entre elles, à une vitesse incomparable. Cette idée n’est d’ailleurs pas nouvelle. Des grands génies de la physique, comme Nicolas Tesla, étaient persuadés que nos organismes sont animés par des forces électromagnétiques. 

Pourquoi ? Parce que les réactions biochimiques ont le défaut d’être lentes et aléatoires. Sans « énergie régulatrice », les molécules voyageraient « au hasard » dans le corps, et mettraient peut-être trop de temps à agir. C’est prouvé pour les enzymes digestives : si elles fonctionnaient de façon purement chimique, il faudrait des années pour que vous puissiez digérer votre petit-déjeuner, et en tirer vos nutriments ![6]  

Comme on l’a découvert récemment, ce sont des phénomènes énergétiques de physique quantique qui expliquent la redoutable efficacité de nos enzymes ! [7] 

Mais pour l’instant la médecine ne s’y intéresse pas. En dehors du système nerveux, elle ne connaît que la communication biochimique des hormones, des neurotransmetteurs… ou des médicaments. Pourtant, avec les courants électromagnétiques, on retrouve l’idée, défendue par de nombreuses civilisations, selon laquelle l’organisme est parcouru de « courants » ou « fluides » énergétiques vitaux. 

Pensez aux fameux « méridiens » de la médecine chinoise. Se pourrait-il que l’être humain soit capable de « détecter » des champs électromagnétiques avec ses mains… et même d’en « projeter » sur le patient, pour le guérir ? 

A ce jour, cela reste tout de même difficile à croire.

Les études sur le pouvoir des « magnétiseurs »


Mais quelques éléments suggèrent que ce n’est pas absurde d’un point de vue scientifique. 

D’abord, on sait que certaines cellules de la peau, les « cellules de Merkel », contiennent de la neuromélanine, une matière ferreuse qui agit comme un petit aimant. D’après leurs défenseurs, la perception des « magnétiseurs » pourrait venir de là : en présence d’un champ magnétique, les grains contenant la mélanine basculent, ce qui permettrait au thérapeute de percevoir les champs d’énergie. 

Admettons. Mais qu’en est-il alors de la « projection » d’énergie par le magnétiseur ? Une explication possible serait que le guérisseur utilise le champ électromagnétique de son propre cœur pour transmettre un courant électromagnétique à son patient. Une petite étude isolée a trouvé que le « toucher thérapeutique » provoquerait un « signal » d’une fréquence autour des 7-8 Hertz [8]. 

Une autre étude japonaise aurait trouvé un champ biomagnétique extraordinairement fort, émanant de mains de praticiens de Qi gong, avec une fréquence également atour des 8 à 10 Hertz [9]. 

Mais ce ne sont que des recherches préliminaires, qui n’ont pas été réellement confirmées. 

Au total, la science reste muette sur ce sujet délicat.

La science et le bon sens

Mais notre bon sens, lui, nous dit quelque chose d’important, si vous l’écoutez bien. 

Il nous dit que ce n’est peut-être pas un hasard si les « guérisseurs » ou « magnétiseurs » ont tant de succès, aujourd’hui encore, en 2017. En apparence, ils ne font pas le poids par rapports aux médecins : ils n’ont pas le droit d’avoir la moindre « plaque », leur technique est incomprise par la science… et la « bonne société » les ridiculise comme des charlatans. 

Mais alors pourquoi leurs cabinets sont-ils remplis, du matin au soir ? Est-ce simplement un effet placebo ? 

Mais l’effet placebo devrait être beaucoup plus puissant dans le cabinet d’un médecin en blouse blanche ! 
Se pourraient-ils que des millions de patients en sortent « soulagés » par le simple pouvoir de leur imagination, sans qu’il ne se soit rien passé ? Est-il imaginable que des milliers de guérisseurs à travers le monde mententeffrontément sur ce qu’ils ressentent lorsqu’ils passent leur main au-dessus de leurs patients ? 

Ce n’est pas totalement impossible, bien sûr. Mais l’idée qu’il existe des phénomènes énergétiques thérapeutiques n’est pas impossible non plus ! 

