Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

04/12/2019

Le blablacar de la pêche...

Dans le journal Nous, Mme Amandine Roussel nous fait connaître l'initiative de Mr Gilles Fonseca, basé près de Fréjus-Saint-Raphaël, dont le principal loisir est d'aller à la pêche. L'idée lui est venue de lancer une application il y a quelques mois, qu'il a nommée Captain Fisher, afin de mettre en relation des pêcheurs et des amateurs de pêche pour qu'ils puissent partager un bateau. Ce click and boat ou blablacar de la pêche permet l'inscription des deux parties  pour une sortie d'un jour ou la location de son bateau seul, équipé ou non. L'amateur quel que soit son niveau peut ainsi renseigner ses goûts (à la traîne ou à la palangrotte...) pour son choix du jour.

Depuis le mois de septembre 2019, donc, Captain Fisher est disponible en téléchargement gratuit sur Apple ou Android sur toute la France et elle couvre notamment la Bretagne et la côte méditerranéenne. il y a même des possibilités à la Réunion, à Mayotte  et à l'île Maurice. Pour le moment, dit Mr Fonseca, "il y a près de 100 bateaux inscrits et plus de 500 téléchargements". Aujourd'hui, l'application est traduite automatiquement en anglais et un projet existe pour la développer en italien et en espagnol. A noter que l'application s'adresse également aux propriétaires et utilisateurs de kayak ainsi qu'aux amateurs de pêche sous-marine.

Le principe est relativement simple: le propriétaire du bateau définit le montant de la sortie (frais d'essence). Mr Fonseca ponctionne entre 14 et 19% de la somme (selon location ou partage). Mais pour les professionnels du nautisme le pourcentage est abaissé à 10%. Enfin, Mr Fonseca reverse 1 euro par sortie à la SNSM de chaque région. Voila une initiative peu banale privilégiant l'échange, le partage d'expérience et permettant de démocratiser la location de bateau et la pêche en mer. Pour en savoir davantage, se renseigner sur le site: www.captain-fisher.fr.

Lyliane

03/12/2019

Un crédit d'impôt pour acheter d'occasion?

Les patrons de la Camif et LeBonCoin ont peut-être trouvé la solution pour doper le pouvoir d'achat et préserver l'environnement... Dans les colonnes du 'Parisien', Emery Jacquillat et Antoine Jouteau ont en effet suggéré de mettre en place un crédit d'impôt de 15% afin d'inciter les consommateurs à préférer les produits de seconde main au neuf. Ils proposent d'inscrire cet avantage fiscal dans le projet de loi Economie circulaire, qui est actuellement discuté au Parlement.
"Ma conviction est qu'il faut encourager les achats responsables, l'occasion ou les produits écoconstruits (fabriqués à partir de produits recyclés, réparable...) parce que nos ressources sont limitées. Face à l'urgence climatique, on n'a simplement pas le choix", a affirmé le directeur du Boncoin au quotidien.
Qu'il s'agisse d'un vêtement ou d'un produit électroménager, tous les biens de consommation seraient concernés, "à l'exception des voitures", précise 'Le Parisien'. Cette démarche est soutenue notamment par Laetitia Vasseur, cofondatrice de l'association Halte à l'obsolescence programmée (HOP).
Un coup de pouce aussi pour les réparateurs
Concrètement, pour les particuliers, il suffira de remplir un formulaire, comme pour un don aux associations. Les deux patrons ont également suggéré que les boutiques physiques pourraient inscrire la mention "déductible des impôts" sur les tickets de caisse.
Emery Jacquillat et Antoine Jouteau ont expliqué aux 'Echos' que cette niche vaudrait aussi pour les réparateurs agréés par les éco-organismes, "sous la même forme de crédit d'impôt de 15% de leurs achats d'objets d'occasion, avant réparation, et dans la limite de 3.000 euros par an".
"La proposition a un triple profit. Elle dope le pouvoir d'achat, préserve l'environnement et crée de l'emploi en France en aidant les réparateurs", a affirmé le patron de la Camif au quotidien.
Le marché de la seconde main en hausse
Il faut par ailleurs souligner que le marché de la seconde main n'a cessé d'augmenter depuis ces dernières années. En effet, selon les chiffres de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), 802.000 tonnes de biens ont été vendus au titre du réemploi et de la réutilisation en 2017, soit une hausse de 38% par rapport à 2014.
Mais selon Flore Berlingen de l'association Zero Waste France, interrogée par 'Le Parisien', un frein "culturel" à acheter d'occasion persiste chez certains consommateurs. "C'est un pari particulièrement difficile pour les cadeaux d'anniversaire", a-t-elle précisé.

Selon Boursier.com - Boursier - mardi 12 novembre 2019

Une maison bioclimatique en bois...

Mme Gaëlle Belda dans le journal Nous présente aux lecteurs le projet d'une flamande, Mme Diane Van den Berge, concernant une bergerie entourée d'arbres et d'un bassin naturel située à St Paul de Vence. Comme Mme Van den Berge avait une conscience écologique, elle avait tout d'abord fait construire de petites cabanes dans les arbres. Lorsqu'elle a réalisé que le terrain était constructible, elle a cherché à faire transformer la bergerie en maison d'architecte. Elle a tout d'abord réuni une petite équipe avec bureau d'étude, architecte et constructeur de la région. Dès 2016 le gros oeuvre démarrait.

Ses constructeurs ont été d'accord pour construire une maison bioclimatique de 120 m2 ayant vue sur le village en utilisant des matériaux biosourcés. Les grands chênes ont été conservés pour faire de l'ombre sur la maison orientée à l'ouest. La bâtisse est toute en bois (dalle comprise), car ce matériau est un puits à carbone. En effet, elle le stocke, mais ne le rejette pas dans l'air. La façade est en liège laissé apparent et le toit est végétalisé. La propriétaire s'est occupée de la décoration intérieure. Dans sa maison, Mme Van den Berge travaille comme consultante en gestion du changement pour de grandes entreprises européennes et loue parfois ses cabanes perchées

La propriétaire et ses filles se plaisent beaucoup dans leur maison. Le bassin naturel est filtré par minéraux et plantes. La construction baptisée Orion a été récompensée par le prix du jury "Chantier  de moins de 150 m2", lors des Trophées de la construction 2019. Les architectes du bureau d'étude Trihab en sont très fiers. Mr Pierre Macario notamment de la Société Bateko de Contes (06) se bat pour promouvoir des solutions à faible impact environnemental. Pour en savoir davantage, joindre: www.trihab.com, batekoconstruction.com ou orionbb.com.

Lyliane

02/12/2019

Des placards à disposition dans la rue...

En collaboration avec la mairie de Figanières (06), écrit Mme Amandine Roussel dans le journal Nous, Mme Judith Tasset a eu l'idée en 2017 d'installer des armoires en bord de route pour y déposer livres, vêtements, bols, jeux de société...dont elle ne voulait plus. Le succès a été très vite au RV! Depuis, les gens viennent voir les nouveautés ou font comme elle en se débarassant d'objets jugés inutiles.

En juillet 2019, deux autres points de dépose dans des "armoires à dons" ont été ajoutés sur le territoire de la commune. Mme Tasset passe régulièrement voir si les armoires débordent ou pas. C'est l'occasion d'échanger avec d'autres personnes. Elle cherche actuellement des bénévoles pour l'aider à gérer ses armoires. Dans le département d'autres initiatives similaires avaient déja vu le jour comme au Rouret dès 2016 avec des "give box" à l'initiative de l'association Happy.

Pour en savoir davantage, consulter par exemple le site: www.happyrouret.com.

Lyliane

Etes -vous prêts pour le "Giving Tuesday"?

Giving Tuesday
Après Black Friday et Cyber Monday arrive maintenant en Europe aussi Giving Tuesday. Le jour par excellence pour faire un don à une bonne cause. Par exemple au Repair Café International. Saviez-vous qu’avec un don de seulement 5 euros nous pouvons éviter 10 kilos de déchet ? Êtes-vous prêt pour le Giving Tuesday 2019, le mardi 3 décembre ?

