Mme Cloé Dussère dans le magazine Vivre nous explique que" pendant que notre corps est soumis aux traitements, notre tête n'en reste pas moins active. Elle met en effet en oeuvre des mécanismes de défense ou adaptatifs qui lui permettent de limiter l'impact de la souffrance psychique: angoisse, peur, colère, tristesse... Souvent, la personne a tendance à banaliser la maladie par une maîtrise émotionnelle. D'autres fois, des patients rationalisent et veulent tout contrôler. Il faut savoir que le personnel soignant préfère ce type de personnes à celles qui sont passives, déprimées ou...

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