Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/10/2016

Faire de sa différence une richesse...

 

En écoutant le témoignage de Mme Pauline de Saboulin, interrogée sur la 2ème chaîne par Mme Sophie Davant, j'ai réalisé qu'être un enfant surdoué n'est pas forcément une chance comme on pourrait l'imaginer. Cette jeune femme, en effet, dès le collège a été confrontée à des moqueries et à des harcelements, qui l'ont fait cruellement souffrir. Elle a eu du mal à avoir confiance en elle, tant qu'elle s'est crue bête et laide. Une psychothérapeute vers ses 25 ans lui a heureusement appris qu'elle faisait partie des personnes à haut potentiel que l'on qualifie d'intellectuellement précoces...

En fait, on considère qu'il y a dans notre pays environ 5% d'enfants surdoués, c'est à dire possédant un Q.I. (quotient intellectuel) supérieur à 130. Mais, si pour un tiers de ces enfants tout va très bien, les autres sont en butte à des difficultés scolaires et sociales, qui en font parfois des victimes incomprises de leur environnement. Ces 450 000 enfants scolarisés vivent souvent des doutes et des angoisses en se découvrant différents des autres. Le rôle de leurs parents est crucial. Lorsqu'ils suspectent une difficulté d'intégration, voire un étrange repli sur soi, le mieux serait de faire tester le QI de leur enfant. Cela pourrait lui éviter de développer des troubles du comportement ou alimentaires, nuisibles à son développement.

Pour approfondir la question, consulter par exemple sur internet les deux sites: www.parents.fr ou www.les-tribulations-dun-petit-zebre.com.

Lyliane

 

Les commentaires sont fermés.