Rejoindre le réseau Repair Café
Aimeriez-vous joindre le réseau mondial du Repair Café? Venez alors réparer vos objets au Repair Café, créez un Repair Café ou devenez bénévole!

Pour rester au courant, suivez-nous sur notre page Facebook françaisesuisse ou wallonne et sur notre site web et Instagram.

Sincèrement,
L’équipe de Repair Café International

01/12/2019

l'UFC Que Choisir contre l'obsolescence programmée...

A la veille du Black Friday, UFC-Que choisir lance un Observatoire des pannes pour lutter contre l’obsolescence programmée. Une plateforme gratuite, accessible à tous les consommateurs, qui permet de signaler des produits ou appareils électroniques défectueux, voire trop vite usés, sur le site internet de l’UFC-Que Choisir. "C’est une sorte de questionnaire en ligne de quelques minutes à remplir, explique Eric Boneff sur Europe 1, directeur des tests comparatifs. "Derrière, on peut, suivant les cas, vous apporter une aide gratuite, pour vous expliquer que faire, quels sont les droits des consommateurs ?"
>> LIRE AUSSI - "Longtime" : le label qui lutte contre l’obsolescence programmée
Les produits peuvent être signalés par catégorie, marque ou type de panne. "On fait des tests et si on observe des répétitions de panne, on s’interroge sur ce produit, sur la défense des consommateurs. Et on peut porter l’affaire de manière plus marquée", précise Eric Boneff. 
Nintendo mise en demeure
L'UFC-Que choisir a par exemple mis en demeure la société Nintendo à la suite d'un signalement répété sur les consoles Switch. "Nous avons eu des remontées d'informations de nos consommateurs. Un problème de déplacement fantôme du joystick, qui fait que le pointeur se déplace même si le joystick est à l'arrêt." Nintendo refusant de faire bénéficier les plaignants de la garantie de conformité légale des deux ans, l'association a porté l'affaire plus haut. 
Cette plateforme est donc un moyen de lutter contre l'obsolescence programmée. Néanmoins, elle reste difficile à prouver selon Eric Boneff qui constate cependant "des produits dont la durée de vie posent question, des problèmes de disponibilité de pièces détachées, de coûts de réparation". "Nous essayons de faire évoluer ces points-là. Cet outil est un outil de recensement et d'action collective pour aider les consommateurs." 
Des marques plus fiables que d'autres
Pour se prémunir des défaillances, miser sur les marques n'est pas toujours la solution. "La longévité d'un produit dépend de beaucoup de chose", précise le directeur. "Nous faisons des tests d'endurance, des enquêtes de fiabilité. Certaines marques sont plus fiables que d'autres." 
Face à l'hyper-consommation, UFC-Que choisir propose une alternative. "Nous voulons souligner que nous sommes promoteurs d'une consommation plus responsable, plus durable."

Selon Mme Mathilde Durand - Europe 1 - jeudi 28 novembre 2019

La maison en paille: une réponse pertinente dans la lutte contre le réchauffement climatique...

Dans la revue Biocontact du mois de novembre 2019 consacré à l'écohabitat, un article de Mme Fabienne Pasquier, responsable de communication au CNCP-Feuillette (Centre national de la construction en paille) fait le point sur ce matériau, utilisé depuis des millénaires et qui apporte aujourd'hui des avantages certains dans la construction. Tout d'abord, c'est un matériau biosourcé, dont l'impact sur l'environnement est très faible durant l'ensemble de son cycle de vie, comme en témoigne sa fiche de déclaration environnementale et sanitaire (FDES). Ce matériau accessible à tous, disponible en abondance, écrit  Mme Pasquier, valorise l'agriculture sans concurrencer les usages alimentaires des terres et il permet le développement de circuits courts.

C'est l'ingénieur, Mr Emile Feuillette  qui réalisa en 1920 la maison qui porte son nom à Montargis (Loiret). Cette bâtisse bientôt centenaire montre que la paille est un matériau durable, car elle est toujours aussi performante, alors qu'elle fut construite en ossature bois et isolation en paille. Le CNPF s'en est porté acquéreur en 2013. Depuis, les architectes sont nombreux en France, au Canada et aux Etats-Unis à utiliser la paille pour l'isolation des édifices publics: écoles, gymnases, magasins et logements sociaux. C'est en effet un matériau sain et dont la résistance thermique est supérieure à 7m2 Kelvin par Watt pour une épaisseur de 37 cm.

La construction en paille est actuellement en plein essor, notamment grâce aux systèmes de construction de type préfabriqus et à la règlementation thermique 2020. On estime à 5 000 le nombre de bâtiments en paille dans le réseau français. Pour aller plus loin, on peut consulter les sites: www.constructionpaille.fr ou www.cncp-feuillette.fr. La lecture de l'ouvrage de Mr Luc Floissac aux éditions Terre Vivante "La construction en paille" est également recommandée.

Lyliane

Un kit qui tient la route...

Dans le journal Télérama, Mme Sophie Berthier nous présente sous ce titre humoristique une innovation nommée EBike Lite et mise au point par une start-up grenobloise. Le kit électrique présente comme particularité de s'adapter à tous les types de vélo (vintage, standard, hollandais, VTT...). Il se compose de trois modules (batterie, moteur et afficheur) et pour faire cesser le processus ou l'enclencher, il suffit en effet d'écarter le moteur du pneu sans outils spéciaux.

Le bloc moteur étanche pèse 950 grammes et il se fixe avec une seule vis. Il existe 3 kits différents d'assistance électrique. On peut tabler sur une autonomie de 50 à 75 kilomètres pour une vitesse maximale de 25 à32 km/h. Le moteur embrayé par ailleurs, permet de recharger la batterie en descente et d'économiser les freins. Le prix est toutefois un peu élevé: de 899 à 1299 euros. L'avantage est que ce système est transportable sur une autre bicyclette.

Pour en savoir davantage, consulter le site: https://gboost.bike/fr/

Lyliane

30/11/2019

Une colocation ou des maisons partagées pour surmonter ses fragilités...

Dans le Journal La Croix du 3/6/2019, un article de leur correspondante régionale sur Strasbourg évoque la possibilité pour des personnes fragilisées par la maladie de fréquenter un groupe d'entraide mutuelle. Le propriétaire des locaux est Familles Solidaires, une société foncière basée en Alsace et qui collecte de l'épargne solidaire depuis plusieurs années. En effet, des citoyens peuvent investir dans des projets d'habitat partagé et accompagné, afin que des personnes ayant des séquelles d'AVC ou de traumatismes crâniens par exemple puissent être locataires ou bénéficier d'un accueil de jour. Ainsi, sans vivre en institution, ces personnes se retrouvent en colocation et restent accompagnées médicalement.

Il faut savoir que les salariés ont la possibilité d'épargner solidaire via leur entreprise dans le cadre de leur Plan d'Epargne Entreprise ou Interentreprise (PEE ou PEI) ou même de leur plan d'épargne pour la retraite collectif/interentreprises (Perco ou Percoi) en plaçant tout ou partie de leur épargne salariale (intéressement, abondement, participation...) sur un fonds commun de placement d'entreprise (FCPE) solidaire. L'épargne salariale bénéficie d'un cadre fiscal avantageux pour les employeurs et les salariés. Pour ces derniers, en effet, les sommes investies et les intérêts générés sont exonérés d'impôt sur le revenu. Pour en savoir plus à ce sujet, consulter www.finansol.org ou adressez vous à votre entreprise.

Par ailleurs, j'ai  découvert que l'association Simon de Cyrène a mis en place des maisons partagées pour des personnes dépendantes dans notre société. C'est ainsi que des groupes de personnes handicapées par l'âge ou des accidents de la vie,  aidées par leurs familles, leurs amis et avec le soutien de professionnels engagés vivent en habitat participatif (studios le plus souvent et salles communes à partager) dans plusieurs villes françaises. Certaines fonctionnent déja (Rungis, Angers, Nantes, Dijon ) et d'autres sont en construction comme à Lille, Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux... Pour aider cette association, qui oeuvre pour combattre l'isolement et partager joies et peines du quotidien dans un esprit fraternel, contacter le site www.simondecyrene.org.

Lyliane

Interdiction du glyphosate et de deux autres pesticides en Thaïlande...

