C'est grâce à un article de la revue Alternative Santé que je me suis souvenue des macérats de bourgeons que je prenais dans mon adolescence pour calmer mon trop plein d'énergie. C'était du tilleul, il me semble! Mes parents avaient été informés par notre médecin de famille de leur action douce et sans aucun effet secondaire. A l'époque, les huiles essentielles n'étaient pas encore très répandues; on n'avait pas recours à la chimie car on croyait encore aux vertus des plantes...   Cette thérapie, nommée ainsi à cause du nom latin «gemme» qui signifie bourgeons, se révèle...

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