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04/10/2015

Le jardin de Nemo...

 

 Porté par la Société italienne Ocean Reef Group, un italien, Sergio Gamberini, passionné de plongée sous marine, a crée un potager sous marin en Ligurie, à Noli exactement, grâce à trois cloches fixées à environ 8 mètres de profondeur. Ce projet original, baptisé Nemo' s garden, qui a mis 4 ans pour être réellement concrétisé, est détaillé sur le site internet www.nemogarden.com ainsi que sur le site www.buzzecolo.com . 

Ce potager produit aujourd'hui toutes sortes de légumes, de fruits et de plantes aromatiques (fraises, basilic, ail, laitues, haricots...) pratiquement sans intervention humaine. Ces cloches en effet laissent passer la lumière et elles sont remplies d'air. Celui-ci est renouvelé grâce à la photosynthèse des plantes. Cela forme une «biosphère sous marine». Ces sortes de serres seront peut-être un jour une alternative à l'agriculture traditionnelle, pense Mr Gamberini.

 

On peut en effet imaginer que, dans des zones côtières arides ou submergées par la mer du fait de la fonte des glaces polaires, des populations pourraient un jour se nourrir ainsi à moindre coût, car ce système semble peu onéreux. Ce projet a été soutenu jusqu'ici par une plateforme de groundfunding c'est à dire par un financement participatif.

Les fruits et légumes récoltés seront alors réputés de première fraîcheur, vu leur immersion sous marine dans des sortes de mini serres lumineuses et à forte humidité les préservant de la pollution et des intempéries! C'est quoi qu'il en soit une idée révolutionnaire pour l'agriculture de demain...

 

Créateurs en recherche d'innovation, avez vous mieux dans vos cartons  pour répondre éventuellement au manque de terres exploitables?

Lyliane

07/08/2015

Innover grâce à l'imitation de la photosynthèse...

 Selon ce que nous en avons appris en classe, la photosynthèse permet aux plantes de produire de la matière organique à partir du soleil et du CO2 de l'air, processus qui a mis des milliards d'années à se réaliser.

Des chercheurs de l'Université américaine de Harvard, nous apprennent le Journal Terraeco et la biochimiste Pamela Silver, s'en sont inspirés pour récolter l'énergie du soleil et la stocker sous forme de combustible liquide.

 Cela signifie concrètement que des scientifiques sont arrivés à concevoir une feuille artificielle «bionique», qui à l'aide d'un catalyseur métallique décompose l'eau en oxygène et hydrogène. Grâce à ce dernier et à du dioxyde de carbone, une bactérie nommée Ralstonia eutropha produit de l'isopropanol, un combustible pouvant être ajouté à l'essence.

Une expérimentation menée depuis 2014 donne actuellement 1% d'efficacité à ce processus. L'objectif visé est de produire facilement et localement de l'énergie. C'est en cours. Comme quoi, en observant la nature, l'homme peut encore innover dans le domaine des énergies propres!

Pour en savoir plus, consulter: www.liencs.fr/i1Z

Lyliane