La Thaïlande, écrit un journaliste dans le journal gratuit Ecolomag, est un des plus gros exportateurs mondiaux de riz et de sucre, mais aussi un des plus gros consommateurs de pesticides, de plus en plus souvent interdits à travers le monde à cause de leur toxicité. Malgré les protestations des agriculteurs locaux, la Commission thaïlandaise a voté à compter du 1er décembre 2019, l'interdiction du glyphosate, du chlorpyrifos-éthyl et surtout du paraquat, un herbicide jugé toxique par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies.

Rappelons que le glyphosate, vendu sous le nom de Roundup par Monsanto, filiale de Bayer, est accusé d'être à l'origine de cancers. Plus de 13 000 procès sont en cours aux Etats-Unis et le groupe Bayer en a déjà perdu plusieurs. Le Vietnam avait interdit tous les herbicides contenant du glyphosate peu après les procès américains. Pour aider les agriculteurs thaïlandais à apprendre d'autres méthodes de culture, le Réseau national contre les pesticides de Thaïlande s'est mobilisé. En Europe, c'est l'Autriche qui avait été le premier membre de l'UE à interdire toute utilisation du glyphosate dès le mois de juillet 2019. Des restrictions ont été décidées en République Tchèque, en Italie, aux Pays-Bas et en France. A suivre pour voir l'évolution des esprits et la mise en place du principe de précaution...

Lyliane

 

 

Le Télésommet Santé et Conscience sur le web du 1 au 10/12/2019...

 

Le Télésommet Santé & Conscience c’est d’abord 11 magnifiques films du réalisateur Jean-Yves Bilien, qui accompagneront chaque nouvelle journée de l’événement. Des films destinés à nourrir nos coeurs et nos consciences, pour notre bien-être physique, psychologique, émotionnel et spirituel !

Voici les 11 films qui seront présentés cette année:

1. Les chemins de la guérison. La force de l’auto-guérison Avec la participation de : Willy Barral, Dr Janine Fontaine, Pr Bernard Grad, Dr Thilo Hinterberger, Dr Thierry Janssen, Dr Leonard Laskow, Dr Guy Londechamp, Dr Yves Réquéna, Dr Rupert Sheldrake, Dr Stéphan Schmidt, Anne Ancelin Schützenberger, Marc Vella et le Pr Harald Walach

2. Médecine du Sens avec le Dr Olivier Soulier

3. Fréquence électromagnétique de l’ADN Vers une révolution de la médecine avec le Professeur Luc Montagnier

4. Cancer Business Mortel. Liberté de soigner et libre choix thérapeutique avec la docteure Nicole Delépine

5. Phénomènes de Psychogénèse, L’homme qui agit sur la matière avec Jean-Pierre Girard

6. De la psychologie à la spiritualité, Le Chemin du retour à l’essentiel avec le Dr Thierry Janssen

7. Les guérisseurs, la foi la science Les guérisseurs d’hier seront-ils les médecins de demain ? Avec la participation de : Docteur Martine Gardénal, Docteur Bernard Grad, Docteur Alain Perreve-Genet, Docteur Danielle Tavernier, Jean-luc Bartoli, Pierre Bévelot, René Blanc, Jean-Jacques Boucharlat, Emmanuel Marcos, Dr Thierry Janssen.

8. Les guérisseurs de l’impossible Avec la participation de Zahia et Nelson Teixeira da Cunha, Divaldo Pereira Franco, Teresa Ramarajara, Alex Orbito, George et Michael Chapman et William Nonog.

9. Guérison extraordinaire, Guérir d’une maladie incurable avec Willy Barral

10. La route de la conscience. Un voyage passionnant dans les rouages du temps avec Philippe Guillemant

11. La guérison par l’amour avec le Dr Leonard Laskow

Réservez votre place gratuite

Le Télésommet Santé & Conscience c’est aussi…

• 11 grandes entrevues présentées jours après jour (dont le Dr Thierry Janssen, Philippe Guillemant, Jeanne Ayache, Marc-André Sellosse, Rollin McCraty, Amit Goswami et plusieurs autres!)

• 11 conférences et ateliers en direct ou préenregistrés qui ouvriront la voie à l’expérimentation et qui permettront d’apporter des solutions pratiques et de poser des actions concrètes.

Le Télésommet Santé & Conscience, c’est un moment de rencontres et d’activités exceptionnelles qui constitueront au final une magnifique boîte à outils remplie de précieux repères et d’enseignements nouveaux !

Réservez votre place gratuite

29/11/2019

Du nouveau dans le transport aérien...

C’est une première mondiale dans la transport aérien. Sur l’un de ses vols, la compagnie Air France vient de tester une nouvelle technologie de transmission de données par la lumière, le Li-Fi. Le 30 octobre, le vol AF6114 reliant Paris-Orly à Toulouse-Blagnac a en effet vu embarquer à son bord douze sièges équipés de la nouveauté, développée par l’équipementier aéronautique Latécoère. 

Un système révolutionnaire, testé par des gamers
Le Li-Fi (Light-Fidelity) est un système de communication qui utilise la lumière pour transmettre sans fil. Surnommé “Internet de la lumière”, il serait 100 fois plus rapide, consommerait dix fois moins d’énergie et offrirait davantage de sécurité que le Wi-Fi. Il constitue ainsi une piste privilégiée pour une nouvelle norme du réseau sans fil, compatible avec la future 5G. Pour en démontrer tous les avantages, les gamers ont même été accueillis à bord. Finalistes du concours “Air France Trackmania Cup” du développeur Ubisoft, ils se sont affrontés à 12 000 mètres d'altitude sur une version personnalisée du jeu Trackmania² Stadium. Le vainqueur a finalement reçu une sélection de produits Razer, ainsi que deux billets aller/retour Paris-Montréal pour aller visiter les studios Ubisoft.
Gain de vitesse et de poids
Le Li-Fi permet donc “un échange de données multimédias parfaitement stable à très haut débit et très faible latence”, notent Air France et Latécoère dans un communiqué commun. Plus généralement, cette expérience était l’occasion d’évaluer la réaction des passagers. Mais pas seulement. L'intégration de la technologique cabine devrait faire évoluer la façon dont est conçu un avion. Aujourd’hui, des boîtiers d’un kilo se trouvent sous les sièges pour la communication des données. La fibre optique étant mille fois plus légère que les câbles de cuivre, le Li-Fi permettrait de supprimer ces boîtiers, réduisant le poids de l’avion. Et dans le même temps, sa consommation de carburant.
“Je suis convaincu que cette expérimentation ouvre la voie à de nouvelles expériences de divertissement à bord pour nos clients, en particulier de gaming”, déclare Antoine Laborde, Responsable Innovation d’Air France. À terme, la compagnie aérienne espère pouvoir installer le Li-Fi à bord de tous ses vols commerciaux. “[Il] est appelé à révolutionner la connectivité en vol à l’horizon 5 ans”, ajoute Yannick Assouad, Directeur Général de Latécoère.

Selon redaction - Gentside - vendredi 8 novembre 2019

L'énergie nucléaire en questionnement au plus haut niveau...