Bonne santé, 

Xavier Bazin 
 
 
 

08/07/2014

COHERENCE CARDIAQUE - ARTICLE SUR LA REVUE NEOSANTE

Cohérence cardiaque et rôle guérisseur de la maladie

Par un curieux hasard, j’ai reçu il y a quelques jours le numéro de juin 2014 d’une revue dont je n’avais jamais entendu parler jusque là : NEO SANTE une  revue internationale de santé globale. Je l’ai feuilletée distraitement en m’interrogeant sur la personne ou l’organisme qui avait bien pu me l’avoir adressée. Mais très rapidement deux articles m’ont particulièrement accrochée. A tel point qu’après les avoir lus et relus, j’ai décidé de vous en parler car ils me paraissent d’importance.

Le premier fait référence à ce qu’on appelle « la cohérence cardiaque ». J’avais lu il y a des années quelque chose à ce sujet dans l’ouvrage « Guérir » du docteur David Servan Schreiber. Plus récemment j’en avais entendu parler à l’atelier « joie de vivre » que je fréquente et nous avions même effectué quelques exercices rythmés par un métronome. Toutefois, à chaque fois je n’en avais pas vraiment perçu l’intérêt pour moi-même ou pour autrui. Aujourd’hui, je me demande bien pourquoi car cette technique simple, basée sur la respiration, me semble un merveilleux outil pour améliorer notre santé émotionnelle et nous aider à vivre des ressentis positifs au quotidien. Sans doute n’étais je pas assez ouverte…

A la lecture du texte écrit par Emmanuel Duquoc, auteur avec Thierry Souccar d’un ouvrage intitulé : « les trois émotions qui guérissent » par contre, quelque chose m’a vraiment parlé. L’auteur, qui pratique depuis 2011 seul et en groupe, nomme son texte : « la nouvelle cohérence cardiaque » après s’être approprié et avoir légèrement modifié la méthode préconisée par le Dr David O’Hare, précurseur en la matière.

J’ai appris avec étonnement que cette technique de contrôle des variations des pulsations cardiaques est pratiquée au CHRU de Lille, qu’elle est connue de l’armée de l’air, de pompiers, de CRS, qu’elle est proposée à des personnes stressées ou même dépressives. Voila donc que les scientifiques reconnaissent enfin ce que le langage populaire savait de temps immémoriaux : nos émotions sont en lien avec notre cœur ! Mieux même: je lis que notre cœur participe activement à tous les processus impliquant les émotions et les sentiments, que c’est un véritable cerveau au lieu d’être aux ordres de ce dernier.

Ainsi, en égalisant inspiration et expiration, sur un rythme donné, le cœur se met à suivre. Cette façon de respirer induit très vite une régulation émotionnelle, qui procure presque les effets d’une relaxation. Mr Duquoc a expérimenté tout cela. Il en a déduit qu’un rythme de 11 secondes (6 secondes d’inspir et 5 secondes d’expir) est le meilleur. Il recommande de pratiquer, assis ou debout, le dos droit, trois fois par jour, le matin au réveil, quatre heures plus tard environ et dans l’après-midi sur une série de cycles de 11 secondes soit environ 55 battements par minute. Une montre avec une trotteuse, un métronome peuvent aider  le pratiquant.

J’ai découvert grâce à cet article qu’il est possible, voire recommandé, de coupler cette respiration à des émotions positives comme la gratitude, la confiance, l’amour envoyées à notre corps, afin par exemple de juguler des addictions, d’aller bien mieux en cas de fatigue ou même de communiquer avec son bébé lorsqu’on est enceinte. Tout à coup a germé en moi l’espérance que nous pourrions encore élargir l’expérience et adresser nos pensées d’amour, de confiance et d’amour à notre mère Terre qui nous porte. Peut-être pourrions nous nommer cela  de « l’écologie personnelle », nous unir en cohérence cardiaque pour que les êtres humains peu à peu  changent de niveau de conscience, passent de l’avoir à l’être, que notre terre se régénère …

Alors je propose à chacun d’essayer ! A votre bon cœur !

