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02/03/2017

Le droit de se soigner autrement dans le monde...

 
       

     
  Institut pour la Protection de la Sante Naturelle  
 

Grâce à vous, cette année sera très prolifique...


Chère amie, cher ami,

Vous avez trouvé 2016 riche en actions et en événements ?
Vous verrez : 2017 sera prolifique !

Nous n’avons pas le choix : les temps sont mûrs pour l’action !

D’abord parce qu’en France ont lieu les élections présidentielles. C’est un temps de débats et de propositions. Même si les échanges entre responsables politiques paraissent creux ou « à côté » des grands enjeux qui nous concernent, c’est évidemment le moment pour nous de faire circuler des idées, des propositions…Bref, de prendre part au grand pugilat qui se prépare !

Ensuite, parce que les lignes bougent ! Il faut encourager les évolutions actuelles de la santé naturelle. Elles sont scientifiques, juridiques, politiques et institutionnelles.

La science en effervescence

Partout dans le monde, de nouveaux sujets de recherche apparaissent. Physiciens et biologistes publient régulièrement des travaux qui bouleversent nos façons de comprendre le monde :

Photons : les progrès dans le domaine de l’imagerie permettent de voir comment les photons circulent. (Voir sur le sujet les travaux remarquables des chercheurs Raymond Herren et George Vieilledent). L’information photonique donne de précieuses indications sur les réactions du vivant par rapport à d’autres produits, comme des molécules de synthèse par exemple ou d’autres corps vivants.

Les champs d’application dans le domaine de la santé sont multiples : évaluation de l’efficacité des médicaments, du degré de toxicité d’un produit, etc. Cette recherche donne un accès direct à ce qui se passe dans le monde vivant à un niveau minuscule (inaccessible à l’œil nu, de l’ordre du milliardième de mètre).

Jeûne et cancer : depuis quelques années, le Pr Valter Longo, gérontologue et biologiste aux Etats-Unis, travaille sur le jeûne sur des souris. Il a démontré que, chez ces petits animaux, le jeûne renforçait le système immunitaire et permettait de résister aux chimiothérapies. Des études sont en cours pour confirmer cette possibilité chez l’humain.

En attendant, la thérapie par le jeûne a de beaux jours devant elle. On la croyait oubliée et mise au placard avec les vieux rites religieux qui l’accompagnaient. Voilà que la science et les bons résultats obtenus en Allemagne ou en Russie la remettent au goût du jour !

Bactéries : elles jouent un rôle fondamental dans nos vies et nos maux. Le Pr Luc Montagnier a déjà posé l’hypothèse d’un lien entre bactéries et autisme. C’est maintenant au tour d’une équipe de l’université John Hopkins de proposer la piste bactérienne pour expliquer la survenue de la polyarthrite rhumatoïde [1] ! Là encore, c’est une révolution. Dès lors que les antibiotiques perdent en force et, surtout, que leur prise trop régulière risque de créer des dégâts considérables à d’autres bactéries de notre corps (dont nous avons besoin), il faudra développer des stratégies thérapeutiques plus fines : renforcer le terrain, prendre des antibactériens naturels moins corrosifs (huiles essentielles, notamment), voire retourner aux traitements oubliés comme les phages !

Nanoparticules : c’est le sujet d’aujourd’hui. Elles sont partout, même dans les vaccins ! Le Pr Montanari [2], chercheur italien, et son équipe ont analysé des lots de vaccins (DTP, Gardasil, Prévenar, etc.).

Dans ces vaccins, ils ont retrouvé des nanoparticules d’aluminium, de tungstène, de fer, de chrome, de titane et de manganèse.

Cela veut dire qu’il est probable que la plupart des vaccins injectés contiennent ces nanoparticules.

L’une des explications possibles à cette découverte est que les aiguilles sont aiguisées avant usage par des machines constituées notamment de tungstène dont les particules de métal passeraient, à ce moment-là, dans les doses de vaccin.

Un seul vaccin « propre » a été identifié dans l’étude. Il était à destination de la médecine vétérinaire.

Plus généralement, la question des nanoparticules devrait revenir régulièrement sur le devant de la scène tant les enjeux de santé liés à ces micro-morceaux de matière non assimilables et non biodisponibles sont cruciaux pour la santé.

Les médecines non conventionnelles reconnues dans différents pays…

La Suisse : voilà presque 10 ans que la Suisse a reconnu constitutionnellement le droit d’avoir recours aux médecines non conventionnelles. Comment cela est-il arrivé ? Il y a eu une votation. Les citoyens ont voté pour. Leur volonté est respectée. Le bilan de cette opération est positif. Une nouvelle votation sur le sujet rencontrerait un succès encore plus massif.

Le Canada : depuis 2004, une législation sur les produits naturels a permis l’essor d’un secteur associé. Résultat : il est possible d’y être herboriste et de nombreux produits naturels sont officiellement vendus et conseillés par des professionnels compétents. Cela fait presque 15 ans que l’expérience dure et toute la population semble y trouver son compte. De quoi inspirer les pays Européens ?

Allemagne : de nombreuses pratiques alternatives y sont reconnues et remboursées par les organismes d’assurance privés. Ainsi, la phytothérapie, le jeûne [3], la chiropraxie sont présents dans les hôpitaux et acceptés par les médecins. Les patients les plébiscitent massivement. Par ailleurs, il existe depuis longtemps un statut pour les naturopathes, celui de « heilpratiker » dont le travail s’inscrit dans la longue lignée des hygiénistes qui travaillent avant tout sur le terrain des malades.

Evolution des hôpitaux et universités

Un peu partout – même en France ! – les hôpitaux s’adaptent. De plus en plus, ils intègrent différentes médecines alternatives et complémentaires que l’on considérait, il y a encore quelques années, comme totalement déviantes.

Hypnose à l’hôpital de Saint Denis (93), jeûne à l’hôpital Avicennes (93), acupuncture à Charleville Mézières ou la Pitié Salpêtrière, nutrition à Clermont-Ferrand ou La Timone à Marseille, etc.

Ce sont souvent des entrées discrètes parfois sujettes à débat entre les services et les médecins, mais indubitablement la santé naturelle gagne du terrain à l’hôpital. Tant mieux pour les patients, tant mieux pour les médecins. En médecine, le plus important reste de donner au patient le meilleur soin possible.

Les universités suivent le même mouvement. Ici et là sont créés des DU de phytothérapie, de nutrition et d’acupuncture.

Ces évolutions sont positives et nous pouvons légitimement nous en réjouir. Il est bon aussi de savoir regarder ce qui, dans notre société, peut être source de joie ou de sérénité.

Malheureusement, les blocages persistent dans bien des domaines et nous rappellent que, si certaines évolutions ont eu lieu, c’est d’abord et avant tout parce que des personnes se sont courageusement battues sur le terrain pour aller chercher ces gains.