L'énergie nucléaire "n'émet pas de gaz à effet de serre, c'est un plus" mais "ça produit des déchets, c'est un moins", a résumé la ministre de la Transition écologique.La ministre de la Transition écologique a appelé dimanche EDF à "réfléchir" à son rôle au cas où un scénario "100% énergies renouvelables" serait retenu à terme pour la fourniture d'énergie en France, aux dépens de nouvelles centrales nucléaires.
LIRE AUSSI >> Le gouvernement envisage la construction de six nouveaux EPR
"L'objectif est de réduire la part du nucléaire à 50% d'ici 2035. Au-delà, on doit avoir tous les scénarios sur la table avec un objectif d'assurer pour tous les Français et les entreprises une électricité abordable", a déclaré Élisabeth Borne dans L'Emission politique de France Inter, France Télévisions et Le Monde.
Dans un document interne révélé samedi par Le Monde, EDF évalue à au moins 7,5 milliards d'euros le coût unitaire d'éventuels nouveaux EPR, soit plus du double du prix initial du réacteur nucléaire de troisième génération de Flamanville qui a accumulé les déboires et dont la facture actuelle atteint 12,4 milliards.
"Tous les éléments sur la table pour mi-2021"
En octobre, le PDG d'EDF, Jean-Bernard Lévy, avait déclaré à ce même quotidien qu'"il est clair que la France se prépare à construire de nouvelles centrales nucléaires".
Dimanche, Élisabeth Borne a estimé que "c'est très bien" que Jean-Bernard Lévy "ait son point de vue, que je ne partage pas. Il se trouve que la politique énergétique, c'est plutôt le gouvernement et en particulier la ministre en charge de l'Énergie que je suis qui doit la définir".
LIRE AUSSI >> Mode d'emploi pour atteindre 100% d'énergies renouvelables en 2050
"Je l'invite à intégrer ce scénario sur lequel travaille le gouvernement, 100% renouvelables. Il est indispensable qu'EDF réfléchisse aussi à la façon dont il peut être un grand acteur dans un tel scénario", a ajouté la ministre. "Je vous confirme qu'on étudie à la fois un scénario dans lequel on continue à faire de nouvelles centrales nucléaires, et aussi un scénario 100% renouvelables", a indiqué Élisabeth Borne.
Un scénario "pas suffisamment étudié"
"On doit avoir tous les éléments sur la table pour mi-2021" et "on a dit qu'on ne prendrait pas de décision sur de nouvelles centrales nucléaires avant la mise en service de Flamanville", a-t-elle rappelé.
Élisabeth Borne a admis que "ce qui n'a pas été suffisamment étudié, c'est des scénarios 100% renouvelables. On n'est pas les seuls (pays) à étudier ce genre de scénario. C'est un scénario que nous étudions avec l'Agence internationale de l'énergie, et on souhaite avoir les éléments mi-2021 car ce n'est pas des sujets totalement triviaux".
L'énergie nucléaire "n'émet pas de gaz à effet de serre, c'est un plus" mais "ça produit des déchets, on en a pour des centaines de milliers d'années, c'est un moins", a-t-elle résumé.

Selon l'express

28/11/2019

"Merci pour l'invit" pour héberger des femmes SDF...

Deux semaines, trois mois, un an... La durée du séjour varie, mais pas la stratégie. Depuis quelques mois, la plateforme Merci pour l'invit' met en relation des femmes sans-abri avec des particuliers, qui proposent de les héberger le temps qu'elles remettent le pied à l'étrier. 
"Quand on est sans-abri, on est dans une stratégie de survie. On pense à trouver un lit où dormir et un endroit pour manger. C'est impossible de faire des projets d'avenir", souligne Kerill Theurillat, responsable du projet, invité de Raphaëlle Duchemin dans La France bouge sur Europe 1. 
Une femme sans-abri agressée toutes les 8 heures
Dans la rue, les femmes sont particulièrement vulnérables. En France, une femme sans-abri est agressée toutes les huit heures, estime l'association l’Entourage. "Elles sont exposées à des violences quotidiennes, sexuelles, physiques, et les cas de harcèlement sont très fréquents", pointe Kerill Theurillat.
Merci pour l'invit' propose d'abriter ces femmes en difficulté. D'un côté, les particuliers peuvent s'inscrire, via un formulaire, afin de proposer une chambre. De l'autre, des travailleurs sociaux orientent les femmes sans-abri vers ces logements, et s'engagent à assurer un suivi pendant toute la durée de l’hébergement. Pour l’instant, la plateforme est active en Île-de-France et en Gironde. Kerill Theurillat ne compte pas s'arrêter là : "Nous voulons nous étendre à d'autres département dès que possible, dès que nous en aurons les capacités". 

Selon Laetitia Drevet - Europe 1 - lundi 11 novembre 2019

Relance de l'initiative: Accroche ton vêtement!

Alors que le froid commence à s’installer en France, l’association Force Comm’Une a décidé d’organiser une troisième édition d’"Accroche ton vêtement". Une initiative qui incite les citoyen.ne.s à mettre des vêtements chauds à disposition des plus démuni.e.s.

En 2018, la deuxième édition d’Accroche ton vêtement avait fait grand bruit. L’initiative citoyenne, qui consiste à déposer des vêtements chauds sur le mobilier urbain afin que les personnes dans le besoin puissent se servir librement, avait été très suivie. Samois, La Rochelle, Limoges… Plusieurs villes avaient alors rejoint ce mouvement de solidarité.

— Force Comm'Une (@Force_CommUNE) 12 mars 2019

Forte de cet engouement, l’association Force Comm’Une, aux manettes de ce projet, a décidé de renouveler l’expérience pour la troisième fois. Cette année encore, les Français.es sont appelé.e.s à accrocher doudounes, manteaux, gants et écharpes sur les bancs, les lampadaires et les arbres de leurs villes pour venir en aide aux plus démuni.e.s. Une démarche solidaire qui se déroule sur toute la période hivernale et qui entend aussi faire entrer de l’humanité dans les quotidiens.

Une opération de lancement organisée par Force Comm’Une aura lieu le 24 novembre 2019. Rendez-vous est donné sur la place de Cergy à 16h30. Les bénévoles se tiennent également à disposition de celles et ceux qui voudraient faire vivre le projet ailleurs en France. Espérons que l’engouement soit à nouveau au rendez-vous. 

Selon Tess Annest - Glamour - dimanche 10 novembre 2019

 

27/11/2019

Campagne d'hiver des Restos du coeur...

Ce mardi 26/11/2019 s'ouvre la nouvelle campagne d'hiver des Restos du coeur pour venir en aide aux plus démunis. La moitié de ses bénéficiaires ont moins de 26 ans et 39% sont mineurs. Les Restos du coeur lancent en effet ce mardi leur campagne d'hiver de distribution de repas dont bénéficient un nombre croissant d'étudiants, récemment mobilisés dans les universités contre la précarité. Nés d'une "petite idée" de Coluche il y a près de 35 ans, les Restos ont accueilli 30.000 étudiants en 2018. Au total, 51% des bénéficiaires ont moins de 26 ans et 39% sont mineurs.

"Parents en manque de moyens, ruptures familiales, bourses insuffisantes, on accueille de plus de plus de jeunes et parmi eux, de plus en plus d'étudiants", s'inquiète le président de l'association, Patrice Blanc. "La moitié des jeunes que nous recevons ont des problèmes de logement précaire, notamment car les bourses ne permettent pas de faire face", souligne-t-il. 
20% des jeunes sous le seuil de pauvreté
Ces difficultés ont été récemment mises en lumière par la tentative d'immolation par le feu, le 8 novembre à Lyon, d'un étudiant de 22 ans qui avait perdu sa bourse et voulait dénoncer ses conditions de vie. Ce drame, qui a agi comme un révélateur de la précarité étudiante, a provoqué des mobilisations parfois ponctuées d'incidents sur des campus à Paris, Lyon, Lille et Toulouse. Une nouvelle journée d'action est prévue mardi avec pour principale revendication une "réévaluation urgente" des bourses. Selon l'Observatoire national de la vie étudiante (OVE), 20% des jeunes de 18 à 24 ans vivent sous le seuil de pauvreté.
Les étudiants viennent donc de plus en plus grossir les rangs des quelque 900.000 bénéficiaires des Restos du coeur -dont 30.000 bébés- pour qui fin de mois rime souvent avec "fin du monde": selon l'association, 80% vivent avec moins de 513 euros par mois, soit la moitié du montant du seuil de pauvreté. Et 20% sont sans ressources. "Derrière ces chiffres, ce sont des femmes, des enfants, des familles qui vivent dans des situations de précarité inacceptables", dénonce l'association. 

"Baisse drastique" 
En fonction de leurs ressources, les bénéficiaires des Restos du coeur se voient attribuer des points, qui leur donnent droit à des denrées distribuées sous forme de paniers repas. Fruits, légumes, desserts, les précaires peuvent se rendre dans des centres de distribution une ou deux fois par semaine. En 2018, plus de 130 millions de repas ont été ainsi distribués. Un repas sur quatre est financé par l'aide alimentaire européenne, "aujourd'hui fortement menacée", alerte l'association. 