Mais je n’étais pas au bout de mes découvertes à la lecture de Néosanté! Une chronique de Jean Jacques Crèvecoeur m’a fortement impressionnée.  Ce physicien et philosophe de formation, conférencier de renommée internationale, auteur de nombreux ouvrages, m’était totalement inconnu jusque là. Il relève une expérience faite au début du vingtième siècle par le Docteur William Colley à propos du cancer. Celui-ci, en épluchant les dossiers de ses patients, découvre qu’un sarcome par exemple peut disparaître spontanément si on souffre en même temps d’une maladie infectieuse. Il multiplie alors ses recherches et tombe sur de nombreux cas similaires, notamment suite à des infections par streptocoques. Mieux il inocule volontairement le streptocoque à l’un de ses patients porteur d’un cancer et il s’aperçoit que son état de santé s’améliore. A partir de là, le Docteur Colley met au point une thérapie qui consiste à injecter une mixture préparée à partir de bactéries mortes chez des patients cancéreux.  Il l’appelle « toxines de Colley ». Malheureusement, dit J.J.Crèvecoeur, cette thérapie aux résultats encourageants fut abandonnée au profit de la radiothérapie et de la chimiothérapie, plus coûteuses pour le patient mais plus rémunératrices pour l’industrie pharmaceutique…

Au début des années 1980, un médecin allemand de Tübingen, le Docteur Hamer, après avoir été un génial inventeur d’appareils médicaux, devient oncologue et s’intéresse à son tour au rôle des bactéries, des virus, des bacilles et des champignons dans la guérison des maladies. Il le met en évidence dans la tuberculose  et montre que les bacilles de Koch sont des agents de nettoyage précieux. Puis, atteint  lui-même d’ un cancer des testicules après la mort violente de son fils, le docteur Hamer commence à s’intéresser au dossier de ses patients et à s’apercevoir que la majorité avait subi un choc inattendu quelques années auparavant. Etudiant ensuite les scanographies du cerveau de ses patients, il découvre que chocs et traumatismes se matérialisent dans une zone du cerveau. Il va même plus loin et découvre que la maladie progresse en deux phases successives. Il nomme sa découverte : «  les cinq lois biologiques ».  Selon lui la maladie est une interaction significative entre le psychisme, le cerveau et l’organe correspondant. Il démontre ainsi que la nature a doté l’être humain dès sa naissance de programmes biologiques pour préserver l’organisme vivant.

Hélas, en 1981, voulant présenter sa thèse à l’Université de Tübingen, le Docteur Hamer se heurte à une cabale contre lui, qui le fait mettre à la porte de la clinique  où il exerce.

Il vit ensuite une longue suite d’interdictions, de harcèlements, d’intimidations. En 1986, refusant de renier ses découvertes devant un tribunal à l’âge de 51 ans, toute pratique de la médecine lui est interdite. Arrêté en Espagne où il essaye de pratiquer, il est même incarcéré.

Libéré en 2006, il survit courageusement en Allemagne..

Ses découvertes ont été totalement rejetées par ses pairs. Cela me fait penser à Galilée soutenant que la Terre est ronde envers et contre tous! Être en avance sur son temps, déranger l’ordre établi est une chose. Toutefois priver les découvertes d’un chercheur de toute expérimentation me semble non seulement absurde, mais même criminel, aujourd’hui où les cancers emportent tant d’hommes et de femmes ! A mes yeux, J.J. Crèvecœur a eu raison de rouvrir ce dossier. Je me permets d’ajouter qu’un site existe sur internet pour suivre le Docteur Hamer : http://universitatsandefjord.com index.php.

On y trouve des lettres à ses patients, des documents versés au Tribunal de Hamburg. En 2013, cet homme passionné par son métier a produit un CD audio en allemand : «  MEIN STUDENTENMÄDCHEN » comportant une mélodie archaïque censée aider à prendre en charge la panique, les psychoses et le cancer. Il me tient à cœur  de vous parler de ce que j’ai découvert au sujet des microbes qui seraient de précieux agents auxiliaires nous permettant de les réhabiliter au cœur des processus de guérison. Hélas la vision pasteurienne est toujours d’actualité et c’est à nous me me semble-t-il qu’il revient de faire connaître autour de nous d’autres facettes de la médecine moderne que celle du dogme officiel.   

                                                                                  Lyliane

Pour mieux connaitre le magazine ou vous abonner en ligne:

                                           http://www.neosante.eu/