L'époque est au 'slow tourisme' et à la 'staycation', c'est-à-dire prendre le temps de voyager… à côté de chez soi. La crise sanitaire, qui a lourdement plombé la filière touristique, a donné un coup d'accélérateur à des tendances plus anciennes, qui émergeaient bien avant les frontières fermées, les avions cloués au sol et les hôtels désertés. Au 'flygskam' écologiste, la "honte de prendre l'avion" en suédois, était déjà venu répondre le 'train brag', la "fierté de prendre le train": la limitation des déplacements internationaux ne serait qu'un "révélateur de tendances" selon une étude...

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