De 2014 à 2020, le budget global du Fonds européen d'aide aux plus démunis (FEAD) pour la France était de 587 millions, soit un tiers de l'aide alimentaire française. Mais cette aide pourrait être drastiquement réduite lors du prochain vote du budget européen en 2020, conduisant à diviser par "deux voire par quatre le nombre de repas qu'on pourrait distribuer", selon les Restos du coeur.
"Ce fonds est le principal outil de lutte contre la pauvreté en Europe", souligne Patrice Blanc. "Et malheureusement, la pauvreté ne diminue pas en France: il y a de plus en plus de personnes sous le seuil de pauvreté et les inégalités augmentent". Quelque 9,3 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en France, selon l'Insee, et près de 5 millions ont recours à l'aide alimentaire.

La moitié des plus de 16 ans qui vont aux Restos du coeur sont à la recherche d'un emploi, 8% ont un emploi, 15% perçoivent une retraite. Une majorité (58%) sont des femmes, avec une surreprésentation des familles monoparentales. 

Selon P.L avec AFP - BFMTV - mardi 26 novembre 2019

Création du Réseau national des Budgets participatifs ...

Les maires de Paris, Rennes, Montreuil et Grenoble annoncent la création du Réseau national des budgets participatifs, et entendent l’élargir à tous les territoires qui font de la participation citoyenne un vecteur de transformation.
Tribune. Alors que se tiennent à Paris les quatrièmes Rencontres nationales des budgets participatifs, nous, maires des villes pionnières dans la mise en place de ce dispositif, réaffirmons que le budget participatif est un dispositif essentiel pour donner du pouvoir d’agir aux citoyens.

Le principe ? Mettre entre les mains des habitants une partie des dépenses d’investissement de leur ville. Créés à Porto Alegre (Brésil) en 1989, les budgets participatifs ont pris leur véritable essor en France ces dernières années. Ce sont désormais près de 200 territoires qui donnent aux citoyens la possibilité de déposer des projets, qui sont ensuite instruits par les services de la collectivité, puis soumis au vote des habitants. Territoires ruraux ou urbains, universités, écoles, bailleurs sociaux, etc., l’engouement pour le budget participatif va bien au-delà des premières grandes villes à s’être engagées dans cette dynamique. Il tient à la fois à la flexibilité du budget participatif – qui s’adapte aux spécificités des territoires – et à la capacité qu’ont les territoires à rendre concrète la participation citoyenne. De l’idée à sa réalisation, le processus de décision est complètement modifié.

Nous avons pu voir à travers les diverses démarches menées que la volonté d’engagement et d’action des citoyennes et des citoyens est forte, ainsi que leur capacité à innover. Chaque année, des projets originaux, participatifs et créatifs sont déposés et lauréats. À Paris ont d’ores et déjà été réalisés une centrale solaire sur le toit d’un collège gérée par une coopérative d’habitants, des kits d’hygiène pour les sans-abri mis à disposition de toutes les maraudes ou encore la transformation en promenade végétalisée de l’ancienne voie ferrée, la «petite ceinture». A Rennes, le budget participatif a permis la création de jardins flottants, d’une ferme urbaine ou encore de bibliothèques de rue. A Montreuil, des nouveaux espaces de rencontres et d’activités, des ateliers de bricolage pour les femmes ou des hébergements passerelles participatifs pour les jeunes migrants voient le jour. A Grenoble, ce sont entre autres un lieu d’entraide pour les habitants de la rue, des toitures «cool roof» pour lutter contre les îlots de chaleur en ville et un théâtre en plein air.

Partout en France, alors que l’abstention atteint des records lors des différents scrutins nationaux, la participation au budget participatif ne cesse d’augmenter, signe que les citoyens s’emparent des outils de la démocratie participative et sont prêts à proposer, délibérer, créer et agir pour transformer leur environnement, à condition, bien sûr, que nous leur en donnions les moyens. Nous nous réjouissons que de nombreuses collectivités locales aient décidé de lancer cette dynamique, et soient déterminées à en faire un outil de pédagogie et d’action, indépendamment de nos affiliations partisanes.

Malgré ces résultats probants, les tentatives de remise en cause du budget participatif sont nombreuses, motivées par l’idée que les citoyens ne seraient pas assez experts pour décider des orientations budgétaires de leur ville. Dès lors, la tentation de faire du budget participatif un simple outil de communication n’est guère loin, et avec elle le risque de voir se multiplier des dispositifs peu éthiques. Le budget participatif n’est pas un alibi, et doit respecter des principes essentiels de transparence, d’égalité d’accès et d’inclusion de tous les publics ; il doit donner aux citoyens le pouvoir effectif de proposer et de décider, leur permettant ainsi de retrouver confiance dans l’action publique et dans la démocratie.

Pour promouvoir les valeurs de la démocratie participative, développer et accompagner leur mise en place sur tous les territoires, nous créons aujourd’hui le Réseau national des budgets participatifs, qui rassemble les maires de Paris, Rennes, Montreuil et Grenoble, et entend s’élargir à tous les territoires qui font de la participation citoyenne un vecteur de transformation.

Selon Anne Hidalgo, Éric Piolle, Patrice Bessac, Nathalie Appéré - Liberation - vendredi 8 novembre 2019

26/11/2019

Droits de l'enfant , 30 ans après...

Dans la Lettre de l'association Solidarité Laïque, un dossier fait le bilan sur la Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE), qui avait été adoptée à l'unanimité par les Nations Unies le 20/11/1989 et ratifiée par le France en 1990. La Convention et ses 54 articles ont une vocation universelle: c'est le traité le plus ratifié au monde, à l'exception des Etats-Unis. Des protocoles additionnels ont enrichi cette Convention (traite des enfants, saisine de la justice, conflits armés...)

C'est quoi qu'il en soit le premier traité international reconnaissant l'enfant comme un sujet de droits. Quatre principes défendent l'intérêt supérieur de l'enfant, son droit à la participation, sa non-discrimination, sa survie et son développement. 30 ans ont passé. Des avancées ont en lieu: recul de la mortalité infantile, accès à l'école... Les engagements de cette Convention devraient cependant être davantage promus et défendus. Il faut reconnaître, en effet, que certains enfants voient encore leurs droits bafoués en France comme dans le monde...

L'article insiste également sur le fait que la jeunesse représente la moitié de la population dans les pays en voie de développement. Il est également question de la saisine du Comité des Droits de l'enfant par Melle Greta Thunberg et 15 autres enfants sur "l'inaction climatique" de 5 pays dont la France. La conclusion du dossier me paraît essentielle:" Ne faudrait-il pas écouter et croire en cette jeunesse capable de construire un monde plus inclusif et respectueux des enfants qui seront les adultes de demain?"

Lyliane

N'opposons pas gentils écolos et pollueurs selon Mr Jadot...

A plusieurs reprises cette semaine, Mr Yannick Jadot a insisté sur l'importance de s'allier avec les entreprises. Il refuse d'opposer "gentils écolos et pollueurs". Mr Yannick Jadot a en effet été présent dans les travées du salon du Made in France à Paris. Une journée qui vient en quelque sorte clôturer une semaine "j'aime l'entreprise" pour l'écologiste. Mardi, il participait au Conseil économique, social et environnemental (Cese) à la plénière d'ouverture du rendez-vous "Impact PME" organisé par la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME). "Je leur ai dit que les PME étaient à l'économie ce que l'écologie était à la politique. Tout le monde en parle mais très peu agissent", sourit Yannick Jadot, qui était vendredi à Montpellier aux côtés de Clothilde Ollier, candidate EELV aux municipales de mars.
Crédibilité économique
Là encore, il a été question d'économie. Au cours de la journée, l'eurodéputé écologiste a enchaîné les rencontres avec des entreprises locales, spécialisées notamment dans les énergies renouvelables et l'écoconstruction. "Les entreprises doivent être des alliées de tous les combats que nous menons", explique-t-il, faisant de la "crédibilité économique" du projet écologiste l'une de ses priorités. Et d'ajouter : "Nous devons leur prouver que nous portons des solutions rationnelles, pragmatiques, profondément réalistes et bénéfiques."
"On aura besoin de tous s'y mettre, alors bien sûr qu'on a besoin de l'économie locale", renchérit Clothilde Ollier.
"Il faut sortir de ces caricatures qu'on a pu parfois alimenter"
"Mobiliser la société ne se fera pas sans les entreprises. Il n'y a pas les gentils écolos contre les pollueurs ; les urbains contre les paysans. Il faut sortir de ces caricatures qu'on a pu parfois alimenter", renchérit Yannick Jadot, qui entend bien poursuivre cette séquence dans les prochaines semaines et se dit "assez surpris de l'intérêt de certains patrons envers ce qu'incarnent" les écologistes.
Face à Veolia et Renault
Les petites et moyennes entreprises ne sont pas les seules visées. Selon son entourage, Yannick Jadot a rencontré "3-4 patrons" du CAC 40 "en tête-à-tête ou en petit groupe". Face au PDG de Veolia, Antoine Frérot, et au président du groupe Renault, Jean-Dominique Senard, il prendra également part au débat de clôture du "sommet de l'économie" organisé le 4 décembre par Challenges, dont le sujet cette année est "Réinitialiser le capitalisme".
Selon Anne-Charlotte Dusseaulx - le JDD - samedi 9 novembre 2019

