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13/11/2015

Enfance en danger...

Selon l'organisation Amnesty International - www.amnesty.fr - des enfants, des jeunes de moins de 18 ans, sont enrôlés de force dans des guerres, emprisonnés, torturés, exploités, violés, et odieusement privés de leur jeunesse, de leurs rêves et de leurs droits. Des milliers de jeunes enfants en effet, garçons et filles, sont enrôlés au sein de groupes armés. On les nomme «enfants soldats».

 

Des adultes osent tirer profit de leur vulnérabilité, de leur jeunesse et de leur innocence en ne respectant aucun de leurs droits, contenus pourtant dans la Déclaration des Droits de l'Enfant. Ces traitements arbitraires laissent des séquelles morales et physiques et ils engendrent des traumatismes profonds qui les accompagneront toute leur vie.

 

Par exemple, au Cameroun, des enfants de moins 5 ans sont détenus depuis des mois sans aucune raison valable. Au Congo, des enfants-soldats de 10 ans se voient privés de leur enfance et risquent leur vie dans les combats. En République Tchèque, des élèves roms sont victimes de discriminations et de brimades. Parfois on les traite comme des handicapés mentaux. Au Paraguay, une fillette de 10 ans, violée par son beau-père, n'est pas autorisée à avorter...

 

Que pourrions nous faire face à de telles allégations? Il conviendrait tout d'abord que nous nous mobilisions pour que ces enfants, particulièrement exposés, ne soient plus frappés, exploités, torturés, violés ou enrôlés de force! Les responsables de ces exactions devraient être punis sévèrement et toute personne portant atteinte aux droits des enfants devrait être mise au ban de la société.

L'arsenal juridique des Etats en outre devrait pouvoir mettre fin au recrutement de ces enfants-soldats, au travail de ces jeunes, à leur exploitation sous quelque forme que ce soit. C'est une question de justice autant que de solidarité humaine. N'hésitons pas à écrire aux Chefs d'Etats concernés pour dénoncer les violations commises, car la plupart n'apprécient pas que les médias montrent au grand jour leurs turpitudes. Amnesty International en a fait une force.

Lyliane