25/11/2019

Et si le père Noël apportait des abeilles?

Dans le journal gratuit Ecolomag, j'ai relevé une idée cadeau originale et durable: offrir une maisonnette  BeeHome. Selon l'article, offrir une BeeHome, c'est offrir l'opportunité de découvrir les abeilles sauvages, des insectes inoffensifs et passionnants. C'est également un cadeau de Noël qui fera du bien à la planète, car ce sont des pollinisatrices de nos arbres et de nos fleurs.

En accueillant une BeeHome, on reçoit, outre des conseils avisés, une population de cocons d'abeilles sauvages pour se lancer à leur découverte. Les maisonnettes peuvent être très simplement installées dans un jardin ou sur un balcon, en ville ou à la campagne. Le prix de ces BeeHome commence à partir de 69 euros. Les maisonnettes peuvent être commandées sur le site: https://beehome.net.

Lyliane

Un bailleur social met en place une "opération Seniors solidaires"...

En Charente-Maritime, l'Office public de l'habitat départemental (OPH), qui gère 4 500 logements sur 83 communes rurales a réussi à stimuler la solidarité entre voisins, écrit Mme Agnès Marroncle dans le Journal La Croix. En effet,Mr Philippe Drujon, directeur d'Habitat 17 raconte comment il a adhéré au mouvement "voisins solidaires" lancé en France par Mr Anastase Périfan, initiateur de la fête des voisins. Localement, dans la région de La Rochelle, il a choisi de cibler une action "Seniors solidaires" dans la mesure où les locataires pour la plupart sont vieillissants.

En réalité, Habitat 17  joue les intermédiaires, grâce à des gardiennes et gardiens formés par le bailleur social, entre des seniors isolés, qui hésitent à ouvrir leurs portes, et d'autres retraités le plus souvent mais moins âgés, prêts à donner un coup de main aux aînés de leur immeuble. Certains conduisent les personnes âgées chez leur médecin, d'autres bricolent pour elles ou font leurs courses. Car, dans de nombreux bourgs ruraux presque tous les services publics et les commerces ont fermé. Le journal à lire ou à commenter, un bonjour et quelques mots en passant, histoire de rompre l'isolement, procurent de petites joies et mettent en oeuvre une belle solidarité intergénérationnelle.

Un exemple à suivre partout et notamment dans les régions rurales françaises!

Lyliane

24/11/2019

Des techniques plus vertes pour faire manger la planète...

L'Université Côte d'Azur a lancé un Master pour former les futurs ingénieurs d'une agriculture plus propre, écrivent Mme Mathilde Frénois et Mr Fabien Binacchi dans le Journal Nice-Matin. Le cursus, prévu sur 2 ans et dispensé en anglais, est centré sur toutes les voies possibles pour faire pousser des plantes sans produit phytosanitaire.   Ils sont 10 étudiants de l'Inra à Sophia-Antipolis ou dans les labos de Valrose à Nice et ils viennent des 4 coins du monde et aimeraient exporter les techniques dans leur pays.

Ce Master Boost, dont c'est la première promo, s'intéresse aux champignons et aux bactéries pour combattre les ravageurs. Le CNRS et l'INRA sont chez nous particulièrement en pointe concernant l'agriculture durable et le contrôle biologique. Ces jeunes chercheurs algériens, brésiliens, colombiens, italiens, africains sont animés de convictions profondes. Mr Erwan Paitel  est le directeur de ce programme révolutionnaire.

Lyliane

Service national universel: quel bilan?

Dans les colonnes du "Journal du dimanche", le secrétaire d'État à la Jeunesse Gabriel Attal tire un "bilan positif" de la première phase du Service national universel.
Alors qu'en juin dernier, près de 2.000 jeunes de 13 départements ont expérimenté le projet de Service national universel (SNU), le gouvernement veut élargir le dispositif dès l'année prochaine, avant une généralisation. Dans une interview accordée au Journal du dimanche, le secrétaire d'État à la Jeunesse Gabriel Attal tire un "bilan positif" de la première phase et confirme que 30.000 jeunes devraient participer en 2020. 
Alors que, selon une étude indépendante publiée en septembre par l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP), 94% des jeunes volontaires disent être ressortis "satisfaits" de cette expérience, Gabriel Attal note que "leurs motifs de satisfaction correspondent bien à nos objectifs : mixité sociale, envie de s'engager, formation aux premiers secours, savoir réagir en cas de crise". 
"Le SNU n'est ni une colonie de vacances, ni le bagne"
Cependant, note-t-il, "les jeunes ont parfois eu le sentiment de se retrouver en classe". Ainsi, pour 2020, le secrétaire d'État estime que "nous devons vraiment éviter la théorie et favoriser la participation des jeunes". Concernant les critiques faites sur les emplois du temps trop chargés des adolescents pendant le SNU, le membre du gouvernement reconnaît des plannings "parfois denses". "Il faut trouver le juste équilibre. Le SNU n'est ni une colonie de vacances, ni le bagne", ajoute-t-il. "Nous ne toucherons pas aux horaires", prévient-il, "mais il faudra mieux répartir les activités sur les deux semaines". 
Pour 2020, autour de 30.000 jeunes seront accueillis "en fonction des capacités "Le budget du SNU généralisé sera inférieur à 1,5 milliard d'euros"
Concernant une future généralisation du dispositif, le secrétaire d'État explique que le SNU "pourra concerner 200.000 à 300.000 jeunes dès 2022 (...) et être généralisé en 2023 ou 2024. Et au niveau financier, assure-t-il, "le budget du SNU généralisé sera inférieur à 1,5 milliard d'euros". 
Alors qu'à terme, un SNU généralisé concernerait 800.000 jeunes chaque année, Gabriel Attal convient qu'il "ne sera pas possible de les accueillir tous en même temps sur une seule période". Aussi, le gouvernement étudie la possibilité, "scénario privilégié", d'organiser le SNU "pendant les congés d'été et les petites vacances scolaires", à l'exception de la période de Noël et du 15 juillet au 15 août. Autre possibilité, ajoute Gabriel Attal, "l'envisager sur le temps scolaire". 

Antoine Terrel - Europe 1 - dimanche 10 novembre 2019

23/11/2019

Fin des logements insalubres?

Les députés ont adopté un amendement de Mr François Pupponi (Libertés et Territoires), qui a notamment rappelé le drame de la rue d'Aubagne à Marseille qui a fait huit morts il y a un an.

Un ajout inattendu à la loi "engagement et proximité". Les députés ont prévu jeudi 7 novembre d'autoriser les maires à interdire la location d'un logement insalubre, dans le cadre de l'examen en commission de ce projet de loi, qu'ils ont achevé dans la soirée.
Les députés ont adopté un amendement de François Pupponi (Libertés et Territoires), qui a notamment rappelé le drame de la rue d'Aubagne à Marseille qui a fait huit morts il y a un an. Il vise à créer un pouvoir de police du maire lui permettant d'"interdire sans délai la location d'un logement manifestement insalubre, indigne, ou dangereux".
>> "On n'est plus maîtres de notre quotidien" : un an après le drame de la rue d'Aubagne, retour à Marseille avec les sinistrés
Cet amendement a été adopté contre l'avis du rapporteur Bruno Questel (LREM) qui a estimé que cela ne relevait pas du champ du projet de loi.
Contrôle renforcé sur Airbnb

Le ministre chargé des Collectivités territoriales Sébastien Lecornu a renvoyé pour sa part à une ordonnance liée à la loi Elan sur le logement sur laquelle le gouvernement lance une consultation, tout en ajoutant que s'il sortait de son rôle de ministre "trente secondes", la disposition lui paraissait "frappée au coin du bon sens".
Parmi les autres changements apportés au texte qui entend notamment faciliter la vie des maires, les députés ont aussi élargi le champ des informations que les plateformes de type Airbnb devront transmettre aux communes. Elles devront ainsi transmettre le nom du loueur et dire si le bien loué constitue ou non sa résidence principale. Le texte sera examiné dans l'hémicycle à compter du 18 novembre.

Selon Franceinfo - Franceinfo - jeudi 7 novembre 2019

 

L'usage des trottinettes électriques est règlementé...

Pour tous les engins de déplacement personnel motorisés, dont les trottinettes électriques, un décret de règlementation intégré au Code de la Route a été publié le 25/10/ 2019 avec entrée en vigueur immédiate (sauf pour les aspects techniques qui s'appliqueront au 1/7/2020). Un journaliste du quotidien Nice-Matin les reprend pour nous en informer. La cohabitation avait été jusqu'ici compliquées et légiférer était devenu indispensable après de nombreux accidents avec des piétons.

Ainsi, gyropodes, monoroues, hoverboards et trottinettes électriques, souvent en libre service, doivent désormais "aller vers une utilisation plus responsable". La loi prévoit notamment que ces engins ne doivent pas dépasser 25 km/h, sous peine d'amendes pouvant se monter à 1500 euros. Désormais  les voyages à deux avec enfants sont interdits et le conducteur doit être âgé d'au moins 12 ans. Il est aussi interdit de téléphoner ou de porter des écouteurs  en conduisant.

Par ailleurs, finis les slaloms sur les trottoirs! En effet, les conducteurs de véhicules motorisés doivent circuler sur les bandes ou pistes cyclables sous peine de 135 euros d'amende. Sur les routes, en l'absence de pistes cyclables, la vitesse autorisée ne devra pas dépasser 50Km/h. Par contre, rollers, skates et trottinettes classiques peuvent emprunter les trottoirs, sauf si les maires en décidaient autrement et encadraient l'usage de ces véhicules motorisés.

Ces engins devront être équipés de feux de position avant et arrière, d'un système de freinage et d'un avertisseur sonore. Le port d'un gilet de visibilité ou rétro-réfléchissant et d'un casque de jour comme de nuit est obligatoire, notamment hors agglomération. Certains maires ayant déjà édicté des règles plus strictes (20 km/h pour Paris et interdiction du stationnement sur les trottoirs), ces dispositions pourront toutefois être maintenues.

Lyliane

 

22/11/2019

Donner son costard à Toulouse pour aider les demandeurs d'emploi...

Réparer, une idée béton chez certains architectes...

Un dossier de Mr Luc Le Chatellier dans le journal Télérama s'emploie à nous faire réaliser que si, depuis 40 ans, on rase pour reconstruire du neuf, c'est une "hérésie financière et écologique". Quelques architectes français ou étrangers appellent désormais "à réhabiliter, agrandir et mieux isoler l'existant". En effet, que ce soit à Bordeaux ou en région parisienne, l'industrie du bâtiment, grosse consommatrice d'énergies fossiles, génère en outre chaque année en France 40 millions de tonnes de déchets. Il est donc grand temps de "bâtir durable" et de se montrer plus responsable!

Mme Christine Leconte, jeune Présidente du conseil régional de l'ordre des architectes d'Ile-de-France par exemple, prépare un colloque intitulé " réparer la ville" du 21 au 23 novembre au Couvent des Récollets à Paris (10 ème). Elle énonce notamment:" Avec tous les gravats et déchets qu'il faut évacuer, stocker et abandonner, détruire est un échec". Elle dénonce même les 40 années de politique de la ville, de ZAC, de ZUP, de ZUS et d'autres opérations, qui ont conduit à spéculer sur le foncier et à favoriser les majors du bâtiment et des travaux publics. Pour elle, "réparer n'est pas un gros mot!"

Détruire serait selon Mme Leconte un échec à trois titres: "social d'abord car personne n'aime voir sa maison réduite en poussière, culturel aussi, car le bâti fait partie de notre patrimoine, écologique surtout, en raison des déchets. Elle prône plutôt de réhabiliter, d'aérer, de surélever, de revitaliser et d'embellir. Même pour les vieux HLM , construits dans les année 50, comme dans la Cité bordelaise du Grand Parc, " les atouts de l'existant sont à considérer". Ainsi, sur 3 immeubles et 530 logements par exemple, une autre approche a été possible. Le chantier s'est fait en site occupé et, à l'arrivée, chaque habitant a gagné 30 M2  et une note de chauffage divisée par deux.  En tout, la réhabilitation a coûté 35 millions au lieu des 88 millions d'euros nécessaires si on avait procédé à l'opération démolition/reconstruction.

Nous apprenons à l'occasion de ce dossier, qu'avec Mr Mies van der Rohe  le jury du prestigieux prix européen d'architecture a été attribué à cette réalisation dans la Cité bordelaise. Des concours d'idées sont par ailleurs lancés à Paris (ancien garage Citroën) et dans les Hauts-de-Seine (Butte rouge) pour changer l'usage des bâtiments en sauvegardant l'existant. Bref, au lieu de raser, on cherche à restaurer et à rajeunir en respectant le patrimoine. Ce changement de mentalités me paraît aller dans le bon sens et me réjouit car on fait cesser de la sorte l'étalement urbain en préservant les terres fertiles. Merci à ces pionniers actuels de l'architecture de demain, qui prônent les matériaux biosourcés et préparent "un changement de paradigme, intégrant la transition écologique", selon Mme C. Leconte.

Lyliane

Suis-je éligible à une cure thermale remboursée par l'assurance maladie?

 

Pour savoir si vous êtes éligible à une cure thermale conventionnée, il faut en parler avec votre médecin, seul apte à vous prescrire une cure thermale si c’est une solution efficace pour votre pathologie.

Une cure thermale conventionnée doit en effet être obligatoirement  prescrite par un médecin (votre médecin traitant ou un spécialiste, Rhumatologue par exemple) et être d’une durée de 18 jours de soins, dispensés 6 jours sur 7 (pas de soins le dimanche) pour bénéficier d’une prise en charge de l’Assurance Maladie.

Votre médecin traitant (ou votre spécialiste) doit vous prescrire la cure en remplissant le formulaire officiel (télécharger un spécimen de formulaire de prise en charge) au plus tard au cours du trimestre qui précède la date souhaitée pour votre cure. Il prescrit votre cure en fonction de votre état de santé. Il indique sur la prise en charge de l’Assurance Maladie la ou les orientations thérapeutiques et la station thermale recommandée pour votre pathologie. Pour le traitement de 2 affections simultanées, il précise la double orientation et la station adaptée.
➜ Le retour de votre prise en charge doit vous parvenir dans un délai de 1 mois : vérifiez-la !

Votre médecin peut vous prescrire une cure thermale conventionnée si vous souffrez d’une des pathologies suivantes :

 

// Rhumatologie //

Arthrose – Rhumatismes dégénératifs et inflammatoires – Troubles musculo-squelettiques –  Ostéoporose – Lombalgie – Sciatique – Tendinites – Polyarthrite rhumatoïde – Spondylarthrite ankylosante – Séquelles de traumatismes ou d’interventions chirurgicales – Inflammation chronique des tendons – Syndrome fibromyalgique – Raideurs articulaires – Suites de fracture

Découvrez les stations thermales prenant en charge la Rhumatologie (RH)
en cliquant ici

/ Voies Respiratoires //

Allergies respiratoires – Asthme – Bronchites – Otites – Sinusites – Rhinites allergiques – Angines – Rhinosinusites – Rhinoplastie – Rhino-pharyngites récidivantes – Rhume des foins – Toux spasmodiques – BPCO

Découvrez les stations thermales prenant en charge les Voies Respiratoires (VR)
en cliquant ici

// Appareil digestif et Métabolisme //

Affections hépato-biliaires – Maladie de Crohn légère ou modérée – Rectocolite hémorragique légère ou modéré – séquelles de maladies parasitaires intestinales – Troubles du transit intestinal

Découvrez les stations thermales prenant en charge l’Appareil digestif et Métabolisme (AD)
en cliquant ici

// Maladies Cardio-artérielles //

Angine de poitrine – Artériopathie oblitérante des membres inférieurs – Hypertension artérielle – Maladie de Raynaud – Séquelles d’infarctus – Suites de traitement chirurgical : pontage, dilatation artérielle

Découvrez les stations thermales prenant en charge des Maladies cardio-artérielles (MCA)

// Affections des muqueuses bucco-linguales //

Aphtose – Bouches sèches – Brûlures post-radiques – Glossite – Intolérance aux prothèses fixes ou mobiles – Leucokératose – Lichen plan buccal – Parodontopathies – Séquelles de traumatismes ou d’interventions chirurgicales  – Stomatodynie

Découvrez les stations thermales prenant en charge des Affections des muqueuses bucco-linguales (AMB)
en cliquant ici

 

// Appareil urinaire et métabolisme //

Calculs urinaires – Colibacilloses – Cystites – Cystalgies – Infection urinaires – Prostatites récidivantes

Découvrez les stations thermales prenant en charge l’Appareil urinaire et Métabolisme (AU)
en cliquant ici

 

// Dermatologie //

Acnés – Cicatrices – Eczémas – Prurits chroniques – Psoriasis – rougeurs du visage – Séquelles de brûlures

// Affections des muqueuses bucco-linguales //

Aphtose – Bouches sèches – Brûlures post-radiques – Glossite – Intolérance aux prothèses fixes ou mobiles – Leucokératose – Lichen plan buccal – Parodontopathies – Séquelles de traumatismes ou d’interventions chirurgicales  – Stomatodynie

Découvrez les stations thermales prenant en charge des Affections des muqueuses bucco-linguales (AMB)
en cliquant ici

 

// Appareil urinaire et métabolisme //

Calculs urinaires – Colibacilloses – Cystites – Cystalgies – Infection urinaires – Prostatites récidivantes

Découvrez les stations thermales prenant en charge l’Appareil urinaire et Métabolisme (AU)
en cliquant ici

 

// Dermatologie //

Acnés – Cicatrices – Eczémas – Prurits chroniques – Psoriasis – rougeurs du visage – Séquelles de brûlures

Découvrez les stations thermales prenant en charge la Dermatologie (DER)
en cliquant ici

 

// Gynécologie //

Mini-cures pré natales et post-natales – douleurs pelviennes et vaginales – Dysménorrhées – Infections récidivantes – Troubles de la ménopause – Règles douloureuses – Séquelles d’épisiotomie – Sécheresse des muqueuses pelviennes

Découvrez les stations thermales prenant en charge la Gynécologie (GYN)
en cliquant ici

 

Pour plus d’informations sur la préparation de votre cure
Rendez-vous ici

Découvrez les stations thermales près de chez vous

Copyright © 2017 Chaîne Thermale du Soleil

 

 

21/11/2019

Feu vert à l'expérimentation du cannabis médical en France...

L'Assemblée Nationale vient d'autoriser le 25/10/2019 l'expérimentation du cannabis thérapeutique en France. Cela pourrait se concrétiser au cours du premier semestre 2020. Elle concernera des personnes souffrant de maladies graves (épilepsie, douleurs neuropathiques, effets secondaires de chimiothérapies, de soins palliatifs ou de scléroses en plaques) pour lesquelles "les dérivés du cannabis peuvent constituer un apport thérapeutique supplémentaire" selon compte-rendu d'un journaliste de Nice-Matin.

Cette expérimentation sera menée  dans plusieurs centres hospitaliers en France. Une prescription initiale sera effectuée par un médecin spécialiste, neurologue ou médecin de la douleur. Les patients devront se fournir  en pharmacie hospitalière, puis renouveler leur traitement en pharmacie de ville. Ces dérivés du cannabis prendront la forme de tisane, d'huile ou de fleurs séchées. Il n'y aura donc pas de joints en pharmacie pour le moment!

Il faut savoir quee cannabis médical représente déjà un marché mondial de plus de 10 milliards d'euros. 17 pays de l'Union Européenne ont déjà autorisé des traitements à base de cannabis médical. Les producteurs canadiens figurent parmi les leaders du secteur. En Europe, c'est aux Pays-Bas que sont apparus les premiers producteurs légaux de cannabis en 2003. Chez nous, un groupe agricole coopératif français a déposé une demande pour se positionner sur le marché. Jusqu'ici, la France n'autorisait pas la production de cannabis... A suivre donc!

Lyliane

Infos de l'espace interstellaire grâce à Voyager 1 et 2...

Après 41 années de voyage et presque dix-huit milliards de kilomètres parcourus, la célèbre sonde Voyager 2 a quitté la bulle protectrice du Soleil pour entrer dans l'espace interstellaire, livrant de précieuses observations sur la frontière entre ces deux mondes. "La frontière est très nette, Voyager 2 l'a traversée en moins d'une journée", explique à l'AFP John Richardson, l'un des coauteurs des cinq études consacrées lundi aux données fournies par la sonde américaine. Voyager 1 et sa jumelle Voyager 2 ont été lancées en 1977 de Cap Canaveral, en Floride.
Depuis, les deux sondes baladent dans l'espace un message de paix, un enregistrement du chant des baleines, le "Johnny B. Goode" de Chuck Berry, du Jean-Sébastien Bach... Le tout au nom de l'humanité et à destination d'extraterrestres. Si les sondes venaient à en croiser, ces derniers pourraient également y découvrir des formules mathématiques ou les images d'une femme qui allaite, d'un repas chinois ou de l'intérieur d'une usine ... Avec également des indications pour trouver notre planète.
Ce que les sondes ont découvert
Mais en attendant ces hypothétiques rencontres, Voyager 1 et 2 fournissent de précieuses informations aux Terriens. Les deux bolides sont en effet les deux constructions humaines à s'être le plus éloignées de la Terre. Les vents de particules soufflant de la couronne solaire à plus de 500 kilomètres par seconde créent une sorte de bulle protectrice (appelée l'héliosphère) autour du système solaire, en repoussant les rayons cosmiques provenant du cosmos.
Or le 5 novembre 2018, sept ans après Voyager 1, Voyager 2 est passée de l'autre coté de ce bouclier, traversant l'héliopause, la limite au-delà de laquelle le vent solaire n'a plus d'effet, et laisse place à l'espace interstellaire, plus dense et plus froid. La sonde a pu pour la première fois mesurer la température, la densité et la vitesse des vents solaires et interstellaires, ainsi que caractériser les champs magnétiques ou les rayons cosmiques, une aubaine tant la nature de cette frontière reste un mystère.
"Nous ne savions pas que la sonde pourrait fonctionner assez longtemps pour atteindre le bord de la bulle, en sortir et pénétrer dans l'espace interstellaire", se réjouit Ed Stone, coauteur des travaux publiés dans la revue Nature Astronomy.
Si certaines observations confirment ce que Voyager 1 avait observé ou ce que les chercheurs avaient théorisé, d'autres bousculent nos connaissances. Le fait, par exemple, que la direction du champ magnétique reste stable. "Une énigme majeure" pour John Richardson du Massachusetts Institute of Technology (MIT).
Une découverte qui va, sans aucun doute, mettre à l'épreuve les théoriciens, s'amuse Leonard Burlaga du NASA Goddard Space Flight Center.
Le milieu interstellaire, proche de la frontière, s'est également révélé beaucoup plus chaud que ce que les modèles prévoyaient.

Selon La Rédaction avec AFP - Paris Match - mardi 5 novembre 2019